- Benjamin.dResponsable du forum
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Le complot de la N.A.S.A au sujet des Ovnis (nasa ufo)
La NASA dépend de la NSA et de la CIA, et plus secondairement du NRO. Elle reste donc un organisme entièrement sous contrôle du gouvernement et soumise au secret militaire. Elle contrôle l'information au sujet du phénomène et à une attitude plus que suspecte.
Dr. Kurt Debus (Bildmitte), Direktor des John F. Kennedy Space Centers
Ils servent les intérêts et les directives américaines. Or en matière d'ovnis, ceux-ci sont très clairs: "ne dites rien, donnez-nous les éléments et cachez tout" comme le montre par exemple la gestion du phénomène par le projet blue book. Il est donc illusoire d'espérer une quelconque révélation de leur part, ce n'est pas le genre de la maison comme le montrent les déclarations d'astronautes. Des informations sur la vie extraterrestre et la présence d'ovni dans notre espace proche, seront donc systématiquement supprimées, dissimulées, tronquées, arrangées, minimisées ou encore discréditées. Bien évidemment, tout le monde à la NASA n'est pas dans le secret et ne participe pas forcément à ce genre d'opérations. Il est peu évident de déterminer qui sont les responsables, mais une chose est certaine, on ne doit surtout pas accorder une confiance aveugle à la NASA comme vous allez le constater. La NASA : 350 employés... aux relations publiques. C’est de mémoire d’homme la plus grosse boîte de communications scientifiques de la planète. Avec un tel effectif, inutile de dire que la NASA a toujours contrôlé l’information scientifique.
James Oberg a notamment défendu la thèse officielle de la NASA sur cette affaire.
James Edwin Webb, du 14 Février 1961 au 7 Octobre 1968
le docteur Thomas O. Paine, du 21 Mars 1969 au 15 Septembre 1970
le docteur James C. Fletcher, du 27 April 1971 au 1er Mai 1977
le docteur Robert A. Frosch, du 21 Juin 1977 au 20 janvier 1981
James M. Beggs, du 10 Juillet 1981 au 4 décembre 1985
le docteur James C. Fletcher, du 12 mai 1986 au 8 avril 1989
Richard H. Truly, du 14 mai 1989 au 31 mars 1992
Daniel S. Goldin, depuis le 1er Avril 1992
Gordon Cooper, astronaute
James McDivitt, astronaute
Joseph Walker, pilote d'essai
Robert White, pilote d'essai
Références :
Où sont les cassettes des premiers pas sur la Lune ?
lefigaro.fr (avec AP et AFP). Publié le 16 août 2006
Nasa films années 60
La Nasa a officiellement lancé mardi des recherches pour retrouver les 13.000 bandes originales des images de la mission historique Apollo 11.
C’est une petite erreur d’archivage, mais un grand embarras pour la Nasa. Mardi, l’Agence spatiale américaine a reconnu avoir égaré les cassettes originales de la première mission sur la Lune. La Nasa insiste : les bandes ne sont pas perdues, mais la grande agence ne sait pas où elles se trouvent.
Ces 13.000 cassettes de 15 minutes chacune ont été enregistrées depuis trois stations terrestres : Goldstone en Californie, Honeysuckle Creek et l'observatoire Parkes en Australie. Elles ont ensuite été envoyées au centre de Goddard, dans le Maryland, qui les a transférées aux Archives nationales fin 1969. Plus tard, la Nasa a demandé à les récupérer et c'est là que leur trace s'est perdue. L’Agence pense que les bandes se trouvent quelque part dans l'immense Centre Goddard, ou bien dans d’autres centres d’archivages. Reste à savoir lesquels.
Six mois minimum pour les retrouver
Ces images originales, tournées sur la Lune, sont précieuses : elles n’ont en effet jamais été visionnées par le grand public, ni même par les dirigeants de la Nasa. Il ne s’agit pas des images floconneuses et saccadées vues par des centaines de millions de paires d’yeux émerveillés, le 21 juillet 1969, mais bel et bien des films originaux, d’une finesse « trois à quatre fois plus élevée », selon les rares ingénieurs les ayant aperçus.
Mais surtout, ces bandes pourraient être utilisées pour des missions futures sur la Lune. Les cassettes contiennent en effet des images vidéo, mais aussi les enregistrements des voix de Neil Armstrong, Buzz Aldrin et Michael Collins, ainsi que leurs battements cardiaques et d’autres données médicales. Des informations cruciales, alors que les Américains envisagent un retour sur la Lune à l’horizon 2018.
Jusque-là, cette disparition n’inquiétait pas la Nasa plus que cela. Mais les informations diffusées dans la presse sur la perte des enregistrements ont poussé l'agence spatiale à lancer des recherches officielles. Six personnes y ont été affectées, et la Nasa espère bien retrouver son trésor d’ici à six mois.
Ou bien les auraient-ils tellement bien dissimulés pour préserver certaines vérités, pour que nous puissions plus les retrouver? Les témoignages d'astronautes, photos truquées et comme par hasard disparition des films cela fait beaucoup.
http://www.lefigaro.fr/sciences/
Dr. Peter Creola on ne doit pas accorder une confiance aveugle à la NASA
Dans un article du National Examiner daté du 22 décembre, Jeff Peckman rapporte les propos du Dr. Peter Creola, un ancien haut responsable de l’Agence spatiale européenne. Celui-ci plaide pour la Divulgation, et déclare qu’on ne doit pas accorder une confiance aveugle à la NASA.
"Le Dr. Peter Creola a été à la tête de la délégation suisse à l’ESA, et chef du Bureau des affaires spatiales (SSO), à Berne. Il a rejoint ceux qui réclament la vérité au sujet des Ovnis. L’ESA est l’équivalent européen de la NASA."
Robert Fleischer, Coordinateur du mouvement Exopolitique en Allemagne, a félicité le Dr. Creola en déclarant : "Il n’y a pas beaucoup de hauts fonctionnaires européens qui osent se mouiller lorsque ça concerne la réalité du phénomène Ovni. En tant que Président du ‘Bureau du Programme Ariane’, il a joué un rôle clé dans le lancement du premier transporteur européen, la fusée Ariane, et a participé à de nombreux projets importants de l’ESA."
