- cedric83Participation exceptionnelle
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1973: vers 22h00 - observation dans le massif de la Sainte-Beaume (Provence)
Jeu 11 Juin 2009, 15:43
Bonjour chers amis,
Je vous fais part d'un témoignage qu'une ancienne collègue de travail m'a raconté tout recemment alors que nous discutions. J'ai appris par hasard qu'elle croyait en l'existence des ovnis et qu'elle a eu une experience qu'elle n'oubliera jamais.
C'est une personne agée, qui ne se sert pas d'internet et qui m'a autorisée a publier son récit sur le forum.
Donc ça s'est passé en hiver de 1973, elle rentrait chez elle en voiture avec son mari et sa fille de 8 ans. Il était aux environ de 22h00 dans le massif de la Sainte-Beaume(Provence) lorsqu'ils apperçurent une lumière orangée étrange montant du vallon. Cela les a tellement étonnés qu'ils se sont arretés et sont descendus de la voiture pour mieux voir.
La lumière qui volait très lentement se rapprochait d'eux , cela ne faisait qu'un leger bourdonnement, ils étaient stupéfaient, la lumière est passée à une quinzaine de mètres au dessus de leurs têtes et était plus grosse que leur voiture. Elle se dirigeait droit sur un pylone electrique bordant la route et allait bientôt le percuter quand elle changea subitement de trajectoire pour l'éviter , puis elle parti et disparu en un éclair.
Voilà, pour elle et sa fille c'est quelque chose de gravé pour toujours dans leur têtes et sont certaines que ce sont des gens d'une autre planete, pour son mari, c'est quelque chose d'inexplicable.
Je sais que cela fait qu'un témoignage de plus et que cela ne fait pas vraiment avancer les choses, mais il est un fait que lorsque l'on parle à des gens du phénomène ovni, on est parfois surpris de ce que certaines personnes en pensent et ont a dire sur le sujet.
Je vous fais part d'un témoignage qu'une ancienne collègue de travail m'a raconté tout recemment alors que nous discutions. J'ai appris par hasard qu'elle croyait en l'existence des ovnis et qu'elle a eu une experience qu'elle n'oubliera jamais.
C'est une personne agée, qui ne se sert pas d'internet et qui m'a autorisée a publier son récit sur le forum.
Donc ça s'est passé en hiver de 1973, elle rentrait chez elle en voiture avec son mari et sa fille de 8 ans. Il était aux environ de 22h00 dans le massif de la Sainte-Beaume(Provence) lorsqu'ils apperçurent une lumière orangée étrange montant du vallon. Cela les a tellement étonnés qu'ils se sont arretés et sont descendus de la voiture pour mieux voir.
La lumière qui volait très lentement se rapprochait d'eux , cela ne faisait qu'un leger bourdonnement, ils étaient stupéfaient, la lumière est passée à une quinzaine de mètres au dessus de leurs têtes et était plus grosse que leur voiture. Elle se dirigeait droit sur un pylone electrique bordant la route et allait bientôt le percuter quand elle changea subitement de trajectoire pour l'éviter , puis elle parti et disparu en un éclair.
Voilà, pour elle et sa fille c'est quelque chose de gravé pour toujours dans leur têtes et sont certaines que ce sont des gens d'une autre planete, pour son mari, c'est quelque chose d'inexplicable.
Je sais que cela fait qu'un témoignage de plus et que cela ne fait pas vraiment avancer les choses, mais il est un fait que lorsque l'on parle à des gens du phénomène ovni, on est parfois surpris de ce que certaines personnes en pensent et ont a dire sur le sujet.
- Astrid77Ufologue/enquêteur
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Re: 1973: vers 22h00 - observation dans le massif de la Sainte-Beaume (Provence)
Jeu 11 Juin 2009, 16:36
Merci pour ce témoignage et peux-tu savoir à quel endroit a eu lieu cette observation.(MAZAUGUES, LA ROQUEBRUSSANE, GAREOULT ou autre commune)
Amitiés.
