presse canadienne

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deux article de presse canadienne parmi de nombreux en 1954

[HocineEquipe du forum]

Les astronomes de l’observatoire d’Ultrech, disent que les soucoupes volantes sont des fables !

Peut être , qu’il est temps , que ces astronomes doivent prendre leur retraite et fermer boutique , peut être que leur installation avec le temps , elle  doit être  grippée sur un seul endroit au ciel , et ils n’ont capté que les nuages de passage dans le ciel .  

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uso de 1956, la version officielle ets une lampe de poche de l'armée.. sic

Montréal-matin, 16 février 1956, jeudi 16 février 1956

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Le mystère du "fantôme d'Orly" Paris. 21. (UP) Le gouvernement | français cherchait aujourd'hui à éclaircir le mystère du "fantôme | d ’ Orly", un gigantesque objet aux allures de soucoupe volante, qui ‘ virevoltait à une vitesse supersoni ­ que sur l ’ écran du radar de l ’ aé- j report, vendredi dernier. I C ’ est la troisième fois, dans I moins d ’ un an, que le ’ ’ fantôme ” ! s ’ enregistre sur les radars-opes du | champ d ’ aviation cosmopolite des ! limites de Paris. On dit que l ’ objet parait deux fois la grosseur du ; plus gros avion connu, qu ’ il file à L ’ en fais pas pour les chaus- des vitesses de 2.000 milles et qu ’ il peut planer pendant au moins, Elles vont secher d ici a la Q Ua ^ re heures au-dessus de l ’aé- Ballon accusé Uondres, 21. (UP) La Tchéco- jSlovaquie commùniste attribuait â un ballon américain la chute d ’ un aérobus tchèque qui tua 22 personnes, le 18 Janvier dernier. station ” . ! report. Le mystère s ’ obscurcit encore plus lorsqu ’ on sait qu ’ un examen détaillé de l ’ équipement de radar a trouvé celui-ci en parfaite con ­ dition de* fonctionnement. Un pilote vétéran de Air-Prance rapporte qull a vu des signaux rouges clignoter dans la région où le radar place le fantôme, lorsque cet aviateur décollait pour une en ­ volée à Londres. Les rapports vont

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Le soleil, 20 août 1956, lundi 20 août 1956

[url=https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/3293968?docsearchtext=soucoupe volante] https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/3293968?docsearchtext=soucoupe%20volante[/url] Le soleil, 20 août 1956, lundi 20 août 1956

