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Re: Les Observations du 5 novembre 1990 un étage de fusée et des Ovnis?
Lun 24 Jan 2011, 23:33
Mais l'armée ne dispose-t-elle pas de personnes compétentes pour analyser les données du NORAD ?il y a bien sûr plein de gens au cnes qui savent le faire, mais ils se fichaient totalement d'une rentrée atmosphérique et il y avait un service censé s'occuper de ça)!
- InvitéInvité
Re: Les Observations du 5 novembre 1990 un étage de fusée et des Ovnis?
Lun 24 Jan 2011, 23:45
RENTREE ATMOSPHERIQUE 5 NOVEMBRE 1990
Observé le 05/11/1990
Région National
Département National
Classe A
Résumé
Observation par des milliers de personnes d'une rentrée atmospherique d'une ampleur exceptionnelle.
Description détaillée
Il est 20 heures le 5 novembre lorsque les services de sécurité du CNES sont submergés d'appels en provenance de nombreuses brigades de gendarmerie signalant un étrange phénomène lumineux qui a traversé une grande partie de la France vers 19 heures. Durant plus d'une semaine, le SEPRA recevra de nombreux appels de témoins demandant des explications à propos "d'un immense triangle lumineux" qui a traversé le ciel. Parmi les témoins J.P. Haigneré, spationaute au CNES confirmera l'étrangeté du phénomène. Au centre de lancement de ballons d'Aire sur Adour, les techniciens retarderont un lancement pour observer le phénomène ! Le service du SEPRA est renforcé pour l'occasion, et la recherche d'informations commence auprès des autorités aériennes civiles et militaires, des services de météorologie et de la NASA pour une éventuelle rentrée atmosphérique. La réponse de la NASA arrive le 8 novembre en indiquant, pour le 5 novembre, la rentrée de l'objet "20925/1990 – 94C / GORIZONT 21 PLATFORM / USSR". Les services d'orbitographie du CNES confirme la trajectoire de cette rentrée qui traversa la France du golfe de Gascogne à l'Alsace. Cette information est fournie aux agences de presse le 9 novembre 1990. A noter qu'un témoin, membre d'un réseau d'observation particulièrement efficace, informait le SEPRA dès le 6 novembre qu'il s'agissait de la rentrée 90/94C et qu'il était passé à 103 km au-dessus du golfe de Gascogne pour sortir dans l'est de la France à 83 km d'altitude.
http://www.cnes-geipan.fr/geipan/regions/nat/etude_1990-11-01225.html
Observé le 05/11/1990
Région National
Département National
Classe A
Résumé
Observation par des milliers de personnes d'une rentrée atmospherique d'une ampleur exceptionnelle.
Description détaillée
Il est 20 heures le 5 novembre lorsque les services de sécurité du CNES sont submergés d'appels en provenance de nombreuses brigades de gendarmerie signalant un étrange phénomène lumineux qui a traversé une grande partie de la France vers 19 heures. Durant plus d'une semaine, le SEPRA recevra de nombreux appels de témoins demandant des explications à propos "d'un immense triangle lumineux" qui a traversé le ciel. Parmi les témoins J.P. Haigneré, spationaute au CNES confirmera l'étrangeté du phénomène. Au centre de lancement de ballons d'Aire sur Adour, les techniciens retarderont un lancement pour observer le phénomène ! Le service du SEPRA est renforcé pour l'occasion, et la recherche d'informations commence auprès des autorités aériennes civiles et militaires, des services de météorologie et de la NASA pour une éventuelle rentrée atmosphérique. La réponse de la NASA arrive le 8 novembre en indiquant, pour le 5 novembre, la rentrée de l'objet "20925/1990 – 94C / GORIZONT 21 PLATFORM / USSR". Les services d'orbitographie du CNES confirme la trajectoire de cette rentrée qui traversa la France du golfe de Gascogne à l'Alsace. Cette information est fournie aux agences de presse le 9 novembre 1990. A noter qu'un témoin, membre d'un réseau d'observation particulièrement efficace, informait le SEPRA dès le 6 novembre qu'il s'agissait de la rentrée 90/94C et qu'il était passé à 103 km au-dessus du golfe de Gascogne pour sortir dans l'est de la France à 83 km d'altitude.
http://www.cnes-geipan.fr/geipan/regions/nat/etude_1990-11-01225.html
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Re: Les Observations du 5 novembre 1990 un étage de fusée et des Ovnis?