Fleischer a également rappellé les déclarations du Dr. Creola, extraites d’une interview récente publiée par le magazine allemand “Mystères” :
“Question : A votre avis, est-ce qu’une étude scientifique du phénomène Ovni et de leurs systèmes de propulsion pourrait nous ouvrir des possibilités nouvelles pour notre activité spatiale ?
Dr Creola : Bien sûr - et pas seulement dans ce domaine, mais peut-être aussi pour l’avenir de l’humanité ! J’ai toujours été stupéfait de constater que les observations de vaisseaux silencieux, qui ne sont évidemment pas soumis aux lois de la gravitation, soient systématiquement ignorées par la science - du moins officiellement. (…)
Question : Pensez-vous que l’agence spatiale américaine, la NASA, dissimule des preuves sur les Ovnis ?
Dr Creola : La NASA fait partie d’un système gouvernemental. L’organisation s’adaptera nécessairement à la politique officielle, quelle que soit son orientation, il ne peut pas en être autrement. Si, par exemple, la ligne officielle impose de ne pas faire de commentaires sur certains sujets relatifs aux observations d’Ovnis, ou bien si certaines de ces manifestations concernent la Sécurité Nationale, alors la NASA suivra évidemment cette doctrine. En fait, dans cette situation, on ne doit pas accorder une confiance aveugle à la NASA.
Bien sûr, ça s’applique également à Roswell. Si le crash d’un objet extraterrestre a bien eu lieu dans la région en 1947, et si le gouvernement américain a réussi à maintenir l’embargo jusqu’à ce jour, alors la NASA se trouve obligée de respecter cette attitude (qui consiste à ne rien divulguer)."
Jeff Peckman conclut : “Les commentaires du Dr. Creola sont parfaitement cohérents avec les témoignages d’autres informateurs recueillis par le Disclosure Project, ainsi que ceux d’anciens hauts responsables gouvernementaux dans le monde entier. Nous souhaitons que son courage et sa probité pourront inspirer un effort similaire au sein de la NASA des Etats-Unis.”
Source http://ovnis-usa.com/
RAPPORT D’ANALYSE : MISSION STS 48
CONTEXTE:
Le 15 septembre 1991. Trois jours après son lancement pour la mission STS 48, la navette américaine Discovery filme une étrange scène grâce aux caméras embarquées à son bord. Sur l’enregistrement capté par de nombreux radioamateurs, on peut observer de mystérieux objets se déplacer étrangement, ce qui soulève vite une vague de polémiques dans les milieux ufologiques. Il s’agit de déterminer leur véritable nature parmi les différentes hypothèses proposées, d’une part par la NASA, de l’autre par les scientifiques intéressés par l’affaire. Ces deux points de vue sont exposés et expliqués par Jack Kasher, physicien et professeur d'astronomie à l'Université du Nebraska, interviewé dans le cadre de son analyse personnelle.
INTERVIEW DE JACK KASHER (RESUME)
N.B. Les propos de Jack Kasher sont retranscrits uniquement sous forme résumée et reformulée selon ses paroles affirmatives sans aucun commentaire personnel.
1) SITUATION
Cette entrevue avec Jack Kasher, intégrée dans un reportage intitulé "Dossiers OVNI 10 : Ovni et Nasa", se situe après une courte succession de films originaires principalement de la navette, montrant les objets en question sous différents angles de vue. Ces derniers étant en sa possession, ils constituent la base de toute son analyse. Il réactualise en effet le thème très ancien du " litige" entre les ovnis et la NASA, qui refuse de les prendre en considération voire même d’en accepter l’éventuelle existence. Il essaie donc de nous faire partager son point de vue à l’aide d’un résumé de la situation appuyé par cinq preuves " irréfutables" comme décrit ci-après.
2) PROPOSITIONS ET ANALYSES
Tout d’abord, comme dans toute affaire concernant de près ou de loin les ovnis, des explications scientifiques et rationnelles ont été émises pour décrire précisément le phénomène observé :
- la première évoquée fut celle de minuscules poussières sur l’objectif de la caméra. Néanmoins, deux arguments permettent de la réfuter : d’une part, la mise au point pour observer l’espace était réglée sur l’infiniment grand, donc de telles poussières même si elles y étaient seraient invisibles, le premier plan n’étant pas considéré. D’autre part, la même scène, donc le même mouvement, fut enregistrée par de multiples caméras, ce qui rend cette explication inconcevable, la probabilité pour que les mêmes poussières se soient situées au même niveau étant réellement infime.
- la seconde, beaucoup plus soutenue, développa le thème de particules de glace autour de la navette. Néanmoins, toutes les règles de la physique interdisent à un corps placé dans l’espace de changer brutalement de direction sans intervention extérieure. Ceci est valable aussi bien pour les particules de glace que pour les météores ou les satellites. De là, quatre scientifiques de la NASA chargés de trouver une explication plausible, émirent l’hypothèse que ces particules avaient été mises en mouvement par des gaz d’échappement provenant des propulseurs. Cette proposition n’est néanmoins valable que si les objets en question étaient à proximité de la navette, sans quoi ils auraient été impossibles à manoeuvrer. C’est cette explication qui sera étudiée en détail par Jack Kasher.
Afin de vérifier la validité de cette hypothèse, il fut mis en relation avec un groupe de microbiologistes dans le but d’analyser la séquence vidéo avec du matériel spécialisé pour les petites particules. Il fut ainsi possible de visualiser précisément la trajectoire des objets pour aboutir à la réalisation d’un graphique en fonction de la vitesse et du temps ainsi qu’à un calcul de leur vitesse en trois dimensions grâce aux mouvements relatifs de la caméra. Il en fut donc déduit que si les propulseurs furent à l’origine du mouvement, les particules de glace devaient se trouver à environ 20 mètres au-dessus de la navette pour pouvoir être influencées ainsi.
