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Les ovnis dans la presse en 1977
Ven 30 Nov 2007, 21:50
RR3 A MONTREAL, CANADA, 1977:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Petit Journal, de Montreal, Canada, semaine du 15 au 21 janvier 1977.
Mme Florida Malboeuf n'en dort plus!
ELLE A VU UNE SOUCOUPE VOLANTE ET DEUX "ÊTRES DE L'ESPACE" SUR LE TOIT DE LA MAISON D'EN FACE
Mme Florida Malboeuf, 58 ans, du 6420 de la rue Casgrain, à Montréal est profondément traumatisée. On le serait à moins. En ce jeudi du 6 janvier dernier, plutôt insomniaque, Mme Malboeuf est assise à sa fenêtre. Il est 1 heure et 30 du matin. Tout à coup que voit-elle? Une sorte de grande assiette ou plutôt de grosse huitre de 15 pieds de diamètre en train d'atterrir sur le toit d'une des maisons d'en face (plus précisément au 6399, de la rue Casgrain, angle Burelle).
Elle se frotte les yeux, se pince pour voir si elle ne rêve pas. Elle doit pourtant se rendre à l'évidence: elle voit bien ce qu'elle voit. Et ce n'est pas tout. De cet appareil gris argent muni de phare à sa base, de cette soucoupe volante (car il n'y a plus de doute que c'en est une), Mme Malboeuf voit sortir deux êtres étranges de 6 pieds et 5 pouces de taille, vêtus d'un costume de couleur pâle, sans ceinture et très serré. Ces "êtres de l'espace" ne semblent pas peser plus de 25 livres chacun tant leur démarche est légère. Ils s'avancent vers le bord du toit, regardent dans la rue, puis vers le ciel. Ils réintègrent maintenant leur appareil et disparaissent comme ils sont venus. Le tout, de l'atterrissage au décollage n'a pas duré une minute.
"Je ne m'intéressais pas aux soucoupes volantes", d'expliquer Mme Malboeuf. "Je n'y croyais même pas du tout. Cet évènement m'a tellement bouleversée que j'aurais de beaucoup préféré ne jamais avoir vu ça..."
C'était pourtant à ce qu'on raconte, quelque chose de renversant. On comprend qu'à cette heure-là, le chien d'un voisin se sont mis à hurler, le propriétaire de la bête ne parvenant pas à la calmer. Craignant malgré tout d'avoir été victime d'un mauvais tour, mme Malboeuf hésite à appeler la police. Elle ne s'y résoudra quelques heures plus tard lorsque son fils André, 25 ans, montera sur le toit de la maison qui a reçu cette drôle de visite pour y avoir la surprise de sa vie; la découverte d'un cercle de 15 pieds de diamètre de neige et de glace fondues. Mme Malboeuf a aussi appelé à Dorval où l'on admet avoir vu cette nuit-là, un objet étrange filant, de l'ouest à l'est, dans le ciel de Montréal à la vitesse approximative de 800 milles à l'heure. D'ailleurs, quatre ou cinq autres personnes ont appelé à Dorval pour confirmer le phénomène.
OBSERVATIONS A TOPPENISH, USA:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Toppenish Review, Toppenish, Washington, USA, 26 janvier 1977.
Un jeune de Harrah rapporte un OVNI avec des 'créatures verdâtres'
Par Frances Story
Martha Cantu de Harrah a dit que si son fils lui dit de nouveau un jour de "venir voir," c'est certain qu'elle le fera.
Ce mercredi dernier quand son fils Jose, 9 ans, a réveillé sa mère, agité, à environ 06:30 heure du matin lui demandant de lui expliquer le petit "homme" qu'il a vu à l'extérieur, elle a négligé son histoire et s'est recouchée pour rattraper le sommeil dont elle avait manqué la nuit précédente à cause de son bébé exigeant.
Jose, qui était occupé à préparer son petit déjeuner, ne s'est pas laissé rembarrer tellement facilement.
Il est sorti vérifier de lui-même, et est revenu avec une histoire étonnante.
Il a dit à sa mère qu'il avait vu deux créatures verdâtres d'environ un mètre de haut, qui tournaient sur une base au lieu d'avoir des pieds, et deux engins "métalliques" dans lesquels 2 autres créatures étaient assises.
Il a affirmé qu'un des engins reposait dans l'arrière cour et l'autre sur une partie plate du toit de la maison. Il lui a dit qu'il s'était caché derrière une machine à laver stockée dehors à côté d'un hangar.
De cette position avantageuse, il a dit qu'il a vu les deux créatures rejoindre les deux autres dans les engins. Il a ajouté que les engins étaient brillamment éclairés à l'intérieur, avaient des "escaliers droits" (comme des rampes) et une porte qui s'ouvrait "en deux parties, comme une croix" pour révéler un intérieur qui contenait deux chaises avec des bases très larges. Jose a indiqué que l'engin dans la cour s'est élevé du sol et a disparu dans quelque chose qui a ressemblé à un nuage, à une vapeur ou à une fumée.
Quand elle a entendu l'histoire, la mère de Jose a fait ce que fait n'importe quelle mère dans les mêmes circonstances. Elle l'a envoyé à l'école.
A l'école primaire de Harrah, Jose a répété l'histoire à Diane Gomez, une auxiliaire. "Jose est un garçon sérieux. Il n'est pas du genre à raconter des histoires ou des mensonges. Ce qu'il m'a dit, je l'ai pris très au sérieux," a dit Gomez.
A 10:10, l'heure de la récréation, Gomez et un autre auxiliaire ont accompagné Jose à sa maison. Là, il leur a montré les endroits où il a dit que les deux créatures s'étaient tenus. A un endroit, où Jose a indiqué qu'une des créatures avait pivoté sur sa base, Gomez a déclaré qu'elle a vu deux marques rondes dans le gravier. A un autre endroit, où les créatures se sont prétendument tenues, il y avait deux groupes de trois marques.
Après que Mme Cantu ait parlé aux aides du professeur et qu'ils soient revenus à l'école avec Jose, elle a appelé son voisin, Irene Sanchez, pour qu'elle la rejoigne à sa maison. Sanchez a indiqué qu'ils ont examiné l'arrière cour et ont trouvé dans les hautes herbes une marque circulaire d'environ 10 pieds de diamètre dans laquelle l'herbe au milieu était tourbillonnée, et a également observé les marques que les auxiliaires avaient vues. Le cercle était facilement visible depuis la fenêtre de porte la plus proche de la maison, a dit Gomez, et elle a ajouté que son frère, qui vit là, l'avait vue depuis cette distance. Le cercle était toujours clairement visible quand Mr. Cantu est arrivé à la maison ce soit là, rentrant de son travail, a-t-il dit.
Jeudi après-midi, quand Bill Vogel de Toppenish et de David Akers de Seattle, qui sont affiliés au Center for UFO Studies, ont visité la maison de Cantu, le cercle parfaitement formé et les "traces de pied" étaient encore perceptible. Akers a examiné le champ avec un compteur Geiger et n'a obtenu aucune réaction.
Samedi quand ce journaliste a visité la maison de Cantu seulement un ensemble des marques du "pied" pouvait encore être vu et il restait seulement une trace faible du cercle.
Puisque la famille de Cantu est plus à l'aise en langue espagnole, ce journaliste est venu en compagnie d'un traducteur sceptique. Après qu'il ait interrogé Jose, qui a répondu à ses questions sérieusement et avec respect mais a demandé à ce qu'on le laisse retourner à ses jeux, le sceptique a conclu que "je pense qu'il a vu que ce qu'il a dit avoir vu."
Vogel a indiqué que lui et Akers ont pensé que Jose a "certainement" eu une expérience avec un OVNI.
Si c'est le cas, Jose est en bonne compagnie.
Barbara Brost, copropriétaire avec son mari Earl du café de Huba Huba à Toppenish, a eu une expérience semblable il y a 20 ans en Idaho méridional sur un ranch à l'est de Blackfoot.
Un matin d'été à environ 6 heures, Barbara et son oncle sellaient des chevaux et, tandis qu'ils sortaient de la grange par une porte arrière, ils ont repéré un objet "blanc grisâtres et aussi grand qu'une qu'un fourgon" à environ un demi mile de distance. Stupéfaits, ils l'ont observé pendant environ une minute. La tante de Barbara et Earl se sont précipités de la maison quand les deux les ont appelé, mais Earl a trop tardé pour voir l'objet en forme de cigare qui a semblé se soulever de la terre avec un bruit "comme un déplacement d'air," a dit Barbara. Il a disparu tellement rapidement qu'elle ne pouvait pas dire quelle manière il a disparue, a-t-elle dit.
"Quand je vois ces fusées décoller maintenant, à la TV, je me dis juste 'cette chose était différente!'"
Un autre résidant de Toppenish, un homme qui préfère ne pas être identifié, a fait une observation semblable il y a huit ans au-dessus d'un champ de maïs à Toppenish. L'objet que lui, son épouse, son fils et sa fille ont vu d'une distance d'un quart de mile ou moins depuis leur maison "n'était pas grand. Il était énorme."
Une fois demandé de le comparer à la taille d'un wagon, il a estimé qu'il serait de la taille de trois wagons de chemin de fer. Il a décrit l'objet, qui était au-dessus de la terre et rayonnait périodiquement une lumière tellement brillante qu'il ne pouvait pas la regarder sans loucher, à un employé de Boeing qui a fait de son mieux pour le convaincre qu'il n'avait pas vu l'objet et que, s'il l'avait vu, alors c'était un hélicoptère. "Je sais ce que j'ai vu," fut sa réponse à cela.
A l'époque, il avait un appareil photo polaroïd chargé dans sa maison mais il n'y a même pas pensé, a-t-il dit. L'incident lui a "dressé les cheveux sur la tête," a-t-il dit.
Une observation plus récente s'est produite vers la fin de l'automne de 1958 ou de 1959, à environ 21 heures, quand un habitant de Toppenish, Ron Gardner, vivait dans un secteur rural.
Gardner avait environ 14 ans alors. Il a dit qu'il regardait la télévision dans le long et étroit living room de la famille avec derrière lui une fenêtre. Une brillante lumière bleuâtre-violette a rempli la pièce, a-t-il dit. D'abord, ila pensé que c'était "une lumière d'arc électrique."
Se retournant vers la fenêtre, il a vu la cour baignée dans cette lumière violacée et un objet passant à environ 10 pieds de la fenêtre.
L'objet, a-t-il dit, était à environ 3 pieds au-dessus du sol, et avait environ sept pieds "d'effilé à vraiment mince au fond," baignant dans la lumière et ses quatre derniers pieds de "quoi que cela ait été" cachés derrière un bâtiment.
Gardner a dit que son père l'avait accusé de regarder trop de bandes dessinées de Flash Gordon et il n'en a plus jamais parlé à quiconque, mais "je sais que ce que j'ai vu et je n'ai plus jamais vu quoi que ce soit de ce genre depuis."
Vogel, qui semble être l'homme de Toppenish à qui tous les rapports d'OVNIS sont présentés, a indiqué qu'il y a eu beaucoup de rapports de lumières brillantes au-dessus de la région de Harrah dans les six à huit mois passés.
Il a dit que des rapports d'une lumière brillante au-dessus de Harrah ont été rédigés par beaucoup de Cibistes dans la nuit de mardi avant que Jose Cantu ait prétendu avoir vu les hommes et les engins.
Une lumière lumineuse a été également repérée au-dessus de l'arête de Toppenish par Mme Stan Johnson de Toppenish, qui était femme de l'année de Toppenish il y a trois ans. Elle a partagé l'expérience avec un ami, Judi Farquharson de Toppenish. Elles ont rapporté les lumières à la police de Toppenish, qui a informé Vogel, qui a observé la lumière jusqu'à ce qu'elle ait disparu au-dessus de l'Espace des Syndicats.
Les Johnson, qui sont des fermiers de ce secteur, ont souvent vu la lumière, et essayent toujours d'expliquer comment trois trous, d'environ quatre pieds de profond et six pieds de large, sont apparus tous en rangée dans un champ juste au sud de Harrah dans lequel ils cultivaient des betteraves à sucre.
Ceux qui ont vu les lumières et les objets mystérieux sont tous d'accord qu'ils "savent ce qu'ils ont vu" mais ils ne s'attendent pas à en convaincre qui que ce soit.
L'OVNI DU PENSIONNAT, FRANCE 1977:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Provençal, France, pages 1 et 5, le 5 février 1977.
REGION
Soucoupe volante dans le ciel d'Eyrargues
Huit jeunes filles, interne dans un pensionnat à Eyrargues (Bouches-du-Rhône) affirment avoir aperçu, mardi soir entre 23 h. 30 et minuit, par la fenêtre de leur chambre, un objet volant non identifié (OVNI). D'après leurs déclarations, l'objet, qui avait la forme d'une demi-sphère, s'est approché jusqu'à 20 mètres du sol avant de repartir. La semaine dernière, des habitants d'Eyrargues avaient déjà affirmé avoir vu passer un OVNI.
Un O.V.N.I. dans le ciel d'Eyragues
Dans la nuit du 1er au 2 février entre 23 h. 30 et minuit, au quartier Beauchamp à Eyragues [Eyrargues], huit jeunes filles âgées de 14 à 16 ans ont aperçu ce qui pourrait être un OVNI. Ce phénomène peut être comparé à une demi-sphère d'un diamètre de 50 à 70 cms, avec une circonférence très lumineuse et colorée. Cet OVNI se trouvait à environ 20 m d'altitude au-dessus d'un bâtiment. Des techniciens de la Société vauclusienne d'Etude de phénomènes spatiaux du Pontert se sont rendus sur les lieux hier en compagnie des gendarmes de Chateaurenard. Divers prélèvements ont été effectués sur des branches qui semblaient touchées, ces prélèvements seront analysés à Toulon et on en saura peut-être plus alors sur ce phénomène.
L'OVNI DU PENSIONNAT, 1 FEVRIER 1978:
Ces documents ont été reproduits dans la littérature ufologique grand public depuis longtemps disponible.
Groupement: Bouches-du-Rhône.
Compagnie: Arles.
L'an 1977, le 3 février.
Préambule.
Le 3 février 1977 à 9 heures, au bureau de notre brigade, nous sommes avisés téléphoniquement par. M. [Nom], gardien de police municipale à [Ville] (13) de ce que six jeunes filles, pensionnaires à la Maison familiale [Nom] sur la commune, ont été témoins des évolutions d'un objet volant non identifié.
Le même jour, à 16 h 30, nous procédons aux constatations suivantes:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Petit Journal, de Montreal, Canada, semaine du 15 au 21 janvier 1977.
Mme Florida Malboeuf n'en dort plus!
ELLE A VU UNE SOUCOUPE VOLANTE ET DEUX "ÊTRES DE L'ESPACE" SUR LE TOIT DE LA MAISON D'EN FACE
Mme Florida Malboeuf, 58 ans, du 6420 de la rue Casgrain, à Montréal est profondément traumatisée. On le serait à moins. En ce jeudi du 6 janvier dernier, plutôt insomniaque, Mme Malboeuf est assise à sa fenêtre. Il est 1 heure et 30 du matin. Tout à coup que voit-elle? Une sorte de grande assiette ou plutôt de grosse huitre de 15 pieds de diamètre en train d'atterrir sur le toit d'une des maisons d'en face (plus précisément au 6399, de la rue Casgrain, angle Burelle).
Elle se frotte les yeux, se pince pour voir si elle ne rêve pas. Elle doit pourtant se rendre à l'évidence: elle voit bien ce qu'elle voit. Et ce n'est pas tout. De cet appareil gris argent muni de phare à sa base, de cette soucoupe volante (car il n'y a plus de doute que c'en est une), Mme Malboeuf voit sortir deux êtres étranges de 6 pieds et 5 pouces de taille, vêtus d'un costume de couleur pâle, sans ceinture et très serré. Ces "êtres de l'espace" ne semblent pas peser plus de 25 livres chacun tant leur démarche est légère. Ils s'avancent vers le bord du toit, regardent dans la rue, puis vers le ciel. Ils réintègrent maintenant leur appareil et disparaissent comme ils sont venus. Le tout, de l'atterrissage au décollage n'a pas duré une minute.
"Je ne m'intéressais pas aux soucoupes volantes", d'expliquer Mme Malboeuf. "Je n'y croyais même pas du tout. Cet évènement m'a tellement bouleversée que j'aurais de beaucoup préféré ne jamais avoir vu ça..."
C'était pourtant à ce qu'on raconte, quelque chose de renversant. On comprend qu'à cette heure-là, le chien d'un voisin se sont mis à hurler, le propriétaire de la bête ne parvenant pas à la calmer. Craignant malgré tout d'avoir été victime d'un mauvais tour, mme Malboeuf hésite à appeler la police. Elle ne s'y résoudra quelques heures plus tard lorsque son fils André, 25 ans, montera sur le toit de la maison qui a reçu cette drôle de visite pour y avoir la surprise de sa vie; la découverte d'un cercle de 15 pieds de diamètre de neige et de glace fondues. Mme Malboeuf a aussi appelé à Dorval où l'on admet avoir vu cette nuit-là, un objet étrange filant, de l'ouest à l'est, dans le ciel de Montréal à la vitesse approximative de 800 milles à l'heure. D'ailleurs, quatre ou cinq autres personnes ont appelé à Dorval pour confirmer le phénomène.
OBSERVATIONS A TOPPENISH, USA:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Toppenish Review, Toppenish, Washington, USA, 26 janvier 1977.
Un jeune de Harrah rapporte un OVNI avec des 'créatures verdâtres'
Par Frances Story
Martha Cantu de Harrah a dit que si son fils lui dit de nouveau un jour de "venir voir," c'est certain qu'elle le fera.
Ce mercredi dernier quand son fils Jose, 9 ans, a réveillé sa mère, agité, à environ 06:30 heure du matin lui demandant de lui expliquer le petit "homme" qu'il a vu à l'extérieur, elle a négligé son histoire et s'est recouchée pour rattraper le sommeil dont elle avait manqué la nuit précédente à cause de son bébé exigeant.
Jose, qui était occupé à préparer son petit déjeuner, ne s'est pas laissé rembarrer tellement facilement.
Il est sorti vérifier de lui-même, et est revenu avec une histoire étonnante.
Il a dit à sa mère qu'il avait vu deux créatures verdâtres d'environ un mètre de haut, qui tournaient sur une base au lieu d'avoir des pieds, et deux engins "métalliques" dans lesquels 2 autres créatures étaient assises.
Il a affirmé qu'un des engins reposait dans l'arrière cour et l'autre sur une partie plate du toit de la maison. Il lui a dit qu'il s'était caché derrière une machine à laver stockée dehors à côté d'un hangar.