ASTRID
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- Jean CurnonixCulture Scientifique
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Re: 1973: vers 22h00 - observation dans le massif de la Sainte-Beaume (Provence)
Jeu 11 Juin 2009, 18:12
Bonsoir cedric83,
Ce que vous rapportez du récit effectué par votre ex-collègue est typique des observations de l’étude desquelles des physiciens tels que, par exemple, les francophones Auguste Meessen ou Jean-Pierre Petit ont abouti au modèle de propulsion atmosphérique MHD (MagnétoHydroDynamique), également appelée MPD (MagnétoPlasmaDynamique), mais aussi EMP (ElectroMagnétique Pulsée).
Abordons succinctement, et de la manière la plus simple possible (… ce qui n’est pas simple ! :oops: ), « lumière orangée » et « léger bourdonnement » évoqués.
Des champs électromagnétiques oscillants, extrêmement intenses dans le voisinage immédiat de la surface de l’"aérodyne MHD-gaz à écoulement externe" sont nécessaires. Il faut également que celui-ci produise une ionisation pulsée de l'air (pour le rendre localement électriquement conducteur) dont la fréquence et la phase soient adaptées aux champs.
Le « bourdonnement », ou « sifflement », ou « grésillement » parfois perçu et rapporté par les témoins relativement proches de l’engin résulterait de la superposition de fréquences d’ondes de plasma ionique, apparentées aux ondes acoustiques.
Qu'il s'agisse des ondes électriques dans les faisceaux lumineux (notamment ceux émis par les ovnis triangulaires) ou des champs électromagnétiques qui entourent les ovnis pour assurer la propulsion, leurs fréquences se situent dans le domaine des ultrasons. Cela pourrait d’une part expliquer certaines réactions d'animaux sensibles aux ultrasons, dont les chats qui possèdent une ouie sensible jusqu’à 30 kHz.
Mais d’autre part, pour ce qui concerne l’oreille humaine, quand deux ondes sinusoïdales de fréquences différentes sont mêlées ou superposées, l’amplitude de l’onde résultante varie avec une fréquence égale à la différence de leurs fréquences respectives, d’où la possibilité de battement alors dans le domaine des fréquences audibles par l’homme, avec perception d’un sifflement, ou d’un grésillement, ou d’un bourdonnement, etc.
Enfin, pour ce qui concerne la « lumière orangée » rapportée, en fonction de son degré d’ionisation l’air peut générer des photons invisibles par l’œil humain (infrarouge ou ultraviolet), ainsi que visibles, suivant la palette des couleurs de l’arc-en-ciel, tout autour de l’aérodyne ou bien en des endroits très localisés de sa surface.
En effet, un gaz ionisé émet de la lumière.
L’aérodyne MHD sera donc généralement entouré d’un halo de lumière dépendant de l’état d’excitation nécessaire à l’ionisation, notamment en fonction de la nature du vol.
Evidemment l’observation sera différente suivant une période diurne ou nocturne.
Examinons l’aspect de ce halo lumineux pour des observateurs extérieurs, la nuit.
Le gaz atmosphérique émet de la lumière par un processus bien connu : la "recombinaison radiative". Dans cette circonstance, les atomes d’un gaz sont tout d’abord perturbés par un apport d’énergie extérieure (des micro-ondes pulsées, par exemple), par interaction électromagnétique.
Les électrons changent alors de niveau d’énergie, puis reviennent rapidement à leur niveau précédent, plus ou moins directement, en émettant un photon de lumière à chaque saut d’énergie.
Le photon emporte avec lui exactement la différence d’énergie existant entre les niveaux d’énergie de l’électron avant et après le saut énergétique.
Dans un gaz à la pression atmosphérique, les électrons n’ont pas un libre parcours moyen très long hors de leur atome d’origine, donc la recombinaison est très efficace, et pratiquement toute l’énergie électromagnétique apportée au gaz se transforme en photons.