Il fallait encore déterminer quelle(s) fusée(s) aurai(en)t pu permettre ce déplacement, la navette Discovery en possédant 45 différentes réparties sur l’appareil : 38 normales d’une poussée de 870 livres et 6 verniers d’une poussée de 24 livres. D’après les calculs, si une fusée principale avait été allumée durant le film, la navette aurait effectué une rotation de six degrés, influant sur la place de la limite de la zone d’ionisation visible sur la vidéo, qui aurait changé considérablement de niveau. Il reste donc les six fusées verniers.
3) LES PREUVES
En partant de l’hypothèse que les objets sont bien des particules de glace mises en mouvement par des gaz d’échappement issus des propulseurs, Jack Kasher donne cinq preuves montrant l’impossibilité pratique de cette théorie grâce aux calculs effectués à partir de la vidéo :
- premièrement, l’étude de la vidéo montre l’existence d’un flash qui semble tout déclencher. Si, comme supposé, les propulseurs ont permis ce mouvement, ce flash correspondrait à l’allumage d’une fusée. Néanmoins, une mesure de luminosité indique qu’il existe un délai d’une demi-seconde entre le flash et le début de l’accélération pendant lequel l’objet est totalement immobile. Un " pré-flash" a pu aussi être détecté quelques dixièmes de secondes avant le suivant qui aurait pu le " stopper" . Si tel est le cas, il ne peut pas provenir de la navette car de sens contraire, ni être d’origine naturelle.
- deuxièmement, le tracé des trajectoires des objets permet de déterminer les directions des supposées particules. Si elles étaient dues à une fusée vernier de la navette, leurs directions devraient se croiser un point qui est la fusée en question ; or ces directions au lieu d’être sécantes sont fortement divergentes. De plus, les impulsions des fusées verniers sont d’une durée de 80ms donc très loin des 400ms du flash ou des 150ms du " pré-flash" . Ces fusées auraient également pu rester allumées plus longtemps, mais la durée minimale de leur fonctionnement continu est de une seconde, ce qui ne coïncide pas non plus avec les précédentes valeurs.
- troisièmement, un calcul mettant en relation le temps mis par les gaz d’échappement pour dépasser un objet quelconque avec la vitesse de ces gaz pour mettre en mouvement un corps immobile a été effectué. L’accélération de l’objet étant de 1,7 secondes et la durée d’un échappement de 0,4 seconde, l’objet devrait atteindre une vitesse égale à 98% de celle des gaz d’échappement soit 2750m/s. En parallèle, la vitesse réelle de l’objet a été calculée en définissant l’intersection entre la ligne issue de la caméra et celle de la fusée vernier ; il a été ainsi possible de transformer les pixels par seconde en mètres par seconde pour parvenir à une vitesse réelle de 1,5m/s. donc très loin de la précédente.
- quatrièmement, si l’objet, comme démontré précédemment, se situait à environ 20 mètres de la navette lorsque la fusée vernier se serait déclenchée, il aurait fallu une demi-seconde à ce dernier pour se mettre en mouvement, conformément au délai observé antérieurement. Donc si le flash provient bien de la fusée, il a fallu une demi-seconde aux gaz d’échappement pour arriver, soit une vitesse de 40m/s au lieu de 2800m/s. Or l’objet devrait aussi se déplacer par la suite à 98% de cette vitesse soit très loin des 1,5m/s calculés auparavant.
- cinquièmement, grâce à la même méthode d’intersection, il en a été déduit que si la particule était placée là où elle devrait être pour avoir une vitesse de 2750m/s, elle serait à plus de 35 kilomètres de la navette donc impossible à voir de celle-ci ainsi que d’en être originaire. De plus, de la même manière, la direction de l’objet étant vers le haut, la fusée de correction en question devrait être à 24 kilomètres en dessous de la navette pour pousser la particule dans la bonne direction.
4) CONCLUSION
L’argumentation est encore appuyée par la poursuite de l’analyse sur une curieuse coïncidence qui est laissée ouverte à réflexion même si un avis personnel est soumis. Il est clair que sur la vidéo, on peut observer deux objets caractérisés de " principaux" qui décrivent une trajectoire étrange. Ces derniers sont accompagnés de deux flashs (un flash et un pré-flash) ainsi que de deux traînées les suivant de peu. Pour Jack Kasher, cela pourrait correspondre à des liens reliant les deux objets sous forme de signal voire même de missiles témoins d’une poursuite entre les deux engins.
Toutes ces preuves, observations et analyses, constituent pour lui un moyen irréfutable de prouver la nature extraterrestres des objets observés. En effet, selon lui, les explications de la NASA ne constituent en aucun cas un travail sérieux fournis par des scientifiques objectifs, mais simplement une volonté de dissimuler une vérité qu’elle n’est pas désireuse de dévoiler et qu’elle s’ingénie à cacher même devant une " évidence" .
ANALYSE PERSONNELLE DES DOCUMENTS
1) VIDEO ET OBSERVATIONS
Ce document est originaire d'une des caméras automatiques située à l'arrière de la soute de la navette Discovery lors de son 13e vol pour la 43e mission Space Transport System (STS 48) dirigée par le commandant John O.Creighton. Cette séquence est un extrait d'une durée de 14 secondes de la prise de vue effectuée en plan rapproché le 15 septembre 1991 entre 20:30 et 20:45 GMT au dessus de la côte ouest de l'Australie. Sur ce film, il est possible de distinguer différents objets blancs de forme plus ou moins circulaires, aux mouvements très divers (voir extrait et schéma). Néanmoins, deux d'entre eux attirent particulièrement l'attention quant à leur comportement étrange ; c'est pourquoi ils seront qualifiés de principaux par la suite. Malgré la qualité assez faible du fichier due certainement à la compression au format QuickTime (.mov), rendant difficiles les agrandissements, nous allons essayer de faire une analyse assez détaillée des trajectoires et de la distance des objets pour aboutir à une hypothèse quant à la nature de leurs mouvements et leur origine.
