- Sébastien.Equipe du forum
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Un drone qui pourra apprendre par lui-même
Dim 23 Nov 2014, 18:00
http://www.usine-digitale.fr/article/des-neurones-dans-un-drone.N298266
Équipe d’une puce électronique constituée de neurones en silicium, un drone pourrait faire son propre apprentissage en assimilant les caractéristiques d’un lieu ou d’un paysage lors d’un premier survol.
C’est ce que tente de faire des chercheurs des laboratoires HRL (détenus par GM et Boeing), financés par la Darpa.
Les puces électroniques neuromorphiques sont des circuits intégrés qui miment la structure et le fonctionnement du cerveau : les connexions entre les unités de base - les neurones - s’établissent en réponse aux stimuli reçus via des canaux visuels, auditifs ou autres.
Les réseaux de neurones, biologiques ou artificiels, sont en particulier doués pour reconnaître et identifier des formes ou des signaux, après un apprentissage sur le terrain.
Une équipe des laboratoires HRL, un centre de recherche conjoint de GM et Boeing, a décidé de tester cette technologie au profit des drones. Ils ont donc embarqué une puce de 576 neurones sur un drone spécialement conçu par le fabricant californien Aerovironment.
Un engin ultra léger : 93 grammes, batterie comprise. La puce, elle, ne pèse que 18 grammes.
Et surtout, elle fonctionne avec seulement 50 milliwatts de puissance. Car c’est un autre avantage des puces neuromorphiques de savoir réaliser des tâches complexes en consommant peu d’énergie. La puce embarquée reçoit et traite des données fournies par des capteurs optiques, infra-rouge ou à ultrasons.
Les premiers essais, assurent les chercheurs de HRL, ont confirmé qu’un tel système était capable d’apprentissage en vol. Les tests ont été financés par l’agence de la défense américaine, la Darpa, dans le cadre du projet Synapse sur les circuits électroniques neuromorphiques, auquel participe notamment IBM.
Équipe d’une puce électronique constituée de neurones en silicium, un drone pourrait faire son propre apprentissage en assimilant les caractéristiques d’un lieu ou d’un paysage lors d’un premier survol.
C’est ce que tente de faire des chercheurs des laboratoires HRL (détenus par GM et Boeing), financés par la Darpa.
Les puces électroniques neuromorphiques sont des circuits intégrés qui miment la structure et le fonctionnement du cerveau : les connexions entre les unités de base - les neurones - s’établissent en réponse aux stimuli reçus via des canaux visuels, auditifs ou autres.
Les réseaux de neurones, biologiques ou artificiels, sont en particulier doués pour reconnaître et identifier des formes ou des signaux, après un apprentissage sur le terrain.
Une équipe des laboratoires HRL, un centre de recherche conjoint de GM et Boeing, a décidé de tester cette technologie au profit des drones. Ils ont donc embarqué une puce de 576 neurones sur un drone spécialement conçu par le fabricant californien Aerovironment.
Un engin ultra léger : 93 grammes, batterie comprise. La puce, elle, ne pèse que 18 grammes.
Et surtout, elle fonctionne avec seulement 50 milliwatts de puissance. Car c’est un autre avantage des puces neuromorphiques de savoir réaliser des tâches complexes en consommant peu d’énergie. La puce embarquée reçoit et traite des données fournies par des capteurs optiques, infra-rouge ou à ultrasons.
Les premiers essais, assurent les chercheurs de HRL, ont confirmé qu’un tel système était capable d’apprentissage en vol. Les tests ont été financés par l’agence de la défense américaine, la Darpa, dans le cadre du projet Synapse sur les circuits électroniques neuromorphiques, auquel participe notamment IBM.
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