- Benjamin.dResponsable du forum
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(1977) MONTREAL, QUEBEC, CANADA, FLORIDA MALBOEUF:
Ven 30 Nov 2007, 21:38
6 JANVIER 1977, MONTREAL, QUEBEC, CANADA, FLORIDA MALBOEUF:
BREF RESUME DE L'EVENEMENT ET DES SUITES:
Au moins un journal et des ufologues locaux ont rapport que Mme Florida Malboeuf, 58 ans, du 6420 de la rue Casgrain, à Montréal, a été profondément traumatisée par son expérience du 6 janvier 1977.
Plutôt insomniaque en raison d'un état bronchitique, Mme Florida Malboeuf, cette nuit-là, était assise à sa fenêtre vers 01:30 du matin. Elle a alors soudainement vu une sorte de "grande assiette" ou une "grosse huître" de 15 pieds de diamètre dériver dans le ciel comme en venant vers elle, un engin gris argent muni de phares blancs à sa base, qui l'ont presque aveuglée, puis être caché par le toit d'un immeuble de trois étages, en face, au 6399, de la rue Casgrain, angle Burelle, comme s'il s'était finalement se poser sur ce toit à seulement 60 pieds d'elle.
Elle s'est frotté les yeux et s'est pincé pour vérifier qu'elle n'était pas en train de rêver, et a du se rendre à l'évidence: ce qu'elle voyait était bien réel.
Elle a alors vu venir sur le toit deux êtres étranges et minces de 6 pieds et 5 pouces de taille, vêtus d'un costume de couleur pâle, sans ceinture et très serré. Ces "êtres de l'espace" ne lui semblaient pas peser plus de 25 livres chacun, tant leur démarche était légère.
Ils se sont avancés vers le bord du toit, ont regardé dans la rue, puis vers le ciel. Ils ont fait retraite quelques secondes plus tard, et elle a de nouveau vu l'engin qui s'est de nouveau élevé et a lentement dérivé au loin dans la direction du sud, comme s'il se dirigeai vers la rue de Bellechasse. Le tout, de l'atterrissage au décollage, a duré moins d'une minute.
Secouée, Mme Malboeuf est retournée au lit mais eu du mal à s'endormir. Ce n'est qu'à six heures l'après-midi suivant qu'elle a décidé de raconter son observation nocturne à fils André, 24 ans. Craignant malgré tout d'avoir été victime d'un mauvais tour, Mme Malboeuf a hésité à appeler la police.
Constatant l'état d'agitation de sa mère, André s'est rendu compte qu'elle devait avoir subi une expérience très traumatique et est immédiatement sorti enquêter, d'abord en consultant les voisins, mais aucun n'avait rien vu ni entendu de particulier dans la nuit d'avant. Il lui a semblé que le dessus de toit du bâtiment vide de l'autre côté de la rue serait le prochain endroit le plus logique ou aller. Malheureusement, il n'y avait aucun moyen de l'atteindre de l'intérieur. Il n'a eu d'autre choix que de grimper l'escalier d'évacuation et faire son chemin à travers un vide de 2 mètres de large, en utilisant une échelle comme pont improvisé.
Quand il a atteint le dessus de toit il a été effrayé par ce qu'il a vu. Une couche circulaire de glace de 20 pieds de large couvrait une couche mince de neige. Il était évident qu'une certaine forme de la chaleur ait fondu la neige et que ce cercle avait de nouveau gelé plus tard. Cette feuille de glace était flanquée de deux plus petites zones ovales de glace à quelques pieds de distance, vraisemblablement créé par la même source de chaleur. Les couches de glace plus petites ont semblé être plates, tandis que la plus grande étaient visiblement enfoncée au centre, formant un cratère peu profond.
André a immédiatement appelé Le Journal de Montréal pour rapporter ce qui s'était produit, et a également informé le contrôle du trafic aérien à l'Aéroport de Dorval, et a on lui a dit que ses déclarations seraient transmises aux quartiers généraux Canadiens et Américains du NORAD. Le contrôle du trafic aérien de Dorval lui a dit que trois autres personnes les avaient appelés pour rapporter un OVNI dérivant au-dessus de la gare de métro voisine de Rosemont, quelques instants après l'observation de sa mère.
Le lendemain, le journaliste photo Gilles Lafrance du Journal de Montréal a interviewé Mme Malboeuf et photographié la trace d'atterrissage. Le même jour, son fils a appelé la police urbaine d Montréal et deux de leurs officiers sont arrivés en peu de temps, ont interviewé Mme Malboeuf et mené une enquête qu'ils ont précisé être officieuse et personnelle.
Après la parution de l'histoire dans l'édition de dimanche de Le Journal de Montréal et du tabloïd hebdomadaire The Sunday Express, les ufologues locaux ont convergé sur les lieux de l'observation. Le premier à arriver était Howard Gontovnick, un ufologue de la région de Laval qui publie le périodique UFO-Canada. Malgré le fait qu'une grande partie des couches de glace avaient été couvertes de neige glissante, il est parvenu à en prendre plusieurs photos couleur. Le lendemain, un lundi, Marc Leduc de UFO-Québec a également rendu visite à Mme Malboeuf, mais en raison d'une grave tempête de neige, a été empêché d'inspecter le dessus de toit. Il est revenu la nuit de mercredi, accompagnée de Wido Hoville d'UFO-Québec, de Howard Gontovnick et de Paul Dubeau, un autre des témoins de l'OVNI du 6 janvier.
Avec André Malboeuf, ils se sont embarqués dans la montée périlleuse jusqu'au toit du bâtiment, où ils ont fait une autre découverte surprenante. Quatre empreintes de pas particulières, commençant au centre de la masse de glace et se dirigeant vers le bord du toit ont pu être vues. Bien que ces impressions aient ressemblé aux marques de talon et d'orteil d'une botte, elles étaient différentes de toutes celles que ces hommes avaient jamais vu avant. D'une part, elles étaient de seulement six pouces de long et seulement 1.7 pouce de large, de ce fait excluant la possibilité qu'elles avaient été faites par un adulte. En outre, en raison de la difficulté extrême pour atteindre le dessus de toit et la largeur étroite des traces, la possibilité qu'elles pourraient appartenir à un enfant pouvait être exclue. A la différence de la structure d'un pied ordinaire, la courbure de ces impressions était nettement renforcée vers l'intérieur.
