- Benjamin.dResponsable du forum
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Puerto rico, une île sous haute surveillance?
Puerto rico, une île sous haute surveillance
"Ce petit pays est le théatre de si fréquents événements inhabituels qu'on y a instauré une journée nationale ovni"
Texte de Vincent Guerene
Introduction:
Dans cet article nous allons tenter de vous décrire la situation spectaculaire que vivent au niveau ufologique les habitants de l’île de Puerto Rico, territoire hispanique des Etats-Unis. Cette île de 959 km carrés, avec ses îlots attenants, située à l’est de la République Dominicaine, entre la mer Caraïbe et l’Océan Atlantique (18,15 N, 66,30 W), connaît des événements sans pareil dans le monde au niveau des observations d’ovnis. Cette situation étant à peu de chose près complètement méconnue en France, nous avons souhaité prendre des contacts sur place auprès de groupes d’ufologues qui sont au coeur de la tourmente depuis maintenant plusieurs années. Avec le temps, la confiance s’est instaurée, et ces chercheurs courageux, ces enquêteurs de terrain sont peu à peu devenus nos amis. Beaucoup de spécialistes penchent pour l’existence de vastes bases aliens sous-marines et souterraines dans et autour de Puerto Rico. Vous allez à présent découvrir l’ampleur du phénomène et entrer progressivement dans cette zone de turbulence ufologique unique au monde. Vous verrez que le nombre d’incidents observés par la police, les officiels et l’armée apporte une crédibilité énorme à cette thèse de la présence alien sur l’île.
Comme nous le verrons lors de la lecture de cet article, il se déroule sur Puerto Rico une quantité impressionnante d’incidents étranges : des atterrissages d’ovnis observés sur les terrains de la Navy ; des révélations extraordinaires faites par le personnel de Sécurité de la Navy, affirmant sans sourciller, la présence d’ovnis et d’aliens sur l’île de Vieques ; une éventuelle activité en commun, peut-être, selon les Portoricains, un programme secret de contacts de militaires et d’aliens ; des combats parfois observés entre des jets américains survolant l’île et des ovnis ; des zones terrestres aux changements électromagnétiques plus que curieux. Pour vous parler de tout cela, et parce que pour nous, le sérieux des sources compte plus que tout, nous avons choisi de citer la plupart du temps le journaliste et ufologue mondialement connu : Jorge Martin, de Puerto Rico, lequel nous a aimablement autorisé à nous référer à son remarquable et courageux travail. Il est très important pour le lecteur de langue française de se rendre compte de la situation que vit au jour le jour ce petit état car elle est très symptomatique d’une accélération généralisée
d’étranges phénomènes et de leur importance.
Vous verrez, cela ne laisse pas indifférent…un public averti en vaut deux, n’est-il pas vrai ? Sachez que le sensationnalisme n’est pas notre motivation, au contraire. Seule la quête de vérité nous intéresse. À ce propos, nous avons déjà eu à maintes reprises l’occasion de refuser des documents classifiés extraordinaires, qui nous étaient présentés par d’étranges intermédiaires, comme des preuves ; nous avons refusé aussi de nombreux témoignages à faire se dresser les cheveux sur la tête, simplement par un souci d’exigence et d’honnêteté vis à vis de nos lecteurs. Une petite enquête, voire même quelques coups de téléphone permettent en général de mettre en lumière la fragilité des témoignages, et de réduire à néant l’authenticité ou du moins l’importance de certains documents que nous avons pu recevoir… Il nous arrive cependant de faire des erreurs, et d’étaler même notre ignorance, nos faiblesses, et notre incompétence dans certaines affaires, mais nous essayons en tout cas de résister toujours aux sirènes du “merveilleux à tous les étages” afin de ne pas sombrer dans le “n’importe quoi” qui nous attend à chaque virage et nous tend la main avec son sourire séduisant et son cortège de vérités déguisées.
Nous avons affiché la même réserve avec ces dossiers de Puerto Rico, mais nous vous les présentons aujourd’hui car ils offrent une garantie d’authenticité et un taux de crédibilité inégalable. Il est d’ailleurs parfaitement scandaleux que nos médias ne relaient pas une situation qui perdure depuis longtemps, s’aggravant exponentiellement depuis cinq ans environ. Que ferions-nous si tout cela se passait chez nous ? Et comme me le faisait remarquer un ami : que ferons-nous le jour où peut-être cela se passera chez nous ?
Récits et histoire ufologique de l'île
Un rapport scientifique
Le Dr Mark Carlotto a rendu public récemment un rapport scientifique sur les nombreuses anomalies apparaissant sur les vidéos des missions de la navette spatiale STS-48 et STS-8O. (Voir dans www.newfrontiersinscience.com et cliquer dans “Anomalous Phenomena in space shuttle nmission STS-80 video”). Ce qui attire notre attention dans ce rapport c’est que le Dr Carlotto nous parle d’une anomalie (dénommée F-1), consistant en un large objet lumineux, dont l’origine viendrait selon lui, d’une zone à l’est de Puerto Rico, en mer, localisée à un point précis, au sud de l’île de Vieques. L’objet d’une taille conséquente, filmé par la navette, serait sorti de la mer à cet endroit puis serait monté dans l’atmosphère et aux parages de la navette aurait viré sur la gauche pour disparaître.
Or il se trouve que de très nombreuses observations d’ovnis ont été faites dans la région. De nombreux témoignages enregistrés depuis plus de cinq ans et rapportés par la Police d’Etat de Puerto Rico, ainsi que par la Police municipale de Vieques, le personnel de la Navy et des employés et officiels du gouvernement municipal, viendraient justement entre autres de cet endroit. Ce rapport scientifique du Dr Mark Carlotto confirme donc depuis une observation de l’espace ce qu’ont vu des centaines de témoins depuis plusieurs années. À savoir de gros objets lumineux sortant et entrant dans les eaux de Puerto Rico, toujours dans les mêmes zones. Mais un autre événement de taille allait mettre le feu aux poudres dans l’île…
L’Ordre Spécial Secret du Président Clinton
Tout d’abord, pour bien comprendre la situation de la région de Puerto Rico, quelques informations s’imposent pour le lecteur de langue française : l’île de Vieques (Lat 18,13°N, Long 65,40°W, 34 Km de long sur 5 Km de large, habitants : 10.000) est depuis 62 ans coupée en trois zones : deux zones sont inaccessibles aux habitants. La partie Est, qui sert de zone de tirs, bombardements expérimentaux et essais de nouvelles armes pour la Marine de Guerre des USA, et la zone Ouest, qui sert de zone militaire réservée avec installations radars. Seule la partie médiane est habitée et tous les week-ends de nombreux Portoricains y viennent pour profiter des belles plages et des beaux paysages. Depuis plusieurs années, comme vous pouvez vous l’imaginer, un mouvement pacifique civil important s’est créé pour demander l’arrêt des tirs dangereux pour la santé des habitants et la restitution des terres de l’île à ces derniers pour un usage civil plus concordant avec la joliesse d’une petite île très touristique des Caraïbes. Il existe aussi un mouvement pro-indépendantiste qui se greffe aisément là-dessus (Vieques fut annexée en 1854 à Puerto Rico).
Or le 4 mai 2000 pendant une importante manifestation totalement pacifique, protestant contre la prolifération de pollutions et de maladies graves suite aux tirs en cours sur l’île, à la surprise générale (cela ne s’était jamais produit) plusieurs civils furent arrêtés. Peu de temps après, un embargo fut réalisé par les bateaux des garde-côtes US de Vieques tout autour de l’île, bloquant ainsi les pêcheurs, les empêchant totalement de sortir en mer pour gagner leur subsistance. Tout cela mit en émoi la population mise sous une pression insupportable. C’est alors que pendant une émission radio à Puerto Rico (“Crossfire”, “Feux croisés”) un analyste : Carlos Gallà osa demander sur quels ordres les garde-côtes US avaient agi, car normalement ce n’est pas à eux de prendre une telle initiative, celle de bloquer toute une population sur son île.
La tension était telle que l’on apprit rapidement pendant l’émission que les garde-côtes avaient agi sous un ordre classifié du Président Clinton lui-même déclarant la zone de Vieques, territoire américain, je vous le rappelle, une : “…zone de rébellion.” Les analystes rétorquèrent que cela n’avait aucun sens. Il s’agissait d’une manifestation parfaitement civile et pacifique laquelle se déroulait dans le plus grand calme. (Il y en avait déjà eu bien d’autres auparavant). Poussés dans leurs retranchements et sous la pression du public, on apprit alors que ce fameux ordre secret du Président Clinton avait été publié sous les dispositions du US National Security Act et disait que la situation en cours à Vieques : “…affectait dangereusement les relations des Etats-Unis avec une autre nation, une puissance étrangère et que c’était très dangereux pour les intérêts de sécurité nationale des Etats-Unis.” Oui, vous avez bien lu !…
L’analyste demanda immédiatement de quelle nation il s’agissait, car une telle justification pour un tel ordre n’avait aucun sens ! Sans le savoir, il avait posé le doigt sur un point très sensible, un point aux implications majeures... La vérité c’est qu’aucune des nations participant aux exercices militaires avec l’US Navy sur et autour de Vieques ne représentent un danger pour les Etats-Unis. Alors ? Quelle est donc cette mystérieuse “puissance étrangère”?! Pour les journalistes et analystes Portoricains, cette mystérieuse puissance étrangère pourrait bien être une référence à une civilisation alien vivant en partie, selon beaucoup de témoignages, dans des zones souterraines à “El Yunque”, dans la région Est de Puerto Rico et sous la mer autour de Vieques et aussi au large des côtes Ouest de Puerto Rico. Nous vous en reparlerons en détails dans de prochains articles. Voici en attendant quelques exemples en faveur de cette thèse :
Il s’agit des témoignages du Directeur de la Police Municipale de Vieques, l’officier Wilfredo Feliciano. La première de ses observations eut lieu pendant l’été 1997 autour de 21 h. Le Directeur roulait sur la route 997 qui va d’Esperanza au secteur d’Isabel II. Quand il arriva à l’intersection de Marta’s Alley, il perçut une intense lumière jaune suspendue sans mouvement dans le ciel. Intrigué, il gara sa voiture sur le côté gauche de la chaussée pour mieux observer cette lumière parfaitement inhabituelle. Il déclara : “- C’était vraiment un très gros triangle, complètement nimbé d’une lumière jaune très brillante. Il était à peu près à 500 pieds au dessus du terrain de Camp Garcia (terrain militaire). Pour l’altitude je me basais sur l’observation d’arbres voisins. Ce qui m’intrigua le plus c’est que cet objet était comme suspendu juste au dessus d’une piste d’atterrissage de la US Navy qui y fait décoller et atterrir beaucoup d’avions…et que cet objet était un Ovni. Or il n’y avait pas d’exercices militaires à ce moment là, aussi que faisait cet objet, ce triangle de lumière au dessus de la piste ? Pensant que j’étais en train d’observer quelque chose que je n’étais pas censé voir, j’ai quitté l’endroit rapidement. Mais j’ai réalisé depuis lors que quelque chose d’étrange se passait sur les terrains contrôlés par la Navy.”
“Quelques jours plus tard, ma femme m’a dit avoir vu exactement le même type d’objet suspendu exactement au dessus du même endroit à Camp Garcia. Le week-end suivant en allant chez sa mère nous avons vu un autre de ces triangles. À ce moment là nos fils étaient avec nous dans la voiture et ils l’ont vu aussi.” L’officier et sa famille ont observé l’objet à une distance de 2 miles et même à cette distance ils ont décrit un objet de très grande dimension. Wilfredo Feliciano a confié à l’équipe de J. Martin qu’une partie de ses fonctions à la police municipale était de patrouiller à l’Ouest de Vieques qui est sous contrôle de la Marine US. Il a eu souvent l’occasion d’observer des ovnis extrêmement brillants émergeant de la mer dans le secteur de Puntas Arenas et volant à très grande vitesse dans le ciel nocturne. Ces objets viraient souvent dans le ciel avec de brusques angles à 90°. Il fut témoin de cela à de nombreuses reprises et c’était toujours entre 21h et 23h et parfois vers 2h et 3h du matin. Les ovnis surgissaient de la mer, à un point juste au milieu entre Punta Arenas et la station navale Roosvelt Roads à Ceiba.
De grandes soucoupes absorbent à leur bord de l’eau de mer
Le témoin Carlos Zenon est un pêcheur de Vieques impliqué dans le mouvement pacifique civil contre les bases militaires et leurs polygones de tirs sur l’île. Aussi bien lui que ses deux fils ont subi des périodes d’incarcération dans les prisons fédérales US à Puerto Rico pour leur engagement à cette cause. Ce témoin est connu pour son sérieux et franc-parler par toute la communauté de l’île. Voici les propos qu’il a tenus aux enquêteurs de J. Martin : “Ces événements ne sont pas nouveaux à Vieques. Une fois en 1996 alors que je pêchais avec d’autres à environ 2 miles au Sud d’Esperanza, il était 21 h quand nous avons soudain observés quelque chose d’inattendu. Nous avons vu plusieurs lumières très brillantes en forme de sphères sortant du sommet de Cerro Ventana (une montagne localisée au sud de Vieques). Ces globes lumineux bleus blancs ont tourné autour de la colline puis se sont dirigés vers la mer plein Sud passant juste au-dessus de nous. Ils ont fait plusieurs cercles rapides et des angles à 90°. On pouvait entendre un léger sifflement provenant d’eux, pratiquement inaudible. Ensuite ils sont retournés vers Playa Grande et Cerro Ventana, zones contrôlées par l’US Navy et ils ont disparu dans la montagne. C’était comme s’ils avaient traversé le flanc de la montagne…
Mais l’événement le plus impressionnant est survenu une autre nuit. Nous avons en effet rencontré un énorme objet alors que nous étions en train de pêcher au large. J’étais avec Anibal Corcino et son père et nous venions juste de quitter La Esperanza. Je ne me suis pas aperçu de la présence de l’objet de suite car j’étais le capitaine et en charge du gouvernail. Anibal et son père l’ont vu immédiatement et ils se sont mis à hurler. Je me suis retourné et j’ai vu cet énorme engin. Il venait de la mer près des lagons de Playa Grande, au Sud où la Navy a ses systèmes radars ROTHR (Radar Over The Horizon) installés. Et il se rapprochait de nous en volant. C’était un extraordinaire vaisseau, énorme, avec plein de lumières tout autour. C’était une soucoupe volante, un navire en forme de disque, mais vraiment immense de taille. Il était à une certaine distance de nous mais il était très visible à cause de sa taille et de ses lumières jaunes, bleues et rouges. Mais le plus incroyable c’était que cet objet prenait de l’eau de la mer. L’eau à la surface de la mer faisait de petits tourbillons comme lorsque l’eau bout. Et l’eau montait en une colonne tourbillonnante à bord de l’ovni. Nous étions tous impressionnés. C’était la première fois de ma vie que je voyais une chose pareille. De là où nous étions le vaisseau semblait avoir à peu près 12 à 15 mètres de diamètre et nous étions à 2 Km de lui. Cela peut vous donner une petite idée de sa taille.
Ce qui nous a le plus impressionné, c’est qu’il aspirait l’eau de la mer et que cette eau tourbillonnait comme dans un mixer. Une colonne de lumière verte assez violente, comme un puissant spot venait de dessous l’objet. Il y avait un trou là dessous d’où venait le rayon lumineux qui descendait verticalement. Ensuite l’ovni s’est envolé vers l’Ouest à une vitesse fantastique et il a disparu en quelques secondes. J’ai gardé le silence jusqu’à maintenant car les gens peuvent douter de ce que vous racontez au sujet de telles choses. Ce n’est pas tout le monde qui a l’opportunité de voir un de ces navires, particulièrement un énorme comme celui que nous avons vu. Mes fils et moi-même avons été emprisonnés seulement parce que nous protestions pacifiquement au sujet de ce qu’ils font à Vieques. Je sais que les agences gouvernementales ont manipulé l’opinion publique, les gens qui n’ont pas été témoins de tout cela. Ils essaient de leur faire croire que le phénomène ovni n’existe pas. Ils font des campagnes pour nous discréditer et nous ridiculiser pour ainsi nuire à la cause que nous poursuivons, celle de la fin des bombardements dangereux sur notre petite île encore habitée. Mais les gens de Vieques me connaissent et ils savent que tout ce que je fais est basé sur mes convictions et mes principes. Ils savent que je n’aime pas la publicité et que je ne suis pas du genre qui invente puisque cela pourrait nuire à la cause que je défends. Nous avons enduré beaucoup de sacrifices pour cette cause. Il est temps que l’on discute de ces sujets. La Navy utilise des armes chimiques et biologiques sur l’île habitée de Vieques.
Or l’utilisation de telles armes est interdite près des zones habitées. Ils ont nié cela récemment alors que la chose était confirmée par des documents du Pentagone. Ils ont utilisé aussi des munitions avec de l’uranium appauvri et l’ont ensuite nié jusqu’à ce que ce soit aussi prouvé. Comment les croire maintenant ? Après tout ce que nous avons vu ici. Finalement, ils sont parfaitement capables d’entretenir des relations avec les ovnis et de vouloir garder le secret. Peut-être que si des journalistes et des groupes de plus en plus nombreux se mettent à en parler et à révéler tout cela, petit à petit la Navy sera forcée d’en parler et de s’expliquer.”
Collaboration Navy/Alien ?
D’autres personnes ont vu ce type de vaisseau, aussi bien à l’Est qu’à l’Ouest de Vieques. Si nous analysons plus profondément cette situation, force est de constater que ces zones sont contrôlées par l’US Navy. Et la Navy n’a jamais dénoncé cette situation. Apparemment ils doivent savoir de quoi il s’agit, puisqu’ils ne semblent pas prêter attention à la présence de ces objets. Par conséquent nous sommes en droit de nous demander s’il n’y aurait pas une sorte de coopération entre les occupants de ces vaisseaux et les gens de la Navy. Cela reste difficile à prouver car c’est une situation très complexe. En tout cas il faut se demander pourquoi la Navy qui est là depuis 62 ans ne dénonce pas ses faits. D’autres questions viennent légitimement à l’esprit. Pourquoi la Navy a-t-elle obligé les habitants de Vieques à quitter leur terre pour venir s’installer au centre de l’île sur une toute petite portion de terre ? La Navy contrôle désormais à la fois les portions Est et Ouest de Vieques où il y a de grandes étendues inhabitées et des zones restreintes contenant des collines, des plages où personne n’a le droit d’aller. Si des choses arrivent dans ces zones et si la Navy est impliquée là-dedans, la jouissance de ces terrains où personne n’a accès depuis longtemps est très pratique pour eux. Parce que personne ne peut savoir ce qui s’y passe et ce qu’ils y font vraiment. Il se peut également que la Marine étudie secrètement les prototypes d’une technologie avancée d’origine alien dans la zone de Vieques. Qui sait ? Cette situation est très sérieuse.
Nous allons voir par la suite de nombreux autres exemples plus frappants les uns que les autres. J. Martin nous apprend encore un fait qui renforce le secret sur Vieques : à présent la Navy vient de stopper totalement ses manoeuvres et bombardements sur l’île. À l’exception d’une petite portion à l’Ouest de Vieques, tous ces terrains passent désormais sous la propriété d’un Département du Ministère de l’Intérieur. Or ce département sera sous le contrôle de l’Agence de Pêche et Vie Sauvage. Ce Département place le secteur de Camp Garcia, les polygones de tirs, Playa Grande où se trouvent les systèmes radar ROTHOR et le lagon Kiani sous secteur : Refuge Naturel.
C’est une bonne chose me direz-vous ? Pas du tout ! Cela signifie que l’accès de ces zones pour des raisons soi-disant écologiques (ne pas transporter de la terre d’ailleurs avec ses semelles par exemple, pour ne pas troubler l’écosystème… et ainsi vous n’avez même pas le droit de vous approcher à pied ! Et comme écosystème on fait mieux, imaginez un terrain multi bombardé !) est désormais encore plus restrictif qu’à l’époque des zones militaires. C’est très pratique ! D’une pierre deux coups : non seulement on interdit formellement l’accès à cette zone, mais en plus on coupe l’herbe sous le pied de tout le monde, et surtout sous le pied de ceux qui criaient le plus fort, les protecteurs de la nature qui n’ont plus désormais qu’à se taire !… Et malheur à ceux qui oseraient contrevenir à l’interdit, car ils auraient désormais contre eux l’opinion publique, cette force puissante, dont l’histoire nous a appris qu’elle était si facile à mener par le bout du nez.
Les explosions inexplicables
Voici l’histoire de la fameuse explosion ayant eût lieu dans la Lagune Cartagena, Cabo Rojo le 30 mai 1987 et qui a fait couler beaucoup d’encre. Le 29 mai 1987 à 22h les habitants des parcelles autour de la Laguna Cartagena (des milliers de témoins), observent dans cette zone où depuis longtemps on remarque une activité ovni intense, les évolutions d’une sphère lumineuse sur la lagune et sa brutale descente verticale dans les eaux de la baie. À 2h30 du matin, ces mêmes habitants sont réveillés par une forte lumière pénétrant par toutes les fenêtres de leurs habitations. En sortant dehors pour essayer de comprendre ce qu’il se passe, ils observent tous, un grand disque volant illuminant sur sa trajectoire les eaux de la lagune “comme s’il cherchait quelque chose” dira les nombreux témoins. Puis
le 30 donc, brutalement, à 13h55 de ce même jour une terrible explosion secoue toute la zone de Cabo Rojo, Lajas et Mayaguez.
La thèse officielle de l’énorme explosion ne tarda pas à arriver : on affirma qu’un tremblement de terre avait eût lieu et que son épicentre se trouvait à 81 mille pieds de profondeur sous la Lagune. Mais là, il y a un gros problème, même plusieurs et cela ne fait que commencer, attachez vos ceintures :
1) D’une part tout d’un coup se reprenant, le Service Sismologique de Puerto Rico déclara à tout le pays que l’épicentre ne se trouvait pas là du tout mais bien plus à l’Ouest au Canal de Mona entre Puerto Rico et la République Dominicaine… on aurait voulu détourner l’attention de la zone de la Lagune que l’on aurait pas fait autrement…
2) On prend souvent la population pour des idiots et c’est là une grossière erreur, car parmi elle se trouvait des ingénieurs et des experts qui purent affirmer que l’explosion était telle qu’elle correspondait à environ 1000 caisses de dynamite, ce qui correspond à environ 10.000-20.000 kg de poids explosif! C’est énorme… Des témoins virent même la mer se retirer un peu de la rive…
3) Le Dr William Mc Caan alors en charge du Réseau de Surveillance Sismologique de l’île et qui est un honnête homme (il y en a encore !), à la vue des témoignages et des anomalies relevées dont je vais bientôt vous faire part, ne pus que finir par déclarer : “Ce qui est arrivé dans cette zone n’a absolument rien à voir avec un séisme.” ! Cela lui coûta d’ailleurs son poste car après ses déclarations faites au journaliste Jorge Nieves du journal TV de Canal 2, il subit de fortes pressions et comme il ne voulut pas démentir, il fut rapidement relevé de ses fonctions…
4) D’autre part, sur toute la zone des terrains autour de la lagune y compris des vasières en partie submergées, et du centre même de la baie, on a aperçu des fumées denses d’une couleur bleu cobalt, sortir de terre ou de l’eau ce qui n’est absolument pas compatible avec un événement d’origine géologique. Très vite d’ailleurs on vit la lagune militarisée et devenir une zone restreinte. On vit également des hommes en combinaisons d’anticontamination biologique et radioactive faire des prélèvements d’eau, de boue, de flore sur toute cette zone. On les vit même introduire dans l’eau une grande sphère métallique contenant de l’équipement électronique de mesures. Cette sphère était reliée par un long câble métallique à un hélicoptère militaire. C’est ainsi que des propriétaires de terrains se virent interdire complètement l’accès à leurs propres parcelles et terres par des agents fédéraux américains habillés en civil. Une des plus importantes propriétaires (Mme Zulma Ramirez) se vit même dire : “… Qu’il s’était passé quelque chose dans cette zone concernant la Sécurité Nationale et qu’ils se devaient d’investiguer…” … Pas tout à fait le genre de chose que l’on dit quand il s’agit d’un tremblement de terre…
La dame qui n’avait pas ses yeux dans ses poches remarqua qu’ils portaient des lunettes épaisses et surtout qu’ils avaient sur leurs costumes des petits triangles rouges orangés qui sont en fait des patchs-tests, témoins de mesure de niveau d’irradiation… Que se passa-t-il dans cette zone ? Comment se fait-il qu’une explosion si énorme, allant jusqu’à faire expulser en hauteur violemment les bébés loin de leurs berceaux pendant cette fameuse nuit, en un bond immense, selon les témoignages des parents vivant dans les parages, pour vous faire une petite idée… n’ait pas trouvé encore aujourd’hui une explication satisfaisante ? Que fait-on de la population civile ? S’il y avait des mesures à prendre comme l’ont fait les agents pourquoi la population n’en a-t-elle pas bénéficié ?
Mais ce n’est pas tout… Pourquoi les gens de la zone se mirent à souffrir de douleurs musculaires, de fièvres, de nausées, de douleurs de tête et même pour certains de chute de cheveux sans précédent ? Pourquoi les coraux de la zone commencèrent à perdre leur pigmentation et à mourir ? Et surtout pourquoi les officiels inventèrent encore une thèse plus que discutable… devinez ? Cette fois-ci en invoquant des problèmes dans la couche d’ozone ! Et puis quoi encore ? Serait-ce parce que la véritable explication était par trop embarrassante ? Nous verrons plus loin ce que pensent les experts qui se sont penchés sur le sujet… Et ce serait peut-être les problèmes dans la couche d’ozone qui faisaient s’affoler les boussoles des marins dans la zone ! Et qui rendaient les gens à terre et en mer souffrant de troubles graves de l’orientation… et qui leur procuraient des démangeaisons cutanées… bien sûr ! Mais les choses se compliquèrent davantage : une vague d’observations d’ovnis sans précédent commença dès le lendemain ! Un vrai ballet aérien ! Ce qui fit qu’un peu plus tard un major de l’armée à Porto Rico : le major Marcos Iritzarry n’hésita pas à installer sur le bord de sa propriété sise à côté de la Nationale 303 allant de Lajas à Puerto Rico, à côté de la Lagune, un très sérieux panneau routier indiquant : “Route extraterrestre 303” !
Le 1er juin à 22 h un disque d’aspect métallique avec deux sphères lumineuses blanches à chaque extrémité fut observé dans le ciel par les mêmes nombreux témoins de la zone de Betances à Cabo Rojo, juste en face de la Lagune de Cartagena, puis il disparut dans le mont Bermeja au loin. Il revint par trois fois ensuite au-dessus de la Lagune. Que venait donc chercher cet ovni ? Où que voulait-il signaler à la population environnante ?
Une des nombreuses témoins : Madame Rosa Acosta raconta comment cet ovni resta stationnaire, complètement immobile au-dessus de la lagune pendant 15 mn, juste avant de s’élever brusquement et de disparaître derrière dans le mont Bermeja. D’autres survols d’ovnis s’ensuivirent les semaines et mois suivants. Ce fut aussi le début d’une vague d’explosions souterraines et de tremblements dans toute la zone et même jusqu’à l’île de Vieques dont je vous ai déjà parlé. Les plongeurs de grande profondeur pendant des jours entendirent comme des explosions sourdes venant de sous la mer. Pendant plusieurs mois, ils observèrent qu’à une certaine profondeur la visibilité était moindre que d’habitude car : “Il y avait une grande quantité de particules étranges en suspension dans l’eau de mer”. Un instructeur de plongée à La Parguerra raconta que tandis qu’il descendait en grande profondeur non sans avoir installé une corde avec des paliers et des réservoirs à certaine distance pour la remontée, il aperçut un gros poisson et le visa avec son pistolet harpon. Le poisson se débattit et comme il était très fort il entraîna dangereusement vers le bas le plongeur qui n’arrivait pas à se débarrasser de la corde attachée à son poignet le reliant à son harpon fiché dans l’animal.
Il entraîna immanquablement le plongeur verticalement vers une fosse marine de plusieurs milliers de pieds de profondeur. Il finit par réussir à couper la corde avec son coutelas. Il vit le poisson continuer sa descente avec le harpon, puis soudain il vit comment celui-ci fut comme happé et se retrouva collé à la paroi lisse du rocher. Comme si le roc était un gigantesque aimant… Le métal du harpon avait été aimanté par la paroi… Or selon les plongeurs de grande profondeur qui connaissent bien la zone, il y aurait au-delà de 200 pieds vers le bas, à cet endroit, dans cet à-pic plongeant très profond verticalement (plusieurs milliers de pieds), une énorme entrée, comme une grotte sous-marine mais plutôt rectangulaire. Cependant aucun d’entre eux n’a jamais osé explorer si bas, de crainte également des puissants courants sous-marins qui sévissent dans cette zone. C’est aussi dans cette zone de très grande profondeur que les pêcheurs ont vu fréquemment de gros bateaux avec des grues et des garde-côtes qui faisaient descendre à cet endroit de très gros tubes métalliques.
