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La vague française de 1954: 10 SEPTEMBRE, 1954, QUAROUBLE, NORD Empty La vague française de 1954: 10 SEPTEMBRE, 1954, QUAROUBLE, NORD

Mer 02 Mar 2011, 21:27
La vague française de 1954:



10 SEPTEMBRE, 1954, QUAROUBLE, NORD:

Référence pour ce cas: 10-sep-54-Quarouble. Merci de citer cette référence dans toute correspondance avec moi en rapport avec ce cas.

RAPPORTS:

[Ref. la1:] JOURNAL "L'AURORE":


Un habitant du Nord
affirme avoir vu
les deux passagers
d'une soucoupe volante...

Récemment, dans la Somme et les Pyrénées, des soucoupes volantes ont été vues dans le ciel. M. Marius Dewilde, 34 ans, ouvrier des aciéries de Blanc-Misseron, demeurant à Tuarouge [sic, Quarouble], dans le Nord, a vu, lui, l'autre nuit, vers 2 h. 30 à [...] environ de son jardin, une forme sombre, haute de 3 mètres et d'un diamètre de 5 mètres. Puis deux petits êtres étranges, mesurant un mètre environ, sortirent en courant d'un sentier voisin. Ensuite, l'appareil, dont la porte s'était ouverte et refermée, s'éleva d'une dizaine de mètres, après avoir vacillé un moment. Une lumière très vive jaillit et, semblable à une boule de feu, l'engin disparut vers l'Ouest.

[Ref. vm1:] JOURNAL "VAR-MATIN REPUBLIQUE":

Près de Valenciennes

Des êtres étranges et un engin mystérieux sont apparus à un ouvrier...

Valenciennes, 12 septembre. -- Un habitant de Quarouble, près de Valenciennes, M. Marius Dewilde, 34 ans, ouvrier dans un atelier du nord de la France à Blanc Misseron, domicilié au passage à niveau n°79, a déclaré que vendredi soir, aux environs de 22h, son attention fut éveillé par les aboiements de son chien.

Il sortit immédiatement, muni d'une lampe électrique, et aperçut sur la voie longeant son habitation, dans un endroit particulièrement désert, une masse sombre, de forme ovale, qui pourrait avoir six mètres de long et trois de hauteur.

Braquant sa lampe dans une autre direction, M. Dewilde vit deux hommes étranges et trapus, dont la taille ne dépassait pas un mètre, se dirigeant rapidement vers l'engin. Ces hommes avaient une courte tête sur laquelle les rayons de la lampe se seraient réfléchis comme si elles étaient des globes de verres.

Quelques instants plus tard, un carré de lumière intense apparut sur les flancs de l'engin. Le témoin aurait alors fermé les yeux. Lorsqu'il les rouvrit, la lumière et les êtres étranges avaient disparu.

L'appareil, se balançant légèrement, monta verticalement en dégageant de la fumée, arrivé à une dizaine de mètres du sol, la partie inférieure de l'engin rougit et celui-ci disparu rapidement.

M. Dewilde a fait part de cette étrange apparition à la police d'Onnaing. La police de l'Air s'est rendue sur les lieux mais aucune trace n'a été relevée.

[Ref. li1:] JOURNAL "LIBERATION":


Cet homme affirme avoir vu des Martiens

Un ouvrier métallurgiste de 34 ans, M. Marius Dewilde, habitant Quarouble (Nord), affirme avoir vu vendredi, vers 22 h 30, sur la voie ferrée située à quelques mètres de son jardin, une masse sombre qu'il prit d'abord pour une charette. Mais il entendit des pas de l'autre côté de la balustrade du jardin et braqua sa lampe électrique dans cette direction. Il vit alors deux êtres revêtus de scaphandres. Ils étaient de petite taille, pas plus d'un mètre, mais très large d'épaules. Ils avaient des jambes proportionnées à leur taille, mais M. Dewilde ne sait pas s'ils avaient des bras.

Ils voulut alors couper la fuite aux deux étranges personnages, mais un hublot de forme carré s'ouvrit dans la masse sombre posée sur la voie. Un rayon vert en jaillit et M. Dewilde fut, paraît-il, paralysé sur place. Lorsque le projecteur s'éteignit, il retrouva enfin sa liberté de mouvement, mais les deux "martiens" étaient remontés dans leur appareil qui s'était élevé du sol à la verticale. C'était une machine ayant la forme d'une cloche à fromage, haute de 3 mètres, d'un diamètres de 5 à 6 mètres, qui disparut rapidement vers l'ouest.

La police de l'air a enquêté, mais n'a relevé aucune empreinte sur le chemin parcouru par les "martiens."

On s'en doutait un peu.

[Ref. pp1:] JOURNAL "PARIS-PRESSE":

Ce journal comme d'autres a donné le récit du témoin principal Marius Dewilde:

"Ma femme et mon fils venaient de se coucher, et je lisais au coin du feu le récit du drame de "L'Abeille". L'horloge accrochée au-dessus de la cuisinière marquait 22 h 30, lorsque mon attention fut attirée par les aboiements de mon chien Kiki. La bête hurlait à la mort. Croyant à la présence de quelque rôdeur dans la bassecour, je pris ma lampe de poche et sortis."

"En arrivant dans le jardin, j'aperçus sur la voie ferrée, à moins de six mètres de ma porte, à gauche, une sorte de masse sombre. C'est un paysan qui aura là dételé sa charrette, pensai-je d'abord. Il faudra que j'avertisse les agents de la gare demain dès la première heure pour qu'ils l'enlèvent, sinon il y aura un accident."

"A ce moment, mon chien arriva vers moi en rampant, et tout à coup, sur ma droite, j'entendis un bruit de pas précipités. Il y a là un sentier que l'on appelle "le sentier des contrebandiers" car ceux-ci l'empruntent parfois, la nuit. Mon chien s'était tourné à nouveau vers cette direction et avait recommencé à aboyer. J'allumai ma lampe électrique et projetai son faisceau lumineux vers le sentier."

"Ce que je découvris n'avait rien de commun avec des contrebandiers: deux "êtres" comme je n'en avais jamais vu, à trois ou quatre mètres de moi à peine, tout juste derrière la palissade qui seule me séparait d'eux marchaient l'un derrière l'autre en direction de la masse sombre que j'avais remarquée sur la voie ferrée. L'un d'eux, celui qui marchait en tête, se tourna vers moi. Le faisceau de ma lampe accrocha, à l'endroit de son visage, un reflet de verre ou de métal. J'eus nettement l'impression qu'il avait la tête enfermée dans un casque de scaphandre. Les deux êtres étaient d'ailleurs vêtus de combinaisons, analogues à celles des scaphandriers. Ils étalent de très petite taille, probablement moins d'un mètre, mais extrêmement larges d'épaules, et le casque protégeant la " tête" me parut énorme. Je vis leurs jambes, petites, proportionnées à leur taille, me semble-t-il, mais par contre je n'aperçus pas de bras. J'ignore s'ils en avaient. Les premières secondes de stupeur passées, je me précipitai vers la porte du jardin avec l'intention de contourner la palissade et de leur couper le sentier pour capturer au moins l'un d'eux."

"Je n'étais plus qu'à deux mètres des deux silhouettes quand, jaillissant soudain à travers une espèce de carré de la masse sombre. que j'avais d'abord aperçue sur les rails, une illumination extrêmement puissante, comme une lueur de magnésium, m'aveugla. Je fermai les yeux et voulus crier, mais ne le pus pas. J'étais comme paralysé. Je tentai de bouger, mais mes jambes ne m'obéissaient plus. Affolé, j'entendis comme dans un rêve, à un mètre de moi, un bruit de pas sur la dalle de ciment qui est posée devant la porte de mon jardin. C'étaient les deux êtres qui se dirigeaient vers la voie ferrée."

"Enfin, le projecteur s'éteignit. Je retrouvai le contrôle de mes muscles et courus vers la voie ferrée. Mais déjà la masse sombre qui y était posée s'élevait du sol en se balançant légèrement à la façon d'un hélicoptère."

"J'avais pu toutefois voir une sorte de porte se fermer. Une épaisse vapeur sombre jaillissait par-dessous avec un léger sifflement. L'engin monta à la verticale jusqu'à une trentaine de mètres, puis, sans cesser de prendre de l'altitude, piqua vers l'ouest en direction d'Anzin. A partir d'une certaine distance, il prit une luminosité rougeâtre. Une minute plus tard, tout avait disparu."

[Ref. qh1:] JOURNAL "LE QUOTIDIEN DE LA HAUTE-LOIRE":

ENCORE UNE SOUCOUPE PRES DE VALENCIENNES

Un habitant de Quarouble y voit monter deux petits êtres casqués

Une nouvelle soucoupe volante serait descendue du ciel et se serait posée dans la nuit de vendredi à samedi à 22h30 sur le territoire de Quarouble, près de Valenciennes, à proximité du passage à niveau 79, sur la voie de chemin de fer exploitée par les houillères nationales.

"Il était 22h30", a noté M. Dewilde Marius, 34 ans, "lorsque mon attention fut attirée par les aboiements de mon chien. Croyant à la présence de rôdeurs dans ma basse-cour, je suis sorti muni d'une lampe de poche. A moins de six mètres de la porte de mon habitation, j'aperçus une masse sombre. Dans un petit sentier débouchant dans ma pâture, j'ai vu deux hommes, petits qui couraient vers le passage à niveau. J'ai braqué le rayon de la lampe. Le rayon s'est reflété sur la tête de l'un d'eux comme sur du verre. Cette tête m'a d'ailleurs paru assez grosse, mais je n'ai pas eu le temps de détailler, au moment même la porte de l'engin s'est ouverte. Une vive lumière m'a ébloui comme ferait un éclair au magnésium. Aveuglé, paralysé par la peur, j'ai vu la porte se refermer, l'appareil osciller légèrement, s'élever à une dizaine de mètres, puis filer comme un éclair dans la direction d'Anzin, c'est à dire vers l'ouest."

M. Dewilde, invité à décrire la soucoupe, a encore indiqué qu'elle était de forme ronde, peut-être conique. Selon ses indications on a pu estimer qu'elle pouvait mesurer environ trois mètres de haut et six mètres de diamètre. Lors de son ascension, elle laissa échapper un peu de fumée et rougit jusqu'à ressembler à une boule de feu. Lorsqu'il eut repris ses esprits, M. Dewilde alla réveiller sa femme, un voisin, et courut à la gendarmerie, puis au commissariat d' Onnaing. Le commissaire Gouchet trouva devant lui un homme tremblant de tous ses membres, souffrant de contractions intestinales qui excluaient de toute évidence l'hypothèse de la comédie. Dans son quartier, M. Dewilde a la réputation d'un homme équilibré et intelligent.

Hier, la police de l'air est venue inspecter les lieux, mais aucune trace n'a été relevée. On a seulement observé qu'un morceau de ballast avait été fraichement déchaussé.

[Ref. ne1:] JOURNAL "NORD-ECLAIR":




SOUCOUPE VOLANTE?

Rien n'est invraisemblable
dans les déclarations du
garde-barrière de Quarouble

ET LA POLICE DE L'AIR A PRIS
AU SERIEUX TOUTE CETTE AFFAIRE

De notre envoyé spécial
MICHEL DUFOREST

Pour la première fois depuis l'apparition de mystérieux engins baptisés "soucoupes volantes", on a pu relever, à Quarouble, près de Valenciennes, des traces laissées par l'un de ces appareils. Six griffes, disposées en demi-cercle sur des traverses d'une ligne de chemin de fer peu fréquentée, semblent prouver qu'en cet endroit un contact ou un frottement s'est produit entre le bois et une matière plus dure.

C'est tout ce que l'on peut affirmer pour le moment. Mais les services de police de l'Armée de l'Air qui ont photographié chacune des empreintes et prélevé quelques-uns des cailloux épars sur le ballast ont peut-être déjà tiré d'autres conclusions qu'ils garderont jalousement à l'abri du secret militaire.

Car si le public demeure sceptique vis-à-vis de tout ce qui se rapporte aux "Soucoupes volantes", il n'en va pas de même de la police de l'Air dont une des sections est spécialement chargée des enquêtes les concernant. Jusqu'alors, aucun fait matériel n'était venu corroborer les dires des témoins et c'est pourquoi les marques faites à Quarouble permettront peut-être de lever un coin du voile.

MARIUS NE GALEGE PAS TOUJOURS

Sans doute, l'histoire commence bien pour les incrédules puisqu'elle est racontée par... Marius Dewilde, Mais l'éclat de rire qui accueille ce prénom cesse lorsque l'on entame le récit.

