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Chercheuses d'étoiles
Dim 11 Aoû 2019, 15:46
Bonjour
Il ne fait aucun doute que la recherche de la vie exogène laquelle, n'en déplaise à certains, peut être corrélé avec la recherche sur le phénomène ovni, passe obligatoirement par une étude soigneuse et approfondie du Cosmos.
Voici ce que nous propose Le Monde : Le 3 août, on lance la série documentaire « Chercheuses d’étoiles » ! L'idée, c'est de vous raconter chaque semaine pendant un mois de grandes découvertes astronomiques faites par des femmes. Des femmes souvent méconnues qui ont pourtant permis de mieux comprendre les mystères de l’univers. Les épisodes de la série sortiront chaque samedi du mois d’août, à 14 h. Vous pourrez les retrouver dans la playlist dédiée ici : https://www.youtube.com/playlist?list...
Henrietta Leavitt.
Sur Terre, quand on veut savoir à quelle distance se trouve quelque chose, il suffit de mesurer. Mais avec les astres du ciel, du fait de leur éloignement, c’est bien sûr plus compliqué. Pourtant, on connaît aujourd’hui la distance de nombreuses étoiles, de galaxies, et même la taille de l’univers observable. Pour en arriver là, il a fallu un outil crucial : les céphéides. La particularité de ces étoiles ? Elles clignotent.
Celle qui a compris comment se servir de ces étoiles pour mesurer l’univers, c’est Henrietta Leavitt. Méconnue aujourd’hui, cette astronome américaine a pourtant permis à travers ses travaux de mesurer de grandes distances dans le cosmos, et a aussi posé les bases pratiques pour élaborer la théorie du Big Bang.
Cecilia Payne,
Depuis la nuit des temps, le soleil brille sur la Terre. Pourtant, la nature de cette grosse boule jaune est restée mystérieuse pendant des millénaires. Notre étoile, le Soleil, était bien trop loin de la Terre pour comprendre ce qu’elle renfermait.
Ce n’est qu’au début du XXe siècle, avec les travaux de l’astronome Cecilia Payne, que le mystère s’est éclairci. En s’appuyant sur la spectroscopie et la physique atomique, la jeune astronome a trouvé les premières clés pour comprendre ce qu’il y a dans les étoiles. Et cette découverte s’est avérée révolutionnaire.
Cordialement bon visionnage
Loreline
Il ne fait aucun doute que la recherche de la vie exogène laquelle, n'en déplaise à certains, peut être corrélé avec la recherche sur le phénomène ovni, passe obligatoirement par une étude soigneuse et approfondie du Cosmos.
Voici ce que nous propose Le Monde : Le 3 août, on lance la série documentaire « Chercheuses d’étoiles » ! L'idée, c'est de vous raconter chaque semaine pendant un mois de grandes découvertes astronomiques faites par des femmes. Des femmes souvent méconnues qui ont pourtant permis de mieux comprendre les mystères de l’univers. Les épisodes de la série sortiront chaque samedi du mois d’août, à 14 h. Vous pourrez les retrouver dans la playlist dédiée ici : https://www.youtube.com/playlist?list...
Henrietta Leavitt.
Sur Terre, quand on veut savoir à quelle distance se trouve quelque chose, il suffit de mesurer. Mais avec les astres du ciel, du fait de leur éloignement, c’est bien sûr plus compliqué. Pourtant, on connaît aujourd’hui la distance de nombreuses étoiles, de galaxies, et même la taille de l’univers observable. Pour en arriver là, il a fallu un outil crucial : les céphéides. La particularité de ces étoiles ? Elles clignotent.
Celle qui a compris comment se servir de ces étoiles pour mesurer l’univers, c’est Henrietta Leavitt. Méconnue aujourd’hui, cette astronome américaine a pourtant permis à travers ses travaux de mesurer de grandes distances dans le cosmos, et a aussi posé les bases pratiques pour élaborer la théorie du Big Bang.
Cecilia Payne,
Depuis la nuit des temps, le soleil brille sur la Terre. Pourtant, la nature de cette grosse boule jaune est restée mystérieuse pendant des millénaires. Notre étoile, le Soleil, était bien trop loin de la Terre pour comprendre ce qu’elle renfermait.
Ce n’est qu’au début du XXe siècle, avec les travaux de l’astronome Cecilia Payne, que le mystère s’est éclairci. En s’appuyant sur la spectroscopie et la physique atomique, la jeune astronome a trouvé les premières clés pour comprendre ce qu’il y a dans les étoiles. Et cette découverte s’est avérée révolutionnaire.
Cordialement bon visionnage
Loreline
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Re: Chercheuses d'étoiles
Sam 24 Aoû 2019, 13:46
Bonjour
Margaret Burbidge
Chercheuses d’étoiles (3/4). Cet épisode de notre série documentaire vous raconte comment l’astrophysicienne et ses collègues ont découvert, en 1957, les origines de la matière. Indice : ça se passe dans le ciel.
Une plume, un caillou, un pot de fleurs… D’où vient toute cette matière qui nous entoure ?
C’est la question que s’est posée un groupe d’astronomes et de physiciens dans les années 1950.
Dans leur équipe, il y avait une femme : Margaret Burbidge. Sa spécialité ? L’observation des étoiles. Et ça tombe bien, puisque l’origine de la plupart des éléments chimiques de notre monde se cache précisément au cœur des étoiles.
Pour expliquer tout ça, Margaret Burbidge, Geoffrey Burbidge, William Fowler et Fred Hoyle publient, en 1957, un article fondateur intitulé « Synthesis of Elements in Stars », mais plus connu sous le nom de « B2FH », d’après les initiales du nom de ses auteurs.
La conclusion est simple : nous sommes tous des poussières d’étoiles.
Bon visionnage
Loreline
Margaret Burbidge
Chercheuses d’étoiles (3/4). Cet épisode de notre série documentaire vous raconte comment l’astrophysicienne et ses collègues ont découvert, en 1957, les origines de la matière. Indice : ça se passe dans le ciel.
Une plume, un caillou, un pot de fleurs… D’où vient toute cette matière qui nous entoure ?
C’est la question que s’est posée un groupe d’astronomes et de physiciens dans les années 1950.
Dans leur équipe, il y avait une femme : Margaret Burbidge. Sa spécialité ? L’observation des étoiles. Et ça tombe bien, puisque l’origine de la plupart des éléments chimiques de notre monde se cache précisément au cœur des étoiles.
Pour expliquer tout ça, Margaret Burbidge, Geoffrey Burbidge, William Fowler et Fred Hoyle publient, en 1957, un article fondateur intitulé « Synthesis of Elements in Stars », mais plus connu sous le nom de « B2FH », d’après les initiales du nom de ses auteurs.
La conclusion est simple : nous sommes tous des poussières d’étoiles.
Bon visionnage
Loreline
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Re: Chercheuses d'étoiles
Ven 30 Aoû 2019, 15:43
Bonjour
l'astronome américaine, Vera Rubin
Le Monde
Ajoutée le 24 août 2019
Pendant des siècles, dans l’univers tout allait bien. Les règles expliquant la gravité et le mouvement des astres fonctionnaient à merveille. Et puis, au milieu du XXe siècle, tout bascule. Plusieurs astronomes se rendent compte que les étoiles ne tournent pas rond. C’est notamment le constat d’une astronome américaine, Vera Rubin. Dans les années 1970, elle se rend compte que, dans les galaxies, certaines étoiles tournent beaucoup trop vite.
Pour tenter de résoudre cette incohérence, on émet l’hypothèse qu’il pourrait exister une matière invisible dans l’univers. Une matière qui expliquerait les anomalies gravitationnelles observées par Vera Rubin et ses confrères. Elle est baptisée matière noire.
Bon visionnage
Loreline
l'astronome américaine, Vera Rubin
Le Monde
Ajoutée le 24 août 2019
Pendant des siècles, dans l’univers tout allait bien. Les règles expliquant la gravité et le mouvement des astres fonctionnaient à merveille. Et puis, au milieu du XXe siècle, tout bascule. Plusieurs astronomes se rendent compte que les étoiles ne tournent pas rond. C’est notamment le constat d’une astronome américaine, Vera Rubin. Dans les années 1970, elle se rend compte que, dans les galaxies, certaines étoiles tournent beaucoup trop vite.
Pour tenter de résoudre cette incohérence, on émet l’hypothèse qu’il pourrait exister une matière invisible dans l’univers. Une matière qui expliquerait les anomalies gravitationnelles observées par Vera Rubin et ses confrères. Elle est baptisée matière noire.
Bon visionnage
Loreline
- InvitéInvité
Re: Chercheuses d'étoiles
Mer 11 Sep 2019, 20:49
Bonjour
Géographe du cosmos, Hélène Courtois, née Di Nella
est une astrophysicienne française spécialisée en cosmographie. Docteure en astrophysique, elle est professeure et vice-présidente de l’université Lyon 1. Elle est chevalier de l'ordre des Palmes académiques et membre senior de l'Institut universitaire de France depuis octobre 2015.