Ils racontaient aux pêcheurs que c’était pour déstaliniser l’eau de mer. Mais des ingénieurs interrogés n’y ont pas cru une seconde. Ce serait bien plutôt l’installation de bases sous-marines. La technologie de telles bases est connue depuis au moins les années soixante. Alors quoi ? La Marine serait en train de construire des bases sous-marines à cet endroit ? Pourquoi pas, mais alors quel rapport y a-t-il avec le grand nombre d’observation d’ovnis ? Pour les spécialistes sur place, ce serait plutôt une tentative de pénétrer dans des bases déjà existantes, des bases qui pourraient être aliens, d’où la grande quantité d’ovnis sortant et entrant dans la mer dans certaines zones très précises. Nous aurons l’occasion dans les articles suivants de vous faire part de nombreux autres faits avérés allant dans ce sens et encore davantage… Mais pour vous faire une petite idée par rapport à l’explosion citée au début de cet article et à ces fumées bleu cobalt, voici les suppositions que se sont amenées à se faire des ingénieurs. Il est bien entendu que ce ne sont que des spéculations par rapport aux mêmes éléments que vous avez maintenant en votre possession, mais c’est assez intéressant pour être notifié : Cela pourrait être en gros quatre choses différentes :
1) Peut-être une bombe radioactive et chimique, ou radiologique. Ou peut-être l’explosion accidentelle de composés de cobalt que certains ont malencontreusement l’habitude de jeter en mer comme déchets radioactifs. Mais cela ne déclencherait pas de détonation nucléaire, “seulement” un effet radiologique. Or le poids explosif invoqué peut correspondre à l’effet cumulé d’une très grosse bombe thermobarique mais pas à une nucléaire.
2) Ou alors une torpille grosse porteuse a été lancée contre un USO (Unindentified Submarine Object, Objet Sous-marin non identifié) probablement dans ce cas par un avion S-3 Viking AS, et la torpille fut déviée par sa cible et explosa incidemment près d’un dépôt sous-marin de déchets radioactifs. Mais cela n’explique pas la grande puissance de l’explosion. Même une grosse torpille ne peut contenir que 400 kg d’explosifs.
3) Ou alors un chasseur F-15 E ou F-117 a délibérément lancé une bombe à haute pénétration (classe bunkerbuster, 2,7 Tonnes, ogive principale : 400 Kg) contre un USO sous la mer. Elle a pu faire exploser l’USO ce qui a fait libérer des matériaux radioactifs et toxiques. Le chasseur a pu obtenir les coordonnées de la cible (l’USO) par un avion patrouilleur anti sous -marin P-3 C Orion qui a détecté l’USO par le MAD (magnetic anomalies detector) et ensuite le chasseur lance la bombe guidée par Laser et GPS jusqu’à la cible sur une distance d’environ 10 km. En général on utilise ce genre de bombe pour creuser la roche dure et faire exploser des souterrains. Ou plus simplement un S-3 Viking a envoyé une torpille qui à fait exploser l’éventuel USO.
Voici quelques hypothèses mais il reste bien des questions comme la présence étrange d’un aérostat militaire au-dessus de la lagune et bien d’autres encore dont nous vous parlerons après.
Phénomènes inquiétants autour du radar ROTHR
île de Vieques, Puerto Rico
Le journaliste Jorge Martin et son équipe, lors de plusieurs visites dans la petite île de Vieques, ont été informés d’une série d’évènements importants et pour le moins alarmants ayant eu lieu entre 1999 et 2000. Ces évènements ont été étouffés par les autorités militaires et par la Compagnie Raytheon créatrice de radar, ainsi que par la société de sécurité en charge de la zone. Pourtant des membres de la marine américaine, des membres du personnel de sécurité et de vigilance des installations radar ROTHOR, à Vieques sur la plage “Playa Grande”, ont été témoins de manifestations incroyables et ils ont voulu témoigner. Mais avant d’en venir au vif du sujet, il est important de vous donner quelques explications et détails sur l’implantation à Puerto Rico d’un radar particulièrement controversé.
Le radar ROTHR
Le radar ROTHR (Relocatable Over The Horizon) est composé de deux installations. L’installation réceptrice se situe à Fort Allen au Sud de la municipalité de Juana Diaz, au Sud de la grande île de Puerto Rico. C’est une base militaire américaine qui a servi en 1980 de camp de détentions pour les réfugiés haïtiens. Il avait été prévu au départ d’installer ce récepteur dans la région de Lajas au Sud-ouest de l’île mais une campagne massive de protestation et une grande marche de 60 000 personnes empêchèrent ce projet d’implantation. L’autre installation est la partie émettrice. Elle se trouve dans la petite île de Vieques à l’Est de la grande île de Puerto Rico et à 40 Km à l’Ouest de St Thomas. Nous vous rappelons (voir TS n°22) que Vieques, cette jolie petite île des Caraïbes où les Portoricains viennent passer le week-end pour pêcher et profiter des plages, est au 2/3 une base militaire et que la population civile de 9.000 habitants est pour ainsi dire “prise en sandwich” dans la partie médiane de l’île
L’émetteur de Vieques consiste en 35 antennes qui émettent des ondes de 10m de longueur d'onde soit une fréquence de 30 Mhz avec une puissance de 200KW. Le récepteur lui se compose de 372 paires d’antennes d’aluminium de 19 pieds de hauteur.
Une efficacité discutable
Selon les opposants du ROTHR qui ont porté leur protestation en délégation a Washington les 8 et 12 mars 1999 (un texte rédigé par Carmelo Ruiz), ce radar pose de sérieux problèmes et soulève d’importantes questions. Tout d’abord, les opposants dénoncent le fait que la compagnie constructrice du radar aurait été condamnée à maintes reprises pour fraude par le gouvernement. Elle aurait même été impliquée dans un scandale de corruption au Brésil, en essayant de s’assurer un contrat de construction de radar SIVAM pour la surveillance du bassin de l’Amazone. Ensuite, les autorités avancent que le radar est censé servir à l’interception des vols d’avions du trafic de drogue au-dessus de la mer Caraïbes. Or, à l’origine ce type de radar a été conçu pour détecter des bombardiers soviétiques et pas les petits avions.
D’autre part, selon un des membres scientifiques de la délégation, Mr Neftali Garcia, qui est aussi candidat pour le poste de sénateur de Puerto Rico, beaucoup de drogue arrive par bateau et ce système ne détecte pas les bateaux ! De toute évidence, ce radar ne peut donc apporter qu’une contribution très marginale à la lutte contre le trafic de drogue. En outre, comme il a besoin de l’ionosphère pour fonctionner et que l’ionosphère est un système instable du fait du rayonnement solaire, il peut se passer plusieurs jours avant de trouver une fenêtre météo favorable à la détection. Mr Garcia a souligné également que ce radar ne peut détecter les vols en dessous de 500 pieds ce qui le rend inefficace contre les avions volant à basse altitude, c’est-à-dire justement ceux des trafiquants…
Des nuisances graves
Les opposants du ROTHR mettent aussi en avant les désagréments que cause une expropriation de 100 acres de terrain cultivable dans la vie d’une population déjà confinée dans un très petit espace. Ils affirment aussi que les deux installations ont des répercussions négatives sur la santé des gens, à cause des radiations électromagnétiques, et ceci malgré les assurances du gouvernement. Ils sont particulièrement inquiets de l’installation de Vieques qui est construite à 500 m d’une zone habitée. Il faut préciser qu’en mai 2001, les responsables ont fait signer un document aux employés et techniciens du radar ROTHR de Vieques, exonérant la Marine de toute responsabilité en cas de problème de santé. Il faut dire que le taux de cancer à Vieques est de 52% plus élevé qu’à Puerto Rico.
Discours contradictoires
Lorsque les opposants au radar ont demandé pourquoi celui-ci n’était pas installé dans une base militaire sur l’île principale comme celle de Roosevelt Roads Navy à Ceiba, il leur a été répondu que c’était impossible en raison des interférences commerciales et militaires des transmissions radios de la grande île. Le taux de radiations électromagnétiques généré par le ROTHR de Vieques était incompatible avec une installation dans une base militaire où des armes nucléaires sont stockées, surtout à cause du risque spécial HERON (Hazard of Electromagnetic radiation) ! C’est un risque de radiations électromagnétiques qui peut provoquer des accidents sur les armes nucléaires et conventionnelles.
De lourdes suspicions
En fait, les opposants craignent que le ROTHR ne fasse partie en réalité d’un dispositif similaire au programme de l’antenne HAAARP (High Auroral Atmosphere Advanced Research Project) comme celui très discuté d’Alaska qui soulève énormément de protestations. Ce projet de haute technologie secrète, militaire, est censé altérer la composition de l’ionosphère par des explosions de micro-ondes et ainsi modifier le climat. Les militants anti ROTHR citent au passage un article intéressant de la revue “Popular Science” de septembre 1995 où il est dit que le système HAARP (High Frequency Active Auroral Research Program), en dehors de la modification potentielle du climat, pourrait servir aussi d’instrument de radiographie de type scanner travaillant à l’intérieur de l'écorce terrestre par tomographie. Il pourrait ainsi détecter à plusieurs km de profondeur des armes nucléaires et des minéraux. (Calentadores ionosfericos, Toni Martin). Les craintes des habitants se fondent principalement sur le fait que HAARP a été mis en place pour remplacer et améliorer le dispositif du radar ROTHR. À l’origine en effet, ROTHR avait été construit pendant la guerre froide. Il avait pour but de détecter une attaque nucléaire éventuelle par missiles balistiques intercontinentaux.
HAARP, qui est donc “juste la taille au-dessus de ROTHR” permet le contrôle des processus de l’ionosphère, la tomographie de pénétration du sous-sol, l’amélioration des communications des sous-marins, le blocage des communications “ennemies”… Ce sont autant d’objectifs qui sont d’un grand intérêt stratégique en cas de guerre “électronique”, mais qui, rappelons-le, ne sont pas sans présenter un réel danger pour les populations et la planète. C’est du moins ce qu’affirment des scientifiques tels que le Dr Richard Williams, de la Société Américaine de Physique , qui qualifie HAARP d’“Acte irresponsable de vandalisme global” et le Dr.Gordon J.F. MacDonald, ex-directeur de l’Institut de Géophysique Planétaire de l’UCLA ( Université de Californie), qui a dénoncé dans son livre “Unless Peace Comes” les dérives de cette technologie pour la manipulation du climat, la fonte des glaciers, allant même selon eux jusqu’à la manipulation des ondes cérébrales des personnes. (Voir les encadrés “Ondes de Schumann” et “Ondes ELF”).
L’ancêtre de HAARP à Puerto Rico ?
Il se trouve que HAARP est très comparable au ROTHR. Les deux dispositifs utilisent de très puissantes ondes électromagnétiques de haute fréquence. Ils utilisent tout deux l’ionosphère (qui est la couche la plus élevée de notre atmosphère, celle qui nous protège des différents types de radiations provenant de l’espace ainsi que des rayons solaires) comme miroir pour faire parvenir leurs ondes au-delà de l’horizon en couvrant d’immenses zones. Rappelons que la couverture des radars traditionnels est limitée à cause de la courbure de la Terre.
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Re: Puerto rico, une île sous haute surveillance?
Si on envisage le dispositif ROTHR, malgré sa taille réduite, comme faisant partie d’un immense réseau d’antennes disséminées sur plusieurs milliers de Km, comprenant la grande île et même le continent, on peut considérer alors qu’il permet des fréquences pouvant interférer également avec le cerveau humain (un radar ROTHR tout seul ne peut y arriver). On peut alors comprendre l’inquiétude des Portoricains et l’hostilité qu’ils ont manifestés à l'égard de cette implantation. Mais vous allez voir que d’autres éléments encore plus troublants allaient bientôt renforcer ce climat d’inquiétude.
Des observations inquiétantes
Mr Victor Ayala Salgado, Mme Modesta Santos, ainsi que leurs amis, familles et voisins vivant à “La Hueca”, la zone habitée la plus proche du radar ROTHR de Vieques, observent et témoignent tous du même phénomène. Depuis la construction du radar, régulièrement entre 21h et 2H du matin, ils voient en effet arriver du Nord de grosses lumières ovales bleues qui volent sur un plan horizontal. Ces lumières survolent les montagnes et soudain en s’approchant du radar changent de direction et virent à 90%. En général elles disparaissent dans le lagon de Playa Grande, et parfois même dans la mer juste devant le radar. Ces témoins affirment que ces lumières sont énormes. Elles mesurent entre 4 et 6 mètres de diamètre. Ils les voient passer au-dessus de leurs toits et peuvent s’en faire une idée bien précise. Beaucoup de rapports similaires affluent sur la table du journaliste et ufologue Jorge Martin. Certains de ces témoignages proviennent de gens travaillant à la sécurité du radar.
Parmi ces témoignages, il y a celui de Mr Angel de Léon, un officier des Forces Armées et de la Garde Nationale U.S. à la retraite. Cet homme raconte qu’en juin 1999, des amis universitaires de Vieques l’invitèrent à aller voir un étrange phénomène qui se produisait régulièrement à côté du radar. “Nous avons monté un camp sur une montagne proche du radar, rapporte l’officier à la retraite. Tard dans la nuit nous avons vu un groupe de lumières venant du sommet d’une pente du comont Ventana et qui ont survolé la mer. Ces lumières dansaient dans le ciel. Elles ont tourné plusieurs fois à gauche puis à droite et elles ont disparu. J’étais paralysé… Je ne pouvais pas croire ce que je voyais. J’ai dit à mes amis que tout ça avait peut-être un rapport avec l’installation radar. C’était peut-être des fusées éclairantes. Mais juste à ce moment-là, trois autres lumières sont apparues et elles sont restées suspendues, stationnaires juste devant notre camp. Ces lumières étaient beaucoup plus grosses, plus brillantes et plus proches que les précédentes. Soudain elles ont bougé et elles ont formés un triangle, puis elles ont descendu vers le radar. Nous avons couru vers le site mais une fois arrivés, nous n’avons rien trouvé. Elles avaient disparu, il n’y avait plus rien à voir.”
Les témoignages s’accumulent
Poussés par la peur de ce qu’ils observaient et par un légitime besoin d’en informer la population, plusieurs membres de la Navy et du personnel civil de sécurité du ROTHR ont pris contact avec Jorge Martin. Ils n’avaient plus grand chose à perdre de toute façon. Depuis qu’ils avaient eu le malheur d’écrire dans leur rapport qu’ils avaient vu “quelque chose”, ils subissaient une campagne de discrédit et un harcèlement systématique au sein de leurs unités. Ils pressentaient leurs renvois imminents et leur remplacement par un personnel de haute sécurité plus habilité au secret. C’est ainsi que notre ami Jorge Martin fit la connaissance de Reynaldo Calzada. Cet officier a travaillé durant trente ans comme superviseur des gardes de sécurité dans les bases de la Marine U.S. à Vieques. Il a été témoin de plusieurs incidents.