Pour obtenir plus de garanties, ce n'est pas à M. Dewilde que j'ai demandé de raconter les faits dont il fut le témoin le vendredi 10 septembre. Car depuis ce jour, il a pu être influencé par les questions des enquêteurs et des dizaines de journalistes qui ont défilé chez lui. Les interrogatoires qu'il a subis pour vérifier s'il ne mentait pas ou s'il n'était pas victime d'une hallucination, ont pu travailler son imagination, et, involontairement, il serait susceptible aujourd'hui, d'ajouter des détails au récit primitif. Ce phénomène normal chez l'homme le plus équilibré s'expliqueraient d'autant plus facilement que depuis bientôt une semaine, M. Dewilde lit dans une "presse à sensations" des histoires qui n'ont plus rien de ressemblant avec ses propos.

La suite en dernière page






LE CHIEN ABOIE DANS LA NUIT

La demeure de M. Dewilde - une maison de garde barrière - est isolée à l'orée d'un petit bois, à environ un kilomètre et demi de la route nationale de Valenciennes à la douane belge de Quiévrain. Un chemin de terre à peine carrossable mène de la route à l'habitation: pratiquement il n'est utilisé que par des fermiers qui se rendent à leurs champs.

L'habitation est située dans un espace triangulaire séparant deux voies ferrées. L'une, employée seulement par les mines, conduit au puits de Quiévrechain; il y passe un train par jour. L'autre va de Blanc-Misseron à Odomez; un train de marchandise descend le matin en direction de la frontière et remonte le soir en sens inverse; c'est sur cette voie que se trouvent les empreintes.

Imaginons que nous sommes vendredi dernier, M. Dewilde lit, dans sa cuisine, son hebdomadaire illustré. Il est environ 22 h 30. Sa femme et ses deux fils 14 ans et 2 ans 1/2 dormaient au premier étage - dans la chambre mansardée. Depuis quelques minutes déjà, M. Dewilde entend le chien aboyer dehors, mais il n'y prête pas attention. Pourtant, excédé par ces aboiements il se lève finalement, prend sa lampe de poche et ouvrant la porte de la cuisine qui donne sur un petit enclos contigu à la ligne de chemin de fer, il crie "Kiki, t'as pas bientôt fini?"

DES PETITS HOMMES CASQUES

En prononçant ces mots, il aperçoit une masse sombre au travers de la voie ferrée, qu'il prend pour un chariot chargé de foin. Un cultivateur - sachant qu'aucun train ne passe la nuit - peut, en effet, avoir abandonné là son chargement jusqu'au lendemain matin.

C'est alors que M. Dewilde entend du bruit dans le petit chemin reliant les deux voies ferrées.

Instinctivement, il braque, dans la direction de l'endroit d'où provient le bruit, la lampe de poche. Et dans le faisceau lumineux apparaît un homme - un petit homme qui court en se dirigeant vers la "masse sombre."

C'est un enfant, pense-t-il, mais en regardant mieux, il aperçoit un second homme, derrière l'autre, et il suppose alors que ce sont des fraudeurs, car il croit deviner sur leur dos un lourd fardeau.

C'est alors que a lumière de la lampe éclaire la tête d'un des individus et M. Dewilde s'aperçoit qu'elle est recouverte d'une sorte de scaphandre ou de casque en verre. Il voit aussi que l'homme porte une combinaison très ample...

Et puis brutalement il est aveuglé par une lumière qui le surprend. Quand ses yeux peuvent percer à nouveau l'obscurité, la machine - qu'il avait prise pour un chariot chargé de foin - s'élève verticalement en se balançant sur elle-même, et s'éloigne rapidement au-dessus de la voie ferrée en dégageant une petite flamme par l'arrière sans faire plus de bruit qu'un léger ronronnement.

M. Dewilde réalise seulement qu'il vient d'être le témoin d'une scène extraordinaire. Il se précipite dans sa demeure et crie à sa femme: "Viens vite, il y a un "truc" qui s'envole sur la voie. C'est un drôle d'engin, et il y a des hommes!"

Réveillée en sursaut, Mme Dewilde ne réagit pas de suite, et quand son mari retourne dehors, le mystérieux appareil a disparu.

M. Dewilde décide, sur le champ, d'aller prévenir la gendarmerie de Quiévrechain, en dépit des instances de sa femme qui lui demande d'attendre jusqu'au lendemain matin. "C'est mon devoir d'y aller, répond-il selon Mme Dewilde. Cela pourra peut-être leur rendre service." Et, enfourchant son cyclomoteur, il part pour Quiévrechain - distant de plus de 3 kilomètres - en longeant la voie ferrée qui mène à Blanc-Misseron.

AU COMMISSARIAT D'ONNAING

Mais il n'y a pas de permanence au bureau de gendarmerie, et la porte reste désespérément fermée, malgré l'insistance de M. Dewilde, à sonner et à frapper. Celui-ci se rend alors dans un café voisin, où il explique ce qu'il vient de voir. L'incrédulité des clients est tout de même ébranlée par son récit et son état de surexcitation. Quelqu'un lui suggère alors de se rendre au commissariat d'Onnaing.

M. Dewilde reprend donc la route et franchit les six kilomètres qui séparent Quiévrechain d'Onnaing, où il arrive un peu avant minuit.

Les agents de service sont aussi frappés par son attitude: "il était pâle, m'ont-ils dit, et tremblait comme un homme qui vient d'avoir eu une grande frayeur." Toutefois, les policiers refusent de réveiller le commissaire, mais ils promettent que celui-ci se rendra chez M. Dewilde le matin de bonne heure.

Celui-ci regagne donc son domicile, à environ quatre kilomètres, et boucle sa randonnée nocturne.

Après son départ, les agents changeant d'avis et préviennent tout de même le commissaire, M. Gouchet, qui recueillera, le lendemain matin, la déclaration de M. Dewilde sur les lieux mêmes de l'aventure. Devant la sincérité du témoin, il alertera la police de l'air, qui relèvera les traces que nous avons mentionnées.

IL NE S'AGIT PAS D'UN CANULAR...

Telle est l'histoire véridique de la "soucoupe volante" de Quarouble. Le commissaire d'Onnaing, comme les enquêteurs des services de sécurité de l'air, refusent d'en dire davantage pour l'excellente raison qu'ils ne connaissent rien d'autre. Tout ce qu'ils ajouteraient s'éloignerait de la vérité et entrerait dans le domaine des déductions et des suppositions.

On peut admettre d'abord que M. Dewilde, voulant faire parler de lui, à inventé, de toutes pièces, cette rocambolesque histoire.

"S'il en était ainsi, m'a répondu M. Gouchet, M. Dewilde serait, à l'heure actuelle, en prison pour outrage à magistrat. J'ai l'habitude des interrogatoires, et je puis certifier que M. Dewilde n'invente rien. C'est aussi l'opinion recueillie par la police de l'Air. On n'imagine pas une histoire semblable sans se trahir, à un moment ou un autre."

Il existe aussi des éléments qui prouvent la bonne foi du témoin. Il a parcouru, en pleine nuit, une quinzaine de kilomètres pour avertir les autorités. Il présentait les signes de la peur.

... NI D'UNE HALLUCINATION COLLECTIVE

Mais si M. Dewilde n'a pas voulu tromper, il a pu se tromper. Ne fut-il pas victime d'une hallucination?

M. Gouchet répond aussi à cette question. "Je l'ai pensé, moi aussi. Aussi, ai-je examiné les dernières lectures de M. Dewilde. Le soir de l'événement, il lisait un hebdomadaire dans lequel il n'est aucunement question de soucoupes volantes." Il n'est pas farci de romans d'anticipations, et lit seulement quelques illustrés en plus de son quotidien."

M. Dewilde est d'ailleurs un homme pondéré et sensé, et il n'était en aucune façon prédisposé à "voir une soucoupe volante."

D'ailleurs, c'est seulement lorsque l'appareil s'est envolé qu'il a pensé aux "soucoupes". Jusqu'alors, il prenait la masse sombre pour un chariot chargé de foin, et les deux hommes pour des fraudeurs.

D'autre part, plus de dix personnes ont déclaré avoir vu, ce soir-là, aux environs de 20 h 30, soit une "boule de feu", soit un "disque laissant échapper une traînée de feu" dans le ciel. Tous les témoignages concordent pour affirmer que le disque se dirigeait vers Anzin. Or, c'est bien vers cette direction que M. Dewilde a vu s'éloigner cette chose mystérieuse qui reposait sur la voie ferrée.

Faut-il alors supposer qu'il y a eu hallucination collective de gens qui ne se connaissaient pas et ne se trouvaient pas ensemble à ce moment? Les uns bavardaient sur le pas de leur porte, les autres fermaient la fenêtre de leur chambre, certains, enfin, rentraient chez eux.

Dernier point à éclaircir: qui étaient ces "petits hommes". Dans sa déclaration, M. Dewilde dit qu'ils ne dépassaient pas un mètre. Il pensa d'abord qu'ils s'agissait d'enfants, puis de "fraudeurs portant un lourd fardeau." Enfin, il aperçut qu'une "espèce de scaphandre" les recouvrait.

Tout cela est-il invraisemblable? Auparavant, il est bon de préciser que 1°) la scène ne dura pas trente secondes; 2°) la nuit de vendredi à samedi était fort obscure; 3°) le vent soufflait avec force.

M. Dewilde n'eut donc pas le temps "d'examiner" les individus. Il aperçu des ombres et sa lampe lui permit de constater qu'elles étaient revêtues d'un habit spécial.

Mais les aviateurs ne sont-ils pas munis, eux aussi, d'une combinaison ample et d'un casque spécial leur permettant d'affronter les hautes altitudes? Des hommes, de taille moyenne, courbés pour ne pas être vus, ne peuvent-ils pas paraître comme de "petits hommes" d'autant que l'ampleur de leur combinaison les rapetisse encore?

Ces suppositions plausibles que la police émet autorisent à croire en la sincérité du témoin.

MICHEL DUFOREST

[Ref. ci1:] CIA:





INFORMATION VENANT DE
DOCUMENTS OU EMISSIONS DE RADIO DE L'ETRANGER

PAYS: Non-Alignés DATE D'INFORMATION: 1954
SUJET: Militaire, Objets Volants Non Identifiés
PUBLIE DANS: Journaux quotidiens DATE DE DISTRIBUTION: 29 octobre 1954
PUBLIE A: Comme indiqué NOMBRE DE PAGES: 5
DATE DE PUBLICATION: 31 juillet - 20 septembre 1954
LANGUAGES: Divers EN SUPPLEMENT AU RAPPORT N.:
[Censuré] [Censuré] CES INFORMATIONS N'ONT PAS ETE EVALUEES
SOURCE: Comme indiqué
OBSERVATIONS D'ENGINS VOLANTS NON IDENTIFIES
31 JUILLET - 20 SEPTEMBRE 1954

EUROPE DE L'OUEST

[... (Rapports concernant d'autres pays) ...]

France

[... (Rapports précédents)]

SUPPOSE PILOTES DE "SOUCOUPE VOLANTE" ETAIENT DES CONTREBANDIERS -- Paris, Franc-Tireur, 16 sep. 54

(Ce qui suit est une information additionnelle concernant les rapports de deux cas cités dans le compte-rendu FBIS du 14 septembre 1954.)

Deux des supposés récents atterrissages (du 10 septembre) de "soucoupes volantes" en France sont considérés par la police de l'air locale comme n'étant rien de plus que des avions utilisés en contrebande. En outre, dans un cas, un fermier du département de Corrèze a déclaré que le pilote avait prononcé des mots inintelligibles; mais le fermier n'était certainement pas polyglotte et pouvait avoir été facilement abusé. Dans l'autre affaire, dans le département de Valenciennes, le témoin peut avoir été sincère, mais il devrait être noté qu'il a subi un traumatisme crânien, un an auparavant, et connaissait depuis quelques troubles nerveux. Il est vrai, cependant, que dans le dernier cas, la police de l'air trouva quatre marques inhabituelles sur la voie ferrée, près de l'endroit indiqué par le témoin, traces qui n'ont pas pu être faites par les outils des ouvriers travaillant sur la voie.

[... (Fin des rapports pour la France)]

Note: le premier cas discuté est celui d'Antoine Mazaud, se réferer au dossier correspondant du 10 septembre 1954 à Mouriéras, Corrèze.

[Ref. ss1:] JOURNAL "SAMEDI-SOIR":




La grande farce des "Martiens"

[...]

Deux scaphandriers jouent au petit train

Quarouble (Pas-de-Calais), vendredi 10 septembre 1954, 22 h.15:

MARIUS DEWILDE, 34 ans, ouvrier aux Aciéries de Blanc Misseron, lit un magazine dans sa cuisine (il serait intéressant de savoir de quoi parlait ce magazine) [du naufrage d'un navire, l'Abeille], Au premier étage, Mme Dewilde et son fils reposent déjà depuis un instant. Tout est calme. Seul le tic-tac de l'horloge et le froissement des pages tournées rompent le silence.