De cette position avantageuse, il a dit qu'il a vu les deux créatures rejoindre les deux autres dans les engins. Il a ajouté que les engins étaient brillamment éclairés à l'intérieur, avaient des "escaliers droits" (comme des rampes) et une porte qui s'ouvrait "en deux parties, comme une croix" pour révéler un intérieur qui contenait deux chaises avec des bases très larges. Jose a indiqué que l'engin dans la cour s'est élevé du sol et a disparu dans quelque chose qui a ressemblé à un nuage, à une vapeur ou à une fumée.
Quand elle a entendu l'histoire, la mère de Jose a fait ce que fait n'importe quelle mère dans les mêmes circonstances. Elle l'a envoyé à l'école.
A l'école primaire de Harrah, Jose a répété l'histoire à Diane Gomez, une auxiliaire. "Jose est un garçon sérieux. Il n'est pas du genre à raconter des histoires ou des mensonges. Ce qu'il m'a dit, je l'ai pris très au sérieux," a dit Gomez.
A 10:10, l'heure de la récréation, Gomez et un autre auxiliaire ont accompagné Jose à sa maison. Là, il leur a montré les endroits où il a dit que les deux créatures s'étaient tenus. A un endroit, où Jose a indiqué qu'une des créatures avait pivoté sur sa base, Gomez a déclaré qu'elle a vu deux marques rondes dans le gravier. A un autre endroit, où les créatures se sont prétendument tenues, il y avait deux groupes de trois marques.
Après que Mme Cantu ait parlé aux aides du professeur et qu'ils soient revenus à l'école avec Jose, elle a appelé son voisin, Irene Sanchez, pour qu'elle la rejoigne à sa maison. Sanchez a indiqué qu'ils ont examiné l'arrière cour et ont trouvé dans les hautes herbes une marque circulaire d'environ 10 pieds de diamètre dans laquelle l'herbe au milieu était tourbillonnée, et a également observé les marques que les auxiliaires avaient vues. Le cercle était facilement visible depuis la fenêtre de porte la plus proche de la maison, a dit Gomez, et elle a ajouté que son frère, qui vit là, l'avait vue depuis cette distance. Le cercle était toujours clairement visible quand Mr. Cantu est arrivé à la maison ce soit là, rentrant de son travail, a-t-il dit.
Jeudi après-midi, quand Bill Vogel de Toppenish et de David Akers de Seattle, qui sont affiliés au Center for UFO Studies, ont visité la maison de Cantu, le cercle parfaitement formé et les "traces de pied" étaient encore perceptible. Akers a examiné le champ avec un compteur Geiger et n'a obtenu aucune réaction.
Samedi quand ce journaliste a visité la maison de Cantu seulement un ensemble des marques du "pied" pouvait encore être vu et il restait seulement une trace faible du cercle.
Puisque la famille de Cantu est plus à l'aise en langue espagnole, ce journaliste est venu en compagnie d'un traducteur sceptique. Après qu'il ait interrogé Jose, qui a répondu à ses questions sérieusement et avec respect mais a demandé à ce qu'on le laisse retourner à ses jeux, le sceptique a conclu que "je pense qu'il a vu que ce qu'il a dit avoir vu."
Vogel a indiqué que lui et Akers ont pensé que Jose a "certainement" eu une expérience avec un OVNI.
Si c'est le cas, Jose est en bonne compagnie.
Barbara Brost, copropriétaire avec son mari Earl du café de Huba Huba à Toppenish, a eu une expérience semblable il y a 20 ans en Idaho méridional sur un ranch à l'est de Blackfoot.
Un matin d'été à environ 6 heures, Barbara et son oncle sellaient des chevaux et, tandis qu'ils sortaient de la grange par une porte arrière, ils ont repéré un objet "blanc grisâtres et aussi grand qu'une qu'un fourgon" à environ un demi mile de distance. Stupéfaits, ils l'ont observé pendant environ une minute. La tante de Barbara et Earl se sont précipités de la maison quand les deux les ont appelé, mais Earl a trop tardé pour voir l'objet en forme de cigare qui a semblé se soulever de la terre avec un bruit "comme un déplacement d'air," a dit Barbara. Il a disparu tellement rapidement qu'elle ne pouvait pas dire quelle manière il a disparue, a-t-elle dit.
"Quand je vois ces fusées décoller maintenant, à la TV, je me dis juste 'cette chose était différente!'"
Un autre résidant de Toppenish, un homme qui préfère ne pas être identifié, a fait une observation semblable il y a huit ans au-dessus d'un champ de maïs à Toppenish. L'objet que lui, son épouse, son fils et sa fille ont vu d'une distance d'un quart de mile ou moins depuis leur maison "n'était pas grand. Il était énorme."
Une fois demandé de le comparer à la taille d'un wagon, il a estimé qu'il serait de la taille de trois wagons de chemin de fer. Il a décrit l'objet, qui était au-dessus de la terre et rayonnait périodiquement une lumière tellement brillante qu'il ne pouvait pas la regarder sans loucher, à un employé de Boeing qui a fait de son mieux pour le convaincre qu'il n'avait pas vu l'objet et que, s'il l'avait vu, alors c'était un hélicoptère. "Je sais ce que j'ai vu," fut sa réponse à cela.
A l'époque, il avait un appareil photo polaroïd chargé dans sa maison mais il n'y a même pas pensé, a-t-il dit. L'incident lui a "dressé les cheveux sur la tête," a-t-il dit.
Une observation plus récente s'est produite vers la fin de l'automne de 1958 ou de 1959, à environ 21 heures, quand un habitant de Toppenish, Ron Gardner, vivait dans un secteur rural.
Gardner avait environ 14 ans alors. Il a dit qu'il regardait la télévision dans le long et étroit living room de la famille avec derrière lui une fenêtre. Une brillante lumière bleuâtre-violette a rempli la pièce, a-t-il dit. D'abord, ila pensé que c'était "une lumière d'arc électrique."
Se retournant vers la fenêtre, il a vu la cour baignée dans cette lumière violacée et un objet passant à environ 10 pieds de la fenêtre.
L'objet, a-t-il dit, était à environ 3 pieds au-dessus du sol, et avait environ sept pieds "d'effilé à vraiment mince au fond," baignant dans la lumière et ses quatre derniers pieds de "quoi que cela ait été" cachés derrière un bâtiment.
Gardner a dit que son père l'avait accusé de regarder trop de bandes dessinées de Flash Gordon et il n'en a plus jamais parlé à quiconque, mais "je sais que ce que j'ai vu et je n'ai plus jamais vu quoi que ce soit de ce genre depuis."
Vogel, qui semble être l'homme de Toppenish à qui tous les rapports d'OVNIS sont présentés, a indiqué qu'il y a eu beaucoup de rapports de lumières brillantes au-dessus de la région de Harrah dans les six à huit mois passés.
Il a dit que des rapports d'une lumière brillante au-dessus de Harrah ont été rédigés par beaucoup de Cibistes dans la nuit de mardi avant que Jose Cantu ait prétendu avoir vu les hommes et les engins.
Une lumière lumineuse a été également repérée au-dessus de l'arête de Toppenish par Mme Stan Johnson de Toppenish, qui était femme de l'année de Toppenish il y a trois ans. Elle a partagé l'expérience avec un ami, Judi Farquharson de Toppenish. Elles ont rapporté les lumières à la police de Toppenish, qui a informé Vogel, qui a observé la lumière jusqu'à ce qu'elle ait disparu au-dessus de l'Espace des Syndicats.
Les Johnson, qui sont des fermiers de ce secteur, ont souvent vu la lumière, et essayent toujours d'expliquer comment trois trous, d'environ quatre pieds de profond et six pieds de large, sont apparus tous en rangée dans un champ juste au sud de Harrah dans lequel ils cultivaient des betteraves à sucre.
Ceux qui ont vu les lumières et les objets mystérieux sont tous d'accord qu'ils "savent ce qu'ils ont vu" mais ils ne s'attendent pas à en convaincre qui que ce soit.
L'OVNI DU PENSIONNAT, FRANCE 1977:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Provençal, France, pages 1 et 5, le 5 février 1977.
REGION
Soucoupe volante dans le ciel d'Eyrargues
Huit jeunes filles, interne dans un pensionnat à Eyrargues (Bouches-du-Rhône) affirment avoir aperçu, mardi soir entre 23 h. 30 et minuit, par la fenêtre de leur chambre, un objet volant non identifié (OVNI). D'après leurs déclarations, l'objet, qui avait la forme d'une demi-sphère, s'est approché jusqu'à 20 mètres du sol avant de repartir. La semaine dernière, des habitants d'Eyrargues avaient déjà affirmé avoir vu passer un OVNI.
Un O.V.N.I. dans le ciel d'Eyragues
Dans la nuit du 1er au 2 février entre 23 h. 30 et minuit, au quartier Beauchamp à Eyragues [Eyrargues], huit jeunes filles âgées de 14 à 16 ans ont aperçu ce qui pourrait être un OVNI. Ce phénomène peut être comparé à une demi-sphère d'un diamètre de 50 à 70 cms, avec une circonférence très lumineuse et colorée. Cet OVNI se trouvait à environ 20 m d'altitude au-dessus d'un bâtiment. Des techniciens de la Société vauclusienne d'Etude de phénomènes spatiaux du Pontert se sont rendus sur les lieux hier en compagnie des gendarmes de Chateaurenard. Divers prélèvements ont été effectués sur des branches qui semblaient touchées, ces prélèvements seront analysés à Toulon et on en saura peut-être plus alors sur ce phénomène.
L'OVNI DU PENSIONNAT, 1 FEVRIER 1978:
Ces documents ont été reproduits dans la littérature ufologique grand public depuis longtemps disponible.
Groupement: Bouches-du-Rhône.
Compagnie: Arles.
L'an 1977, le 3 février.
Préambule.
Le 3 février 1977 à 9 heures, au bureau de notre brigade, nous sommes avisés téléphoniquement par. M. [Nom], gardien de police municipale à [Ville] (13) de ce que six jeunes filles, pensionnaires à la Maison familiale [Nom] sur la commune, ont été témoins des évolutions d'un objet volant non identifié.
Le même jour, à 16 h 30, nous procédons aux constatations suivantes:
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Re: Les ovnis dans la presse en 1977
Ven 30 Nov 2007, 21:50
1. Etat des lieux:
La maison familiale [-], où le phénomène a été observé, est situé sur la commune d'[-] (13) à deux kilomètres environ [direction] du centre de la localité.
Ces lieux sont isolés, l'habitation la plus proche se tient à 300 mètres environ.
II. Constatations:
A notre arrivée sur les lieux, et après recueil des premiers éléments, nous inspectons minutieusement le parc au-dessus duquel l'engin aurait évolué. Aucune trace suspecte n'a été relevée.
Au dire des témoins, l'engin aurait évolué à proximité d'un verger situé à 100 mètres au sud du bâtiment. En ce lieu, nous avons pu constater le bris d'une quinzaine de branches sur plusieurs pommiers et dans un rayon de 10 mètres environ. L'origine de ces branches brisées demeure inconnue. La cause la plus vraisemblable semble être due à un jeu d'enfants. Toutefois ce verger est formellement interdit aux pensionnaires de [-] sous peine de renvoi.
Une vitre brisée a également été examinée, sans pouvoir apporter une origine sur cet incident. Le bris de cette vitre a pu être provoqué par l'affolement des jeunes filles.
Aucune autre constatation n'a pu être effectuée.
III. Mesures prises:
Les vérifications effectuées à l'aide de la boussole sur un tonneau en fer situé à la verticale même de l'endroit où évoluait l'engin, ne nous ont pas permis d'établir si une certaine rémanence subsistait.
Les mêmes opérations ont été effectuées sur un poteau métallique situé à une centaine de mètres du tonneau. Le résultat s'est également avéré négatif.
Notre commandant de compagnie à Arles (13) a été avisé des faits par message radio et bulletin de renseignements.
Monsieur le maire de la commune [-] a également été avisé par nos soins.
IV. Enquête:
Procédant à l'enquête, nous entendons le même jour à 17 heures:
C[-]. M[-]., 15 ans, couturière stagiaire, qui nous déclare:
"Le mardi 1er février 1977, entre 23 heures et minuit, j'étais dans ma chambre en compagnie de mes deux amies, S. G. et J. G. J'étais couchée sur mon lit lorsque j'ai entendu du bruit dehors."
S.I.: "Un sifflement, comme un lasso qui tourne en l'air. J'ai eu peur, j'ai crié et mes copines ont accouru. A ce moment, nous avons vu un drôle d'appareil qui semblait métallique, de forme circulaire et d'un diamètre de 60 à 70 centimètres environ. Le dessus était bombé et sur la circonférence, nous avons aperçu des lumières, rouges, orange et blanches qui tournaient très vite autour de l'engin. Celui-ci évoluait à grande vitesse entre les arbres, devant le bâtiment et à une hauteur de 15 à 20 mètres environ. Il ne s'est jamais posé, mais s'est stabilisé au milieu des arbres durant trois minutes environ en tournant sur lui-même. Nous avons observé le phénomène durant 10 à 15 minutes. Puis il a pris la direction du sud, vers un verger situé à 100 mètres, et est revenu évoluer autour des arbres. J'ai eu si peur que je me suis étouffée. Ma camarade d'A[-] s'est également trouvée mal, ses lèvres étaient bleutées, son teint pâle."
"L'appareil est parti brusquement en direction du sud, très vite, se transformant en boule rouge. Pendant que l'engin évoluait, une vitre du deuxième étage a éclaté."
S.I.: "Le bruit n'était pas normal, pas comme un objet qui casse un carreau. On aurait cru que la vitre se détachait.
S.I.: "Je n'ai jamais lu de livres sur les OVNI, je n'y croyais pas. Actuellement, je suis obligée de me rendre à l'évidence, puisque j'ai vu cet appareil. Je suis formelle sur ma déclaration."
Le 3 février 1977, à 18 h 30.
Le même jour, à 18 h 40, nous entendons: G[]. S[]., 14 ans, étudiante, qui nous déclare:
"Le 1er février 1977 entre 23 h 30 et 24 heures, j'ai été témoin de l'apparition d'un engin bizarre. Il était de forme circulaire, d'un diamètre de 60 centimètres environ, dont le dessus était bombé et paraissait métallique. Le pourtour était éclairé par les lumières orange, jaunes et rouges qui tournaient très vite. J'ai observé ce phénomène durant cinq minutes environ. L'appareil évoluait entre les arbres du parc, à une hauteur de 20 mètres environ. Il ne s'est jamais posé. Je n'ai pas vu l'appareil s'en aller, la fenêtre était encombrée. Je suis formelle, je n'ai pas eu de vision. C'est la première fois que je vois un tel phénomène."
Le 3 février 1977, à 18 h 45.
Le même jour, à 18 h 50, nous entendons:
G[-]. J[-]., 15 ans, étudiante, qui nous déclare:
"Le 1er février 1977 entre 23 heures et 24 heures, j'ai été témoin de l'apparition d'un drôle d'engin qui évoluait entre les arbres du parc."
"J'étais dans ma chambre, que je partage avec quatre de mes camarades. Nous étions en train de discuter, lorsque ma camarade M. C. a aperçu une lumière jaune passer devant la fenêtre de notre chambre. Ayant vu le reflet de cette lumière sur mon lit, je me suis enfouie sous les couvertures. Sur l'invitation de M., je me suis levée et j'ai également vu cette lumière. Il s'agirait précisément d'un objet pas tout à fait circulaire projetant une lueur jaune avec des points rouges et blancs, de la grosseur d'un volant de voiture. Ce phénomène se trouvait à une cinquantaine de mètres de nous et évoluait entre deux arbres distants de trente mètres environ. Cette lumière était assez éloignée du sol, je ne peux vous préciser exactement à quelle distance. Les camarades dormant dans la chambre voisine, alertées par nos cris, ont également observé ce phénomène. Après un instant d'observation, l'engin s'est approché de la maison, puis s'est dirigé vers un verger et a disparu. Cette lumière se déplaçait par moments à grande vitesse, ou semblait s'immobiliser, comme posée sur les branches des arbres. Lorsque l'engin se déplaçait, il laissait derrière lui une traînée blanchâtre. Cette observation a duré environ un quart d'heure."
"C'est tout ce que je peux dire sur cette affaire."
Le 3 février 1977, à 19 h 15.
Le 22 mars 1977, continuant notre enquête, nous entendons:
H[-]. N[-]., 15 ans, qui nous déclare:
"Le mardi 1er février 1977, vers 23 h 30, j'étais dans ma chambre, lorsque ma camarade M[-] C[-] m'a appelée. Elle était affolée, pleurait tout en me montrant du doigt les arbres du parc. Autour de ceux-ci, j'ai vu évoluer un appareil de forme circulaire, de la taille d'un gros volant de voiture et dont la partie supérieure était bombée. Le pourtour était éclairé par des lumières blanches, rouges et jaunes. Le tout tournait ensemble. Je pense que les lumières clignotaient en tournant."
"J'ai observé ce phénomène durant deux minutes environ et, prise de peur, j'ai regagné ma chambre."
"C'est tout ce que j'ai vu."
Le 22 mars 1977, à 10 h 10.
Le même jour, à 10 h 15, nous entendons:
G[-]. M[-]., 16 ans, étudiante, qui nous déclare:
"Le 1er février 1977, vers 23 h 30, j'étais dans ma chambre située sur la face nord du bâtiment. J'ai entendu mes camarades des chambres voisines crier. Je pensais qu'elles s'amusaient et je n'ai pas quitté ma chambre. Quelques instants après, j'ai entendu crier et pleurer. Je me suis inquiétée et j'ai rejoint la chambre de M[-] C[-], qui m'a déclaré aussitôt: "N'allumez pas, regardez ce qu'il y a sur l'arbre." J'ai vu un appareil de forme circulaire, d'un diamètre de 60 centimètres environ et dont la partie supérieure était bombée. Je n'ai rien remarqué sur la partie inférieure. Sur le pourtour de l'engin, des lumières tournaient très vite, elles étaient de couleur rouge, vert très clair et orange. J'ai observé ce phénomène quelques secondes seulement, car je suis arrivée après les autres. Puis il a pris la direction de Saint-Rémy de Provence, vers le sud. Je ne distinguais plus qu'une boule rouge."
"C'est tout ce que je peux vous déclarer."
Le 22 mars 1977, à 10 h 35.
Degré de vraisemblance:
Ces jeunes filles ont été unanimes sur la description du phénomène, hormis une petite contradiction sur les couleurs des lumières (vert très clair remarqué par G[-]. M[-].).
