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- AarhonEquipe du forum
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l'observation de kenneth arnold
Mer 29 Aoû 2007, 04:02
La première fois, en 1947
Le 24 juin 1947, Kenneth Arnold est témoin d’un évènement qui mettra le feu aux poudres, celui qui fera la plus grande polémique de l’histoire de l’humanité.
Nous sommes le 24 juin 1947, dernier mardi du mois. Arnold quitte l’aérodrome de Chealis vers 14 heures, aux commandes de son CallAir, un petit monomoteur rustique prévu pour les décollages en terrain difficile. Si Kenneth Arnold prend l’avion ce jour là, c’est pour un rendez vous d’affaire à Yakima mais le détour qu’il prend c’est pour empocher 5 000 dollars. En décembre 1946, un C-64 Marine s’est évanoui dans la zone des Monts Rainier, un des plus beaux volcans enneigés de l’Etat de Washington, et la compagnie propriétaire de cet avion à promis une belle récompense à celui qui trouvera l’épave.
https://servimg.com/view/11487593/5
Alors qu’il survolait le site, son attention fut sollicitée par un bref éclair aveuglant. Pensant avoir affaire à un autre avion, le pilote scrute le ciel pour éviter toute collision mais n’aperçoit rien d’alarmant. Puis, survient un second éclair. Il est 15 heures et il les voit ! là à gauche, au nord ! Il aperçoit neuf, plats et brillants qui filent à toute vitesse. Son observation n’aura pas dépassée 2 minutes.
A peine arrivé à Yakima, le souffle court, Kenneth Arnold raconte son observation au directeur de l’aérodrome, un ami. Une discussion avec quelques pilotes réunis pour l’occasion débouche sur l’hypothèse de missiles guidés à distance, sans doute depuis la base voisine de Moses Lake. Pourtant, ni Arnold qui reprend l’air, ni peut-être ses collègues ne sont convaincus de l’explication. Lorsque notre homme arrive à son étape suivante, Pendleton dans l’Oregon, il est accueilli par d’autres pilotes, avertis par ceux de Yakima. Ils veulent entendre le récit. Les aviateurs, à cette époque, étaient à l’affût constant sur les derniers prototypes, les projets plus ou moins secrets de l’armée de l’air, principalement pour savoir si on allait enfin dépasser ce sacré mur du son. Or, l’observation d’Arnold donne bien chair aux rumeurs.
Arnold et ses collègues étalent les cartes, ébauche un croquis des objets observés, et chacun y va de son commentaire, calculant et recalculant la vitesse de ces engins. Les neufs « missiles » ont franchi la distance séparant le Mont Rainier du Mont Adams en 1mn 42 s, selon Arnold qui les a chronométré la chose. Dans un premier temps, on s’accorde sur une vitesse de 1 700 miles/heure (2 400 Km/h), puis devant la surprise qu’elle suscite, on la révise à la baisse sur une mesure de 1 300 miles/heure (1 700 Km/h), ce qui laisse derrière et de loin tout ce qui volait à l’époque, excepté les fusées V2. Ce qui surprend également son public, c’est la forme des engins : plats comme des limandes, arrondis à l’avant et pointus à l’arrière. Mais sans dérive.
La discussion s’enlise et les pilotes laissent Arnold. Mais il est inquiet : ce ne sont pas des engins américains, peut être sont ils soviétiques. Nous sommes au commencement de la guerre froide et le scénario d’une invasion russe est déjà d’actualité. De plus, nous ne sommes pas loin du Détroit de Bering ou du ciel de l’Alaska et la Russie n’est pas loin… Arnold ne peut rester là sans réagir et se rend au bureau local du FBI. Malheureusement il est fermé et laisse un message. En vain. Le lendemain, si l’histoire des missiles s’est probablement dissipée dans la mémoire des pilotes de Pendleton, elle intrigue toujours notre homme. Dans le hall de son hôtel, il en discute avec un habitant du coin et apprend que lui aussi à vu ces étranges engins. Cette fois, il veut une réponse.