Soudain, Marius Dewilde lève la tête, attentif. Au dehors, Kiki, son chien, aboie furieusement comme lorsqu'un étranger pénètre dans le jardinet. Quelqu'un à cette heure? Certainement pas un visiteur. Alors? Un rodeur, peut-être, ou un contrebandier? Marius Dewilde prend une lampe électrique et sort sur le pas de sa porte. L'air frais de la nuit le frappe au visage. Pendant quelques secondes, ses yeux mal accoutumés à l'obscurité de distinguent rien. Puis, au-delà de la barrière qui sépare le chemin de la voie de chemin de fer, il aperçoit une masse sombre, comme une charrette abandonnée sur les rails.

"Tiens..., pense Marius, un paysan a dételé sur la voie. Il faudra que je prévienne la gare pour qu'on l'enlève, ça pourrait causer un accident."

Pendant ce temps Kiki vers la droite continue à s'étrangler de fureur. Marius Dewilde presse le bouton de sa lampe de poche et dirige le rayon lumineux vers l'endroit où se trouve Kiki. Et alors, il voit...

A trois ou quatre mètres de lui, sur le chemin qui passe devant la maison, deux êtres marchent l'un derrière l'autre vers la masse sombre aperçue sur la voie. Ils sont petits (pas plus d'un mètre). Celui des deux qui marche devant tourne la tête vers Marius Dewilde qui a l'impression de se retrouver en présence de deux scaphandriers extrêmement larges d'épaules et dont les casques jettent des reflets métalliques.

D'abord stupéfait, Marius court vers la porte du jardin, pour couper la route aux inconnus. Alors, dans la masse sombre posée sur la voie, s'ouvre une fenêtre de forme carrée d'où jaillit un rayon vert qui se pose sur Dewilde. Aussitôt, l'homme est paralysé, cloué sur place. Ses jambes lui refusent tout usage.

Pendant plusieurs secondes, il est ainsi incapable de faire un seul mouvement, puis soudain, le projecteur d'éteint, et Marius retrouve l'usage de ses muscles. Il se rue vers l'engin, mais il est trop tard. Avec un sifflement et une épaisse fumée noire, la masse sombre s'élève dans l'espace en se balançant légèrement. On dirait une cloche à fromage haute de trois mètres et de cinq à six mètres de diamètre. La cloche monte... monte... Elle prend une couleur rouge-orange, et disparaît vers l'ouest. Marius Dewilde et ses Martiens entrent dans la légende.

Comme dans le cas Mazaud, la police enquête. Cette fois, c'est la police de l'Air. Pourquoi la police de l'Air? Mais parce qu'il s'agit d'un engin volant, bien sûr. On "cherche" des traces d'atterrissage sur la voie ferrée et l'on en "trouve". Cinq éraflures sur les traverses. Un des inspecteurs déclare:

- UN ENGIN QUI AURAIT ATTERRI SUR DES BEQUILLES NE LAISSERAIT PAS D'AUTRES TRACES!

Marius Dewilde a été victime, autrefois, d'un traumatisme crânien à la suite duquel il a, paraît-il, manifesté quelques troubles nerveux. Un psychiatre aurait peut-être des questions à poser, mais cette hypothèse est exclue. Personne ne soumettra le témoin à ce que les américains appellent une "cross-examination", c'est à dire à un véritable interrogatoire destiné à relever dans son récit des contradictions ou des invraisemblances. A quel titre, d'ailleurs, procéderait-on à ces examens?

Marius Dewilde n'est pas un malfaiteur ou un fou. Il ne menace la sécurité de personne. Il n'a pas appelé la police. Il est parfaitement libre, comme tout citoyen français, de raconter ce qu'il a vu ou ce qu'il a cru voir et de donner aux événements dont il prétend avoir été le témoin la version qui lui plait ou à laquelle il croit.

Dans ces conditions, pourtant, il est permis de se poser la question: où est la vérité scientifique?

[Photographie avec légende:] Quelques heures après Mazaud, Marius Dewilde, de Quarouble (Pas-de-Calais), a vu, lui aussi, deux "Martiens". Il a eu droit, en plus, au scaphandre et au "rayon paralysant". Lui aussi a voulu, après coup, prendre un gendarme à témoin.

[Ref. es1:] JOURNAL "EVENING STAR":




En France, Les Rumeurs Volent...
Ou Alors Ce Sont les Soucoupes Qui Volent

PARIS. -- Les lecteurs des colonnes classiques d'annonces du Telegramme de Brest ont écarquillé récemment les yeux à l'annonce suivante:

RECOMPENSE

Offre de 10 millions de francs (1000000) à toute personne qui m'apporte un habitant vivant de la planète Mars. Contacter PRÉ à LOCRONAN (Finistère).

Il se peut que ce Mr. Pre ait perdu la boule et ait bien plus que 10 millions de francs le nez. Mais considérant ce qui se passe en Europe en ce moment, on ne sait jamais...

Cedric Allingham, si son intérêt était plus financier que scientifique, pourrait s'em être réjoui. Mr. Allingham est un [illisible]. Il est également un ornithologue professionnel et un astronome amateur. Sa grande chance est venue le 18 février dernier, à environ 15:30 lors d'une promenade entre [... Illisible Allingham est un "contacté" qui avait à ce moment prétendu avoir rencontré des Vénusiens, et non des Martiens, et donc était "hors concours".]

[...] chances de gagner la récompense de Mr. Pre, il n'a aucun atout sur le marché des Martiens. Dans les semaines récentes, des journaux européens ont été inondés d'une quantité de rapports à peine moins intrigants:

Dans la nuit du 10 septembre, près de Quarouble dans le nord de la France, une machine oblongue d'environ 10 pieds de long a atterri sur une voie de chemin de fer à quelques mètres de la maison du fermier Marius Dewilde. Deux petites créatures comme des hommes ont émergé, habillé dans des costumes qui ont ressemblé les costumes de plongeurs. Pendant que Mr. Dewilde marchait vers la machine, il a été paralysé par une lumière verte. Avant qu'il ait récupéré, la machine était haut dans le ciel. D'autres investigations ont montré des éraflures symétriques sur les traverses en bois de chemin de fer, suggérant que l'objet se soit reposé sur un train d'atterrissage en trépied.

Le même soir, un fermier du plateau de Millevache en France méridionale nommé Antoine Mazaud a confié un rapport semblable aux autorités locales. Marchant vers sa maison, Mr. Mazaud s'était trouvé soudainement face à face avec un petit étranger mystérieux portant quelque chose qui a ressemblé un casque antichoc. Le fermier Mazaud a prudemment avancé sa fourche. L'étranger, au contraire, a fait des mains des gestes d'amitié, a marché vers lui, a poussé quelques bruits, et a embrassé Mr. Mazaud sur la joue. Avant que le fermier ne puisse récupérer son équilibre, l'aimable intrus a grimpé la haie du bord de la route et est entré dans un objet en forme de cigare qui a décollé avec un faible bruit de ronflement.

Le 24 septembre à 10 heures du matin dans les montagnes de Gardunha près de la frontière espagnole, trois paysans portugais étaient ont été frôlés par une sphère volant rapidement qui a atterri dans un champ à 200 mètres d'eux. Cette fois, deux grandes créatures dans des équipements métalliques brillants ont émergé et ont commencé à rassembler de l'herbe et des pierres dans une boîte brillamment polie. Repérant les paysans, ils ont déambulé vers eux et ont invité les hommes par gestes à venir voler dans leurs machines, où des ombres mobiles pouvaient être vues derrière la section centrale semi-transparente. Quand leur offre a été déclinée, les étrangers ont disparu par une trappe. Quelques secondes plus tard, la sphère a décollé verticalement et a rapidement disparue. [Au Portugal, un canular, dossier ici.]

"Champignon Volant"

Le 30 septembre 30 à 17:10 Bernard Goujon et Armand Pichet travaillaient à la route entre Maisoncelles et Meaux quand un "champignon volant" de huit pieds de large s'est gracieusement posé tout près. Mr. Pichet, d'une position avantageuse dans le fossé du bord de la route, a invité Mr. Goujon "à courir là bas et aller jeter un oeil." Selon le rapport de Mr. Goujon aux gendarmes, le champignon a semblé être fabriqué à partir d'aluminium et reposer sur trois béquilles. Il a décollé pendant qu'il approchait "en faisant des spirales comme une feuille morte" et s'est perdu dans les nuages. Le lendemain matin [...]

[Ref. ti1:] MAGAZINE "TIME":

L'article ci-dessous est paru dans le magazine Time aux USA le 25 octobre 1954.




SCIENCE

Martiens sur la France

Un matin en octobre dernier, Jean Narcy, un cantonnier de Haute-Marne, France, roulait à bicyclette pour aller à son travail. Dans un champ de blé, il a vu un drôle de bonhomme de juste 4 pieds de haut, qui portait un manteau de fourrure, un corset orange et un chapeau de peluche.

"Bonjour," a dit M. Narcy.

Le petit homme a murmuré quelque chose comme "à tantôt." Alors il a sauté dans une petite (10 pieds de diamètre) soucoupe volante, a décollé avec un son de ronflement et a disparu dans les nuages.

Avec le "Martien Velu" de Narcy comme point de départ, la presse française s'est débridée, et un déluge de martiens s'en est ensuivi depuis. Ils sont venus en cigares volants, couronnes, comètes, champignons à ailes, et même un pot de chambre volant. A la différence des Américains qui voient des soucoupes volantes, les "observateurs" français ont prêté peu d'attention aux véhicules. Ils étaient intéressés par les gens de l'espace.

Les martiens étaient tout, sauf standardisés. L'un d'eux qui a arrêté M. Roger Barrault près de la ville de Lavoux avait eu des yeux brillants, une énorme moustache, portait des sandales en caoutchoucs et parlait le latin. Un autre a demandé du feu à M. Pierre Lucas, un boulanger breton. Il était barbu et avait un oeil unique au milieu du front. M. Lucas ne pouvait pas se rappeler quelle langue il parlait.

Pygmées Paralysants. Pendant que l'invasion de la France par les Martiens se poursuivait, les envahisseurs sont devenus plus bizarres. Une troupe de pygmées portant casque en plastique a caracolée le long d'une voie de chemin de fer près de Quarouble et a figé sur place M. Dewilde avec "un rayon de lumière paralysant." Certains martiens étaient bleus, d'autres étaient jaunes ou roses. Un représentant de commerce de Côte du Nord a vu une vision merveilleuse: un cigare volant rose sombre dont un martien zébré est sorti. Pendant qu'il descendait, il a changé de couleur, façon caméléon, de jaune en vert.

Les martiens ont fait marche en masse sur les affaires françaises. Les réalisateurs de dessins humoristiques leur ont fait avec plaisir un accueil chaleureux (voir les encarts). Tandis qu'ils se multipliaient, ils ont même gagné la respectabilité. Le Figaro a rapporté: "le conseiller général des Alpes Maritimes salue l'apparition des soucoupes volantes sur la Côte d'Azur." France Soir a annoncé que "un service quotidien de vol de soucoupes semble avoir été établi entre le Marais-Poitevin et La Rochelle." Un homme de l'espace a même eu les honneurs des carnets mondains de Paris-France: "Un Martien moustachu passe son week-end à Vienne." Les députés fâchés ont posé des questions au Parlement. Les autorités de l'Armée de l'Air (de même qu'aux USA) ont été harcelées pour qu'elles donnent des explications.

Avant que les martiens multicolores n'aient plu sur la France, on a demandé au fameux psychiatre suisse C. G. Jung ce qu'il pensait de l'épidémie de soucoupes. "Quelque chose est vu," a dit Jung. "Ce qui est vu peut être, dans le cas d'un observateur unique, une vision subjective (hallucination). Dans le cas avec beaucoup d'observateurs, ce peut être une vision collective, tel qu'un phénomène psychique... ce pourrait être une réaction spontanée du subconscient à la situation consciente actuelle; la crainte d'une situation politique apparemment insoluble dans le monde... Lors de telles occasions les regards se tournent vers les cieux... et des pressentiments miraculeux à caractère menaçant ou consolant apparaissent venus d'en haut."

Plus De Rêves. Le Dr. Jung blâme l'Armée de l'Air des Etat-Unis pour mal traiter l'épidémie de soucoupe et pour permettre aux journalistes irresponsables de pomper des bouts d'informations à caractère sensationnaliste. Il ne croit pas que les soucoupes sont des vaisseaux spatiaux. Celles qui ne sont pas des hallucinations, pense-il, sont probablement des interprétations fausses d'objets ou d'effets physiques. Mais il était disposé à spéculer au sujet de l'effet sur la race humaine d'une invasion par des êtres d'un autre monde.