Le rapport entre ces empreintes de pas étranges et ce qui avait causé la fonte de la neige en une trace circulaire était indubitable, les traces étaient incorporées dans la couche gelée et devaient donc avoir été produites tandis que la surface était toujours dans un état fondu. La trace de glace circulaire ne pouvait pas avoir été créés par un adoucissement de la météo, car les enregistrements du Bureau de Météo de Dorval prouvaient que la température était restée bien au-dessous de zéro pendant le mois précédant l'observation. La source de chaleur ne pouvait pas venir du bâtiment en dessous car sous la mince couche de glace la neige en-dessous n'avait pas été touchés par une fonte ou un gel.
Il a été également dit qu'à l'heure de l'observation, le chien d'un voisin de Mme Malboeuf s'était mis à hurler, son propriétaire ne parvenant pas à le calmer.
Mme Malboeuf a précisé qu'elle ne s'était jamais intéressée aux soucoupes volantes et n'y croyait pas du tout. Elle a ajouté que cet événement l'a tellement bouleversée qu'elle aurait de beaucoup préféré ne jamais avoir vu cela.
INFORMATIONS DE BASE:
Numéro de cas: URECAT-000111
Date d'observation: 6 janvier 1977
Premier rapport: 15 janvier 1977
Délai de rapport: Jours
Témoignage apporté via: Appel à police sur suggestion du fils.
Premier enregistrement allégué par: Journal.
Premier enregistrement certain par: Livre d'ufologie.
Type premier enregistrement allégué: Journal.
Type premier enregistrement certain: Livre d'ufologie.
Ce dossier créé le: 28 juin 2007
Sa plus récente mise à jour: 28 juin 2007
Pays de l'événement: Canada
Etat/Département: Québec
Type de lieu: Ville
Conditions d'éclairage: Nuit
OVNI observé: Oui
Arrivée OVNI observée: Oui
Départ OVNI observé: Oui
Relation OVNI/entité: Certaine
Nombre de témoins: 1 et indirects
Ages des témoins: 58
Types de témoins: Femme.
Photographies: Non.
Dessins par témoins: Non.
Dessins approuvé par témoins: Non.
Nombre d'entité: 2
Type d'entités: Humanoïde
Taille d'entités: 1.60 mètres
Tenues d'entités: Une pièce moulant sans ceinture, bonnet de bain.
Couleur des tenues d'entités: Pâle.
Couleur de peau d'entités: Non rapporté.
Corps des entités: Mince.
Têtes des entités: Non rapporté, en bonnet de bain.
Yeux des entités: Non visible.
Bouches des entités: Non visible.
Nez des entités: Non visible.
Pieds des entités: Non rapporté.
Bras des entités: Non rapporté.
Doigts des entités: Non rapporté.
Nb de doigts des entités: Non visible.
Pilosité des entités: Aucune rapportée.
Voix des entités: Aucune entendue.
Actions des entités: Sortie de l'OVNI, regardent la rue, regardent le ciel, entrée dans l'OVNI, départ.
Interactions entités/témoins: Aucune.
Réactions des témoins: Observation.
Sentiments des témoins: Très troublé, choqué.
Interprétations des témoins: Soucoupe volante et occupants.
Catégorie explicative: Visiteurs extraterrestres.
Certitude de l'explication: Moyenne.
RECITS:
[Ref. pj1:] LE PETIT JOURNAL:
Mme Florida Malboeuf n'en dort plus!
ELLE A VU UNE SOUCOUPE VOLANTE ET DEUX "ÊTRES DE L'ESPACE" SUR LE TOIT DE LA MAISON D'EN FACE
Mme Florida Malboeuf, 58 ans, du 6420 de la rue Casgrain, à Montréal est profondément traumatisée. On le serait à moins. En ce jeudi du 6 janvier dernier, plutôt insomniaque, Mme Malboeuf est assise à sa fenêtre. Il est 1 heure et 30 du matin. Tout à coup que voit-elle? Une sorte de grande assiette ou plutôt de grosse huître de 15 pieds de diamètre en train d'atterrir sur le toit d'une des maisons d'en face (plus précisément au 6399, de la rue Casgrain, angle Burelle).
Elle se frotte les yeux, se pince pour voir si elle ne rêve pas. Elle doit pourtant se rendre à l'évidence: elle voit bien ce qu'elle voit. Et ce n'est pas tout. De cet appareil gris argent muni de phare à sa base, de cette soucoupe volante (car il n'y a plus de doute que c'en est une), Mme Malboeuf voit sortir deux êtres étranges de 6 pieds et 5 pouces de taille, vêtus d'un costume de couleur pâle, sans ceinture et très serré. Ces "êtres de l'espace" ne semblent pas peser plus de 25 livres chacun tant leur démarche est légère. Ils s'avancent vers le bord du toit, regardent dans la rue, puis vers le ciel. Ils réintègrent maintenant leur appareil et disparaissent comme ils sont venus. Le tout, de l'atterrissage au décollage n'a pas duré une minute.
"Je ne m'intéressais pas aux soucoupes volantes", d'expliquer Mme Malboeuf. "Je n'y croyais même pas du tout. Cet évènement m'a tellement bouleversée que j'aurais de beaucoup préféré ne jamais avoir vu ça..."
C'était pourtant à ce qu'on raconte, quelque chose de renversant. On comprend qu'à cette heure-là, le chien d'un voisin se sont mis à hurler, le propriétaire de la bête ne parvenant pas à la calmer. Craignant malgré tout d'avoir été victime d'un mauvais tour, Mme Malboeuf hésite à appeler la police. Elle ne s'y résoudra quelques heures plus tard lorsque son fils André, 25 ans, montera sur le toit de la maison qui a reçu cette drôle de visite pour y avoir la surprise de sa vie; la découverte d'un cercle de 15 pieds de diamètre de neige et de glace fondues. Mme Malboeuf a aussi appelé à Dorval où l'on admet avoir vu cette nuit-là, un objet étrange filant, de l'ouest à l'est, dans le ciel de Montréal à la vitesse approximative de 800 miles à l'heure. D'ailleurs, quatre ou cinq autres personnes ont appelé à Dorval pour confirmer le phénomène.
[Ref. yb1:] YURKO BONDARCHUK:
Montreal - 6 Jan. 1977
Les observations d'OVNIS au-dessus de grands centres urbains sont considérés comme des sortes de raretés, car la grande majorité des incidents se produisent normalement en-dehors des villes, dans des secteurs ruraux. Encore plus rares sont les cas impliquant la présence des occupants de l'OVNI dans des environnements urbains.
