Page 20 sur 20 • 1 ... 11 ... 18, 19, 20
- HocineEquipe du forum
Age : 80
Nombre de messages : 2402
Inscription : 18/06/2007
Localisation : Afrique du Nord
Emploi : retraité
Règlement : Règlement
Points de Participation : 10895
Re: Dyatlov - OVNI ou affaire militaire?
Sam 09 Oct 2021, 00:01
Suite de la deuxième partie de mon récit sur cette affaire de 1954 (voir mon post précédent)
La journée dans ce lieu, elle était passée sans aucun problème, mais vers la fin de l’après midi, le soleil commençait à se faire disparaître à l’horizon, j’étais à l’extérieur de la bâtisse , et je ne m’aventurais pas très loin de mes miens et de cette vielle maison, l’environnement et se silence dans ce lieu me faisais un peu peur, j’avais un sentiment, que je n’étais pas en sécurité, même le chien de ce lieu, qui me tenait compagnie ; il n’était plus là, mon attention fut attirer par deux ou trois buissons pas très loin de moi , il m’a semblé , que ces buissons bougeaient anormalement , alors qu’il n’y avait aucun souffle d’air , et c’était chaque fois les mêmes buissons pas les autres ! Il m’a semblé, que quelque chose de vie, se cachait là , j’évitais de m’approcher de ces buissons , tout en les surveillant de loin , finalement j’ai regagné mes miens dans la vielle bâtisse .
( Dans cette désolante région , d’une large étendue à perte de vue de buissons , ou une végétation naturelle dépourvu de tronc , qui elle m’a semblé d’une grosseur d’une sorte de demi sphère , ces buissons à l’aspect arrondie de deux à trois mètres de hauteurs , espacées les un des autres , d’une distance entre eux de quelques mètres .)
Le soir, les femmes s’occupaient à préparer le repas du soir, quant à moi, je n’étais pas tranquille, ces buissons, qui bougeaient anormalement sans aucun souffle de vent, ne me quittèrent pas l’esprit, j’avais l’impression, que quelque chose nous épiait de là, et finalement j’ai quitté de mon esprit cette « impression », et oublier tout ça, et puis personne ne me croira.
La nuit après le repas , nous prenions nos places pour dormir, vers minuit, les hurlements des loups se succèdent dans la nuit , la porte en tôle de cette vielle bâtisse , elle n’était pas fermée par une serrure , inexistante , mais bloquée de l’intérieur , que par un tube long de prés de deux mètres , et puis brusquement après les hurlements de ces loups , c’était de jets de blocs de pierres dans la nuit contre la porte en tôle de cette bâtisse , qui nous avaient fait tous sursauter de notre sommeil , nous étions sur le qui vive ! Les coups de pierres se poursuivent contre la porte en tôle, se résonnant fortement à l’intérieur, mon père se leva, et il décida de voir de qui est cette « frappe » contre nous, et d’où elle vienne ? Un moment après c’était ma mère qui suivit mon père prés de la porte , je les ai suivi , en me faufilant entre eux pour voir , malgré les recommandations de ma mère de ne pas quitter ma place , j’ai bien vu ceux qui nous jetaient ces pierres , c’était une agression , ils nous chercher à êtres paniqué , c’était deux silhouettes l’une d’une personnes de grande taille avec une sorte d’un long bâton dans la main , et l’autre , une silhouette d’une personne d’une taille moyenne , avec quelque chose qui tenait dans sa main comme une arme .
Mon père a compris , c’était une agression , et que nous devons quitter ce lieu au plus vite , prendre que ce qui est nécessaire et abandonner le reste , ça occupera ces agresseurs , le temps de quitter le lieu , et de mettre une distance entre nous et ces agresseurs , nous n’avions aucune arme , seul un couteau de cuisine .
Nous marchions dans la nuit dans cette route, par laquelle nous étions venus pour une visite, qui elle s’acheva par une fuite, mais à quelques km de là , les deux silhouettes d’agresseurs , se montraient par le claire de lune au loin à notre poursuite , je me rappelais , que j’étais si fatiguer de cette marche , que mon père me mettait sur ces épaules pour accélérer la marche , et de là ,je tournais ma tête , et je regardais ces agresseurs au loin , qui s’approchaient de nous de plus en plus , ils accéléraient le pas eux aussi ,
Notre course déboucha sur une route , je me rappelle d’un grand monument de pierre érigé , prés de cette route , et d’on je ne sait en honneur de quelle guerre ce monument était érigé là , ces agresseurs étaient si proche à quelques dizaines de mètres de nous , qu’on entendez leur voix proférant des insultes et nous menaçaient de mort , et c’était là ,que le contact avec eux , était inévitable , nous ne pouvions plus aller plus loin , nous étions si fatigué par cette marche forcée , mais un miracle allait nous venir en aide , une lumière d’un véhicule automobile au loin , et qui se dirigea dans notre direction nous éclaira , c’était une vielle camionnette , elle s’arrêta nette prés de nous , nos poursuivants reculèrent en arrière , ils finirent même de prendre leur distance plus loin de nous .
Cette camionnette était conduite par un chauffeur espagnole (cette personne était de la colonie espagnole dans le pays , rescapé de la guerre civile espagnol de 1936 ) et qui a reconnu mon père et qui l’appela par son nom , et surpris de le voir en pleine nuit dans cette route avec de la famille , mon père lui expliqua en espagnol notre mésaventure , les agresseurs qui nous on poursuivis , se sont repliés plus loin , le chauffeur nous a aidé de nous faire tous monter dans cette camionnette , et nous avons pris le chemin de notre maison .