Mar 25 Jan 2011, 00:09
Tout ça c'est des déclarations de Velasco qui a un peu tout mélangé et pas bien compris...nathanaell a écrit: A noter qu'un témoin, membre d'un réseau d'observation particulièrement efficace, informait le SEPRA dès le 6 novembre qu'il s'agissait de la rentrée 90/94C et qu'il était passé à 103 km au-dessus du golfe de Gascogne pour sortir dans l'est de la France à 83 km d'altitude.[/i]
Les communiqués successifs de Pierre Neirinck (c'est lui le "témoin membre d'un réseau particulièrement efficace") sont dans les archives du 5 novembre sur mon site (voir dans les "communiqués")
http://univers-ovni.com/archives/articles_presse/phenomenes_etendus/rentree_05_11_90.html
Le 5/6 novembre il ne faisait que dire qu'il s'agissait d'une rentrée atmosphérique et annonçait une trajectoire approximative d'après l'observation d'un de ses amis, et le 8 novembre il identifiait l'objet.
- InvitéInvité
Re: Les Observations du 5 novembre 1990 un étage de fusée et des Ovnis?
Mar 25 Jan 2011, 00:16
A noter qu'un témoin, membre d'un réseau d'observation particulièrement efficace, informait le SEPRA dès le 6 novembre qu'il s'agissait de la rentrée 90/94C et qu'il était passé à 103 km au-dessus du golfe de Gascogne pour sortir dans l'est de la France à 83 km d'altitude.
Avez-vous la lettre d'information de ce Pierre Neirinck qui a été adressée au Sepra ?
Avez-vous la lettre d'information de ce Pierre Neirinck qui a été adressée au Sepra ?
- InvitéInvité
Re: Les Observations du 5 novembre 1990 un étage de fusée et des Ovnis?
Mar 25 Jan 2011, 00:21
Ce sont ces communiqués qui sont sur mon site, et qu'il a envoyés au Sepra, mais aussi à des journaux, personne à part celui de sa région qui le connaissait ne les a pris en compte parce que tout le monde attendait les réponses de l'organisme officiel...nathanaell a écrit:A noter qu'un témoin, membre d'un réseau d'observation particulièrement efficace, informait le SEPRA dès le 6 novembre qu'il s'agissait de la rentrée 90/94C et qu'il était passé à 103 km au-dessus du golfe de Gascogne pour sortir dans l'est de la France à 83 km d'altitude.
Avez-vous la lettre d'information de ce Pierre Neirinck qui a été adressée au Sepra ?
Plus trard Neirinck a arrêté de transmettre ses informations au Sepra quand il a vu que son premier fax avait été recopié presque mot pour mot dans le communiqué officiel du Sepra sans citer la source!
- InvitéInvité
Re: Les Observations du 5 novembre 1990 un étage de fusée et des Ovnis?
Mar 25 Jan 2011, 00:28
http://perso.numericable.fr/~wolf424/univers.ovni/rentrees/documents_5_novembre/90_11_11_neirinck.gif
Êtes-vous sûr que l'on doit imputer l'imbroglio que fut l'étude de cette rentrée au CNES seulement. Dans cette lettre du 11/11 Neirinck demande pourquoi les américains eux-mêmes situent-ils la fusée sur le midi de la france... ?
Au vu des erreurs d'analyse commises par la NASA elle-même, on peut légitimement se demander si jamais le lancement du programme GRAVES est lié aux évènements du 5 nov. ce qui n'est que conjecture en l'état des éléments dont nous disposons, si la décision de doter la France d'une capacité autonome de détections de satellites n'est pas la conséquence de ce manque de fiabilité de l'organisme américain.
Êtes-vous sûr que l'on doit imputer l'imbroglio que fut l'étude de cette rentrée au CNES seulement. Dans cette lettre du 11/11 Neirinck demande pourquoi les américains eux-mêmes situent-ils la fusée sur le midi de la france... ?
