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- CosmosEquipe du forum
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(1965) la rencontre de Maurice Masse à Valensole
Jeu 05 Avr 2007, 18:14
Ovni - la rencontre de Valensole (1965)
C'est un des cas les plus connu d'une rencontre du troisième type (RR3). Le 1er juillet 1965, Maurice Masse observa d'assez près un objet de forme ovoïde posé dans son champ ainsi que ses occupants. Ce récit est considéré comme l'un des plus solides accumulés par les ufologues. A l'endroit où se trouvaient les traces au sol, rien ne poussera pendant 2 ans.
Lire le dossier complet sur le blog: Ovni - la rencontre de Valensole (1965)
Maurice Masse, cultivateur de lavande de 41 ans réputé pour son sérieux, vit avec sa femme et ses 2 enfants sur le plateau de Valensole (Alpes de Haute-Provence).
Depuis une semaine, lui et son père travaillent quotidiennement dans leur champ et remarquent chaque matin, des dégâts causés aux lavandins, comme si quelqu'un avait pris, chaque nuit, des échantillons de ces plantes. Les plants ne sont pas arrachés, mais des pousses sont coupées ou plutôt cassées et emportées.
Au petit matin du 1er juillet 1965, Masse quitte son domicile vers 5 h. Il arrive dans son champ situé à 1600 m de sa maison. A 5 h 45, s'apprêtant à démarrer son tracteur qui stationne derrière un clapier (tas de pierrailles de 2 m de haut), Masse entend un bruit comme un sifflement qui remplissait toute la campagne. De là où il se trouve, il ne peut en localiser l'origine mais, pensantà un hélicoptère militaire, se dirige vers l'origine du bruit. Sortant de derrière le clapier, il constate effectivement qu'un engin est posé dans son champ au milieu de ses buissons de lavande, à 90 m. Cependant sa forme rappelle plutôt celle d'un ballon de rugby.
Masse s'approche en longeant une vigne située le long de son terrain, marchant parmi les rochers tout en observant la "machine". L'objet, du volume d'une Renault Dauphine (de 3 à 3,50 m de large, pour environ 2,50 m de hauteur) et de couleur neutre et mate. Il possède une coupole supérieure transparente, et 6 pieds montés sur un pivot central s'enfonçant dans le sol, le faisant penser à une énorme araignée.
Je me trouvais le 1er Juillet 1965 vers 5 h 30 du matin, comme j'en ai l'habitude, dans mon champ de lavande un peu au Nord de Valensole près de la route d'Oraison. Je n'avais pas encore mis en marche mon tracteur, arrêté derrière un clapier (tas de pierrailles de 2 m de haut environ). J'allais le faire et j'allumais une cigarette quand j'entendis un sifflement dont je ne localisais pas l'origine.
Masse contourne le clapier avec précaution, pensant prendre des gens la main dans le sac. Mais c'est un tout autre spectacle qui l'attend :
Je sortis alors derrière le clapier qui me dissimulait et vis à 90 m de moi environ un engin de forme bizarre qui s'était posé dans mon champ. J'avais d'abord pensé à un hélicoptère, mais je me suis rendu compte que ce ne pouvais en être un. J'avais trop l'habitude de ces machines de l'armée qui, en difficulté ou non, atterrissent souvent sur mon champ ou à côté. Je ne manque pas, chaque fois, d'aller m'entretenir avec les pilotes lesquels, bien souvent, sont des chasseurs comme moi. Mais cet engin ressemblant à un gros ballon de rugby, gros comme une Dauphine, surmonté d'une coupole, reposant sur 6 béquilles, qu'est-ce que ça pouvait être ? Peut-être, pensais-je, un engin expérimental ?
Mais l'objet n'est pas seul. 2 petits humanoïdes se trouvent à ses pieds, accroupis :
Je m'avance néanmoins d'un pas tranquille, rien dans les mains, à travers les jeunes plants de lavande qui couvrent mon champ. Et j'apperçois tout près de l'engin 2 petits êtres ayant apparence humaine, penchés sur un pied de lavande.
Un lui tourne le dos, l'autre lui fait face.
Sans trop d'inquiétude, je m'approche avec l'intention d'entrer en contact avec eux. J'arrive ainsi à 5 ou 6 m des étranges visiteurs, mais ceux-ci m'aperçoivent, se redressent et l'un d'eux braque aussitôt sur moi une sorte de tube, ou de "pistolet". Je suis alors instatanément figé sur place au point de ne pouvoir faire un seul mouvement.