Des vidéos réquisitionnées
En avril 2001, vers 14h00, alors qu’il était en charge de la sécurité du ROTHR à Vieques, Playa Grande, il a vu sur le moniteur n°6 de ses écrans de contrôle, quelque chose de vraiment étrange. Ce moniteur pointait sur une partie du lagon quand il a vu apparaître un très gros objet circulaire métallique avec un dôme sur le dessus. Ce “vaisseau” volait dans le ciel ensoleillé et parfaitement clair. Reynaldo Calzada a essayé de zoomer mais l’objet allait tellement vite qu’il avait déjà le plus grand mal à le suivre d’un écran à l’autre. Non seulement la marge de manœuvre des caméras est très limitée, mais de plus l’engin semblait faire de brusques bonds. Finalement il a disparu. Comme le stipule le règlement, Reynaldo Calzada a fait un rapport de l’incident à son supérieur, lequel en a aussitôt informé sa hiérarchie, la Société Raytheon et les responsables de la Navy.
Des hommes se sont alors rendus dans les locaux de la sécurité. Ils ont réquisitionné la cassette vidéo qui contenait les images de l’Ovni. Ils l’ont mise dans une enveloppe spéciale avec des scellés et un sceau plus gros que le sceau habituel. Puis ils ont identifié le pli avec une série de chiffres sur le côté avant de l’emporter… L’officier Calzada a expliqué à Jorge Martin que c’était une procédure classique pour ce genre d’images “special data” et que ces gens ne parlaient jamais de ces incidents avec les témoins de la base et du radar. Ils s’entretenaient seulement entre eux dans une salle de conférence rigoureusement fermée et que rien ne filtrait jamais de leur réunion.
D’autres officiers ont confirmé ses propos. Le garde Angel Luis Mercado a raconté un fait similaire qui s’est produit une nuit d’août 2000, alors qu’il surveillait les écrans de contrôle du radar. Un énorme disque argenté avec plusieurs hublots est apparu sur un écran. Il est resté stationnaire durant une bonne dizaine de minutes au dessus du radar. Des gens de la base de Roosvelt Roads sont arrivés dans la salle de contrôle et ils ont pris la cassette. Une autre nuit, en octobre 2000, plusieurs gardes de sécurité ont observé vers 2H30 du matin un autre incident. Cette nuit-là, ils étaient plusieurs à observer les écrans des caméras de surveillance tandis que d’autres gardes étaient en patrouille à l’extérieur. Sur les écrans est soudain apparu un grand objet en forme d’ovale lumineux, juste au-dessus de la grille d’entrée de l’installation radar. Passé l’instant de surprise, les hommes devant les moniteurs ont aussitôt alerté leur collègue qui se trouvait au plus près de la grille. C’est Mr Peralta qui était de faction ce soir-là. Il a vu l’objet qui était à moins de 120 mètres de lui. Voici ce qu’il racontera à Jorge Martin : « C’était comme si l’objet était capable de se rendre invisible si on l’observait sous un certain angle. C’était étrange à voir. D’un seul coup, une coupure de courant s’est abattue sur tout le site du radar rendant les choses encore plus bizarres. L’objet s’est déplacé en silence vers la droite et il est resté suspendu pendant plusieurs minutes entre le radar, le lagon et le Col Pirata. Puis il a redémarré et il s’est dirigé vers la mer, le Sud, vers La Poza del Sur »
L’incident a été entièrement enregistré par le système de sécurité vidéo, branché sur le réseau de secours. Puis des hommes du personnel de Roosvelt Roads sont arrivés sur place et ils ont emporté la cassette. Apparemment, ces gens-là ne veulent pas que ça se sache.” En février 2000, un autre garde de sécurité qui était dehors après la tombée de la nuit a entendu un son étrange, comme un bourdonnement. Quand il a regardé en l’air il a vu “un très grand disque volant avec un dôme, complètement illuminé d’une lumière bleue très forte”. Il l’a vu descendre entre le radar, le lagon de Playa Grande et le Mont Ventana. Il a appelé à l’aide mais pendant ce temps-là le disque est parti vers le bas du mont Ventana. Il a atterri là-bas avant de disparaître. Deux autres gardes, interviewés par notre ami ufologue ont affirmé : “C’était comme si la terre prenait feu, comme si l’objet était si brûlant que quand il a touché le sol il a causé un feu. Nous avons dû appeler les pompiers pour contrôler l’incendie.”
Deux jours plus tard, les gardes ont vécu un évènement encore plus spectaculaire… C’est une femme qui patrouillait dans la zone. Elle a vu bouger des arbustes, entendu des bruissements et des marmonnements.Elle s’est donc approchée pour se rendre compte de ce qui se passait lorsqu’une petite silhouette est brusquement sortie des buissons. La créature avait la taille d’un enfant avec une grosse tête et de grands yeux noirs. La garde a eu très peur d’autant que la petite créature s’est précipitée sur elle. Elle ne s’est pas arrêtée et finalement elle lui est littéralement passée à travers le corps. La garde a sorti son arme et elle a tiré à plusieurs reprises sur la silhouette. Celle-ci a continué comme si de rien n’était. Elle est passée sur les câbles de très haut voltage de l’installation sans aucun dommage. Puis elle a disparu dans les arbustes de l’autre côté.
Photographie prise par un militaire
Peut-être croyez-vous nager en plein film de science-fiction ou d’horreur mais pas du tout, l’incident entier et les tirs de la femme ont été connus de toute la population de Vieques. Évidemment, les autorités ont déclaré : “qu’un maraudeur l’avait attaqué”. Des recherches ont été menées dans la zone mais elles n’ont rien donné. La garde a été sanctionnée par des officiers de la Navy, pour “usage inconsidéré” de son arme.
Des ordres inquiétants
Le personnel du radar s’accorde à dire que souvent, entre 2h et 3h du matin, ils reçoivent des ordres stricts les obligeant à rester enfermés à l’intérieur des bureaux de la sécurité. Ceux qui sont dehors doivent alors rester à la grille d’entrée, avec l’interdiction la plus totale de bouger, quoi qu’ils puissent voir, sentir, entendre, ou quoi qu’il puisse se produire dans l’enceinte de l’installation. En général, c’est tout de suite après de tels ordres qu’ils voient apparaître ces grandes lumières ovales qui viennent atterrir sur le site. Certains gardes disent également avoir aperçu d’étranges petites silhouettes qui se mettent à courir en direction des arbustes, vers le Mont Ventana. Les gardes précisent aussi qu’on leur interdit de rapporter de ce qu’ils voient. Ils ne peuvent même pas en discuter entre eux.
Les menaces font en sorte que le silence peut durer plusieurs jours après tel ou tel incident... Les hommes ne savent pas s’il ne s’agit pas de tests psychologiques, et si ces apparitions ne sont pas destinées à les éprouver et à tester leur loyauté. Cependant les faits sont tellement nombreux et si énormes que le mur du silence est régulièrement brisé. Il est un autre détail sur lequel les gardes s’accordent. Ces “lumières” ont la capacité presque à chaque fois de neutraliser l’électricité du site. En outre, des sections de la grille de sécurité et de la barrière anticyclone entourant le vaste site se sont retrouvées bizarrement fondues. Comme les habitants ont commencé à jaser à propos de ces lumières et à se poser de sérieuses questions, le commandant de la Station Navale Roosvelt Roads, l’Amiral Kevin Green a fait une déclaration. Pour détourner le problème, il a mis l’accent sur les détériorations des grilles en accusant les militantes anti-bases d’être à l’origine de ces dégradations. Mais au lieu de rassurer la population, cette accusation absurde n’a fait qu’augmenter la peur de la population. De fait, les gens ignoraient jusque-là que les grilles avaient fondu. Et ils ont fait automatiquement le rapprochement avec la présence des ovnis.
Témoignages des habitants
De nombreux témoignages émanent d’habitants de Vieques qui ont eu l’occasion de voir fréquemment des ovnis du côté de ce fameux Mont Ventana. Ce fut le cas de Mr Jorge Colon et de toute sa famille, le 24 juin 2001 à 14h30. Certains résidents ont fini par organiser une expédition au sommet de cette montagne à la végétation luxuriante. Ils ont découvert là-bas l’entrée d’une grotte qui descend verticalement très profondément. Ceux qui ont osé s’aventurer à l’intérieur de la fosse et exploré une partie du tunnel ont parlé d’un “grondement métallique” provenant des profondeurs.
Un événement exceptionnel
Ce jour ensoleillé de la fête des Pères de juin 2001, Mr José Chino Rosa et sa femme se promenaient tranquillement à cheval sur la plage de Playa Grande. Il devait être entre 14h et 15h lorsqu’en arrivant à la hauteur des grilles de l’installation radar, ils ont été témoins d’un événement indescriptible.
Ils ont soudain entendu une très forte explosion et juste au-dessus des antennes radar, le ciel bleu clair s’est déchiré, formant comme une ouverture. De ce “trou” a surgi une très grosse boule grise de lumière ou d’énergie qui est allée frapper une des antennes ! Les chevaux se sont emballés et la dame a été jetée à terre par son cheval. Dans la chute, elle s’est fracturée le genou. Son mari et un autre témoin, Mr Paul Delerme, l’ont emmenée en urgence à l’hôpital de Vieques. Mr Delerme avait lui aussi assisté à toute la scène, avec sa femme, depuis sa voiture garée un peu plus loin. Les témoins ont d’abord pensé à du tonnerre ou à une décharge, mais le temps était magnifique et le ciel sans un seul nuage.
Monsieur Delerme a décrit l’événement dans ces termes : “Depuis notre voiture, nous avons vu tout d’un coup le ciel devenir très brillant au dessus des antennes…et le ciel s’est ouvert littéralement. Une grande cavité verticale est apparue et, à travers, on pouvait voir un autre ciel d’un bleu intense. Ensuite quelque chose en est sortie avec un bruit d’explosion. C’était très étrange car le ciel était clair et le temps magnifique ce jour-là. Une ouverture verticale est apparue, puis ça s’est ouvert un peu plus sur les bords en s’approfondissant. C’est comme si on voyait un autre ciel dans cette ouverture, au-delà du ciel normal, un infini, un autre espace. C’était impressionnant…”
Peu à peu les enquêteurs ont découvert que d’autres gens dignes de foi à Vieques avaient assisté à ce genre d’événement au dessus de ce radar toujours. Les témoignages ont rapidement afflué, et la population a commencé à entendre parler de porte inter dimensionnel et de trou de vers. Les gens se sont mis à dévaliser les librairies à la recherche de livres de scientifiques comme le physicien Paul Halpern “Cosmic Wormholes” (1993), Kip Thorne, Michael Morris, Ulvi Yurtse. Beaucoup se sont plongés dans les ouvrages des émules de David Bohm.
Que penser de toutes ces informations ? Il semble en tout cas que l’équation Radar ROTHR/HAARP système et visites d’ovnis font se poser beaucoup de questions à toute la population de l’île. Nous verrons dans d’autres articles que c’est une équation intéressante qui touche bien d’autres radars sur la grande île. Nous verrons à cette occasion qu’il y a pléthore d’observations d’objets et aussi de petites créatures. “La grande question que se posent les experts à Puerto Rico, nous dit Jorge Martin, ce n’est pas de savoir si tout ceci est vrai ou pas. Nous avons largement dépassé ce stade, alors que les ovnis sont visibles partout par des milliers de personnes en même temps, jusqu’au Costa Rica. Non, c’est plutôt de savoir : est-ce que la Navy et la société constructrice des radars sont découvert ces phénomènes par accident ou est-ce que ces événements ont été provoqués volontairement et dans quel but ?”
En effet d’après les experts, le dispositif ROTHR/HAARP, couplé avec des systèmes Doppler déjà présents sur l’île, pourrait bien interférer sur le système de navigation de certains ovnis et les “obliger” à aller sur certains sites. D’autres pensent que les installations couplées ensemble permettent une recherche sur la réalisation d’ouvertures inter dimensionnelles… Qui sait exactement ce qui se passe là-bas ?...
Selon les défenseurs du ROTHR, ce radar est essentiel car :
1) Il permet de suivre et de pourchasser les avions du trafic de la drogue et couvre les pays producteurs de drogue. Ainsi il permet l’interception de trafiquants et de contrebandiers.
2) Il permet l’application de la loi en envoyant des informations au centre opérationnel de Chesapeake, Virginia, puis au centre de la Task Force de Key West où les douanes, le FBI, etc., sont prévenus, ce qui leur permet de procéder à des arrestations et saisies.
3) Même si ce système de deux radars n’est pas aussi efficace qu’il pourrait l’être, il a joué un rôle non négligeable dans la saisie de cocaïne. Et il rend la vie difficile aux narcotrafiquants qui utilisent la route des cieux au-dessus de Puerto-Rico pour rejoindre les États-Unis.
4) Il n’y a aucun impact négatif sur la santé des gens car l’installation est en règle avec les normes en vigueur. À Fort Allen de plus, comme c’est un récepteur il n’y a pas d’émission d’énergie, l’antenne est seulement réceptrice.
(Source : le Puerto Rico Herald et le San Juan Star, du 12 mars 1997)
Comme nous vous l’avons déjà expliqué l’île de Vieques était encore il y a peu, aux deux tiers, une base militaire inaccessible au public. De fait, les 9.000 habitants cantonnés dans le centre de l’île souffraient de cette situation pour toutes sortes de raisons. L’une d’elle, et pas des moindres, tenait au fait que les parties de l’île réservées à l’armée étaient très proches des zones habitées. Or, en dépit d’une dangereuse promiscuité, ces terrains militaires servaient de zone d’essai de bombardements. Cela entraînait naturellement des nuisances susceptibles de mettre en danger la santé même de la population. Le décor une fois dressé, nous allons à présent vous faire part du témoignage (un parmi tant d’autres recueillis par notre ami Jorge Martin) de Monsieur Ismael Camacho. Durant 28 ans, cet homme a été garde de sécurité et superviseur au Poste d’Observation n°1 de la Navy au Cerro Matias. En plus de ses fonctions de surveillance et de sécurité, il était également en charge des communications téléphoniques pendant les exercices de bombardements. Voici ce qu’il raconte.
1er témoignage de Mr Camacho
“Cette nuit d’été 1982, aux alentours de 22h30, des essais de bombardements avaient lieu sur la zone. J’étais à mon poste, en compagnie d’autres gardes et de plusieurs officiers de la Navy. Il y avait toujours deux officiers de la Navy US présents lors de tels exercices, un capitaine et un lieutenant. Il y avait aussi du personnel de La Compagnie Raytheon pour coordonner les services du radar, ainsi que quelques hommes en civil. Bref, plusieurs jets de la Navy procédaient à des bombardements sur le champ de tir cette nuit-là. Et puis soudain, une lumière vive est apparue haut dans le ciel juste au-dessus du lagoon Anones. Elle était circulaire et large avec plusieurs lumières de différentes couleurs tout autour. C’était complètement silencieux. Puis, nous avons vu un rayon de lumière bleue sortir du dessous en colonne lumineuse. Ce rayon est descendu jusqu’au lagon. Inutile de vous dire que la présence de cet objet totalement inattendu nous a tous surpris. L’engin avait plusieurs fenêtres dans sa partie médiane avec une série de lumières de différentes couleurs, jaunes, bleues. Des tons rougeâtres étaient visibles en rotation à l’intérieur. Certaines lumières d’un vert très brillant étaient plus constants que d’autres. L’objet ressemblait à une soucoupe avec un dôme vert argenté très lumineux. Comme il continuait de descendre, les officiers de la Navy ont stoppé toutes les opérations en cours. Les jets sont restés dans la zone en faisant de grands cercles, surveillant apparemment la situation. L’objet s’est alors immobilisé juste au-dessus de la surface du Lagoon Anones. On a pu l’observer durant une bonne demi-heure. Enfin, à 23 heures, ses lumières les plus grosses se sont brusquement éteints, laissant juste les petites lumières colorées allumées en rotation à l’intérieur.