Compte tenu de la précision donnée dans la description du phénomène, de l'affolement des témoins et de l'entourage, les renseignements communiqués paraissent possibles.
Renseignements divers:
Une copie du résultat de l'analyse du branchage est jointe à chaque expédition du présent procès-verbal.
Fait et clos à [-], le 22 mars 1977.
P.V. n° 197: février 1977.
Analyse des branches cassées par [Nom, pas le Pr. Bounias] du CNRS, Toulouse.
Copie
Cher Monsieur,
Je vous remercie de votre lettre du 9 février dernier. J'ai examiné les branches sans rien trouver qui puisse confirmer ou infirmer ce que vous ont raconté les témoins de cette observation.
L'arrachement aurait pu être fait à la main. Il a eu lieu à deux dates assez éloignées, mais je ne peux fixer aucun délai entre les deux dates.
Ceci n'est pas nouveau, il est extrêmement rare que nous apprenions quoi que ce soit avec des échantillons végétaux. Seule une action importante constatée peut être utile (exemple: un grand cercle d'herbes ou de feuilles séchées).
Le mieux, dans ce cas, est de ne pas prendre d'échantillons, mais de faire des photographies d'abord.
En outre, si les échantillons de végétaux ne sont pas analysés immédiatement après l'événement (moins de 4 heures après) on ne peut rien en tirer. Désolé.
[Signature]
La maison familiale [-], où le phénomène a été observé, est situé sur la commune d'[-] (13) à deux kilomètres environ [direction] du centre de la localité.
Ces lieux sont isolés, l'habitation la plus proche se tient à 300 mètres environ.
II. Constatations:
A notre arrivée sur les lieux, et après recueil des premiers éléments, nous inspectons minutieusement le parc au-dessus duquel l'engin aurait évolué. Aucune trace suspecte n'a été relevée.
Au dire des témoins, l'engin aurait évolué à proximité d'un verger situé à 100 mètres au sud du bâtiment. En ce lieu, nous avons pu constater le bris d'une quinzaine de branches sur plusieurs pommiers et dans un rayon de 10 mètres environ. L'origine de ces branches brisées demeure inconnue. La cause la plus vraisemblable semble être due à un jeu d'enfants. Toutefois ce verger est formellement interdit aux pensionnaires de [-] sous peine de renvoi.
Une vitre brisée a également été examinée, sans pouvoir apporter une origine sur cet incident. Le bris de cette vitre a pu être provoqué par l'affolement des jeunes filles.
Aucune autre constatation n'a pu être effectuée.
III. Mesures prises:
Les vérifications effectuées à l'aide de la boussole sur un tonneau en fer situé à la verticale même de l'endroit où évoluait l'engin, ne nous ont pas permis d'établir si une certaine rémanence subsistait.
Les mêmes opérations ont été effectuées sur un poteau métallique situé à une centaine de mètres du tonneau. Le résultat s'est également avéré négatif.
Notre commandant de compagnie à Arles (13) a été avisé des faits par message radio et bulletin de renseignements.
Monsieur le maire de la commune [-] a également été avisé par nos soins.
IV. Enquête:
Procédant à l'enquête, nous entendons le même jour à 17 heures:
C[-]. M[-]., 15 ans, couturière stagiaire, qui nous déclare:
"Le mardi 1er février 1977, entre 23 heures et minuit, j'étais dans ma chambre en compagnie de mes deux amies, S. G. et J. G. J'étais couchée sur mon lit lorsque j'ai entendu du bruit dehors."
S.I.: "Un sifflement, comme un lasso qui tourne en l'air. J'ai eu peur, j'ai crié et mes copines ont accouru. A ce moment, nous avons vu un drôle d'appareil qui semblait métallique, de forme circulaire et d'un diamètre de 60 à 70 centimètres environ. Le dessus était bombé et sur la circonférence, nous avons aperçu des lumières, rouges, orange et blanches qui tournaient très vite autour de l'engin. Celui-ci évoluait à grande vitesse entre les arbres, devant le bâtiment et à une hauteur de 15 à 20 mètres environ. Il ne s'est jamais posé, mais s'est stabilisé au milieu des arbres durant trois minutes environ en tournant sur lui-même. Nous avons observé le phénomène durant 10 à 15 minutes. Puis il a pris la direction du sud, vers un verger situé à 100 mètres, et est revenu évoluer autour des arbres. J'ai eu si peur que je me suis étouffée. Ma camarade d'A[-] s'est également trouvée mal, ses lèvres étaient bleutées, son teint pâle."
"L'appareil est parti brusquement en direction du sud, très vite, se transformant en boule rouge. Pendant que l'engin évoluait, une vitre du deuxième étage a éclaté."
S.I.: "Le bruit n'était pas normal, pas comme un objet qui casse un carreau. On aurait cru que la vitre se détachait.
S.I.: "Je n'ai jamais lu de livres sur les OVNI, je n'y croyais pas. Actuellement, je suis obligée de me rendre à l'évidence, puisque j'ai vu cet appareil. Je suis formelle sur ma déclaration."
Le 3 février 1977, à 18 h 30.
Le même jour, à 18 h 40, nous entendons: G[]. S[]., 14 ans, étudiante, qui nous déclare:
"Le 1er février 1977 entre 23 h 30 et 24 heures, j'ai été témoin de l'apparition d'un engin bizarre. Il était de forme circulaire, d'un diamètre de 60 centimètres environ, dont le dessus était bombé et paraissait métallique. Le pourtour était éclairé par les lumières orange, jaunes et rouges qui tournaient très vite. J'ai observé ce phénomène durant cinq minutes environ. L'appareil évoluait entre les arbres du parc, à une hauteur de 20 mètres environ. Il ne s'est jamais posé. Je n'ai pas vu l'appareil s'en aller, la fenêtre était encombrée. Je suis formelle, je n'ai pas eu de vision. C'est la première fois que je vois un tel phénomène."
Le 3 février 1977, à 18 h 45.
Le même jour, à 18 h 50, nous entendons:
G[-]. J[-]., 15 ans, étudiante, qui nous déclare:
"Le 1er février 1977 entre 23 heures et 24 heures, j'ai été témoin de l'apparition d'un drôle d'engin qui évoluait entre les arbres du parc."
"J'étais dans ma chambre, que je partage avec quatre de mes camarades. Nous étions en train de discuter, lorsque ma camarade M. C. a aperçu une lumière jaune passer devant la fenêtre de notre chambre. Ayant vu le reflet de cette lumière sur mon lit, je me suis enfouie sous les couvertures. Sur l'invitation de M., je me suis levée et j'ai également vu cette lumière. Il s'agirait précisément d'un objet pas tout à fait circulaire projetant une lueur jaune avec des points rouges et blancs, de la grosseur d'un volant de voiture. Ce phénomène se trouvait à une cinquantaine de mètres de nous et évoluait entre deux arbres distants de trente mètres environ. Cette lumière était assez éloignée du sol, je ne peux vous préciser exactement à quelle distance. Les camarades dormant dans la chambre voisine, alertées par nos cris, ont également observé ce phénomène. Après un instant d'observation, l'engin s'est approché de la maison, puis s'est dirigé vers un verger et a disparu. Cette lumière se déplaçait par moments à grande vitesse, ou semblait s'immobiliser, comme posée sur les branches des arbres. Lorsque l'engin se déplaçait, il laissait derrière lui une traînée blanchâtre. Cette observation a duré environ un quart d'heure."
"C'est tout ce que je peux dire sur cette affaire."
Le 3 février 1977, à 19 h 15.
Le 22 mars 1977, continuant notre enquête, nous entendons:
H[-]. N[-]., 15 ans, qui nous déclare:
"Le mardi 1er février 1977, vers 23 h 30, j'étais dans ma chambre, lorsque ma camarade M[-] C[-] m'a appelée. Elle était affolée, pleurait tout en me montrant du doigt les arbres du parc. Autour de ceux-ci, j'ai vu évoluer un appareil de forme circulaire, de la taille d'un gros volant de voiture et dont la partie supérieure était bombée. Le pourtour était éclairé par des lumières blanches, rouges et jaunes. Le tout tournait ensemble. Je pense que les lumières clignotaient en tournant."
"J'ai observé ce phénomène durant deux minutes environ et, prise de peur, j'ai regagné ma chambre."
"C'est tout ce que j'ai vu."
Le 22 mars 1977, à 10 h 10.
Le même jour, à 10 h 15, nous entendons:
G[-]. M[-]., 16 ans, étudiante, qui nous déclare:
"Le 1er février 1977, vers 23 h 30, j'étais dans ma chambre située sur la face nord du bâtiment. J'ai entendu mes camarades des chambres voisines crier. Je pensais qu'elles s'amusaient et je n'ai pas quitté ma chambre. Quelques instants après, j'ai entendu crier et pleurer. Je me suis inquiétée et j'ai rejoint la chambre de M[-] C[-], qui m'a déclaré aussitôt: "N'allumez pas, regardez ce qu'il y a sur l'arbre." J'ai vu un appareil de forme circulaire, d'un diamètre de 60 centimètres environ et dont la partie supérieure était bombée. Je n'ai rien remarqué sur la partie inférieure. Sur le pourtour de l'engin, des lumières tournaient très vite, elles étaient de couleur rouge, vert très clair et orange. J'ai observé ce phénomène quelques secondes seulement, car je suis arrivée après les autres. Puis il a pris la direction de Saint-Rémy de Provence, vers le sud. Je ne distinguais plus qu'une boule rouge."
"C'est tout ce que je peux vous déclarer."
Le 22 mars 1977, à 10 h 35.
Degré de vraisemblance:
Ces jeunes filles ont été unanimes sur la description du phénomène, hormis une petite contradiction sur les couleurs des lumières (vert très clair remarqué par G[-]. M[-].).
Compte tenu de la précision donnée dans la description du phénomène, de l'affolement des témoins et de l'entourage, les renseignements communiqués paraissent possibles.
Renseignements divers:
Une copie du résultat de l'analyse du branchage est jointe à chaque expédition du présent procès-verbal.
Fait et clos à [-], le 22 mars 1977.
P.V. n° 197: février 1977.
Analyse des branches cassées par [Nom, pas le Pr. Bounias] du CNRS, Toulouse.
Copie
Cher Monsieur,
Je vous remercie de votre lettre du 9 février dernier. J'ai examiné les branches sans rien trouver qui puisse confirmer ou infirmer ce que vous ont raconté les témoins de cette observation.
L'arrachement aurait pu être fait à la main. Il a eu lieu à deux dates assez éloignées, mais je ne peux fixer aucun délai entre les deux dates.
Ceci n'est pas nouveau, il est extrêmement rare que nous apprenions quoi que ce soit avec des échantillons végétaux. Seule une action importante constatée peut être utile (exemple: un grand cercle d'herbes ou de feuilles séchées).
Le mieux, dans ce cas, est de ne pas prendre d'échantillons, mais de faire des photographies d'abord.
En outre, si les échantillons de végétaux ne sont pas analysés immédiatement après l'événement (moins de 4 heures après) on ne peut rien en tirer. Désolé.
[Signature]
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Re: Les ovnis dans la presse en 1977
Ven 30 Nov 2007, 22:55
OVNIS DANS LA PRESSE CANADIENNE, 1977:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien The Daily Colonist, de Victoria, Colombie Britannique, Canada, le 11 mars 1977.
L'expert en OVNI: Les lignes de la Hydro alimentent les soucoupes
Par STEPHEN HUME
Journaliste du Colonist
Les vaisseaux de l'espace visitent régulièrement l'île de Vancouver pour se recharger sur les lignes de courant à haute-tension de la British Columbia Hydro.
Un homme de Duncan qui est une des autorités du Canada sur les objets volants non identifiés dit que trois ou quatre observations d'OVNIS par mois sur l'île de Vancouver ne sont pas déraisonnables.
"C'est un fait que ces objets se rechargent apparemment en étant dans la proximité de nos lignes à haute tension," a dit John Magor lors d'une interview jeudi.
Magor a indiqué que deux soeurs adolescentes qui ont rapporté qu'elles ont vu un OVNI dans la nuit de mercredi au-dessus du 2700, block Richmond, à Saanich, ont fait une observation authentique d'un type de vaisseau qui visite fréquemment l'île de Vancouver.
Les filles, Susanna et Maria Stratford, ont dit l'objet est tombé comme une étoile filante et a plané stationnaire à environ 30 pieds de la terre.
Il était aussi grand qu'une maison, ont-elle indiqué, et il faisait un bruit de bourdonnement. Il était rond et brillant avec une lumière clignotante rouge brillante sur le dessus.
Bien qu'un porte-parole à l'Observatoire Astrophysique de Dominion n'ait rien rapporté d'inhabituel dans la nuit de mercredi, les soeurs sont convaincues qu'elles ont vu un OVNI. Et Magor l'est également.
Une station radio de Victoria a eu plusieurs appels téléphoniques jeudi matin de personnes qui ont dit qu'elles ont vu un objet semblable planer près de l'Hôpital General de Victoria dans la nuit de mercredi.
Magor indique que les OVNIS typiques de la sorte qui fréquente l'île sont ronds, avec une lumière en forme de dôme sur le dessus, et sont souvent tout à fait grands. Ils font habituellement un bruit bourdonnement, dit-il, et ont à la fois la vitesse et la capacité de planer stationnaires.
"Les hôpitaux sont un point étrange d'attraction pour les OVNIS, et assez curieusement, il en ainsi ainsi des cimetières également," a-t-il dit.
Magor a indiqué qu'une des meilleurs observations sur l'île est venu le jour de la Fête de l'An de 1970. Plusieurs infirmières à l'Hôpital Régional de Cowichan à Duncan ont vu un OVNI devant le troisième étage de l'hôpital, a-t-il dit.
"Une infirmière a dit qu'elle a vu deux spécimens masculins de bel aspect dans l'OVNI. Elle a dit qu'ils ressemblaient exactement à des gens, seulement encore plus comme des gens. Ses descriptions des occupants ont étroitement correspondu à des observations dans d'autres régions du monde.
Magor pense que les OVNIS qui sont aperçus sont extraterrestres, venant de parties de l'univers au-delà de la terre. Il a dit qu'ils sont vus partout dans le monde et font souvent des atterrissages près des témoins.
Il a dit qu'en septembre 1961, un homme et son épouse, pendant un voyage en automobile du Canada aux Etats-Unis, ont été pris à bord d'un OVNI dont le capitaine leur a montré une carte des étoiles de l'univers.
L'incident a été documenté par des psychiatres qui ont hypnotisé le couples, Barney et Betty Hill, a-t-il dit.
Magor théorise en son livre, "Our UFO Visitors", qui doit être publié ce printemps par Hancock House à Saanichton, que nous sommes tous liés aux visiteurs ex-terrestres qui sont venus sur la terre il y a des siècles.
Je pense qu'ils ont suivi le développement de notre monde au delà de notre souvenirs de l'histoire. Je pense qu'ils ont eu un rôle pour le peupler. C'est probablement il y a des milliers d'années qu'ils ont visité la terre et laissés leurs gens pour aider à manipuler notre évolution."
Magor dit que ceci expliquerait comment l'homme pourrait avoir fait un saut si inexpliqué dans l'évolution à partir du singe, qui a été considéré comme étant notre prédécesseur par le biologiste du 19ème siècle Darwin. Les visiteurs des OVNIS peuvent être le chaînon manquant, a-t-il dit.
Magor a indiqué que le nouveau livre est le premier livre canadien sur les OVNIS qu'il a publié pour la grande diffusion.
En attendant, les soucoupes volantes visitent la province au taux d'environ 25 par mois, a-t-il dit.
OVNIS OU METEORES AU CANADA, 1977:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien The Daily Colonist, de Victoria, Colombie Britannique, Canada, le 13 mars 1977.
Soucoupe au-dessus de Saanich
La soucoupe volante était de retour dans la nuit de samedi et pour certains au moins, l'impact était dramatique.
M. et Mme Gilbert Murray du 4378 Torrington ont été tellement saisis par ce qu'ils ont vu qu'ils ont commencé à faire sonner leur klaxon de voiture pour attirer des témoins.
"Nous nous sommes arrêtés et j'ai couru et ai frappé à la porte d'une maison pour obliger les gens à sortir et la regarder," a dit Mme Murray.
"Mais juste quand j'arrivais à la porte, mon mari a crié qu'elle avait disparu."
Les Murray et d'autres ont rapporté voir que ce qu'ils ont différemment décrit comme une "boule du feu" ou des "choses de tubulaire" jaunes lumineuses se déplaçant à une grande vitesse au-dessus de la région de Gordon Head.
C'était la plus récente dans une chaîne de d'observations rapportées, au-dessus de la région de Victoria et d'autres endroits de l'île de Vancouver. Des observations antérieures se sont produites dans les nuits de mercredi et jeudi.
La police de Saanich a dit qu'ils ont eu sept appels téléphoniques à environ 19 heure samedi de declarant qu'elles ont vu un OVNI dans le secteur de l'avenue McKenzie.
D'autres, comme les Murray, ont rapporté voir l'objet étrange à environ 21:30 dans un secteur s'étendant du Mont Tolmie à un point plusieurs blocs au nord de McKenzie.
Une femme, qui a dit qu'elle ne voulait pas être assimilée avec les "croyants aux OVNIS," a dit au colonist qu'elle s'est trouvée forcée de croire ce qu'elle avait vu.
"Il ressemblait à une boule de feu accrochée dans le ciel au-dessus de Gordon Head, en train de bouger," a-t-elle dit. "J'essaye de ne pas croire aux soucoupes volantes. J'ai essayé de me dire que ceci pourrait être un planeur avec une fusée éclairante. Mais ça n'a pas semblé raisonnable."
Mme Murray a indiqué qu'elle et son mari avaient parlé mercredi des observations de la nuit de mercredi quand ils ont soudainement fait leur propre observation.
Quand on lui a rapporté que le "visiteur mystérieux" a été vu volant au-dessus d'un steak-house de Saanich, un officier de police de Victoria a ironisé: "cet endroit fait de la publicité. Aucun doute, l'équipage a du capter leur film publicitaire."
OVNIS , CANADA, 1977:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien The Daily Colonist, de Victoria, Colombie Britannique, Canada, le 16 mars 1977.
"L'invasion" OVNI continue
Les touristes extraterrestres ont semblé continuer leur examen du sud de l'île de Vancouver mardi, avec trois observations d'OVNIS rapportées.