Au vu des erreurs d'analyse commises par la NASA elle-même, on peut légitimement se demander si jamais le lancement du programme GRAVES est lié aux évènements du 5 nov. ce qui n'est que conjecture en l'état des éléments dont nous disposons, si la décision de doter la France d'une capacité autonome de détections de satellites n'est pas la conséquence de ce manque de fiabilité de l'organisme américain.
- InvitéInvité
Re: Les Observations du 5 novembre 1990 un étage de fusée et des Ovnis?
Mar 25 Jan 2011, 01:08
Un système qui garantit l'indépendance de notre surveillance spatiale
Depuis 1992, Jacques Bouchard travaille à plein temps au développement de Graves en tant que spécialiste de mécanique spatiale. Il a commencé, dans le cadre de l'étude de définition de ce projet, par définir la zone que devait scruter le radar pour assurer les objectifs de la mission, c'est-à-dire fournir aux utilisateurs, c'est-à-dire les militaires, un catalogue d'éléments orbitaux régulièrement mis à jour. Ensuite, il a conçu des logiciels de simulation de cet instrument pour vérifier que celui-ci était capable de satisfaire les objectifs. Enfin, Jacques Bouchard a développé les logiciels d'exploitation orbitographique des mesures, un travail qui vient de se terminer par la campagne de test des systèmes orbitographiques en décembre dernier. Cette campagne, il l'a effectuée notamment avec sa femme, Aline Bouchard, également ingénieur de recherche au sein du DPRS, qui a assuré les tests de ces logiciels. "Il s'agissait notamment de vérifier que nous étions capables d'établir un catalogue d'éléments orbitaux à partir du traitement des mesures fournies par le radar." L'objectif de cette campagne était également de vérifier la quantité et la qualité des mesures produites par le radar qui avait subi des modifications profondes par rapport au prototype testé en 2001 (doublement de la puissance d'émission, nouveau calculateur de traitement du signal six fois plus puissant).
Afin d'être compatible avec les catalogues existants, notamment le catalogue américain, le catalogue d'éléments orbitaux français est au format de diffusion dit "two lines". "Les données diffusées par Graves ne concerneront qu'une fraction de ce que le système américain peut observer. Il faut savoir que le catalogue américain répertorie des objets dont l'apogée est proche de la Lune, c'est-à-dire à une distance d'environ 300 000 km", souligne Jacques Bouchard qui précise que le système américain est incroyablement plus riche en capteurs de mesure. Cela dit, avec un capteur unique Graves est capable d'observer presque le quart de la totalité des objets répertoriés par le catalogue américain. "Nous avons sans doute une cohérence de traitement bien supérieure à ce dont disposent les Américains", estime-t-il.
Au cours de cette première campagne, Graves a permis de répertorier quelques satellites qui n'apparaissent pas dans le catalogue d'éléments orbitaux diffusé par les Américains... Par ailleurs, les Américains limitent volontairement la production de ces données à 24 heures alors que la fréquence de rafraîchissement des éléments fournis par Graves est de 12 heures dans 70% des cas. "C'est donc tout l'intérêt de disposer de son propre système de surveillance spatiale et de se garantir ainsi contre un éventuel arrêt de la distribution de ces données", constate Jacques Bouchard.
http://www.onera.fr/vo-programme/2005-07.php
Depuis 1992, Jacques Bouchard travaille à plein temps au développement de Graves en tant que spécialiste de mécanique spatiale. Il a commencé, dans le cadre de l'étude de définition de ce projet, par définir la zone que devait scruter le radar pour assurer les objectifs de la mission, c'est-à-dire fournir aux utilisateurs, c'est-à-dire les militaires, un catalogue d'éléments orbitaux régulièrement mis à jour. Ensuite, il a conçu des logiciels de simulation de cet instrument pour vérifier que celui-ci était capable de satisfaire les objectifs. Enfin, Jacques Bouchard a développé les logiciels d'exploitation orbitographique des mesures, un travail qui vient de se terminer par la campagne de test des systèmes orbitographiques en décembre dernier. Cette campagne, il l'a effectuée notamment avec sa femme, Aline Bouchard, également ingénieur de recherche au sein du DPRS, qui a assuré les tests de ces logiciels. "Il s'agissait notamment de vérifier que nous étions capables d'établir un catalogue d'éléments orbitaux à partir du traitement des mesures fournies par le radar." L'objectif de cette campagne était également de vérifier la quantité et la qualité des mesures produites par le radar qui avait subi des modifications profondes par rapport au prototype testé en 2001 (doublement de la puissance d'émission, nouveau calculateur de traitement du signal six fois plus puissant).
