- Benjamin.dResponsable du forum
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Villemomble (Seine-Saint-Denis)« J'ai cru que ça allait taper dans l'immeuble»
Ven 13 Juin 2008, 11:47
Villemomble (Seine-Saint-Denis): « J'ai cru que ça allait taper dans l'immeuble à-côté ! »
François Ellul est chauffeur de bus à la RATP. C'est un sportif, passionné de football. En 1990, il habitait un petit immeuble sur le plateau d'Avron, au 26, avenue du centre prolongée. Le soir du 5 novembre, il rentra chez lui alors qu'il ne faisait pas encore nuit: le ciel était bleu, d'un bleu profond: la nuit allait tomber. On peut donc supposer que c'était aux environs de 18 h, peut-être même avant, en tout cas bien avant 19 h. Dès qu'il arriva, son épouse lui demanda s'il voulait bien descendre promener leur petite chienne. François Ellul redescendit donc. Il laissa gambader sa petite chienne sur les pelouses, et resta au pied de l'immeuble, devant la porte d'entrée. C'est alors qu'il vit soudain apparaître, à une distance (en projection au sol) qu'il estime à seulement vingt mètres, deux disques, de tailles différentes, qui se détachaient sur le ciel du crépuscule. Le premier pouvait avoir 5 à 7 m de diamètre, et le second, entre 9 et 11 m. Entre les deux disques, il pouvait y avoir une trentaine de mètres. C'était tellement proche, que François Ellul crut que l'un de ces disques allait heurter l'immeuble voisin.
Ces deux disques portaient sur leur périphérie des sortes de « projecteurs en veilleuse », blancs, avec au centre de la face inférieure, un autre feu blanc, donnant lui aussi l'impression d'être en veilleuse. Au bout de quelques instants, ces deux objets s'éloignant lentement, François Ellul put les voir, non plus de dessous, mais presque de profil; il put alors constater la présence de coupoles, sur ces disques dont les bords paraissaient alors blancs, et qui disparurent rapidement, masqués par de petits arbres. Si l'on s'obstine à refuser aux ovnis une nature très particulière, difficile pour nous à concevoir, et pour ainsi dire fantômatique, intermédiaire entre ce qui est et ce qui n'est pas, il est pratiquement impensable que personne d'autre n'ait remarqué le passage à très basse altitude de ces deux objets très visibles. Il aurait dû y avoir des centaines de témoins. Tout au moins, des dizaines.
Quelque temps plus tard, buvant son café dans un bistrot du quartier, François Ellul apprit que quelqu'un avait « vu quelque chose », probablement ce soir-là. Aux dernières nouvelles, il n'était pas parvenu à entrer en contact avec cette personne, malgré mes incitations répétées à tout faire pour tenter de la trouver. Si l'on repère les directions dans lesquelles ces deux objets sont apparus et ont disparu, on constate (avec stupéfaction !) qu'ils sont apparus au sud, qu'ils ont disparu vers l'est, et que leur trajectoire apparente n'est sans doute pas très différente... de celle de la rentrée atmosphérique qui allait se produire une heure plus tard environ. Certains, n'en doutons pas, verront là la « preuve » que François Ellul a tout simplement observé le passage de cette rentrée. Il suffit d'admettre qu'il ne sait pas faire la différence entre le crépuscule et la nuit, qu'il a cru voir à 20 m ce qui était en fait à 170 ou 180 km, et qu'il a carrément rêvé tous les détails de la description qu'il donne. Pour avoir assez longuement entendu son histoire, sur les lieux-mêmes de son expérience, j'ai plutôt tendance à croire qu'il est un excellent témoin, et que la solution du mystère n'est pas à rechercher du côté des erreurs de perception.
Après le « gros de la vague » , on trouve une observation, très précise et circonstanciée, à 19 h 35, en Seine-et-Marne, sur le bord de la D 142, au sud de Dammarie-les-Lys, très exactement entre les intersections avec la N 372 et la D 132. Le témoin, un ingénieur en organisation informatique, se hâte de rentrer chez lui, à Samois-sur-Seine, où il doit recevoir un important coup de téléphone à 20 h. Très exactement à 19 h 10, il est victime d'une panne de voiture qui l'immobilise à l'endroit indiqué. Il téléphone à plusieurs garages, et retourne à sa voiture pour attendre le dépanneur. Craignant de manquer son rendez-vous téléphonique, il regarde très souvent sa montre, et c'est à 19 h 35 qu'adossé au capot de sa voiture, il observe le passage silencieux d'un étrange ensemble, avec notamment deux puissants projecteurs éclairant vers l'arrière. La description qu'il donne ressemble profondément à d'autres descriptions fournies dans la région de Melun, mais trente ou trente-cinq minutes plus tôt. Or, ici, l'heure (19 h 35) est précise et certaine. On ne peut s'empêcher de penser au troisième témoin de la gare du Val d'Or, à Saint-Cloud, disant aux deux autres « Il y a un quart d'heure que je suis ici, et c'est le troisième machin comme ça que je vois passer ».
Trois minutes plus tard, nous trouvons l'observation qui va suivre, à Belfort. Elle présente un caractère unique, parmi tous les événements de cette soirée: c'est en effet une observation auditive, et non pas visuelle.
http://home.nordnet.fr/~phuleux/5novembr7.htm
François Ellul est chauffeur de bus à la RATP. C'est un sportif, passionné de football. En 1990, il habitait un petit immeuble sur le plateau d'Avron, au 26, avenue du centre prolongée. Le soir du 5 novembre, il rentra chez lui alors qu'il ne faisait pas encore nuit: le ciel était bleu, d'un bleu profond: la nuit allait tomber. On peut donc supposer que c'était aux environs de 18 h, peut-être même avant, en tout cas bien avant 19 h. Dès qu'il arriva, son épouse lui demanda s'il voulait bien descendre promener leur petite chienne. François Ellul redescendit donc. Il laissa gambader sa petite chienne sur les pelouses, et resta au pied de l'immeuble, devant la porte d'entrée. C'est alors qu'il vit soudain apparaître, à une distance (en projection au sol) qu'il estime à seulement vingt mètres, deux disques, de tailles différentes, qui se détachaient sur le ciel du crépuscule. Le premier pouvait avoir 5 à 7 m de diamètre, et le second, entre 9 et 11 m. Entre les deux disques, il pouvait y avoir une trentaine de mètres. C'était tellement proche, que François Ellul crut que l'un de ces disques allait heurter l'immeuble voisin.
Ces deux disques portaient sur leur périphérie des sortes de « projecteurs en veilleuse », blancs, avec au centre de la face inférieure, un autre feu blanc, donnant lui aussi l'impression d'être en veilleuse. Au bout de quelques instants, ces deux objets s'éloignant lentement, François Ellul put les voir, non plus de dessous, mais presque de profil; il put alors constater la présence de coupoles, sur ces disques dont les bords paraissaient alors blancs, et qui disparurent rapidement, masqués par de petits arbres. Si l'on s'obstine à refuser aux ovnis une nature très particulière, difficile pour nous à concevoir, et pour ainsi dire fantômatique, intermédiaire entre ce qui est et ce qui n'est pas, il est pratiquement impensable que personne d'autre n'ait remarqué le passage à très basse altitude de ces deux objets très visibles. Il aurait dû y avoir des centaines de témoins. Tout au moins, des dizaines.
Quelque temps plus tard, buvant son café dans un bistrot du quartier, François Ellul apprit que quelqu'un avait « vu quelque chose », probablement ce soir-là. Aux dernières nouvelles, il n'était pas parvenu à entrer en contact avec cette personne, malgré mes incitations répétées à tout faire pour tenter de la trouver. Si l'on repère les directions dans lesquelles ces deux objets sont apparus et ont disparu, on constate (avec stupéfaction !) qu'ils sont apparus au sud, qu'ils ont disparu vers l'est, et que leur trajectoire apparente n'est sans doute pas très différente... de celle de la rentrée atmosphérique qui allait se produire une heure plus tard environ. Certains, n'en doutons pas, verront là la « preuve » que François Ellul a tout simplement observé le passage de cette rentrée. Il suffit d'admettre qu'il ne sait pas faire la différence entre le crépuscule et la nuit, qu'il a cru voir à 20 m ce qui était en fait à 170 ou 180 km, et qu'il a carrément rêvé tous les détails de la description qu'il donne. Pour avoir assez longuement entendu son histoire, sur les lieux-mêmes de son expérience, j'ai plutôt tendance à croire qu'il est un excellent témoin, et que la solution du mystère n'est pas à rechercher du côté des erreurs de perception.
Après le « gros de la vague » , on trouve une observation, très précise et circonstanciée, à 19 h 35, en Seine-et-Marne, sur le bord de la D 142, au sud de Dammarie-les-Lys, très exactement entre les intersections avec la N 372 et la D 132. Le témoin, un ingénieur en organisation informatique, se hâte de rentrer chez lui, à Samois-sur-Seine, où il doit recevoir un important coup de téléphone à 20 h. Très exactement à 19 h 10, il est victime d'une panne de voiture qui l'immobilise à l'endroit indiqué. Il téléphone à plusieurs garages, et retourne à sa voiture pour attendre le dépanneur. Craignant de manquer son rendez-vous téléphonique, il regarde très souvent sa montre, et c'est à 19 h 35 qu'adossé au capot de sa voiture, il observe le passage silencieux d'un étrange ensemble, avec notamment deux puissants projecteurs éclairant vers l'arrière. La description qu'il donne ressemble profondément à d'autres descriptions fournies dans la région de Melun, mais trente ou trente-cinq minutes plus tôt. Or, ici, l'heure (19 h 35) est précise et certaine. On ne peut s'empêcher de penser au troisième témoin de la gare du Val d'Or, à Saint-Cloud, disant aux deux autres « Il y a un quart d'heure que je suis ici, et c'est le troisième machin comme ça que je vois passer ».
Trois minutes plus tard, nous trouvons l'observation qui va suivre, à Belfort. Elle présente un caractère unique, parmi tous les événements de cette soirée: c'est en effet une observation auditive, et non pas visuelle.
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