Pour cette raison, l'apparition rapportée de deux passagers d'OVNIS sur le dessus d'un toit du milieu de Montréal le 6 janvier 1977 doit être considéré unique et sans précédent. Ironiquement, l'observation a coïncidé avec la veille de Noël célébrée par des millions de chrétiens selon le vieux calendrier julien. Pour des enfants d'origine ukrainienne, il est traditionnel de rechercher dans le ciel de soirée la première étoile qui annonce l'ouverture des festivités saintes de la veille de Noël. Mais pour Mme Florida Malboeuf de la rue Casgrain à Montréal, la lumière brillante dans le ciel s'est avérée être beaucoup plus qu'un prélude à une tradition historique.
A environ une heure lors de cette matinée particulière, Mme Malboeuf s'est levée de son lit, incapable de dormir en raison d'un état bronchitique. Regarder fixement hors de la fenêtre, elle a vu un objet d'aspect étrange dériver au-dessus du sommet du toit de la maison de l'autre côté de la rue. A son étonnement, il a semblé faire route vers elle. Elle pouvait clairement voir qu'il était en forme de dôme, et ressemblait à une huître aplatie avec une rangée de brillantes lumières autour de son bord qui l'ont presque aveuglée. Elle a estimé que l'objet pourrait avoir eu environ 20 pieds de large. Pendant qu'elle l'observait, l'engin a plané sur l'immeuble de trois étage en face d'elle, mais alors elle ne pouvait plus la voir de sa position avantageuse au niveau de la rue car il avait été caché derrière la plate-forme de toit.
BREF RESUME DE L'EVENEMENT ET DES SUITES:
Au moins un journal et des ufologues locaux ont rapport que Mme Florida Malboeuf, 58 ans, du 6420 de la rue Casgrain, à Montréal, a été profondément traumatisée par son expérience du 6 janvier 1977.
Plutôt insomniaque en raison d'un état bronchitique, Mme Florida Malboeuf, cette nuit-là, était assise à sa fenêtre vers 01:30 du matin. Elle a alors soudainement vu une sorte de "grande assiette" ou une "grosse huître" de 15 pieds de diamètre dériver dans le ciel comme en venant vers elle, un engin gris argent muni de phares blancs à sa base, qui l'ont presque aveuglée, puis être caché par le toit d'un immeuble de trois étages, en face, au 6399, de la rue Casgrain, angle Burelle, comme s'il s'était finalement se poser sur ce toit à seulement 60 pieds d'elle.
Elle s'est frotté les yeux et s'est pincé pour vérifier qu'elle n'était pas en train de rêver, et a du se rendre à l'évidence: ce qu'elle voyait était bien réel.
Elle a alors vu venir sur le toit deux êtres étranges et minces de 6 pieds et 5 pouces de taille, vêtus d'un costume de couleur pâle, sans ceinture et très serré. Ces "êtres de l'espace" ne lui semblaient pas peser plus de 25 livres chacun, tant leur démarche était légère.
Ils se sont avancés vers le bord du toit, ont regardé dans la rue, puis vers le ciel. Ils ont fait retraite quelques secondes plus tard, et elle a de nouveau vu l'engin qui s'est de nouveau élevé et a lentement dérivé au loin dans la direction du sud, comme s'il se dirigeai vers la rue de Bellechasse. Le tout, de l'atterrissage au décollage, a duré moins d'une minute.
Secouée, Mme Malboeuf est retournée au lit mais eu du mal à s'endormir. Ce n'est qu'à six heures l'après-midi suivant qu'elle a décidé de raconter son observation nocturne à fils André, 24 ans. Craignant malgré tout d'avoir été victime d'un mauvais tour, Mme Malboeuf a hésité à appeler la police.
Constatant l'état d'agitation de sa mère, André s'est rendu compte qu'elle devait avoir subi une expérience très traumatique et est immédiatement sorti enquêter, d'abord en consultant les voisins, mais aucun n'avait rien vu ni entendu de particulier dans la nuit d'avant. Il lui a semblé que le dessus de toit du bâtiment vide de l'autre côté de la rue serait le prochain endroit le plus logique ou aller. Malheureusement, il n'y avait aucun moyen de l'atteindre de l'intérieur. Il n'a eu d'autre choix que de grimper l'escalier d'évacuation et faire son chemin à travers un vide de 2 mètres de large, en utilisant une échelle comme pont improvisé.
Quand il a atteint le dessus de toit il a été effrayé par ce qu'il a vu. Une couche circulaire de glace de 20 pieds de large couvrait une couche mince de neige. Il était évident qu'une certaine forme de la chaleur ait fondu la neige et que ce cercle avait de nouveau gelé plus tard. Cette feuille de glace était flanquée de deux plus petites zones ovales de glace à quelques pieds de distance, vraisemblablement créé par la même source de chaleur. Les couches de glace plus petites ont semblé être plates, tandis que la plus grande étaient visiblement enfoncée au centre, formant un cratère peu profond.
André a immédiatement appelé Le Journal de Montréal pour rapporter ce qui s'était produit, et a également informé le contrôle du trafic aérien à l'Aéroport de Dorval, et a on lui a dit que ses déclarations seraient transmises aux quartiers généraux Canadiens et Américains du NORAD. Le contrôle du trafic aérien de Dorval lui a dit que trois autres personnes les avaient appelés pour rapporter un OVNI dérivant au-dessus de la gare de métro voisine de Rosemont, quelques instants après l'observation de sa mère.
Le lendemain, le journaliste photo Gilles Lafrance du Journal de Montréal a interviewé Mme Malboeuf et photographié la trace d'atterrissage. Le même jour, son fils a appelé la police urbaine d Montréal et deux de leurs officiers sont arrivés en peu de temps, ont interviewé Mme Malboeuf et mené une enquête qu'ils ont précisé être officieuse et personnelle.