Faute de FBI, Kenneth prend contact avec les journalistes du quotidien East Oregonian, installé dans un immeuble deux cent mètres plus loin. Deux cent mètres qui vont tracer l’histoire… Un peu avant l’heure du déjeuner, Kenneth Arnold rencontre Nolan Skiff et Bill Bequette. Ils écoutent son histoire, bien sûr, son histoire n’est pas ordinaire, mais il paraît assez sincère. De plus, qu’aurai à gagner cet homme de 32 ans, marié et père de deux enfants, honorablement connu à Boise, Idaho où il réside dans cette fabulation ? Devant cet état de fait, les journalistes décident de publier son récit dans l’édition du jour.
Comme le journal est membre du réseau de l’Associated Press Bequette, âgée de 28 ans à l’époque, rédige ce même 25 juin une courte dépêche qu’il adresse au bureau de Portland. Quelques lignes qui vont se révéler lourdes de conséquences. Quelques lignes dans lesquelles, Bill Bequette décrit les neuf missiles d’Arnold comme des objets en forme de soucoupe filant à 1 700 Km/h. Il s’inspire des descriptions de Kenneth Arnold, lequel avait inventé cette image non pas pour décrire la forme des engins, mais leur mode de déplacement : comme des soucoupes ricochant sur l’eau.
La publication
Au retour du déjeuner, Bequette doit faire face à un déluge de dépêche. Il a l’impression que le ciel lui tombe sur la tête. Il retourne voir Arnold qui ne se doute en rien que son détour vers le Mont Rainier, par la rédaction de l’East Oregonion, la dépêche de Bequette a infléchi à jamais le cours de son existence. Le journaliste prend plus de temps avec Arnold pour mettre sur papier une seconde dépêche. Les agences de presse et la radio s’en emparent et le lendemain, la dépêche figure à la première page des quotidiens. Entre-temps, de nombreux autres témoins signalent à leur tour avoir observé aussi des phénomènes bizarres dans le ciel. Les soucoupes prennent d’assaut le ciel des Etats-Unis, avant de partir dans les semaines qui suivent à la conquête du reste de la planète.
Dès le 26 juin, de nouveaux témoignages viennent s’ajouter à celui d’Arnold. Ainsi, par exemple, en première page de l’Oregon Daily Journal s’étale sur toute la largeur de la page en gros caractères « Flying Disk Mystery Grows » (le mystère des soucoupes s’épaissit). L’article qui suit raporte de nombreux témoignages en provenance d’autres Etats. A Kansas city, un certain W.I. Davenport apporte son témoignage : « Davenport, qui travaille sur un toit, a affirmé avoir vu des objets volants vers l’Ouest peu après midi » comme dans l’observation d’Arnold, il y en avait neuf. Un certain Byron Savage prétend avoir observé « il y a cinq ou six semaines, pour autant qu’on puisse s’en souvenir avec ma femme, un objet plat, en forme de disque » à la tombée de la nuit.
Ce même 26 juin, le Seattle Daily Times a lui aussi, de nouveaux récits à ajouter : « Mme Elma Shingler a raconté aujourd’hui avoir observé, par deux fois ces dix derniers jours, d’étranges objets brillants, en forme de disque sillonnant bruyamment le ciel à des vitesses incroyables. » Ces témoignages ainsi que de nombreux autres qui suivront très vite, seront largement repris par la presse sur l’ensemble du territoire.
Dans les jours qui suivent, des centaines et certainement des milliers d’articles de presse sont consacrés aux « flying disks ». Bien entendu, les spéculations vont bon train, les reporters interrogent astronomes, psychologue, militaires, hommes d’église, spécialistes divers et variés et chacun à son explication : les scientifiques ironisent ou proposent des explications psychologiques ad hoc, les portes paroles de l’armée, visiblement pris de court, affichent ici leur scepticisme, là leur trouble. Certains prêcheurs invoquent une fin du monde imminente ; des pilotes suggèrent comme Arnold qu’il s’agit d’armes secrètes ; les phénomènes psychiques sont appelés à la rescousse On évoque même les histoires recueillies au début du siècle par l’écrivain et collectionneur d’affaires bizarres Charles Fort.