"Si l'origine du phénomène s'avérait être extraterrestre," a dit le Dr. Jung, "cela proverait une cause interplanétaire intelligente. L'impact d'un tel fait sur l'humanité est imprévisible. Mais, sans doute, serions nous placés dans la position très incertaine des sociétés primitives d'aujourd'hui qui s'opposent à la culture supérieure de la race blanche. Toute nos initiatives perdraient leur motivation. Comme un vieux sorcier me l'a une fois dit, avec les larmes aux yeux: Nous n'aurions 'plus de rêves.'"

Nos sciences et technologie iraient à la benne à ordure. Ce que signifierait moralement une telle catastrophe, nous pouvons le mesurer par le déclin pitoyable des cultures primitives qui a lieu devant nos yeux. La capacité de fabriquer (des vaisseaux spatiaux interplanétaires) indique qu'il y a dans le ciel un niveau de technologie très au-dessus du nôtre."

"Tout comme la Pax Britannica a mis fin aux guerres tribales en Afrique, ainsi notre monde pourrait remballer su Rideau de Fer et l'envoyer à la casse... Ceci ne serait pas si mauvais. Mais nous aurions été 'découverts' et colonisés."

[Ref. li1:] MAGAZINE "LIFE":




ERAFLURES DE SOUCOUPE sur traverse de chemin de fer qui ont été entourées à la craie par Marius Dewilde de Quarouble qui emporte chez lui la traverse pour préserver la preuve de l'objet volant couleur rouille qu'il a vu atterrir sur la voie.

[Ref. cg1:] CHARLES GARREAU:

Le 10 Septembre 1954, à Quarouble (Nord), un ouvrier métallurgiste, Marius Dewilde, se trouve en présence de deux petits êtres "vêtus de combinaisons semblable à celles des scaphandriers. Ils étaient de très petite taille: pas plus d'un mètre... Je vis leurs jambes, Par contre, je ne leur vis pas de bras et j'ignore s'ils en possédaient." Sur la voie ferrée, proche de la maison de Marius Dewilde, les enquêteurs relèvent des traces qui, selon les experts, ont été imprimées par un engin d'une trentaine de tonnes.

[Ref. mc1:] "MICHEL CARROUGES":

Michel Carrouges indique que l'observation Dewilde a été faite à une distance de 6 mètres.

Michel Carrouges indique que dans le cas Dewilde les détails précis fournis sur la topographie des lieux et les emplacements respectifs des témoins et des objets ou des pilotes enforcent l'extrême proximité de la rencontre.

[Ref. jv6:] JACQUES VALLEE:

Jacques Vallée indique que France-Soir du septembre 15 1954 a rapporté ce qui suit:

"Trois enquêteurs pour la police de l'air sont arrivés à Quarouble, Nord, pour interroger hier M. Marius Dewilde, l'homme qui a vu deux "Martiens" près de sa porte d'arrière-cour. Ils ont quitté le village avec l'assurance que pendant la nuit du vendredi au samedi, un engin mystérieux avait effectivement atterri, comme affirmé par M. Dewilde, sur les voies de chemin de fer de la ligne Saint-Amand-Blanc-Misseron, près du passage à niveau numéro 79."

"Leurs enquêtes semblent, en effet, confirmer le rapport fait par l'ouvrier métallurgiste. Le témoin a déclaré que ce vendredi, à environ 22:30, il avait vu une machine d'une forme ovale, de trois mètres de haut, de six mètres de long, reposant sur les voies à quelques mètres de sa maison. Deux entités d'aspect humain, de taille très petite et portant apparemment des tenues de plongée, ont pu être vues tout près. M. Dewilde a marché vers elles, mais à ce moment un faisceau de lumière verdâtre a été concentré sur lui depuis l'engin et il s'est trouvé paralysé. Quand il était a été capable de se déplacer à nouveau la machine avait commencé à s'élever et les deux entités avaient disparu."

"Les enquêteurs n'ont trouvé aucune trace de l'existence de ces entités. La terre, examinée mètre par mètre, ne montre pas des traces des pas. Cependant, une des traverses sur les voies a montré des traces qui pourraient avoir été faites par un atterrissage d'une machine. En cinq endroits le bois des traverses est enfoncé sur une surface d'environ quatre centimètres carrés. Ces inscriptions ont toutes le même aspect et elles sont placées symétriquement, sur une ligne. Trois de celles-ci, au milieu, sont séparés par un intervalle de quarante-trois centimètres. Les deux dernières sont à soixante-septs centimètres de distance des précédantes."

"Un engin qui atterrirait sur des pieds au lieu de roues comme nos propres avions ne laisserait pas d'autres traces, a déclaré un des inspecteurs de la police de l'air."

"Le récit fait par M. Dewilde est également confirmé par plusieurs habitants de la région. A Onnaing, un jeune homme nommé M. Edmond Auverlot et un homme à la retraite, M. Hublard, ont vu à environ 22:30 (l'heure indiquée par M. Dewilde) une lumière rougeâtre voyager dans le ciel. La même lumière a été vue de Vicq par trois jeunes hommes."

Jacques Vallée dit que selon le livre d'Aimé Michel Mystérieux Objets Célestes, et sa version anglaise Flying Saucers and the Straight-Line Mystery, les spécialistes en chemin de fer consultés par les investigateurs en ce qui concerne les marques sur les traverses en bois ont calculé que la pression indiquée par les marques correspondait à un poids de trente tonnes. Ces marques étaient fraîches et nettement découpées, prouvant que le bois ou les traverses avaient été soumises en ces cinq points à une pression très forte.

Jacques Vallée indique que selon le livre d'Aimé Michel Mystérieux Objets Célestes et sa version anglaise Flying Saucers and the Straight-Line Mystery, dans un examen du gravier du soubassement de la voie, les policiers ont trouvé un autre fait intrigant: à l'emplacement de l'atterrissage allégué les pierres étaient fragiles, comme si elles avaient été calcinées à température élevée et que quelques traces noirâtres ont été également trouvées. Bien que rien n'ait été déterminé au sujet de l'existence des "opérateurs", on a a dit dans le rapport que la terre était dure et que l'absence des empreintes de pas ne réfutait pas l'histoire.

[Ref. lc1:] LEONARD G. CRAMP:

Il y a eu beaucoup de tels cas; l'un du plus notable s'est produit en France, près de Valenciennes, en septembre 1954.

Marius Dewilde avait 34 ans, marié, père de famille. Il était ouvrier métallurgiste aux aciéries de Blanc-Misseron sur la frontière belge. Il avait la réputation d'être un homme digne de confiance à son travail, un bon ouvrier, certainement pas un visionnaire.

A cette époque il vivait avec sa famille dans une petite maison isolée au milieu les bois et des champs, à environ un mile du village de Quarouble. Devant la maison, il y a un petit jardin clôturé. A côté de ce jardin court la voie ferroviaire des Mines de Houille Nationales de St-Amand-les-Eaux à Blanc-Misseron, et le passage à niveau numéro 79 est à côté de la maison. Voici l'histoire de M. Dewilde notée par un enquêteur: "Mon épouse et fils étaient juste allés au lit, et je lisais près du feu. L'horloge au-dessus du fourneau de la cuisine indiquait 22:30, quand mon attention a été attirée par un aboyement de mon chien Kiki. L'animal hurlait assez fort pour réveiller les morts. Pensant qu'il devait y avoir un rôdeur en ma cour, j'ai pris ma lampe-torche et suis sorti."

"Quand je suis arrivé dans le jardin, j'ai remarqué sur la voie de chemin de fer, à moins de six yards de ma porte, du côté gauche, une sorte de masse foncée. Un certain fermier a laissé son chariot là, ai-je d'abord pensé, je devrais dire demain matin aux personnel de la gare de l'enlever, ou nous aurons un accident. Les fermiers emploient parfois les rails comme route pendant la moisson, parce que dans ce pays marécageux les routes carrossables sont en mauvais état." "Juste à ce moment", continuait Mr. Dewilde, "mon chien est venu vers moi, rampant sur son ventre, et d'un coup j'ai entendu des bruits de pas pressés sur ma droite. Il y a un chemin là que nous appelons 'le chemin des contrebandiers', parce que ils l'utilisent parfois la nuit. Kiki s'est tourné vers le bruit et a commencé à aboyer à nouveau. J'ai allumé ma lampe-torche et ai dirigé son faisceau vers le chemin. Ce que j'ai vu n'avait rien à voir avec des contrebandiers. Deux créatures telles que je n'en avais jamais vues avant n'étaient pas à plus de trois ou quatre yards de moi, droit derrière la barrière, la seule chose qui nous séparait, marchant le l'une derrière l'autre vers la masse foncée que j'avais remarquée sur la voie."

"Celle qui était devant s'est tournée vers moi. Le faisceau de ma lumière a attrapé un reflet de verre ou métal d'où son visage devrait avoir été; j'ai eu la nette impression distincte que sa tête était enfermée dans un casque de plongeur. En fait, les deux créatures étaient habillées dans des équipements d'une seule pièce comme les tenues que portent les plongeurs. Elles étaient très courtes, de probablement moins de trois pieds et demi de haut, mais très larges d'épaules, et les casques protégeant leurs têtes semblaient énormes. Je pouvais voir leurs jambes, petites proportionnellement à leur taille, il m'a semblé, mais par contre je ne pouvais voir aucun bras. Je ne sais pas s'ils en avaient."

"Quand les premières secondes de stupéfaction étaient passées, je me suis précipité vers la porte de jardin, entendant faire le tour de la barrière par derrière et leur coupe le chemin, pour essayer de mettre la main sur au moins une d'elles. Je n'étais pas à plus de six pieds des deux formes quand j'ai été aveuglé par une lumière extrêmement puissante, comme une fusée au magnésium, venant par une sorte d'ouverture carrée dans la masse foncée sur les rails.J'ai fermé mes yeux et ai essayé de hurler, mais je ne le pouvais pas, c'était tout comme si j'avais été paralysé, j'ai essayé de bouger, mais mes jambes ne m'obéissaient pas."

"Pensant que je devenais fou, j'ai entendu, comme dans un rêve, à un mètre de moi, les bruits des pas sur le ciment qui se trouve devant la porte à mon jardin. Les deux créatures allaient vers le chemin de fer."

"Finalement le faisceau de lumière s'est éteint. J'ai alors recouvré l'utilisation de mes muscles et ai couru vers la voie. Mais la masse foncée qui s'était tenue là montait de la terre et planait légèrement, comme un hélicoptère. J'avais pu, cependant, voir une genre de porte se fermer. Une vapeur foncée épaisse venait de son dessous avec un son de sifflement bas. L'engin est monté verticalement d'environ cent pieds et puis, toujours en prenant de l'altitude, s'est tourné vers l'est dans la direction d'Anzin. Quand il a été à une certaine distance, il a pris une luminosité rougeâtre. Une minute plus tard il avait disparu complètement."

Quand il eut en partie regagné ses sens, M. Dewilde est allé réveiller son épouse, puis a appelé un voisin. Ensuite il a couru au commissariat de police le plus proche, dans le petit village d'Onnaing, à environ un mile de distance. Il était tellement agité et son discours semblait si confus que la police l'a pris pour un fou et l'a renvoyé. Alors il a couru au bureau du commissaire de police et a réussi à obtenir l'attention du commissaire Gouchet.

Se rendant compte immédiatement que quelque chose de extraordinaire s'était produit, le commissaire a écarté sans hésitation n'importe quelle notion de plaisanterie ou de canular. La crainte de M. Dewilde était trop indubitable.

Le rapport du commissaire Gouchet a déclenché une triple enquête, conduite conjointement par la police régulière, la police de l'air, et le ministère de la sécurité territoriale, un peu l'équivalent du F.B.I américain. Le lendemain matin ces trois organismes ont noté la déposition de M. Dewilde une fois de plus. Ils sont arrivés à la même conclusion que le commissaire Gouchet et ont rejeté toute idée que l'histoire était une invention délibérée. Puis ils sont revenus sur les lieux le lundi, 13 septembre, pour essayer d'expliquer le phénomène lui-même. La première hypothèse qu'ils ont considérée était celle d'un hélicoptère clandestin pour la contrebande. Mais cette explication a dû être abandonnée; les fils de télégraphe auraient empêché n'importe quel atterrissage à cet endroit.

Ensuite les trois enquêteurs ont recherché toutes traces et autres témoins. Ils ont d'abord examiné, pied par le pied, la terre touchant les voies ferroviaires, où les deux supposées créatures pourraient avoir laissé des empreintes de pas. Ils n'ont rien trouvé qui aurait pu confirmer l'histoire de M. Dewilde. Mais ils ont dit dans leur rapport que la terre était dure et l'absence des empreintes de pas ne réfutait pas l'histoire.