Une habitante d'Oak Bay a rapporté avoir repéré mardi après-midi un objet cylindrique étrange avec de la fumée sortant de trous faisant son chemin lentement à travers le ciel vers le centre de Victoria. Elle ne pouvait pas l'identifier à travers ses jumelles, mais a dit que ce n'était "en aucune manière une soucoupe en volante. [Avion probable.]
A 20:41, la police de Victoria City a reçu un appel d'un OVNI au-dessus de la ville, mais leur investigation n'a pas trouvé quoi que ce soit.
Peu de temps après 21 heures, un résidant de la John Anderson Memorial Home dans le centre de Saanich a dit qu'elle a repéré une soucoupe volante avec des lumières clignotantes montant dans le ciel depuis un champ à une certaine distance. La soucoupe s'est élevée pour rencontrer un autre OVNI, celui-ci avec une lueur jaune-orange sur lui, qui voyageait Gordon Head vers Pat Bay, a dit l'observatrice. [Un hélicoptère et un avion?]
LES OVNIS DANS LA PRESSE FRANCAISE DE 1977:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Midi Libre, France, page D1, le 24 mars 1977.
Rendez-vous manqué pour le safari O.V.N.I.
Montpellier. -- Les occupants des O.V.N.I. sont assurément des êtres facétieux et déroutants. Ils ne viennent jamais quand on les appelle Aux rendez-vous que leur donnent les terriens en un endroit précis. Ils préfèrent les apparitions impromptues. cela s'est encore vérifié samedi dernier à l'occasion de la soirée d'observation organisée dans les trois régions du Grand Delta, Rhône-Alpes, Provence-Côte d'Azur et Languedoc-Roussillon par les groupements ufologiques.
L'ufologie, à ne pas confondre avec l'écologie, est l'étude encore balbutiante des phénomènes spatiaux. On voit tout de suite que le champ d'action de cette science toute nouvelle ne se limite pas aux espaces verts. Les ufologues ne plantent pas des arbres pour faire reculer le béton. Avec la foi des pionniers et la fougue des défricheurs, ils s'efforcent d'aller, par la pensée du moins, à la rencontre de nos mystérieux visiteurs.
Samedi soir ceux d'entre eux qui s'étaient postés courageusement à Sète, au Pic Saint-Loup, à Nîmes et à Alès, armés de jumelles, d'appareils photos et de thermos de café auront été déçus. Pas la moindre petite lueur rouge, pas le moindre bout de cigare orange dans le ciel couvert, d'un noir d'encre comme écrirait un auteur à l'imagination sérieusement anémiée. Du côté de Nice rien non plus.
Pas d'O.V.N.I dans un ciel désespérément uniforme et mort. R.A.S également dans la région Rhône-Alpes. Le four, quoi!
Et puis les observateurs avertis rentrés chez eux pour récupérer leur nuit noire, les O.V.N.I se sont montrés avec 24 heures de retard sur le rendez-vous. A 20 h 45, deux témoins ont vu au pic Saint-Loup "une boule de feu orange qui se déplaçait lentement". Elle était serrée de près par un point lumineux comme les requins et leurs poissons-pilotes. Apparition également, toujours dimanche soir. Près de Dijon et à Belleville-sur-Saône. Dans cette localité, il y eut vingt témoins. On nous affirme que le Beaujolais n'y est pour rien.
Moralité, si vous voulez voir des O.V.N.I. le mieux est encore de leur faire le coup de l'indifférence. Si la ruse prend, n'oubliez pas de le faire savoir au groupe Palmos, 1 rue Parler, téléphone 32-26-40 à Montpellier, ou au Groupe Véronica 3 rue Folce de Baroncelli, téléphone 63-03-37 à Nîmes. Ils attendent vos témoignages.
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien The Daily Colonist, de Victoria, Colombie Britannique, Canada, le 11 mars 1977.
L'expert en OVNI: Les lignes de la Hydro alimentent les soucoupes
Par STEPHEN HUME
Journaliste du Colonist
Les vaisseaux de l'espace visitent régulièrement l'île de Vancouver pour se recharger sur les lignes de courant à haute-tension de la British Columbia Hydro.
Un homme de Duncan qui est une des autorités du Canada sur les objets volants non identifiés dit que trois ou quatre observations d'OVNIS par mois sur l'île de Vancouver ne sont pas déraisonnables.
"C'est un fait que ces objets se rechargent apparemment en étant dans la proximité de nos lignes à haute tension," a dit John Magor lors d'une interview jeudi.
Magor a indiqué que deux soeurs adolescentes qui ont rapporté qu'elles ont vu un OVNI dans la nuit de mercredi au-dessus du 2700, block Richmond, à Saanich, ont fait une observation authentique d'un type de vaisseau qui visite fréquemment l'île de Vancouver.
Les filles, Susanna et Maria Stratford, ont dit l'objet est tombé comme une étoile filante et a plané stationnaire à environ 30 pieds de la terre.
Il était aussi grand qu'une maison, ont-elle indiqué, et il faisait un bruit de bourdonnement. Il était rond et brillant avec une lumière clignotante rouge brillante sur le dessus.
Bien qu'un porte-parole à l'Observatoire Astrophysique de Dominion n'ait rien rapporté d'inhabituel dans la nuit de mercredi, les soeurs sont convaincues qu'elles ont vu un OVNI. Et Magor l'est également.
Une station radio de Victoria a eu plusieurs appels téléphoniques jeudi matin de personnes qui ont dit qu'elles ont vu un objet semblable planer près de l'Hôpital General de Victoria dans la nuit de mercredi.
Magor indique que les OVNIS typiques de la sorte qui fréquente l'île sont ronds, avec une lumière en forme de dôme sur le dessus, et sont souvent tout à fait grands. Ils font habituellement un bruit bourdonnement, dit-il, et ont à la fois la vitesse et la capacité de planer stationnaires.
"Les hôpitaux sont un point étrange d'attraction pour les OVNIS, et assez curieusement, il en ainsi ainsi des cimetières également," a-t-il dit.
Magor a indiqué qu'une des meilleurs observations sur l'île est venu le jour de la Fête de l'An de 1970. Plusieurs infirmières à l'Hôpital Régional de Cowichan à Duncan ont vu un OVNI devant le troisième étage de l'hôpital, a-t-il dit.
"Une infirmière a dit qu'elle a vu deux spécimens masculins de bel aspect dans l'OVNI. Elle a dit qu'ils ressemblaient exactement à des gens, seulement encore plus comme des gens. Ses descriptions des occupants ont étroitement correspondu à des observations dans d'autres régions du monde.
Magor pense que les OVNIS qui sont aperçus sont extraterrestres, venant de parties de l'univers au-delà de la terre. Il a dit qu'ils sont vus partout dans le monde et font souvent des atterrissages près des témoins.
Il a dit qu'en septembre 1961, un homme et son épouse, pendant un voyage en automobile du Canada aux Etats-Unis, ont été pris à bord d'un OVNI dont le capitaine leur a montré une carte des étoiles de l'univers.
L'incident a été documenté par des psychiatres qui ont hypnotisé le couples, Barney et Betty Hill, a-t-il dit.
Magor théorise en son livre, "Our UFO Visitors", qui doit être publié ce printemps par Hancock House à Saanichton, que nous sommes tous liés aux visiteurs ex-terrestres qui sont venus sur la terre il y a des siècles.
Je pense qu'ils ont suivi le développement de notre monde au delà de notre souvenirs de l'histoire. Je pense qu'ils ont eu un rôle pour le peupler. C'est probablement il y a des milliers d'années qu'ils ont visité la terre et laissés leurs gens pour aider à manipuler notre évolution."
Magor dit que ceci expliquerait comment l'homme pourrait avoir fait un saut si inexpliqué dans l'évolution à partir du singe, qui a été considéré comme étant notre prédécesseur par le biologiste du 19ème siècle Darwin. Les visiteurs des OVNIS peuvent être le chaînon manquant, a-t-il dit.
Magor a indiqué que le nouveau livre est le premier livre canadien sur les OVNIS qu'il a publié pour la grande diffusion.
En attendant, les soucoupes volantes visitent la province au taux d'environ 25 par mois, a-t-il dit.
OVNIS OU METEORES AU CANADA, 1977:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien The Daily Colonist, de Victoria, Colombie Britannique, Canada, le 13 mars 1977.
Soucoupe au-dessus de Saanich
La soucoupe volante était de retour dans la nuit de samedi et pour certains au moins, l'impact était dramatique.
M. et Mme Gilbert Murray du 4378 Torrington ont été tellement saisis par ce qu'ils ont vu qu'ils ont commencé à faire sonner leur klaxon de voiture pour attirer des témoins.
"Nous nous sommes arrêtés et j'ai couru et ai frappé à la porte d'une maison pour obliger les gens à sortir et la regarder," a dit Mme Murray.
"Mais juste quand j'arrivais à la porte, mon mari a crié qu'elle avait disparu."
Les Murray et d'autres ont rapporté voir que ce qu'ils ont différemment décrit comme une "boule du feu" ou des "choses de tubulaire" jaunes lumineuses se déplaçant à une grande vitesse au-dessus de la région de Gordon Head.
C'était la plus récente dans une chaîne de d'observations rapportées, au-dessus de la région de Victoria et d'autres endroits de l'île de Vancouver. Des observations antérieures se sont produites dans les nuits de mercredi et jeudi.
La police de Saanich a dit qu'ils ont eu sept appels téléphoniques à environ 19 heure samedi de declarant qu'elles ont vu un OVNI dans le secteur de l'avenue McKenzie.
D'autres, comme les Murray, ont rapporté voir l'objet étrange à environ 21:30 dans un secteur s'étendant du Mont Tolmie à un point plusieurs blocs au nord de McKenzie.
Une femme, qui a dit qu'elle ne voulait pas être assimilée avec les "croyants aux OVNIS," a dit au colonist qu'elle s'est trouvée forcée de croire ce qu'elle avait vu.
"Il ressemblait à une boule de feu accrochée dans le ciel au-dessus de Gordon Head, en train de bouger," a-t-elle dit. "J'essaye de ne pas croire aux soucoupes volantes. J'ai essayé de me dire que ceci pourrait être un planeur avec une fusée éclairante. Mais ça n'a pas semblé raisonnable."
Mme Murray a indiqué qu'elle et son mari avaient parlé mercredi des observations de la nuit de mercredi quand ils ont soudainement fait leur propre observation.
Quand on lui a rapporté que le "visiteur mystérieux" a été vu volant au-dessus d'un steak-house de Saanich, un officier de police de Victoria a ironisé: "cet endroit fait de la publicité. Aucun doute, l'équipage a du capter leur film publicitaire."
OVNIS , CANADA, 1977:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien The Daily Colonist, de Victoria, Colombie Britannique, Canada, le 16 mars 1977.
"L'invasion" OVNI continue
Les touristes extraterrestres ont semblé continuer leur examen du sud de l'île de Vancouver mardi, avec trois observations d'OVNIS rapportées.
Une habitante d'Oak Bay a rapporté avoir repéré mardi après-midi un objet cylindrique étrange avec de la fumée sortant de trous faisant son chemin lentement à travers le ciel vers le centre de Victoria. Elle ne pouvait pas l'identifier à travers ses jumelles, mais a dit que ce n'était "en aucune manière une soucoupe en volante. [Avion probable.]
A 20:41, la police de Victoria City a reçu un appel d'un OVNI au-dessus de la ville, mais leur investigation n'a pas trouvé quoi que ce soit.
Peu de temps après 21 heures, un résidant de la John Anderson Memorial Home dans le centre de Saanich a dit qu'elle a repéré une soucoupe volante avec des lumières clignotantes montant dans le ciel depuis un champ à une certaine distance. La soucoupe s'est élevée pour rencontrer un autre OVNI, celui-ci avec une lueur jaune-orange sur lui, qui voyageait Gordon Head vers Pat Bay, a dit l'observatrice. [Un hélicoptère et un avion?]
LES OVNIS DANS LA PRESSE FRANCAISE DE 1977:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Midi Libre, France, page D1, le 24 mars 1977.
Rendez-vous manqué pour le safari O.V.N.I.
Montpellier. -- Les occupants des O.V.N.I. sont assurément des êtres facétieux et déroutants. Ils ne viennent jamais quand on les appelle Aux rendez-vous que leur donnent les terriens en un endroit précis. Ils préfèrent les apparitions impromptues. cela s'est encore vérifié samedi dernier à l'occasion de la soirée d'observation organisée dans les trois régions du Grand Delta, Rhône-Alpes, Provence-Côte d'Azur et Languedoc-Roussillon par les groupements ufologiques.
L'ufologie, à ne pas confondre avec l'écologie, est l'étude encore balbutiante des phénomènes spatiaux. On voit tout de suite que le champ d'action de cette science toute nouvelle ne se limite pas aux espaces verts. Les ufologues ne plantent pas des arbres pour faire reculer le béton. Avec la foi des pionniers et la fougue des défricheurs, ils s'efforcent d'aller, par la pensée du moins, à la rencontre de nos mystérieux visiteurs.
Samedi soir ceux d'entre eux qui s'étaient postés courageusement à Sète, au Pic Saint-Loup, à Nîmes et à Alès, armés de jumelles, d'appareils photos et de thermos de café auront été déçus. Pas la moindre petite lueur rouge, pas le moindre bout de cigare orange dans le ciel couvert, d'un noir d'encre comme écrirait un auteur à l'imagination sérieusement anémiée. Du côté de Nice rien non plus.
Pas d'O.V.N.I dans un ciel désespérément uniforme et mort. R.A.S également dans la région Rhône-Alpes. Le four, quoi!
Et puis les observateurs avertis rentrés chez eux pour récupérer leur nuit noire, les O.V.N.I se sont montrés avec 24 heures de retard sur le rendez-vous. A 20 h 45, deux témoins ont vu au pic Saint-Loup "une boule de feu orange qui se déplaçait lentement". Elle était serrée de près par un point lumineux comme les requins et leurs poissons-pilotes. Apparition également, toujours dimanche soir. Près de Dijon et à Belleville-sur-Saône. Dans cette localité, il y eut vingt témoins. On nous affirme que le Beaujolais n'y est pour rien.
Moralité, si vous voulez voir des O.V.N.I. le mieux est encore de leur faire le coup de l'indifférence. Si la ruse prend, n'oubliez pas de le faire savoir au groupe Palmos, 1 rue Parler, téléphone 32-26-40 à Montpellier, ou au Groupe Véronica 3 rue Folce de Baroncelli, téléphone 63-03-37 à Nîmes. Ils attendent vos témoignages.
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Re: Les ovnis dans la presse en 1977
Ven 30 Nov 2007, 23:08
LES OVNIS DANS LA PRESSE CANADIENNE, 1977:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien The Victorian, Canada, on April 6, 1977.
LES ENTHUSIOUSIASTES VOIENT LA LUMIERE
Des centaines de fervents d'OVNIS se sont rassemblés au point de vue du Mont Douglas sur la foi d'une prédiction faite par Julian North, voyant, que les OVNIS pourraient apparaître entre 20:00 et 21:00 dimanche.
Bien qu'il n'y ait eu aucune démonstration d'acrobaties de soucoupes volantes, beaucoup de lumières étranges sont apparues de temps en temps, y compris une à 20:50 quand on a observé une lumière dans la stratosphère se déplaçant droit au-dessus en un demi-cercle d'une direction nord, puis à l'est.
Lors de la vérification avec la tour de contrôle à l'aéroport de la baie de Pat, l'enquête a trouvé qu'il n'y avait là aucun vol en cours à ce moment-là.
Quand les observateurs du sommet de la colline ont demandé à North ce qu'il a pensé que c'était, il a déclaré: "C'est un OVNI. Tant que le contraire n'est pas prouvé cela reste un objet volant non identifié."
Ensuite chacun est rentré à la maison, les poumons pleins du bon air frais de la nuit.
RENCONTRE DU 3EME TYPE AU CANADA, 1977:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Montréal-Matin, le 8 avril 1977.
Une soucoupe volante aurait atterri à Sainte-Dorothée
par Gérald Robitaille
La présence d'un objet volant non identifié a suscité beaucoup d'intérêt mercredi soir auprès de deux familles demeurant rue Cléroux dans le quartier Sainte-Dorothée à Laval. En effet, vers 19 heures, Jos Martin-Madisson, 13 ans, remarqua la présence d'un objet quelconque qui se déplaçait à basse alltitude et d'où venait un bruit strident. Il était accompagné alors d'un compagnon de jeu, Alain Narbey du 1326 Cléroux. Aussitôt Jos entra dans la maison de ses parents au 1307, Cléroux, pour raconter la chose à sa mère et deux de ses soeurs. Evidemment, Mme Madisson éclata de rire et demanda à son fils d'arrêter de blaguer. Mme Madisson est quand même sortie mais ne remarqua rien.
Une fois revenue dans la maison, elle vit son fils Jos Martin entrer de nouveau en lui disant que l'objet était revenu. Mme Madisson est ressortie accompagnée de ses filles Caroline, 12 ans, et Rachel, 11 ans. C'était vrai. L'objet volant était là et se déplaçait brusquement de gauche à droite ou de bas en haut. Une lumière aveuglante s'en échappait "comme si un flash de caméra nous aveuglait par moment", de dire Jos Martin. Jos Martin est entré en courant dans sa chambre pour mettre la main sur son appareil afin de photographier l'objet en question. Malheureusement, l'objet se déplaçait si brusquement qu'il lui a été impossible de braquer son objectif sur lui. Puis l'objet disparut dans un champ vague près du cimetière de Sainte-Dorothée. Naturellement curieux quoique effrayés, Jos Martin et son compagnon Alain ont décidé d'aller voir d'un peu plus près cet objet qu'ils qualifient de soucoupe volante à cause de sa forme particulière. Non loin du cimetière, les deux enfants devaient effectivement voir l'objet se poser près d'un arbre et ont vu quelqu'un en sortir. Cette personne, selon leur description, avait une forme normale vue de l'endroit où ils se trouvaient. Passablement effrayés, les deux jeunes garçons ont alors pris leur jambes à leur cou et sont retournés chez leurs parents. Tôt hier matin, ils sont retournés sur les lieux où cet étrange objet s'était posé. D'un pas craintif, tout en étant persuadé que l'objet avait quitté l'endroit, ils se sont approchés de l'endroit. On pouvait remarquer deux empreintes de pas dans la boue ainsi que les traces de deux barres parallèles distantes de quatre à cinq pieds tout au plus. Les traces ne menaient nulle part et venaient de nulle part.
Parfois certains couchers de soleil prennent de drôles de formes dans le ciel du Québec.
L'OVNI DE JIMMY CARTER DANS LA PRESSE DE 1977:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien The Daily Mirror, R-U., le 3 mai 1977.