2) ETUDE DETAILLEE
a) Données générales
Tout d’abord, avant tout début d’étude, il est nécessaire de déterminer la vitesse de la navette, à partir de laquelle la vidéo a été prise. Sachant, qu’elle effectue une révolution (360°) en 90 minutes, elle parcourt l’équivalent de 4° en une minute. Sachant que la circonférence de la Terre à cet endroit est de 40007,97824 km, sa vitesse est de 444,5330916 km/min. soit 26671,98549 km/h. Parallèlement à cela, il est possible de connaître la vitesse de rotation d’un point de la Terre à cette latitude en utilisant cette circonférence ainsi que la durée du mouvement autour de son axe (23.56’04’’) donnant la valeur de 1671,564942 km/h soit environ 16 fois plus lentement que la navette.
b) Description de la scène
Le début de l’enregistrement nous montre la Terre à la limite de sa phase d’obscurité (voir schéma) et par conséquent laisse apparaître les deux objets principaux en surbrillance, au moment du lever du soleil ou de la sortie du cône d'ombre produit par la navette. Le premier d’entre eux se situe environ au centre de la vidéo, semble-t-il au niveau de la ligne d’horizon physique, au dessous de la zone d’ionisation. Il effectue un mouvement à une vitesse constante le long de cette ligne jusqu'à la partie supérieure gauche où il se produit une sorte de flash (pour reprendre le terme de Jack Kasher) provenant de la gauche de l’image. De là, une modification importante de la trajectoire se produit, et l’objet part à une vitesse nettement supérieure selon un angle d’environ 45°, vers le coin supérieur droit de l’image. A ce même moment, le deuxième objet situé jusque là immobile dans le coin inférieur gauche, part à une vitesse équivalente et selon le même angle vers le centre de la vidéo. Le détail de l’enregistrement image par image montre comme expliqué par Jack Kasher, l’existence de deux flashs d’intensité et de durée différente soit environ deux fois moindre pour le premier en considérant ces facteurs, accompagnés pour ce premier d’un arrêt temporaire de l’objet n°1 (0,5 s) jusqu’au deuxième flash, " signal" de départ. Je vais maintenant traiter différentes suppositions quant au lieu de l’objet en question.
c) L’objet se situe sur la ligne d’horizon physique
Bien qu’une vidéo ne permette pas de déterminer une distance exacte si on ne connaît pas la taille de l’élément à évaluer, en partant de l’hypothèse que le premier objet longe bien la ligne d’horizon physique, il est possible de déterminer sa distance théorique en prenant les valeurs exactes du rayon de la Terre (6367,4675 km) et de l’altitude de la navette (503,724672 km) puis en les appliquant dans la formule suivante :
(rayon de la Terre + altitude) x cos(sin-1(rayon de la Terre / rayon de la Terre + altitude))
soit (6871,192172) x cos(sin-1(6367,4675 / 6871,192172))
soit 2582,370907 km
Ainsi, on peut supposer que la distance entre la caméra de la navette et ce mystérieux objet serait de plus de 2500 km. Néanmoins à cette distance, il est impossible que des gaz d’échappement issus de la navette soient à l’origine du mouvement. Quelle que soit la nature de l’objet, même si les vitesses restent constantes dans le vide sidéral, il n’en est pas moins que les gaz "éparpillent" leurs molécules au fur et à mesure de leur progression, rendant ainsi la poussée possible de plus en plus faible.
d) L’objet est vu à travers l’atmosphère terrestre
L’atmosphère terrestre comme chacun sait est responsable de l’incandescence des objets entrant dans cette dernière : les molécules d’airs (O2, N2) devenant de plus en plus rassemblées sur un espace réduit produisent un échauffement des corps par frottement jusqu'à leur disparition si leur masse est suffisamment faible. Or on peut constater que selon la position de l’objet dans la vidéo, sa luminosité n’est pas constante : il peut être tour à tour très visible ou semble-t-il "dissimulé" sous quelque chose. Ce phénomène pourrait être dû à la présence d’atmosphère autour de lui, influant sur son apparence. Néanmoins, en théorie, tout objet pénétrant dans l’atmosphère subit un échauffement croissant ou tout au plus constant, mais en aucun cas ce dernier ne peut varier, la couche d’air étant une sphère presque parfaite. De plus, en comparant cet aspect avec celui d’un autre objet de la vidéo situé exactement dans le coin supérieur droit de la vidéo et donc n’étant absolument pas dans l’atmosphère terrestre, on constate que sa luminosité varie de la même manière, excluant donc l’influence du frottement atmosphérique. L’hypothèse précédente n’est donc valable que si l’objet se situe au niveau de l’horizon physique mais en dehors de l’atmosphère terrestre ou alors plus proche de la navette.
Le mouvement est originaire de la navette
Comme expliqué dans le point consacré à la description de la scène, il existe un délai d’une demi-seconde entre le flash et le départ de l’objet, correspondant alors, si le mouvement est bien déclenché par la navette, à la durée qu’ont mis les gaz d’échappement pour parvenir jusqu'à l’objet. Etant donné qu’ils ne peuvent pas aller plus vite que la navette elle-même, considérons leur vitesse maximale égale à celle de la navette soit 26671,9855 km/h soit environ 7,4 km/s. S'il a fallu une demi-seconde aux gaz pour arriver jusqu'à l’objet à cette vitesse, cela signifie qu’en utilisant la relation D=V x T , cet objet se situerait à 7,4 x 0,5 = 3,7 km. (En utilisant les données de Jack Kasher soit 2,8 km/s pour les gaz d’échappement, on abouti à un résultat de 1,4 km, tout aussi valable.) Or, à cette distance, maximale rappelons-le, il est parfaitement concevable que l’objet puisse être influencé par la navette, les gaz perdant certes de leur puissance, mais en en gardant suffisamment pour qu’il leur soit possible d’accélérer fortement l’objet, surtout si ce dernier n’avait pas une vitesse de départ très élevée. Cette hypothèse confirme donc la situation de l’objet en dehors de l’atmosphère terrestre mais relègue donc sa position apparente sur la ligne d’horizon physique au rang de simple coïncidence afin de plutôt privilégier sa proximité.