Ils ont trouvé leur recherche le long de la voie de chemin de fer plus productive. En cinq endroits sur trois des traverses en bois, il y avait des dépressions identiques, chacune à peu près d'un pouce et demi carré. Ces marques étaient fraîches et nettement découpées, indiquant que le bois des traverses avait été soumis à ces cinq points à une forte pression, comme si elles avaient soutenu un poids très lourd. En outre, les marques étaient placées symétriquement . Trois étaient en rangée au milieu, toutes sur la même traverse, et à environ 18 pouces de distance. Les deux autres étaient de chaque côté de la ligne constituée par ces trois là, et en étaient à environ 28 pouces de distance.

Interrogé par des journalistes au sujet de ces marques, un des policiers de l'air travaillant à l'enquête a répondu: "Une machine qui se poserait sur des pieds au lieu de roues comme nos propres engins laisserait des marques exactement comme celles-là".

pourraient avoir été laissées par des ouvriers vissant des boulons de voie. Mais aucun travail de cette sorte n'avait été effectué depuis longtemps, et les marques avaient été fraîchement faites. Cela n'aurait pas expliqué non plus l'arrangement géométrique des marques.

Les ingénieurs du chemin de fer, une fois consultés par les enquêteurs, ont dit qu'ils avaient calculé que la pression indiquée par les marques correspondait à un poids de trente tonnes. Plus tard quelques 25 pieds de la voie ont été enlevés pour une analyse plus rigoureuse. En outre, un examen plus étroit à l'emplacement de l'atterrissage allégué a indiqué qu'une partie du ballast entre les voies avait été soumis à des températures extrêmement hautes. Les pierres étaient fragiles et calcinées.

Nous pouvons maintenant nous demander, qui parmi nous ira proposer qu'un homme humble pourrait prendre tant de soin extraordinaires pour perpétrer un tel canular, ou même que c'était un cas de phénomènes naturels mal interprétés? S'il y a ceux qui pensent que l'explication pas des soucoupes volantes est intenable, alors, également, pour ma part je trouve ces solutions de rechange ci-dessus franchement amusantes! Il y a beaucoup de cas semblables où des effets au sol ont été laissés par des soucoupes, donc nous pouvons conclure que de tels engins sont de vrais objets, solides, quel que puisse être leur mode de fonctionnement dans l'espace.

[Ref. jv1:] JACQUES VALLEE:

144

Un ouvrier métallurgiste, Marius Dewilde, (trente quatre ans), sortit de sa maison lorsque son chien aboya et vit un objet sombre sur la voie de chemin de fer; puis il observa 2 nains marchant vers l'objet. Il essaya de les arrêter, mais se trouva paralysé lorsqu'une lumière orange fut projetée sur lui. Les créatures étaient de hauteur inférieure à un mètre, trapues, et portaient des scaphandres sombres. On ne voyait ni visage ni bras. L'Armée de l'Air française et la police relevèrent sur le ballast des traces faites par un objet d'un poids estimé à trente tonnes. (Le Parisien, Combat, Le Figaro, 13 sept. 1954) (8; M 44; Magonia)

[Ref. jv5:] JACQUES VALLEE:

117 -003.61530 50.39640 10 09 1954 22 30 105* QUAROUBLE -NORD F 021133 C *064
[Ref. ob1:] OTTO BINDER:

10 september 1954, Quarouble, France. Le témoin est d'abord tombé sur un OVNI qui a atterri sur des voies de chemin de fer, puis a produit des créatures "comme je n'en avais jamais vu avant... Le faisceau de ma lumière (torche) a attrapé une réflexion de verre ou de métal là où son visage aurait du être. J'ai eu la nette impression que sa tête était enfermée dans un casque de plongée... Ils étaient très petits, probablement moins de trois des pieds et demi de taille."

Et, dans le même ouvrage:

10 septembre 1954, Nord, France. Un ouvrier métallurgiste est sorti de sa maison pour voir un objet foncé garé sur les voies de chemin de fer, et deux petits hommes ont couru vers lui. Quand l'observateur a essayé de les chasser, ils ont tiré en arrière un faisceau de lumière qui "l'a paralysé"; ensuite leur engin a filé dans le ciel.

[Ref. jv2:] JACQUES VALLEE:

L'auteur indique que le 10 septembre 1954 à Quarouble dans le Nord, un ouvrier sur métal est sorti de sa maison parce que le chien aboyait et il a vu un objet sombre sur les rails du chemin de fer. Il a pensé que c'était une voiture. Puis il a remarqué deux petits êtres avançant vers lui, a essayé de les arrêter, mais s'est trouvé paralysé quand une forte lumière a été projetée sur lui. L'objet s'est envolé.

[Ref. jr1:] JACQUES RIVOYRE:

De l'Italie, passons maintenant à la France où, en cette même année 1952, fertile en apparitions extra-terrestres, un cultivateur fait l'objet d'une étrange agression.

Le 10 septembre, à 22 h 30, Marius Dewilde, qui habite Quarouble, dans le département du Nord, entend son chien hurler à la mort. Il sort armé de sa carabine, pensant tomber sur un contrebandier (la frontière belge est très proche), et aperçoit sur la voie ferrée proche de sa ferme une masse sombre qu'il prend pour une charrette. Son attention est captée par des bruits de pas le long de sa palissade. Allumant sa lampe-torche, il voit deux petits humanoïdes à la tête énorme. Quand il braque la lampe sur le visage de l'un d'eux, il y a, déclare M. Dewilde, comme un reflet de verre ou de métal. Le témoin précise qu'il avait nettement l'impression qu'il s'agissait d'un casque de scaphandre. Les «êtres» ont moins d'un mètre de hauteur, mais sont très larges d'épaules. Leurs jambes sont proportionnées à leur grandeur, mais le témoin ignore s'ils avaient des bras. M. Dewilde veut leur barrer le passage pour essayer d'attraper l'une de ces créatures, mais, arrivé à environ deux mètres d'eux, une illumination extrêmement puissante, comme un éclair de magnésium, jaillit de l'objet et aveugle le témoin. Il veut crier, mais se sent paralysé. Pendant ce temps, les petits êtres se hâtent de rejoindre leur engin.

Au bout de quelques minutes, M. Dewilde recouvre toutes ses forces. Il lève la tête vers le ciel et voit alors l'engin filer à vive allure vers l'horizon, laissant derrière lui une épaisse vapeur sombre.

[Ref. pd1:] PIERRE DELVAL:

Dans son chapitre sur les cas de paralysie ou de somnolences des témoins d'OVNI lors de leur expérience, Pierre Delval indique 12 cas relevant de la vague française de 1954, dont celui à Quarouble dans le département du Nord le 10 septembre 1954 à 22:30.

Marius Dewilde, ouvrier métallurgiste de 34 ans, a été alerté par les aboiements de son chien, et est sorti de sa maison. Il a remarqué mais sans y prêter attention une forme sombre qui stationnait sur la voie ferrée à quelques dizaines de mètres de lui.

Son attention a été alors attirée par deux êtres d'environ 1 mètre de haut, vêtus de scaphandres, qui marchaient sur le chemin. Marius Dewilde s'est précipité vers la porte de son jardin pour couper la route aux petits êtres et si possible en capturer un.

Quand il a été à peine à deux mètres d'eux, d'une ouverture carrée de la masse noire que Monsieur Dewilde avait prise pour une charrette, a jailli une illumination à reflets verts aussi vive que la combustion du magnésium, qui l'a aveuglé.

Il a instinctivement fermé les yeux et a voulu crier mais n'a pas pu le faire, étant comme "paralysé".

Il a tenté de bouger, mais ses jambes ont refusé de lui obéir. Il a été affolé, et a entendu comme dans un rêve, un bruit de pas sur la dalle de ciment devant sa porte. Il a supposé que les deux anthropoïdes se sont dirigés vers l'OVNI.

Soudain, il a retrouvé l'usage de ses membres et le contrôle de ses muscles, il a pu rouvrir les yeux et a constaté que le projecteur est éteint. Il s'est alors précipité alors vers la voie ferrée, mais la masse sombre avait déjà disparu.

[Ref. ls1:] LEONARD STRINGFIELD:

L'ufologue Américain indique que le 10 septembre 1954, en France, à Quarouble, Marius Dewilde, ouvrier métallurgiste, a entendu aboyer un chien, est sorti de sa maison et a vu un objet noir sur la voie de chemin de fer, et deux petits êtres qui se sont dirigés vers lui.

Ayant essayé de les arrêter, il a été paralysé par un rayon d'une couleur orange intense.

Les créatures étaient petites, de moins d'un mètre de haut, larges, et portaient des "vêtements de plongée".

Il indique que cet exemple de cas de rencontre du troisième type provient du catalogue de Jacques Vallée qui l'a extrait du livre d'Aimé Michel.

[Ref. cc1:] GILBERT CORNU ET HENRI CHALOUPEK:

Les auteurs indiquent que le 10 septembre 1954 à Quarouble dans le département du Nord, près de la frontière belge, Mr. Dewilde, gardien d'un passage à niveau, a entendu vers 22:30 son chien hurler à la mort.

Il a pensé qu'il s'agissait de braconniers en vadrouille, a pris sa lampe torche et est sorti pour inspecter les lieux.

Il a distingué une "grosse masse sombre" posée sur la voie ferrée, et entendu un bruit de pas dans le sentier qui longe son jardin. Il a braqué sa lampe dans cette direction et a vu deux êtres "comme je n'en avais jamais vus" qui s'approchaient en étant à quelques mètres de lui, et deux autres un peu plus loin.

Les êtres ont semblé vêtus de combinaisons de scaphandriers et coiffés de casques qui enveloppent toute la tête.

Quand il se précipite pour leur barrer le chemin, une lumière aveuglante a surgi de l'engin sur la voie ferrée et l'a paralysé.

Lorsque ce projecteur s'est éteint quelques instants plus tard et qu'il a recouvré l'usage de ses membres, il a vu l'engin s'élever en se balançant comme un hélicoptère en produisant un léger sifflement, avec une épaisse vapeur jaillissant par dessous. L'engin a pris une coloration rougeâtre et a disparu.

A cause de la proximité de la frontière, il y a eu toute une série d'enquêtes. La presse s'est emparée de l'affaire, qui a fait beaucoup de bruit à l'époque. Un des arguments qui avait alors paru probant était de profondes empreintes dans le bois dur des traverses de chemin de fer, qui ont permis d'estimer à une trentaine de tonnes la pression qui s'était exercée.

Les auteurs indiquent comme sources une enquête de Marc Thiroin dans les les Archives de l'AAMT, M. Carrouges dans "les apparitions de martiens" et J. Guieu dans "Black out sur les S.V.", etparmi les journaux: le Parisien Libéré des 13 et 14 septembre 1954.

[Ref. gc1:] GILBERT CORNU:

[...]

D'après ce même courrier, le cas de Quarouble survenu le 10 septembre 1954 serait "très douteux"! Rappelons-nous les faits: ce soir-là Marius Dewilde, ancien sous-marinier qui travaille comme métallurgiste et habite le long de la voie ferrée lit son journal lorsque le chien se met à aboyer. Il sort muni d'une lampe torche, croyant avoir affaire à des contrebandiers occasionnels; il voit d'abord une masse sombre qu'il prend pour une charrette sur la voie ferrée, puis deux êtres surgissent sur sa droite, habillés comme des scaphandriers ; il se sent alors paralysé tandis que les êtres rejoignent la masse sombre qui apparaît alors comme un "engin" et enfin décolle...

L'enquête fut effectuée par Marc Thiroin pour les mouvements ufologiques, mais aussi, ne l'oublions pas par les autorités policières et ferroviaires. Les conclusions sont restées secrètes; même J.-C. Bourret ne put en obtenir la lecture lorsqu'il écrivit ses ouvrages sur l'ufologie. S'il n'y avait que du vent dans ce procès-verbal, soyons sûrs qu'il y aurait depuis longtemps été donné en pâture aux médias!

Pour plus de certitude, j'ai donc écrit à Monsieur Bigorne qui habite la région car ses qualités d'enquêteur sont reconnues par tous (non seulement par LDLN, mais autrefois déjà par le GEPA) ; voici sa réponse. "...depuis 1970, je suis allé plusieurs fois sur les lieux et ai retrouvé pratiquement tous les points matériels cités dans les récits de l'époque..."

Le changement d'attitude de Dewilde dans ces dernières années n'influe pas sur les événements de 1954. Voilà, me semble-t-il, le langage du bon sens.