Après la parution de l'histoire dans l'édition de dimanche de Le Journal de Montréal et du tabloïd hebdomadaire The Sunday Express, les ufologues locaux ont convergé sur les lieux de l'observation. Le premier à arriver était Howard Gontovnick, un ufologue de la région de Laval qui publie le périodique UFO-Canada. Malgré le fait qu'une grande partie des couches de glace avaient été couvertes de neige glissante, il est parvenu à en prendre plusieurs photos couleur. Le lendemain, un lundi, Marc Leduc de UFO-Québec a également rendu visite à Mme Malboeuf, mais en raison d'une grave tempête de neige, a été empêché d'inspecter le dessus de toit. Il est revenu la nuit de mercredi, accompagnée de Wido Hoville d'UFO-Québec, de Howard Gontovnick et de Paul Dubeau, un autre des témoins de l'OVNI du 6 janvier.
Avec André Malboeuf, ils se sont embarqués dans la montée périlleuse jusqu'au toit du bâtiment, où ils ont fait une autre découverte surprenante. Quatre empreintes de pas particulières, commençant au centre de la masse de glace et se dirigeant vers le bord du toit ont pu être vues. Bien que ces impressions aient ressemblé aux marques de talon et d'orteil d'une botte, elles étaient différentes de toutes celles que ces hommes avaient jamais vu avant. D'une part, elles étaient de seulement six pouces de long et seulement 1.7 pouce de large, de ce fait excluant la possibilité qu'elles avaient été faites par un adulte. En outre, en raison de la difficulté extrême pour atteindre le dessus de toit et la largeur étroite des traces, la possibilité qu'elles pourraient appartenir à un enfant pouvait être exclue. A la différence de la structure d'un pied ordinaire, la courbure de ces impressions était nettement renforcée vers l'intérieur.
Le rapport entre ces empreintes de pas étranges et ce qui avait causé la fonte de la neige en une trace circulaire était indubitable, les traces étaient incorporées dans la couche gelée et devaient donc avoir été produites tandis que la surface était toujours dans un état fondu. La trace de glace circulaire ne pouvait pas avoir été créés par un adoucissement de la météo, car les enregistrements du Bureau de Météo de Dorval prouvaient que la température était restée bien au-dessous de zéro pendant le mois précédant l'observation. La source de chaleur ne pouvait pas venir du bâtiment en dessous car sous la mince couche de glace la neige en-dessous n'avait pas été touchés par une fonte ou un gel.
Il a été également dit qu'à l'heure de l'observation, le chien d'un voisin de Mme Malboeuf s'était mis à hurler, son propriétaire ne parvenant pas à le calmer.
Mme Malboeuf a précisé qu'elle ne s'était jamais intéressée aux soucoupes volantes et n'y croyait pas du tout. Elle a ajouté que cet événement l'a tellement bouleversée qu'elle aurait de beaucoup préféré ne jamais avoir vu cela.
INFORMATIONS DE BASE:
Numéro de cas: URECAT-000111
Date d'observation: 6 janvier 1977
Premier rapport: 15 janvier 1977
Délai de rapport: Jours
Témoignage apporté via: Appel à police sur suggestion du fils.
Premier enregistrement allégué par: Journal.
Premier enregistrement certain par: Livre d'ufologie.
Type premier enregistrement allégué: Journal.
Type premier enregistrement certain: Livre d'ufologie.
Ce dossier créé le: 28 juin 2007
Sa plus récente mise à jour: 28 juin 2007
Pays de l'événement: Canada
Etat/Département: Québec
Type de lieu: Ville
Conditions d'éclairage: Nuit
OVNI observé: Oui
Arrivée OVNI observée: Oui
Départ OVNI observé: Oui
Relation OVNI/entité: Certaine
Nombre de témoins: 1 et indirects
Ages des témoins: 58
Types de témoins: Femme.
Photographies: Non.
Dessins par témoins: Non.
Dessins approuvé par témoins: Non.
Nombre d'entité: 2
Type d'entités: Humanoïde
Taille d'entités: 1.60 mètres
Tenues d'entités: Une pièce moulant sans ceinture, bonnet de bain.
Couleur des tenues d'entités: Pâle.
Couleur de peau d'entités: Non rapporté.
Corps des entités: Mince.
Têtes des entités: Non rapporté, en bonnet de bain.
Yeux des entités: Non visible.
Bouches des entités: Non visible.
Nez des entités: Non visible.
Pieds des entités: Non rapporté.
Bras des entités: Non rapporté.
Doigts des entités: Non rapporté.
Nb de doigts des entités: Non visible.
Pilosité des entités: Aucune rapportée.
Voix des entités: Aucune entendue.
Actions des entités: Sortie de l'OVNI, regardent la rue, regardent le ciel, entrée dans l'OVNI, départ.
Interactions entités/témoins: Aucune.
Réactions des témoins: Observation.
Sentiments des témoins: Très troublé, choqué.
Interprétations des témoins: Soucoupe volante et occupants.
Catégorie explicative: Visiteurs extraterrestres.
Certitude de l'explication: Moyenne.
RECITS:
[Ref. pj1:] LE PETIT JOURNAL:
Mme Florida Malboeuf n'en dort plus!
ELLE A VU UNE SOUCOUPE VOLANTE ET DEUX "ÊTRES DE L'ESPACE" SUR LE TOIT DE LA MAISON D'EN FACE
Mme Florida Malboeuf, 58 ans, du 6420 de la rue Casgrain, à Montréal est profondément traumatisée. On le serait à moins. En ce jeudi du 6 janvier dernier, plutôt insomniaque, Mme Malboeuf est assise à sa fenêtre. Il est 1 heure et 30 du matin. Tout à coup que voit-elle? Une sorte de grande assiette ou plutôt de grosse huître de 15 pieds de diamètre en train d'atterrir sur le toit d'une des maisons d'en face (plus précisément au 6399, de la rue Casgrain, angle Burelle).
Elle se frotte les yeux, se pince pour voir si elle ne rêve pas. Elle doit pourtant se rendre à l'évidence: elle voit bien ce qu'elle voit. Et ce n'est pas tout. De cet appareil gris argent muni de phare à sa base, de cette soucoupe volante (car il n'y a plus de doute que c'en est une), Mme Malboeuf voit sortir deux êtres étranges de 6 pieds et 5 pouces de taille, vêtus d'un costume de couleur pâle, sans ceinture et très serré. Ces "êtres de l'espace" ne semblent pas peser plus de 25 livres chacun tant leur démarche est légère. Ils s'avancent vers le bord du toit, regardent dans la rue, puis vers le ciel. Ils réintègrent maintenant leur appareil et disparaissent comme ils sont venus. Le tout, de l'atterrissage au décollage n'a pas duré une minute.