Le désert du Sahara, centre d'essai des engins téléguidés Suez est un intérêt commun que tous devraient défendre Un article de George* Mare? Sitôt passes les escarpements rougeâtres du Djebp; Aniar, lame i de couteau grillée par le soleil sa ­ harien, l'avion plonge dans ,a vaste cuvette i'El Gaada. au mi ­ lieu de laquelle surgit, avec des allures de forteresse iecidaJe. une table rocheuse aux contours r.u- niformes : le château de. Bou Ha- m&ma. En fond de tableau, vers | J* sud. L barrière du Djebel Be- ehar que le futur maréchal Lyau- tey. alors commandant des con- ; fins algéro-marocains, franchit , un jour de novembre 1903. Et ià- î bas. au pied de la montagne, aux ; trois quarts cachées dans un repli ■ du terrain ; l'oasis et .a ville de Coiom o-Bectuir Mats Colomb- Béchar n'est plus aujourd'hui l oa- ais somnolente que Lyautey con- ; nus. Elle est devenue la ville du mystère ". C'est en effet a quel ­ ques milles de la paimeraie qu'une enceinte strictement interdite au profane renferme le ’ Centre ries- sais des engins spéciaux" fran- aisç. Les engins spéciaux on le sa.t. sont des appareils qu; se dépla ­ cent dans l'espace sans equipage, j qui sont propulses par leur* pro- ; près moyens, qui sont guidés a : distance sur des trajectoires mo ­ difiable* et qui sont, la plupart du temps, capables de se diriger ; d ’ eux-mémes Vers l'objectif qu'on a choisi pour eux. Qu'ils soient destinés à être lancés du sof con ­ tre des objectifs terrestres ou aé ­ riens ou bien tires d avions contre : un autre avion ou contre une trou ­ pe se trouvant au aol ces robot* téléguidés, autoguidés, autopropul ­ sés ique les Anglo-Saxons appel ­ lent missile 1 sont ie* armes de l ’ avenir. Utilisant largement le* decouvertes scientifiques le* p.us retentes, en particulier dans le domaine de : électronique, ces en- g.n* offrent aux tacticiens de l'avenir des .poss bilité* immenses, Rien d étonnant a ce q ue tous ie* pays du roonoc sen préoccu ­ pent et, parmi eux. la France, qui ae trouve, en cette mat-.eie placée en très bon rang. "Scion les ex ­ perts américains écrivait re- cenme -e "Nev. Vorx Herald Tri- : bune la France a maintenant I rattrapé sou retard de dix an*. Elle e.n aujourd'hui a 1 avant - garde des recherches et de ia mise au point de rarmemen. . La production de . engin téléguidé antichar 0e S.S. J9» a mis la France au prenne^ rang pour ia ; stratégie antichar . ,, Les ex ­ perts américains ont ans»; félicité ta France d'être 'e «eu. membre de l ’ OTAN a produire de» engins téléguide.» ai:-air" Dix ans de re'.aid ciu a g.ierre Mais, depuis dix ai;», que de tra ­ vail. que d efforts Le* program ­ me.' elabhs en 1945. onr éie plei ­ nement réalisés Bien mieux :<•? types d engin» qu'on expérimente aujourd'hui *oti ’ . très supérieurs aux projets initiaux Pour plu ­ sieurs d'entre eux, la pha.se des essais techniques est achevée; on : est entre dans la phase des expé ­ rimentations tactique? afin de dé ­ terminer 1 emploi de ce* nouvelles armé}, dans comoat moderne. Pour certaine* d'ailleurs, la fabri ­ cation en grande sérié a déjà été entreprise A CoiûHjb : Bechar, ce neat évi ­ demment ni de conception, ni de construction qu i! s agit. Les pro ­ totype.* aonl conçus et construit* en France d;-:.? 1rs service* e; les etablissement* dépendant du mi- I nister» de .a Défense nationale. dans lies ateliers des société* na ­ tionale* aeronautiques ou dans le* usine* de l'industrie privée Mais c est a Colomb-Béchar, qu'on ef ­ fectue toute la gamme des essais de tout ordre et les expérimenta ­ tion» le* plus complètes. La ihanca de la France et cha ­ que jour. ce ’ , te chance se fait plus évidentei esi de posséder, a peu de distance de secs côtes méditer ­ ranéenne*. les immenses espaces désertiques du Sahara français. Comme on la dit. ie Sahara est devenu le lieu d'election des chercheur* d avenir". Son sol, impropre a la culture, est aujour ­ d ’ hui prospecté méthodiquement, et avec succès, par les découvreurs de pétrole ou de minerais. Quant a son ciel, U est quotidiennement sillonné par les étranges trajec ­ toires désarticulées des robot* qui glissent a des vitesses fantômati- ques le long des axes secrets du plus grand champ de tir de ia planera Si l ’ on * après de multiples re ­ connaissances préliminaires choisi d'installer a Colomb-Béchar ce ‘ 'Centre d essais ries engins spé ­ ciaux . c est que cette region, au : contact de .'Algérie du nord et du Sahara, présente des facilités exceptionnelles une ville euro ­ péenne. une infrastructure indus ­ trielle 'qui ne s'appuie encore que sur les houillères du Sud-Oranais. a Kenadsa. mai* qui ae dévelop ­ pera rapidement),, existence de ’ la vote ferrée qui la relie aux vil- ! les et aux ports oe la cote medi- rerranéenne, enfin la possibilité d ’ installer, un peu partout, de* pistes d atterrissage pour ai ions Créé au mois d'octobre 1947 ,e Centre a commenté a fonctionner efficacement en octobre 1949 II est dénommé "interarmées", parce qu'iJ appartient en commun aux trois années, de ferre, de mer. et de l'air; mats ce sont surtout des aviateur* et des artilleurs spécia ­ lement choisi? qui composent le personnel permanent : officiers, ingénieurs, techniciens auxiliai ­ res.