- Benjamin.dResponsable du forum
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(1972) Saint-Jean du Gard, France
Mar 16 Oct 2007, 21:45
Saint-Jean du Gard, France, 9 août 1972:
Une femme, professeur de français, et son mari, professeur de musique, campaient dans le sud de la France à Saint-Jean du Gard lorsqu'elle a vécu une rencontre rapprochée du troisième type.
A part le fait qu'ils aient demandé à leur voisinage s'ils avaient vu quelque chose également, il n'en ont parlé qu'à un ami, un étudiant. Il se trouvait que cet étudiant s'intéressait au phénomène OVNI depuis quelques années, et qu'ils savaient que lui au moins aurait l'esprit ouvert à ce sujet et les écouteraient. L'étudiant a fait mieux que cela; il a enregistré leur récit sur bande magnétique.
Deux ans après, une enquête de Jean-Paul Guguen, de la station O.R.T.F. de Poitiers, permet de découvrir cet enregistrement que l'étudiant avait gardé au fond d'un tiroir, parmi ses archives personnelles, et il a alors été diffusé le 27 février 1974 à 20:30 dans l'émission "Pas de Panique", de Claude Villiers, Olivier Nanteau et Monique Desbarbat, à la radio nationale France-Inter.
Voici la transcription de ce que la professeur de français a enregistré sur cette bande :
"Ce que j'ai vu s'est passé à Saint-Jean-du-Gard, le mercredi 9 août 1972, vers 2 heures et demie du matin. Nous étions rentrés assez tard cette nuit-là et campions chez des amis ayant un jardin en terrasse. Ce jardin se trouve sur la route de Nîmes, à la sortie de Saint-Jean-du-Gard. Nous étions sur l'une des collines bordant la vallée. Je suis sortie vers 2 heures et demie du matin parce que j'entendais les flonflons de la fête à Saint-Jean-du-Gard."
"Au-dessus de la ville se distinguait une lueur assez vive, produite par les lumières de la fête. Mais, de notre côté, le ciel restait sombre. Il y avait de gros nuages et absolument aucune lumière. Tout était éteint dans les chemins qui dominaient sur la colline. Donc, je prenais le frais lorsque mon regard fut attiré par une sorte de boule blanche, de la grosseur d'une Isotta Fiat. Elle m'a intriguée: elle était très brillante. Je ne comprenais pas pourquoi cette voiture pouvait être aussi brillante alors que tout était sombre autour de là et qu'il n'y avait pas une seule lumière. Cette voiture était garée dans un petit parc-autos réservé aux habitants des trois ou quatre villas construites sur la colline."
"J'observais cette voiture phosphorescente en essayant de comprendre pourquoi elle était si lumineuse, lorsque j'entendis marcher derrière moi. Des pas bizarres, pas tellement rapprochés, pas tellement lourds non plus, comme si un enfant avait foulé des herbes sèches en progressant assez régulièrement et lentement. Ayant entendu ces pas, je me suis retournée vers la gauche: à trois ou quatre mètres, une forme était tournée vers moi. Je ne veux pas dire "un être me regardait", parce que, sur le moment, je n'ai pas ressenti cette impression."
"Cette forme mesurait environ un mètre vingt de haut. Elle était absolument noire. Fait curieux, ce corps tenait du parallélépipède. Il me semblait, que cette forme était en bois de trente à quarante centimètres d'épaisseur. Ce parallélépipède était surmonté d'une forme ovoïde à la place de la tête. Deux ronds blancs posés à la hauteur des yeux, deux ronds blancs de cinq centimètres de diamètre se détachaient seuls de cette masse noire, tournée vers moi, immobile. Je ne voyais ni les pieds ni les jambes, disons, ce qui devait lui servir à marcher, puisque les grandes herbes les cachaient."
"Je n'oublierai jamais l'impression éprouvée: une peur morbide, incroyable, pas naturelle. Elle ne venait pas de moi; elle semblait émise par la forme entrevue, comme si elle voulait me neutraliser. Je n'avais jamais ressenti cela auparavant. J'ai eu cette sensation durant trois secondes environ, le temps qu'a duré ma vision. La nature paraissait morte, comme figée, autour de cette "chose». On avait l'impression que cet être exerçait un pouvoir extraordinaire sur tout ce qui l'entourait, que ce soit un être animé ou des plantes. Tout était réduit au même niveau, C'est-à-dire figé, je le répète."
"Ensuite, je suis rentrée d'un seul coup dans la tente pour rejoindre Michel, mon mari. Sur le moment, je n'avais pas fait de liaison entre cet être et la forme ronde phosphorescente entrevue sur le parc autos. Le lendemain, j'ai commencé à comprendre qu'il y avait un rapport entre les deux. Après cette courte, mais saisissante vision, nous avons dormi."
"Le lendemain matin, nous ne voulions pas en parler mais finalement nous avons demandé aux habitants des villas voisines, s'ils n'avaient rien vu d'anormal. Nous nous sommes heurtés à une incompréhension totale. Tous restaient enfermés dans leurs préjugés. Ils essayaient de rationaliser en nous affirmant: "Ce que vous avez vu, ce sont des petits graviers qui brillaient dans la nuit ou des lumières de vélomoteurs qui passaient." J'étais sûre que cela n'avait rien à voir! Cependant, une dame a réfléchi. Elle nous a dit: "Tiens, c'est vrai, sur le coup de 2 heures et demie du matin, j'ai entendu marcher sur ma terrasse." Sa maison était située à trente mètres de notre tente, un peu plus bas. Mais cette personne n'est pas sortie pour aller voir ce fameux rôdeur. Elle s'est rendormie. Les autres sont restés sceptiques. Nous nous sommes heurtés à des murs."
Il se trouve que le reporter, Jean-Paul Guguen, était parvenu à localiser ce couple de professeurs, et ils ont été invité à l'émission, deux ans après les faits, donc. Sans qu'on leur ait donné à entendre la bande enregistrée par l'étudiant deux ans plus tôt, ils ont parlé de l'événement à nouveau, répondant aux questions de Jean-Paul Guguen :
" - La tente était derrière moi. J'entendais marcher et je croyais que mon mari était sorti ou bougeait à l'intérieur de la tente. Je me tourne d'un quart de tour sur la gauche, et là, sur la même terrasse que la tente, je vois à environ cinq mètres, quelque chose. En fait, je ne peux pas dire quelque chose parce que j'avais l'impression qu'il y existait une vie. J'ai vu quelqu'un ou quelque chose qui me regardait, ou du moins qui était tourné vers moi et ne bougeait pas. Imaginez un morceau de sucre que vous peignez en noir; vous mettez dessus une tête bien ovale. Le tout pas brillant, noir mat. A la place des yeux, deux disques blancs, très grands. Et c'est tout. Pas de bouche, pas de nez, pas de bras. Je n'ai pu voir s'il avait des jambes parce que de grandes herbes folles s'élevaient assez haut.. Il mesurait à peu près un mètre vingt de haut. "
" - Aviez-vous l'impression qu'il vous fixait?"
" - Je ne veux pas dire qu'il me fixait, parce qu'il n'y avait pas de regard. Il y avait simplement une tête tournée vers moi, mais avec une attitude très figée. J'ai eu l'impression qu'il se passait quelque chose. Que la nature s'était arrêtée de vivre."
" - Combien de temps avez-vous regardé cet humanoïde?"
" - Cela a duré à peine quinze secondes. J'ai eu peur: je me suis précipitée dans la tente et j'ai fait un bond énorme."
Jean-Paul Guguen écoute ensuite le mari:
" - J'étais allongé dans la tente; d'un seul coup j'ai vu ma femme surgir dans la tenté, d'un bond énorme. Elle m'a dit: "Je viens de voir quelque chose d'épouvantable, d'affreux!" Je n'ai pas compris ce qu'elle avait vu mais j'ai compris qu'elle venait de voir quelque chose d'exceptionnel."
" - Pourquoi n'êtes-vous pas sorti?"
" - Elle avait le visage littéralement déformé par la peur. Je n'ai pas eu le courage de sortir. J'ai fermé la tente de l'intérieur. Nous avons attendu en écoutant."
La professeur poursuit :
" - Quand j'ai compris que c'était un petit humanoïde que j'avais vu, je n'ai pas voulu sortir car j'avais lu que des mouvements de frayeur de notre part pouvaient être mal interprétés par eux."
" - Si je vous comprends bien, vous étiez déjà conditionnée par vos lectures?"
" - Non, je n'ai pas pensé à un extraterrestre ou à une soucoupe volante tout de suite. J'ai eu d'abord très peur et je suis restée sous le coup de la frayeur pendant dix minutes. Après seulement, j'ai commencé à réfléchir et j'ai fait le lien avec la forme ronde et lumineuse vue en bas, sur le parc-autos."
" - Le lendemain matin, avez-vous éprouvé la curiosité d'aller voir les traces éventuelles?"
" - Oui. Nous avons repéré les endroits. D'abord, près de la tente il y avait de l'herbe foulée. Mais ce n'était pas significatif, parce que des personnes auraient très bien pu imprimer ces traces. En bas, sur le parc autos, nous avons cherché des traces : en vain."
Son mari poursuit :
" - Quand nous avons raconté notre histoire, le lendemain, une personne qui habitait à cinquante mètres de nous s'est souvenue que cette nuit-là, à 2 heures et demie du matin, elle avait entendu des pas sur sa terrasse. Elle avait failli se lever, pensant que c'était un rôdeur. Finalement, elle s'était rendormie."
Jean-Paul Guguen demande à la professeur :
" - Si, demain, vous aperceviez à nouveau un humanoïde, pousseriez-vous plus loin l'expérience? Tenteriez vous d'entrer en contact?"
" - Pour ma part, certainement."
" - Sans aucune crainte?"
" - Cette fois non. Disons tout de même que si c'était dans les mêmes circonstances, la nuit, j'aurais peut-être les mêmes réactions de frayeur. Mais si c'était en plein jour et si je le voyais descendre d'une soucoupe et venir vers moi d'une manière beaucoup plus brutale et soudaine, je pousserais la rencontre plus loin, par curiosité."
" - Pensez-vous que la découverte de ces êtres apporte quelque chose à la science?"
" - Je ne pense pas que ce soit à la science, mais plutôt à chacun d'entre nous. Cela nous permet d'avoir l'esprit plus ouvert, d'élargir notre champ de vision et une manière de vivre. Il faut penser qu'il est tout à fait possible qu'il y ait d'autres formes de vie que la nôtre dans l'univers."
http://ufologie.net/htm/stjeandugard72f.htm
Une femme, professeur de français, et son mari, professeur de musique, campaient dans le sud de la France à Saint-Jean du Gard lorsqu'elle a vécu une rencontre rapprochée du troisième type.
A part le fait qu'ils aient demandé à leur voisinage s'ils avaient vu quelque chose également, il n'en ont parlé qu'à un ami, un étudiant. Il se trouvait que cet étudiant s'intéressait au phénomène OVNI depuis quelques années, et qu'ils savaient que lui au moins aurait l'esprit ouvert à ce sujet et les écouteraient. L'étudiant a fait mieux que cela; il a enregistré leur récit sur bande magnétique.
Deux ans après, une enquête de Jean-Paul Guguen, de la station O.R.T.F. de Poitiers, permet de découvrir cet enregistrement que l'étudiant avait gardé au fond d'un tiroir, parmi ses archives personnelles, et il a alors été diffusé le 27 février 1974 à 20:30 dans l'émission "Pas de Panique", de Claude Villiers, Olivier Nanteau et Monique Desbarbat, à la radio nationale France-Inter.
Voici la transcription de ce que la professeur de français a enregistré sur cette bande :
"Ce que j'ai vu s'est passé à Saint-Jean-du-Gard, le mercredi 9 août 1972, vers 2 heures et demie du matin. Nous étions rentrés assez tard cette nuit-là et campions chez des amis ayant un jardin en terrasse. Ce jardin se trouve sur la route de Nîmes, à la sortie de Saint-Jean-du-Gard. Nous étions sur l'une des collines bordant la vallée. Je suis sortie vers 2 heures et demie du matin parce que j'entendais les flonflons de la fête à Saint-Jean-du-Gard."
"Au-dessus de la ville se distinguait une lueur assez vive, produite par les lumières de la fête. Mais, de notre côté, le ciel restait sombre. Il y avait de gros nuages et absolument aucune lumière. Tout était éteint dans les chemins qui dominaient sur la colline. Donc, je prenais le frais lorsque mon regard fut attiré par une sorte de boule blanche, de la grosseur d'une Isotta Fiat. Elle m'a intriguée: elle était très brillante. Je ne comprenais pas pourquoi cette voiture pouvait être aussi brillante alors que tout était sombre autour de là et qu'il n'y avait pas une seule lumière. Cette voiture était garée dans un petit parc-autos réservé aux habitants des trois ou quatre villas construites sur la colline."
"J'observais cette voiture phosphorescente en essayant de comprendre pourquoi elle était si lumineuse, lorsque j'entendis marcher derrière moi. Des pas bizarres, pas tellement rapprochés, pas tellement lourds non plus, comme si un enfant avait foulé des herbes sèches en progressant assez régulièrement et lentement. Ayant entendu ces pas, je me suis retournée vers la gauche: à trois ou quatre mètres, une forme était tournée vers moi. Je ne veux pas dire "un être me regardait", parce que, sur le moment, je n'ai pas ressenti cette impression."
"Cette forme mesurait environ un mètre vingt de haut. Elle était absolument noire. Fait curieux, ce corps tenait du parallélépipède. Il me semblait, que cette forme était en bois de trente à quarante centimètres d'épaisseur. Ce parallélépipède était surmonté d'une forme ovoïde à la place de la tête. Deux ronds blancs posés à la hauteur des yeux, deux ronds blancs de cinq centimètres de diamètre se détachaient seuls de cette masse noire, tournée vers moi, immobile. Je ne voyais ni les pieds ni les jambes, disons, ce qui devait lui servir à marcher, puisque les grandes herbes les cachaient."
"Je n'oublierai jamais l'impression éprouvée: une peur morbide, incroyable, pas naturelle. Elle ne venait pas de moi; elle semblait émise par la forme entrevue, comme si elle voulait me neutraliser. Je n'avais jamais ressenti cela auparavant. J'ai eu cette sensation durant trois secondes environ, le temps qu'a duré ma vision. La nature paraissait morte, comme figée, autour de cette "chose». On avait l'impression que cet être exerçait un pouvoir extraordinaire sur tout ce qui l'entourait, que ce soit un être animé ou des plantes. Tout était réduit au même niveau, C'est-à-dire figé, je le répète."
"Ensuite, je suis rentrée d'un seul coup dans la tente pour rejoindre Michel, mon mari. Sur le moment, je n'avais pas fait de liaison entre cet être et la forme ronde phosphorescente entrevue sur le parc autos. Le lendemain, j'ai commencé à comprendre qu'il y avait un rapport entre les deux. Après cette courte, mais saisissante vision, nous avons dormi."
"Le lendemain matin, nous ne voulions pas en parler mais finalement nous avons demandé aux habitants des villas voisines, s'ils n'avaient rien vu d'anormal. Nous nous sommes heurtés à une incompréhension totale. Tous restaient enfermés dans leurs préjugés. Ils essayaient de rationaliser en nous affirmant: "Ce que vous avez vu, ce sont des petits graviers qui brillaient dans la nuit ou des lumières de vélomoteurs qui passaient." J'étais sûre que cela n'avait rien à voir! Cependant, une dame a réfléchi. Elle nous a dit: "Tiens, c'est vrai, sur le coup de 2 heures et demie du matin, j'ai entendu marcher sur ma terrasse." Sa maison était située à trente mètres de notre tente, un peu plus bas. Mais cette personne n'est pas sortie pour aller voir ce fameux rôdeur. Elle s'est rendormie. Les autres sont restés sceptiques. Nous nous sommes heurtés à des murs."
Il se trouve que le reporter, Jean-Paul Guguen, était parvenu à localiser ce couple de professeurs, et ils ont été invité à l'émission, deux ans après les faits, donc. Sans qu'on leur ait donné à entendre la bande enregistrée par l'étudiant deux ans plus tôt, ils ont parlé de l'événement à nouveau, répondant aux questions de Jean-Paul Guguen :
" - La tente était derrière moi. J'entendais marcher et je croyais que mon mari était sorti ou bougeait à l'intérieur de la tente. Je me tourne d'un quart de tour sur la gauche, et là, sur la même terrasse que la tente, je vois à environ cinq mètres, quelque chose. En fait, je ne peux pas dire quelque chose parce que j'avais l'impression qu'il y existait une vie. J'ai vu quelqu'un ou quelque chose qui me regardait, ou du moins qui était tourné vers moi et ne bougeait pas. Imaginez un morceau de sucre que vous peignez en noir; vous mettez dessus une tête bien ovale. Le tout pas brillant, noir mat. A la place des yeux, deux disques blancs, très grands. Et c'est tout. Pas de bouche, pas de nez, pas de bras. Je n'ai pu voir s'il avait des jambes parce que de grandes herbes folles s'élevaient assez haut.. Il mesurait à peu près un mètre vingt de haut. "
" - Aviez-vous l'impression qu'il vous fixait?"
