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- Benjamin.dResponsable du forum
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Pourquoi certains ovnis ne sont pas Aérodynamiques?
Mar 16 Oct 2007, 17:34
Le véhicule préféré d'E.T. serait doté de la forme la plus rationnelle pour les voyages interplanétaires.
Telle est la surprenante déduction des travaux de Leik Myrabo.
Le 24 juin 1947, l'industriel américain Kenneth Arnold affirme avoir observé, en survolant les Montagnes Rocheuses, neuf objets de forme analogue à des presse-citrons lumineux. Le grand mythe des soucoupes volantes prenait officiellement naissance, pour le plus grand bonheur de Jimmy Guieu et des aficionados du forum alt.aliens.visitors.
Mais tandis que les témoignages se multipliaient,une question a rapidement traversé l'esprit des petits gars de la NASA: pourquoi nos cousins verts auraient-ils cherché dans cet ustensile culinaire (plutôt que dans le terrestre suppositoire) la géométrie de leur véhicule galactique ? Mystères et glissements temporels.
Or, voici que Leik Myrabo, ingénieur aérospatial au Rensselaer Institute, est en train de démontrer que la soucoupe volante serait la forme la plus techniquement adaptée aux engins spatiaux du 21ème siècle. De là à en déduire que les OVNIS auraient un bon siècle d'avance technologique sur l'espèce qui a engendré Sharon Stone et Nagui, il n'y a qu'un pas.
Un peu de théorie. Actuellement, toutes les "machines volantes" (hélicoptère, avion, fusée...) sont particulièrement soumises au phénomène de la friction. Plus un véhicule s'enfonce dans l'atmosphère et plus il rencontre une forte résistance. La forme arrondie de l'extrémité des vaisseaux permet d'amoindrir ce phénomène en créant une "onde de choc" (perturbation de l'atmosphère) conique, dans laquelle le vaisseau peut s'engouffrer. Telle est la raison d'être du nez cyrano-esque du Concorde, tellement long qu'il est nécessaire de l'abaisser pour que le pilote puisse percevoir la piste d'aterrissage (l'histoire ne dit pas si les oreilles de Spock répondent à une même logique).
Toujours est-il que plus la vitesse augmente et plus ce cône rétrécit, rendant de plus en plus difficile la progression de la fusée, d'autant qu'au passage se développe une élévation titanesque de la température de l'air compressé. A Mach 25 (25 fois la vitesse du son), le thermomètre monte à 8.000 degrés! Les ingénieurs en aéronautique ont toujours du prendre en compte cette chaleur extrême pour construire les fuselages. Et jusqu'à présent, la réduction de la friction au niveau du millième était considérée comme une percée majeure.
Mais l'industrie aérospatiale devrait être bousculée par l'idée de génie de Leik Myrabo, intitulée le "pic aérien". L'ingénieur de Rensselaer, assisté d'un physicien russe Yuri Raizer, a eu l'intuiton d'une nouvelle forme d'énergie, consistant à controler le flux d'air entourant un vaisseau spatial. Le "pic aérien" est engendré par des micro-ondes, ou par un rayon laser dont le flux crée une réaction en chaîne dans un point de l'air.
Cette ionisation intense des électrons libère une force explosive gigantesque -tellement énorme qu'elle pourrait aisément détruire l'émetteur. L'astuce consiste à réguler cette énergie en envoyant des séries d'ondes déflagrantes. Ces pulsations répétées génèrent une onde de choc parabolique qui peut envelopper le vaisseau sans jamais le toucher, produisant ainsi une friction minimale, et donc une élévation de chaleur modérée.
Le premier test à été effectué en 1993 à la vitesse de Mach 10, afin de démontrer la réalité du "pic aérien". Mais les expériences les plus cruciales vont avoir lieu ce printemps 96 à Mach 25, seuil mythique car il correspond à la vitesse nécessaire pour qu'un vaisseau puisse s'échapper de l'écorce terrestre.
Où se déroule le test fatidique ? Dans l'état de New-York, non loin des patins à roulette de Central Park, du Village qui a vu éclore Miles Davis et les Sex Pistols, et du babylonien Metropolitan Museum. Mais dans la petite ville Troy, qui abrite les essais de Myrabo, l'ambiance évoque un sauna norvégien: calme et sérenité... Qui croirait que sur cette verte colline sont téstés des effets propres à faire pâlir Cameron et Lucas ?
C'est en 1950 que la General Electric a fait construire un extraordinaire dispositif afin de favoriser les experiences au-dessus de Mach 1. Baptisé le "wind tunnel", ce tuyau de 16 mètres de long et de 10 centimètres de large permet de simuler des ondes de choc. Installé dans le sous-sol de l'Institut Polytechnique Rensselaer de la ville de Troy, c'est dans ce lieu ténébreux que Myrabo a pu prouver l'existence du "pic aérien" en 1993 en utilisant un rayon a base de micro-ondes.
A Mach 10, l'onde de choc parabolique générée permettait de faire dévier l'air autour d'un disque de test sans toucher celui-ci. Au même moment, en sibérie, un ingénieur russe, Pavel Tretjakov, réalisait une expérience similaire en créant un "pic aérien" à base de rayons laser. A la vitesse de Mach 2, la friction exercée sur le cône de test était réduite de moitié !
Si le "pic aérien" fonctionne comme prévu à Mach 25, toute une nouvelle génération de véhicules spatiaux deraient voir le jour. Leik Myrabo estime que, dans un premier temps, ce système pourrait permettre à un véhicule de n'importe quelle forme d'atteindre Mach 5. Mais surtout, il serait possible d'aller beaucoup plus loin en détournant une partie de l'énergie issue du "pic aérien" pour propulser l'engin spatial. Il suffit de faire en sorte que les ondes de choc renvoyées vers le vaisseau heurtent les bords de celui-ci. Des électrodes actives et des aimants superconducteurs convertiraient alors cette énergie en électricité afin d'accélérer la pression de l'air à l'arrière du véhicule. "De cette manière, l'ensemble du véhicule devient son moteur", explique Myrabo.
Ce type de propulsion est appellée l'accélération MagnétoHydroDynamique (MHD) et a pour avantage d'ouvrir la voie à des véhicules beaucoups moins lourds, puisqu'il ne sera plus nécessaire d'emporter d'immenses cargaisons de combustibles chimiques.
Afin de mettre en pratique la combinaison "pic aérien" et MHD, notre homme à cru bon de concevoir un nouveau type de véhicule. C'est alors qu'il a découvert que la forme idéale était celle... d'une soucoupe volante. En effet, si l'on veut que le vaisseau puisse recueillir une puissance maximale en retour, la forme ovoïde et allongée s'impose d'elle-même.
L'engin imaginé par Myrabo aurait un largeur d'environ 10 mètres, construit à partir de films composés de carbone et de silicone (pouvant supporter une température de 2000 degrés), il serait gonflé avec de l'hélium, ce gaz favorisant la "flottabilité" en basse altitude et servant de refroidissant.
Cette machine ultra-légère ne pèserait que 630 kilogrammes! "Nous sommes en train de franchir une étape importante dans la réalisation de véhicules spatiaux accessibles à tous, y compris par les individus attirés par le tourisme galactique", commente Myrabo. Et d'envisager le plus serieusement du monde la possibilité de voyages familiaux sur la Lune en cinq heures et demi.
En attendant l'avènement des soucoupes, l'ingénieur de Renssalear estime que la plupart des appareils actuels pourraient déjà être équipés de "pics aériens" afin d'optimiser leur flux d'air en amont, et par conséquence leur vitesse. Ainsi, un vol Paris/New-York s'effectuerait en moins de vingt minutes.
Par ailleurs, la technologie MHD fait l'objet d'études dans des laboratoires américains, russes et britanniques. S'il est impossible de connaître le détail de ces recherches, du fait des implication militaires, le magazine New-Scientist de février a parlé d'un avion spatial réutilisable, nommé Ajax, comportant une alimentation par accélérateur MHD, qui serait développé actuellement à Saint-Petersbourg par un ingénieur : Vladimir Fraidstat.
Les économies budgétaires sont au premier rang des préoccupations de la NASA, il est donc tout a fait normal que l'agence porte le plus grand intérêt aux expériences de Leik Myrabo. John Mankins, qui dirige le programme Highly Reusable Space Transportation (Transport Spatial Hautement Réutilisable), estime que ce modèle de soucoupe volante devrait permettre de réduire les frais de lancement à cent dollars par kilo, au lieu de six milles aujourd'hui. Toutefois, Mankins n'envisage pas que la vision de Myrabo puisse se concrétiser avant plusieurs décennies.
En 2050, un enfant martien fugeur se baladera dans la campagne par une nuit de demi-lune et verra apparaître un véhicule terrestre au ras des nuages. Mais il n'accordera aucune attention à ce vaisseau d'une redoutable banalité. Peut-être s'étonnera-t-il simplement de voir que l'on utilise encore un modèle aussi archaïque.
Daniel Ichbiah
Article paru dans Univers Interactif no 9, de mai 1996.
Telle est la surprenante déduction des travaux de Leik Myrabo.
Le 24 juin 1947, l'industriel américain Kenneth Arnold affirme avoir observé, en survolant les Montagnes Rocheuses, neuf objets de forme analogue à des presse-citrons lumineux. Le grand mythe des soucoupes volantes prenait officiellement naissance, pour le plus grand bonheur de Jimmy Guieu et des aficionados du forum alt.aliens.visitors.
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Un peu de théorie. Actuellement, toutes les "machines volantes" (hélicoptère, avion, fusée...) sont particulièrement soumises au phénomène de la friction. Plus un véhicule s'enfonce dans l'atmosphère et plus il rencontre une forte résistance. La forme arrondie de l'extrémité des vaisseaux permet d'amoindrir ce phénomène en créant une "onde de choc" (perturbation de l'atmosphère) conique, dans laquelle le vaisseau peut s'engouffrer. Telle est la raison d'être du nez cyrano-esque du Concorde, tellement long qu'il est nécessaire de l'abaisser pour que le pilote puisse percevoir la piste d'aterrissage (l'histoire ne dit pas si les oreilles de Spock répondent à une même logique).
Toujours est-il que plus la vitesse augmente et plus ce cône rétrécit, rendant de plus en plus difficile la progression de la fusée, d'autant qu'au passage se développe une élévation titanesque de la température de l'air compressé. A Mach 25 (25 fois la vitesse du son), le thermomètre monte à 8.000 degrés! Les ingénieurs en aéronautique ont toujours du prendre en compte cette chaleur extrême pour construire les fuselages. Et jusqu'à présent, la réduction de la friction au niveau du millième était considérée comme une percée majeure.
Mais l'industrie aérospatiale devrait être bousculée par l'idée de génie de Leik Myrabo, intitulée le "pic aérien". L'ingénieur de Rensselaer, assisté d'un physicien russe Yuri Raizer, a eu l'intuiton d'une nouvelle forme d'énergie, consistant à controler le flux d'air entourant un vaisseau spatial. Le "pic aérien" est engendré par des micro-ondes, ou par un rayon laser dont le flux crée une réaction en chaîne dans un point de l'air.
Cette ionisation intense des électrons libère une force explosive gigantesque -tellement énorme qu'elle pourrait aisément détruire l'émetteur. L'astuce consiste à réguler cette énergie en envoyant des séries d'ondes déflagrantes. Ces pulsations répétées génèrent une onde de choc parabolique qui peut envelopper le vaisseau sans jamais le toucher, produisant ainsi une friction minimale, et donc une élévation de chaleur modérée.
Le premier test à été effectué en 1993 à la vitesse de Mach 10, afin de démontrer la réalité du "pic aérien". Mais les expériences les plus cruciales vont avoir lieu ce printemps 96 à Mach 25, seuil mythique car il correspond à la vitesse nécessaire pour qu'un vaisseau puisse s'échapper de l'écorce terrestre.
Où se déroule le test fatidique ? Dans l'état de New-York, non loin des patins à roulette de Central Park, du Village qui a vu éclore Miles Davis et les Sex Pistols, et du babylonien Metropolitan Museum. Mais dans la petite ville Troy, qui abrite les essais de Myrabo, l'ambiance évoque un sauna norvégien: calme et sérenité... Qui croirait que sur cette verte colline sont téstés des effets propres à faire pâlir Cameron et Lucas ?
C'est en 1950 que la General Electric a fait construire un extraordinaire dispositif afin de favoriser les experiences au-dessus de Mach 1. Baptisé le "wind tunnel", ce tuyau de 16 mètres de long et de 10 centimètres de large permet de simuler des ondes de choc. Installé dans le sous-sol de l'Institut Polytechnique Rensselaer de la ville de Troy, c'est dans ce lieu ténébreux que Myrabo a pu prouver l'existence du "pic aérien" en 1993 en utilisant un rayon a base de micro-ondes.
A Mach 10, l'onde de choc parabolique générée permettait de faire dévier l'air autour d'un disque de test sans toucher celui-ci. Au même moment, en sibérie, un ingénieur russe, Pavel Tretjakov, réalisait une expérience similaire en créant un "pic aérien" à base de rayons laser. A la vitesse de Mach 2, la friction exercée sur le cône de test était réduite de moitié !
Si le "pic aérien" fonctionne comme prévu à Mach 25, toute une nouvelle génération de véhicules spatiaux deraient voir le jour. Leik Myrabo estime que, dans un premier temps, ce système pourrait permettre à un véhicule de n'importe quelle forme d'atteindre Mach 5. Mais surtout, il serait possible d'aller beaucoup plus loin en détournant une partie de l'énergie issue du "pic aérien" pour propulser l'engin spatial. Il suffit de faire en sorte que les ondes de choc renvoyées vers le vaisseau heurtent les bords de celui-ci. Des électrodes actives et des aimants superconducteurs convertiraient alors cette énergie en électricité afin d'accélérer la pression de l'air à l'arrière du véhicule. "De cette manière, l'ensemble du véhicule devient son moteur", explique Myrabo.
Ce type de propulsion est appellée l'accélération MagnétoHydroDynamique (MHD) et a pour avantage d'ouvrir la voie à des véhicules beaucoups moins lourds, puisqu'il ne sera plus nécessaire d'emporter d'immenses cargaisons de combustibles chimiques.
Afin de mettre en pratique la combinaison "pic aérien" et MHD, notre homme à cru bon de concevoir un nouveau type de véhicule. C'est alors qu'il a découvert que la forme idéale était celle... d'une soucoupe volante. En effet, si l'on veut que le vaisseau puisse recueillir une puissance maximale en retour, la forme ovoïde et allongée s'impose d'elle-même.
L'engin imaginé par Myrabo aurait un largeur d'environ 10 mètres, construit à partir de films composés de carbone et de silicone (pouvant supporter une température de 2000 degrés), il serait gonflé avec de l'hélium, ce gaz favorisant la "flottabilité" en basse altitude et servant de refroidissant.
Cette machine ultra-légère ne pèserait que 630 kilogrammes! "Nous sommes en train de franchir une étape importante dans la réalisation de véhicules spatiaux accessibles à tous, y compris par les individus attirés par le tourisme galactique", commente Myrabo. Et d'envisager le plus serieusement du monde la possibilité de voyages familiaux sur la Lune en cinq heures et demi.
En attendant l'avènement des soucoupes, l'ingénieur de Renssalear estime que la plupart des appareils actuels pourraient déjà être équipés de "pics aériens" afin d'optimiser leur flux d'air en amont, et par conséquence leur vitesse. Ainsi, un vol Paris/New-York s'effectuerait en moins de vingt minutes.
Par ailleurs, la technologie MHD fait l'objet d'études dans des laboratoires américains, russes et britanniques. S'il est impossible de connaître le détail de ces recherches, du fait des implication militaires, le magazine New-Scientist de février a parlé d'un avion spatial réutilisable, nommé Ajax, comportant une alimentation par accélérateur MHD, qui serait développé actuellement à Saint-Petersbourg par un ingénieur : Vladimir Fraidstat.
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Daniel Ichbiah
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- FandruModérateur
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Re: Pourquoi certains ovnis ne sont pas Aérodynamiques?
Ven 23 Nov 2007, 01:37
en théorie, la MHD est vraiment intéressante, mais elle se heurte pour le moment au problème de la source d'énergie. Il faut beaucoup de puissance pour la mettre en œuvre et on n'est pas encore parvenu à miniaturiser suffisamment une telle source d'énergie. J-P Petit, toujours prompt à s'enflammer, montre à qui veut le voir un film où on voit un bombardier furtif entouré d'une auréole lumineuse. D'après petit, c'est la preuve que ces avions utilisent la MHD. Mais un autre film monte un jet qui passe le mur du son et au moment fatidique le même phénomène apparaît. Donc, comme souvent, le doute est de mise.
Il y a également des rumeur qui circulent sur des sous-marins qui fonctionneraient sur le principe de la MHD. Info ou intox ?
Il y a également des rumeur qui circulent sur des sous-marins qui fonctionneraient sur le principe de la MHD. Info ou intox ?
- CosmosEquipe du forum
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Re: Pourquoi certains ovnis ne sont pas Aérodynamiques?
Ven 23 Nov 2007, 10:45
:flower:
Oui,notre JPP a été admirable lors de son explication sur l'absence de "BANG" sonique.
C'etait génial...!!
Mais aprés,cà s'est compliqué un peu,car il voyait de la MHD partout.
Par contre,si un engin circulaire maitrise l'agravitation..
(Théorie de HEIM pour des champs magnétiques contrant la gravitation..)
il ne lui faut alors, que trés peu d'énergie pour rebondir sur la magnétosphére terrestre
et se déplacer en supersonique sans contact direct avec les molécules atmosphériques.
(Les champs magnétiques puissants protégeant la carlingue..!!)
Les USA ne maitrisent pas du tout la MHD en atmosphére,les derniéres recherches
en laboratoire le prouve.C'est d'ailleurs leur probléme actuel pour remplacer la vieille navette......
Par contre,ce serait bien plus logique sous l'eau, avec des sous-marins nucléaires
possédant un potentiel d'énergie plus exploitable.
Donc,méfions nous de la désinformation qui laisse une grande place au réve..!
Cordialement.
A+
Oui,notre JPP a été admirable lors de son explication sur l'absence de "BANG" sonique.
C'etait génial...!!
Mais aprés,cà s'est compliqué un peu,car il voyait de la MHD partout.
Par contre,si un engin circulaire maitrise l'agravitation..
(Théorie de HEIM pour des champs magnétiques contrant la gravitation..)
il ne lui faut alors, que trés peu d'énergie pour rebondir sur la magnétosphére terrestre
et se déplacer en supersonique sans contact direct avec les molécules atmosphériques.
(Les champs magnétiques puissants protégeant la carlingue..!!)
Les USA ne maitrisent pas du tout la MHD en atmosphére,les derniéres recherches
en laboratoire le prouve.C'est d'ailleurs leur probléme actuel pour remplacer la vieille navette......
Par contre,ce serait bien plus logique sous l'eau, avec des sous-marins nucléaires
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Donc,méfions nous de la désinformation qui laisse une grande place au réve..!
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- AssispattleLégende du forum
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Re: Pourquoi certains ovnis ne sont pas Aérodynamiques?
Jeu 21 Fév 2008, 17:07
Oui, mais vu qu'on s'en fiche de la forme des engins dans l'espace, alors autant optimiser leurs rares voyages dans les atmosphères planétaires ?
Surtout que, pour les vols spaciaux, l'énergie n'est utilisée qu'aux abords des planètes, ensuite, dans le vide, on a besoin que de très peu de carburant (juste pour les virages quoi).
Surtout que, pour les vols spaciaux, l'énergie n'est utilisée qu'aux abords des planètes, ensuite, dans le vide, on a besoin que de très peu de carburant (juste pour les virages quoi).
- FrenchsoundPassionné
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Re: Pourquoi certains ovnis ne sont pas Aérodynamiques?
Jeu 28 Fév 2008, 22:47
perso je suis pas sure que la mhd soit réelement suffisante, je pense qu'il faut peut etre la coupler avec un appareil anti-gravitationel
en gros, la mhd pour le déplacement (avancer/reculer, gauche/droite haut/bas), et l'anti-gravitée pour la suppréssion de la masse de l'appareil, ce qui accentura l'efficacité de la mhd, enfin moi jdis ca jdis rien lol
en gros, la mhd pour le déplacement (avancer/reculer, gauche/droite haut/bas), et l'anti-gravitée pour la suppréssion de la masse de l'appareil, ce qui accentura l'efficacité de la mhd, enfin moi jdis ca jdis rien lol
- Benjamin.dResponsable du forum
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Les soucoupes volantes et l'Aérodynamisme
Mar 14 Déc 2010, 19:41
Déconcertantes soucoupes ou l'Aérodynamique bafouée
René Fouéré, 1978
L'étude du Lieutenant-colonel Alexis « A propos d'un phénomène spatial non identifié dénommé O.V.N.I. », étude publiée in extenso dans le N° 48 (2e trimestre 1976) de notre revue « Phénomènes spatiaux », comporte une section dans laquelle l'auteur présente les thèses sur les O.V.N.I. qui s'affrontaient en France en 1975.
Dans cette section, sous la rubrique « La négation du phénomène », il expose sous la forme suivante deux des arguments majeurs invoqués par ceux qui se refusent à admettre la réalité spécifique et matérielle des soucoupes volantes : « Si ce phénomène était un phénomène physique, il devrait présenter les mêmes caractéristiques et produire les mêmes effets en raison de la cohérence des lois mathématiques et physiques qui régissent l'Univers ; si c'est un « objet » issu d'une super civilisation extra-terrestre, il est probable qu'il ne serait pas de formes aussi variées, car le milieu spatial impose, quel que soit l'état de l'art, l'optimisation des structures aérospatiales ».
Nous avons déjà répondu à ces arguments en disant, en substance, que toutes les affirmations que nous pouvons formuler sont entièrement relatives à l'état présent de notre science, de notre technique et, en particulier, de notre connaissance actuelle du milieu spatial. Ce qui nous interdit de prétendre que ces affirmations resteront indéfiniment valables. En ce qui concerne, plus précisément, le second argument — qui se fonde sur la surprenante variété des formes des objets observés —, nous avons fait remarquer que l'importance critique que nous attribuons à ces formes et à leur diversité est en étroit rapport avec le seul mode de propulsion aérospatiale que nous connaissions et dont rien ne nous assure qu'aucun autre ne viendra jamais le remplacer. Ce qui remettrait en question toutes nos aventureuses certitudes.
Nous ne pouvons pas, en effet, savoir ce qui subsisterait de nos objections présentes à l'égard des objets insolites observés — y compris celle qui tire argument de l'inexistence d'un bang à des vitesses supersoniques en atmosphère dense — si un mode de propulsion nouveau et révolutionnaire était mis en œuvre par nous-mêmes dans l'avenir.
C'est pourquoi, nous souvenant de l'histoire des météorites et résolus à faire passer les faits — quand ils nous paraissent testimonialement bien établis — avant toutes les objections spéculatives, nous n'avons personnellement pas hésité à reconnaître et même à affirmer que les formes des soucoupes volantes décrites par les témoins pouvaient être « aussi peu aérodynamiques que possible ».
http://www.rhedae-magazine.com/Deconcertantes-soucoupes-ou-l-Aerodynamique-bafouee_a784.html
René Fouéré, 1978
L'étude du Lieutenant-colonel Alexis « A propos d'un phénomène spatial non identifié dénommé O.V.N.I. », étude publiée in extenso dans le N° 48 (2e trimestre 1976) de notre revue « Phénomènes spatiaux », comporte une section dans laquelle l'auteur présente les thèses sur les O.V.N.I. qui s'affrontaient en France en 1975.
Dans cette section, sous la rubrique « La négation du phénomène », il expose sous la forme suivante deux des arguments majeurs invoqués par ceux qui se refusent à admettre la réalité spécifique et matérielle des soucoupes volantes : « Si ce phénomène était un phénomène physique, il devrait présenter les mêmes caractéristiques et produire les mêmes effets en raison de la cohérence des lois mathématiques et physiques qui régissent l'Univers ; si c'est un « objet » issu d'une super civilisation extra-terrestre, il est probable qu'il ne serait pas de formes aussi variées, car le milieu spatial impose, quel que soit l'état de l'art, l'optimisation des structures aérospatiales ».
Nous avons déjà répondu à ces arguments en disant, en substance, que toutes les affirmations que nous pouvons formuler sont entièrement relatives à l'état présent de notre science, de notre technique et, en particulier, de notre connaissance actuelle du milieu spatial. Ce qui nous interdit de prétendre que ces affirmations resteront indéfiniment valables. En ce qui concerne, plus précisément, le second argument — qui se fonde sur la surprenante variété des formes des objets observés —, nous avons fait remarquer que l'importance critique que nous attribuons à ces formes et à leur diversité est en étroit rapport avec le seul mode de propulsion aérospatiale que nous connaissions et dont rien ne nous assure qu'aucun autre ne viendra jamais le remplacer. Ce qui remettrait en question toutes nos aventureuses certitudes.
Nous ne pouvons pas, en effet, savoir ce qui subsisterait de nos objections présentes à l'égard des objets insolites observés — y compris celle qui tire argument de l'inexistence d'un bang à des vitesses supersoniques en atmosphère dense — si un mode de propulsion nouveau et révolutionnaire était mis en œuvre par nous-mêmes dans l'avenir.
C'est pourquoi, nous souvenant de l'histoire des météorites et résolus à faire passer les faits — quand ils nous paraissent testimonialement bien établis — avant toutes les objections spéculatives, nous n'avons personnellement pas hésité à reconnaître et même à affirmer que les formes des soucoupes volantes décrites par les témoins pouvaient être « aussi peu aérodynamiques que possible ».
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Re: Pourquoi certains ovnis ne sont pas Aérodynamiques?
Mar 14 Déc 2010, 20:14
Je pense que les théories de 1975 ont évolué depuis... L'aérodynamisme n'a certainement pas de valeur en dehors de l'atmosphère et de l'attraction terrestre... Reste effectivement à comprendre pourquoi ces objets ne semblent pas rencontrer de difficultés dans notre atmosphère pour se mouvoir en faisant fi de toutes contraintes aérodynamiques?
Cordialement
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- Benjamin.dResponsable du forum
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Re: Pourquoi certains ovnis ne sont pas Aérodynamiques?
Mar 14 Déc 2010, 20:16
Bonsoir,
Oui mais il faudrait déjà que les ovnis aient besoin d'être aérodynamiques s'ils utilisent un mode de propulsion qui empêche le frottement de l'air sur l'engin à quoi bon?
La MHD par exemple.
Oui mais il faudrait déjà que les ovnis aient besoin d'être aérodynamiques s'ils utilisent un mode de propulsion qui empêche le frottement de l'air sur l'engin à quoi bon?
La MHD par exemple.
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Re: Pourquoi certains ovnis ne sont pas Aérodynamiques?
Mar 14 Déc 2010, 20:34
Benjamin.d a écrit:Bonsoir,
Oui mais il faudrait déjà que les ovnis aient besoin d'être aérodynamiques s'ils utilisent un mode de propulsion qui empêche le frottement de l'air sur l'engin à quoi bon?
La MHD par exemple.
Oui d'après ce que j'ai pu comprendre la MHD se comprend bien en milieu aquatique par exemple car il me semble qu'il faille aspirer le milieu ambiant ( fluide) pour le rejeter à l'arrière mais donc après le problème existerait hors de l'atmosphère puisqu'il n'y aurait plus de support sur lequel s'appuyer...?
- Benjamin.dResponsable du forum
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Re: Pourquoi certains ovnis ne sont pas Aérodynamiques?