-' en tout quelque 1.200 person ­ nes qui. pour la plupart, résident ià pendant toute ia saison des tus d octobre s Juin lies ingé ­ nieurs représentant le* construc ­ teurs ne font, eux, que des séjours pou- étudier leurs engins Le Centre édifie à quelques mille* de l'oasis de Bechar, dispose de moyen* important* : une esca ­ drille un tenue d essai* en vol, une base aerienne une batterie d artillerie 'guidée, une section de ratui. de.s aer"ices technique* iatelier.' de mécanique, de pnysi- que. de chimie d'elecuonique et enfin d'un • service de» méthodes" qui constitue le "cerveau pensant ” de ia maison . Quant aux ailes de lancement eiie* aoiu spécialisée» suivant la portée de» engins qudn expéri ­ mente ; a proximité immédiate du Gentle pour les engin* a courte portée, a Aîènouarar a 30 mille* au sud de Coiomb-Bcchar pour ks engins à moyenne portée, et a Hammaguir. en plein désert é 80 mille? au sud-ouest du Centre, ou la po: et pet! ” atteindre de 80 mille? en direction de Tlndouf et 1,250 milles en direction du Saha ­ ra central et du lac Tchad poul ­ ie? engins a grande distance lu- voila du secret qui couvrait jusqu'ici le* réalisation* françai ­ ses a été partielienient levé Dé ­ rivé du "SB 10" » l'extraordinaire "obus volant ” antichar qui pene 18 pout e* de blindage > 1* 8 8 11 est lui »UMU un engin téléguidé à fil Pendant > vol un fil, logé dans le corps de l ’ engin se dévide, 1 maintenant ainsi constamment une liaison électrique avec ie d- ; reur. qui peut lui envoyer des or ­ dres variés et l'amener, comme * la main sur l'objectif choisi Mon ­ té sur un avion le "S. il' peut servir à tourher de? objectifs ter ­ restre» inaccessible? pour les com ­ battants au sol. Utilisé dans 1 Au- : ré* contre les rebelles algériens, i] i permet d ’ atteindre des entrées de grottes dissimulée? C ’ est vérita ­ blement l ’ arme, qui "tire dans le* recoins". Le projectile "Air-Air" que les ; techniciens français ont mis au i point porte un nom étrange 1 le Sfecma* 5103 Accroché *ous ! l ’ aile de l'avion porteur il est dé ­ clenché par ie pilote et réussit * : rattraper en vol n ’ importe quel avion supersonique se déplaçant en haute atmosphere Quant au "Parcs " français. .. * de.? performances analogue* su Nike américain. 11 est cons ­ truit pour détruire des avions su ­ personiques jusqu'à une ultltud* de 54.000 pieds. Bien d'autres robot* prennent ieur élan sur le» rampe» de lance ­ ment du Centre de Co!omb-Bé- j char. Signalons encore parai eux i les deux avions-cibles, qui servent dé cibles volantes pour l'entraî ­ nement au tir des armes aérien ­ ne» modernes: le "CT. 10 et le i "C T 20" qui monte a 42 000 pieds, e; vole à 550 mille? a l'heure. La dermere présentation a eu jeu de nuit : celle du S.E. 4200". engin "Sol-Sol" à moyenne dis ­ tance qui peut transporter une bombe de gins calib:e atomique ou non Un jet de flammes troue .obscurité; un grondement de . tonner e rouie sur l'immensité de la "hammada ” tdesert au sol dur ' et pierreux' saharienne A une vitesse de plus de 625 milles s l'heure, ie "S.E. 4200 quitte sa rampe de lancement et s e.ance en direction du sud-ouest II peut atteindre une portée de 60 mille*. Et quelle précision peut-on espf - : rer ? ''Si d'Orléans, répond l'in- genieur qui preside aux essais, Je usais l'obélisque qui se trouve au centre de ia place de :n Concorde a Paris, je suis sur que mon engin tomberait au moms sur la place". Deux cents verges décart a 60 milles de distance, qui dit mieux ? i. artillerie téléguidée est ne* ..

[HocineEquipe du forum]

Quelques éclaircissements  sur l’écrit  d’Anekin

Le  désert c’était le Sahara Algérien,  la ville signalée c’était Colomb Bechar,

Après la fin de la deuxième mondiale, la France  a testée  les missiles V2 allemands modifiés  dans ce désert  du Sahara région du Hammaguir  

Test « d’autres armes » Oued Nammousse  

Après 1958 , elle a commencée à tester  les bombes Atomiques  , nom de code : « Gerboise bleu , blanc ,rouge… région Reganne

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merci hocine, oui il ya le scandale de la radioactivité

https://information.tv5monde.com/international/algerie-sous-le-sable-du-sahara-le-lourd-passe-nucleaire-francais-35603


https://www.youtube.com/watch?v=IzXwi4bbTFE


le ct 10 cité

https://fr.wikipedia.org/wiki/ARSAERO_CT_10

https://fr.wikipedia.org/wiki/Nord_SS.11

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