3) COMPARAISON ET CONCLUSION GENERALE
En considérant les données obtenues précédemment et en les comparant avec celle du résultat d’analyse de Jack Kasher, on constate qu’elles sont pour une part assez semblables et d'autre très contradictoires. En effet, en ce qui concerne les observations sur la vidéo, les deux versions concordent presque parfaitement. En revanche, pour ce qui est des autres preuves, les résultats sont très contrastés, et bien qu'il me soit impossible de l'affirmer, je pense en connaître la cause : Jack Kasher de son côté a basé toute sa recherche sur la supposition que les objets devaient se situer à 20 mètres de la navette pour pouvoir être influencés, résultat de l’analyse menée avec le groupe de microbiologistes. De même il est certain que si influence il y a, elle n'a pu être exercée que par une fusée de la navette. Ces hypothèses ont pour conséquence de rendre incomplet la quasi totalité de son raisonnement, l’action des forces dans l’espace étant très différente par rapport à la Terre. En effet, en supposant que cette distance séparant objet et navette soit supérieure à un kilomètre, les études menées se seraient avérées pour partie concluantes à l’exception de quelques-unes comme la preuve n°2 considérant l’intersection des trajectoires des objets. A ceci, je répondrais qu’au lieu de considérer la possibilité qu’une fusée vernier ait entraîné le mouvement, il serait justifié de penser que deux fusées verniers situées à deux endroits différents et allumées simultanément par l’équipage aient pu le causer. A partir de là, le mystérieux mouvement pourrait s’expliquer : il serait simplement dû à une intervention humaine sur un objet de nature néanmoins inconnu mais apparemment inerte, comme une particule de glace, hypothèse soutenue par la NASA.
Bien entendu, rien ne prouve que ces objets soient à proximité de la navette. Ils pourraient très bien se situer à 2500 km au loin ou au niveau de la ligne d’horizon physique comme expliqué dans mon troisième point. Néanmoins, ces derniers, s’ils sont au dessus de l’atmosphère, ne peuvent en aucun cas être influencés par un phénomène naturel ou humain comme la navette. Mais de cette manière, en l'absence de preuves tangibles, comment expliquer la présence de ces flashs ainsi que de cette variation brutale de trajectoire sans évoquer la nature étrange de ces objets voire même leur origine inconnue. C'est dans cette position que se situe Jack Kasher qui soutient sans hésitation l’hypothèse extraterrestre et renie toute autre supposition selon des preuves qui soit l’arrangent soit sont dues à une malencontreuse omission comme exposé précédemment.
Pour terminer je citerai simplement le discours tenu par la NASA devant les revues de presse américaines : "The objects seen are orbiter-generated debris illuminated by the sun. The flicker of light is the result of firing of the attitude thrusters on the orbiter, and the abrupt motions of the particles result from the impact of gas jets from the thrusters." [Les objets vus sont des débris générés par la navette et éclairés par le soleil. Leur clignotement est le résultat de l'allumage des correcteurs d'altitude de la navette, et le mouvement subite des particules provient de l'impact avec les gaz d'échappement des propulseurs.] Ainsi, malgré les points de vue très divers aussi bien parmi le milieu officiel que scientifique, il est impossible d’affirmer la véritable cause de ce mouvement ; je ne peux qu’admettre que l’hypothèse de la NASA est parfaitement envisageable et prouvée dans le cas où les objets sont à proximité de la navette mais qu'en est-il s'ils sont au loin...
Interviews de Clark McClelland de la NASA:
"Ce serait impossible de garder le secret sur des visites d'extra-terrestres. Tôt ou tard, des gens se mettraient à parler" (les sceptiques). Eh bien, peut-être est-il temps d'écouter ceux qui en effet, parlent.
Ingénieur Aérospatial et Assistant Technique du Responsable de la Mission Apollo, il a travaillé sur 622 lancements, dont ceux de la Navette et de la Station orbitale. Il faut lire en détails ce que Werner Von Braun lui avait confié de sa visite à Roswell, juste après le crash : "Il m'a raconté que le vaisseau ne semblait pas fait de métal, au sens où nous l'entendons sur Terre. Sa consistance était plutôt biologique, comme la peau. Les corps des occupants avaient été temporairement installés sous une tente médicale. Ils étaient petits, plutôt frêles, des têtes assez grandes, avec de grands yeux. Leur peau était grisâtre, et de texture reptilienne. Von Braun m'a donné cette précision que cette peau ressemblait à celle des serpents à sonnettes qu'il avait vu à plusieurs reprises à White Sands. Son examen des débris l'avait laissé perplexe : c'était comme de l'aluminum coloré, très fin, ce qui faisait penser à des emballages de chewing gum. Très léger, et extrêmement résistant. L'intérieur de l'engin était pratiquement dépourvu de tout équipement, comme si les créatures et le vaisseau formaient un ensemble."
En 1992, Clark McClelland a été renvoyé sans préavis de la NASA, parce qu'"il savait trop de choses concernant les Ovni" : "J'ai été convoqué au Bureau des Astronautes, à Cap Kennedy, ils m'ont retiré mon habilitation top-secret, ont confisqué mes effets personnels, mes instruments, ma combinaison d'astronaute (parce qu'il lui arrivait de participer en doublure à des essais au sol), etc., et il m'ont raccompagné vers la sortie sous bonne garde. Je n'ai pas été autorisé à saluer mes collègues avec lesquels j'avais partagé tant d'années.
Je me suis donc résolu à ouvrir un site web, pour révéler ce que j'ai appris tout au long de ces années (j'ai vu une créature alien , des Ovni sur la Lune, etc...).
PAOLA HARRIS RENCONTRE CLARK MCLELLAND DE LA NASA:
Je ne peux pas moi-même garantir que les témoignages de Clark McClelland concernant les observations d'OVNIS et l'implication de la NASA par rapport au phénomène sont vraies: il s'agit d'un témoignage humain. Je peux par contre dire qu'après vérifications, la participation de Clark McClelland aux projets de la NASA auquels il dit avoir paricipé est réelle. Il semble a priori être un témoin crédible.