Le retour
L’expression « Flying saucer » est utilisé pour à peu près tout et n’importe quoi : un bout de fer découvert dans une cour devient un débris de soucoupe. Et, bien sûr, les extraterrestres se pointent çà et là le bout de leur antenne. Une nouveauté ? Certainement pas : il arrivait qu’on parle de l’existence de civilisation martienne en voie de disparition. Mais les martiens, autant que nous, étaient impuissants face au drame : ils agonisaient sur leur monde et nous assistions à leur fin sans possibilité de leur porter secours. Exception à la règle : dès les années trente, nos homologues d’outres espaces, venaient fouler nos plates bandes…
Le 24 juin 1947, Kenneth Arnold est témoin d’un évènement qui mettra le feu aux poudres, celui qui fera la plus grande polémique de l’histoire de l’humanité.
Nous sommes le 24 juin 1947, dernier mardi du mois. Arnold quitte l’aérodrome de Chealis vers 14 heures, aux commandes de son CallAir, un petit monomoteur rustique prévu pour les décollages en terrain difficile. Si Kenneth Arnold prend l’avion ce jour là, c’est pour un rendez vous d’affaire à Yakima mais le détour qu’il prend c’est pour empocher 5 000 dollars. En décembre 1946, un C-64 Marine s’est évanoui dans la zone des Monts Rainier, un des plus beaux volcans enneigés de l’Etat de Washington, et la compagnie propriétaire de cet avion à promis une belle récompense à celui qui trouvera l’épave.
https://servimg.com/view/11487593/5
Alors qu’il survolait le site, son attention fut sollicitée par un bref éclair aveuglant. Pensant avoir affaire à un autre avion, le pilote scrute le ciel pour éviter toute collision mais n’aperçoit rien d’alarmant. Puis, survient un second éclair. Il est 15 heures et il les voit ! là à gauche, au nord ! Il aperçoit neuf, plats et brillants qui filent à toute vitesse. Son observation n’aura pas dépassée 2 minutes.
A peine arrivé à Yakima, le souffle court, Kenneth Arnold raconte son observation au directeur de l’aérodrome, un ami. Une discussion avec quelques pilotes réunis pour l’occasion débouche sur l’hypothèse de missiles guidés à distance, sans doute depuis la base voisine de Moses Lake. Pourtant, ni Arnold qui reprend l’air, ni peut-être ses collègues ne sont convaincus de l’explication. Lorsque notre homme arrive à son étape suivante, Pendleton dans l’Oregon, il est accueilli par d’autres pilotes, avertis par ceux de Yakima. Ils veulent entendre le récit. Les aviateurs, à cette époque, étaient à l’affût constant sur les derniers prototypes, les projets plus ou moins secrets de l’armée de l’air, principalement pour savoir si on allait enfin dépasser ce sacré mur du son. Or, l’observation d’Arnold donne bien chair aux rumeurs.
Arnold et ses collègues étalent les cartes, ébauche un croquis des objets observés, et chacun y va de son commentaire, calculant et recalculant la vitesse de ces engins. Les neufs « missiles » ont franchi la distance séparant le Mont Rainier du Mont Adams en 1mn 42 s, selon Arnold qui les a chronométré la chose. Dans un premier temps, on s’accorde sur une vitesse de 1 700 miles/heure (2 400 Km/h), puis devant la surprise qu’elle suscite, on la révise à la baisse sur une mesure de 1 300 miles/heure (1 700 Km/h), ce qui laisse derrière et de loin tout ce qui volait à l’époque, excepté les fusées V2. Ce qui surprend également son public, c’est la forme des engins : plats comme des limandes, arrondis à l’avant et pointus à l’arrière. Mais sans dérive.
La discussion s’enlise et les pilotes laissent Arnold. Mais il est inquiet : ce ne sont pas des engins américains, peut être sont ils soviétiques. Nous sommes au commencement de la guerre froide et le scénario d’une invasion russe est déjà d’actualité. De plus, nous ne sommes pas loin du Détroit de Bering ou du ciel de l’Alaska et la Russie n’est pas loin… Arnold ne peut rester là sans réagir et se rend au bureau local du FBI. Malheureusement il est fermé et laisse un message. En vain. Le lendemain, si l’histoire des missiles s’est probablement dissipée dans la mémoire des pilotes de Pendleton, elle intrigue toujours notre homme. Dans le hall de son hôtel, il en discute avec un habitant du coin et apprend que lui aussi à vu ces étranges engins. Cette fois, il veut une réponse.