Dessin d'un humanoide tel qu'observé à Valensole
Lorsque je suis arrivé à 7 m d'eux, celui qui était tourné dans ma direction m'a alors aperçu. Il a dû faire un signe à l'autre, tous 2 se sont redressés, celui qui avait le dos tourné a fait volte-face et a pointé un tube dans ma direction qu'il prit dans un étui sur son côté droit; à ce moment-là, j'ai été totalement immobilisé. Je ne ressentais rien, je n'étais pas engourdi ni contracté mais je ne pouvais pas faire un seul geste. J'ai très bien distingué que celui qui m'avait paralysé remettait de la main droite, dans l'étui qu'il portait à gauche, ce fameux tube.
Ces 2 êtres sont ensuite restés quelques mn discuter en me regardant la plupart du temps. J'ai remarqué que leurs yeux bougeaient et j'entendis une sorte de gargouillement provenant certainement de leur gorge. Ils n'avaient presque pas de cou tant leur tête était rentrée dans les épaules. Ils semblaient se moquer de moi, pourtant leurs regards n'étaient pas méchants, tout au contraire.
Au bout de 4 à 5 mn, ils retournèrent, avec une agilité surprenante, dans leur appareil en s'aidant de la main droite, puis de la main gauche. Une fois montés à bord, une porte à glissière se referma d'une façon qui m'a semblé automatique, de bas en haut, de la même manière qu'une porte de meuble.
Je les ai distingués derrière le dôme, j'ai entendu un bruit sourd qui a duré 2 à 3 s, tandis que leur appareil se soulevait de 10 cm à 1 m. Le tube qui se trouvait sous l'appareil est sorti de terre et les 6 pieds se sont mis à tourner. Il n'y a eu ni fumée, ni poussière soulevée par cet engin. Les 6 pattes tournaient dans le sens des aiguilles d'une montre.
Tandis que les visiteurs me faisaient face, l'appareil est parti en arrière, dans la direction opposée à leur orientation. Il s'est élevé en oblique plus vite qu'un avion à réaction. Je l'ai suivi pendant 15 à 30 m, puis il a disparu subitement de ma vue, pire qu'un éclair.
Je suis resté immobilisé encore 15 mn, puis j'ai remué mes mains, puis tous le corps et les membres. Je suis alors parti vers mon tracteur.
J'ai allumé une cigarette et j'ai continué mon travail jusqu'à 7 h et demi/huit heures. Monté sur mon engin, j'ai biné ma vigne qui n'est pas celle que j'ai traversé lors de mon approche puis je suis rentré chez moi vers 9 h.
C'est en mettant au courant de son aventure M. Moisson, patron du Café des Sports que la gendarmerie a vent de la nouvelle.
Il racontera ensuite avoir vu également de petits êtres (1 m environ) dont la morphologie générale est proche de la nôtre mais qui sont manifestement étrangers à notre planète. En s'approchant d'eux, il note leur tête anormalement grosse par rapport au corps (3 fois celle d'un humain), chauve, peau blanche, longues oreilles, pommettes saillantes et charnues, avec une petite bouche circulaire. Ils portent des costumes gris-vert d'une seule pièce. Jusqu'alors penchés sur un buisson de lavande, ils semblent enfin remarquer sa présence lorsqu'il est à 8 m d'eux, et l'un deux braque alors vers Masse un petit tube qui le paralyse, mais apparemment sans lui faire perdre conscience. Il se souvient qu'il y a eu alors une sorte de communication télépathique avec ces êtres, dont il garde une impression de bienveillance. Les 2 êtres retournent ensuite à leur engin, y pénêtrent par une porte coulissante. Le bruit de sifflement recommence et l'engin plane brievement tandis que ses pieds commencent à tourner, puis il file vers l'Ouest à vive alure.
Masse ne recouvre sa capacité de mouvement que 15 mn plus tard. A ce moment, il va immédiatement examiner l'endroit où l'ovni s'est posé et remarque diverses marques au sol, ainsi qu'un trou central d'environ 30 cm de profondeur là où il avait stationné le pylône central de l'engin. La terre tout autour est détrempée. Plus tard, dans la journée, il note qu'elle s'est rapidement durcie jusqu'à avoir la consistance du ciment.
[g]Enquête:Maurice Masse sur la trace dans son champ [/g]
Le lieutenant-colonel (capitaine ?) Valnet, commandant de la compagnie de gendarmerie des Alpes de Haute Provence contrôle le déroulement de l'enquête des gendarmes Azias et Santoni. Ceux-ci s'attèlent à leur tâche êtent dès le lendemain, recueillant un 1er témoignage de Masse, d'abord réticent par peur du ridicule.
Masse ne parle pas tout de suite des petits êtres.
La trace laissée sur le champ de Maurice Masse
A partir du 3 Juillet, les journaux parlent de la "soucoupe volante de Valensole". La plupart émettent l'hypothèse d'un hélicoptère Alouette II ou III : en effet, cet été-là, des exercices militaires sont en cours sous le nom de "Provence 65". Le général Chassin ne confirme pas l'hypothèse de manoeuvres militaires et demande que les autorités fassent dans le plus bref délai, une déclaration à l'effet de dire si, oui ou non, un hélicoptère en mission s'est posé un moment dans le champ de M. Masse.
Les ufologues sont très sollicités : l'un des plus célèbres, Aimé Michel, déclare : si le témoin a inventé la chose, il a inventé quelque chose de tout à fait conforme à ce que l'on sait déjà, en particulier de tout fait conforme à une observation faite l'année dernière aux Etats-Unis dans un endroit qui s'appelle Soccoro.
Maurice Masse
Masse s'est réfugié sur la côte pour éviter la presse et les curieux. Le 4 Juillet, les journalistes le retrouvent et il répond aux questions d'Europe 1 : il reste sur ses déclarations jusqu'au 18 Août, où il est interrogé pendant 8 h par le capitaine de gendarmerie Valnet. Au cours de cet entretien éprouvant, il donne une nouvelle version des faits. Cette fois, les 2 êtres étaient hors de leur engin et semblaient contempler, accroupis, un plan de lavandin. Ils ne mesuraient pas plus de 1 m, leur crâne disproportionné, chauves, un trou à la place de la bouche. Il n'avait pas osé tout dire de peur d'être enfermé à l'asile ; il ne l'avait raconté qu'à son père et au gendarme, le maréchal des logis Oliva.
L'enquête GuieuJimmy Guieu, alors chef du service d'enquête du groupement Ouranos, se rend sur les lieux. En voulant recueillir un peu de terre à l'endroit où l'engin s'est posé, il brise la lame de son canif tant le sol est dur.
L'enquête ChautardDébut Septembre, maître Chautard, magistrat conseiller à la cour d'appel de Lyon et membre du GEPA, mene son enquête à titre privé.
Chautard interroge Masse et rédige un long rapport où il dévoile la version du 2nd PV de gendarmerie. Ce rapport est diffusé dans le n° 5 de Phénomènes Spatiaux. Ce rapport conclut : nous sommes personnellement enclins à penser que le champ de lavande de M. Masse a été l'objet d'une visite insolite et semble-t-il, extraterrestre.
Masse sera par la suite interrogé par Aimé Michel qui constatera que Masse est victime pendant quelques semaines d'hypersomnie.
Pour les ufologues et pour certains journalistes, Masse n'a pas tout dit. En 1972, le journaliste René Pacaut, rencontre Masse qui lui dit : Je ne peux pas dire tout ce qu'ai vu. Personne ne me croirait.
Fin 79, Masse accorde un entretien à Jacques Vallée. il en ressort que les êtres venaient de quelque part ailleurs, mais qu'ils étaient humains.
Plus tard, Masse semblera avoir conservé un sentiment quasi-religieux de ce mystérieux "contact" des êtres venus d'ailleurs. Il meurt le 14 Mai 2004.
Références :
[Bourret 1976] La Nouvelle Vague des Soucoupes Volantes de Jean-Claude Bourret (Presses Pocket 1976)
Enquête sur la trace de Juin 89 à Valensole - un autre cas de trace à Valensole.
Le cas de Valensole, 1er Juillet 1965... (UFOmania n°22 Décembre 1998)
L'énigme de Valensole
Inforespace : n°53, septembre 1980, pp.2-17 (Texte de Pierre Guérin, Maître de recherche au CNRS)
Inforespace : n°54, novembre 1980, pp.4-11 (Texte du Dr Beaudouard, médecin psychiatre)
OVNI : Le premier dossier complet des rencontres rapprochées en France, par Michel Figuet et Jean-Louis Ruchon (Ed. Alain Lefeuvre, 1979, pp.253-256).
Ref:RR0.
C'est un des cas les plus connu d'une rencontre du troisième type (RR3). Le 1er juillet 1965, Maurice Masse observa d'assez près un objet de forme ovoïde posé dans son champ ainsi que ses occupants. Ce récit est considéré comme l'un des plus solides accumulés par les ufologues. A l'endroit où se trouvaient les traces au sol, rien ne poussera pendant 2 ans.
Lire le dossier complet sur le blog: Ovni - la rencontre de Valensole (1965)
Maurice Masse, cultivateur de lavande de 41 ans réputé pour son sérieux, vit avec sa femme et ses 2 enfants sur le plateau de Valensole (Alpes de Haute-Provence).
Depuis une semaine, lui et son père travaillent quotidiennement dans leur champ et remarquent chaque matin, des dégâts causés aux lavandins, comme si quelqu'un avait pris, chaque nuit, des échantillons de ces plantes. Les plants ne sont pas arrachés, mais des pousses sont coupées ou plutôt cassées et emportées.
Au petit matin du 1er juillet 1965, Masse quitte son domicile vers 5 h. Il arrive dans son champ situé à 1600 m de sa maison. A 5 h 45, s'apprêtant à démarrer son tracteur qui stationne derrière un clapier (tas de pierrailles de 2 m de haut), Masse entend un bruit comme un sifflement qui remplissait toute la campagne. De là où il se trouve, il ne peut en localiser l'origine mais, pensantà un hélicoptère militaire, se dirige vers l'origine du bruit. Sortant de derrière le clapier, il constate effectivement qu'un engin est posé dans son champ au milieu de ses buissons de lavande, à 90 m. Cependant sa forme rappelle plutôt celle d'un ballon de rugby.
Masse s'approche en longeant une vigne située le long de son terrain, marchant parmi les rochers tout en observant la "machine". L'objet, du volume d'une Renault Dauphine (de 3 à 3,50 m de large, pour environ 2,50 m de hauteur) et de couleur neutre et mate. Il possède une coupole supérieure transparente, et 6 pieds montés sur un pivot central s'enfonçant dans le sol, le faisant penser à une énorme araignée.
Je me trouvais le 1er Juillet 1965 vers 5 h 30 du matin, comme j'en ai l'habitude, dans mon champ de lavande un peu au Nord de Valensole près de la route d'Oraison. Je n'avais pas encore mis en marche mon tracteur, arrêté derrière un clapier (tas de pierrailles de 2 m de haut environ). J'allais le faire et j'allumais une cigarette quand j'entendis un sifflement dont je ne localisais pas l'origine.
Masse contourne le clapier avec précaution, pensant prendre des gens la main dans le sac. Mais c'est un tout autre spectacle qui l'attend :
Je sortis alors derrière le clapier qui me dissimulait et vis à 90 m de moi environ un engin de forme bizarre qui s'était posé dans mon champ. J'avais d'abord pensé à un hélicoptère, mais je me suis rendu compte que ce ne pouvais en être un. J'avais trop l'habitude de ces machines de l'armée qui, en difficulté ou non, atterrissent souvent sur mon champ ou à côté. Je ne manque pas, chaque fois, d'aller m'entretenir avec les pilotes lesquels, bien souvent, sont des chasseurs comme moi. Mais cet engin ressemblant à un gros ballon de rugby, gros comme une Dauphine, surmonté d'une coupole, reposant sur 6 béquilles, qu'est-ce que ça pouvait être ? Peut-être, pensais-je, un engin expérimental ?
Mais l'objet n'est pas seul. 2 petits humanoïdes se trouvent à ses pieds, accroupis :
Je m'avance néanmoins d'un pas tranquille, rien dans les mains, à travers les jeunes plants de lavande qui couvrent mon champ. Et j'apperçois tout près de l'engin 2 petits êtres ayant apparence humaine, penchés sur un pied de lavande.
Un lui tourne le dos, l'autre lui fait face.
Sans trop d'inquiétude, je m'approche avec l'intention d'entrer en contact avec eux. J'arrive ainsi à 5 ou 6 m des étranges visiteurs, mais ceux-ci m'aperçoivent, se redressent et l'un d'eux braque aussitôt sur moi une sorte de tube, ou de "pistolet". Je suis alors instatanément figé sur place au point de ne pouvoir faire un seul mouvement.
Dessin d'un humanoide tel qu'observé à Valensole
Lorsque je suis arrivé à 7 m d'eux, celui qui était tourné dans ma direction m'a alors aperçu. Il a dû faire un signe à l'autre, tous 2 se sont redressés, celui qui avait le dos tourné a fait volte-face et a pointé un tube dans ma direction qu'il prit dans un étui sur son côté droit; à ce moment-là, j'ai été totalement immobilisé. Je ne ressentais rien, je n'étais pas engourdi ni contracté mais je ne pouvais pas faire un seul geste. J'ai très bien distingué que celui qui m'avait paralysé remettait de la main droite, dans l'étui qu'il portait à gauche, ce fameux tube.
Ces 2 êtres sont ensuite restés quelques mn discuter en me regardant la plupart du temps. J'ai remarqué que leurs yeux bougeaient et j'entendis une sorte de gargouillement provenant certainement de leur gorge. Ils n'avaient presque pas de cou tant leur tête était rentrée dans les épaules. Ils semblaient se moquer de moi, pourtant leurs regards n'étaient pas méchants, tout au contraire.
Au bout de 4 à 5 mn, ils retournèrent, avec une agilité surprenante, dans leur appareil en s'aidant de la main droite, puis de la main gauche. Une fois montés à bord, une porte à glissière se referma d'une façon qui m'a semblé automatique, de bas en haut, de la même manière qu'une porte de meuble.
Je les ai distingués derrière le dôme, j'ai entendu un bruit sourd qui a duré 2 à 3 s, tandis que leur appareil se soulevait de 10 cm à 1 m. Le tube qui se trouvait sous l'appareil est sorti de terre et les 6 pieds se sont mis à tourner. Il n'y a eu ni fumée, ni poussière soulevée par cet engin. Les 6 pattes tournaient dans le sens des aiguilles d'une montre.
Tandis que les visiteurs me faisaient face, l'appareil est parti en arrière, dans la direction opposée à leur orientation. Il s'est élevé en oblique plus vite qu'un avion à réaction. Je l'ai suivi pendant 15 à 30 m, puis il a disparu subitement de ma vue, pire qu'un éclair.
Je suis resté immobilisé encore 15 mn, puis j'ai remué mes mains, puis tous le corps et les membres. Je suis alors parti vers mon tracteur.
J'ai allumé une cigarette et j'ai continué mon travail jusqu'à 7 h et demi/huit heures. Monté sur mon engin, j'ai biné ma vigne qui n'est pas celle que j'ai traversé lors de mon approche puis je suis rentré chez moi vers 9 h.
C'est en mettant au courant de son aventure M. Moisson, patron du Café des Sports que la gendarmerie a vent de la nouvelle.
Il racontera ensuite avoir vu également de petits êtres (1 m environ) dont la morphologie générale est proche de la nôtre mais qui sont manifestement étrangers à notre planète. En s'approchant d'eux, il note leur tête anormalement grosse par rapport au corps (3 fois celle d'un humain), chauve, peau blanche, longues oreilles, pommettes saillantes et charnues, avec une petite bouche circulaire. Ils portent des costumes gris-vert d'une seule pièce. Jusqu'alors penchés sur un buisson de lavande, ils semblent enfin remarquer sa présence lorsqu'il est à 8 m d'eux, et l'un deux braque alors vers Masse un petit tube qui le paralyse, mais apparemment sans lui faire perdre conscience. Il se souvient qu'il y a eu alors une sorte de communication télépathique avec ces êtres, dont il garde une impression de bienveillance. Les 2 êtres retournent ensuite à leur engin, y pénêtrent par une porte coulissante. Le bruit de sifflement recommence et l'engin plane brievement tandis que ses pieds commencent à tourner, puis il file vers l'Ouest à vive alure.
Masse ne recouvre sa capacité de mouvement que 15 mn plus tard. A ce moment, il va immédiatement examiner l'endroit où l'ovni s'est posé et remarque diverses marques au sol, ainsi qu'un trou central d'environ 30 cm de profondeur là où il avait stationné le pylône central de l'engin. La terre tout autour est détrempée. Plus tard, dans la journée, il note qu'elle s'est rapidement durcie jusqu'à avoir la consistance du ciment.
[g]Enquête:Maurice Masse sur la trace dans son champ [/g]
Le lieutenant-colonel (capitaine ?) Valnet, commandant de la compagnie de gendarmerie des Alpes de Haute Provence contrôle le déroulement de l'enquête des gendarmes Azias et Santoni. Ceux-ci s'attèlent à leur tâche êtent dès le lendemain, recueillant un 1er témoignage de Masse, d'abord réticent par peur du ridicule.
Masse ne parle pas tout de suite des petits êtres.
La trace laissée sur le champ de Maurice Masse
A partir du 3 Juillet, les journaux parlent de la "soucoupe volante de Valensole". La plupart émettent l'hypothèse d'un hélicoptère Alouette II ou III : en effet, cet été-là, des exercices militaires sont en cours sous le nom de "Provence 65". Le général Chassin ne confirme pas l'hypothèse de manoeuvres militaires et demande que les autorités fassent dans le plus bref délai, une déclaration à l'effet de dire si, oui ou non, un hélicoptère en mission s'est posé un moment dans le champ de M. Masse.
Les ufologues sont très sollicités : l'un des plus célèbres, Aimé Michel, déclare : si le témoin a inventé la chose, il a inventé quelque chose de tout à fait conforme à ce que l'on sait déjà, en particulier de tout fait conforme à une observation faite l'année dernière aux Etats-Unis dans un endroit qui s'appelle Soccoro.
Maurice Masse
Masse s'est réfugié sur la côte pour éviter la presse et les curieux. Le 4 Juillet, les journalistes le retrouvent et il répond aux questions d'Europe 1 : il reste sur ses déclarations jusqu'au 18 Août, où il est interrogé pendant 8 h par le capitaine de gendarmerie Valnet. Au cours de cet entretien éprouvant, il donne une nouvelle version des faits. Cette fois, les 2 êtres étaient hors de leur engin et semblaient contempler, accroupis, un plan de lavandin. Ils ne mesuraient pas plus de 1 m, leur crâne disproportionné, chauves, un trou à la place de la bouche. Il n'avait pas osé tout dire de peur d'être enfermé à l'asile ; il ne l'avait raconté qu'à son père et au gendarme, le maréchal des logis Oliva.