Le Président Jimmy Carter a rejoint les rangs des observateurs d'OVNIS. Il avait envoyé deux rapports écrits énonçant qu'il avait vu une soucoupe volante quand il était le Gouverneur de la Géorgie.
Le président a écarté l'incident depuis lors, craignant peut-être que les électeurs pourraient être éffarouchés s'il était un fou de soucoupe volantes.
Mais il a été rapporté comme disant après "l'observation"; "je ne ris plus des gens quand ils disent qu'ils ont vu un OVNIS parce que j'ai vu un moi-même."
Carter a décrit son OVNI comme ceci: "lumineux, non massif, d'abord bleuâtre, ensuite rougeâtre... il a semblé se déplacer vers nous depuis la distance, s'est arrêté, puis s'est partiellement écarté."
Carter avait déposé deux rapports l'observation en 1973, l'un au International UFO Bureau et l'autre National Investigations Committee on Aerial Phenomena.
Heydon Hewes, qui dirige l'International UFO Bureau de sa maison d'Oklahoma City, fait des discours félicitant la "largeur d'esprit" du président.
Mais pendant sa campagne présidentielle l'année dernière Carter était prudent. Il a admis qu'il avait vu une lumière dans le ciel mais avait refusé de l'appeler un OVNI.
Il a plaisanté: "je pense que c'était une lumière me montrant le chemin de la candidature aux élections primaires de la Californie."
LE CAS DU CAPORAL VALDES, 1977:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Provençal, France, page 22, le 18 mai 1977.
Séquestré par un OVNI pendant 15 minutes un caporal chilien revient avec une barbe de 3 jours
Un caporal de l'armée chilienne a été "séquestré" pendant quinze minutes (terrestres), le 25 avril dernier, par un objet volant non identifié (OVNI), près de la localité de Putre, à 2.200 kilomètres au Nord-Est de Santiago sur la frontière bolivienne, ont rapporté lundi des journaux locaux.
La patrouille composée de six soldats et d'un caporal était en train de se livrer à des travaux de routine lorsque à moins de 500 mètres de distance, une lumière intense apparut et attira l'attention d'une sentinelle. Le caporal Armando Valdes s'éloigna alors de ses hommes en direction de la lumière et disparut subitement quelques minutes avant que l'OVNI ne disparaisse aussi.
Un quart d'heure après, il réapparut brutalement aux côtés de ses hommes et s'exclama "Muchachos" avant de s'écrouler sans connaissance. La barbe du caporal avait poussé comme si plusieurs jours s'étaient écoulés et l'expression de son visage restait marquée par une expression de susprise indicible devant quelque chose d'incroyable et d'incompréhensible. En sortant de l'inconscience quelques moments après, le caporal Valdes ne put se rappeler ce qui s'était vraiment passé, mais il s'aperçut que sa montre avançait de quinze minutes et qu'elle indiquait au calendrier le 30 avril.
TRACE FAISANT EVOQUER UN UN OVNI, 1977:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Provencal, France, page 24, on May 28, 1977.
Un OVNI dans la campagne aixoise?
AIX (de notre agence). -- Une habitante du quartier Valcros, au sud d'Aix, a été fort intriguée, la semaine dernière, de constater que, dans un champ de blé, une surface régulière était affaissée: épis couchés, écrasés, parfois même brûlés. Or, il n'y a eu, cette nuit là, ni foudre, ni vent, ni présence d'hommes ou d'animaux. S'agit-il de quelque objet volant non identifié? Des enquêteurs de la commission Ouranos sont venus constater le phénomène: MM. J.-L. Cornand et Jimmy Guieu, le romancier bien connu de science-fiction. Le problème demeure entier.
RENCONTRE EN FRANCE, 1974:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien La Dépêche du Midi, France, page 18, le 3 juin 1977.
Trois ans après, un Gersois affirme:
"Ma voiture a été arrêtée près de Nogaro par un extraterrestre"
Toulousain depuis peu, un homme de 25 ans environ vit depuis trois ans les séquelles de ce qu'il voudrait bien considérer comme une mauvais rêve.
Par crainte du ridicule, il s'est tu pendant tout ce temps, mais maintenant il accepte de parler, et voici ce qu'il nous a dit:
"C'était en mars 1974. J'étais à l'époque gérant d'un restaurant à Fleurance-du-Gers. Après avoir fermé mon établissement, je m'étais rendu à Laujuzan, près de Nogaro, à bord d'une voiture, pour voir ma fiancée d'alors, qui est maintenant ma femme.
"Au retour, vers trois heures du matin, alors que je roulais à 90 km/h, ma voiture s'est arrêtée toute seule, sans même que j'ai freiné, à la sortie d'une courbe.
"J'ai été pris de tremblements, et là, j'ai aperçu un être, qui n'était pas un homme, ni, non plus, un animal connu: il se tenait debout, mesurait peut-être 90 centimètres, était bipède - ses "pieds" étaient très grands - et il avait les bras si long que je n'ai pu distinguer s'il avait des mains.
"Au moment où ma voiture s'est arrêtée, il me tournait le dos. Mais aussitôt après, il s'est dirigé vers le fossé dans lequel il est descendu, seule la moitié supérieure de son corps restait visible.
"Il était tout vert, avait des oreilles pointues sur le sommet du crâne, et des yeux très noirs. Quand il m'a enfin regardé, j'ai ressenti comme une onde, suivie de deux autres, très rapprochées, à l'intérieur de la tête. J'ai alors eu vraiment peur, et j'ai détourné mon regard.
"Peu après, mon moteur s'est remis en marche. J'ai fait demi-tour, et je suis retourné à Nogaro. Mais, à cette heure-là, il n'y avait bien sûr personne dans les rues. J'ai donc repris la route de Fleurance, à à peu près 80 kilomètres de là, où je suis arrivé sans avoir rien remarqué d'insolite.
"Je n'ai pas vu d'O.v.n.i., ni de lueur suspecte. Mais je suis persuadé que ce que j'ai vu était un extra-terrestre.
Evidemment, je me suis demandé si j'avais été victime d'une hallucination, et le lendemain je suis allé voir un médecin à Tarbes. Il m'a fait passe un examen neuro-ophtalmologique et un électro-encéphalogramme. Il en ressort que je suis normal."
De fait, nous avons vu les photocopies des résultats de ces examens et la conclusion du médecin. "L'expression de nervosité du patient peut être engendrée par le trouble qu'il a connu, mais son raisonnement est parfaitement lucide, et son comportement normal."
Que conclure de ce témoignage? Evidemment, les "petits hommes verts", depuis qu'on en parle, font un peu stéréotypés.
Mais d'autre part, si de tels êtres existent, pourquoi ceux qui les aperçoivent les verraient-ils grands et mauves?
F.Q.
ETRANGE HISTOIRE DANS LE DEVON, 1977:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien The Daily Mail, R-U, le 15 juillet 1977
Soucoupe volante
Des hommes sous des masques protecteurs, utilisant des détecteurs de métaux et un compteur Geiger, ont hier fouillé une vallée reculée à Dartmoor afin de résoudre un mystère macabre. Leur recherche portait sur une prairie marécageuse où 15 poneys sauvages ont été trouvés morts, leurs corps détérioré et lacéré.
Tous ont semblé être morts à peu près en même temps, et plusieurs de leurs os étaient inexplicablement brisés. Pour ajouter à l'énigme, leurs corps se sont décomposés pratiquement en squelettes dans un délai de seulement 48 heures.
Les experts des animaux admettent qu'ils sont déroutés par ces décès à la vallée de Cherry Brook près de Postbridge.
La recherche d'hier a été effectuée par des membres du Devon Unidentified Fyling Objects Centre, de Torquay, qui essayent de prouver un lien avec l'espace.
Ils croient que des soucoupes volantes ont pu avoir volé bas au-dessus du secteur et avoir créé un tourbillon qui a précipité les poneys vers leur mort. Mr. John Wyse, chef de l'équipe de quatre hommes, a dit:
"Si un vaisseau spatial a été à proximité, il peut encore y avoir des traces discernables. Nous avons voulu voir s'il y avait n'importe quel signe que les poneys avaient été abattus par des armes à feu mais nous n'avons rien trouvé. Cet incident a une ressemblance troublante avec des événements semblables rapportés en Amérique."
DECES MYSTERIEUX DE PONEYS, R-U., 1977:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Provençal, France, page 20, le 16 juillet 1977.
Seuls, les poneys ont vu l'OVNI
La mort mystérieuse de quinze poneys en Cornouailles, au Sud-Est de l'Angleterre, serait imputable aux OVNI, a estimé vendredi le président d'un club britannique spécialisé dans l'étude des objets volants non identifiés. Les corps des animaux ont été découverts couchés les uns près des autres, dans une petite vallée des landes de Cornouailles. Ils avaient des os et des côtes brisées et l'un d'eux avait le cou rompu. De plus les chairs s'étaient décomposées plus vite que d'ordinaire, ne laissant que les squelettes. Le président du club, qui enquête dans la région, pense que les poneys ont été écrasés par le champ antigravité d'une soucoupe volante. Des cas semblables, liés au pasage d'OVNI, auraient été signalés aux Etats-Unis. Armés de compteurs Geiger, de détecteurs de métal et le visage couvert d'un masque, le président et trois assistants ratissent la campagne à la rechercher des éventuels extraterrestres, jusqu'ici sans succès.
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien The Victorian, Canada, on April 6, 1977.
LES ENTHUSIOUSIASTES VOIENT LA LUMIERE
Des centaines de fervents d'OVNIS se sont rassemblés au point de vue du Mont Douglas sur la foi d'une prédiction faite par Julian North, voyant, que les OVNIS pourraient apparaître entre 20:00 et 21:00 dimanche.
Bien qu'il n'y ait eu aucune démonstration d'acrobaties de soucoupes volantes, beaucoup de lumières étranges sont apparues de temps en temps, y compris une à 20:50 quand on a observé une lumière dans la stratosphère se déplaçant droit au-dessus en un demi-cercle d'une direction nord, puis à l'est.
Lors de la vérification avec la tour de contrôle à l'aéroport de la baie de Pat, l'enquête a trouvé qu'il n'y avait là aucun vol en cours à ce moment-là.
Quand les observateurs du sommet de la colline ont demandé à North ce qu'il a pensé que c'était, il a déclaré: "C'est un OVNI. Tant que le contraire n'est pas prouvé cela reste un objet volant non identifié."
Ensuite chacun est rentré à la maison, les poumons pleins du bon air frais de la nuit.
RENCONTRE DU 3EME TYPE AU CANADA, 1977:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Montréal-Matin, le 8 avril 1977.
Une soucoupe volante aurait atterri à Sainte-Dorothée
par Gérald Robitaille
La présence d'un objet volant non identifié a suscité beaucoup d'intérêt mercredi soir auprès de deux familles demeurant rue Cléroux dans le quartier Sainte-Dorothée à Laval. En effet, vers 19 heures, Jos Martin-Madisson, 13 ans, remarqua la présence d'un objet quelconque qui se déplaçait à basse alltitude et d'où venait un bruit strident. Il était accompagné alors d'un compagnon de jeu, Alain Narbey du 1326 Cléroux. Aussitôt Jos entra dans la maison de ses parents au 1307, Cléroux, pour raconter la chose à sa mère et deux de ses soeurs. Evidemment, Mme Madisson éclata de rire et demanda à son fils d'arrêter de blaguer. Mme Madisson est quand même sortie mais ne remarqua rien.
Une fois revenue dans la maison, elle vit son fils Jos Martin entrer de nouveau en lui disant que l'objet était revenu. Mme Madisson est ressortie accompagnée de ses filles Caroline, 12 ans, et Rachel, 11 ans. C'était vrai. L'objet volant était là et se déplaçait brusquement de gauche à droite ou de bas en haut. Une lumière aveuglante s'en échappait "comme si un flash de caméra nous aveuglait par moment", de dire Jos Martin. Jos Martin est entré en courant dans sa chambre pour mettre la main sur son appareil afin de photographier l'objet en question. Malheureusement, l'objet se déplaçait si brusquement qu'il lui a été impossible de braquer son objectif sur lui. Puis l'objet disparut dans un champ vague près du cimetière de Sainte-Dorothée. Naturellement curieux quoique effrayés, Jos Martin et son compagnon Alain ont décidé d'aller voir d'un peu plus près cet objet qu'ils qualifient de soucoupe volante à cause de sa forme particulière. Non loin du cimetière, les deux enfants devaient effectivement voir l'objet se poser près d'un arbre et ont vu quelqu'un en sortir. Cette personne, selon leur description, avait une forme normale vue de l'endroit où ils se trouvaient. Passablement effrayés, les deux jeunes garçons ont alors pris leur jambes à leur cou et sont retournés chez leurs parents. Tôt hier matin, ils sont retournés sur les lieux où cet étrange objet s'était posé. D'un pas craintif, tout en étant persuadé que l'objet avait quitté l'endroit, ils se sont approchés de l'endroit. On pouvait remarquer deux empreintes de pas dans la boue ainsi que les traces de deux barres parallèles distantes de quatre à cinq pieds tout au plus. Les traces ne menaient nulle part et venaient de nulle part.
Parfois certains couchers de soleil prennent de drôles de formes dans le ciel du Québec.
L'OVNI DE JIMMY CARTER DANS LA PRESSE DE 1977:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien The Daily Mirror, R-U., le 3 mai 1977.
Le Président Jimmy Carter a rejoint les rangs des observateurs d'OVNIS. Il avait envoyé deux rapports écrits énonçant qu'il avait vu une soucoupe volante quand il était le Gouverneur de la Géorgie.
Le président a écarté l'incident depuis lors, craignant peut-être que les électeurs pourraient être éffarouchés s'il était un fou de soucoupe volantes.
Mais il a été rapporté comme disant après "l'observation"; "je ne ris plus des gens quand ils disent qu'ils ont vu un OVNIS parce que j'ai vu un moi-même."
Carter a décrit son OVNI comme ceci: "lumineux, non massif, d'abord bleuâtre, ensuite rougeâtre... il a semblé se déplacer vers nous depuis la distance, s'est arrêté, puis s'est partiellement écarté."
Carter avait déposé deux rapports l'observation en 1973, l'un au International UFO Bureau et l'autre National Investigations Committee on Aerial Phenomena.
Heydon Hewes, qui dirige l'International UFO Bureau de sa maison d'Oklahoma City, fait des discours félicitant la "largeur d'esprit" du président.
Mais pendant sa campagne présidentielle l'année dernière Carter était prudent. Il a admis qu'il avait vu une lumière dans le ciel mais avait refusé de l'appeler un OVNI.
Il a plaisanté: "je pense que c'était une lumière me montrant le chemin de la candidature aux élections primaires de la Californie."
LE CAS DU CAPORAL VALDES, 1977:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Provençal, France, page 22, le 18 mai 1977.
Séquestré par un OVNI pendant 15 minutes un caporal chilien revient avec une barbe de 3 jours
Un caporal de l'armée chilienne a été "séquestré" pendant quinze minutes (terrestres), le 25 avril dernier, par un objet volant non identifié (OVNI), près de la localité de Putre, à 2.200 kilomètres au Nord-Est de Santiago sur la frontière bolivienne, ont rapporté lundi des journaux locaux.
La patrouille composée de six soldats et d'un caporal était en train de se livrer à des travaux de routine lorsque à moins de 500 mètres de distance, une lumière intense apparut et attira l'attention d'une sentinelle. Le caporal Armando Valdes s'éloigna alors de ses hommes en direction de la lumière et disparut subitement quelques minutes avant que l'OVNI ne disparaisse aussi.
Un quart d'heure après, il réapparut brutalement aux côtés de ses hommes et s'exclama "Muchachos" avant de s'écrouler sans connaissance. La barbe du caporal avait poussé comme si plusieurs jours s'étaient écoulés et l'expression de son visage restait marquée par une expression de susprise indicible devant quelque chose d'incroyable et d'incompréhensible. En sortant de l'inconscience quelques moments après, le caporal Valdes ne put se rappeler ce qui s'était vraiment passé, mais il s'aperçut que sa montre avançait de quinze minutes et qu'elle indiquait au calendrier le 30 avril.
TRACE FAISANT EVOQUER UN UN OVNI, 1977:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Provencal, France, page 24, on May 28, 1977.
Un OVNI dans la campagne aixoise?
AIX (de notre agence). -- Une habitante du quartier Valcros, au sud d'Aix, a été fort intriguée, la semaine dernière, de constater que, dans un champ de blé, une surface régulière était affaissée: épis couchés, écrasés, parfois même brûlés. Or, il n'y a eu, cette nuit là, ni foudre, ni vent, ni présence d'hommes ou d'animaux. S'agit-il de quelque objet volant non identifié? Des enquêteurs de la commission Ouranos sont venus constater le phénomène: MM. J.-L. Cornand et Jimmy Guieu, le romancier bien connu de science-fiction. Le problème demeure entier.
RENCONTRE EN FRANCE, 1974:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien La Dépêche du Midi, France, page 18, le 3 juin 1977.
Trois ans après, un Gersois affirme:
"Ma voiture a été arrêtée près de Nogaro par un extraterrestre"
Toulousain depuis peu, un homme de 25 ans environ vit depuis trois ans les séquelles de ce qu'il voudrait bien considérer comme une mauvais rêve.
Par crainte du ridicule, il s'est tu pendant tout ce temps, mais maintenant il accepte de parler, et voici ce qu'il nous a dit:
"C'était en mars 1974. J'étais à l'époque gérant d'un restaurant à Fleurance-du-Gers. Après avoir fermé mon établissement, je m'étais rendu à Laujuzan, près de Nogaro, à bord d'une voiture, pour voir ma fiancée d'alors, qui est maintenant ma femme.
"Au retour, vers trois heures du matin, alors que je roulais à 90 km/h, ma voiture s'est arrêtée toute seule, sans même que j'ai freiné, à la sortie d'une courbe.
"J'ai été pris de tremblements, et là, j'ai aperçu un être, qui n'était pas un homme, ni, non plus, un animal connu: il se tenait debout, mesurait peut-être 90 centimètres, était bipède - ses "pieds" étaient très grands - et il avait les bras si long que je n'ai pu distinguer s'il avait des mains.
"Au moment où ma voiture s'est arrêtée, il me tournait le dos. Mais aussitôt après, il s'est dirigé vers le fossé dans lequel il est descendu, seule la moitié supérieure de son corps restait visible.
"Il était tout vert, avait des oreilles pointues sur le sommet du crâne, et des yeux très noirs. Quand il m'a enfin regardé, j'ai ressenti comme une onde, suivie de deux autres, très rapprochées, à l'intérieur de la tête. J'ai alors eu vraiment peur, et j'ai détourné mon regard.