L’énergie des photons émis, donc la couleur de la lumière émise, est une signature sans équivoque de la nature du gaz émetteur de cette lumière après excitation.
Ce phénomène est bien connu des "spectroscopistes" (et aussi fort apprécié des astrophysiciens qui trouvent là le moyen de connaître la composition des gaz situés très loin dans le cosmos)
Des tables indiquent, pour chaque gaz, les longueurs d’onde des photons émis pendant la recombinaison ainsi que les sauts d’énergie les plus souvent observés donc l’intensité relative des diverses couleurs de la lumière émise. Ceci est mis à profit dans la réalisation d’enseignes lumineuses où la couleur de la lumière émise par les tubes est parfois due à un choix très élaboré du gaz ou des mélanges de gaz.
Examinons une de ces tables spectrales pour l’azote et l’oxygène dont l’atmosphère terrestre est essentiellement composée.
Nous y apprenons que :
- l’azote ionisé une fois émet des photons à 868 et 862,9 nanomètres (nm) de longueur d’onde, ce qui correspond, pour l’oeil humain, à une perception de lumière de couleur rouge sombre (l’air comporte 78% d’azote)
- l’oxygène ionisé une fois émet, quant à lui des photons à 777,1 et 615,8 et 630 nm, soit de couleur rouge, orange et rouge orangé (l’air comporte 21% d’oxygène)
- l’azote ionisé deux fois, c’est à dire avec deux électrons éjectés, revenant à leur niveau, émet des photons à 500,4 et 567,9 nm soit respectivement bleu et vert.
- l’oxygène ionisé deux fois émet des photons à 464,9 et 411,9 nm dans le violet.
Omettons les photons invisibles par l’œil humain, dans l’ultraviolet et l’infrarouge.
Le degré d’ionisation du gaz dépend étroitement de l’énergie du rayonnement électromagnétique d’excitation, celui qui sert à éjecter les électrons des atomes de leurs orbites d’origine, car aucune émission de lumière n’est possible sans stimulation extérieure. Ainsi, un tube fluorescent d’éclairage n’est lumineux que si le courant électrique le traverse.
Les tables spectroscopiques donnent les énergies nécessaires pour déplacer les électrons de chaque couche atomique de chaque gaz. Ces énergies sont données en général en "électron volt" dont le symbole est eV.
Pour l’azote, les divers électrons sont arrachés de leurs orbites avec des énergies comprises entre 14,534 et 667,03 eV, et bien évidemment, il faut plus d’énergie pour arracher deux électrons qu’un seul.
Pour l’oxygène, ces énergies sont comprises entre 13,618 et 871,39 eV.
Ainsi, dans l’air qui est un mélange des deux gaz, si on excite cet air à énergie croissante, on commencera par exciter l’oxygène à 13,618 eV, puis l’azote vers 14,534 eV : ces gaz ainsi excités émettront alors de la lumière dans le rouge orangé.
Si l’on augmente l’énergie d’excitation, on verra apparaître les photons dans le vert, le bleu, le violet.
Enfin, si l’on mélange ces différents niveaux d’énergie d’excitation, on mélangera toutes ces couleurs qui donneront de la lumière blanche.
Cordialement,
Jean
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Ma présentation se trouve ici
.
Ce que vous rapportez du récit effectué par votre ex-collègue est typique des observations de l’étude desquelles des physiciens tels que, par exemple, les francophones Auguste Meessen ou Jean-Pierre Petit ont abouti au modèle de propulsion atmosphérique MHD (MagnétoHydroDynamique), également appelée MPD (MagnétoPlasmaDynamique), mais aussi EMP (ElectroMagnétique Pulsée).
Abordons succinctement, et de la manière la plus simple possible (… ce qui n’est pas simple ! :oops: ), « lumière orangée » et « léger bourdonnement » évoqués.