Faute de FBI, Kenneth prend contact avec les journalistes du quotidien East Oregonian, installé dans un immeuble deux cent mètres plus loin. Deux cent mètres qui vont tracer l’histoire… Un peu avant l’heure du déjeuner, Kenneth Arnold rencontre Nolan Skiff et Bill Bequette. Ils écoutent son histoire, bien sûr, son histoire n’est pas ordinaire, mais il paraît assez sincère. De plus, qu’aurai à gagner cet homme de 32 ans, marié et père de deux enfants, honorablement connu à Boise, Idaho où il réside dans cette fabulation ? Devant cet état de fait, les journalistes décident de publier son récit dans l’édition du jour.
Comme le journal est membre du réseau de l’Associated Press Bequette, âgée de 28 ans à l’époque, rédige ce même 25 juin une courte dépêche qu’il adresse au bureau de Portland. Quelques lignes qui vont se révéler lourdes de conséquences. Quelques lignes dans lesquelles, Bill Bequette décrit les neuf missiles d’Arnold comme des objets en forme de soucoupe filant à 1 700 Km/h. Il s’inspire des descriptions de Kenneth Arnold, lequel avait inventé cette image non pas pour décrire la forme des engins, mais leur mode de déplacement : comme des soucoupes ricochant sur l’eau.
La publication
Au retour du déjeuner, Bequette doit faire face à un déluge de dépêche. Il a l’impression que le ciel lui tombe sur la tête. Il retourne voir Arnold qui ne se doute en rien que son détour vers le Mont Rainier, par la rédaction de l’East Oregonion, la dépêche de Bequette a infléchi à jamais le cours de son existence. Le journaliste prend plus de temps avec Arnold pour mettre sur papier une seconde dépêche. Les agences de presse et la radio s’en emparent et le lendemain, la dépêche figure à la première page des quotidiens. Entre-temps, de nombreux autres témoins signalent à leur tour avoir observé aussi des phénomènes bizarres dans le ciel. Les soucoupes prennent d’assaut le ciel des Etats-Unis, avant de partir dans les semaines qui suivent à la conquête du reste de la planète.
Dès le 26 juin, de nouveaux témoignages viennent s’ajouter à celui d’Arnold. Ainsi, par exemple, en première page de l’Oregon Daily Journal s’étale sur toute la largeur de la page en gros caractères « Flying Disk Mystery Grows » (le mystère des soucoupes s’épaissit). L’article qui suit raporte de nombreux témoignages en provenance d’autres Etats. A Kansas city, un certain W.I. Davenport apporte son témoignage : « Davenport, qui travaille sur un toit, a affirmé avoir vu des objets volants vers l’Ouest peu après midi » comme dans l’observation d’Arnold, il y en avait neuf. Un certain Byron Savage prétend avoir observé « il y a cinq ou six semaines, pour autant qu’on puisse s’en souvenir avec ma femme, un objet plat, en forme de disque » à la tombée de la nuit.
Ce même 26 juin, le Seattle Daily Times a lui aussi, de nouveaux récits à ajouter : « Mme Elma Shingler a raconté aujourd’hui avoir observé, par deux fois ces dix derniers jours, d’étranges objets brillants, en forme de disque sillonnant bruyamment le ciel à des vitesses incroyables. » Ces témoignages ainsi que de nombreux autres qui suivront très vite, seront largement repris par la presse sur l’ensemble du territoire.
Dans les jours qui suivent, des centaines et certainement des milliers d’articles de presse sont consacrés aux « flying disks ». Bien entendu, les spéculations vont bon train, les reporters interrogent astronomes, psychologue, militaires, hommes d’église, spécialistes divers et variés et chacun à son explication : les scientifiques ironisent ou proposent des explications psychologiques ad hoc, les portes paroles de l’armée, visiblement pris de court, affichent ici leur scepticisme, là leur trouble. Certains prêcheurs invoquent une fin du monde imminente ; des pilotes suggèrent comme Arnold qu’il s’agit d’armes secrètes ; les phénomènes psychiques sont appelés à la rescousse On évoque même les histoires recueillies au début du siècle par l’écrivain et collectionneur d’affaires bizarres Charles Fort.
