- Benjamin.dResponsable du forum
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Les ovnis dans la presse en 1972
Mer 28 Nov 2007, 21:41
Les ovnis dans la presse en 1972
ENGIN EN FORME DE TOUPIE, PLEMET, FRANCE, 1972:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Ouest-France, le 5 janvier 1972.
Plemet. Hier vers 17:30, les Plemetais ont vu dans le ciel un engin en forme de toupie d'enfant, de couleur rouge, avec au milieu une bande noire. L'engin paraissait avoir plus de deux mètres de diamètre et se dirigeait vers l'Est. A noter que le temps était couvert.
OVNIS EN FRANCE, 1972:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Méridional, France, page 18, le 17 février 1972.
Objet volant non identifié en Ardèche
PRIVAS. - Un objet volant non identifié a été observé pendant une heure environ, dans la nuit de mardi à mercredi, par deux habitants des hameaux de Grangeon et Feouzet, à côté de Saint-Pierreville (Ardèche)
"Une boule irradiante, ont déclaré les deux hommes, a survolé la région, se déplaçant à faible hauteur
OVNI EN FRANCE, 1972:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien L'Aurore, Paris, France, le 21 mars 1972.
C'EST LE PRINTEMPS
Les soucoupes sont revenues
Les soucoupes volantes n'ont pas manqué leur rendez-vous de printemps avec les Terriens. On a même cru que les "Envahisseurs" avaient de mauvaises intentions envers nous puisqu'ils avaient choisi de poser un de leurs "objets volants non identifiés" sur la commune de Civières, dans l'Eure. En fait, on pourrait croire à une histoire de fous, si le témoin de l'atterrissage de la soucoupe n'était un homme équilibré et sachant parfaitement ce qu'il dit.
Pour en être sûr, je suis allé le rencontrer chez lui, et je me suis rendu en sa compagnie sur le "terrain d'atterrissage" de la "chose".
Il s'appelle Daniel Loretz. Il habite Tourny, dans l'Eure, où il a un magasin d'appareils de radio et de télévision. C'est un homme solide, né dans la région, qui avoue soixante-trois ans et en paraît dix de moins. Pompier bénévole depuis 1937, il est commandant de la brigade locale depuis 1949. C'est donc un gaillard qui en a vu d'autres et qui ne s'en laisse pas compter. Il a même hésité au début à faire le récit de la scène dont il a été le témoin.
"Je n'en ai parlé aux gendarmes que trois jours après, m'a-t-il dit. Cela s'est passé l'autre vendredi, dans un champ du hameau d'Aubigny, à Civières. Il était 21 h. 25. Je revenais de Pacy-sur-Eure où j'avais une réparation. Je roulais tranquillement au volant de ma R-6 quand j'ai vu un objet sombre venant du ciel se diriger vers moi. J'ai freiné aussitôt. L'engin s'est posé dans un champ, à environ 150 mètres, pratiquement à la verticale. C'était une forme sombre d'environ deux mètres de haut. A l'avant: deux hublots d'où partait une lumière pâle dirigée vers le sol. A l'arrière: une lueur rouge peu puissante. Trente secondes après l'atterrissage, les feux se sont éteints. Cela faisait le bruit d'un gros tracteur.
PASSIONNES
"Très impressionné, je suis reparti en voiture. Mais j'ai eu toutes les peines du monde à faire fonctionner convenablement mon moteur pourtant pratiquement neuf. Il a toussé pendant plusieurs centaines de mètres puis est reparti normalement.
"Le lendemain, je suis revenu sur place, mais le champ avait été hersé et toutes les traces qu'avaient pu laisser l'engin avaient disparu.
"Dans la région, on parle, sans plaisanter aucunement, de la mésaventure de M. Loretz, et on se demande ce qu'il a pu voir. Quant aux passionnés des soucoupes volantes, ils ne se montrent pas autrement étonnés. "Cette zone se trouve sur une ligne parcourue habituellement par les O.V.N.I.S.", disent-ils qui passe par le bord de la Suisse, Paris, Nantes, et soit Gibraltar, soit les Cornouailles britanniques.
Toutefois les savants de l'Office national de Recherche et d'Etudes aérospatiales évoquent la fusée "Tibère" quand on parle de phénomènes lumineux observés ces jours-ci. Qui croire?
Alain MATHERON.
Note: en lieu et place de "fusée Tibère" et de prétendue "ligne parcourue par les O.V.N.I.", il aurait peut-être été plus avisé de se demander si Mr. Loretz n'a pas pu confondre, à 150 mètres, cette même machine agricole faisant "le bruit d'un gros tracteur" et qui avait peut-être fait le hersage du champ constaté le lendemain.
OVNI EN GIRONDE, FRANCE, JUIN, 1972:
L'article ci-dessous est paru le dans le quotidien Le Parisien, France, le 20 Juin 1972.
UN O.V.N.I DANS LE CIEL DE LA GIRONDE
ARCACHON. - Un "O.V.N.I." aurait été aperçu, de nuit, dans le ciel de Gujan-Mestras (Gironde), par deux jeunes gens de la localité.
Franck Pavia, 18 ans et Jean-Marc Guitard, 17 ans, apprentis bouchers, se rendaient au bal, vers 1 h 30, lorsqu'ils furent contraints d'arrêter leur voiture à la suite d'ennuis mécaniques.
D'après leur témoignage, les lumières se sont soudain éteintes autour de la mairie de la bourgade, tandis qu'un vrombissement se faisait entendre. "Nous avons couru jusqu'à l'entrée du cours de la Marne, ont-ils déclarés au gendarmes, et nous avons vu à 200 mètres d'altitude environ, un objet ovale, plus gros qu'un avion rouge phosphorescent, entouré de flammes blanches se dirigeant dans notre direction. Puis il a dévié de sa trajectoire et a disparu en prenant de l'altitude."
D'après un rapport des gendarmes de Gujan, un objet similaire avait été observé il y a six mois non loin de Biganos, en Gironde.
OVNI A VALPARAISO, CHILI, 1972:
L'article ci-dessous est paru le dans le quotidien Le Parisien, France, le 23 Juin 1972.
O.V.N.I A VALPARAISO
VALPARAISO. - Un Objet Volant Non Identifié (O.V.N.I.) a été observé pendant une demi-heure par des marins pêcheurs, au large du port Chilien de Valparaiso.
Selon les témoins, qui ont rapporté leurs observations aux autorités maritimes locales, l'objet, qui émettait des lueurs multicolores, a fait mouvement jusqu'au lieu où se trouvait le bateau de pêche, et a survolé ce dernier à cinquante mètres de hauteur seulement.
Après une série de manoeuvres, l'O.V.N.I. s'est finalement éloigné et a disparu dans l'espace à grande vitesse, ont ajouté les témoins.
ATTERRISSAGE D'OVNI EN FRANCE, 1972:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Progrès, de Lyon, France, page 6, le 4 novembre 1972.
FUSIL DE CHASSE CONTRE SOUCOUPE VOLANTE
Un pisciculteur jurassien s'est cru menacé par un mystérieux objet volant au pied des cascades du Hérisson
LONS-LE SAULNIER: Alors qu'il travaillait, jeudi après midi, à sa pisciculture, au pied des cascades du "Hérisson", M. Georges Vuillien de Doucier, a été témoin d'un phénomène à ranger dans la liste déjà longue des "O.V.N.I" (objets volants non identifiés).
A 4 h. 20 exactement, alors qu'il se trouvait seul dans ce site pittoresque, M. Vuillien a aperçu soudain, dans le ciel, une traînée du genre de celles que laissent les avions à réaction, mais de couleur blanc argenté. Cette traînée se déplaçait verticalement, en volutes espacées, de 50 en 50 centimètres.
L'engin, qui avait la forme désormais classique d'une soucoupe volante, vint s'immobiliser à 70 mètres environ de M. Vuillien et se stabilisa à une hauteur de 10 mètres. Il avait un diamètre de 20 mètres et l'habitacle proprement dit, 12 mètres, pour 2 à 2.50 de hauteur.
L'entourage était brillant, mais dissimulait l'intérieur. Cinq minutes s'écoulèrent, puis l'engin s'inclina à peu près à la verticale et s'éleva dans le ciel, lentement d'abord, puis "comme un boulet de canon": c'est l'expression qu'emploie M. Vuillien.
PArvenue à la hauteur des avions à réaction - 10 000 à 11 000 mètres - la soucoupe stoppa trois à quatre minutes, apparaissant grosse comme un pamplemousse, puis disparut complètement.
Tout au long, l'apparition s'était faite sans aucun bruit et la remontée se fit sans le secours d'une quelconque fusée.
Au cours de la concertation que nous avons eue hier avec lui, M. Georges Vuillien dissimulait encore mal son émotion. Il ne cache pas qu'il a eu très peur et qu'à un moment donné il est aller chercher dans sa voiture son fusil de chasse. "Ca vous coupe le souffle", disait-il, "et j'ai craint d'être kidnappé."
Il y a de quoi, et bien des personnes, à sa place, auraient eu la même réaction de défense. Venant de M. Georges Vuillien, dont l'honorabilité est parfaite et qui n'a pas l'habitude de "raconter des histoires", ce récit ne manquera pas de susciter des commentaires, plongeant dans le trouble et la perplexité.
Henri PUTET
ENGIN EN FORME DE TOUPIE, PLEMET, FRANCE, 1972:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Ouest-France, le 5 janvier 1972.
Plemet. Hier vers 17:30, les Plemetais ont vu dans le ciel un engin en forme de toupie d'enfant, de couleur rouge, avec au milieu une bande noire. L'engin paraissait avoir plus de deux mètres de diamètre et se dirigeait vers l'Est. A noter que le temps était couvert.
OVNIS EN FRANCE, 1972:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Méridional, France, page 18, le 17 février 1972.
Objet volant non identifié en Ardèche
PRIVAS. - Un objet volant non identifié a été observé pendant une heure environ, dans la nuit de mardi à mercredi, par deux habitants des hameaux de Grangeon et Feouzet, à côté de Saint-Pierreville (Ardèche)
"Une boule irradiante, ont déclaré les deux hommes, a survolé la région, se déplaçant à faible hauteur
OVNI EN FRANCE, 1972:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien L'Aurore, Paris, France, le 21 mars 1972.
C'EST LE PRINTEMPS
Les soucoupes sont revenues
Les soucoupes volantes n'ont pas manqué leur rendez-vous de printemps avec les Terriens. On a même cru que les "Envahisseurs" avaient de mauvaises intentions envers nous puisqu'ils avaient choisi de poser un de leurs "objets volants non identifiés" sur la commune de Civières, dans l'Eure. En fait, on pourrait croire à une histoire de fous, si le témoin de l'atterrissage de la soucoupe n'était un homme équilibré et sachant parfaitement ce qu'il dit.
Pour en être sûr, je suis allé le rencontrer chez lui, et je me suis rendu en sa compagnie sur le "terrain d'atterrissage" de la "chose".
Il s'appelle Daniel Loretz. Il habite Tourny, dans l'Eure, où il a un magasin d'appareils de radio et de télévision. C'est un homme solide, né dans la région, qui avoue soixante-trois ans et en paraît dix de moins. Pompier bénévole depuis 1937, il est commandant de la brigade locale depuis 1949. C'est donc un gaillard qui en a vu d'autres et qui ne s'en laisse pas compter. Il a même hésité au début à faire le récit de la scène dont il a été le témoin.
"Je n'en ai parlé aux gendarmes que trois jours après, m'a-t-il dit. Cela s'est passé l'autre vendredi, dans un champ du hameau d'Aubigny, à Civières. Il était 21 h. 25. Je revenais de Pacy-sur-Eure où j'avais une réparation. Je roulais tranquillement au volant de ma R-6 quand j'ai vu un objet sombre venant du ciel se diriger vers moi. J'ai freiné aussitôt. L'engin s'est posé dans un champ, à environ 150 mètres, pratiquement à la verticale. C'était une forme sombre d'environ deux mètres de haut. A l'avant: deux hublots d'où partait une lumière pâle dirigée vers le sol. A l'arrière: une lueur rouge peu puissante. Trente secondes après l'atterrissage, les feux se sont éteints. Cela faisait le bruit d'un gros tracteur.
PASSIONNES
"Très impressionné, je suis reparti en voiture. Mais j'ai eu toutes les peines du monde à faire fonctionner convenablement mon moteur pourtant pratiquement neuf. Il a toussé pendant plusieurs centaines de mètres puis est reparti normalement.
"Le lendemain, je suis revenu sur place, mais le champ avait été hersé et toutes les traces qu'avaient pu laisser l'engin avaient disparu.
"Dans la région, on parle, sans plaisanter aucunement, de la mésaventure de M. Loretz, et on se demande ce qu'il a pu voir. Quant aux passionnés des soucoupes volantes, ils ne se montrent pas autrement étonnés. "Cette zone se trouve sur une ligne parcourue habituellement par les O.V.N.I.S.", disent-ils qui passe par le bord de la Suisse, Paris, Nantes, et soit Gibraltar, soit les Cornouailles britanniques.
Toutefois les savants de l'Office national de Recherche et d'Etudes aérospatiales évoquent la fusée "Tibère" quand on parle de phénomènes lumineux observés ces jours-ci. Qui croire?
Alain MATHERON.
Note: en lieu et place de "fusée Tibère" et de prétendue "ligne parcourue par les O.V.N.I.", il aurait peut-être été plus avisé de se demander si Mr. Loretz n'a pas pu confondre, à 150 mètres, cette même machine agricole faisant "le bruit d'un gros tracteur" et qui avait peut-être fait le hersage du champ constaté le lendemain.