Des champs électromagnétiques oscillants, extrêmement intenses dans le voisinage immédiat de la surface de l’"aérodyne MHD-gaz à écoulement externe" sont nécessaires. Il faut également que celui-ci produise une ionisation pulsée de l'air (pour le rendre localement électriquement conducteur) dont la fréquence et la phase soient adaptées aux champs.
Le « bourdonnement », ou « sifflement », ou « grésillement » parfois perçu et rapporté par les témoins relativement proches de l’engin résulterait de la superposition de fréquences d’ondes de plasma ionique, apparentées aux ondes acoustiques.
Qu'il s'agisse des ondes électriques dans les faisceaux lumineux (notamment ceux émis par les ovnis triangulaires) ou des champs électromagnétiques qui entourent les ovnis pour assurer la propulsion, leurs fréquences se situent dans le domaine des ultrasons. Cela pourrait d’une part expliquer certaines réactions d'animaux sensibles aux ultrasons, dont les chats qui possèdent une ouie sensible jusqu’à 30 kHz.
Mais d’autre part, pour ce qui concerne l’oreille humaine, quand deux ondes sinusoïdales de fréquences différentes sont mêlées ou superposées, l’amplitude de l’onde résultante varie avec une fréquence égale à la différence de leurs fréquences respectives, d’où la possibilité de battement alors dans le domaine des fréquences audibles par l’homme, avec perception d’un sifflement, ou d’un grésillement, ou d’un bourdonnement, etc.
Enfin, pour ce qui concerne la « lumière orangée » rapportée, en fonction de son degré d’ionisation l’air peut générer des photons invisibles par l’œil humain (infrarouge ou ultraviolet), ainsi que visibles, suivant la palette des couleurs de l’arc-en-ciel, tout autour de l’aérodyne ou bien en des endroits très localisés de sa surface.
En effet, un gaz ionisé émet de la lumière.
L’aérodyne MHD sera donc généralement entouré d’un halo de lumière dépendant de l’état d’excitation nécessaire à l’ionisation, notamment en fonction de la nature du vol.
Evidemment l’observation sera différente suivant une période diurne ou nocturne.
Examinons l’aspect de ce halo lumineux pour des observateurs extérieurs, la nuit.
Le gaz atmosphérique émet de la lumière par un processus bien connu : la "recombinaison radiative". Dans cette circonstance, les atomes d’un gaz sont tout d’abord perturbés par un apport d’énergie extérieure (des micro-ondes pulsées, par exemple), par interaction électromagnétique.
Les électrons changent alors de niveau d’énergie, puis reviennent rapidement à leur niveau précédent, plus ou moins directement, en émettant un photon de lumière à chaque saut d’énergie.
Le photon emporte avec lui exactement la différence d’énergie existant entre les niveaux d’énergie de l’électron avant et après le saut énergétique.
Dans un gaz à la pression atmosphérique, les électrons n’ont pas un libre parcours moyen très long hors de leur atome d’origine, donc la recombinaison est très efficace, et pratiquement toute l’énergie électromagnétique apportée au gaz se transforme en photons.
L’énergie des photons émis, donc la couleur de la lumière émise, est une signature sans équivoque de la nature du gaz émetteur de cette lumière après excitation.
Ce phénomène est bien connu des "spectroscopistes" (et aussi fort apprécié des astrophysiciens qui trouvent là le moyen de connaître la composition des gaz situés très loin dans le cosmos)
Des tables indiquent, pour chaque gaz, les longueurs d’onde des photons émis pendant la recombinaison ainsi que les sauts d’énergie les plus souvent observés donc l’intensité relative des diverses couleurs de la lumière émise. Ceci est mis à profit dans la réalisation d’enseignes lumineuses où la couleur de la lumière émise par les tubes est parfois due à un choix très élaboré du gaz ou des mélanges de gaz.
Examinons une de ces tables spectrales pour l’azote et l’oxygène dont l’atmosphère terrestre est essentiellement composée.