"Peu après, mon moteur s'est remis en marche. J'ai fait demi-tour, et je suis retourné à Nogaro. Mais, à cette heure-là, il n'y avait bien sûr personne dans les rues. J'ai donc repris la route de Fleurance, à à peu près 80 kilomètres de là, où je suis arrivé sans avoir rien remarqué d'insolite.
"Je n'ai pas vu d'O.v.n.i., ni de lueur suspecte. Mais je suis persuadé que ce que j'ai vu était un extra-terrestre.
Evidemment, je me suis demandé si j'avais été victime d'une hallucination, et le lendemain je suis allé voir un médecin à Tarbes. Il m'a fait passe un examen neuro-ophtalmologique et un électro-encéphalogramme. Il en ressort que je suis normal."
De fait, nous avons vu les photocopies des résultats de ces examens et la conclusion du médecin. "L'expression de nervosité du patient peut être engendrée par le trouble qu'il a connu, mais son raisonnement est parfaitement lucide, et son comportement normal."
Que conclure de ce témoignage? Evidemment, les "petits hommes verts", depuis qu'on en parle, font un peu stéréotypés.
Mais d'autre part, si de tels êtres existent, pourquoi ceux qui les aperçoivent les verraient-ils grands et mauves?
F.Q.
ETRANGE HISTOIRE DANS LE DEVON, 1977:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien The Daily Mail, R-U, le 15 juillet 1977
Soucoupe volante
Des hommes sous des masques protecteurs, utilisant des détecteurs de métaux et un compteur Geiger, ont hier fouillé une vallée reculée à Dartmoor afin de résoudre un mystère macabre. Leur recherche portait sur une prairie marécageuse où 15 poneys sauvages ont été trouvés morts, leurs corps détérioré et lacéré.
Tous ont semblé être morts à peu près en même temps, et plusieurs de leurs os étaient inexplicablement brisés. Pour ajouter à l'énigme, leurs corps se sont décomposés pratiquement en squelettes dans un délai de seulement 48 heures.
Les experts des animaux admettent qu'ils sont déroutés par ces décès à la vallée de Cherry Brook près de Postbridge.
La recherche d'hier a été effectuée par des membres du Devon Unidentified Fyling Objects Centre, de Torquay, qui essayent de prouver un lien avec l'espace.
Ils croient que des soucoupes volantes ont pu avoir volé bas au-dessus du secteur et avoir créé un tourbillon qui a précipité les poneys vers leur mort. Mr. John Wyse, chef de l'équipe de quatre hommes, a dit:
"Si un vaisseau spatial a été à proximité, il peut encore y avoir des traces discernables. Nous avons voulu voir s'il y avait n'importe quel signe que les poneys avaient été abattus par des armes à feu mais nous n'avons rien trouvé. Cet incident a une ressemblance troublante avec des événements semblables rapportés en Amérique."
DECES MYSTERIEUX DE PONEYS, R-U., 1977:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Provençal, France, page 20, le 16 juillet 1977.
Seuls, les poneys ont vu l'OVNI
La mort mystérieuse de quinze poneys en Cornouailles, au Sud-Est de l'Angleterre, serait imputable aux OVNI, a estimé vendredi le président d'un club britannique spécialisé dans l'étude des objets volants non identifiés. Les corps des animaux ont été découverts couchés les uns près des autres, dans une petite vallée des landes de Cornouailles. Ils avaient des os et des côtes brisées et l'un d'eux avait le cou rompu. De plus les chairs s'étaient décomposées plus vite que d'ordinaire, ne laissant que les squelettes. Le président du club, qui enquête dans la région, pense que les poneys ont été écrasés par le champ antigravité d'une soucoupe volante. Des cas semblables, liés au pasage d'OVNI, auraient été signalés aux Etats-Unis. Armés de compteurs Geiger, de détecteurs de métal et le visage couvert d'un masque, le président et trois assistants ratissent la campagne à la rechercher des éventuels extraterrestres, jusqu'ici sans succès.
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Re: Les ovnis dans la presse en 1977
Ven 30 Nov 2007, 23:17
OVNI FRANCE, 1977:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Provencal, France, page 16, le 25 juillet 1977.
Des O.V.N.I. dans le Gard?
Des O.V.N.I. ou simplement un accident dans un transformateur E.D.F.? Les habitants de Gallician (Gard) et, plus particulièrement, Mme Rosette Pascal, sa fille Régine, son fils et sa belle-fille, qui ont été témoins du phénomène, l'autre nuit, penchent plutot pour la première solution.
Ainsi, ils ont remarqué, près de leur maison, une lueur phosphorescente verte au ras du sol. Des boules également vertes s'en échappaient et viraient à l'orange en touchant la terre. Le phénomène a duré, selon eux, une demi-heure puis les lumières se sont éloignées.
Le lendemain, le village a constaté la destruction d'un transformateur de l'E.D.F., a un kilomètre de la maison des Pascal.
OVNI EN ESPAGNE, 1977:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Parisien Libéré, France, le 26 juillet 1977.
UN O.V.N.I. EN ESPAGNE
SANTANDER. -- Un objet volant non identifié a été aperçu par de nombreuses personnes qui se trouvaient dans un camping de la localité de Aejo, dans la province de Santander (Espagne).
"L'O.V.N.I.", selon les témoins, avait la forme d'un obus, très lumineux et entouré d'un nuage d'une couleur incandescente.
Toujours selon les témoins, il se trouvait sur la mer à une distance assez éloignée de la côte et il a disparu au bout de quelques minutes en direction du nord.
METEORITES, MADAGASCAR, 1977:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Provençal, France, le 2 août 1977.
MADAGASCAR: on cherche toujours les "météorites"
Les mystérieuses "choses" tombées du ciel, samedi, à Madagascar, n'ont toujours pas été ni identifiées ni localisées, bien que l'Observatoire ait enregistré deux impacts à quelque 260 à 280 km. de la capitale, à une demi-heure d'intervalle.
Le premier impact, qui a causé une secousse de 0.3 point sur l'échelle de Richter, pourrait se situer à proximité de Brickaville, à 260 km. à l'Est de la capitale. Le second impact se sera produit à environ 280 km d'Antanarivo [capitale], mais les données sont trop floues pour le localiser avec plus de précisions.
UN POLICIER CONFIRME L'OBSERVATION D'UNE SOUCOUPE VOLANTE, AOUT 1977, BRESIL:
L'article ci-dessous est paru le dans le quotidien Diario La Regiaó, Brésil, le 3 Août 1977.
TRADUCTION FRANCAISE:
Un policier de la route a aussi vu la "soucoupe volante"
L'objet lumineux étrange - de grandes proportions et ressemblant à une soucoupe volante - a également été vu, anteontem de l'après-midi, par Edson Pereira, policier routier de l'Etat, qui exerce sa fonction à Monte Aprasível. Et ce qu'il a dit correspond à l'histoire racontée par Adimar Pablo Senaguedes et Antonio Tridico (Jaboran), de Télévision Rio Preto.
Selon le policier de la route, qui revenait à Rio Preto à la fin de l'après-midi à 18:00, il a aperçu un objet volant étrange au-dessus de la région, émettant une forte lumière argentée sur son contour, comme on dit que les "soucoupes volantes" le font. L'engin a effectué des manoeuvres très rapides et a disparu, prenant la direction de Mirassol.
"Ce ne pouvait pas avoir été un avion, ou un hélicoptère. La lumière était très forte, étrange, même. Je n'avais jamais vu quoi que ce soit de pareil auparavant" a énoncé le policier de la route. Il s'est rendu à l'aéroport de Mirassol et s'est enquis de si un certain engin était descendu et la réponse fut: "aucun avion n'a atterri ici."
Hier, en lisant l'histoire des employés de TV Rio Preto, le policier de la route a déClaré: "les détails coïncident."
Comme on se le rappelle, Adimar et Jaboran ont vu l'objet lumineux étrange quand ils sont retournés de Barreros et qu'ils étaient à 40 kilomètres de distance de São José do Rio Preto, quand ils ont vu une lumière étrange évoluer en nos cieux, à une vitesse incroyable.
LES OVNIS DANS LA PRESSE FRANCAISE DE 1977:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Parisien, France, page 4, le 17 août 1977.
UN O.V.N.I. DANS LE CIEL DU JURA
C'est dans la région de Peseux, dans le département du Jura, qu'un objet volante non identifié a été vu dans la nuit, non loin de Dôle. Cet ovni, de forme sphérique, dégageait une très forte lueur. Après s'être silencieusement immobilisé à basse altitude, l'engin est reparti vers le nord, en ligne droite, toujours à la même altitude et en accélérant sa vitesse. De nombreux habitants de la région ont pu faire la même observation, mais, bien entendu, le mystère qui continue à entourer les apparitions des ovni, reste toujours aussi impénétrable.
OVNIS EN FRANCE, 1977:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Parisien Libéré, France, page 4, le 18 aout 1977.
ENCORE UN O.V.N.I.
EVREUX. -- En pleine période estivale, où les nuits sont particulièrement riches en étoiles filantes - c'est "l'averse" des Perséïdes, qui dure du 25 juillet au 17 août... - le nombre des personnes ayant vu des O.V.N.I. se multiplie.
Mais cette fois, près de la petite commune de Houettenville (Eure), ce sont 2 engins qui se seraient posés sur les bords de l'Iton, célèbre petite rivière à truites de la région. Un médecin les aurait vus à 2 reprises, dans la nuit du 6 au 7 août, puis durant celle du 12 au 14, non loin du château de Houettenville.
Les gendarmes d'Evreux et de Louviers, qui mènent une enquête, procèdent actuellement à des prélèvements du sol aux fins d'analyses.
Les "petits hommes verts" venus de l'espace seraient-il des amateurs de la pêche de la truite à la mouche artificielle? Mais ils devraient savoir qu'il est interdit de s'y livrer entre le coucher et le lever du soleil.
LES OVNIS DANS LA PRESSE FRANCAISE, 1977:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Provençal, page 10, le 27 octobre 1977.
LE DOSSIER
Il y a trente ans les soucoupes volantes
En abordant le dossier "soucoupes volantes" (voir "Le Provençal" du 26 octobre), si nous n'émettions guère de réserves quant à la réalité du phénomène OVNI par contre c'est avec la plus grande prudence que nous nous sommes engagés sur le chemin des extraterrestres. Sommes-nous seuls dans l'univers? C'est en fait la question logique que chacun est en droit de se poser pour peu qu'il accepte qu'au-delà de la Terre existent d'autres planètes susceptibles d'abriter une forme de vie intelligente. Second postulat. Si, les êtres de l'espace existent - qui sont-ils? En dehors des témoignages directs dont le monde entier s'est fait l'écho, c'est encore des Etats-Unis que nous pensons tenir les meilleures informations. Les spécialistes de la NASA ont en effet présenté des documents photographiques confirmant la présence d'entités venues d'ailleurs. [Inventions d'ufologues] Des documents troublants - laissant apparaître des silhouettes d'humanoïdes - que l'on doit au docteur Allen Hynek, directeur du Center for UFO Studies (centre de rechercher ufologique) et qui fut pendant vingt ans conseiller auprès de l'U.S. Air-Force en ce qui concerne les OVNIS. Ces clichés ont été étudiés en laboratoire; bon de sortie positif "aucun truquage" selon les spécialistes. Un élément de plus à ajouter au dossier de "ceux qui croient". Les plus sceptiques attendront le contact direct, à l'image de nos interlocuteurs d'aujourd'hui touchés par la "manne céleste".
Par l'intermédiaire de la Commission d'études Ouranos que nous tenons à remercier publiquement, c'est un document exclusif que nous vous proposons aujourd'hui.
Nous avons choisi, en effet, de vous présenter les moments les plus "vibrants" de la "conquête OVNI" dans le Sud-Est de la France.
Des observations, des témoignages recueillis par des enquêteurs "de métier" depuis 1949. La liste était longue, un tri s'imposait.
Nous avons choisi les cas les plus représentatifs, nous les soumettons à votre jugement:
19 octobre 1949:
M. Laurent Bernard, son ami M. Durocher, tous deux Marseillais, aperçoivent une boule de feu suivie d'une traînée égale à dix fois son diamètre [description évidente d'une météore]. Sensiblement à la même heure, observation d'un aérolite ou soucoupe volante au-dessus d'Avignon [voir ici].
15 juin 1951:
Deux pilotes, MM. Prio et Galibert de la base militaire d'Orange, effectuent un vol d'entraînement au-dessus de la ville: ils volent dans le ciel sans nuage quand ils aperçoivent un "objet" à reflets métalliques. L'engin de forme circulaire est immobile. Les pilotes virent de cap pour s'en approcher: le disque bascule sur lui-même et s'éloigne à grande vitesse... Les pilotes le poursuivront en vain. Pendant "la chasse", la communication des deux pilotes a été enregistrée par la base. [Cette observation n'a toujours pas d'explication banale convaincante.]
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Provencal, France, page 16, le 25 juillet 1977.
Des O.V.N.I. dans le Gard?
Des O.V.N.I. ou simplement un accident dans un transformateur E.D.F.? Les habitants de Gallician (Gard) et, plus particulièrement, Mme Rosette Pascal, sa fille Régine, son fils et sa belle-fille, qui ont été témoins du phénomène, l'autre nuit, penchent plutot pour la première solution.
Ainsi, ils ont remarqué, près de leur maison, une lueur phosphorescente verte au ras du sol. Des boules également vertes s'en échappaient et viraient à l'orange en touchant la terre. Le phénomène a duré, selon eux, une demi-heure puis les lumières se sont éloignées.
Le lendemain, le village a constaté la destruction d'un transformateur de l'E.D.F., a un kilomètre de la maison des Pascal.
OVNI EN ESPAGNE, 1977:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Parisien Libéré, France, le 26 juillet 1977.
UN O.V.N.I. EN ESPAGNE
SANTANDER. -- Un objet volant non identifié a été aperçu par de nombreuses personnes qui se trouvaient dans un camping de la localité de Aejo, dans la province de Santander (Espagne).
"L'O.V.N.I.", selon les témoins, avait la forme d'un obus, très lumineux et entouré d'un nuage d'une couleur incandescente.
Toujours selon les témoins, il se trouvait sur la mer à une distance assez éloignée de la côte et il a disparu au bout de quelques minutes en direction du nord.
METEORITES, MADAGASCAR, 1977:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Provençal, France, le 2 août 1977.
MADAGASCAR: on cherche toujours les "météorites"
Les mystérieuses "choses" tombées du ciel, samedi, à Madagascar, n'ont toujours pas été ni identifiées ni localisées, bien que l'Observatoire ait enregistré deux impacts à quelque 260 à 280 km. de la capitale, à une demi-heure d'intervalle.
Le premier impact, qui a causé une secousse de 0.3 point sur l'échelle de Richter, pourrait se situer à proximité de Brickaville, à 260 km. à l'Est de la capitale. Le second impact se sera produit à environ 280 km d'Antanarivo [capitale], mais les données sont trop floues pour le localiser avec plus de précisions.
UN POLICIER CONFIRME L'OBSERVATION D'UNE SOUCOUPE VOLANTE, AOUT 1977, BRESIL:
L'article ci-dessous est paru le dans le quotidien Diario La Regiaó, Brésil, le 3 Août 1977.
TRADUCTION FRANCAISE:
Un policier de la route a aussi vu la "soucoupe volante"
L'objet lumineux étrange - de grandes proportions et ressemblant à une soucoupe volante - a également été vu, anteontem de l'après-midi, par Edson Pereira, policier routier de l'Etat, qui exerce sa fonction à Monte Aprasível. Et ce qu'il a dit correspond à l'histoire racontée par Adimar Pablo Senaguedes et Antonio Tridico (Jaboran), de Télévision Rio Preto.
Selon le policier de la route, qui revenait à Rio Preto à la fin de l'après-midi à 18:00, il a aperçu un objet volant étrange au-dessus de la région, émettant une forte lumière argentée sur son contour, comme on dit que les "soucoupes volantes" le font. L'engin a effectué des manoeuvres très rapides et a disparu, prenant la direction de Mirassol.
"Ce ne pouvait pas avoir été un avion, ou un hélicoptère. La lumière était très forte, étrange, même. Je n'avais jamais vu quoi que ce soit de pareil auparavant" a énoncé le policier de la route. Il s'est rendu à l'aéroport de Mirassol et s'est enquis de si un certain engin était descendu et la réponse fut: "aucun avion n'a atterri ici."
Hier, en lisant l'histoire des employés de TV Rio Preto, le policier de la route a déClaré: "les détails coïncident."
Comme on se le rappelle, Adimar et Jaboran ont vu l'objet lumineux étrange quand ils sont retournés de Barreros et qu'ils étaient à 40 kilomètres de distance de São José do Rio Preto, quand ils ont vu une lumière étrange évoluer en nos cieux, à une vitesse incroyable.
LES OVNIS DANS LA PRESSE FRANCAISE DE 1977:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Parisien, France, page 4, le 17 août 1977.
UN O.V.N.I. DANS LE CIEL DU JURA
C'est dans la région de Peseux, dans le département du Jura, qu'un objet volante non identifié a été vu dans la nuit, non loin de Dôle. Cet ovni, de forme sphérique, dégageait une très forte lueur. Après s'être silencieusement immobilisé à basse altitude, l'engin est reparti vers le nord, en ligne droite, toujours à la même altitude et en accélérant sa vitesse. De nombreux habitants de la région ont pu faire la même observation, mais, bien entendu, le mystère qui continue à entourer les apparitions des ovni, reste toujours aussi impénétrable.
OVNIS EN FRANCE, 1977:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Parisien Libéré, France, page 4, le 18 aout 1977.
ENCORE UN O.V.N.I.
EVREUX. -- En pleine période estivale, où les nuits sont particulièrement riches en étoiles filantes - c'est "l'averse" des Perséïdes, qui dure du 25 juillet au 17 août... - le nombre des personnes ayant vu des O.V.N.I. se multiplie.
Mais cette fois, près de la petite commune de Houettenville (Eure), ce sont 2 engins qui se seraient posés sur les bords de l'Iton, célèbre petite rivière à truites de la région. Un médecin les aurait vus à 2 reprises, dans la nuit du 6 au 7 août, puis durant celle du 12 au 14, non loin du château de Houettenville.
Les gendarmes d'Evreux et de Louviers, qui mènent une enquête, procèdent actuellement à des prélèvements du sol aux fins d'analyses.