Paola Harris est une correspondante internationale pour les magazines Italiens Notiziario UFO et Dossier Alieni et collaboratrice (traductions vers l'Italien) et amie de l'astronome J. Allen Hynek pendant 10 ans. Paola est aussi la correpondante du groupe UFO Disclosure.
Introduction par Paola Leopizzi Harris:
29 Septembre 2001.
Bonjour à tous.
J'ai interviewé Clark McClelland, qui était astronaute en équipe au sol, du 24 au 28 Juin 2001 à Orlando en Floride (il m'a fait visiter le Kennedy Space Center) et avec son aide, voici les commentaires que nous avons rassemblés. Son site web est STARGATE-CHRONICLES.ORG
Une Légende Emerge des Ombres - L'incroyable Histoire Inconnue de Clark C. McClelland:
Cela m'a pris environ six mois pour décider finalement d'essayer d'aborder cette histoire très spéciale d'un homme extraordinaire, Clark C. McClelland.
Qui est Clark C. McClelland, pourriez vous demander? C'est une bonne question. Pourquoi? Parce qu'il était en poste à l'intérieur des locaux Top Secrets de Cap Canaveral et du Kennedy Space Center pendant la majeure partie de sa vie et pratiquement inconnu sauf pour ceux qui ont travaillé avec et qui le respectaient pour ses diverses compétences. Il est l'un des êtres humains les plus uniques que j'ai jamais rencontré dans ma vie. Et j'en ai rencontré un certain nombre.
Je suis arrivée à Orlando, Floride et j'ai contacté Clark immédiatement. Il est venu à mon hôtel et nous sommes allés à un restaurant pour un dîner tardif. Le lendemain, il m'a invité à une visite guidée du Kennedy Space Center mondialement connu. La visite fut très agréable. J'ai découvert ces lieux qui ont fait l'Histoire tant de fois avec quelqu'un qui a réellement créé cette histoire. Nous avons regardé les fusées et sommes allés à la salle de projection en I-Max. Là nous avons vu un excellent film qui semblait envoyer les spectateurs dans l'espace. Le son était impressionnant. Pendant qu'un équipage de navette spatiale en orbite était montré, Clark a dit à un jeune garçon assis avec ses parents qu'il avait connu l'astronaute qui était sur l'écran. C'était Judy Resnik qui était morte dans l'explosion de Challenger en 1986. Clark avait des larmes aux yeux pendant qu'il parlait avec le jeune garçon impressionné. Clark a admis plus tard qu'il était un ami personnel de Judy et des membres de l'équipage infortuné. Il était évident que de voir ce film impressionnant faisaient revenir ses souvenirs de cette époque à la base de lancement quand l'évènement s'est produit. Il éprouvait encore du remords de nombreuses années après.
Nous sommes allés manger au restaurant LunchPad tout près. Là, j'ai commencé à interroger Clark au sujet de sa vie et sa participation aux mystères des phénomènes OVNIs, les visites d'extraterrestres à la Terre, et des sujets en rapport. Alors qu'il commençait à déverser son savoir, j'ai compris que cet homme était une vaste mine d'informations et la plupart étaient à faire dresser les cheveux sur la tête.
Il a raconté son histoire comme suit:
Clark est arrivé au Cap Canaveral dans les années 1950 au tout début de la course de l'espace avec l'ancienne Union soviétique. Son père Clyde, sa mère Betty et son frère Robert avaient été au secteur du port de l'espace pendant plusieurs mois avant et son père travaillait déjà au Cap.
Il a été formé comme concepteur structural dans l'ancienne capitale de l'acier des Etats-Unis, Pittsburgh, en Pennsylvanie.
Cette profession a fait de lui une personne très recherchée dans le programme de l'espace naissant. Ses premières tâches devaient aider à la conception et à la construction des tours en acier importantes pour le service des missiles. Les fusées ne sont pas lancées sans ces tours et la guerre froide était réellement chaude et importante en ce qui concerne le développement de missiles ballistiques intercontinentaux par l'Union Soviétique et les Etats-Unis. Ainsi chaque missile en cours de développement demandait une tour de service.
Pendant que nous discutions de son histoire des débuts, je lui ai demandé à brûle pourpoint, "Qu'est-ce que vous savez au sujet des OVNIS et les fusées qui ont été lancées? Il m'a regardé fixement pendant un moment de l'autre côté de la table, " Et bien, Paola, à mon arrivée ici, j'étais plus qu'un concepteur en acier.
"Paola, j'ai également servi pendant deux ans comme directeur adjoint d'Etat pour le Mutual UFO Network (MUFON) – (Réseau Mutuel Ovni) en Floride et ai créé et dirigé leur unité d'investigations au Kennedy Space Center au début des années 90. Je ne crois pas que quelqu'un d'autre a jamais servi de directeur d'une unité du NICAP ou du MUFON au KSC depuis."
"Au début, j'ai hésité à accepter une telle responsabilité pour NICAP parce que j'ai réalisé qu'elle allait probablement créer un conflit avec mes missions aérospatiales et le niveau d'habilitation supérieur (de secret) que les autres membres d'une telle unité auraient considérant nos différentes missions au Cap. Le Cap était une base d'USAF (United States Air Force - l'Armée de l'Air des US) de haute sécurité et dans d'autres secteurs, L' US Navy (la Marine) et l'US army (l'Armée) avait l'autorité dans leurs secteurs de lancement."
"J'ai spécifiquement demandé au major Keyhoe ou son personnel de ne révéler aucun de mes membres d'unité dans aucun document, livre, bulletin, rapport, etc... Il a convenu et il n'a seulement mentionné notre Unité 3 une fois dans son livre, "Aliens from Space" (Aliens de l'Espace. Le livre a été édité au début des années 70."
"Le mot OVNI était tabou, au Cap. Plus tard, mon implication chez NICAP, APRO et éventuellement au MUFON est revenue me hanter."