"Je ne m'intéressais pas aux soucoupes volantes", d'expliquer Mme Malboeuf. "Je n'y croyais même pas du tout. Cet évènement m'a tellement bouleversée que j'aurais de beaucoup préféré ne jamais avoir vu ça..."
C'était pourtant à ce qu'on raconte, quelque chose de renversant. On comprend qu'à cette heure-là, le chien d'un voisin se sont mis à hurler, le propriétaire de la bête ne parvenant pas à la calmer. Craignant malgré tout d'avoir été victime d'un mauvais tour, Mme Malboeuf hésite à appeler la police. Elle ne s'y résoudra quelques heures plus tard lorsque son fils André, 25 ans, montera sur le toit de la maison qui a reçu cette drôle de visite pour y avoir la surprise de sa vie; la découverte d'un cercle de 15 pieds de diamètre de neige et de glace fondues. Mme Malboeuf a aussi appelé à Dorval où l'on admet avoir vu cette nuit-là, un objet étrange filant, de l'ouest à l'est, dans le ciel de Montréal à la vitesse approximative de 800 miles à l'heure. D'ailleurs, quatre ou cinq autres personnes ont appelé à Dorval pour confirmer le phénomène.
[Ref. yb1:] YURKO BONDARCHUK:
Montreal - 6 Jan. 1977
Les observations d'OVNIS au-dessus de grands centres urbains sont considérés comme des sortes de raretés, car la grande majorité des incidents se produisent normalement en-dehors des villes, dans des secteurs ruraux. Encore plus rares sont les cas impliquant la présence des occupants de l'OVNI dans des environnements urbains.
Pour cette raison, l'apparition rapportée de deux passagers d'OVNIS sur le dessus d'un toit du milieu de Montréal le 6 janvier 1977 doit être considéré unique et sans précédent. Ironiquement, l'observation a coïncidé avec la veille de Noël célébrée par des millions de chrétiens selon le vieux calendrier julien. Pour des enfants d'origine ukrainienne, il est traditionnel de rechercher dans le ciel de soirée la première étoile qui annonce l'ouverture des festivités saintes de la veille de Noël. Mais pour Mme Florida Malboeuf de la rue Casgrain à Montréal, la lumière brillante dans le ciel s'est avérée être beaucoup plus qu'un prélude à une tradition historique.
A environ une heure lors de cette matinée particulière, Mme Malboeuf s'est levée de son lit, incapable de dormir en raison d'un état bronchitique. Regarder fixement hors de la fenêtre, elle a vu un objet d'aspect étrange dériver au-dessus du sommet du toit de la maison de l'autre côté de la rue. A son étonnement, il a semblé faire route vers elle. Elle pouvait clairement voir qu'il était en forme de dôme, et ressemblait à une huître aplatie avec une rangée de brillantes lumières autour de son bord qui l'ont presque aveuglée. Elle a estimé que l'objet pourrait avoir eu environ 20 pieds de large. Pendant qu'elle l'observait, l'engin a plané sur l'immeuble de trois étage en face d'elle, mais alors elle ne pouvait plus la voir de sa position avantageuse au niveau de la rue car il avait été caché derrière la plate-forme de toit.
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Re: (1977) MONTREAL, QUEBEC, CANADA, FLORIDA MALBOEUF:
Ven 30 Nov 2007, 21:39
Quelques secondes plus tard, deux figures sont apparues au bord du toit. Quoiqu'il n'y ait eu rien eu de bizarre au sujet de leur manière de marcher, elle a instinctivement su qu'ils n'étaient pas des humains. Ils ont semblé être extrêmement grands, dans les environs de six des pieds et demi. Ils étaient minces et avaient des bras et des jambes exceptionnellement longs. Bien qu'elle ne pouvait pas distinguer leurs visages, leurs têtes ont semblé être couvertes par des "bonnets de bain bien serrés," semblables à ceux utilisés par les hommes-grenouilles. Le reste de leurs corps a semblé être couvert d'une tunique collante blanche d'une seule pièce.
Apparemment ignorant de sa présence, les deux personnages ont examiné les lieux, regardant d'abord vers la rue au-dessous puis portant leurs regards vers le ciel, comme s'ils cherchaient de quelque chose. Leur comportement est apparu humain, et après quelques minutes ils se sont retirés. Quelques secondes plus tard, l'engin s'est de nouveau élevé et a de nouveau été en vue. Il a lentement dérivé au loin dans la direction du sud, comme s'il se dirigeai vers la rue de Bellechasse.
Secouée, Mme Malboeuf est retournée au lit mais eu du mal à s'endormir. Ce n'est qu'à six heures l'après-midi suivant qu'elle a décidé de raconter son aventure nocturne à fils André, 24 ans. Constatant l'état d'agitation de sa mère, André s'est rendu compte qu'elle devait avoir subi une expérience très traumatique. Il est immédiatement sorti enquêter, d'abord en consultant les voisins, dont aucun n'avait rien vu ni entendu de particulier dans la nuit d'avant. Il lui a semblé que le dessus de toit du bâtiment vide de l'autre côté de la rue serait le prochain endroit le plus logique ou aller. Malheureusement, il n'y avait aucun moyen de l'atteindre de l'intérieur. Il n'a eu d'autre choix que de grimper l'escalier d'évacuation et faire son chemin à travers un vide de 2 mètres de large, en utilisant une échelle comme pont improvisé. Quand il a atteint le dessus de toit il a été effrayé par ce qu'il a vu. Une couche circulaire de glace de 20 pieds de large couvrait une couche mince de neige. Il était évident qu'une certaine forme de la chaleur ait fondu la neige et que ce cercle avait de nouveau gelé plus tard. Cette feuille de glace était flanquée de deux plus petites zones ovales de glace à quelques pieds de distance, vraisemblablement créé par la même source de chaleur. Les couches de glace plus petites ont semblé être plates, tandis que la plus grande étaient visiblement enfoncée au centre, formant un cratère peu profond.