Pourquoi faut-il donc qu'aujourd'hui, 20 ou 30 ans après les événements, n'importe quel individu, agissant à titre personnel ou en qualité de "président" d'un groupuscule inconnu puisse se permettre de sa propre initiative de tout remettre en question. Habitant à l'autre bout de la France et ignorant tout des lieux, des personnes de l'époque et peut-être des pièces maîtresses du dossier, comment se permettre de jeter la suspicion sur n'importe quelle affaire qui n'est pas de sa compétence ? Dans ce cas précis, c'est justement l'attitude actuelle du témoin, Marius Dewilde qui lui inspire des doutes. C'est n'avoir RIEN compris à tout l'aspect psychologique du problème ovni! Je répète la phrase de M. Bigorne qui me semble essentielle: "le changement d'attitude de Dewilde dans ces dernières années n'influe pas sur les événements de 1954", j'ajoute qu'il en est de même pour Micheline G. dans le cas précédent!

Bien que je puisse encore citer une bonne dizaine de cas que ces jeunes justiciers animés d'un zèle dont n'auraient pas rougi les tribunaux de la Sainte Inquisition mettent si allègrement en pièces, je me contenterai de ces deux cas [...]

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La vague française de 1954: 10 SEPTEMBRE, 1954, QUAROUBLE, NORD Empty Re: La vague française de 1954: 10 SEPTEMBRE, 1954, QUAROUBLE, NORD

Mer 02 Mar 2011, 21:27
[Ref. jv7:] JACQUES VALLEE:

Jacques Vallée indique que le 10 septembre 1954, à environ 22:30 à Quarouble, un petit village français près de la frontière belge, Marius Dewilde est sorti et a immédiatement été intrigué par une masse sombre sur les voies de chemin de fer. Il a alors entendu des bruits de pas, il a allumé sa lumière et a fait face à deux êtres portant des casques très grands et ce qui a semblé être des scaphandres. Il n'a pas vu leurs bras, ils avaient de larges épaules, ils étaient de moins de 4 pieds de haut.

Il s'est déplacé vers eux pour les arrêter mais une lumière est apparue du côté de la masse foncée sur la voie et il a trouvé qu'il ne pouvait pas se déplacer. Quand il a regagné le contrôle de son corps, les deux êtres étaient entrés dans la machine supposée et avaient volé loin.

Les investigateurs civils français ont collaboré étroitement avec la police locale officielle pour enquêter, mais il y avait également des représentants de la Police de l'Air de Paris sur le site et d'autres gens. Une enquête a été faite au sujet de pierres chauffées à blanc ou calcinées sur les lieux mais même la police n'a pas pu obtenir d'informations sur les résultats d'analyse, et le chef de la police locale a dit:

"L'organisme officiel travaillant en liaison avec la Police de l'Air appartient au Ministère de la Défense Nationale. Le nom même de ce Ministère exclut l'idée de n'importe quelle communication".

Vallée discute ensuite du deuxième rapport d'observaiton de Dewilde.

[Ref. ca1:] JOURNAL "LA CROIX DE L'AISNE":

La photographie suivante est parue dans le journal régional "La Croix de l'Aisne", de Saint-Quentin, France, le 26 septembre 1954:


Légende de la photo: "M. Marius Dewilde dessine pour les enquêteurs la soucoupe et ses occupants tels qu'il les a vus."

[Ref. -:] MAGAZINE "RADAR":

La première page d'un magazine Radar de septembre 1954 consacrée à cette affaire:


[Ref. dc1:] DOMINIQUE CAUDRON:

Dominique Caudron indique qu'à Quarouble dans le Nord le 10 septembre 1954, deux "Martiens" paralysent un ouvrier métallurgiste, et commente - avec ironie - "'ils' débarquent! 'Ils' nous agressent!"

[Ref. pb1:] PETER BROOKESMITH:

L'auteur dit que le 30 septembre 1954, à 22:30 à Quarouble, France, Marius Dewilde a été troublé par son chien hurlant. Dehors, il vu deux entités de 3 pieds - 1 mètre - de haut sans bras "se dandinant sur des jambes très courtes". Un faisceau de lumière blanc-verte d'une "forme" proche l'a paralysé. Les entités sont entrées dans la forme; lquelle s'est élevée avec un bruit de sifflement et a volé loin à l'est, avec une luminescence rouge. Des marques au sol ont été découvertes plus tard, et un ingénieur a calculé qu'un poids de 30 tonnes aurait été nécessaire pour les faire. Cinq autres témoins ont également vu la lumière rouge.

[Ref. se1:] JOHN SCHUESSLER:

1954/09/10 FRANCE, VALENCIENNES

Source: October Scenario
Official UFO, Feb. 76

Marcus Dewilde promenait son chien près des voies de chemin de fer quand il a vu un objet posé sur la voie. Il a vu deux petits êtres. Quand il a essayé de les approcher un faisceau de lumière de l'engin l'a paralysé. Il ne pouvait pas parler. Avec un bruit de sifflement fort l'emgin a volé loin, laissant des marques sur les traverses.

John Schuessler note que les effets physiologiques étaient: "Paralysie, Muet, Son, Trace au sol".

[Ref. jc1:] JACQUES COSTAGLIOLA:

L'auteur indique que le 10 septembre 1954 vers 22 heures à Quarouble dans le Nord, Marius Dewilde, garde-barrière, son chien aboyant à la mort, est sorti, a vu une masse sombre sur la voie ferrée, a entendu des pas et a vu déboucher à 4 mètres deux petits individus en scaphandres. Il a voulu s'approcher, un rayon lumineux a jailli de la masse et l'a immobilisé, les hominiens ont gagné la machine qui a décollé. Le rayon a disparu, Dewilde a retrouvé l'usage de ses muscles et s'est immédiatement rendu à vélo à la gendarmerie qui n'a pas ouvert puis au commissariat d'Onnaing. La police, la gendarmerie de l'air et la DST ont enquêté. Ce n'était pas un hélicoptère à caude de la proximité de fils électriques, sur une traverse des rails on a trouvé trois marques symétriques. La SNCF a dit qu'il y a eu une pression de 30 tonnes. Les pierres étaient friables, comme calcinées à haute température. Il y a eu une observation identique et les mêmes marques le 10 octobre.

[Ref. mk1:] MARTIN KOTTMEYER:

Il n'y avait aucun gris à part entière dans les années '50. On peut dire que des approximations partielles existent, comme dans [autre cas] l'histoire française de recontre de 1954 de Marius Dewilde, [autre cas]

[Ref. ab1:] ALAN BAKER:

L'auteur indique qu'il y avait eu une rencontre avec un OVNI atterri et des êtres extraterrestres en septembre 1954 à Quarouble, un des exemples les plus impressionnants d'un OVNI laissant des traces d'atterrissage, et que les événements ont été décrits dans le numéro du 15 septembre 1954 de France-Soir.

Trois enquêteurs de la police de l'air sont arrivés à Quarouble Nord hier pour interviewer M. Marius Dewilde, l'homme qui a vu deux "Martiens" près de sa porte d'arrière-cour. Ils ont quitté le village convaincu que, pendant la nuit du vendredi à samedi, un engin mystérieux avait effectivement atterri, comme affirmé par Mr. Dewilde, sur les voies de la ligne ferroviaire de Saint-Amand-Blanc-Misseron, près du croisement numéro 79.

Leurs enquêtes semblent, en effet, confirmer le rapport fait par l'ouvrier métallurgiste. Le témoin a déclaré que vendredi, à environ 22:30, il avait vu une machine d'une forme ovale, de trois mètres de haut, six mètres de long, reposant sur les voies à quelques mètres de sa maison. Deux êtres d'aspect humain, de taille très petite et portant apparemment des tenues de plongée, ont pu être vus tout près. Mr. Dewilde a marché vers eux, mais à ce moment un faisceau de lumière verdâtre a été concentré sur lui depuis l'engin et il s'est retrouvé paralysé. Quand il a pu se déplacer à nouveau la machine avait commencé à s'élever et les deux êtres avaient disparu.

...le sol, examiné mètre par mètre, montre une trace de pas... Il y a là des traces sur les traverses qui pourraient avoir été faites par un atterrissage d'une machine. A cinq endroits le bois des traverses est comprimé sur une surface d'environ quatre centimètres carrés. Ces marques ont toutes le même aspect et elles sont placées symétriquement, sur une ligne. Trois d'entre elles - celles au milieu sont à 43 centimètres de distances. Les deux dernières sont à 67 centimètres des précédentes.

Un atterrissage d'un engin sur des pieds au lieu de roues comme nos propres aéronefs laisserait justement de telles traces, a déclaré un des inspecteurs de la police de l'air.

L'histoire de M. Dewilde est également confirmée par plusieurs habitants de la région. A Onnaing, à environ 22:30 (l'heure indiquée par Mr. Dewilde), un jeune homme appelé M. Edmond Auverlot et un homme retraité, Mr. Hublard, ont vu une lumière rougeâtre voyageant dans le ciel. La même lumière a été vue de Vicq par trois jeunes hommes.

La police de l'air a concentré ses investigations sur les marques trouvées sur les traverses ferroviaires, et a consulté plusieurs spécialistes ferroviaires, qui ont conclu qu'un objet exerçant une pression de trente tonnes avait été présent. Des examens ont été également faits du gravier du lit ferroviaire, qui ont indiqué la calcination des pierres. Elles étaient devenus friables, indiquant la présence d'une chaleur intense, laquelle avait élevé leur température juste au-dessous du point de fusion. Ce qui a atterrri sur la ligne ferroviaire avait causé l'oxydation dans le gravier.

[Ref. hn1:] HUGO HNART:

L'auteur indique que le 10 septembre 1954 à Quarouble, Marius Dewilde a tenté d'intercepter deux humanoïdes, et s'est retrouvé paralysé, comme l'indique le rapport de Marc Thirouin dans Ouranos N.24 en page 12:

"Alors, j'entendis comme la fermeture très rapide d'une porte à glissière. Puis le rayon s'éteignit et aussitôt, je repris mes sens..."

L'auteur note que lorsqu'il allait donner des conférences à Tours ou dans les environs, il a très bien connu Marius Dewilde, et il affirme que quelque temps avant son décès, Marius Dewilde lui a confié que les attaques dont il avait le plus souffert ne venaient pas de personnes qui niaient le phénomène OVNI mais bel et bien d'ufologues dont certains ont gagné beaucoup d'argent à ses dépens.

[Ref. bj1:] DESMOND BRAGG ET PAUL JOSLIN:

Les auteurs indiquent que Vallée a rapporté un cas du 15 septembre 1954 à Quarouble en France, en lequel Maurice Dewilde a signalé qu'à 22:30 il a observé une machine ovale de trois mètres de haut et six mètres de long reposant sur des voies de chemin de fer à quelques mètres de sa maison. Deux petites entités de mois de 4 pieds de haut en "scaphandres" et avec casques, d'aspect humain ont été vues tout près. Un faisceau de lumière verdâtre est venu de l'engin et a paralysé Dewilde quand il a approché. Des marques laissées sur les traverses du chemin de fer ont indiqué que le poids de l'engin était de l'ordre de 30 tonnes.

[Ref. lo4:] CORAL AND JIM LORENZEN:

Ces ufologues indiquent qu'une des observations les plus connus d'occupants d'OVNIS en France a eu lieu près de Valenciennes la nuit du 10 septembre 1954. C'était un incident si étrange qu'il a reçu notification dans la presse internationale.

Marius Dewilde, 34 ans alors, était un ouvrier métallurgiste dans les aciéries Blanc-Misseron sur la frontière belge, vivant avec sa famille dans une petite maison au milieu les champs et des bois à environ un mile de Quarouble. Son jardin était à côté de la voie ferroviaire des Mines Nationale de Houille allant de Blanc-Misseron à Saint-Armand-les-Eaux, et le croisement 79 était à côté de sa maison.

Cette nuit-là, il lisait après que son épouse et enfants se soient retirés. A 22:30 il a entendu son chien Kiki aboyer, et pensant qu'il y avait un rôdeur à proximité de sa propriété, il a pris une lampe-torche et est sorti.

Il a marché à son jardin, n'a rien trouvé en route, a alors repéré une masse foncée sur les voies de chemin de fer à moins de 6 mètres de sa porte. Il a pensé d'abord celui que quelqu'un avait laissé un chariot de ferme là. A ce point son chien a approché, rampant sur son ventre et pleurnichant, et simultanément il a entendu des bruits de pas précipités à sa droite.

Le chien a commencé à aboyer de nouveau et Dewilde a dirigé sa lampe-torche vers le bruit de pas. Ce que Dewilde a vu l'a étonné considérablement: à moins de 3 ou 4 mètres de là, au-delà de la barrière, il y avait deux créatures, marchant en file indienne vers la masse foncée sur les voies, toutes les deux habillées de tenues semblables à celles des plongeurs, et la lumière a été réfléchie sur le verre ou le métal dans le secteur de leurs têtes. Tous les deux étaient petits, moins de 3,5 pieds de haut, mais avaient des épaules très larges. Les jambes ont semblé très courtes proportionnellement à la taille des petits "hommes", et Dewilde ne pouvait pas distinguer de bras.