J'ai demandé à Clark, "Il est évident que vous ayez pris un grand risque que votre carrière pourrait être écourtée à cause de votre rapport avec le NICAP?" Il m'a regardé, son front plissé, et a dit, "Absolument, cela a par la suite détruit ma carrière en 1992". Emue, j'ai demandé, "Qu'est-ce qui s'est produit?" Clark continua "J'étais à ce moment-là assigné à un secteur Top Secret au quatrième étage du bâtiment du LCC (Launch Control Center - Centre de Commande de Lancement) et avec environ six autres membres de l'équipe, j'étais responsable de la surveillance de toutes les activités concernant la flotte de la navette spatiale et d'autres activités orbitales spéciales. Nous avons entendu et vu tout ce qui s'est produit en orbite. Donc, beaucoup d' "incidents".
La population du monde doit maintenant être informée du fait absolu que la Terre est et a été, depuis l'origine de la race humaine, visitée, sinon créé par des races en provenance des étoiles. La NASA et tous les gouvernements modernes de la terre sont au courant de ce fait. Continuer à retenir une telle information stupéfiante est une trahison des valeurs qu'on nous a appris à accepter de la part de nos prétendus chefs.
http://www.ufologie.net/htm/mclellandf.htm
Trucage et sélection des photos
Les photos de la NASA se répartissent en deux catégories. Les plus anciennes sont des photos réalisées de façon traditionnelle ; les plus récentes, des photos informatiques numérisées. La première génération de négatifs a été prise au moyen d’un appareil considéré comme le meilleur au monde par tous les photographes professionnels de l’époque ( années 60 et 70 ). Il s’agit du modèle suédois Hasselblad. Chaque mission américaine a emporté avec elle plusieurs appareil de cette marque. Certains, aujourd’hui, sont satellisés autour de la Terre, après avoir été lâchés dans l’espace par des astronautes maladroits ! Si l’appareil Hasselblad est irréprochable, les négatifs présentent cependant deux types de problèmes techniques.
D’une part, la NASA détient les clichés originaux et uniques. Elle ne transmet donc aux chercheurs qu’un contretype ( duplicata ) du négatif, ou même une simple épreuve sur papier. Cela entraîne un inévitable déficit de qualité. D’autre part, lorsqu’on agrandit des détails, on reste tributaire du grain photographique de la pellicule d’origine ; l’agrandissement est impossible au-delà d’un certain seuil. Au contraire, les photos numérisées tolèrent des grossissements beaucoup plus importants- jusqu’à la limite du pixel, ce petit carré informatique si célèbre. Envoyées par ondes radio et transmises directement par bandes magnétiques, elles sont d’une qualité nettement supérieure à celle des photos traditionnelles.
Les photos de la lune
Un satellite, appelé Clementine, a été lancé en 1994 pour cartographier la lune. On peut accéder au site officiel de l'US Navy et au browser Clementine, pour voir les images, ici :
http://www.cmf.nrl.navy.mil/clementine/clib/
D'étranges structures peuvent être vues sur ces photos prises par Clementine. En fait, on ne les visualise pas directement, car on s'aperçoit clairement qu'elles ont été censurées, ou camouflées. Voici ces troublantes images. Je vous rappelle qu'elles sont issues directement du site de l'US Navy, on peut donc bannir toute blague, HOAX (canular), toute retouche d'images dans le but de faire croire à quelque chose.
N'hésitez pas à cliquer sur les photos pour zoomer. Si vous croyez qu'elles sont trafiquées, allez voir en bas du billet où se trouve les liens des photos directement sur le serveur de la Navy (je n'ai pu faire une image directe du serveur, ça ralentissait trop).
On peut voir sur cette photo deux grandes tours qui ont été clairement gommées.
Sur cette deuxième photo, encore de nombreuses choses censurées au bas de cette photo. Trois tours, et un long tuyau ou chemin (pipeline ?) reliant les bâtiments.
Le gros paté en haut, pour le coup, peut-être une erreur de compression ou de transmission radio. Ou alors l'élément à masquer était trop important. Pour le reste, le floutage est clairement rajouté en post-production (par rapport à la perspective, la zone floue ne suit en rien l'aspect sphérique de la prise de vue).
Un peu plus troublant encore... Qu'est-ce qui pourrait bien se cacher derrière cette masse de pixels floutés ?
Et enfin, le meilleur pour la fin ! Le plus mauvais camouflage, on peut encore voir sur le côté droit les bords du bâtiments... Je rappelle que les images sont issues du site www.cmf.nrl.navy.mil, à savoir directement du site de l'armée américaine (Navy).
Un gros plan :
Cette dernière photo me donne des frissons dans le dos !
Maintenant, je me pose des questions : "qu'est-ce que c'est que ce cirque ?" Pourquoi cacher ces choses sur la lune? En tout cas, bien que la Nasa soit une agence civile, la plupart de ses programmes spatiaux sont financés par l'armée américaine. La plupart des spationautes et scientifiques sont donc directement dépendants de l'armée, donc du secret militaire en cas de classification secret-défense.
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Re: Le complot de la N.A.S.A au sujet des Ovnis (nasa ufo)
Benjamin.d a écrit:Photos de la mission Apollo 15
Regardez bien la forme des montagnes servant de fond aux deux photos suivantes, ce sont les mêmes. Il s'agit de deux photos de la mission Apollo 15. Des montages réalisés dans le but de nous cacher certaines choses.
Le même fond pour deux photos différentes prises lors de la même mission, on croit rêver ! Où est donc passé le LEM sur la deuxième photo ? Il est devant le cratère... certes mais alors pourquoi ne voit on pas le cratère sur la photo du LEM ? Surtout un cratère de cette taille et de cette couleur. Je me suis amusé à faire un petit montage entre les deux photos. J'ai superposé les deux montagnes et le résultat parle de lui-même.
Vous pouvez aussi aller voir le panoramique réalisé par la NASA (où l'on ne trouve nulle part trace du cratère récent visible sur la photo ci dessus ).