Nous y apprenons que :
- l’azote ionisé une fois émet des photons à 868 et 862,9 nanomètres (nm) de longueur d’onde, ce qui correspond, pour l’oeil humain, à une perception de lumière de couleur rouge sombre (l’air comporte 78% d’azote)
- l’oxygène ionisé une fois émet, quant à lui des photons à 777,1 et 615,8 et 630 nm, soit de couleur rouge, orange et rouge orangé (l’air comporte 21% d’oxygène)
- l’azote ionisé deux fois, c’est à dire avec deux électrons éjectés, revenant à leur niveau, émet des photons à 500,4 et 567,9 nm soit respectivement bleu et vert.
- l’oxygène ionisé deux fois émet des photons à 464,9 et 411,9 nm dans le violet.
Omettons les photons invisibles par l’œil humain, dans l’ultraviolet et l’infrarouge.
Le degré d’ionisation du gaz dépend étroitement de l’énergie du rayonnement électromagnétique d’excitation, celui qui sert à éjecter les électrons des atomes de leurs orbites d’origine, car aucune émission de lumière n’est possible sans stimulation extérieure. Ainsi, un tube fluorescent d’éclairage n’est lumineux que si le courant électrique le traverse.
Les tables spectroscopiques donnent les énergies nécessaires pour déplacer les électrons de chaque couche atomique de chaque gaz. Ces énergies sont données en général en "électron volt" dont le symbole est eV.
Pour l’azote, les divers électrons sont arrachés de leurs orbites avec des énergies comprises entre 14,534 et 667,03 eV, et bien évidemment, il faut plus d’énergie pour arracher deux électrons qu’un seul.
Pour l’oxygène, ces énergies sont comprises entre 13,618 et 871,39 eV.
Ainsi, dans l’air qui est un mélange des deux gaz, si on excite cet air à énergie croissante, on commencera par exciter l’oxygène à 13,618 eV, puis l’azote vers 14,534 eV : ces gaz ainsi excités émettront alors de la lumière dans le rouge orangé.
Si l’on augmente l’énergie d’excitation, on verra apparaître les photons dans le vert, le bleu, le violet.
Enfin, si l’on mélange ces différents niveaux d’énergie d’excitation, on mélangera toutes ces couleurs qui donneront de la lumière blanche.
Cordialement,
Jean
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- cedric83Participation exceptionnelle
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Re: 1973: vers 22h00 - observation dans le massif de la Sainte-Beaume (Provence)
Jeu 11 Juin 2009, 18:19
Merci pour tes explications Jean Curnonix.
Pour ce qui est du lieu exact, c'est exactement à la frontière entre le var et les Bouches du Rhône, sur le Plan D'aups.
Voici les coordonnées Google earth :
43°19'49.49''N 5°41'08.97''E
Une autre précison, que m'a donnée ma collègue, c'est qu'il n'ont constatés aucune anomalie concernant le dysfonctionnement de leur véhicule mais par contre eux avaient comme les poils et les cheveux hérissés.
Excusez-moi d'avoir oublié ces précisions.
Amicalement
Pour ce qui est du lieu exact, c'est exactement à la frontière entre le var et les Bouches du Rhône, sur le Plan D'aups.
Voici les coordonnées Google earth :
43°19'49.49''N 5°41'08.97''E
Une autre précison, que m'a donnée ma collègue, c'est qu'il n'ont constatés aucune anomalie concernant le dysfonctionnement de leur véhicule mais par contre eux avaient comme les poils et les cheveux hérissés.
Excusez-moi d'avoir oublié ces précisions.
Amicalement
- Jean CurnonixCulture Scientifique
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Re: 1973: vers 22h00 - observation dans le massif de la Sainte-Beaume (Provence)
Jeu 11 Juin 2009, 22:47
Bonsoir cedric83,
Il est possible d’apporter des commentaires "technoscientifiques", mais ils n’intéressent généralement pas les lecteurs "grand public" qui ne les lisent pas, ma conviction en est maintenant établie, et vous y répondriez probablement par un courtois « merci » comme celui ci-dessus, dont je vous remercie.