Les "petits hommes verts" venus de l'espace seraient-il des amateurs de la pêche de la truite à la mouche artificielle? Mais ils devraient savoir qu'il est interdit de s'y livrer entre le coucher et le lever du soleil.
LES OVNIS DANS LA PRESSE FRANCAISE, 1977:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Provençal, page 10, le 27 octobre 1977.
LE DOSSIER
Il y a trente ans les soucoupes volantes
En abordant le dossier "soucoupes volantes" (voir "Le Provençal" du 26 octobre), si nous n'émettions guère de réserves quant à la réalité du phénomène OVNI par contre c'est avec la plus grande prudence que nous nous sommes engagés sur le chemin des extraterrestres. Sommes-nous seuls dans l'univers? C'est en fait la question logique que chacun est en droit de se poser pour peu qu'il accepte qu'au-delà de la Terre existent d'autres planètes susceptibles d'abriter une forme de vie intelligente. Second postulat. Si, les êtres de l'espace existent - qui sont-ils? En dehors des témoignages directs dont le monde entier s'est fait l'écho, c'est encore des Etats-Unis que nous pensons tenir les meilleures informations. Les spécialistes de la NASA ont en effet présenté des documents photographiques confirmant la présence d'entités venues d'ailleurs. [Inventions d'ufologues] Des documents troublants - laissant apparaître des silhouettes d'humanoïdes - que l'on doit au docteur Allen Hynek, directeur du Center for UFO Studies (centre de rechercher ufologique) et qui fut pendant vingt ans conseiller auprès de l'U.S. Air-Force en ce qui concerne les OVNIS. Ces clichés ont été étudiés en laboratoire; bon de sortie positif "aucun truquage" selon les spécialistes. Un élément de plus à ajouter au dossier de "ceux qui croient". Les plus sceptiques attendront le contact direct, à l'image de nos interlocuteurs d'aujourd'hui touchés par la "manne céleste".
Par l'intermédiaire de la Commission d'études Ouranos que nous tenons à remercier publiquement, c'est un document exclusif que nous vous proposons aujourd'hui.
Nous avons choisi, en effet, de vous présenter les moments les plus "vibrants" de la "conquête OVNI" dans le Sud-Est de la France.
Des observations, des témoignages recueillis par des enquêteurs "de métier" depuis 1949. La liste était longue, un tri s'imposait.
Nous avons choisi les cas les plus représentatifs, nous les soumettons à votre jugement:
19 octobre 1949:
M. Laurent Bernard, son ami M. Durocher, tous deux Marseillais, aperçoivent une boule de feu suivie d'une traînée égale à dix fois son diamètre [description évidente d'une météore]. Sensiblement à la même heure, observation d'un aérolite ou soucoupe volante au-dessus d'Avignon [voir ici].
15 juin 1951:
Deux pilotes, MM. Prio et Galibert de la base militaire d'Orange, effectuent un vol d'entraînement au-dessus de la ville: ils volent dans le ciel sans nuage quand ils aperçoivent un "objet" à reflets métalliques. L'engin de forme circulaire est immobile. Les pilotes virent de cap pour s'en approcher: le disque bascule sur lui-même et s'éloigne à grande vitesse... Les pilotes le poursuivront en vain. Pendant "la chasse", la communication des deux pilotes a été enregistrée par la base. [Cette observation n'a toujours pas d'explication banale convaincante.]
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Re: Les ovnis dans la presse en 1977
Ven 30 Nov 2007, 23:17
27 octobre 1952:
A l'aéroport de Marignane, le douanier M. Gachignard de service de nuit voit une sorte de "cigare" (6 mètres de long, 1 mètre de haut) se poser sur l'une des pistes. L'engin décolle en deux minutes, laissant une traînée d'étincelles derrière lui. [Cette observation n'a toujours pas d'explication banale convaincante.]
4 janvier 1954:
A Marignane, M. Chesneau, pompier de son état, de garde dans un hangar de l'aéroport, aperçoit un engin descendant à vitesse modérée en direction de la piste. Il se pose puis redécolle. Le jour venu, découverte de tigelles recourbées de 15 cm de long)... Black-out sur l'affaire! [Cette observation n'a toujours pas d'explication banale convaincante. Cependant, il n'y a eu aucun "black-out", et les tigelles n'avaient rien à voir avec l'OVNI en question.]
17 octobre 1954:
A Villeneuve (Alpes de Haute-Provence), un chasseur bat la campagne avec son chien quand il voit un engin circulaire gris métallisé de 5 m. de diamètre et 1 m. de haut. L'ensemble est surmonté d'un dôme: deux petits hommes casqués en sortent. Terrorisé, le chasseur s'enfuit, son chien se précipite en avant, puis bat en retraite comme partiellement paralysé. [Cette observation n'a toujours pas d'explication banale convaincante.]
10 décembre 1955:
Une mystérieuse luminosité se produit dans le ciel de Haute-Provence provoquant un renouveau du jour au crépuscule tombant. Cette luminosité donnait une "ambiance" verte aux éclairages extérieurs et intérieurs.
Le 1er juillet 1965:
A Valensole, un agriculteur, M. Masse aperçoit un engin bizarre posé dans son champ de lavande. L'engin reposant sur "des béquilles" avait la forme d'un ballon ovale et les dimensions d'une voiture. Deux êtres sont aux pieds de l'appareil: taille 1 mètre environ, têtes plus importantes que la normale, vêtus d'une combinaison sombre. M. Masse s'avance vers eux: l'un des deux "humanoïdes" le paralyse à l'aide d'une sorte de "tube". Cette personne restera très longtemps particulièrement choquée. [Cette observation n'a toujours pas d'explication banale convaincante.]
Le 29 janvier 1968:
Atterrissage d'une soucoupe entre Fos-sur-Mer et Port-Saint-Louis. Un témoin s'approche à moins de 6 mètres de l'appareil. De la soucoupe émerge un être d'apparence humaine. 1.50 m environ, cheveux blonds ou blancs, mince. L'humanoïde aperçoit le témoin et réintègre aussitôt l'habitacle. [Cette observation n'a toujours pas d'explication banale convaincante, mais est fort peu documentée (source pour le rapport Jimmy Guieu).]
Le 17 avril 1975:
M. Foucher et sa fiancée roulent de nuit sur la route de Cassis. Un engin "bizarre" vient à leur rencontre: diamètre 15 mètres, muni de phares blancs éblouissants et de quatre lumières plus petites, de couleur rouge. Les témoins, s'ils sont surpris, n'en sont pas effrayés pour autant. Ils envoient même des appels de phares... L'engin répond du tac au tac, allumant puis éteignant ses propres "codes". Il disparaît quelques minutes plus tard à hauteur du camp militaire de Carpiagne.
Le 15 mars 1976:
A Erbluga en Corse: deux jeunes gens sont arrêtés au bord de la route. Dans leur voiture, la radio fonctionne. soudain, ils se sentent observés. Au-dessus d'eux, trois petits êtres... Effrayés, ils partent avec précipitation, cabossant même les ailes de leur voiture. Ils stoppent un peu plus loin pour voir derrière eux un objet lumineux quitter le sol. Pendant cette observation, signalons que la radio est tombée en panne... [Dossier ici.]
Le 16 mai 1976:
A Puget-sur-Durance, quatre témoins aperçoivent sur un îlot un objet en forme de dôme. L'engin posé sur le sol parait solide, métallique. Sur place, des traces de pneus ont été relevés. Effectivement, seul un engin amphibie pouvait aller sur cet îlot. Renseignement pris, des manoeuvres militaires avaient bien eu lieu à cet endroit, mais le 14 mai, deux jours avant l'observation. [Voir cet article.]
Ces différents cas n'ont, bien entendu, valeur que de témoignage et n'engagent que l'honnêteté de leurs auteurs.
Gérard LE MAOUT.
LES OVNIS EN FRANCE, 1977:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Parisien Libéré, France, page 4, le 3 septembre 1977.
LA FRANCE ETUDIE DEPUIS 23 ANS LE PHENOMENE O.V.N.I.
En créant un groupe d'études des phénomènes aérospatiaux non identifiés (GEPAN) comme nous l'annoncions dans notre édition d'hier, le CNES ne va pas traquer les soucoupes volantes et les petits hommes verts, mais étudier scientifiquement certains phénomènes physiques inexpliqués dont de nombreux observateurs apportent le témoignage.
Il ne s'agit donc pas non plus pour le Centre National d'Etudes spatiales de s'interroger sur l'existence des extra-terrestres. Cette mission, il la laisse aux Américains et aux Soviétiques qui lancent des messages à l'intention de ces "autres civilisations" par le canal de gigantesques antennes de radio ou par celui des sondes spatiales comme les "Pionner" dans le passé et plus récemment "Voyager".
Avec le GEPAN, le CNES va analyser et traiter avec les moyens les plus modernes les témoignages d'observation de la proche banlieue terrestre que l'on ne peut attribuer ni à des ballons sondes, ni à des lancements de satellites, ni à des évolutions d'avions, ni à des météores, ou à des phénomènes optiques, connus (foudre, aurore boréale, nuage) physique ou électriques qui prennent naissance dans la haute atmosphère.
90% DE PHENOMENES CONNUS
Bien souvent, en effet, des témoins oculaires de bonne foi - les enquêtes ultérieures l'ont démontré - ont associé à tort certains de ces phénomènes naturels à des manifestations d'OVNI (Objets Volants Non Identifiés). Or, si l'on en croit le Dr. Edward Condon chargé dès 1966 par l'US Air Force de rédiger un rapport exhaustif sur le phénomène des OVNI, "Dans 90 pour cent des cas, on a affaire à des phénomènes connus, mais aucune explication rationnelle ne peut être donnée pour les 10 pour cent restants."
Et le Dr. Condon d'ajouter: "Comme la plupart des hommes de sciences, je pense que le phénomène OVNI est improbable, mais je ne pense pas qu'il soit impossible".
Deux ans de travail et un demi millions de dollars (250 millions d'AF) furent nécessaires pour aboutir à ces conclusions. En décembre 1969, le Pentagone décidait de liquider son groupe de recherches sur ce sujet et publiait un livre blanc dans lequel il expliquait "Qu'aucun de ces phénomènes ne s'était jamais révélé être une menace pour la sécurité des Etats-Unis".
Une page était tournée. L'ancien ministre français des Armées et de la Recherche, Robert Galley, allait ouvrir un nouveau chapitre de ce dossier.
Il révélait en 1974, qu'avait été créée dès 1954 au Ministère des Armées, une section de réflexion et de recueil des témoignages sur les phénomènes OVNIS qui, jusqu'en 1970, "avait effectivement réuni une cinquantaine de témoignages troublants sur des choses inexpliquées".
Cet ensemble de témoignages de gendarmes, de pilotes, d'observateurs radar, fut alors remis au groupement d'étude des phénomènes aériens et au Centre National d'Etudes Spatiales ou M. Claude Poher, se livra, à titre personnel, à une réflexion sur ce sujet.
Il déclarait au terme de son étude "Nous sommes en présence d'un phénomène réellement observé par les témoins qui ne peut être expliqué par aucun phénomène connu observable dans le ciel", et il émettait le voeu qu'un organisme officiel en inscrive l'étude à son programme, même à un très faible niveau de financement.
C'est aujourd'hui chose faite, puisque M. Claude Poher, chef de la division science au Centre Spatial de Toulouse va prendre la direction du GEPAN. A lui d'intéresser à ce problème des personnalités scientifiques extérieures qui voudront bien se pencher sur ce sujet "avec, comme le disait M. Galley, une attitude d'esprit extrêmement ouverte". Car ainsi que l'ont souligné les derniers congrès qui se sont tenus cette année sur les OVNIS à Chicago et à Poitiers, "il d'agit moins de prouver l'existence des OVNIS que de leur donner une explication".
"EXTRA TERRESTRE" EN ITALIE...
AVELLINO - Un "extra-terrestre" mesurant plus de deux mètres de haut, porteur d'un casque lumineux et se déplaçant à bord d'un engin spatial a été aperçu non loin d'Avellino (Italie) par sept personnes.
L'engin spatial, entouré d'un faisceau de lumières multicolores, a d'abord été vu par deux étudiants au moment où il atterrissait, en pleine nuit, dans un champ. Son occupant, un "géant qui marchait lentement", selon les deux jeunes gens, se serait avancé dans leur direction, provoquant leur fuite.
Quelques instants plus tard, accompagnés de cinq autres personnes, les deux étudiants sont retournés vers l'engin spatial.
L'"extra-terrestre" y était toujours, ont-ils dit, et surpris par le faisceau de leur lampe électrique, il aurait envoyé dans leur direction un rayon de lumière phosphorescente, qui aurait provoqué une nouvelle fois leur fuite.
Le maire de Sturno, hameau voisin du lieu où a atterri "l'extra-terrestre" a constaté que l'emplacement qu'occupait l'engin spatial était délimité par trois trous qui formaient un triangle isocèle parfait.
A l'aéroport de Marignane, le douanier M. Gachignard de service de nuit voit une sorte de "cigare" (6 mètres de long, 1 mètre de haut) se poser sur l'une des pistes. L'engin décolle en deux minutes, laissant une traînée d'étincelles derrière lui. [Cette observation n'a toujours pas d'explication banale convaincante.]
4 janvier 1954:
A Marignane, M. Chesneau, pompier de son état, de garde dans un hangar de l'aéroport, aperçoit un engin descendant à vitesse modérée en direction de la piste. Il se pose puis redécolle. Le jour venu, découverte de tigelles recourbées de 15 cm de long)... Black-out sur l'affaire! [Cette observation n'a toujours pas d'explication banale convaincante. Cependant, il n'y a eu aucun "black-out", et les tigelles n'avaient rien à voir avec l'OVNI en question.]
17 octobre 1954:
A Villeneuve (Alpes de Haute-Provence), un chasseur bat la campagne avec son chien quand il voit un engin circulaire gris métallisé de 5 m. de diamètre et 1 m. de haut. L'ensemble est surmonté d'un dôme: deux petits hommes casqués en sortent. Terrorisé, le chasseur s'enfuit, son chien se précipite en avant, puis bat en retraite comme partiellement paralysé. [Cette observation n'a toujours pas d'explication banale convaincante.]
10 décembre 1955:
Une mystérieuse luminosité se produit dans le ciel de Haute-Provence provoquant un renouveau du jour au crépuscule tombant. Cette luminosité donnait une "ambiance" verte aux éclairages extérieurs et intérieurs.
Le 1er juillet 1965:
A Valensole, un agriculteur, M. Masse aperçoit un engin bizarre posé dans son champ de lavande. L'engin reposant sur "des béquilles" avait la forme d'un ballon ovale et les dimensions d'une voiture. Deux êtres sont aux pieds de l'appareil: taille 1 mètre environ, têtes plus importantes que la normale, vêtus d'une combinaison sombre. M. Masse s'avance vers eux: l'un des deux "humanoïdes" le paralyse à l'aide d'une sorte de "tube". Cette personne restera très longtemps particulièrement choquée. [Cette observation n'a toujours pas d'explication banale convaincante.]
Le 29 janvier 1968:
Atterrissage d'une soucoupe entre Fos-sur-Mer et Port-Saint-Louis. Un témoin s'approche à moins de 6 mètres de l'appareil. De la soucoupe émerge un être d'apparence humaine. 1.50 m environ, cheveux blonds ou blancs, mince. L'humanoïde aperçoit le témoin et réintègre aussitôt l'habitacle. [Cette observation n'a toujours pas d'explication banale convaincante, mais est fort peu documentée (source pour le rapport Jimmy Guieu).]
Le 17 avril 1975:
M. Foucher et sa fiancée roulent de nuit sur la route de Cassis. Un engin "bizarre" vient à leur rencontre: diamètre 15 mètres, muni de phares blancs éblouissants et de quatre lumières plus petites, de couleur rouge. Les témoins, s'ils sont surpris, n'en sont pas effrayés pour autant. Ils envoient même des appels de phares... L'engin répond du tac au tac, allumant puis éteignant ses propres "codes". Il disparaît quelques minutes plus tard à hauteur du camp militaire de Carpiagne.
Le 15 mars 1976:
A Erbluga en Corse: deux jeunes gens sont arrêtés au bord de la route. Dans leur voiture, la radio fonctionne. soudain, ils se sentent observés. Au-dessus d'eux, trois petits êtres... Effrayés, ils partent avec précipitation, cabossant même les ailes de leur voiture. Ils stoppent un peu plus loin pour voir derrière eux un objet lumineux quitter le sol. Pendant cette observation, signalons que la radio est tombée en panne... [Dossier ici.]
Le 16 mai 1976:
A Puget-sur-Durance, quatre témoins aperçoivent sur un îlot un objet en forme de dôme. L'engin posé sur le sol parait solide, métallique. Sur place, des traces de pneus ont été relevés. Effectivement, seul un engin amphibie pouvait aller sur cet îlot. Renseignement pris, des manoeuvres militaires avaient bien eu lieu à cet endroit, mais le 14 mai, deux jours avant l'observation. [Voir cet article.]
Ces différents cas n'ont, bien entendu, valeur que de témoignage et n'engagent que l'honnêteté de leurs auteurs.
Gérard LE MAOUT.
LES OVNIS EN FRANCE, 1977:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Parisien Libéré, France, page 4, le 3 septembre 1977.
LA FRANCE ETUDIE DEPUIS 23 ANS LE PHENOMENE O.V.N.I.
En créant un groupe d'études des phénomènes aérospatiaux non identifiés (GEPAN) comme nous l'annoncions dans notre édition d'hier, le CNES ne va pas traquer les soucoupes volantes et les petits hommes verts, mais étudier scientifiquement certains phénomènes physiques inexpliqués dont de nombreux observateurs apportent le témoignage.
Il ne s'agit donc pas non plus pour le Centre National d'Etudes spatiales de s'interroger sur l'existence des extra-terrestres. Cette mission, il la laisse aux Américains et aux Soviétiques qui lancent des messages à l'intention de ces "autres civilisations" par le canal de gigantesques antennes de radio ou par celui des sondes spatiales comme les "Pionner" dans le passé et plus récemment "Voyager".
Avec le GEPAN, le CNES va analyser et traiter avec les moyens les plus modernes les témoignages d'observation de la proche banlieue terrestre que l'on ne peut attribuer ni à des ballons sondes, ni à des lancements de satellites, ni à des évolutions d'avions, ni à des météores, ou à des phénomènes optiques, connus (foudre, aurore boréale, nuage) physique ou électriques qui prennent naissance dans la haute atmosphère.