Passionné par cet indice d'un possible atterrissage d'OVNI, André a immédiatement appelé Le Journal de Montréal pour rapporter ce qui s'était produit. Il a également informé le contrôle du trafic aérien à l'Aéroport de Dorval, et a on lui a dit que ses déclarations seraient transmises aux quartiers généraux Canadiens et Américains du Commandement de la Défense Aérienne Nord-Américaine (NORAD) de North Bay, Ontario, et Colorad Springs, Colorado, respectivement. Il a été également informé par le contrôle du trafic aérien de Dorval que trois autres personnes les avaient appelés pour rapporter ce qui était vraisemblablement le même OVNI dérivant au-dessus de la gare de métro voisine de Rosemont, quelques instants après l'observation de Mme Malboeuf. La révélation que ces observations seraient communiquées au personnel de la défense avancée tend à confirmer que, contrairement aux démentis officiels répétés, des autorités militaires canadiennes en collaboration avec des agences des Etats-Unis sont encore activement impliquées dans la surveillance des observations d'OVNIS.
Le lendemain, un samedi, le journaliste photo Gilles Lafrance du Journal de Montréal a interviewé Mme Malboeuf et photographié la trace d'atterrissage. Ce même jour, son fils a appelé la police urbaine de la Communauté de Montréal et deux de leurs officiers sont arrivés en peu de temps pour interviewer Mme Malboeuf et mener une enquête périphérique qu'ils ont décrite comme "officieuse et personnelle."
Après la parution de l'histoire dans l'édition de dimanche de Le Journal de Montréal et du tabloïd hebdomadaire The Sunday Express, les ufologues locaux ont convergé sur les lieux de l'observation. Le premier à arriver était Howard Gontovnick, un ufologue de la région de Laval qui publie le périodique UFO-Canada. Malgré le fait qu'une grande partie des couches de glace avaient été couvertes de neige glissante, il est parvenu à en prendre plusieurs photos couleur. Le lendemain, un lundi, Marc Leduc de UFO-Québec a également rendu visite à Mme Malboeuf, mais en raison d'une grave tempête de neige, a été empêché d'inspecter le dessus de toit. Il est revenu la nuit de mercredi, accompagnée de Wido Hoville d'UFO-Québec, de Howard Gontovnick et de Paul Dubeau, un autre des témoins de l'OVNI du 6 janvier.
Avec André Malboeuf, ils se sont embarqués dans la montée périlleuse jusqu'au toit du bâtiment, où ils ont fait une autre découverte surprenante. Quatre empreintes de pas particulières, commençant au centre de la masse de glace et se dirigeant vers le bord du toit ont pu être vues. Bien que ces impressions aient ressemblé aux marques de talon et d'orteil d'une botte, elles étaient différentes de toutes celles que ces hommes avaient jamais vu avant. D'une part, elles étaient de seulement six pouces de long et seulement 1.7 pouce de large, de ce fait excluant la possibilité qu'elles avaient été faites par un adulte. En outre, en raison de la difficulté extrême pour atteindre le dessus de toit et la largeur étroite des traces, la possibilité qu'elles pourraient appartenir à un enfant pouvait être exclue. A la différence de la structure d'un pied ordinaire, la courbure de ces impressions était nettement renforcée vers l'intérieur.
Le rapport entre ces empreintes de pas étranges et ce qui avait causé la fonte de la neige en une trace circulaire est indubitable. Les traces incorporées dans la couche gelée ont clairement suggéré qu'elles devaient avoir été produites tandis que la surface était toujours dans un état fondu. Qu'est-ce qui avait fait fondre la neige? La trace de glace circulaire ne pouvait pas avoir été créés par un adoucissement de de la météo. Selon les enregistrements du Bureau de Météo de Dorval, la température était restée bien au-dessous de zéro pendant le mois précédant l'observation nocturne de Mme Malboeuf. Une autre possibilité proposée était que la source de chaleur était venue du bâtiment. Cependant, la couche mince de neige non fondue en-dessous de la pièce de glace éliminait manière concluante cette théorie.
Il a donc été clair que les surfaces de glace avaient été produites par une source extérieure de chaleur à partir d'un objet aéroporté. Le fait qu'aucune trace de train d'atterrissage n'a été trouvée dans la trace circulaire de glace a indiqué que l'engin n'avait pas réellement atterri sur le toit, mais avait du planer au-dessus. Par l'emplacement des empreintes de pas, il s'avérait que les occupants avaient débarqué du dessous de l'engin et avaient marché vers le bord du toit.
En analyse finale, je crois que nous pouvons également éliminer la possibilité d'un canular. Pour reproduire le cercle, le farceur aurait dû utiliser un engin silencieux et aéroporté capable de produire une émission uniforme de chaleur de 20 pouces de large. A ma connaissance, aucun un tel engin n'existe. Quant aux empreintes de pas, le farceur aurait dû engager un enfant de 6 ans avec un pied gravement estropié causant des traces particulièrement adaptées. Il aurait alors dû soulever son jeune complice du toit du bâtiment tandis que "l'engin du miracle" exécutait son tour "d'été instantané". Et ayant fait cela, il aurait dû convaincre Mme Malboeuf de donner de la publicité à l'histoire fabriquée. Sans gain financier ou de publicité apparent pour l'une ou l'autre partie, la théorie de canular en devient d'autant plus risible.
En fin de compte, nous restons avec des évidences physiques qui confirment l'affirmation de Mme Malboeuf que deux humanoïdes avaient débarqué d'une engin sphérique sur le dessus de toit de la maison vide de l'autre côté de sa rue.
[Ref. ar1:] ALBERT ROSALES:
Albert Rosales indique dans son catalogue qu'à Montréal, Québec, Canada, le 6 janvier 1977 à 01:15 heures du matin, Mme Florida Malboeuf, environ 50 ans, était assise à sa fenêtre sur la rue Casgrain quand elle a vu un objet métallique à fond plat, en forme d'huître, avec une rangée de lumières blanches autour de sa base, arriver du nord et atterrir sur le dessus de toit d'un bâtiment d'appartement de 3 étages de l'autre côté de la rue, à environ 60 pieds d'elle.
Immédiatement, deux personnages sont apparus sur le toit, ils étaient très grandes et minces (plus de 6 pieds), avec de longs bras, portant des vêtements d'une seule pièce blancs avec leurs têtes couvertes de "bonnets de bain " moulants. Ils se sont tenus là à regarder la rue, puis le ciel, ensuite ils sont apparemment revenus à l'objet. A l'instant après qu'ils aient disparu, l'objet est monté du toit d'environ 20 pieds et est parti au loin à l'est.
Son fils André est allé sur le toit en question et a trouvé au-dessus de la glace et neige là une grande croûte de glace de forme elliptique, de 4/5e de pouces de profondeur, et d'environ 18 pieds de diamètre, de toute évidence constituée par la fonte locale de la neige. En relief sur cette plaque et allant vers le façade du bâtiment, il z avait quatre petites empreintes de pas étroites, de seulement 6.5 pouces de long.