Sans l’arrivée de ce chauffeur, l’issue de cette affaire aurait été tragique pour nous dans cette nuit là.
La journée dans ce lieu, elle était passée sans aucun problème, mais vers la fin de l’après midi, le soleil commençait à se faire disparaître à l’horizon, j’étais à l’extérieur de la bâtisse , et je ne m’aventurais pas très loin de mes miens et de cette vielle maison, l’environnement et se silence dans ce lieu me faisais un peu peur, j’avais un sentiment, que je n’étais pas en sécurité, même le chien de ce lieu, qui me tenait compagnie ; il n’était plus là, mon attention fut attirer par deux ou trois buissons pas très loin de moi , il m’a semblé , que ces buissons bougeaient anormalement , alors qu’il n’y avait aucun souffle d’air , et c’était chaque fois les mêmes buissons pas les autres ! Il m’a semblé, que quelque chose de vie, se cachait là , j’évitais de m’approcher de ces buissons , tout en les surveillant de loin , finalement j’ai regagné mes miens dans la vielle bâtisse .
( Dans cette désolante région , d’une large étendue à perte de vue de buissons , ou une végétation naturelle dépourvu de tronc , qui elle m’a semblé d’une grosseur d’une sorte de demi sphère , ces buissons à l’aspect arrondie de deux à trois mètres de hauteurs , espacées les un des autres , d’une distance entre eux de quelques mètres .)
Le soir, les femmes s’occupaient à préparer le repas du soir, quant à moi, je n’étais pas tranquille, ces buissons, qui bougeaient anormalement sans aucun souffle de vent, ne me quittèrent pas l’esprit, j’avais l’impression, que quelque chose nous épiait de là, et finalement j’ai quitté de mon esprit cette « impression », et oublier tout ça, et puis personne ne me croira.
La nuit après le repas , nous prenions nos places pour dormir, vers minuit, les hurlements des loups se succèdent dans la nuit , la porte en tôle de cette vielle bâtisse , elle n’était pas fermée par une serrure , inexistante , mais bloquée de l’intérieur , que par un tube long de prés de deux mètres , et puis brusquement après les hurlements de ces loups , c’était de jets de blocs de pierres dans la nuit contre la porte en tôle de cette bâtisse , qui nous avaient fait tous sursauter de notre sommeil , nous étions sur le qui vive ! Les coups de pierres se poursuivent contre la porte en tôle, se résonnant fortement à l’intérieur, mon père se leva, et il décida de voir de qui est cette « frappe » contre nous, et d’où elle vienne ? Un moment après c’était ma mère qui suivit mon père prés de la porte , je les ai suivi , en me faufilant entre eux pour voir , malgré les recommandations de ma mère de ne pas quitter ma place , j’ai bien vu ceux qui nous jetaient ces pierres , c’était une agression , ils nous chercher à êtres paniqué , c’était deux silhouettes l’une d’une personnes de grande taille avec une sorte d’un long bâton dans la main , et l’autre , une silhouette d’une personne d’une taille moyenne , avec quelque chose qui tenait dans sa main comme une arme .
Mon père a compris , c’était une agression , et que nous devons quitter ce lieu au plus vite , prendre que ce qui est nécessaire et abandonner le reste , ça occupera ces agresseurs , le temps de quitter le lieu , et de mettre une distance entre nous et ces agresseurs , nous n’avions aucune arme , seul un couteau de cuisine .
Nous marchions dans la nuit dans cette route, par laquelle nous étions venus pour une visite, qui elle s’acheva par une fuite, mais à quelques km de là , les deux silhouettes d’agresseurs , se montraient par le claire de lune au loin à notre poursuite , je me rappelais , que j’étais si fatiguer de cette marche , que mon père me mettait sur ces épaules pour accélérer la marche , et de là ,je tournais ma tête , et je regardais ces agresseurs au loin , qui s’approchaient de nous de plus en plus , ils accéléraient le pas eux aussi ,
Notre course déboucha sur une route , je me rappelle d’un grand monument de pierre érigé , prés de cette route , et d’on je ne sait en honneur de quelle guerre ce monument était érigé là , ces agresseurs étaient si proche à quelques dizaines de mètres de nous , qu’on entendez leur voix proférant des insultes et nous menaçaient de mort , et c’était là ,que le contact avec eux , était inévitable , nous ne pouvions plus aller plus loin , nous étions si fatigué par cette marche forcée , mais un miracle allait nous venir en aide , une lumière d’un véhicule automobile au loin , et qui se dirigea dans notre direction nous éclaira , c’était une vielle camionnette , elle s’arrêta nette prés de nous , nos poursuivants reculèrent en arrière , ils finirent même de prendre leur distance plus loin de nous .
Cette camionnette était conduite par un chauffeur espagnole (cette personne était de la colonie espagnole dans le pays , rescapé de la guerre civile espagnol de 1936 ) et qui a reconnu mon père et qui l’appela par son nom , et surpris de le voir en pleine nuit dans cette route avec de la famille , mon père lui expliqua en espagnol notre mésaventure , les agresseurs qui nous on poursuivis , se sont repliés plus loin , le chauffeur nous a aidé de nous faire tous monter dans cette camionnette , et nous avons pris le chemin de notre maison .
Sans l’arrivée de ce chauffeur, l’issue de cette affaire aurait été tragique pour nous dans cette nuit là.
Page 20 sur 20 • 1 ... 11 ... 18, 19, 20
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum