- jorjikMembre Confirmé
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Par une sombre nuit d'été à NICE.
Lun 16 Déc 2013, 23:25
Publié le 21 mai 2008.
Par une sombre nuit d’été.
C’était par une sombre nuit d’été sans lune, très noire mais étoilée. Après la dernière séance de cinéma au centre ville, un peu avant minuit à Nice, il me fallait rentrer chez moi à pied à la colline du Parc Impérial. En ces temps là la vie était très calme, tout le monde se couchait tôt, aucune lumière aux fenêtres des maisons… en 1950 la télévision n’existait pas. La montée du long boulevard Tzarevitch, pour aller au « Parc », se terminait par un virage à droite croisant l’avenue Primerose.
En 1950 le phénomène soucoupe volante était inconnu. Les années ont passé, ce que j’avais vu a été vite oublié. Puis les récits d’observations d’objets volants ont fini par réveiller ma mémoire. A moins qu’avec l’age on retombe en enfance et les souvenirs reviennent. Me voilà donc, marchant tout seul dans la nuit, arrivant au virage. Cette nuit là le ciel était noir et étoilé, la pénombre, l’unique lampadaire éteint, aucune lumière aux fenêtres des rares villas. Le rôle des lampadaires n’était pas d’éclairer mais de baliser le tracé des voies A cette heure tardive toutes les rues étaient désertes. A ma gauche un vieux mur, un éboulis sur lequel poussait une vigne sauvage. En face de moi un muret délimitant la chaussée d’avec la végétation du début de la colline. La crête de la colline est encore et toujours orientée nord - sud. Je confirme, aucun bruit, un calme ouaté. Tout à coup une sorte d’aspiration rend le silence encore plus silencieux ! Une sensation de dépression d’air, sensation perçue par les tympans, celui du côté gauche, côté vigne, en premier. Ce phénomène donne froid dans le dos et la chair de poule. Un effet dû à un événement que le cerveau ne peut analyser. Au même instant un « bolide » file silencieusement au ras de la crête.
Un passage très rapide, à la vitesse d’une étoile filante un peu lente. Le temps d’observation a duré moins de deux secondes car mon champ de vision était limité par une villa à ma droite et une maison à ma gauche. Le cap de la trajectoire du bolide était au S-SO. N’ayant aucune référence de l’objet il m’était impossible d’évaluer sa dimension, la distance qui nous en séparait, et bien sûr sa vitesse réelle. Le plus étrange était que la chose, de forme ovale, je pense plutôt un disque volant en oblique, tournait sur elle-même en sens inverse de son avancement. Une rotation inverse au sens d’avancement se voit quand la vision est déphasée par rapport à la rotation. A un moment par exemple, les roues des F-1 ou les tours d’hélice dévissent. Le disque de couleur jaune orangé était semé de flammes rouges marquant le sens de rotation.
Une traînée intermittente, une sorte de gaz jaune, laissait la trace de la trajectoire. La traînée s’évaporait instantanément. Après la disparition rapide du phénomène tout était redevenu calme et tranquille. Ce qui m‘avait le plus marqué ce fut d’abord ce silence absolu puis cette sensation « d’aspiration de l’air et du bruit, du son. » une sorte de dépression. Cette vision oubliée est restée une énigme. C’était peut être une banale comète.
PS: Une image aurait dû se trouver dans le texte.
Par une sombre nuit d’été.
C’était par une sombre nuit d’été sans lune, très noire mais étoilée. Après la dernière séance de cinéma au centre ville, un peu avant minuit à Nice, il me fallait rentrer chez moi à pied à la colline du Parc Impérial. En ces temps là la vie était très calme, tout le monde se couchait tôt, aucune lumière aux fenêtres des maisons… en 1950 la télévision n’existait pas. La montée du long boulevard Tzarevitch, pour aller au « Parc », se terminait par un virage à droite croisant l’avenue Primerose.
En 1950 le phénomène soucoupe volante était inconnu. Les années ont passé, ce que j’avais vu a été vite oublié. Puis les récits d’observations d’objets volants ont fini par réveiller ma mémoire. A moins qu’avec l’age on retombe en enfance et les souvenirs reviennent. Me voilà donc, marchant tout seul dans la nuit, arrivant au virage. Cette nuit là le ciel était noir et étoilé, la pénombre, l’unique lampadaire éteint, aucune lumière aux fenêtres des rares villas. Le rôle des lampadaires n’était pas d’éclairer mais de baliser le tracé des voies A cette heure tardive toutes les rues étaient désertes. A ma gauche un vieux mur, un éboulis sur lequel poussait une vigne sauvage. En face de moi un muret délimitant la chaussée d’avec la végétation du début de la colline. La crête de la colline est encore et toujours orientée nord - sud. Je confirme, aucun bruit, un calme ouaté. Tout à coup une sorte d’aspiration rend le silence encore plus silencieux ! Une sensation de dépression d’air, sensation perçue par les tympans, celui du côté gauche, côté vigne, en premier. Ce phénomène donne froid dans le dos et la chair de poule. Un effet dû à un événement que le cerveau ne peut analyser. Au même instant un « bolide » file silencieusement au ras de la crête.
Un passage très rapide, à la vitesse d’une étoile filante un peu lente. Le temps d’observation a duré moins de deux secondes car mon champ de vision était limité par une villa à ma droite et une maison à ma gauche. Le cap de la trajectoire du bolide était au S-SO. N’ayant aucune référence de l’objet il m’était impossible d’évaluer sa dimension, la distance qui nous en séparait, et bien sûr sa vitesse réelle. Le plus étrange était que la chose, de forme ovale, je pense plutôt un disque volant en oblique, tournait sur elle-même en sens inverse de son avancement. Une rotation inverse au sens d’avancement se voit quand la vision est déphasée par rapport à la rotation. A un moment par exemple, les roues des F-1 ou les tours d’hélice dévissent. Le disque de couleur jaune orangé était semé de flammes rouges marquant le sens de rotation.
Une traînée intermittente, une sorte de gaz jaune, laissait la trace de la trajectoire. La traînée s’évaporait instantanément. Après la disparition rapide du phénomène tout était redevenu calme et tranquille. Ce qui m‘avait le plus marqué ce fut d’abord ce silence absolu puis cette sensation « d’aspiration de l’air et du bruit, du son. » une sorte de dépression. Cette vision oubliée est restée une énigme. C’était peut être une banale comète.
PS: Une image aurait dû se trouver dans le texte.
- HannibalAdministrateur
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Re: Par une sombre nuit d'été à NICE.
Mar 17 Déc 2013, 06:19
Bonjour et bienvenue, merci de ce récit impressionnant, pourriez vous remplir de formulaire de témoignage pour que nous étudions votre observation dans la section appropriée?
Le formulaire est ici..https://www.forum-ovni-ufologie.com/h32-formulaire-de-temoignage-ovni
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Re: Par une sombre nuit d'été à NICE.
Ven 20 Déc 2013, 13:56
Bonjour et bienvenue,
Merci d'utiliser le lien en bas de ma signature pour votre témoignage.
Cdt,
Merci d'utiliser le lien en bas de ma signature pour votre témoignage.
Cdt,
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- https://www.forum-ovni-ufologie.com/t2585-le-reglement-du-forum-a-lire-obligatoirement-avant-de-participer-au-forum
Et n'oubliez pas le lien pour vos témoignages: https://www.forum-ovni-ufologie.com/h32-formulaire-de-temoignage-ovni
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