Cordialement,
Jean
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Ces compléments vont dans le sens du modèle de propulsion évoqué quant à l’objet observé et sujet du récit.cedric83 a écrit:Une autre précison, que m'a donnée ma collègue, c'est qu'il n'ont constatés aucune anomalie concernant le dysfonctionnement de leur véhicule mais par contre eux avaient comme les poils et les cheveux hérissés.
Il est possible d’apporter des commentaires "technoscientifiques", mais ils n’intéressent généralement pas les lecteurs "grand public" qui ne les lisent pas, ma conviction en est maintenant établie, et vous y répondriez probablement par un courtois « merci » comme celui ci-dessus, dont je vous remercie.
Cordialement,
Jean
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- AltheaEquipe du forum
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Re: 1973: vers 22h00 - observation dans le massif de la Sainte-Beaume (Provence)
Ven 12 Juin 2009, 13:19
ça me fait penser à une anecdote : Reprochant à la bibliothèque du coin de ne disposer que de peu de magasines scientifiques (3 sciences et vie qui se battent en duel et qui apparemment ne sont que peu empruntés), je leur ai suggéré quelques revues, dont "sciences et avenir" ou "Pour la science" et "Ciel et espace" (sisi j'ai osé)...
La bibliothéquaire (en chef, je précise) m'a regardé d'un drôle d'air et demandé si ces revues étaient tout public : Elle a pris poliment ma demande en compte mais bizarrement je n'ai pas beaucoup d'espoir que ces magazines supplantent "femme actuelle".
Bon bref, pas étonnant que le grand public finisse par décrocher, aussi intéressé soit-il, sans un minimum de bagage scientifique.
N'empêche qu'ils m'intéressent tes commentaires "technoscientifiques" et je ne dis pas cela pour la forme sur le mode d'un "merci" bien poli.
Puis-je suggérer d'enrichir en illustrations dans ce genre :
La bibliothéquaire (en chef, je précise) m'a regardé d'un drôle d'air et demandé si ces revues étaient tout public : Elle a pris poliment ma demande en compte mais bizarrement je n'ai pas beaucoup d'espoir que ces magazines supplantent "femme actuelle".
Bon bref, pas étonnant que le grand public finisse par décrocher, aussi intéressé soit-il, sans un minimum de bagage scientifique.
N'empêche qu'ils m'intéressent tes commentaires "technoscientifiques" et je ne dis pas cela pour la forme sur le mode d'un "merci" bien poli.
Puis-je suggérer d'enrichir en illustrations dans ce genre :
- Jean CurnonixCulture Scientifique
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Re: 1973: vers 22h00 - observation dans le massif de la Sainte-Beaume (Provence)
Ven 12 Juin 2009, 18:27
Bonsoir Althea,
Merci pour le commentaire constructif émanant d’une enseignante, probablement dans le domaine des sciences de la nature, ainsi que pour votre pointe d’humour concernant "Ciel & Espace" (… nous nous comprenons, je pense , en partageant vraisemblablement un point de vue analogue concernant son directeur de la rédaction !)
Actuellement dans sa 2ème année d’existence, le magazine d’investigation à la parution bimestrielle "Science et Inexpliqué", qui porte sur l'analyse scientifique et rationnelle des phénomènes étranges et inexpliqués, pourrait également être promu auprès de la bibliothécaire que vous évoquez.
Pour ce qui concerne le phénomène ovni, pratiquement chacun des 9 premiers numéros déjà publiés traite du sujet, et, ce, dès le n°1 :
Concernant votre suggestion « d'enrichir en illustrations » les posts que je transmets, il me semble n’en pas être "avare", ni, d’ailleurs, concernant des liens pour en "savoir plus".
Pour ce qui concerne le schéma suggéré, même avec le modèle planétaire de Bohr que vous utilisez ci-dessus (et sans se référer à celui de Schrödinger), cela n’est pas aussi simple qu’il y paraît.
En effet pour qu’il y ait ionisation, il faut arracher un ou des électrons aux atomes, électrons qui deviennent libres au cours d’un libre parcours moyen … avant recombinaison chacun avec un ion positif, c'est-à-dire un atome ayant perdu un ou plusieurs électrons : il ne s’agit plus d’un schéma, mais d’une petite BD !
En toute gentillesse les concernant, je suis étonné que des témoins d’observations remontant à plusieurs années, voire décennies, n’aient pas entrepris le commencement de cette démarche, se limitant globalement aux seules réflexions philosophiques relatives aux « Pourquoi ? », même si elles sont louables.
Or une fois encore, seuls ceux à l’origine des visites que nous constatons sont en mesure de nous faire connaître leurs véritables intentions, leurs réelles motivations à nous visiter, à "abducter" certains d’entre-nous, etc., – c'est-à-dire les réponses aux « Pourquoi ? » – alors que les réponses aux « Comment ? » sont à notre portée à partir des lois de notre univers observable que nous avons découvertes et de celles que nous découvrirons grâce à l’étude approfondie de ce "phénomène ovni".
Le jeu de cache-cache, difficile de l’appeler autrement, auquel se livrent les auteurs de ce phénomène en interférant le moins possible avec nous, avec une ingérence minimale tout en montrant de temps en temps le "bout de leur nez", est un stimulant de nos performances intellectuelles avec un problème qui n'excède que de peu nos capacités et nous prépare petit à petit au contact officiel qui ne manquera pas de se produire quand le degré de nos connaissances et celui nécessaire à notre conscience collective seront atteints qui nous permettront alors de digérer ce qui ne sera plus le choc qu’il serait aujourd’hui en provoquant un ethnocide, c'est-à-dire l’annihilation des cultures de notre espèce humaine.
Ces exocivilisations continueront leurs intrusions fugitives tant que nos cultures ne seront pas à la hauteur des concepts nécessaires au contact au grand jour, ce que nous rejetons aujourd'hui par un phénomène "psycho-socio-immunologique" de tabou.
Ceci rejoint ce que vous relevez par ailleurs, citant Auguste Meessen après avoir utilisé le lien que je propose concernant l’article
"Où en sommes-nous en ufologie ? " :
Sans doute avez-vous également relevé dans cet article :
Cordialement,
Jean
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Merci pour le commentaire constructif émanant d’une enseignante, probablement dans le domaine des sciences de la nature, ainsi que pour votre pointe d’humour concernant "Ciel & Espace" (… nous nous comprenons, je pense , en partageant vraisemblablement un point de vue analogue concernant son directeur de la rédaction !)
Actuellement dans sa 2ème année d’existence, le magazine d’investigation à la parution bimestrielle "Science et Inexpliqué", qui porte sur l'analyse scientifique et rationnelle des phénomènes étranges et inexpliqués, pourrait également être promu auprès de la bibliothécaire que vous évoquez.
Pour ce qui concerne le phénomène ovni, pratiquement chacun des 9 premiers numéros déjà publiés traite du sujet, et, ce, dès le n°1 :
Concernant votre suggestion « d'enrichir en illustrations » les posts que je transmets, il me semble n’en pas être "avare", ni, d’ailleurs, concernant des liens pour en "savoir plus".
Pour ce qui concerne le schéma suggéré, même avec le modèle planétaire de Bohr que vous utilisez ci-dessus (et sans se référer à celui de Schrödinger), cela n’est pas aussi simple qu’il y paraît.
En effet pour qu’il y ait ionisation, il faut arracher un ou des électrons aux atomes, électrons qui deviennent libres au cours d’un libre parcours moyen … avant recombinaison chacun avec un ion positif, c'est-à-dire un atome ayant perdu un ou plusieurs électrons : il ne s’agit plus d’un schéma, mais d’une petite BD !