Mar 14 Déc 2010, 20:45
Voici un dossier complet sur la propulsion des soucoupes:
https://www.forum-ovni-ufologie.com/les-etudes-et-avis-scientifiques-f48/une-hypothese-sur-le-fonctionnement-des-soucoupes-volantes-jean-plantier-t8212.htm
Sinon il y a ces travaux:
Action électromagnétique sur l’air ionisé
La clef du mystère semble être contenue dans les rapports d’observation, puisqu’on y
signale souvent l’existence d’une très forte luminosité au voisinage immédiat de ces
« objetsÄ. » Cette luminosité est variable, aussi bien en couleur qu’en intensité et parfois elle
est aveuglante « comme celle d’un arc électrique. » L’explication la plus directe et la plus
simple de ce phénomène fait appel à une ionisation très intense de l’air autour de ces
engins. Certains témoins ont remarqué d’autre part que le décollage de ces ovnis peut se faire
en deux étapes : D’abord l’objet devient très brillant [souvent après s’être élevé lentement de
quelques dizaines de mètres.] Ensuite il part brusquement à une vitesse foudroyante. Tout se
passe donc comme si l’objet avait besoin d’une ionisation de l’air ambiant pour se mettre en
mouvement et comme s’il pouvait enclencher brusquement un « champ de force » assez
puissant pour créer de grandes forces d’action et de réaction.
Il est logique de penser à un champ électromagnétique, agissant à distance sur les
particules chargées dans l’air ionisé. Remarquons de suite que les collisions entre les
particules chargées et les particules neutres peuvent alors conduire à un entraînement général
d’une masse d’air assez grande. Il faudrait donc que l’on puisse constater, au moins dans
certains cas, des déplacements d’air au voisinage des ovnis. C’est effectivement ce qui se
passe, comme il apparaîtra dans la troisième partie. En fait, on peut communiquer une vitesse
V à un ovni de masse m, si celui-ci communique une vitesse [moyenne] v à une masse d’air
M, de telle manière que Mv = mV. Comme la densité de l’air est de l’ordre de 1 gramme/litre,
il en résulte que l’on peut obtenir par exemple un rapport de V/v = 100, en déplaçant un
volume d’air de l’ordre de 10.000 m3, si l’engin a une masse de l’ordre d’une tonne. Ce
volume correspond à celui d’une sphère dont le rayon est de 13,5 m.
http://www.meessen.net/AMeessen/ReflexionPropulsion.pdf
https://www.forum-ovni-ufologie.com/les-etudes-et-avis-scientifiques-f48/une-hypothese-sur-le-fonctionnement-des-soucoupes-volantes-jean-plantier-t8212.htm
Sinon il y a ces travaux:
Action électromagnétique sur l’air ionisé
La clef du mystère semble être contenue dans les rapports d’observation, puisqu’on y
signale souvent l’existence d’une très forte luminosité au voisinage immédiat de ces
« objetsÄ. » Cette luminosité est variable, aussi bien en couleur qu’en intensité et parfois elle
est aveuglante « comme celle d’un arc électrique. » L’explication la plus directe et la plus
simple de ce phénomène fait appel à une ionisation très intense de l’air autour de ces
engins. Certains témoins ont remarqué d’autre part que le décollage de ces ovnis peut se faire
en deux étapes : D’abord l’objet devient très brillant [souvent après s’être élevé lentement de
quelques dizaines de mètres.] Ensuite il part brusquement à une vitesse foudroyante. Tout se
passe donc comme si l’objet avait besoin d’une ionisation de l’air ambiant pour se mettre en
mouvement et comme s’il pouvait enclencher brusquement un « champ de force » assez
puissant pour créer de grandes forces d’action et de réaction.
Il est logique de penser à un champ électromagnétique, agissant à distance sur les
particules chargées dans l’air ionisé. Remarquons de suite que les collisions entre les
particules chargées et les particules neutres peuvent alors conduire à un entraînement général
d’une masse d’air assez grande. Il faudrait donc que l’on puisse constater, au moins dans
certains cas, des déplacements d’air au voisinage des ovnis. C’est effectivement ce qui se
passe, comme il apparaîtra dans la troisième partie. En fait, on peut communiquer une vitesse
V à un ovni de masse m, si celui-ci communique une vitesse [moyenne] v à une masse d’air
M, de telle manière que Mv = mV. Comme la densité de l’air est de l’ordre de 1 gramme/litre,
il en résulte que l’on peut obtenir par exemple un rapport de V/v = 100, en déplaçant un
volume d’air de l’ordre de 10.000 m3, si l’engin a une masse de l’ordre d’une tonne. Ce
volume correspond à celui d’une sphère dont le rayon est de 13,5 m.
http://www.meessen.net/AMeessen/ReflexionPropulsion.pdf
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