L'enquête GuieuJimmy Guieu, alors chef du service d'enquête du groupement Ouranos, se rend sur les lieux. En voulant recueillir un peu de terre à l'endroit où l'engin s'est posé, il brise la lame de son canif tant le sol est dur.
L'enquête ChautardDébut Septembre, maître Chautard, magistrat conseiller à la cour d'appel de Lyon et membre du GEPA, mene son enquête à titre privé.
Chautard interroge Masse et rédige un long rapport où il dévoile la version du 2nd PV de gendarmerie. Ce rapport est diffusé dans le n° 5 de Phénomènes Spatiaux. Ce rapport conclut : nous sommes personnellement enclins à penser que le champ de lavande de M. Masse a été l'objet d'une visite insolite et semble-t-il, extraterrestre.
Masse sera par la suite interrogé par Aimé Michel qui constatera que Masse est victime pendant quelques semaines d'hypersomnie.
Pour les ufologues et pour certains journalistes, Masse n'a pas tout dit. En 1972, le journaliste René Pacaut, rencontre Masse qui lui dit : Je ne peux pas dire tout ce qu'ai vu. Personne ne me croirait.
Fin 79, Masse accorde un entretien à Jacques Vallée. il en ressort que les êtres venaient de quelque part ailleurs, mais qu'ils étaient humains.
Plus tard, Masse semblera avoir conservé un sentiment quasi-religieux de ce mystérieux "contact" des êtres venus d'ailleurs. Il meurt le 14 Mai 2004.
Références :
[Bourret 1976] La Nouvelle Vague des Soucoupes Volantes de Jean-Claude Bourret (Presses Pocket 1976)
Enquête sur la trace de Juin 89 à Valensole - un autre cas de trace à Valensole.
Le cas de Valensole, 1er Juillet 1965... (UFOmania n°22 Décembre 1998)
L'énigme de Valensole
Inforespace : n°53, septembre 1980, pp.2-17 (Texte de Pierre Guérin, Maître de recherche au CNRS)
Inforespace : n°54, novembre 1980, pp.4-11 (Texte du Dr Beaudouard, médecin psychiatre)
OVNI : Le premier dossier complet des rencontres rapprochées en France, par Michel Figuet et Jean-Louis Ruchon (Ed. Alain Lefeuvre, 1979, pp.253-256).
Ref:RR0.
- Batte64Equipe du forum
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Re: (1965) la rencontre de Maurice Masse à Valensole
Lun 09 Juil 2007, 01:21
super interessant comme article!
le gas dit:
il sorti un tube , un genre de "pistolet"
la j'ai pas tout compris le "pistolet la enfaite immobilisée c'est bien sa?
si non a part un faut temoignage je ne vois que l'hypothese E-T, pas vous?
a+
batte
le gas dit:
il sorti un tube , un genre de "pistolet"
la j'ai pas tout compris le "pistolet la enfaite immobilisée c'est bien sa?
si non a part un faut temoignage je ne vois que l'hypothese E-T, pas vous?
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- CosmosEquipe du forum
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Re: (1965) la rencontre de Maurice Masse à Valensole
Lun 09 Juil 2007, 03:17
:flower:
C'est à nous de réfléchir sur ce témoignage.
En 1965,Mr Masse déclare avoir été paralysé
par une sorte de tube brandi par un des étres..!!
Celui qui ne cherche pas ne trouvera jamais:
1)Il y a d'autres cas de paralysie dans d'autres observations.
2)Par contre,nous en 2007 découvrons que les services de police de differents pays utilisent le "Tazer".(Une sorte de pistolet paralysant!!)
Alors,pourquoi contester quelque chose d'impossible en 1965
et par contre compréhensible en 2007..?
C'est à nous de comprendre que nous avons affaire à une super techno
et que nous devons nous creuser un peu la téte pour essayer de le comprendre.
A+
C'est à nous de réfléchir sur ce témoignage.
En 1965,Mr Masse déclare avoir été paralysé
par une sorte de tube brandi par un des étres..!!
Celui qui ne cherche pas ne trouvera jamais:
1)Il y a d'autres cas de paralysie dans d'autres observations.
2)Par contre,nous en 2007 découvrons que les services de police de differents pays utilisent le "Tazer".(Une sorte de pistolet paralysant!!)
Alors,pourquoi contester quelque chose d'impossible en 1965
et par contre compréhensible en 2007..?
C'est à nous de comprendre que nous avons affaire à une super techno
et que nous devons nous creuser un peu la téte pour essayer de le comprendre.
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- PitLégende du forum
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Re: (1965) la rencontre de Maurice Masse à Valensole
Lun 09 Juil 2007, 08:56
Le croquis montre quoi exactement ? Notamment l'esquisse du bas l'ancrage dans la Terre du vaisseau ?
- CosmosEquipe du forum
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Re: (1965) la rencontre de Maurice Masse à Valensole
Lun 09 Juil 2007, 17:27
Oui Pit,c'est l'ancrage dans le sol.