Et si l'on rajoute la photo AS15-88-11863 on obtient un résultat étonnant où les arrières plans se recoupent parfaitement mais où les premiers plans sont en totale contradiction les uns avec les autres.
Comment et pourquoi des photos officiellement transmises à la presse par la NASA peuvent elles comporter de telles abbérations ?
Pour cette "abbération" des photos de la Lune, j'ai pu trouver certaines de réponses sur ce site : http://www.nioutaik.fr/index.php/2007/12/20/467-pourquoi-les-premiers-pas-sur-la-lune-ne-sont-pas-un-fake?cos=1
On peut y lire : "Sur certaines images on retrouve plusieurs fois les même “montagnes”, ou éléments du paysage, à la même échelle, avec ou sans le module d’alunissage devant, cela prouve que ce sont des décors de cinéma." => "Une fois de plus les fans du complots raisonnent comme si la lune était la terre quand ça les arrange. Or, sur terre nous sommes habitués, même si on ne s’en rend pas forcément compte, à juger de la distance d’un objet grâce au “flou” que l’atmosphère génère sur les objets éloignés. Le truc c’est que sur la lune il n’y a pas d’atmosphère, résultat les objets éloignés sont vu aussi précisément que ceux proche rendant impossible de juger des distances. Ainsi, une même montagne photographiée a quelques mètres de distance (1 fois devant la navette, 1 fois derrière) semblera ne pas avoir changée. "
Un autre site, plus complet et avec des explications plus fournies et moins vulgarisées : http://missions-apollo.ifrance.com/index.htm
Cordialement,
- achimEquipe du forum
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Re: Le complot de la N.A.S.A au sujet des Ovnis (nasa ufo)
Bonjour, Matthieu.L
Vous qui vous réclamez d'un certain scepticisme, citez un article tiré d'un site pas vraiment sérieux. L'extrait cité comporte des âneries, notamment sur la théorie optique et photographique. Invoquer la profondeur de champ pour juger de la distance d'un objet n'est pas rigoureux, puisque celle-ci dépend de la focale de l'objectif utilisé et du réglage du diaphragme. De toute manière, dans ce cas, on voit que les vues sont parfaitement superposables, et qu'il y a gros à parier que ce sont des photos de plateau, comme beaucoup s'en doutaient. Ce qui ne signifie nullement que les américains ne sont pas allés sur la lune... mais qu'ils ont préféré divulguer des documents plus... aseptisés.
Achim
- Matthieu.LMembre Confirmé
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Re: Le complot de la N.A.S.A au sujet des Ovnis (nasa ufo)
achim a écrit:De toute manière, dans ce cas, on voit que les vues sont parfaitement superposables, et qu'il y a gros à parier que ce sont des photos de plateau, comme beaucoup s'en doutaient
Bonjour,
Je trouve assez troublant que des ingénieurs et scientifiques capables d'envoyer des hommes sur notre satellite soient incapables de ne pas penser à changer d'arrières plans pour quelques photos...
De plus, l'obtention d'arrières plans identiques peut-être expliquer de façon rationnelle. Si l'on prend en photo une colline en fond qui se situe à plusieurs centaines de mètres et que l'on se déplace de plusieurs mètres sur le côté pour reprendre en photo cette colline, on aura l'impression d'avoir le même arrière plan. Et mine de rien, l'atmosphère, rien que par sa composition* joue un rôle dans notre façon de percevoir les choses ainsi que dans l'impression de la lumière sur une pellicule.
Je suis sceptique concernant des éléments "troublants" ou qui ne trouvent pas de justification suffisantes selon moi. Mon avis sur le programme Apollo 11 est qu'il n'y a rien de "mystérieux" ou de "dissimulé" sur les photographies, d'autant plus qu'il aurait été beaucoup simple de ne pas diffuser ces photos plutôt que de faire un trucage ou l'on aurait mis le même arrière plan (je pense que la NASA a les moyens de se payer un conseiller en FX...).
Le seul point qui me trouble par rapport à la Lune est cette sorte de floue qu'il semble y avoir par endroit.
Cordialement,
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Re: Le complot de la N.A.S.A au sujet des Ovnis (nasa ufo)
Une question simple qui reste pourtant sans réponse : A qui profite le crime ??
En tout cas merci pour le sujet !!
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Re: Le complot de la N.A.S.A au sujet des Ovnis (nasa ufo)
Matthieu.L a écrit:achim a écrit:De toute manière, dans ce cas, on voit que les vues sont parfaitement superposables, et qu'il y a gros à parier que ce sont des photos de plateau, comme beaucoup s'en doutaient
Je trouve assez troublant que des ingénieurs et scientifiques capables d'envoyer des hommes sur notre satellite soient incapables de ne pas penser à changer d'arrières plans pour quelques photos...
Bonjour,
En admettant qu'il ait eu manipulation des photographies, il n'est pas certain que ce soit des scientifiques qui ont été chargés de le faire.
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Re: Le complot de la N.A.S.A au sujet des Ovnis (nasa ufo)
Matthieu.L a écrit:
De plus, l'obtention d'arrières plans identiques peut-être expliquer de façon rationnelle. Si l'on prend en photo une colline en fond qui se situe à plusieurs centaines de mètres et que l'on se déplace de plusieurs mètres sur le côté pour reprendre en photo cette colline, on aura l'impression d'avoir le même arrière plan.
J'aime bien cette explication
- InvitéInvité
Re: Le complot de la N.A.S.A au sujet des Ovnis (nasa ufo)
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Re: Le complot de la N.A.S.A au sujet des Ovnis (nasa ufo)
Je rebondirais. Il s’agit sûrement de techniciens, probablement nuls en physique, a l'image des films et séries Star Trek où nous voyons des incendies dans l'espace, ce qui n'est physiquement pas possible, faute d'air.Benjamin.d a écrit:
Bonjour,
En admettant qu'il ait eu manipulation des photographies, il n'est pas certain que ce soit des scientifiques qui ont été chargés de le faire.
Car si les scientifiques maîtrisent les hypothèses ils ne maîtrisent nullement les équipement techniques, surtout a cette époque.