À ce moment-là les officiers de la Navy nous ont ordonné d’arrêter notre travail, de signer nos cartes et de quitter les lieux. Plus tard, lorsqu’ils nous ont laissé rentrer chez nous, ils nous ont dit de ne parler à personne de ce que nous avions vu cette nuit-là. C’était Top Secret et classifié. Ils ont ordonné aussi aux jets de retourner sur leurs porte-avions. C’est vraiment étonnant. Les officiers de la Navy auraient dû demander du soutien au porte-avion ou à la base de Roosvelt Roads pour essayer au moins de déterminer la nature et les motivations de cet intrus exceptionnel.
En général, lorsqu’on repère un intrus dans la zone, une alerte est donnée et les avions de chasse interviennent pour ’intercepter. C’est une procédure classique de sécurité que j’ai pu observer plusieurs fois. Or, cette nuit-là les officiers de la Navy sont restés étrangement calmes. Ce comportement m’incite à penser qu’ils savaient ce à quoi ils étaient confrontés. Ils semblaient savoir à quoi correspondait cet engin et j’ai même l’impression qu’ils avaient peut-être établi une communication avec ceux qui le pilotaient. L’objet a finalement atterri sur la rive droite du Lagoon Anones qui est au centre du site de bombardement. Comme il faisait nuit et que nous étions à environ deux miles du Cerro Matias, nous n’avons pas pu voir si quelqu’un est entré ou sorti de l’engin. Nous n’avions pas de jumelles et nous n’avions pas le droit de monter dans les tourelles d’observation. En fait les seuls à posséder des jumelles, des jumelles à infrarouge, c’était les officiers de la Navy. S’il y a eu du mouvement là-bas, autour de l’engin, ils ont dû le voir. Tout ce que je sais, c’est qu’on ne nous a jamais expliqué pourquoi nous n’avions pas le droit d’utiliser ces jumelles à infrarouge. Tout cela, et notamment leur comportement face à une telle situation, semble indiquer que ces hommes savaient que ce genre de “choses” arrivait ou pouvait arriver dans cette zone.
Une chose est sûre, l’engin était énorme. Nous étions à une distance de trois kilomètres et même à cette distance il semblait faire 10 à 15 mètres de diamètre. Il était donc très grand. Je dois dire que sa taille m’a beaucoup impressionné. Nous ne savons pas si les officiers sont descendus jusqu’à l’objet. Evidemment, quand nous sommes revenus au travail le lendemain matin, l’ovni n’était plus là. Nous avons voulu faire un tour sur le lieu de l’atterrissage mais des hauts gradés de la Navy présents nous l’ont interdit. Nous nous sommes donc abstenus par peur des représailles car nous risquions vraiment de perdre notre travail. Du coup, nous n’avons même pas osé poser des questions sur l’incident. Il est notoire que la Navy n’aime pas les gens bavards et qui posent des questions. Au moment d’être engagés, nous avions signé des clauses de confidentialité vis-àvis de tout ce que nous pourrions voir pendant nos heures de travail. Si vous posiez des questions, ils vous harcelaient et pouvaient vous renvoyer. Aussi nous n’avons pas dit un mot et nous avons tout gardé pour nous. Nous ne discutions de cet évènement qu’entre nous et nous attendions pour cela que les officiers soient absents.”
2me témoignage de Mr Camacho
Lors d’une autre rencontre, Mr Camacho confie à Jorge Martin qu’il a ététémoin d’un autre événement extraordinaire se déroulant au Cerro Matias. Ce matin-là, il était avec son collègue, le père du maire de Vieques, l’Honorable Damasco Serrano. Les deux hommes ont vu un curieux objet se déplaçant très vite à la surface de la mer. Intrigués, ils ont pris un véhicule et se sont rendus à El Yayi aussi vite qu’ils ont pu. Cette hauteur représentait un poste d’observation idéal. “C’était quelque chose de très rapide sur la surface de l’eau, raconte Mr Camacho. Nous n’avons pas pu l’identifier. Ce n’était ni un bateau, ni un sousmarin, rien de ce que l’on connaît. Cela semblait transparent, comme si c’était composé d’une matière cristalline ou translucide. Cela ne faisait aucun bruit. Nous n’avons pu voir aucun équipage à l’intérieur et l’engin ne laissait aucune trace derrière lui. Finalement il a disparu vers l’Est. Je ne peux écarter la possibilité d’une sorte de prototype marin de la Navy, ou d’une sorte de nouvelle arme en test. C’était peut-être même un vaisseau furtif. Mais pour moi cela n’avait rien à voir avec tout ça. C’était quelque chose que je ne peux toujours pas expliquer.” Quelques jours plus tard, un matin vers 9 heures, Mr Camacho conduisait le camion citerne vide d’eau depuis le Cerro Matias. Il devait le remplir en contrebas au Camp Garcia puis revenir. A un endroit nommé Cerro Tamarindo, il a vu quelque chose qui a traversé la route à grande vitesse. “Cela avait une forme humanoïde, semilumineuse d’environ 1m 80. Il avait une tête, des bras, des jambes. Il a traversé la route très vite de droite à gauche et il est entré dans des buissons. Mais ce qui est étrange, c’est que vous pouviez le voir bouger très vite par séquences fragmentées, un peu comme lorsque vous voyez des mouvements affectés par une lumière stroboscopique, cette sorte d’effet... Quand j’ai vu cela, je suis vite parti ne sachant pas trop ce que je risquais. Une fois au Camp Garcia j’ai rempli la citerne d’eau et puis je suis retourné au Cerro Matias. Sur le chemin du retour, je me suis arrêté là où j’avais vu la créature et j’ai regardé partout.
Je suis finalement tombé sur une zone de buissons écrasés de façon circulaire, comme si quelque chose de lourd s’était posé là. Il n’y avait pas de traces menant au cercle ou en sortant. Ce qui avait écrasé les buissons ne pouvait venir que du ciel. Avais-je surpris quelque chose en passant la première fois avec mon camion ? Plus tard, je suis revenu sur place avec un de mes collègues, Pablo Delerme. Ensemble nous avons examiné le cercle de buissons écrasés. Mais nous n’avons rien trouvé d’autre.”
Il faut savoir que Mr Camacho est un vétéran de la Guerre du Golfe. Lors d’un autre entretien avec notre ami journaliste et chercheur Jorge Martin, il a prétendu avoir vu à plusieurs reprises, depuis ce Poste d’observation n°1, de nombreux globes de lumière blanche, venant du ciel et atterrissant au lagoon de Puerto Diablo. D’autres personnes ont pu corroborer son témoignage car à chaque fois, il se trouvait en compagnie de plusieurs collègues. Ces globes de lumière restent visibles d’une demi-heure à une heure entière, grossissant puis rapetissant jusqu’à disparaître. À chaque fois, les consignes sont très claires. Ordre est donné au personnel de la Navy de ne pas regarder ces choses que l’on présente comme des expériences laser. Mais personne n’y croit, pas même les ingénieurs… Mr Camacho est très loin d’être le seul à rapporter de tels témoignages. Jorge Martin en a d’ailleurs recueillis des centaines uniquement pour cette zone, que ce soit au sujet d’observations d’ovnis ou pour rapporter la rencontre avec d’étranges créatures circulant dans la jungle. Certains cas sont réputés très sérieux. Il y a notamment le cas de Mr Reynaldo Calzada qui a été superviseur des gardes de sécurité des bases de la Navy à Vieques pendant 30 ans. Il y a aussi ceux de Mr Regalado Pérez, de Gerardo Santiago et de bien d’autres. Nous aurons l’occasion d’y revenir. Sachez que cela n’arrive pas seulement dans la petite île de Vieques mais bien un peu partout dans la plus grande île de Puerto Rico. Ainsi, par exemple, existe-t-il des témoignages similaires ayant pour décor le grand observatoire astronomique d’Arecibo, observatoire qui appartient à l’université de Cornell.
Ovni au-dessus d’Arécibo
Ainsi, il y a le témoignage de l’officier Pedro Pérez en 2005. Cet homme affirme avoir vu pendant qu’il conduisait sa voiture sur la route 635 “…un artefact volant très bizarre…” qui sortait de la zone du Radio Observatoire d’Arecibo et se dirigeait vers le village de Lares. Pedro Pérez était en compagnie de son fils. Tous deux ont vu un grand objet silencieux suspendu dans le ciel dans la partie Sud de l’Observatoire. Ce qui est extraordinaire, c’est que l’objet était parfaite ment lisse, une énorme boule métallique argentée, sans aucune structure visible, fixe et sans mouvements dans le ciel. Au bout d’un moment, l’anomalie a repris sa route… Un autre officier, José Vélez, déclare qu’il est fréquent de voir des sphères lumineuses légèrement bleuâtres s’approcher de l’Observatoire. Elles restent stationnaires au-dessus de la zone, diminuant et augmentant leurs tailles. José Vélez pense que ces modifications apparentes sont dues à des effets d’optique et qu’en fait les objets s’approchent ou s’éloignent. Selon lui il s’agit forcément d’ovnis. En fait, il a définitivement renoncé à leur trouver une explication. Tout ce qu’il pense savoir, reconnaît-il, c’est que ces lumières agissent et se comportent sous le contrôle d’une intelligence.
Enfin, il est important que vous sachiez la chose suivante. En dépit du fait que les scientifiques de l’Observatoire continuent de nier l’existence du phénomène Ovnis, un mémo interne officiel, en date d’Octobre 1991, émanant de l’Agence de Défense Civile de l’État de Puerto Rico, aujourd’hui appelée Agence pour la Supervision des Urgences (Agencia para el Manejo de Emergencias) et qui avait alors pour Directeur le Colonel José A. M. Nolla, signalait clairement que “du personnel du Radio Observatoire était en train de participer à une étude secrète menée par différentes agences militaires et de sécurité ainsi que par différentes agences de l’état, en relation avec le taux élevé d’événements de type Ovnis ayant affecté l’île.” Ce mémo souligne même emphatiquement que ce qui se passait à Puerto Rico est “…quelque chose de véritable…” “era algo verdadero.” Apparemment ce “quelque chose” continue !
RENCONTRES EXTRATERRESTRES DANS LA FORÊT D’EL YUNQUE
Nous allons parler de la grande île de Puerto Rico et plus particulièrement d’une zone où se déroulent des évènements parmi les plus spectaculaires. Ici, enlèvements de personnes, arrivées massives d’ovnis, rencontres avec des humanoïdes, sont autant de phénomènes récurrents, corroborés par une multitude de témoins dignes de foi. Ce “point chaud” du globe où ont lieu tant d’événements extraordinaires se trouve dans la forêt Tropicale Nationale de El Yunque. C’est une véritable forêt “enchantée”, magique et sauvage qui s’apparente à plus d’un titre au “Xanadu” du célèbre Coleridge comme tient à le souligner l’ufologue hispanique Scott Corrales.
La forêt de El Yunque
Mais tout d’abord voici quelques considérations intéressantes pour essayer de cerner la problématique que représente la forêt de El Yunque. Les forêts tropicales représentent 2% de la superficie de la Terre, or nous en avons déjà perdu plus de la moitié. El Yunque contient 90.000 des 250.000 espèces de plantes identifiées dans le monde. Elle contient également 240 espèces d’arbres réparties en 4 forêts distinctes. D’après les experts, il se trouverait là-bas 30.000 espèces végétales non encore identifiées. Comme vous le verrez plus loin dans l’article, ce “détail” a son importance et il pourrait bien expliquer certains faits étranges qui se déroulent là-bas. La forêt de El Yunque se trouve à 49 km seulement de la capitale San Juan de Puerto Rico. Comme on l’imagine, cette forêt inextricable est extrêmement humide, 4 à 8 M de pluie à l’année. Elle est pratiquement en permanence baignée de bancs de brumes. Il faut savoir aussi que c’est une des premières Réserve Naturelle officielle mondiale puisque dès 1876 le roi Alphonse XII d’Espagne désigna 12 000 de ces acres comme Réserve protégée. Ce lieu est donc fortement préservé et ce depuis bien longtemps. Le nom “Yunque” vient de la langue des Indiens Taïnos et est traduit par “Sacré” et est apparenté au mot Taïno : “Yukiyu” qui représente le Dieu du Bien. On trouve également au cœur de cette forêt de remarquables et curieux pétroglyphes et quelques très grosses pierres monolithes gravées.
Dans la nuit du 20 octobre 1973, 9 campeurs : des élèves conduits par trois adultes décident de monter sur la montagne de El Yunque pour essayer d’établir un contact avec d’éventuels ovnis et leurs occupants. Ils se préparent à passer la nuit la plus inoubliable de leurs vies… Le chef du petit groupe, Mr Heriberto Ramos, raconte qu’à un moment de l’ascension du mont sur une pente très étroite au milieu de la jungle ils ont rencontré trois personnes qui descendaient. Petit “détail” troublant, les trois hommes portaient exactement les mêmes vêtements, comme des survêtements quelconques, et ils avaient exactement les mêmes traits et la même apparence… pour le reste ils avaient l’air “normaux” !
Un des campeurs qui était à l’arrière du groupe a pris alors deux photos, une de son groupe devant lui en train de peiner à monter, et l’autre des trois personnes disparaissant à l’arrière. Au développement nos campeurs n’ont trouvé que deux masses brumeuses sur les clichés… Un peu plus tard, quand ils ont stoppé pour s’installer pour la nuit, ils se sont soudain retrouvés cernés par cinq créatures vaguement humanoïdes sortant des épais fourrés. Ces êtres dotés de griffes n’étaient pas du tout rassurant. L’un d’eux leur bloquait le passage vers le seul refuge possible, leurs voitures. Rappelons que la pente étroite était bordée d’un précipice. Une des créatures s’est mise à fixer Ramos intensément. Celui-ci a pu alors voir qu’il avait une tête triangulaire et des “yeux extraordinaires”. Il s’est approché. Très doucement, il a avancé en essayant de montrer ses intentions pacifiques. Finalement il a réussi à toucher la peau de la créature. Elle n’était “ni froide ni comme du caoutchouc”. Mais à ce moment là un des campeurs paniqué a allumé une puissante lampe torche dans leur direction. La créature s’est enfuie aussitôt, s’enfonçant carrément dans la végétation. Puis, d’une façon incroyable, elle est réapparue juste à côté de celle qui bloquait le chemin. Pendant des heures les campeurs ont été entourés et bloqués par ces êtres qui bougeaient sans cesse autour d’eux. Le campeur qui avait braqué la torche a été pris d’un irrépressible besoin de se frapper la tête de manière répétitive. Puis il s’est enfui. Un autre, paniqué lui aussi, s’est enfoncé en courant dans la jungle.