90% DE PHENOMENES CONNUS
Bien souvent, en effet, des témoins oculaires de bonne foi - les enquêtes ultérieures l'ont démontré - ont associé à tort certains de ces phénomènes naturels à des manifestations d'OVNI (Objets Volants Non Identifiés). Or, si l'on en croit le Dr. Edward Condon chargé dès 1966 par l'US Air Force de rédiger un rapport exhaustif sur le phénomène des OVNI, "Dans 90 pour cent des cas, on a affaire à des phénomènes connus, mais aucune explication rationnelle ne peut être donnée pour les 10 pour cent restants."
Et le Dr. Condon d'ajouter: "Comme la plupart des hommes de sciences, je pense que le phénomène OVNI est improbable, mais je ne pense pas qu'il soit impossible".
Deux ans de travail et un demi millions de dollars (250 millions d'AF) furent nécessaires pour aboutir à ces conclusions. En décembre 1969, le Pentagone décidait de liquider son groupe de recherches sur ce sujet et publiait un livre blanc dans lequel il expliquait "Qu'aucun de ces phénomènes ne s'était jamais révélé être une menace pour la sécurité des Etats-Unis".
Une page était tournée. L'ancien ministre français des Armées et de la Recherche, Robert Galley, allait ouvrir un nouveau chapitre de ce dossier.
Il révélait en 1974, qu'avait été créée dès 1954 au Ministère des Armées, une section de réflexion et de recueil des témoignages sur les phénomènes OVNIS qui, jusqu'en 1970, "avait effectivement réuni une cinquantaine de témoignages troublants sur des choses inexpliquées".
Cet ensemble de témoignages de gendarmes, de pilotes, d'observateurs radar, fut alors remis au groupement d'étude des phénomènes aériens et au Centre National d'Etudes Spatiales ou M. Claude Poher, se livra, à titre personnel, à une réflexion sur ce sujet.
Il déclarait au terme de son étude "Nous sommes en présence d'un phénomène réellement observé par les témoins qui ne peut être expliqué par aucun phénomène connu observable dans le ciel", et il émettait le voeu qu'un organisme officiel en inscrive l'étude à son programme, même à un très faible niveau de financement.
C'est aujourd'hui chose faite, puisque M. Claude Poher, chef de la division science au Centre Spatial de Toulouse va prendre la direction du GEPAN. A lui d'intéresser à ce problème des personnalités scientifiques extérieures qui voudront bien se pencher sur ce sujet "avec, comme le disait M. Galley, une attitude d'esprit extrêmement ouverte". Car ainsi que l'ont souligné les derniers congrès qui se sont tenus cette année sur les OVNIS à Chicago et à Poitiers, "il d'agit moins de prouver l'existence des OVNIS que de leur donner une explication".
"EXTRA TERRESTRE" EN ITALIE...
AVELLINO - Un "extra-terrestre" mesurant plus de deux mètres de haut, porteur d'un casque lumineux et se déplaçant à bord d'un engin spatial a été aperçu non loin d'Avellino (Italie) par sept personnes.
L'engin spatial, entouré d'un faisceau de lumières multicolores, a d'abord été vu par deux étudiants au moment où il atterrissait, en pleine nuit, dans un champ. Son occupant, un "géant qui marchait lentement", selon les deux jeunes gens, se serait avancé dans leur direction, provoquant leur fuite.
Quelques instants plus tard, accompagnés de cinq autres personnes, les deux étudiants sont retournés vers l'engin spatial.
L'"extra-terrestre" y était toujours, ont-ils dit, et surpris par le faisceau de leur lampe électrique, il aurait envoyé dans leur direction un rayon de lumière phosphorescente, qui aurait provoqué une nouvelle fois leur fuite.
Le maire de Sturno, hameau voisin du lieu où a atterri "l'extra-terrestre" a constaté que l'emplacement qu'occupait l'engin spatial était délimité par trois trous qui formaient un triangle isocèle parfait.
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Re: Les ovnis dans la presse en 1977
Ven 30 Nov 2007, 23:26
LES OVNIS ET LA PRESSE FRANCAISE DE 1977:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Provençal, France, page 2, le 8 septembre 1977.
Qui a vu l'OVNI? Le GREPO communique:
Le vendredi 2 septembre vers 21 h. 30, M. D. habitant Pertuis, regagnait son domicile lorsque 2 km avant l'entrée de la ville son attention fut attirée par un objet émettant une forte luminosité. D'après le témoin cet objet se trouvait à une altitude de 400 m à peu près et semblait se déplacer dans le sens Nord-Est, Sud-Ouest.
M. D. put néanmoins observer cet objet pendant 1 minute environ et estimer sa longueur à une trentaine de mètres.
Cet objet avait la forme d'un cigare et l'ensemble émettait une forte luminosité bleuâtre. Puis il décrivit un large arc de cercle à une vitesse très supérieure à celle d'un avion à réaction.
Si d'autres personnes ont pu faire cette observation, nous leur demandons de se faire connaître le plus rapidement possible au GREPO. M. Rober Frachino [sic, probablement "Robert"], 3 rue des Fourches, 84360 Lauris, tél 65. Nous assurons aux éventuels témoins que l'anonymat le plus complet sera respecté.
En outre, nous rappelons que si des personnes sont intéressées par l'étude et la recherche sur le phénomène OVNI, elles peuvent s'adresser à l'adresse précitée.
OVNIS DANS LA PRESSE FRANCAISE, 1977:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Parisien Libéré, France, page 8, le 12 septembre 1977.
O.V.N.I. sur Saint-Germain
Les occupants d'une voiture circulant sur la RN 308, le long de la forêt de Saint-Germain (Yvelines) ont aperçu hier matin, vers 7h30, un phénomène étrange: une lueur, allongée, qui se déplaçait lentement dans le ciel.
Ils alertèrent immédiatement le commissariat de police le plus proche, celui de Maisons-Lafitte.
Une voiture de patrouille, avec plusieurs policiers à bord, se rendit aussitôt sur les lieux. Les agents virent effectivement cette longue traînée lumineuse s'éloigner dans le ciel, en direction de l'Ouest, passant du rose au rouge-orange, avant de s'estomper progressivement. [Bonne description d'un nuage noctilucent.]
... et au-dessus du Tchad
N'DJAMENA. -- Les amateurs de soucoupes volantes pourront désormais exercer leur curiosité au Tchad, où viennent de se produire au cours de la même nuit plusieurs phénomènes "extraterrestres", ainsi que les a définis l'agence tchadienne de presse (ATP) dans son bulletin.
Selon l'ATP, ces "phénomènes étranges" se sont produits dans la nuit du 7 au 8 septembre, au-dessus de N'Djamena, et de Krim-Krim et Beinamar, deux villes situées à quelque 400 kilomètres au Sud de la capitale.
L'agence, citant des témoins de N'Djamena, rapporte qu'un objet lumineux "d'aspect nébuleux" et "volant lentement et à basse altitude" a traversé vers 20 heures le ciel du Nord au Sud.
Une heure plus tard, à Krim-Krim, douze détonations auraient retenti, à basse altitude et accompagnées d'éclairs. Enfin, toujours au cours de la même nuit, Beinamar, sous-préfecture proche de Krim-Krim, aurait été survolée par "onze lumières en forme de mirages".
En l'absence d'explications scientifique, l'agence tchadienne de presse indique que la météorologie nationale tchadienne n'écarte pas l'hypothèse d'une météorite ou d'objets volants non identifiés (O.V.N.I.).
RR3 A PORTORICO, 1977:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien La Presse, Montréal, Québec, Canada, page D1, 20 septembre 1977.
SAN JUAN (AFP). -- Un paysan porto-ricain a révélé, hier à la presse qu'il avait été soumis à un examen médical par un extraterrestre il y a quelques jours dans une localité située près de la ville de Corozal, à quelque 15 kilomètres au Nord-Est de San Juan. Le paysan Luis Sandoval, âgé de 74 ans, qui a fait cette révélation au quotidien porto-ricain "El Vocero", a raconté avec calme étonnant qu'un petit homme, dont la taille ne dépassait pas un mètre, était descendu enveloppé d'une flamme verte à l'endroit où il avait l'habitude de se reposer dans la soirée.
Le petit homme, a poursuivi M. Sandoval, après lui avoir examiné les pieds, la tête, les genoux et la poitrine, a disparu en un éclair dans un bruit semblable à celui que produisent les avions lorsqu'ils atterrissent.
M. Sandoval qui a montré au rédacteur et au photographe du journal les feuilles desséchées des arbres à l'endroit où l'étranger visiteur a fait son apparition, a précisé que celui-ci avait un visage rond et des narines aussi grandes que celles d'un gorille.
OVNIS DANS LA PRESSE FRANCAISE, 1977:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Parisien Libéré, France, page 20, le 21 septembre 1977.
O.V.N.I. PONCTUEL DANS LE CIEL ESPAGNOL
HUESCA (Espagne). -- Des personnalités scientifiques de Madrid et de Valence ont confirmé la présence, depuis plus d'un mois, d'un objet volant non identifié (OVNI) dans la région de Pousilibro (province de Huesca, dans le Nord de l'Espagne).
L'OVNI, selon les scientifiques qui l'ont étudié au moyen d'appareils perfectionnés, a une forme ronde, et émet des lumières vertes et rouges.
Depuis la date de sa première apparition, le 10 août, l'appareil passe avec régularité, chaque jour, entre 21h30 et 22h30 (heures locales) toujours à la même allure (égale à la vitesse de la rotation de la terre), mais à une altitude, chaque jour, plus haute, il disparaît ensuite à 1h35 (locale).
Des scientifiques français, notamment de l'université de Bordeaux vont se rendre sur les lieux, afin d'étudier le phénomène.
AUSCULTE PAR UN "EXTRATERRESTRE"
SAN JUAN. -- Un paysan Portoricain, a révélé à la presse qu'il avait été soumis à un examen médical par un "extra-terrestre", il y a quelques jours, dans une localité située près de la ville de Corozal, à quelques 45 kilomètres au nord-est de San Juan.
Le paysan, Luis Sandoval, 74 ans, qui a fait cette révélation au quotidien porto-ricain "El Vocero", a raconté qu'un petit homme, dont la taille ne dépassait pas un mètre était descendu, enveloppé d'une flamme verte, à l'endroit où il avait l'habitude de se reposer dans la soirée.
Le petit homme, a poursuivi M. Sandoval, après lui avoir examiné, les pieds, la tête, les genoux et la poitrine, a disparu en un éclair, dans un bruit semblable à celui que produisent les avions quand ils atterrissent.
M. Sandoval, qui a montré au rédacteur et au photographe du journal les feuilles désséchées des arbres à l'endroit où l'étrange visiteur a fait son apparition, a précisé que celui-ci avait un visage rond et des narines aussi grandes que celle d'un gorille...
OVNI SUR ISTRE, 1977:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Provençal, France, page 8, le 28 septembre 1977.
Des O.V.N.I. sur Istres?
MARTIGUES (de notre agence).
- Des objets volants non identifiés ont-ils survolé Istres vendredi 23 septembre vers minuit? M. Claude Soatto, un habitant de cette ville, a déclaré avoir aperçu pendant une minute deux de ces engins, de forme circulaire, éclairés en-dessous. Ils suivaient une trajectoire nord-ouest, sud-est, c'est à dire traversant l'étang de Berre et se dirigeant sur Marseille. La brigade de gendarmerie d'Istres a ouvert une enquête.
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Provençal, France, page 2, le 8 septembre 1977.
Qui a vu l'OVNI? Le GREPO communique:
Le vendredi 2 septembre vers 21 h. 30, M. D. habitant Pertuis, regagnait son domicile lorsque 2 km avant l'entrée de la ville son attention fut attirée par un objet émettant une forte luminosité. D'après le témoin cet objet se trouvait à une altitude de 400 m à peu près et semblait se déplacer dans le sens Nord-Est, Sud-Ouest.
M. D. put néanmoins observer cet objet pendant 1 minute environ et estimer sa longueur à une trentaine de mètres.
Cet objet avait la forme d'un cigare et l'ensemble émettait une forte luminosité bleuâtre. Puis il décrivit un large arc de cercle à une vitesse très supérieure à celle d'un avion à réaction.
Si d'autres personnes ont pu faire cette observation, nous leur demandons de se faire connaître le plus rapidement possible au GREPO. M. Rober Frachino [sic, probablement "Robert"], 3 rue des Fourches, 84360 Lauris, tél 65. Nous assurons aux éventuels témoins que l'anonymat le plus complet sera respecté.
En outre, nous rappelons que si des personnes sont intéressées par l'étude et la recherche sur le phénomène OVNI, elles peuvent s'adresser à l'adresse précitée.
OVNIS DANS LA PRESSE FRANCAISE, 1977:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Parisien Libéré, France, page 8, le 12 septembre 1977.
O.V.N.I. sur Saint-Germain
Les occupants d'une voiture circulant sur la RN 308, le long de la forêt de Saint-Germain (Yvelines) ont aperçu hier matin, vers 7h30, un phénomène étrange: une lueur, allongée, qui se déplaçait lentement dans le ciel.
Ils alertèrent immédiatement le commissariat de police le plus proche, celui de Maisons-Lafitte.
Une voiture de patrouille, avec plusieurs policiers à bord, se rendit aussitôt sur les lieux. Les agents virent effectivement cette longue traînée lumineuse s'éloigner dans le ciel, en direction de l'Ouest, passant du rose au rouge-orange, avant de s'estomper progressivement. [Bonne description d'un nuage noctilucent.]
... et au-dessus du Tchad
N'DJAMENA. -- Les amateurs de soucoupes volantes pourront désormais exercer leur curiosité au Tchad, où viennent de se produire au cours de la même nuit plusieurs phénomènes "extraterrestres", ainsi que les a définis l'agence tchadienne de presse (ATP) dans son bulletin.
Selon l'ATP, ces "phénomènes étranges" se sont produits dans la nuit du 7 au 8 septembre, au-dessus de N'Djamena, et de Krim-Krim et Beinamar, deux villes situées à quelque 400 kilomètres au Sud de la capitale.
L'agence, citant des témoins de N'Djamena, rapporte qu'un objet lumineux "d'aspect nébuleux" et "volant lentement et à basse altitude" a traversé vers 20 heures le ciel du Nord au Sud.
Une heure plus tard, à Krim-Krim, douze détonations auraient retenti, à basse altitude et accompagnées d'éclairs. Enfin, toujours au cours de la même nuit, Beinamar, sous-préfecture proche de Krim-Krim, aurait été survolée par "onze lumières en forme de mirages".
En l'absence d'explications scientifique, l'agence tchadienne de presse indique que la météorologie nationale tchadienne n'écarte pas l'hypothèse d'une météorite ou d'objets volants non identifiés (O.V.N.I.).
RR3 A PORTORICO, 1977:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien La Presse, Montréal, Québec, Canada, page D1, 20 septembre 1977.
SAN JUAN (AFP). -- Un paysan porto-ricain a révélé, hier à la presse qu'il avait été soumis à un examen médical par un extraterrestre il y a quelques jours dans une localité située près de la ville de Corozal, à quelque 15 kilomètres au Nord-Est de San Juan. Le paysan Luis Sandoval, âgé de 74 ans, qui a fait cette révélation au quotidien porto-ricain "El Vocero", a raconté avec calme étonnant qu'un petit homme, dont la taille ne dépassait pas un mètre, était descendu enveloppé d'une flamme verte à l'endroit où il avait l'habitude de se reposer dans la soirée.
Le petit homme, a poursuivi M. Sandoval, après lui avoir examiné les pieds, la tête, les genoux et la poitrine, a disparu en un éclair dans un bruit semblable à celui que produisent les avions lorsqu'ils atterrissent.
M. Sandoval qui a montré au rédacteur et au photographe du journal les feuilles desséchées des arbres à l'endroit où l'étranger visiteur a fait son apparition, a précisé que celui-ci avait un visage rond et des narines aussi grandes que celles d'un gorille.
OVNIS DANS LA PRESSE FRANCAISE, 1977:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Parisien Libéré, France, page 20, le 21 septembre 1977.
O.V.N.I. PONCTUEL DANS LE CIEL ESPAGNOL
HUESCA (Espagne). -- Des personnalités scientifiques de Madrid et de Valence ont confirmé la présence, depuis plus d'un mois, d'un objet volant non identifié (OVNI) dans la région de Pousilibro (province de Huesca, dans le Nord de l'Espagne).
L'OVNI, selon les scientifiques qui l'ont étudié au moyen d'appareils perfectionnés, a une forme ronde, et émet des lumières vertes et rouges.
Depuis la date de sa première apparition, le 10 août, l'appareil passe avec régularité, chaque jour, entre 21h30 et 22h30 (heures locales) toujours à la même allure (égale à la vitesse de la rotation de la terre), mais à une altitude, chaque jour, plus haute, il disparaît ensuite à 1h35 (locale).
Des scientifiques français, notamment de l'université de Bordeaux vont se rendre sur les lieux, afin d'étudier le phénomène.
AUSCULTE PAR UN "EXTRATERRESTRE"
SAN JUAN. -- Un paysan Portoricain, a révélé à la presse qu'il avait été soumis à un examen médical par un "extra-terrestre", il y a quelques jours, dans une localité située près de la ville de Corozal, à quelques 45 kilomètres au nord-est de San Juan.
Le paysan, Luis Sandoval, 74 ans, qui a fait cette révélation au quotidien porto-ricain "El Vocero", a raconté qu'un petit homme, dont la taille ne dépassait pas un mètre était descendu, enveloppé d'une flamme verte, à l'endroit où il avait l'habitude de se reposer dans la soirée.
Le petit homme, a poursuivi M. Sandoval, après lui avoir examiné, les pieds, la tête, les genoux et la poitrine, a disparu en un éclair, dans un bruit semblable à celui que produisent les avions quand ils atterrissent.
M. Sandoval, qui a montré au rédacteur et au photographe du journal les feuilles désséchées des arbres à l'endroit où l'étrange visiteur a fait son apparition, a précisé que celui-ci avait un visage rond et des narines aussi grandes que celle d'un gorille...
OVNI SUR ISTRE, 1977:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Provençal, France, page 8, le 28 septembre 1977.
Des O.V.N.I. sur Istres?
MARTIGUES (de notre agence).
- Des objets volants non identifiés ont-ils survolé Istres vendredi 23 septembre vers minuit? M. Claude Soatto, un habitant de cette ville, a déclaré avoir aperçu pendant une minute deux de ces engins, de forme circulaire, éclairés en-dessous. Ils suivaient une trajectoire nord-ouest, sud-est, c'est à dire traversant l'étang de Berre et se dirigeant sur Marseille. La brigade de gendarmerie d'Istres a ouvert une enquête.
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