Directrice d'une équipe de recherche en cosmologie à l'Institut de physique nucléaire de Lyon (IPNL) et codirectrice de deux consortiums internationaux « Cosmic Flows4 » et « CLUES5 », elle est principalement connue pour ses recherches en cosmographie dynamique de l'Univers.
et aussi dans l'émission de France Culture La METHODE SCIENTIFIQUE : ►ICI
Son nouveau livre :
Explorateurs de l'espace
Voyage au frontière de l'Univers
Michel Tognini, Hélène Courtois
Cordialement
Loreline
Géographe du cosmos, Hélène Courtois, née Di Nella
est une astrophysicienne française spécialisée en cosmographie. Docteure en astrophysique, elle est professeure et vice-présidente de l’université Lyon 1. Elle est chevalier de l'ordre des Palmes académiques et membre senior de l'Institut universitaire de France depuis octobre 2015.
Directrice d'une équipe de recherche en cosmologie à l'Institut de physique nucléaire de Lyon (IPNL) et codirectrice de deux consortiums internationaux « Cosmic Flows4 » et « CLUES5 », elle est principalement connue pour ses recherches en cosmographie dynamique de l'Univers.
et aussi dans l'émission de France Culture La METHODE SCIENTIFIQUE : ►ICI
Son nouveau livre :
Explorateurs de l'espace
Voyage au frontière de l'Univers
Michel Tognini, Hélène Courtois
Cordialement
Loreline
- InvitéInvité
Re: Chercheuses d'étoiles
Mar 02 Aoû 2022, 05:48
Bonjour
La recherche de la vie extraterrestre entre naturellement dans les programmes scientifiques
**************************
Beatriz Villarroel de Nordita est l’une des deux chercheuses à recevoir cette année le prix L’Oréal-Unesco pour les femmes et la science en Suède.
Elle a lancé un projet d’astronomie avec la science citoyenne pour identifier les sources de lumière manquantes dans le ciel nocturne.
Extrait :
"Selon elle, la recherche pourrait conduire à la découverte de nouveaux phénomènes physiques, y compris des « supernovae ratées », où une étoile peut s’effondrer directement dans un trou noir.
« Vous pouvez également découvrir des étoiles inhabituelles ou des noyaux de galaxies actifs. De plus, la disparition des étoiles peut être un signe de technologie extraterrestre », dit-elle.
Le projet VASCO utilise la science citoyenne pour aider à examiner les images de 150 000 sources lumineuses dans l’espace.
« Un tel projet aide à étudier les objets, tandis que nous pouvons mettre en œuvre VASCO dans l’enseignement et dans diverses activités pour les astronomes amateurs. »
Scientifiquement, elle espère trouver une étoile dans une image qui a été vue plusieurs fois dans les années 1950 et qui n’a pas été vue une seule fois au cours de la dernière décennie, pas même avec les plus grands télescopes.
« J’espère également que le projet sera une entrée dans la recherche astronomique pour les personnes dans les pays pauvres qui rêvent de participer à la recherche d’intelligence extraterrestre. »
Source : ►ICI
Il y a un peu plus d'un an
Edit : il y a 2 mois :
https://webpro-cms.ll.iac.es/en/outreach/news/beatriz-villarroel-awarded-loreal-unesco-prize-women-science
Villarroel commente l’état actuel du projet « Maintenant, nous avons deux articles très intéressants envoyés à des revues avec des facteurs d’impact élevés, qui sont actuellement en cours de sélection Ils ont été écrits en collaboration avec le Dr Enrique Solano de l’Observatoire virtuel espagnol, (https://svo.cab.inta-csic.es) et avec d’autres membres du projet VASCO.
Pour Beatriz Villarroel, l’aspect le plus excitant de son travail sont les idées et la discussion scientifique. « Il y a toujours quelque chose de nouveau à chercher et à essayer, de nouvelles idées me rendent enthousiaste, et je ne peux pas m’arrêter tant que je n’ai pas satisfait ma curiosité » « Aussi » ajoute-t-elle « Travailler avec des gens aussi brillants que mes collègues de VASCO est un véritable privilège » Elle se concentre également sur le projet de science citoyenne qu’ils développent. « Nous pouvons inspirer les jeunes à connaître l’astronomie et à collaborer avec nous pour rechercher l’inconnu. Pour cela, nous travaillons en étroite collaboration avec les scientifiques et les sociétés astronomiques du Niger et d’Algérie ».