Après que la peur initiale ait passé, Dewilde s'est précipité à la porte, entendant couper leur chemin ou s'attaquer à un d'eux. Quand il était à environ 6 pieds d'eux, il a été aveuglé par une lumière très puissante légèrement comme une fusée de magnésium qui est venue d'une ouverture carrée dans la masse foncée sur les voies. Il a fermé les yeux et essayé de crier mais ne le pouvait pas, et il s'est senti paralysé. Il a essayé de se déplacer mais ses jambes ne fonctionnaient pas.

Sous peu, Dewilde a entendu le bruit de pas à sa porte de jardin, et les deux créatures ont semblé aller vers le chemin de fer. Le faisceau de lumière s'est finalement étaint et il a récupéré l'utilisation de ses jambes et s'est dirigé vers la voie. Mais l'objet foncé avait commencé à monter, planant légèrement, et Dewilde a vu une sorte de porte se fermer. Un son de sifflement bas a accompagné une vapeur foncée épaisse qui venait du fond de l'objet. L'objet est monté verticalement jusqu'à environ 100 pieds d'altitude, a tourné, et quand il a été à une certaine distance il a pris une lueur rougeâtre. Une minute plus tard il était complètement hors de vue.

Après qu'il ait repris ses sens, Dewilde a réveillé son épouse et un voisin, leur a parlé de cette expérience, a alors couru au commissariat de police dans le village d'Onnaing, à un mile de distance. Il était tellement bouleversé et son discours était si confus que la police a pensé qu'il était un fou et l'a renvoyé. De là il est allé au bureau du commissaire de police où il a dit son histoire au commissaire Gouchet.

La peur de Dewilde était si évidente que Gouchet a réalisé que quelque chose de nécessairement extraordinaire avait eu lieu, et le matin suivant son rapport a amené des enquêteurs des polices de l'air et du ministère de la sécurité territoriale. Ces équipes, avec des enquêteurs de police, ont interrogé Dewilde et ont ensuite examiné le champ où l'objet foncé avait été posé. Ils n'ont trouvé aucune empreinte de pas dans le secteur, mais la terre était très dure. Cependant, ils ont trouvé cinq endroits sur trois des traverses en bois qui avaient des marques identiques, chacune d'environ 1.5 pouces carrés. Les marques étaient fraîches et nettement découpées, indiquant que les traverses en bois avaient été soumises à une pression très grande à ces cinq points.

Les marques n'ont jamais été expliquées d'une manière satisfaisante, mais des ingénieurs de chemin de fer qui ont été consultés par les enquêteurs ont calculé que la quantité de pression exigée pour faire ces marques était approximativement de trente tonnes.

Un examen du gravier de la voie a montré qu'à l'emplacement de l'atterrissage allégué les pierres étaient fragiles comme si elles avaient été calcinées à température très élevée.

Pour finir, plusieurs résidants dans le secteur ont rapporté qu'ils avaient vu un objet ou une lueur rougeâtre se déplaçant le ciel à peu près à l'heure où temps Dewilde a indiqué que l'objet était parti.

Les auteurs donnent en référence leurs propres livres "Flying Saucer Occupants", Signet/NAL, 1967, et "Encounters with UFO Occupants", Berkley Medallion Books, 1976.

[Ref. sd1:] STEVEN DUNN, OCCUPANTS DATABASE:

DATE DESCRIPTION MICAP_CLAS REF
10.09.1954

Valencinnes, FR

10 Sep 54

Promenant son chien le long d'une voie ferrée la nuit, Dewilde a vu une masse sombre. Egalement deux petites créatures larges d'épaules et ayant des casques énormes. I a pensé s'approcher, mais une lumière brillante en provenance de l'engin l'a paralysé. Les céatures sont retourné à l'engin, qui a décollé avec un fort bruit de sifflement. L'examen de la zone des rails a montré des dépressions dans les traverses là où l'engin a été rapporté.

CE-3-113

Randle/Estes FOV pg 265

[Ref. dj1:] DONALD JOHNSON:

Ce jour là

10 septembre

[...]

1954 - Un ouvrier métalurgiste, Marius Dewilde, âgé de 34 ans, est sorti de sa maison dans Quarouble, France, quand son chien aboyait et a vu un objet sombre reposer sur la voie de chemin de fer. Il a alors observé deux nains marcher vers lui. Quand il a essayé de les arrêter, il s'est trouvé paralysé comme un faisceau de forte lumière orange a été projeté sur lui. Les êtres étaient de moins de 1 mètre (3,3 pieds) de haut, épais, et portaient des scaphandres foncés. Aucun visage ou bras n'était visibles. Des marques ont été faites par un objet, dont un ingénieur a estimé qu'il devait avoir pesé 30 tonnes. La police française et l'Armée de l'Air française ont étudié le cas. (Sources: Le Parisien, 13 septembre 1954; Aime Michel, Flying Saucers and the Straight Line Mystery, p. 44; Jacques Vallee, Passport to Magonia, p. 209).

[Ref. ar1:] ALBERT ROSALES:

79.

Lieu. Quarouble France

Date: 10 septembre 1954

Heure: 2230

Entendant ses chiens aboyer, Marius Dewilde est sorti et a vu une masse foncée sur la voie de chemin de fer, à moins de 6 yards au loin. Y entendant des bruits de pas, il a tourné sa lampe-torche vers le chemin, où il a vu 2 êtres trèS petits (de moins de 3,5 pieds) portant des "scaphandres." Aucun bras n'a pu être vu. Il s'est approché à moins de 6 pieds, quand il a été aveuglé et paralysé par une lumière brillante émanant de la masse sur la voie. Les deux créatures sont allées vers l'objet. Quand le faisceau de la lumière paralysante s'est étaint, il a couru vers la voie, mais l'objet était maintenant monté, émettant "une épaisse vapeur sombre" et un bruit de sifflement bas. Il est devenu rouge lumineux et a volé loin. Sur les traverses de chemin de fer ont éTé trouvées 5 marques; il a été calculé qu'un poids de 30 tonnes aurait été nécessaire pour les produire. L'information récente découverte au sujet du cas indique que Dewilde trouvé après que l'engin soit parti une mystérieuse boîte noire métallique. Il a ramené la boîte à la maison et a essayé de l'ouvrir, sans rien dire la police locale à ce sujet. Après que plusieurs tentatives aient échouées qil a finalement renoncé et a caché à la boîte noire à l'intérieur d'un carton. Selon Dewilde, peu de temps après, plusieurs officiers de l'Armée de l'Air française qui étaient d'une façon ou d'une autre au courant de l'existence de la boîte noire en ont pris possession et lui ont rendu visite.

Humcat 1954-48

Source: Aime Michel

Type: C

[Ref. rh1:] RICHARD HALL:

TABLE 1. OBSERVATIONS D'OCCUPANTS D'OVNIS, 1954-1963

[...]

10 septembre 1954 Marius Dewilde, Quarouble, France 22:30.

Deux êtres 3.5 pieds de haut, combinaisons, casque de plongeur; masse sombre au sol; le chien a aboyé, témoin aveuglé par la lumière de l'engin, paralysé.

[...]

[Ref. tp1:] TED PHILLIPS:

Ted Phillips a listé le cas comme un "meilleur" cas dans sa "liste préliminaire des meilleurs cas":

Rapport 9/10/54 Quarouble, France, 2230: témoins multiples, réaction animale, zone baignée d'une haute température, impressions.

[Ref. kb1:] KEITH BASTERFIELD:

L'ufologue australien indique que le 10 septembre 1954 à 2230 à Quarouble, France, Marius DeWilde, âgé de 34 ans, est sorti et a vu qu'une masse foncée était visible sur les voies ferroviaires à seulement 6m de distance. Deux créatures grandes de 1.3m en tenues d'une seule pièce ont été remarquées. Il a approché ces créatures et quand il a été à seulement 2m de distance, a été aveuglés par une lumière brillante venant de la masse foncée. Il s'est trouvé paralysé. Le faisceau de lumière s'est éteint, il pouvait alors se déplacer, et l'objet est parti.

Il dit que c'est l'un des 15 cas en France en 1954 où il y avait une paralysie rapportée du témoin ou des témoins quand ils étaient à une certaine distance d'un OVNI de basse altitude, distances qui sont 6m (1 cas), 20m (2), 50m (2) 100m (1) et 150m (1). Il ajoute qu'il semble y avoir peu doute au sujet d'un rapport entre l'OVNI et la paralysie, puisque la paralysie a débuté lors de l'observation de l'OVNI et a ensuite cessée quand l'OVNI est parti.

La source est notée "Michel, A. 1958. Flying Saucers and the Straight Line Mystery. New York Criterion Books. pp44-47".

[Ref. lg1:] LUIS GONZALES:

10 Septembre 1954 – Quarouble

CONFUSION / FRAUDE?

22:30. Marius Dewilde (34 ans), ouvrier métalurgiste, sort de sa maison en entendant son chien aboyer et voit sur la voie ferrée un objet sombre; il a ensuite observé deux nains qui marchaient vers lui. Quand il a essayé de les arrêter, une lumière orange intense a été projetée sur lui, et à ce moment, il s'est senti paralysé. Les êtres mesuraient moins de 1 m, étaient trapus et portaient des scaphandres foncés. N'étaient visible ni sa face ni ses bras. Des techniciens de l'Aviation française et de la gendarmerie ont observé dans la voie ferrée des traces, qui ont été calculé avoir été causé par un objet qui pesait quelque 30 tonnes. Le témoin a eu une seconde rencontre un mois plus tard.

Sources:

Catalogue MAGONIA nº143 et 226 ? Nord-Eclair (Lille), 16 septembre 1954.
Jacques Bonabot "Dossier Quarouble 1954" Bulletin Du GESAG, nº72 (Juin 1983) suivi du nº86 (Décembre 1986) - 14 pages.
[Ref. tp2:] TED PHILLIPS:

09/10/54 Quarouble, France:

Réaction animale-secteur chauffé à haute température-masse sur des voies de chemin de fer à moins de 6 yards êtres de 3 pieds de haut. Le témoin s'est approché à à moins de 6 pieds quand il a été aveuglé et paralysé par une lumière brillante de la masse sombre. Les êtres sont revenus à l'objet, et il est monté avec un bruit de sifflement bas, émettant "une vapeur foncée épaisse," devenant lumineuse rouge, et a volé loin. Sur les traverses de chemin de fer il y avait 5 marques. On a calculé qu'un poids de 30 tonnes aurait été nécessaire pour les produire.

[Ref. jc2:] JACQUES COSTAGLIOLA:

Le médecin et ufologue indique que le 10 septembre 1954, Marius Dewilde a été paralysé sur place par un rayon vert jailli d'un engin en métal sur la voie.

Il ajoute plus loin que ce n'était pas sur la tête.

Ceci est accompagné de l'illustration parue dans le magazine "Radar":


[Ref. un1:] SITE WEB "UFO NORTHWEST":

Le site web indique que le Dr. Jacques Vallee a écrit un livre intitulé "Passport to Magnolia" [sic] qui a mis en évidence des incidents français d'humanoïdes associés à des OVNIS en 1954, qui ont été également décrits dans le livre plus récent "Situation Red - The UFO Siege" (1977) par Leonard H. Stringfield, incluant ce qui suit:

Le 10 septembre à Quarouble, un ouvrier en métallurgie, Marius DeWilde, est sorti de sa maison pendant qu'un chien aboyait et a vu un objet foncé sur les voies de chemin de fer, puis a vu deux nains marcher vers lui. Quand il a essayé de les arrêter, il a été paralysé par un fort faisceau lumineux orange. Les créatures étaient de moins de un mètre de haut, trapues, et portaient des tenues de "plongée" sombres.

PHOTOGRAPHIES:


Marius Dewilde avec un agent des forces de l'ordre lors de l'enquête.


Marius Dewilde avec l'agent et d'autres gens, probablement ses collègues cheminots.


Dewilde avec son enfant devant sa petite maison près de la voie ferrée.




Dewilde interviewé chez lui par un reporter de Pathé.


Dewilde et le reporter de Pathé. Son épouse et son fils sont près de la porte.


La petite et modeste maison près des rails.


L'interview Pathé. Le reporter a tenu à mettre en évidence l'éducation modeste de Dewilde en lui posant des questions hors sujet avec des mots compliqués qu'il ne pouvait comprendre: "Que pensez-vous de l'antagonisme entre l'Est et l'Ouest?"