Nous utilisons le méme principe sur grille
pour un hélico se posant sur un navire.
A+
Nous utilisons le méme principe sur grille
pour un hélico se posant sur un navire.
A+
- PitLégende du forum
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Re: (1965) la rencontre de Maurice Masse à Valensole
Lun 09 Juil 2007, 17:40
Pourquoi pas de documents photos ?!
Pourquoi pas d'echelle ?
Pourquoi pas d'echelle ?
- CosmosEquipe du forum
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Re: (1965) la rencontre de Maurice Masse à Valensole
Lun 09 Juil 2007, 17:45
:flower:
Re...
Il me semble que tu poses de droles de questions..!!
Aurais-tu l'obligeance de déculloter ta pensée..!!
Je sens le sceptique à dix lieux..!!!
Re...
Il me semble que tu poses de droles de questions..!!
Aurais-tu l'obligeance de déculloter ta pensée..!!
Je sens le sceptique à dix lieux..!!!
- PitLégende du forum
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Re: (1965) la rencontre de Maurice Masse à Valensole
Lun 09 Juil 2007, 17:47
Je traque les incoherences dans les recits, de façon a pouvoir m'attarder sur ceux dignes d'interet.
Les photographes depechés sur site font de belles photo du quidam, des champs de lavande, mais pas de l'essentiel, a savoir les traces...
Ce qui me semble passablement curieux.
Sur le croquis, pas d'echelle. Ca fait un metre, 10, 100 ?
Comment se faire une idée ?
Les seuls documents mis a dispo sont des photos de lavande, un croquis douteux et un texte que n'importe qui peut ecrire.
Alors oui, septique concernant ce cas.
Les photographes depechés sur site font de belles photo du quidam, des champs de lavande, mais pas de l'essentiel, a savoir les traces...
Ce qui me semble passablement curieux.
Sur le croquis, pas d'echelle. Ca fait un metre, 10, 100 ?
Comment se faire une idée ?
Les seuls documents mis a dispo sont des photos de lavande, un croquis douteux et un texte que n'importe qui peut ecrire.
Alors oui, septique concernant ce cas.
- CosmosEquipe du forum
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Re: (1965) la rencontre de Maurice Masse à Valensole
Lun 09 Juil 2007, 18:02
:flower:
Que tu sois sceptique en fonction des informations ici présentes
(Ce n'est pas le rapport d'enquéte,c'est juste un résumé)
Je le conçois.
Mais il faut te dire que le cas de Valensole est un cas solide
et surtout qui sera confirmé par une autre information.
Si tu veux plus de renseignement sur ce cas,tu fais comme moi,
tu fouines dans les livres et dans les rapports d'enquétes.
Remarque:
Comme tous les sceptiques, tu doutes
car tu n'as pas cherché par toi-méme.OK?
Tu provoques donc ton "brave" interlocuteur
pour qu'il te fournisse sur un plateau toute la doc.:geek:
En ufologie,il faut aussi faire sa propre recherche.
Le cas de Valensole est un "excellent exemple" .
Les dires de Masse se confirment par d'autres témoignages.
Photo de la zone de posée:
A+
Que tu sois sceptique en fonction des informations ici présentes
(Ce n'est pas le rapport d'enquéte,c'est juste un résumé)
Je le conçois.
Mais il faut te dire que le cas de Valensole est un cas solide
et surtout qui sera confirmé par une autre information.
Si tu veux plus de renseignement sur ce cas,tu fais comme moi,
tu fouines dans les livres et dans les rapports d'enquétes.
Remarque:
Comme tous les sceptiques, tu doutes
car tu n'as pas cherché par toi-méme.OK?
Tu provoques donc ton "brave" interlocuteur
pour qu'il te fournisse sur un plateau toute la doc.:geek:
En ufologie,il faut aussi faire sa propre recherche.
Le cas de Valensole est un "excellent exemple" .
Les dires de Masse se confirment par d'autres témoignages.
Photo de la zone de posée:
A+
- Benjamin.dResponsable du forum
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Re: (1965) la rencontre de Maurice Masse à Valensole
Mer 11 Juil 2007, 20:36
Le cas Valensole de 1965
C'est un des cas les plus connu d'une rencontre du troisième type (RR3). la 1er juillet 1965, Maurice Masse observa d'assez près un objet de forme ovoide posé dans son champ ainsi que ses occupants.
Résumé de l'histoire:
Maurice Masse, cultivateur de lavande de 41 ans réputé pour son sérieux, vit avec sa femme et ses 2 enfants sur le plateau de Valensole (Alpes de Haute-Provence). Depuis une semaine, lui et son père travaillent quotidiennement dans leur champ et remarquent chaque matin, des dégâts causés aux lavandins, comme si quelqu'un avait pris, chaque nuit, des échantillons de ces plantes. Les plants ne sont pas arrachés, mais des pousses sont coupées ou plutôt cassées et emportées.