Afin d'être compatible avec les catalogues existants, notamment le catalogue américain, le catalogue d'éléments orbitaux français est au format de diffusion dit "two lines". "Les données diffusées par Graves ne concerneront qu'une fraction de ce que le système américain peut observer. Il faut savoir que le catalogue américain répertorie des objets dont l'apogée est proche de la Lune, c'est-à-dire à une distance d'environ 300 000 km", souligne Jacques Bouchard qui précise que le système américain est incroyablement plus riche en capteurs de mesure. Cela dit, avec un capteur unique Graves est capable d'observer presque le quart de la totalité des objets répertoriés par le catalogue américain. "Nous avons sans doute une cohérence de traitement bien supérieure à ce dont disposent les Américains", estime-t-il.
Au cours de cette première campagne, Graves a permis de répertorier quelques satellites qui n'apparaissent pas dans le catalogue d'éléments orbitaux diffusé par les Américains... Par ailleurs, les Américains limitent volontairement la production de ces données à 24 heures alors que la fréquence de rafraîchissement des éléments fournis par Graves est de 12 heures dans 70% des cas. "C'est donc tout l'intérêt de disposer de son propre système de surveillance spatiale et de se garantir ainsi contre un éventuel arrêt de la distribution de ces données", constate Jacques Bouchard.
http://www.onera.fr/vo-programme/2005-07.php
- InvitéInvité
Re: Les Observations du 5 novembre 1990 un étage de fusée et des Ovnis?
Mar 25 Jan 2011, 02:01
Non cette histoire autant que je me souvienne c'était juste paru dans la presse et sans doute dû à un Américain pas très familier de la géographie française, il n'y avait rien de tel dans des communiqués officiels...nathanaell a écrit:
Êtes-vous sûr que l'on doit imputer l'imbroglio que fut l'étude de cette rentrée au CNES seulement. Dans cette lettre du 11/11 Neirinck demande pourquoi les américains eux-mêmes situent-ils la fusée sur le midi de la france... ?
Bon tout ça est un peu vieux je récapitule... La Nasa s'occupait à l'époque de la diffusion des paramètres des satellites issus du Norad, toutes les agences spatiales, et donc le Cnes, avaient accès aux fichiers par informatique (je ne sais pas si c'était déjà Internet, en tout cas ça n'était pas encore accessible à tout le monde), les amateurs de satellites comme Neirinck ou les radioamateurs recevaient ces données par courrier, donc un peu plus tard.
Quand il y a eu le phénomène le 5 novembre, un ami de Neirinck Daniel Karcher l'a observé et en a fait part à Neirinck, qui a envoyé son premier communiqué indiquant que c'était une rentrée atmosphérique :
Par contre il ne pouvait pas l'identifier tout simplement parce qu'il n'avait pas encore reçu les paramètres orbitaux des éléments de cette fusée qui avait été lancée le 3 novembre.
Le Sepra, de son côté, ne savait pas trop s'il fallait croire Neirinck, l'observatoire de Munich (qui était une association d'amateurs ayant mis en place un réseau automatique de détection de météores, mais apparemment il n'était pas encore au point), les pilotes qui pensaient à un vol en formation, ou autre chose... Il a entre autres envoyé un télex à la Nasa demandant si un satellite était rentré à ce moment-là (on ne sait pas ce qui était dit dans ce télex, probablement qu'il y avait un phénomène qui avait traversé toute la France et qui se serait désintégré près de Francfort comme un pilote d'avion l'avait indiqué (mais en fait l'avion était à Francfort mais il avait vu le phénomène de très loin)...
Ça n'est pas vraiment le boulot de la Nasa d'identifier une rentrée atmosphérique en France, mais ils savent le faire, alors si un service du Cnes le leur demande gentiment il le font, mais ne sont pas forcément très rapides!
Neirinck, de son côté, recevait le 8 novembre par la poste les derniers paramètres orbitaux de satellites, contenant ceux de l'étage de fusée concerné, qu'il identifiait immédiatement comme le responsable, il retraçait sa trajectoire... Ce que tout amateur de satellite sait faire, lui simplement beaucoup plus précisément que les autres.