Lorsqu’on lui demande « Qu’est-ce que cela signifie pour vous de gagner ce prix ? » Beatriz dit : « Beaucoup, c’est un véritable honneur. J’ai appris à connaître des gens merveilleux grâce au prix, et c’est une grande reconnaissance pour notre projet et pour notre équipe. J’espère que cette reconnaissance inspirera les jeunes femmes à poursuivre leurs rêves et à faire la science qu’elles veulent vraiment. »
Son interview sur TheDebrief https://www.youtube.com/watch?v=33QN06OaAV0&ab_channel=TheDebrief
pour comprendre cliquez sur : parametre ( la petite roue)►sous-titre ► anglais ► traduire automatiquement ► français
La recherche de la vie extraterrestre entre naturellement dans les programmes scientifiques
**************************
Beatriz Villarroel de Nordita est l’une des deux chercheuses à recevoir cette année le prix L’Oréal-Unesco pour les femmes et la science en Suède.
Elle a lancé un projet d’astronomie avec la science citoyenne pour identifier les sources de lumière manquantes dans le ciel nocturne.
Extrait :
"Selon elle, la recherche pourrait conduire à la découverte de nouveaux phénomènes physiques, y compris des « supernovae ratées », où une étoile peut s’effondrer directement dans un trou noir.
« Vous pouvez également découvrir des étoiles inhabituelles ou des noyaux de galaxies actifs. De plus, la disparition des étoiles peut être un signe de technologie extraterrestre », dit-elle.
Le projet VASCO utilise la science citoyenne pour aider à examiner les images de 150 000 sources lumineuses dans l’espace.
« Un tel projet aide à étudier les objets, tandis que nous pouvons mettre en œuvre VASCO dans l’enseignement et dans diverses activités pour les astronomes amateurs. »
Scientifiquement, elle espère trouver une étoile dans une image qui a été vue plusieurs fois dans les années 1950 et qui n’a pas été vue une seule fois au cours de la dernière décennie, pas même avec les plus grands télescopes.
« J’espère également que le projet sera une entrée dans la recherche astronomique pour les personnes dans les pays pauvres qui rêvent de participer à la recherche d’intelligence extraterrestre. »
Source : ►ICI
Il y a un peu plus d'un an
Edit : il y a 2 mois :
https://webpro-cms.ll.iac.es/en/outreach/news/beatriz-villarroel-awarded-loreal-unesco-prize-women-science
Villarroel commente l’état actuel du projet « Maintenant, nous avons deux articles très intéressants envoyés à des revues avec des facteurs d’impact élevés, qui sont actuellement en cours de sélection Ils ont été écrits en collaboration avec le Dr Enrique Solano de l’Observatoire virtuel espagnol, (https://svo.cab.inta-csic.es) et avec d’autres membres du projet VASCO.
Pour Beatriz Villarroel, l’aspect le plus excitant de son travail sont les idées et la discussion scientifique. « Il y a toujours quelque chose de nouveau à chercher et à essayer, de nouvelles idées me rendent enthousiaste, et je ne peux pas m’arrêter tant que je n’ai pas satisfait ma curiosité » « Aussi » ajoute-t-elle « Travailler avec des gens aussi brillants que mes collègues de VASCO est un véritable privilège » Elle se concentre également sur le projet de science citoyenne qu’ils développent. « Nous pouvons inspirer les jeunes à connaître l’astronomie et à collaborer avec nous pour rechercher l’inconnu. Pour cela, nous travaillons en étroite collaboration avec les scientifiques et les sociétés astronomiques du Niger et d’Algérie ».
Lorsqu’on lui demande « Qu’est-ce que cela signifie pour vous de gagner ce prix ? » Beatriz dit : « Beaucoup, c’est un véritable honneur. J’ai appris à connaître des gens merveilleux grâce au prix, et c’est une grande reconnaissance pour notre projet et pour notre équipe. J’espère que cette reconnaissance inspirera les jeunes femmes à poursuivre leurs rêves et à faire la science qu’elles veulent vraiment. »
Son interview sur TheDebrief https://www.youtube.com/watch?v=33QN06OaAV0&ab_channel=TheDebrief
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Chercheuses d'étoiles
Mer 03 Aoû 2022, 18:57
Superbes vidéos
Merci Loreline...
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