Albert Rosales indique que la source est Marc Leduc et Wido Hoville, UFO Québec.
[Ref. dj1:] DONALD JOHNSON:
Donald Johnson indique que le 6 janvier 1977, à 01:15 heure du matin, Mme Florida Malboeuf, d'environ 50 ans, était assise à sa fenêtre sur la rue Casgrain dans la ville de Montréal, Québec quand elle a vu un objet métallique basé plat en forme d'huître avec une rangée de lumières blanches autour de sa base. Il est venu voler depuis le nord et a atterri sur le dessus de toit d'un immeuble à trois étages de l'autre côté de sa rue, à seulement 60 pieds de distance.
Immédiatement deux personnages sont apparus sur le toit, ils étaient de plus de six pieds de grand et minces, avec de longs bras, et ils portaient des uniformes d'une seule pièce blancs avec leurs têtes couvertes de "bonnets de bain" serrés. Ils se sont tenus là en regardant la rue, puis au ciel, ensuite ils sont apparemment revenus à l'objet.
Un moment plus tard ils ont disparu, et l'OVNI s'est élevé du toit d'environ 20 pieds, et a ensuite volé au loin vers l'est.
Son fils André a fait un tour sur le toit en question et a trouvé là une grande croûte de glace de forme elliptique, de 0.8 pouces d'épaisseur, et d'environ 18 pieds de diamètre qui était sur la neige, de toute évidence constituée par une fonte locale de la neige. En relief sur cette plaque et en allant vers la façade du bâtiment, il y avait quatre petites empreintes de pas étroites de seulement 6.5 pouces de long.
Donald Johnson indique que la source est David F. Webb et Ted Bloecher, HUMCAT: Catalogue of Humanoid Reports, cas 1977-01, citant Marc Leduc et Wido Hoville, UFO Quebec.
http://ufologie.net/indexf.htm
Apparemment ignorant de sa présence, les deux personnages ont examiné les lieux, regardant d'abord vers la rue au-dessous puis portant leurs regards vers le ciel, comme s'ils cherchaient de quelque chose. Leur comportement est apparu humain, et après quelques minutes ils se sont retirés. Quelques secondes plus tard, l'engin s'est de nouveau élevé et a de nouveau été en vue. Il a lentement dérivé au loin dans la direction du sud, comme s'il se dirigeai vers la rue de Bellechasse.
Secouée, Mme Malboeuf est retournée au lit mais eu du mal à s'endormir. Ce n'est qu'à six heures l'après-midi suivant qu'elle a décidé de raconter son aventure nocturne à fils André, 24 ans. Constatant l'état d'agitation de sa mère, André s'est rendu compte qu'elle devait avoir subi une expérience très traumatique. Il est immédiatement sorti enquêter, d'abord en consultant les voisins, dont aucun n'avait rien vu ni entendu de particulier dans la nuit d'avant. Il lui a semblé que le dessus de toit du bâtiment vide de l'autre côté de la rue serait le prochain endroit le plus logique ou aller. Malheureusement, il n'y avait aucun moyen de l'atteindre de l'intérieur. Il n'a eu d'autre choix que de grimper l'escalier d'évacuation et faire son chemin à travers un vide de 2 mètres de large, en utilisant une échelle comme pont improvisé. Quand il a atteint le dessus de toit il a été effrayé par ce qu'il a vu. Une couche circulaire de glace de 20 pieds de large couvrait une couche mince de neige. Il était évident qu'une certaine forme de la chaleur ait fondu la neige et que ce cercle avait de nouveau gelé plus tard. Cette feuille de glace était flanquée de deux plus petites zones ovales de glace à quelques pieds de distance, vraisemblablement créé par la même source de chaleur. Les couches de glace plus petites ont semblé être plates, tandis que la plus grande étaient visiblement enfoncée au centre, formant un cratère peu profond.
Passionné par cet indice d'un possible atterrissage d'OVNI, André a immédiatement appelé Le Journal de Montréal pour rapporter ce qui s'était produit. Il a également informé le contrôle du trafic aérien à l'Aéroport de Dorval, et a on lui a dit que ses déclarations seraient transmises aux quartiers généraux Canadiens et Américains du Commandement de la Défense Aérienne Nord-Américaine (NORAD) de North Bay, Ontario, et Colorad Springs, Colorado, respectivement. Il a été également informé par le contrôle du trafic aérien de Dorval que trois autres personnes les avaient appelés pour rapporter ce qui était vraisemblablement le même OVNI dérivant au-dessus de la gare de métro voisine de Rosemont, quelques instants après l'observation de Mme Malboeuf. La révélation que ces observations seraient communiquées au personnel de la défense avancée tend à confirmer que, contrairement aux démentis officiels répétés, des autorités militaires canadiennes en collaboration avec des agences des Etats-Unis sont encore activement impliquées dans la surveillance des observations d'OVNIS.
Le lendemain, un samedi, le journaliste photo Gilles Lafrance du Journal de Montréal a interviewé Mme Malboeuf et photographié la trace d'atterrissage. Ce même jour, son fils a appelé la police urbaine de la Communauté de Montréal et deux de leurs officiers sont arrivés en peu de temps pour interviewer Mme Malboeuf et mener une enquête périphérique qu'ils ont décrite comme "officieuse et personnelle."
Après la parution de l'histoire dans l'édition de dimanche de Le Journal de Montréal et du tabloïd hebdomadaire The Sunday Express, les ufologues locaux ont convergé sur les lieux de l'observation. Le premier à arriver était Howard Gontovnick, un ufologue de la région de Laval qui publie le périodique UFO-Canada. Malgré le fait qu'une grande partie des couches de glace avaient été couvertes de neige glissante, il est parvenu à en prendre plusieurs photos couleur. Le lendemain, un lundi, Marc Leduc de UFO-Québec a également rendu visite à Mme Malboeuf, mais en raison d'une grave tempête de neige, a été empêché d'inspecter le dessus de toit. Il est revenu la nuit de mercredi, accompagnée de Wido Hoville d'UFO-Québec, de Howard Gontovnick et de Paul Dubeau, un autre des témoins de l'OVNI du 6 janvier.