Certes, mais ce bagage qui s’acquiert et se consolide au quotidien nécessite, comme en tout, un début.Althea a écrit: […] pas étonnant que le grand public finisse par décrocher, aussi intéressé soit-il, sans un minimum de bagage scientifique.
En toute gentillesse les concernant, je suis étonné que des témoins d’observations remontant à plusieurs années, voire décennies, n’aient pas entrepris le commencement de cette démarche, se limitant globalement aux seules réflexions philosophiques relatives aux « Pourquoi ? », même si elles sont louables.
Or une fois encore, seuls ceux à l’origine des visites que nous constatons sont en mesure de nous faire connaître leurs véritables intentions, leurs réelles motivations à nous visiter, à "abducter" certains d’entre-nous, etc., – c'est-à-dire les réponses aux « Pourquoi ? » – alors que les réponses aux « Comment ? » sont à notre portée à partir des lois de notre univers observable que nous avons découvertes et de celles que nous découvrirons grâce à l’étude approfondie de ce "phénomène ovni".
Le jeu de cache-cache, difficile de l’appeler autrement, auquel se livrent les auteurs de ce phénomène en interférant le moins possible avec nous, avec une ingérence minimale tout en montrant de temps en temps le "bout de leur nez", est un stimulant de nos performances intellectuelles avec un problème qui n'excède que de peu nos capacités et nous prépare petit à petit au contact officiel qui ne manquera pas de se produire quand le degré de nos connaissances et celui nécessaire à notre conscience collective seront atteints qui nous permettront alors de digérer ce qui ne sera plus le choc qu’il serait aujourd’hui en provoquant un ethnocide, c'est-à-dire l’annihilation des cultures de notre espèce humaine.
Ces exocivilisations continueront leurs intrusions fugitives tant que nos cultures ne seront pas à la hauteur des concepts nécessaires au contact au grand jour, ce que nous rejetons aujourd'hui par un phénomène "psycho-socio-immunologique" de tabou.
Ceci rejoint ce que vous relevez par ailleurs, citant Auguste Meessen après avoir utilisé le lien que je propose concernant l’article
"Où en sommes-nous en ufologie ? " :
Althea a écrit:Dossier très intéressant; j'aime bien le :
« On ne cherche pas de preuves, parce qu'il n'y en a pas encore. Il faudrait peut-être les chercher, pour en avoir [...] Au fond, on refuse d'étudier les faits, parce qu'on ne les comprend pas, mais pour les comprendre, il faudrait d'abord les étudier ! »
Sans doute avez-vous également relevé dans cet article :
L'utilisation du verbe croire est symptomatique ... même au sein d'une boutade!Ceux qui ont interviewé Hubert Reeves rappelèrent alors ce qui est arrivé : « Un grand mathématicien français a dit au cours d'une émission de télévision : Si j'entends à la radio qu'une soucoupe volante s'est posée dans mon jardin, je vais fermer les volets et je continue mon travail. » La réponse de Reeves était simple et nette : « Sans doute manquait-il de curiosité. Cela existe, même chez des savants ! ». Hubert Reeves est prêt à regarder le cas échéant, mais en attendant, il se contente de la même réponse que ses confrères : « Je ne crois pas qu'on ait trouvé des preuves crédibles de la visite d'extraterrestres sur notre planète Si le débarquement se produisait, on le saurait ! »
Cordialement,
Jean
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Ma présentation se trouve ici
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- 2011: le 25/05 - - Ovni cylindrique avec hublots - massif de la ste beaume (le var)
- 2006: Le 19/08 entre 22h00 et 00h00 - Observation de lumieres blanche- Loire atlantique - (44)
- 2010: Le 22/07 à 22h00 - Observation 2 gros point lumineux ce déplaçant au dessus d'un champ - Montaure (27)
- 1980: Vers 22h00 - observation d'un objet lumineux dans le ciel de banlieue parisienne (disque ou sphere)
- 1972/1973: Le soir - Mon expérience OVNI dans les années 1972 ou 1973 - Tarn - (81)
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