Dewilde dessine à la craie à même sa porte le dessous de l'engin qu'il dit avoir vu.




A gauche: dessin des entités qu'il dit avoir vu par Marius Dewilde devant les caméras des actualité cinématographique Pathé, en septembre 1954.

NOTES:

Cette affaire est démesurée, veuillez noter que ceci n'en représente encore rien du tout. Un dossier complet comprendrait notemment le livre écrit sur l'affaire par le témoin lui-même.

EXPLICATIONS:

Non encore recherchée.

MOTS CLES:

(Ces mots clés sont uniquement destinés à aider les recherches et ne préjugent pas des faits.)

Marius Dewilde, Quarouble, Nord, trace, traces, empreintes, occupants, humanoïdes, scaphandre, rayon, paralysie, train

REFERENCES:

[---] indique des sources que je n'ai pas encore pu consulter.

[---] Article dans le journal régional La Voix du Nord, France, 12 septembre 1954.
[la1] Article dans le journal national L'Aurore, Paris, France, 13 septembre 1954.
[vm1] Article dans le journal régional Var-Matin République, Toulon, France, 13 septembre 1954.
[---] Article dans le journal national Le Parisien, Paris, France, 13 septembre 1954.
[---] Article dans le journal national Combat, Paris, France, 13 septembre 1954.
[---] Article dans le journal national Le Figaro, Paris, France, 13 septembre 1954.
[li1] Article dans le journal national Libération, Paris, France, 14 septembre 1954.
[pp1] Article dans le journal national Paris-Presse, Paris, France, 14 septembre 1954.
[qh1] Article dans le journal régional Le Quotidien de la Haute-Loire, France, 14 septembre 1954.
[---] Article dans le journal régional Nord-Eclair, Lille, France, 15 septembre 1954.
[---] Article dans le journal national France-Soir, Paris, France, 15 septembre 1954.
[ne1] Article dans le journal régional Nord-Eclair, Lille, France, page 1 et dernière, 16 septembre 1954.
[---] Article dans le journal national Le Franc-Tireur, Paris, France, 16 septembre 1954.
[ca1] Photographie d'un article dans le journal régional La Croix de l'Aisne, France, 26 septembre 1954.
[---] Article dans le journal régional La Croix du Nord, France, 29 septembre 1954.
[---] Article dans le journal national France Soir, Paris, France, 29 septembre 1954.
[---] Article dans le magazine Radar, Paris, France, 29 septembre 1954.
[ss1] Article dans le journal national Samedi-Soir, Paris, France, 14 octobre 1954.
[es1] Article dans le journal Evening Star, Washington D.C, USA, 19 octobre 1954.
[ti1] Article dans le magazine Time, USA, 25 octobre 1954.
[ci1] "Information from Foreign Documents or Radio Broadcast - Sightings of Unidentified Flying Objects, 31 July - 20 September 1954", rapport de la CIA (Central Intelligence Agency, USA), pp 1,3, 29 octobre 1954.
[li1] Partie de l'article "Astral Adventurers - Frenchmen report meetings with unlikely creatures", dans le magazine LIFE, USA, page 29, 1 novembre 1954.
[---] "Black-Out sur les Soucoupes Volantes", livre par Jimmy Guieu, Fleuve Noir éditeur, France, pp 130-133, 1956.
[---] Magazine d'ufologie Ouranos, Vol IX, numéro 24, pp 11-12 et 20-21.
[mc1] "Les Apparitions de Martiens", livre par "Michel Carrouges" (pseudonyme de Louis Couturier), Fayard éditeur, France, page 80, 1963.
[jv6] "Anatomy of a Phenomenon", livre par Jacques Vallee, Henry Regnery éditeur, 1965.
[jv6] "Anatomy of a Phenomenon", livre par Jacques Vallee, Neville Spearman éditeurs, R-U., 1966.
[lc1] "Piece for a Jigsaw", livre par Leonard G. Cramp, Somerton Publishing Co éditeurs, R-U., 1966.
[jv5] "Catalogue préliminaire de 500 observations", listing dans "Les Phénomènes Insolites de l'Espace", livre par Jacques et Jannine Vallée, Table Ronde éditeur, France, 1966.
[---] "Flying Saucers – Serious Business", livre par Frank Edwards, Bantam éditeur, USA, pp 57-59, 1966.
[---] "Flying Saucers – Serious Business", livre par Frank Edwards, Mayflower-Dell éditeurs, USA, pp 64-65, 1966.
[ob1] "What We Really Know About Flying Saucers", livre par Otto Binder, Belmont éditeur, USA, 1967.
[jv2] Résumé par Jacques Vallée dans "The Humanoids: A Survey of World-Wide reports of Landings of Unconventional Aerial Objects and Their Alleged Occupants", livre par Charles Bowen, Neville Spearman éditeurs, R-U., 1969.
[jv1] "Passport to Magonia - On Ufos, Folklore, and Parallel Worlds", livre par Jacques Vallée, Contemporary Books éditeur, USA, 1969.
[jv1] "Passport to Magonia", livre par Jacques Vallée, pp 17-18, pp 209-223, Henri Regnery éditeur, USA, 1969.
[jv1] "Un Siècle d'Atterrissages", article par Jacques Vallée, dans le magazine d'ufologie Lumières Dans la Nuit (LDLN), France, N.43.
[jv1] "Passport to Magonia", livre par Jacques Vallée, pp 17-18, pp 209-223, Tandem éditeur, USA, 1970.
[jv1] "Chronique des Apparitions Extra-Terrestres", traduction française de "Passport to Magonia", livre par Jacques Vallée, Denoel éditeur, France, page 258, 1972.
[---] "Mysterious Visitors: the UFO Story", livre par Brinsley Le Poer Trench, Stein & Day éditeurs, USA, 1973.
[jv6] "Anatomy of a Phenomenon", livre par Jacques Vallee, Tandem éditeurs, R-U., pp 68-69, 1974.
[jv2] Résumé par Jacques Vallée dans "En Quête des Humanoïdes", livre par Charles Bowen, traduction française de "The Humanoids", J'ai Lu éditeur, France, page 36, 1974.
[---] Interview de Marius Dewilde par Jacques Lob, dans Imagine, France, N.2, pp 5-8, 1975.
[---] "La Nouvelle Vague des Soucoupes Volantes", livre par Jean-Claude Bourret, France Empire éditeur, France, pp 113-123, 1975.
[---] Official UFO, USA, février 1976.
[pd1] "Le Grand Livre des Objets Volants Non-Identifiés", livre par Pierre Delval avec la commission Ouranos, De Vecchi éditeur, France, pp 247-248, 1976.
[ls1] "Situation Red: The UFO Siege!", livre par Leonard Stringfield, Doubleday and Co éditeur, USA, 1977.
[jr1] "Le Dossier des Extra-Terrestres", livre par Jacques Rivoyre, Vernoy éditeurs, Suisse, page 103, 1979.
[jv5] "Catalogue préliminaire de 500 observations", listing dans "Les Phénomènes Insolites de l'Espace", livre par Jacques et Jannine Vallée, Robert Laffont éditeur, France, page 248, 1978.
[cg1] "Parapsychologie ou Escamotage?", article de Charles Garreau, dans le magazine d'ufologie Lumières dans la Nuit (LDLN), France, N.179, page 3, novembre 1978.
[ls1] "Alerte Générale OVNI", livre par Leonard Stringfield, traduction française de "Situation Red: The UFO Siege!", France Empire éditeur, France, page 112, 1978.
[pd2] "Contacts du 4ème type", livre par Pierre Delval, De Vecchi éditeur, France, pp 190-191, 1979.
[---] "OVNI: Le Premier Dossier Complet des Rencontres Rapprochées", livre par Michel Figuet et Jean-Louis Ruchon, Alain Lefeuvre éditeur, France, 1979.
[---] "Les Soucoupes Volantes: Le Grand Refus?", livre par par l'équipe G.A.B.R.I.E.L, Michel Moutet éditeur, France, 1979.
[---] "Ne Résistez Pas Aux Extraterrestres", livre par Marius Dewilde et Roger-Luc Mary, Du Rocher éditeur, France, 1980.
[cc1] "Ephémérides des Années d'Espoir de l'Ufologie", article par Gilbert Cornu et Henri Chaloupek, dans le magazine d'ufologie Lumières Dans la Nuit (LDLN), France, N.255-256, page 20, septembre-octobre 1985.
[gc1] "Jusqu'où ne pas aller trop loin!", article de Gilbert Cornu, France, mai 1986.
[jv7] "Dimensions - A Casebook of Alien Contacts", livre par Jacques Vallée, Souvenir Press éditeurs, R-U, page 24, 1988.
[dc1] "Le Baron Noir et ses Ancêtres - Chronique des Aéronefs Fantômes", article par Dominique Caudron, dans la revue Communications, spécial "Rumeurs et légendes contemporaines", France, N.52, page 237, 1990.
[pb1] "UFO - The Complete Sightings", livre par Peter Brookesmith, Barne & Noble éditeurs, USA, pp 58-59, 1995.
[---] "Le Diabolique Secret des O.V.N.I", article par J. M. Lesage, comité d'enquête Ouranos, France, 1995.
[lc1] "UFOs and Anti-Gravity: Piece for a Jigsaw", livre par Leonard G. Cramp, Adventures Unlimited Press éditeurs, R-U., pp 229-232, 1997.
[se1] "UFO-Related Human Physiological Effects", papier par John F. Schuessler, dans "Physical Evidence Related to UFO Reports, The Proceedings of a Workshop Held at the Pocantico Conference Center, Tarrytown, New York September 29 – October 4, 1997", publié par le Journal of Scientific Exploration, USA, 1997.
[---] "Faces of the Visitors", livre par Kevin D. Randle et Russ Estes, Fireside - Simon and Schuster éditeurs, USA, page 265, 1997.
[jc1] "Epistémologie du Phénomène Ovnien ou Cinquante Ans de Déni Scientifique", livre par Jacques Costagliola, L'Harmattan éditeur, France, pp 155-156, 1998.
[mk1] "A Plastic Phenomenon", article par Martin Kottmeyer dans le bulletin "sceptique" The REALL News, par la Rational Examination Association of Lincoln Land (REALL), USA, février 1998, à www.reall.org/newsletter/v06/n02/a-plastic-phenomenon.html
[ab1] "The Encyclopedia of Alien encounters", livre par Alan Baker, Virgin Books éditeurs, R-U., pp 274-275, 1999.
[hn1] "O.V.N.I. Enquête sur des Faits", livre par Hugo Hnart, Carnot éditeur, France, page 121, 1999.
[bj1] "Science Meets the UFO Enigma", livre par Desmond et and Paul Joslin, Kroshka éditeurs, USA, pages 24,38, 2000.
[lo4] "Quarouble (France) Encounter", article par Coral et Jim Lorenzen, dans "The Mammoth Encyclopedia of Alien Encounters", livre composé par Ronald Story, New American Library éditeurs, USA, 2001.
[lo4] "Quarouble (France) Encounter", article par Coral et Jim Lorenzen, dans "The Mammoth Encyclopedia of Alien Encounters", livre composé par Ronald Story, Robinson éditeur, U-K., pp 548-549, 2001.
[sd1] "Occupants Database", listing par Steven Dunn, USA.
[dj1] "Encounters with Aliens on This Day", rédigé par Donald A. Johnson, Ph.D., compilé à partir de la base de données UFOCAT 2003, www.ufocat.com.
[ar1] HUMCAT (Humanoids Reports Catalog), Albert Rosales.
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[tp1] "Top Physical Trace Cases - Cases of High Strangeness - A Preliminary List", page web par Ted Phillips, USA, non daté, circa 1999, à www.angelfire.com/mo/cptr/topcases.html
[kb1] "Paralysis and the UFO Phenomenon", compilé par Keith Basterfield, Australie, 2002, à auforn.com/Keith_Basterfield_4.htm
[lg1] "Catalogo de los Primeros Casos de Humanoides Clasificado por Paises" (Firsthumcat), listing par Luis R. Gonzales Manso, Funcacion Anomalia, Espagne, page 11, 2002.
[tp2] "Physical Traces - Occupants and Physical Traces", article par Ted Phillips dans le magazine d'ufologie MUFON UFO Journal, Mutual UFO Network (MUFON), USA, N.449, page 18, septembre 2005.
[jc2] "La Pathologie des Victimes d'Incidents Ovniens", article par Jacques Costagliola dans le magazine sensationaliste Top Secret, France, pages 21,22, décembre 2009 - janvier 2010.
[un1] "1954 French UFO Humanoid Encounters", page web sur le site web UFO Northwest, USA, circa 2010, à www.ufosnw.com/sighting_reports/older/1954french/1954french.htm

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