Avec André Malboeuf, ils se sont embarqués dans la montée périlleuse jusqu'au toit du bâtiment, où ils ont fait une autre découverte surprenante. Quatre empreintes de pas particulières, commençant au centre de la masse de glace et se dirigeant vers le bord du toit ont pu être vues. Bien que ces impressions aient ressemblé aux marques de talon et d'orteil d'une botte, elles étaient différentes de toutes celles que ces hommes avaient jamais vu avant. D'une part, elles étaient de seulement six pouces de long et seulement 1.7 pouce de large, de ce fait excluant la possibilité qu'elles avaient été faites par un adulte. En outre, en raison de la difficulté extrême pour atteindre le dessus de toit et la largeur étroite des traces, la possibilité qu'elles pourraient appartenir à un enfant pouvait être exclue. A la différence de la structure d'un pied ordinaire, la courbure de ces impressions était nettement renforcée vers l'intérieur.
Le rapport entre ces empreintes de pas étranges et ce qui avait causé la fonte de la neige en une trace circulaire est indubitable. Les traces incorporées dans la couche gelée ont clairement suggéré qu'elles devaient avoir été produites tandis que la surface était toujours dans un état fondu. Qu'est-ce qui avait fait fondre la neige? La trace de glace circulaire ne pouvait pas avoir été créés par un adoucissement de de la météo. Selon les enregistrements du Bureau de Météo de Dorval, la température était restée bien au-dessous de zéro pendant le mois précédant l'observation nocturne de Mme Malboeuf. Une autre possibilité proposée était que la source de chaleur était venue du bâtiment. Cependant, la couche mince de neige non fondue en-dessous de la pièce de glace éliminait manière concluante cette théorie.
Il a donc été clair que les surfaces de glace avaient été produites par une source extérieure de chaleur à partir d'un objet aéroporté. Le fait qu'aucune trace de train d'atterrissage n'a été trouvée dans la trace circulaire de glace a indiqué que l'engin n'avait pas réellement atterri sur le toit, mais avait du planer au-dessus. Par l'emplacement des empreintes de pas, il s'avérait que les occupants avaient débarqué du dessous de l'engin et avaient marché vers le bord du toit.
En analyse finale, je crois que nous pouvons également éliminer la possibilité d'un canular. Pour reproduire le cercle, le farceur aurait dû utiliser un engin silencieux et aéroporté capable de produire une émission uniforme de chaleur de 20 pouces de large. A ma connaissance, aucun un tel engin n'existe. Quant aux empreintes de pas, le farceur aurait dû engager un enfant de 6 ans avec un pied gravement estropié causant des traces particulièrement adaptées. Il aurait alors dû soulever son jeune complice du toit du bâtiment tandis que "l'engin du miracle" exécutait son tour "d'été instantané". Et ayant fait cela, il aurait dû convaincre Mme Malboeuf de donner de la publicité à l'histoire fabriquée. Sans gain financier ou de publicité apparent pour l'une ou l'autre partie, la théorie de canular en devient d'autant plus risible.
En fin de compte, nous restons avec des évidences physiques qui confirment l'affirmation de Mme Malboeuf que deux humanoïdes avaient débarqué d'une engin sphérique sur le dessus de toit de la maison vide de l'autre côté de sa rue.
[Ref. ar1:] ALBERT ROSALES:
Albert Rosales indique dans son catalogue qu'à Montréal, Québec, Canada, le 6 janvier 1977 à 01:15 heures du matin, Mme Florida Malboeuf, environ 50 ans, était assise à sa fenêtre sur la rue Casgrain quand elle a vu un objet métallique à fond plat, en forme d'huître, avec une rangée de lumières blanches autour de sa base, arriver du nord et atterrir sur le dessus de toit d'un bâtiment d'appartement de 3 étages de l'autre côté de la rue, à environ 60 pieds d'elle.
Immédiatement, deux personnages sont apparus sur le toit, ils étaient très grandes et minces (plus de 6 pieds), avec de longs bras, portant des vêtements d'une seule pièce blancs avec leurs têtes couvertes de "bonnets de bain " moulants. Ils se sont tenus là à regarder la rue, puis le ciel, ensuite ils sont apparemment revenus à l'objet. A l'instant après qu'ils aient disparu, l'objet est monté du toit d'environ 20 pieds et est parti au loin à l'est.
Son fils André est allé sur le toit en question et a trouvé au-dessus de la glace et neige là une grande croûte de glace de forme elliptique, de 4/5e de pouces de profondeur, et d'environ 18 pieds de diamètre, de toute évidence constituée par la fonte locale de la neige. En relief sur cette plaque et allant vers le façade du bâtiment, il z avait quatre petites empreintes de pas étroites, de seulement 6.5 pouces de long.
Albert Rosales indique que la source est Marc Leduc et Wido Hoville, UFO Québec.
[Ref. dj1:] DONALD JOHNSON:
Donald Johnson indique que le 6 janvier 1977, à 01:15 heure du matin, Mme Florida Malboeuf, d'environ 50 ans, était assise à sa fenêtre sur la rue Casgrain dans la ville de Montréal, Québec quand elle a vu un objet métallique basé plat en forme d'huître avec une rangée de lumières blanches autour de sa base. Il est venu voler depuis le nord et a atterri sur le dessus de toit d'un immeuble à trois étages de l'autre côté de sa rue, à seulement 60 pieds de distance.
Immédiatement deux personnages sont apparus sur le toit, ils étaient de plus de six pieds de grand et minces, avec de longs bras, et ils portaient des uniformes d'une seule pièce blancs avec leurs têtes couvertes de "bonnets de bain" serrés. Ils se sont tenus là en regardant la rue, puis au ciel, ensuite ils sont apparemment revenus à l'objet.
Un moment plus tard ils ont disparu, et l'OVNI s'est élevé du toit d'environ 20 pieds, et a ensuite volé au loin vers l'est.
Son fils André a fait un tour sur le toit en question et a trouvé là une grande croûte de glace de forme elliptique, de 0.8 pouces d'épaisseur, et d'environ 18 pieds de diamètre qui était sur la neige, de toute évidence constituée par une fonte locale de la neige. En relief sur cette plaque et en allant vers la façade du bâtiment, il y avait quatre petites empreintes de pas étroites de seulement 6.5 pouces de long.
Donald Johnson indique que la source est David F. Webb et Ted Bloecher, HUMCAT: Catalogue of Humanoid Reports, cas 1977-01, citant Marc Leduc et Wido Hoville, UFO Quebec.
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