" - Je ne veux pas dire qu'il me fixait, parce qu'il n'y avait pas de regard. Il y avait simplement une tête tournée vers moi, mais avec une attitude très figée. J'ai eu l'impression qu'il se passait quelque chose. Que la nature s'était arrêtée de vivre."
" - Combien de temps avez-vous regardé cet humanoïde?"
" - Cela a duré à peine quinze secondes. J'ai eu peur: je me suis précipitée dans la tente et j'ai fait un bond énorme."
Jean-Paul Guguen écoute ensuite le mari:
" - J'étais allongé dans la tente; d'un seul coup j'ai vu ma femme surgir dans la tenté, d'un bond énorme. Elle m'a dit: "Je viens de voir quelque chose d'épouvantable, d'affreux!" Je n'ai pas compris ce qu'elle avait vu mais j'ai compris qu'elle venait de voir quelque chose d'exceptionnel."
" - Pourquoi n'êtes-vous pas sorti?"
" - Elle avait le visage littéralement déformé par la peur. Je n'ai pas eu le courage de sortir. J'ai fermé la tente de l'intérieur. Nous avons attendu en écoutant."
La professeur poursuit :
" - Quand j'ai compris que c'était un petit humanoïde que j'avais vu, je n'ai pas voulu sortir car j'avais lu que des mouvements de frayeur de notre part pouvaient être mal interprétés par eux."
" - Si je vous comprends bien, vous étiez déjà conditionnée par vos lectures?"
" - Non, je n'ai pas pensé à un extraterrestre ou à une soucoupe volante tout de suite. J'ai eu d'abord très peur et je suis restée sous le coup de la frayeur pendant dix minutes. Après seulement, j'ai commencé à réfléchir et j'ai fait le lien avec la forme ronde et lumineuse vue en bas, sur le parc-autos."
" - Le lendemain matin, avez-vous éprouvé la curiosité d'aller voir les traces éventuelles?"
" - Oui. Nous avons repéré les endroits. D'abord, près de la tente il y avait de l'herbe foulée. Mais ce n'était pas significatif, parce que des personnes auraient très bien pu imprimer ces traces. En bas, sur le parc autos, nous avons cherché des traces : en vain."
Son mari poursuit :
" - Quand nous avons raconté notre histoire, le lendemain, une personne qui habitait à cinquante mètres de nous s'est souvenue que cette nuit-là, à 2 heures et demie du matin, elle avait entendu des pas sur sa terrasse. Elle avait failli se lever, pensant que c'était un rôdeur. Finalement, elle s'était rendormie."
Jean-Paul Guguen demande à la professeur :
" - Si, demain, vous aperceviez à nouveau un humanoïde, pousseriez-vous plus loin l'expérience? Tenteriez vous d'entrer en contact?"
" - Pour ma part, certainement."
" - Sans aucune crainte?"
" - Cette fois non. Disons tout de même que si c'était dans les mêmes circonstances, la nuit, j'aurais peut-être les mêmes réactions de frayeur. Mais si c'était en plein jour et si je le voyais descendre d'une soucoupe et venir vers moi d'une manière beaucoup plus brutale et soudaine, je pousserais la rencontre plus loin, par curiosité."
" - Pensez-vous que la découverte de ces êtres apporte quelque chose à la science?"
" - Je ne pense pas que ce soit à la science, mais plutôt à chacun d'entre nous. Cela nous permet d'avoir l'esprit plus ouvert, d'élargir notre champ de vision et une manière de vivre. Il faut penser qu'il est tout à fait possible qu'il y ait d'autres formes de vie que la nôtre dans l'univers."
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Re: (1972) Saint-Jean du Gard, France
Sam 15 Déc 2007, 00:49
wow ! purée j'irais jamais camper aprés ça xD
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Re: (1972) Saint-Jean du Gard, France
Mer 19 Déc 2007, 13:38
une description d'entité pas banale...
c'est la premiere fois que j'entends une telle description...
surprenant et tres interessant!
c'est la premiere fois que j'entends une telle description...
surprenant et tres interessant!
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