Le voyant faire, et comprenant le danger d’un tel comportement, un troisième campeur l’a suivi pour le protéger d’une possible chute. Au bout d’une douzaine de pas, les deux hommes ont alors trouvé sur le sol une sorte d’objet ovoïde lumineux, poly chromatique. Ils n’ont pas osé le toucher. Finalement ils sont retournés sur leurs pas et ils ont rejoint le groupe toujours bloqué par les créatures. Au bout d’un long moment, ils se sont rendu compte de la présence d’un curieux objet flashant dans la main d’une des créatures. Était-ce un dispositif hypnotisant ? Toujours est-il qu’ils sont restés bloqués et entourés jusqu’au petit jour. Alors les créatures ont disparu. Comme on s’en doute, les campeurs se sont tous rués vers les voitures. Ils sont revenus un peu plus tard avec d’autres personnes pour photographier et prendre au plâtre les empreintes de pas des créatures qui étaient plus larges que des empreintes humaines et beaucoup plus profondes. Leur récit a rapidement fait le tour de l’île, et trois mois plus tard, le bureau où se trouvaient les plâtres et les photos ont été fracturées par des inconnus. Tout le matériel a été dérobé …
Les indiens Taïnos
Que savons-nous des indiens Taïnos ? On trouve d’importantes traces des tribus Taïnos de 450 à 600 ans après J-C. Mais les Taïnos en tant que tribus d’indiens Caraïbes remonteraient selon certains spécialistes à au moins 6000 ans avant J-C et seraient apparentés directement aux Mayas qui se sont d’ailleurs déplacés plusieurs fois sur l’île en leur temps pour visiter les lieux sacrés de El Yunque. La culture Taïno est extrêmement riche en particulier leur vision du cosmos et leur histoire dite spirituelle. Leur conception du monde consiste en un centre d’origine appelé Yaya entouré de trois cercles concentriques Yayael, Demin, et Guahayana. Le premier cercle représente la dualité sous toutes ses formes (positif, négatif, haut, bas etc…). Le second cercle représente les aspects astronomiques, les saisons, la météo, le temps des récoltes etc… Le troisième cercle représente l’union des opposés : féminin, masculin, feu et eau etc…
Dans leur cosmogénèse à la fois complexe et très précise, on trouve la caverne mythique de leur origine opposée à la “calebasse d’où sort la mer et qui est reliée à la funeste étoile polaire”. On trouve également “Les Pléiades reliées à l’eau et opposées à Orion qui est relié au feu”. Enfin on trouve aussi “La rébellion des êtres venus de Vénus”… La culture Taïno est donc fortement imprégnée des étoiles. Elle est aussi marquée par une préoccupation majeure directement liée à ces dernières, comme si les Taïnos étaient en proie à une angoisse permanente et voulaient se protéger d’anciens combats cosmiques. Vous comprendrez combien cette obsession est évidente en observant attentivement leurs pétroglyphes et inscriptions. La mythologie des Taïnos comporte de nombreux “Dieux”. Il en est un notamment, “Opiel Guabiron”, qui est à moitié chien et à moitié humain. Il est le gardien des portes du monde souterrain. Cette sorte d’Anubis (toujours les chiens psychopompes, gardiens et guides du monde souterrain) garde la porte Guacava qui s’ouvre sur la grotte du merveilleux monde de Coabey. On reconnaît que l’on est presque arrivé à cette porte lorsqu’on voit “Mucaro”, l’aigle nocturne (sorte d’invité), qui est le messager d’Opiel Guabiron. Il ne vous laisse pas entrer si vous n’êtes pas digne et que “votre esprit n’est pas bon”…
Une population encore très active
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Re: Puerto rico, une île sous haute surveillance?
Il reste aujourd’hui quelques rares indiens Taïnos à Puerto Rico dont quelques chamans toujours actifs. Cependant en dépit de cette modeste présence apparente, une étude faite par les Américains sur l’ADN Portoricain a prouvé qu’en réalité, il y avait encore beaucoup de gènes Taïnos “éparpillés” dans la population insulaire très métissée… Cette étude génétique est-elle le signe que cette origine est sous haute surveillance et intéresse de près les autorités américaines ? Curieux quand même… Il faut vous raconter en passant une incroyable anecdote véridique. C’est l’homme-médecine des Taïnos actuels : Don Carmello qui aurait réussi à repousser, avec certes, le soutien de la population et d’activistes nationalistes, les velléités d’installation d’une base militaire américaine sur une portion du territoire Taïno le plus sacré. Don Carmello avait une botte secrète. Il sait parler aux abeilles. Nuit et jour il envoya des escadrons d’abeilles qui attaquèrent sans répit les responsables du projet, et même le DDT ne put rien y faire. En dépit de toutes les mesures prises, il y avait toujours de nouvelles abeilles pour attaquer… Finalement le projet fut stoppé en quelques semaines.
L’actualité ufologique, celle des observations d’ovnis, des disparitions et des contacts avec d’éventuels ET se concentre à Puerto Rico, principalement à El Yunque, et dans deux autres zones, la petite île de Vieques et la zone de Lajas avec les supposées bases sous-marines dont nous avons déjà parlé dans les articles précédents. Pour vous donner une petite idée de l’ampleur de la situation, ce petit pays est le théâtre de si fréquents événements inhabituels qu’on y a instauré une Journée Nationale Ovnis, édifié une route départementale “ET”, et que des “campements Ovnis” sont souvent organisés la nuit en pleine nature par des associations dans l’espoir de faire des observations et même d’obtenir des contacts. Sans parler des multiples conférences sur ce thème qui ont lieu toute l’année, dont celles du fameux Professeur Reinaldo Rios qui défrayent la chronique…
En dépit de ce que pourrait laisser croire cet engouement, certains événements ont une teneur fortement dramatique comme le nombre inquiétant de personnes qui disparaissent chaque année dans la jungle de El Yunque sans laisser aucune traces et sans qu’aucune explication ne soit jamais trouvée. $On ne peut évidemment pas s’empêcher de relier ces disparitions aux très nombreuses apparitions d’ovnis. Il y a eu en effet deux vagues intenses d’observations qui ont d’ailleurs provoqué la panique dans la population. Ces deux vagues d’ovnis ont fait l’objet de nombreux documentaires TV. La première vague a eu lieu en 1974, comprenant également des mutilations de bétail et même des apparitions mariales, la seconde s’est déroulée en 2005.
Rencontres étranges
Dans le courant de l’année 1974, le professeur Federico Alvarez invité dans la série d’émissions de notre ami Jorge Martin : “Apparitions à El Yunque” de la radio WSKN, a fait part d’une expérience inouïe. Désireux de savoir la vérité sur ces “apparitions” dans cette jungle, Federico Alvarez était parti sceptique, en pleine nuit, le 25 mai 1974, avec un groupe d’étudiants. Alors que toute l’équipe suivait un sentier en voitures, tous feux éteints, soudain ils ont vu un être très grand traverser devant eux. Aussitôt les étudiants sont descendus de voiture et ils se sont lancés à sa poursuite, en pleine forêt. Ils ne l’ont jamais rattrapé. La seule chose qu’Alvarez a pu remarquer, c’est que le sentier qu’ils venaient de parcourir était fraîchement défriché et qu’il ne devait pas exister une heure auparavant… Ce chemin menait à un dégagement sur un promontoire au-dessus d’un précipice d’où l’on pouvait voir au loin les lumières de la capitale. Mais aucune trace du fuyard… Ils ont décidé alors de s’installer en haut d’une petite tour d’observation “Yokah”.
Par prudence, ils ont installé un dispositif de bidons d’aluminium en bas de l’escalier d’accès pour être prévenus en cas d’intrusion. Entre 1h30 et 1h45 du matin, les bidons ont commencé à tinter. Ils sont descendus et ils ont alors vu les bidons qui bougeaient comme poussés par une force invisible. Vers 2h du matin, alors qu’ils étaient encore en train de discuter pour savoir s’il fallait quitter les lieux, ils ont vu arriver entre deux pics voisins un énorme ovni ovale d’environ 100 mètres de diamètre. L’ovni est resté suspendu pendant au moins cinq minutes à la vue de tous puis il est reparti derrière un des monts. Il se trouve qu’on a pu observer assez souvent des coupures de courant aux alentours de 2h du matin. Les habitants des petites localités proches d’El Yunque se sont souvent plaints de ces coupures inexpliquées. Beaucoup racontent avoir vu au même moment de nombreux ovnis comme “entrant” par le sommet des montagnes couvertes de jungle. À chaque fois des vibrations au sol sont rapportées par les témoins.
Un autre témoignage très intéressant est celui de l’officier E. Chamblin, militaire de profession vivant à Luquillo, et retiré à cause d’une lésion. Celui-ci est un passionné de la forêt tropicale et il passe son temps libre à l’explorer avec ses amis. Un jour qu’il parcourait le secteur Nord-Est de la jungle, le secteur : Pitahaya. Il s’est trouvé soudain face à une créature. Celle-ci semblait étudier une plante avec “beaucoup d’attention et de délicatesse”. Ce détail a son importance, car cela recoupe de nombreux témoignages. Ces êtres semblent très intéressés par certaines plantes. Comme nous le soulignons au début de cet article, la forêt tropicale d’El Yunque est un des réservoirs naturel de cette planète où l’on trouve des espèces végétales très rares qui n’existent nulle part ailleurs. Beaucoup d’experts à Puerto-Rico avancent l’hypothèse que la venue de ces êtres serait liée à la nécessité pour eux d’obtenir certaines plantes rares et cela peut-être même pour des raisons de survie. Cette thèse est également avancée au Brésil. Et cela paraît assez judicieux.
L’officier E. Chamblin a décrit ces êtres comme petits avec des yeux “verticaux”, des grosses têtes, des bras très maigres et une peau couleur crème et grisâtre couverte de taches brunes. La créature observait la plante de ses doigts fins en les approchant d’une feuille puis en s’arrêtant comme pour la sentir à distance. Elle s’est arrêtée brusquement en voyant l’officier qu’elle a fixé du regard. E. Chamblin a tourné un instant la tête pour voir si ses amis le suivaient et voyaient la même chose que lui. Mais quand il a retourné la tête, la créature n’était plus là…
Il existe une multitude de témoignages plus extraordinaires les uns que les autres et nous y reviendrons. Terminons avec celui des époux Julio César et Zaïda Rivera. Ce couple prenait des cours d’aviation en 1982. M. Rivera pilotait en cette fin d’année un petit avion en compagnie de sa femme. Leur route croisait le flanc Nord-Ouest des montagnes d’El Yunque, déviant petit à petit vers le Sud-Est. L’avion gardait une altitude de 400 mètres lorsque Zaïda a vu quelque chose d’étrange dans le paysage. C’était un objet lumineux volant qui laissait comme une étoile de lumière derrière lui. Elle a juste eu le temps de le photographier avant qu’il ne disparaisse.
Une fois la pellicule développée, la photo montrait juste une traînée lumineuse indiquant le mouvement et la vitesse de l’objet. Julio César a expliqué qu’au moment de la prise, il n’avait reçu aucune instruction de la part des contrôleurs aériens lui signalant un quelconque transit dans cette zone. Selon lui, cet objet ne venait pas non plus de la base militaire de Roosvelt roads parce que si cela avait été le cas leur petit avion n’aurai pas reçu la permission de voler aussi près. D’autre part la vitesse incroyable de l’objet n’était comparable à aucun autre avion. Julio César a ajouté que l’engin n’avait même pas d’ailes. L’ovni a été pris juste à côté du pic de l’Est sur lequel se trouve d’ailleurs un système sophistiqué de radars de la Navy. “C’est sûr qu’ils l’ont capté” affirme le mari de Zaïda. Et il poursuit : “Il se passe quelque chose de très important à El Yunque. Je connais beaucoup de personnes vivant dans cette zone et qui ont vécu des expériences marquantes. Je connais des cas d’atterrissages d’ovnis dans la zone de Yuquiyu et une personne qui non seulement déclare avoir rencontré des sphères de lumière dans la forêt mais raconte aussi y avoir rencontré des êtres bizarres. Ce témoin était en haut du mont dans sa voiture avec des amis. Juste avant de voir passer ces êtres, les portes de leur véhicule s’ouvraient toutes seules chaque fois qu’ils les refermaient en les verrouillant. Les portes se déverrouillaient puis s’ouvraient de nouveau !…”
La connexion “El Yunque et site sacré très ancien” est aussi très intéressante. Il serait intéressant de se demander pourquoi les sites dits préhistoriques, mégalithiques et sacrés sont généralement des sites très visités par les ovnis et sur lesquels circulent toutes sortes de légendes ou récits de visites régulières de créatures qui viendraient depuis très longtemps… Nous reviendrons dans le prochain article sur la forêt d’El Yunque et nous évoquerons entre autres le mystère des crânes de pierre que l’on y trouve.
Des humanoïdes en pleine rue
En août 1992, Madame Soraya Collazo, ses trois fils, Didier, Gabriel et Saudi, sa fille et ses voisins, habitant dans le quartier résidentiel “Collines d’El Yunque” au bord de la forêt, ont vu marcher à cinq heures de l’après-midi au milieu de la rue, près de la jonction vers l’autoroute N°191, deux êtres dont la description correspond complètement à des “grands gris”. Un détail a notamment frappé les témoins : les deux créatures marchaient tranquillement pieds nus sur le goudron brûlant de la chaussée ce qu’aucun humain n’aurait supporté par 45° à l’ombre. Ils étaient vêtus de combinaisons blanches avec des bandes rouges. Des enfants se sont mis à les poursuivre à bicyclette à une distance raisonnable et Madame Soraya Collazo les a vus sauter brusquement dans les fourrés puis disparaître. Tous les nombreux témoins de cette scène ont été interrogés séparément, et ils ont tous raconté et dessiné la même chose.
Il y a d’ailleurs plusieurs témoignages similaires dans différentes zones autour d’El Yunque. Le 26 février 1991 vers 3h du matin deux policiers et leurs femmes ont fait une rencontre qu’ils n’oublieront jamais. Près du parking du service forestier et du kiosque à souvenirs, les policiers dont l’Officier Luis Torres et sa femme Margarita qui vivent à San Isidro dans la zone municipale de Canovanas ont vu deux êtres étranges, non loin d’eux descendant la route. Ils avaient cette fois toutes les caractéristiques de petits gris. Les policiers en ont d’ailleurs fait un dessin fidèle, ci-contre. Ces êtres portaient également une combinaison qui leur couvrait tout le corps excepté la face et les mains.