Le retour
L’expression « Flying saucer » est utilisé pour à peu près tout et n’importe quoi : un bout de fer découvert dans une cour devient un débris de soucoupe. Et, bien sûr, les extraterrestres se pointent çà et là le bout de leur antenne. Une nouveauté ? Certainement pas : il arrivait qu’on parle de l’existence de civilisation martienne en voie de disparition. Mais les martiens, autant que nous, étaient impuissants face au drame : ils agonisaient sur leur monde et nous assistions à leur fin sans possibilité de leur porter secours. Exception à la règle : dès les années trente, nos homologues d’outres espaces, venaient fouler nos plates bandes…
- InvitéInvité
Re: (1947) L'observation d'ovni de Kenneth Arnold
Mer 25 Juin 2014, 17:36
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(1947) L'observation d'ovni de Kenneth Arnold
Jeu 24 Jan 2019, 21:07
L'observation d'ovni de Kenneth Arnold (1947)
Souvent présentée comme l'observation marquant le début de l'ère contemporaine des ovnis, le témoignage d'Arnold est celui qui, repris par la presse, va populariser le terme de "soucoupe volante".
Le 24 juin 1947, Arnold, un pilote privé de Boise, dans l'Idaho et faisant partie du « Search and Rescue Mercy Flyer », reporta avoir vu neuf objets volants inhabituels près du Mont Rainier alors qu'il cherchait un avion militaire manquant de la CallAir A-2. Il décrivit les objets comme « brillants », et leur vol comme « irrégulier » avec une « extraordinaire vitesse ». Son histoire fut largement diffusée par l'Associated Press, et il est habituellement reconnu comme le pionnier pour l'intérêt des OVNI modernes.
Lire le dossier complet sur le blog: L'observation d'ovni de Kenneth Arnold (1947)
Souvent présentée comme l'observation marquant le début de l'ère contemporaine des ovnis, le témoignage d'Arnold est celui qui, repris par la presse, va populariser le terme de "soucoupe volante".
Le 24 juin 1947, Arnold, un pilote privé de Boise, dans l'Idaho et faisant partie du « Search and Rescue Mercy Flyer », reporta avoir vu neuf objets volants inhabituels près du Mont Rainier alors qu'il cherchait un avion militaire manquant de la CallAir A-2. Il décrivit les objets comme « brillants », et leur vol comme « irrégulier » avec une « extraordinaire vitesse ». Son histoire fut largement diffusée par l'Associated Press, et il est habituellement reconnu comme le pionnier pour l'intérêt des OVNI modernes.
Lire le dossier complet sur le blog: L'observation d'ovni de Kenneth Arnold (1947)
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- InvitéInvité
Re: (1947) L'observation d'ovni de Kenneth Arnold
Dim 12 Avr 2020, 10:55
Kenneth Arnold: entretien avec Ted Smith sur la radio KWRC de Pendleton le 26 juin 1947
Source : pulp.hypotheses.org (Pierre Lagrange)
@+
Source : pulp.hypotheses.org (Pierre Lagrange)
@+
- InvitéInvité
Re: (1947) L'observation d'ovni de Kenneth Arnold
Dim 24 Mai 2020, 11:48
Bonjour
Le Mufon de France parle de Kenneth Arnold avec Pierre Lagrange:
Je ne l'ai pas encore visionnée et je ne sais pas s'il y a du neuf et comment c'est traité
Bon dimanche
Loreline
Le Mufon de France parle de Kenneth Arnold avec Pierre Lagrange:
Je ne l'ai pas encore visionnée et je ne sais pas s'il y a du neuf et comment c'est traité
Bon dimanche
Loreline
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Re: (1947) L'observation d'ovni de Kenneth Arnold
Dim 24 Mai 2020, 19:14
Il était l’un des premiers civils à déclarer à un journal son observation d’ovnis, probablement il a devancé les services de sécurité de le tenir en silence, je pense, que les militaires avec leurs moyens, avaient déjà la certitude d’une présence extraterrestre survolant l’espace aérien de leur pays , avant l’observation du pilote K. Arnold , surement cette affaire de cette présence ovni était déjà rentrée dans le domaine secret avant l’observation du pilote Arnold .
K. Arnold fut promu par le président Eisenhower de gouverneur de l’état de l’Idaho.
K. Arnold fut promu par le président Eisenhower de gouverneur de l’état de l’Idaho.
- InvitéInvité
Re: (1947) L'observation d'ovni de Kenneth Arnold
Dim 24 Mai 2020, 21:12
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