Il a donc rédigé son deuxième communiqué, avec les directions d'observation du satellite tel qu'il aurait été vu depuis Wittenheim, mais pas la trajectoire au sol:
En fait la trajectoire au sol il l'avait ajoutée, mais dans son communiqué en anglais, que Velasco n'a sans doute pas pensé à lire:
http://univers-ovni.com/rentrees/documents_5_novembre/90_11_08_e_neirinck.gif
Et le même jour, la Nasa donnait sa réponse au Sepra:
Il y avait l'identification du satellite, l'inclinaison de son orbite, et cinq points de passage avant la rentrée, plus l'indication d'un point de retombée près de Bitche, non loin de Strasbourg, à 19h06 (locale)
Ce dernier point était sensiblement faux, sans doute parce que celui qui a rédigé le télex a tenté de concilier l'indication d'une désintégration près de Francfort avec l'heure estimée de la fin de rentrée à 19h06, qui était vraiment l'heure où la rentrée a achevé son parcours et où des débris pouvaient être retrouvés, mais ça se situait du côté de la Pologne!
Pour plus de détails sur l'interprétation de ce télex et cette erreur voir :
http://univers-ovni.com/rentrees/erreurs_nasa.html
Quoi qu'il en soit, les données relatives au satellite étaient correctes et n'importe qui ayant quelque connaissance dans ce domaine pouvait avec ça ou avec les données de Neirinck, ou encore avec les paramètres orbitaux des fichiers du Norad, retrouver la trajectoire...
Velasco, lui, ne savait pas faire, alors il a interprété l'inclinaison de l'orbite comme un "cap", il a vu avec satisfaction qu'en prolongeant ce cap depuis Bitche on tombait juste sur Francfort, en allant dans l'autre sens on passait pas trop loin de Pau, nettement à l'est quand même mais comme le communiqué de Neirinck parlait du golfe de Gascogne avec Pau on se rapprochait un peu...
Et le Sepra a donc envoyé son communiqué à la presse annonçant fièrement son identification et la fameuse trajectoire Pau-Stransbourg jamais démentie, qu'il a reprise plus tard dans son rapport final, en y recopiant mot pour mot les premières indications de Pierre Neirinck et pas mal d'erreurs qui elles n'étaient pas recopiées sur Neirinck!
http://univers-ovni.com/sepra/scientifiques/conclusions.html
- InvitéInvité
Re: Les Observations du 5 novembre 1990 un étage de fusée et des Ovnis?
Mar 25 Jan 2011, 02:10
Oui bon c'est dans le même esprit qu'on a développé Galileo pour concurrencer le GPS, au cas où les Américains décideraient un jour de ne plus les diffuser... Mais le fait que le projet ait été confié à l'Onera précisément en 1990 donne à penser que la rentrée du 5 novembre a été l'élément déclencheur...nathanaell a écrit:
Au cours de cette première campagne, Graves a permis de répertorier quelques satellites qui n'apparaissent pas dans le catalogue d'éléments orbitaux diffusé par les Américains... Par ailleurs, les Américains limitent volontairement la production de ces données à 24 heures alors que la fréquence de rafraîchissement des éléments fournis par Graves est de 12 heures dans 70% des cas. "C'est donc tout l'intérêt de disposer de son propre système de surveillance spatiale et de se garantir ainsi contre un éventuel arrêt de la distribution de ces données", constate Jacques Bouchard. [/i]
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Re: Les Observations du 5 novembre 1990 un étage de fusée et des Ovnis?
Mar 25 Jan 2011, 02:11
Au risque de me prendre une claque, j'aimerais savoir quel est le point de vue de Monsieur RA, au sujet des observations du 05 Novembre 1990 qu'il y a eu dans le Sud de la France?
je cite par exemple ce témoignage qui s'est déroulé dans l'Aude du côté de Sougraigne à 18h59 où un témoin a observé un immense engin se dirigeant vers Perpignan?
je cite par exemple ce témoignage qui s'est déroulé dans l'Aude du côté de Sougraigne à 18h59 où un témoin a observé un immense engin se dirigeant vers Perpignan?
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