Ici nous avons décrit les phénomènes étranges que l’on rencontre dans la forêt tropicale de El Yunque située dans la grande île de Puerto-Rico, à 49 km à peine de la capitale San José. Cette forêt fait parler d’elle à plus d’un titre : El Yunque est d’abord un réservoir naturel à la biodiversité extrêmement précieuse pour l’humanité. S’étalant au Nord-est de Puerto Rico sur 11.331 hectares, culminant de 30 m à 1077 m au-dessus du niveau de la mer, recueillant 610 cm de pluie par an, fournissant l’eau potable à 30% de la population, El Yunque renferme en outre 146 espèces d’animaux dont de rares amphibiens, 66 espèces d’oiseaux très peu connus, lesquels coexistent avec 240 espèces d’arbres, 50 espèces d’orchidées locales, sans compter les espèces végétales encore non identifiées (30.000 selon les experts). Comme nous l’avons vu, El Yunque est également une zone privilégiée d’observations d’ovnis et de contacts étranges relatés par de nombreux témoins fiables dont des officiers de police, pilotes, militaires, professeurs, et ceci de façon permanente depuis très longtemps. C’est enfin un territoire sacré pour les indiens Taïnos. Dans l’article précédent nous avons évoqué la tradition de ce peuple qui garde en mémoire le souvenir d’anciens combats cosmiques et d’êtres venus d’ailleurs… La culture des Taïnos conserve aussi une vision du cosmos très spécifique et qui est retranscrite à travers de curieuses inscriptions, des pétroglyphes et des sculptures. Autant d’éléments qui pourraient alimenter les fondements archéologiques d’une ancienne présence alien dans cette zone. Ce n’est d’ailleurs certainement pas pour rien que les indiens Taïnos appellent El Yunque “les montagnes où vécurent les Dieux”.
Il y a un endroit dans cette forêt qui attire tout particulièrement notre attention. Il s’agit de “Rio Grande” appelé aussi “Rivière de l’Esprit Saint”. Le drapeau de la région montre un perroquet portoricain (“Amazonia vittata vittata”, une espèce en danger) qui vit uniquement dans les monts d’El Yunque. La bande verte représente la rangée de pics culminant avec le Pico del Este (Pic de l’Est) qui se trouve dans la juridiction de Rio Grande, tandis que la bande bleue représente la rivière Espiritu Santo et la ville portant ce même nom. C’est dans cette zone qu’ont été retrouvés des “Cemis” enterrés.
Ce sont des anciennes sculptures Taïnos en poterie, pierres ou bois dont on ne connaît ni l’utilité ni la véritable fonction. Certains archéologues pensent qu’il s’agit sans doute d’idoles de la fertilité, à cause de l’ouverture ronde dans la partie ventrale. Pourquoi pas. Cependant ces objets, si on les tient horizontalement, sont extrêmement plats avec une petite pyramide-dôme sur le dessus et une ouverture ventrale. Quand ils ont un visage et des pieds, ce sont des représentations d’êtres volant ou planant comme dans les photos ci-dessous. Etrange non ? Dans une grotte proche de la rivière Espiritu Santo, Mr Junior Luyando, restaurateur de son état aurait même retrouvé lors d’une de ses nombreuses explorations, deux grosses têtes en granit pour le moins curieuses parmi des objets indiens Taïnos. L’une représente un crâne de pierre, allongé avec deux immenses globes oculaires, une bouche minuscule sans lèvres et sans lobes auriculaires, juste une incision et ressemble de façon frappante aux têtes d’humanoïdes (genre “petits gris”) que de nombreux témoins ont aperçu un peu partout dans la forêt. L’autre est assez similaire sauf qu’il n’a pas de mâchoire inférieure.
Notre ami Jorge Martin a eu la chance avec son équipe de voir ces crânes et il a pu les photographier. Peu de temps après, Mr Luyando lui a raconté les visites insistantes d’Américains du Service Forestier Fédéral. Ces derniers le harcelaient pour savoir où se trouvait la fameuse grotte de ses découvertes. Ils ont voulu lui acheter les crânes de pierre et ont même fini par lui présenter des chèques en blanc afin qu’il écrive la somme lui-même. Mr Luyando est un protecteur fidèle de la culture Taïno, et rien n’aurait pu le contraindre à vendre ses pierres ou à révéler l’endroit exact de la caverne. Pourquoi vouloir absolument se procurer ces objets ? Peut-être pour éviter que le public n’en prenne connaissance… ? Quoi qu’il en soit, ces crânes semblent attester que la culture très ancienne des Taïno-Arawak connaissait l’existence de tels êtres.
Des humanoïdes en pleine rue
En août 1992, Madame Soraya Collazo, ses trois fils, Didier, Gabriel et Saudi, sa fille et ses voisins, habitant dans le quartier résidentiel “Collines d’El Yunque” au bord de la forêt, ont vu marcher à cinq heures de l’après-midi au milieu de la rue, près de la jonction vers l’autoroute N°191, deux êtres dont la description correspond complètement à des “grands gris”. Un détail a notamment frappé les témoins : les deux créatures marchaient tranquillement pieds nus sur le goudron brûlant de la chaussée ce qu’aucun humain n’aurait supporté par 45° à l’ombre. Ils étaient vêtus de combinaisons blanches avec des bandes rouges. Des enfants se sont mis à les poursuivre à bicyclette à une distance raisonnable et Madame Soraya Collazo les a vus sauter brusquement dans les fourrés puis disparaître. Tous les nombreux témoins de cette scène ont été interrogés séparément, et ils ont tous raconté et dessiné la même chose.
Il y a d’ailleurs plusieurs témoignages similaires dans différentes zones autour d’El Yunque. Le 26 février 1991 vers 3h du matin deux policiers et leurs femmes ont fait une rencontre qu’ils n’oublieront jamais. Près du parking du service forestier et du kiosque à souvenirs, les policiers dont l’Officier Luis Torres et sa femme Margarita qui vivent à San Isidro dans la zone municipale de Canovanas ont vu deux êtres étranges, non loin d’eux descendant la route. Ils avaient cette fois toutes les caractéristiques de petits gris. Les policiers en ont d’ailleurs fait un dessin fidèle, ci-contre. Ces êtres portaient également une combinaison qui leur couvrait tout le corps excepté la face et les mains.
Ici nous avons décrit les phénomènes étranges que l’on rencontre dans la forêt tropicale de El Yunque située dans la grande île de Puerto-Rico, à 49 km à peine de la capitale San José. Cette forêt fait parler d’elle à plus d’un titre : El Yunque est d’abord un réservoir naturel à la biodiversité extrêmement précieuse pour l’humanité. S’étalant au Nord-est de Puerto Rico sur 11.331 hectares, culminant de 30 m à 1077 m au-dessus du niveau de la mer, recueillant 610 cm de pluie par an, fournissant l’eau potable à 30% de la population, El Yunque renferme en outre 146 espèces d’animaux dont de rares amphibiens, 66 espèces d’oiseaux très peu connus, lesquels coexistent avec 240 espèces d’arbres, 50 espèces d’orchidées locales, sans compter les espèces végétales encore non identifiées (30.000 selon les experts). Comme nous l’avons vu, El Yunque est également une zone privilégiée d’observations d’ovnis et de contacts étranges relatés par de nombreux témoins fiables dont des officiers de police, pilotes, militaires, professeurs, et ceci de façon permanente depuis très longtemps. C’est enfin un territoire sacré pour les indiens Taïnos. Dans l’article précédent nous avons évoqué la tradition de ce peuple qui garde en mémoire le souvenir d’anciens combats cosmiques et d’êtres venus d’ailleurs… La culture des Taïnos conserve aussi une vision du cosmos très spécifique et qui est retranscrite à travers de curieuses inscriptions, des pétroglyphes et des sculptures. Autant d’éléments qui pourraient alimenter les fondements archéologiques d’une ancienne présence alien dans cette zone. Ce n’est d’ailleurs certainement pas pour rien que les indiens Taïnos appellent El Yunque “les montagnes où vécurent les Dieux”.
Il y a un endroit dans cette forêt qui attire tout particulièrement notre attention. Il s’agit de “Rio Grande” appelé aussi “Rivière de l’Esprit Saint”. Le drapeau de la région montre un perroquet portoricain (“Amazonia vittata vittata”, une espèce en danger) qui vit uniquement dans les monts d’El Yunque. La bande verte représente la rangée de pics culminant avec le Pico del Este (Pic de l’Est) qui se trouve dans la juridiction de Rio Grande, tandis que la bande bleue représente la rivière Espiritu Santo et la ville portant ce même nom. C’est dans cette zone qu’ont été retrouvés des “Cemis” enterrés.
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Ce sont des anciennes sculptures Taïnos en poterie, pierres ou bois dont on ne connaît ni l’utilité ni la véritable fonction. Certains archéologues pensent qu’il s’agit sans doute d’idoles de la fertilité, à cause de l’ouverture ronde dans la partie ventrale. Pourquoi pas. Cependant ces objets, si on les tient horizontalement, sont extrêmement plats avec une petite pyramide-dôme sur le dessus et une ouverture ventrale. Quand ils ont un visage et des pieds, ce sont des représentations d’êtres volant ou planant comme dans les photos ci-dessous. Etrange non ? Dans une grotte proche de la rivière Espiritu Santo, Mr Junior Luyando, restaurateur de son état aurait même retrouvé lors d’une de ses nombreuses explorations, deux grosses têtes en granit pour le moins curieuses parmi des objets indiens Taïnos. L’une représente un crâne de pierre, allongé avec deux immenses globes oculaires, une bouche minuscule sans lèvres et sans lobes auriculaires, juste une incision et ressemble de façon frappante aux têtes d’humanoïdes (genre “petits gris”) que de nombreux témoins ont aperçu un peu partout dans la forêt. L’autre est assez similaire sauf qu’il n’a pas de mâchoire inférieure.
Notre ami Jorge Martin a eu la chance avec son équipe de voir ces crânes et il a pu les photographier. Peu de temps après, Mr Luyando lui a raconté les visites insistantes d’Américains du Service Forestier Fédéral. Ces derniers le harcelaient pour savoir où se trouvait la fameuse grotte de ses découvertes. Ils ont voulu lui acheter les crânes de pierre et ont même fini par lui présenter des chèques en blanc afin qu’il écrive la somme lui-même. Mr Luyando est un protecteur fidèle de la culture Taïno, et rien n’aurait pu le contraindre à vendre ses pierres ou à révéler l’endroit exact de la caverne. Pourquoi vouloir absolument se procurer ces objets ? Peut-être pour éviter que le public n’en prenne connaissance… ? Quoi qu’il en soit, ces crânes semblent attester que la culture très ancienne des Taïno-Arawak connaissait l’existence de tels êtres.
Les témoignages de Mme Rivera
Comme vous le savez, on ne rencontre pas que la nature et des objets à El Yunque. C’est ainsi qu’il est arrivé une aventure étrange à Mme Mariana Rivera, âgée de 67 ans. L’incident s’est produit durant l’été 1984, alors qu’elle participait à un pique-nique familial à El Yunque avec sa belle-fille, ses nombreux petits-enfants et des amis. Vers 17h30 alors qu’ils descendaient la route 191 devant la chute d’eau d’“El coca”, les quatre voitures transportant les membres du pique-nique ont stoppé net, brusquement à cours d’électricité. Les hommes sont descendus pour essayer de comprendre d’où venait la panne. En vain. Il faut dire que quatre voitures qui tombent en panne en même temps c’est assez déroutant… Mme Rivera est sortie à son tour. Ses yeux ont alors été attirés vers la gauche par une sensation étrange. Juste là, à côté du torrent d’El Coca, elle a alors vu un petit être qui scrutait ce que faisaient les hommes autour des voitures. Comme elle le fixait abasourdie, il l’a regardé de ses grands yeux noirs élongés vers le haut. Il mesurait environ 1m 40, il était très maigre et sa peau était grise. Mais il était vêtu d’un vêtement très collant. Dès que leurs regards se croisèrent il s’échappa à une vitesse inouïe en remontant la cascade. Ce qui a le plus marqué Mme Rivera, c’est l’extrême sensibilité et intelligence du regard de la créature. Un regard qu’elle ne peut pas oublier. Le 31 janvier 1989, à 21h30, un autre “incident” est survenu à Mme Rivera. Ce soir-là, elle était en compagnie de Madame Elida Nieves résidente de Montbello, dans la zone de Rio Grande juste en face du pic “El verde” d’El Yunque.
Les deux femmes étaient en train de bavarder dans la maison lorsqu’elles ont soudain senti les murs vibrer. Elles se sont précipitées au balcon pour voir, car elles sentaient confusément que le phénomène était provoqué par quelque chose qui venait du ciel. Elles ont alors vu un énorme disque de couleur métallique entouré d’un halo lumineux, volant en zig-zag. L’engin semblait avoir un problème car il volait de façon saccadée. Il était juste au-dessus de leur zone d’habitation et pendant un court instant elles ont vraiment eu très peur qu’il ne s’écrase. Tout comme elles, d’autres personnes sorties des maisons se penchaient très inquiets pour observer cet étrange manège depuis leurs balcons. Finalement, l’ovni qui se dirigeait vers les monts d’El Yunque a commencé à s’envelopper d’un brouillard. Comme il était très proche, elles ont vu très distinctement que le brouillard émanait des bords même du disque. Il s’est donc enveloppé de nuage et il a disparu au sommet d’El Yunque. Madame Rivera a raconté qu’une autre fois, en été, elle a vu descendre du sommet d’El Yunque trois disques en formation parfaitement triangulaire qui suivaient sans bruit et à basse altitude la route d’infanterie n°65 pour aller à Rio Grande. Ses voisins présents à ce moment-là ont tous confirmé son témoignage. Il est intéressant de noter que depuis quelques années, sous le couvert de recherches sur les études de particules organiques atmosphériques, une cinquantaine de scientifiques du monde entier travaillant au projet RICO (“Rain In Cumulus Over the Ocean Exposure”) ont installé un matériel sophistiqué en haut de petites tourelles dans El Yunque. Ce dispositif est capable de mesurer un large spectre de la lumière : infrarouges, senseurs PARE light, filtres spectromètre de masse qui sont par ailleurs la même instrumentation qu’on utilise en observation scientifique d’objets volant non identifiés.