OVNI EN GIRONDE, FRANCE, JUIN, 1972:
L'article ci-dessous est paru le dans le quotidien Le Parisien, France, le 20 Juin 1972.
UN O.V.N.I DANS LE CIEL DE LA GIRONDE
ARCACHON. - Un "O.V.N.I." aurait été aperçu, de nuit, dans le ciel de Gujan-Mestras (Gironde), par deux jeunes gens de la localité.
Franck Pavia, 18 ans et Jean-Marc Guitard, 17 ans, apprentis bouchers, se rendaient au bal, vers 1 h 30, lorsqu'ils furent contraints d'arrêter leur voiture à la suite d'ennuis mécaniques.
D'après leur témoignage, les lumières se sont soudain éteintes autour de la mairie de la bourgade, tandis qu'un vrombissement se faisait entendre. "Nous avons couru jusqu'à l'entrée du cours de la Marne, ont-ils déclarés au gendarmes, et nous avons vu à 200 mètres d'altitude environ, un objet ovale, plus gros qu'un avion rouge phosphorescent, entouré de flammes blanches se dirigeant dans notre direction. Puis il a dévié de sa trajectoire et a disparu en prenant de l'altitude."
D'après un rapport des gendarmes de Gujan, un objet similaire avait été observé il y a six mois non loin de Biganos, en Gironde.
OVNI A VALPARAISO, CHILI, 1972:
L'article ci-dessous est paru le dans le quotidien Le Parisien, France, le 23 Juin 1972.
O.V.N.I A VALPARAISO
VALPARAISO. - Un Objet Volant Non Identifié (O.V.N.I.) a été observé pendant une demi-heure par des marins pêcheurs, au large du port Chilien de Valparaiso.
Selon les témoins, qui ont rapporté leurs observations aux autorités maritimes locales, l'objet, qui émettait des lueurs multicolores, a fait mouvement jusqu'au lieu où se trouvait le bateau de pêche, et a survolé ce dernier à cinquante mètres de hauteur seulement.
Après une série de manoeuvres, l'O.V.N.I. s'est finalement éloigné et a disparu dans l'espace à grande vitesse, ont ajouté les témoins.
ATTERRISSAGE D'OVNI EN FRANCE, 1972:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Progrès, de Lyon, France, page 6, le 4 novembre 1972.
FUSIL DE CHASSE CONTRE SOUCOUPE VOLANTE
Un pisciculteur jurassien s'est cru menacé par un mystérieux objet volant au pied des cascades du Hérisson
LONS-LE SAULNIER: Alors qu'il travaillait, jeudi après midi, à sa pisciculture, au pied des cascades du "Hérisson", M. Georges Vuillien de Doucier, a été témoin d'un phénomène à ranger dans la liste déjà longue des "O.V.N.I" (objets volants non identifiés).
A 4 h. 20 exactement, alors qu'il se trouvait seul dans ce site pittoresque, M. Vuillien a aperçu soudain, dans le ciel, une traînée du genre de celles que laissent les avions à réaction, mais de couleur blanc argenté. Cette traînée se déplaçait verticalement, en volutes espacées, de 50 en 50 centimètres.
L'engin, qui avait la forme désormais classique d'une soucoupe volante, vint s'immobiliser à 70 mètres environ de M. Vuillien et se stabilisa à une hauteur de 10 mètres. Il avait un diamètre de 20 mètres et l'habitacle proprement dit, 12 mètres, pour 2 à 2.50 de hauteur.
L'entourage était brillant, mais dissimulait l'intérieur. Cinq minutes s'écoulèrent, puis l'engin s'inclina à peu près à la verticale et s'éleva dans le ciel, lentement d'abord, puis "comme un boulet de canon": c'est l'expression qu'emploie M. Vuillien.
PArvenue à la hauteur des avions à réaction - 10 000 à 11 000 mètres - la soucoupe stoppa trois à quatre minutes, apparaissant grosse comme un pamplemousse, puis disparut complètement.
Tout au long, l'apparition s'était faite sans aucun bruit et la remontée se fit sans le secours d'une quelconque fusée.
Au cours de la concertation que nous avons eue hier avec lui, M. Georges Vuillien dissimulait encore mal son émotion. Il ne cache pas qu'il a eu très peur et qu'à un moment donné il est aller chercher dans sa voiture son fusil de chasse. "Ca vous coupe le souffle", disait-il, "et j'ai craint d'être kidnappé."
Il y a de quoi, et bien des personnes, à sa place, auraient eu la même réaction de défense. Venant de M. Georges Vuillien, dont l'honorabilité est parfaite et qui n'a pas l'habitude de "raconter des histoires", ce récit ne manquera pas de susciter des commentaires, plongeant dans le trouble et la perplexité.
Henri PUTET
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