Le témoignage de Cecilia Perez
En juin 1977, Mlle Cecilia Perez, résidente à Hato Rey, visitait El Yunque avec son ami, dans la zone d’El Verde. Ils avaient garé la voiture sur une hauteur, dans le parking sur la route 186 près de la rivière Quebrada Grande, afin de pouvoir admirer la vue sur la ville en contrebas. Soudain à 18 h, Cécilia a observé une petite boule de lumière de la taille d’une balle de ping-pong. Celle-ci a fait deux fois le tour de la voiture. Surprise, elle a alerté son ami mais celui-ci a aussitôt attribué le phénomène à une luciole. Puis la boule de lumière est revenue, et cette fois elle a évolué autour d’eux encore plus lentement. Pour Cécilia il n’était plus question de luciole. Avez-vous déjà vu une luciole parfaitement sphérique, à la lumière stable et extrêmement forte de la taille d’une balle de ping-pong ? Cécilia s’est mise à ressentir une angoisse profonde ; doublée d’une impression d’être fortement observée. Elle a voulu partir mais son ami ne voulait rien entendre et plus elle insistait plus il se moquait d’elle. C’est alors qu’elle a vu derrière la voiture, dans les buissons, un petit être à la grosse tête qui les regardait. Son ami ne voulait toujours pas la croire mais comme elle était très nerveuse, il a fini par jeter un œil. À ce moment là, la petite créature grise s’est avancée vers eux, et il a pu la voir lui aussi. Comme elle continuait d’avancer, Cécilia s’est mise à crier et son ami, qui était policier, est devenu très nerveux à son tour. Il a sorti de sous son siège un 357 magnum et l’a braqué vers le petit être. Mais Cécilia s’est agrippée à lui en le suppliant de ne pas tirer. La créature en a alors profité pour s’enfuir. En proie à une peur indicible l’ami de Cécilia a démarré la voiture et il ne s’est arrêté qu’une fois arrivé tout en bas dans la ville de “Carolina”. Le lendemain il est tombé très malade et depuis il n’a plus jamais voulu remettre les pieds à El Yunque. Le couple s’est séparé par la suite. Selon Cécilia la raison principale de leur séparation tient dans la façon que son ami a eu de réagir. Pour elle, l’être n’avait pas l’intention de leur faire du mal. Peu de temps après l’évènement, elle avoua à Jorge Martin qu’en 1972 déjà, elle avait vécu une expérience similaire. Une expérience où elle s’était retrouvée en pleine nuit, sans savoir comment, à l’intérieur d’un ovni. Mais chose très importante, ses parents, Mr Rosario Perez et Mme Cela Torres, furent témoins d’une partie de cet événement. Ils furent en effet réveillés par un fort vrombissement en pleine nuit et allèrent de suite dans la chambre de leur fille. Ils n’arrivèrent pas à la réveiller immédiatement car elle semblait complètement paralysée. Alertés par le bruit, ils se rendirent jusqu’à la fenêtre de sa chambre et à leur grande surprise, ils virent une forte lumière bleutée dehors et un grand vaisseau en forme de boomerang s’éloignant au-dessus de Hato Rey.
Témoignage de Mr Luiz Lopez
A la fin de juin 1977, Mr Luis Lopez, sa femme Mme Leonides Maldonado et leurs trois enfants faisaient une excursion à El Yunque. Vers 10h 30 le mari et les enfants se dirigeant vers la rivière pour se baigner ont laissé Mme Leonides se reposer près d’une petite piscine dans le secteur du chemin Caimitillo qui monte au mont Britton d’El Yunque. Mme Leonides se reposait depuis un petit moment déjà, allongée dans l’herbe, profitant de la quiétude de l’endroit, lorsqu’elle s’est soudain sentie effrayée sans raisons. Elle se sentait épiée. C’est alors qu’elle a aperçu plusieurs petits êtres qui bougeaient derrière les frondaisons. À cet instant elle s’est sentie groggy. Comme si une force inconnue essayait de “s’emparer de son esprit”. Elle a résisté de toutes ses forces essayant même de se relever complètement pour courir rejoindre sa famille mais elle en fut incapable. Elle était comme paralysée. L’endroit grouillait de créatures et elle avait très peur. Cependant, elle ressentait qu’“ils” ne voulaient pas lui faire de mal. Elle a alors senti une forte chaleur et une vibration venant de l’intérieur de son propre corps, et elle s’est mise à lutter avec plus de détermination encore. Finalement elle a réussi à bouger puis à s’enfuir en direction de son mari et de ses enfants. Ceux-ci se sont mis à crier en le voyant. Ils désignaient du doigt les créatures derrière elle dans les buissons et pourtant elle n’avait encore rien dit. Ils avaient vu les petits êtres s’éloignant à toute vitesse dans le bois, preuve que Mme Leonides Maldonado n’avait pas rêvé.
PUERTO RICO / CHUPACABRAS
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Le parking dans les monts d’El Yunque.
Des milliers de témoignages de ce genre existent et ont été répertoriés par les groupes d’enquêteurs ufologues ainsi que les journaux de l’île. La population entière en parle et s’inquiète de plus en plus.
Chupacabras et autres créatures mystérieuses
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De nombreux témoins ont en effet rapporté des observations d’animaux parfaitement inconnus, sortes de créatures hybrides de plusieurs races tuant et massacrant des animaux d’élevage par centaines. Parmi ces créatures se trouvent naturellement les très fameux : “chupacabras” (en espagnol : “vampires de chèvres”). L’année 1995 a dénombré 2000 cas d’animaux morts, lapins, chèvres, oiseaux, bœufs, imputés à ces dangereux chupacabras. Plus d’une centaine d’attaques sauvages ont étés vues directement par des douzaines de témoins dignes de confiance ! Ces témoignages crédibles ont relégué dès cette année-là, le mythe aux oubliettes. Non seulement les éleveurs mais aussi la population, tout le monde s’est mis à vivre dans la peur. Certains maires, tel celui de Canovanas (à côté d’El Yunque), Mr José Soto, ont été obligé d’organiser la défense civile des lieux. Les autorités locales ont essayé d’attraper une de ces créatures en disposant des pièges autour d’El Yunque et dans la région de Cubuy. Parmi les témoignages directs, il y a celui de l’officier de police Luis Guadalupe, en octobre 1995. Le policier verra en effet, juste avant de rentrer dans son commissariat, une créature se déplaçant sur ses deux pattes comme un grand kangourou. La créature avait un air très menaçant au point que l’agent de police s’est senti obligé de sortir son arme. Il a tiré à plusieurs reprises et la bête a fini par s’éloigner à une vitesse incroyable, et escaladant les obstacles avec une agilité exceptionnelle. Un autre policier Juan Collazo, en compagnie d’un pompier, tire sur un autre chupacabra qui s’en prenait à un troupeau. Sans résultat. L’animal tue à une vitesse incroyable quelques bêtes en les laissant exsangues de leur sang. Il n’est d’ailleurs pas rare qu’un troupeau entier soit massacré et mutilé en quelques minutes comme ceux de la ferme de Radames Marin à Youco. Les vétérinaires comme le Dr chirurgien Soledad de la Pena sont perplexes, ils n’ont jamais vu ça. On connait quelques cas isolés mais étrangement similaires, qui ont été répertoriés l’année dernière dans le Nord Est de la France. Tandis que les gendarmes français démunis par la rareté des cas ont cherché en vain un sadique dans la région, à Puerto Rico, grâce au concours de la population et des maires, les enquêteurs sont arrivés rapidement à certaines conclusions. Le Dr vétérinaire Carlos Soto qui vit dans la région d’El Yunque et qui a vu un énorme boeuf tué en quelques secondes par un chupacabra, détermina lors de ses recherches que les morsures ne correspondent en rien aux morsures de prédateurs “habituels”.
Les prédateurs font des morsures où les deux mâchoires laissent des traces et des tissus endommagés, en serrant leurs victimes sur les deux côtés du cou. Dans le cas du chupacabra il y a une seule incision très profonde sur un seul côté de la gorge de la victime, il n’y a pas d’autres traces. De plus la victime d’un chupacabra semble comme hypnotisée mais n’a curieusement pas de “rigormortis”. On a pu évaluer la vitesse extraordinaire de déplacement du chupacabra en analysant un terrain boueux où se mêlaient les traces d’un chupacabra et d’un taureau qui s’était mis à courir en le voyant. Le chupacabra rattrapa le taureau en quelques secondes.
Nature et origine du Chupacabra
Certains historiens soulignent qu’en 1930 une bête énorme avait déjà sévie dans le new jersey et qu’n 1965 une autre terrorisait la ville de Mocca à Puerto Rico. Plusieurs hypothèses ont été avancées par le chercheur Bob Buck :
1) Les Chupacabras seraient des créatures crées génétiquement par des groupes paramilitaires dans un but de contrôle (ce que je doute fortement car les études génétiques a cette époque n’avait pas lieu)
2) Les Chupacabras seraient des animaux d’origine inconnue ayant évolué naturellement sur notre planète de façon plus ou moins cachée car vivant dans le système souterrain de cavernes, entre autres, à Puerto Rico, d’où des témoins en auraient vu sortir. Cela justifierait la fourrure très humide et brillante propre à une adaptation en milieu caverneux ainsi que les yeux rouges.
3) L’existence des Chupacabras seraient pour Bob Buck et Marc Davenport à juxtaposer avec un phénomène de multi-dimensionnalité. A l’image des Chupacabras qui ressemble à un mélange de plusieurs animaux à la fois. Le phénomène serait à juxtaposer avec une instabilité électromagnétique qui existerait en particulier à Puerto Rico. Les chercheurs rappellent que l’île se trouve à un des coins du fameux triangle des Bermudes. Pour eux si la couverture électromagnétique de la Terre et la force de gravité la rend stable et nous donne notre réalité, il existe des points de stress et de faiblesses sur notre globe dont la forêt d’El Yunque ferait partie
Chupacabras et ovnis
Très vite certains chercheurs ont fait le rapprochement entre l’observation d’ovnis et l’apparition de chupacabras. De fait, beaucoup de témoins d’ovnis ont vu des chupacabras peu après le passage d’un ovni, comme cet homme de Cano qui aurait vu un ovni larguant une grosse boîte au dessus d’El Yunque, à l’endroit même où de nombreux témoins allaient voir ces mystérieuses créatures.
Quoi qu’il en soit, les chupacabras semblent se multiplier à une vitesse alarmante. En quelques mois ils se sont disséminés dans 40 des 70 comtés de Puerto Rico. Des gens en ont vu jusqu’à 14 en même temps. Puis les témoins en ont vu en Floride, à Miami, au Texas et au Nord du Mexique. Aujourd’hui il y a des rapports de leur existence provenant de toute l’Amérique du Sud, principalement d’Amérique centrale, du Chili, d’Argentine, de partout où il y a beaucoup de bétails.
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Chupacabras et expériences génétiques
Pour certains enquêteurs, le Chupacabra serait le résultat de manipulations génétiques très sophistiquées menées par des agences. Après tout n’oublions pas qu’en 2003 des scientifiques chinois de l’université médicale de Shanghaï ont fusionné des cellules humaines avec des ovules de lapins laissant les cellules se développer plusieurs jours avant de détruire les embryons pour prélever les cellules mères. N’oublions pas aussi qu’en 2004 à la clinique Mayo du Minnesota les scientifiques ont créé des porcs irrigués par du sang humain. L’université de Stanford a quant à elle émit le souhait de créer des rats avec des cerveaux humains… N’oublions pas le savant Sino Russe, le Dr Tsian Kanchen, ayant fuit la révolution culturelle chinoise et ayant pris la nationalité russe en 1989, qui travaille depuis 1971 dans des recherches que certains qualifieraient d’effrayantes. Ses expériences se centrent sur les champs bios électromagnétiques et leurs relations avec les organismes vivants. Il à découvert notamment que l’information génétique peut se copier et se projeter sur un autre ADN en manipulant certaines ondes. Le Dr Tsian Kanchen capte le champ bioénergétique, électrique de l’ADN des organismes vivants et les transfère à d’autres organismes vivants. Cela signifie qu’il est en mesure de créer de nouveaux croisements d’animaux ou de plantes. Ne doutons pas que depuis 1974, ce scientifique a dû faire des progrès ! Finalement, nous n’en sommes peut-être qu’au début de la création d’un vaste zoo effrayant de mutants dans lequel le chupacabra finira lui-même par faire pâle figure.
Des chupacabras et autres spécimens capturés
Selon Jorge Martin deux spécimens de chupacabras auraient tout de même fini par être capturés. Deux laboratoires auraient effectué des analyses, un aux États–Unis et l’autre au Japon. Les Américains n’ont pas publié leurs résultats mais selon des Portoricains bien informés ceux-ci auraient donnés pour le sang “ un ratio de magnésium, phosphore, calcium et potassium beaucoup plus élevé que chez l’humain ou tout autre animal connu et ne correspondrait à aucune espèce connue”. Le Laboratoire japonais quant à lui, travaillant à partir d’un morceau de “cheveu” de chupacabra en provenance de Canovanas, récupéré en 1996 pour le compte du magazine japonais “Borderland”, a livré les résultats de ses analyses. Le laboratoire a conclu à : “une espèce inconnue sur terre mais ayant une très légère parenté avec le loup gris”. Or il n’y a pas de loup à Puerto Rico. Le plus curieux en tout cas, c’est que des centaines d’échantillons ont été envoyés à d’autres laboratoires de part le monde. La plupart de ces laboratoires n’ont pas fait part de leurs résultats et certains ont informé les autorités portoricaines qu’ils avaient perdu leurs spécimens. D’autres animaux très curieux ont été retrouvés à Puerto Rico tel l’oiseau avec les deux crocs. En fait cet oiseau (sans les crocs) est une espèce commune de la forêt d’El Yunque, mais un jour on en a retrouvé deux avec deux crocs creux similaires à ceux de serpents.
Les autorités américaines ont tout fait pour faire croire à un faux suggérant qu’on avait fixé dans la bouche du pauvre volatile deux ergots. Mais les oiseaux ont été vus et touchés par des douzaines de témoins dignes de foi et abondamment photographiés et filmés pour au moins l’un d’entre eux. La femme qui en avait trouvé un, et qui attendait comme tout le monde les résultats du laboratoire, fut finalement très déçue lorsque le scientifique en charge des analyses, au début très engageant, avoua ne plus vouloir communiquer sur le sujet, arguant qu’il avait été menacé. Alors Puerto Rico, île du “Dr Moreau” ?
Conclusion
Il y a une chose qui ne peut pas nous laisser de marbre dans tout cela. C’est qu’en dehors de toutes ces histoires, Puerto Rico est devenu le premier endroit pour la recherche en Biotechnologie des USA ! C’est actuellement le premier secteur économique de l’île. Quelle coïncidence étrange ! Non seulement les trois majeurs compagnies pharmaceutiques des USA y font toutes leurs recherches de pointe (pilot scale research) mais elles y fabriquent aussi. On dit que l’île de Puerto Rico constitue l’une des plus grosses concentrations mondiale en recherche biotech. J’ai compté rien de moins que 32 centres de recherches avancées, dont un énorme complexe en Sciences Moléculaires, travaillant en des domaines aussi variés que les neurosciences, la structure, la fonction, dynamiques des protéines, les primates, la recherche biomédicale, la microbiologie, la génétique, la bio-informatique, etc… Bref tout ce qu’il faut pour créer un monde ! La brochure de “Puerto Rico Biotechnology Alliance” affirme justement que la Biotechnologie qu’ils utilisent est conçue pour :
- “Faire ou modifier des produits”
- “Améliorer des plantes ou des animaux”
- “Développer des micro-organismes pour des usages spécifiques”.
No comment…
Vincent Guerene
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