Au petit matin du 1er juillet 1965, Masse quitte son domicile vers 5 h. Il arrive dans son champ situé à 1600 m de sa maison. A 5 h 45, s'apprêtant à démarrer son tracteur qui stationne derrière un clapier (tas de pierrailles de 2 m de haut), Masse entend un bruit comme un sifflement qui remplissait toute la campagne. De là où il se trouve, il ne peut en localiser l'origine mais, pensant à un hélicoptère militaire, se dirige vers l'origine du bruit. Sortant de derrière le clapier, il constate effectivement qu'un engin est posé dans son champ au milieu de ses buissons de lavande, à 90 m. Cependant sa forme rappelle plutôt celle d'un ballon de rugby.
Masse s'approche en longeant une vigne située le long de son terrain, marchant parmi les rochers tout en observant la "machine". L'objet, du volume d'une Renault Dauphine (de 3 à 3,50 m de large, pour environ 2,50 m de hauteur) et de couleur neutre et mate. Il possède une coupole supérieure transparente, et 6 pieds montés sur un pivot central s'enfonçant dans le sol, le faisant penser à une énorme araignée. Masse contourne le clapier avec précaution, pensant prendre des gens la main dans le sac.
Mais c'est un tout autre spectacle qui l'attend :
L'enquête révèleras la présence, a l'endroit ou l'appareil se trouvait, d'une empreinte nette ainsi que le fait que la terre a cet endroit était desséchée et durcie, alors que partout alentour, elle était humide et meuble.
Un autre point intéressant est que cette observation ressemble fortement a une autre effectuée aux état unis et connu comme " la rencontre de socorro " dont voici un bref exposé :
Le 24 avril 1964 à 17 h 50, Lonnie Zamora, sergent de police de Soccorro (Nouveau-Mexique), pourchasse un chauffard. Il entend soudain un rugissement et voit une flamme bleu-orange derrière une colline. Il abandonne donc sa poursuite et se dirige vers le lieu en question. Au sommet il lui semble voir à 200 m une voiture accidentée et 2 hommes en combinaison blanche.
Tout en s'approchant, il fait un appel radio signalant un accident. Il voit maintenant l'objet à 30 m de distance, ovoïde, posé sur des échasses dans un ravin. A côté, 2 petits êtres humanoïdes vêtus de blanc, voyant Lonnie, ils remontent dans l'appareil. Le vaisseau décolle aussitôt dans un vacarme assourdissant, en émettant une flamme bleue.
Dans ce cas on trouva également des traces laissées par l'appareil lors de son décollage.
Pour de plus ample information sur ce cas :
http://www.rr0.org/1965-07-01_Valensole.html
http://ufologie.net/foiafr/g01f.htm
http://www.rr0.org/1964-04-24_Soccorro.html
C'est un des cas les plus connu d'une rencontre du troisième type (RR3). la 1er juillet 1965, Maurice Masse observa d'assez près un objet de forme ovoide posé dans son champ ainsi que ses occupants.
Résumé de l'histoire:
Maurice Masse, cultivateur de lavande de 41 ans réputé pour son sérieux, vit avec sa femme et ses 2 enfants sur le plateau de Valensole (Alpes de Haute-Provence). Depuis une semaine, lui et son père travaillent quotidiennement dans leur champ et remarquent chaque matin, des dégâts causés aux lavandins, comme si quelqu'un avait pris, chaque nuit, des échantillons de ces plantes. Les plants ne sont pas arrachés, mais des pousses sont coupées ou plutôt cassées et emportées.
Au petit matin du 1er juillet 1965, Masse quitte son domicile vers 5 h. Il arrive dans son champ situé à 1600 m de sa maison. A 5 h 45, s'apprêtant à démarrer son tracteur qui stationne derrière un clapier (tas de pierrailles de 2 m de haut), Masse entend un bruit comme un sifflement qui remplissait toute la campagne. De là où il se trouve, il ne peut en localiser l'origine mais, pensant à un hélicoptère militaire, se dirige vers l'origine du bruit. Sortant de derrière le clapier, il constate effectivement qu'un engin est posé dans son champ au milieu de ses buissons de lavande, à 90 m. Cependant sa forme rappelle plutôt celle d'un ballon de rugby.
Masse s'approche en longeant une vigne située le long de son terrain, marchant parmi les rochers tout en observant la "machine". L'objet, du volume d'une Renault Dauphine (de 3 à 3,50 m de large, pour environ 2,50 m de hauteur) et de couleur neutre et mate. Il possède une coupole supérieure transparente, et 6 pieds montés sur un pivot central s'enfonçant dans le sol, le faisant penser à une énorme araignée. Masse contourne le clapier avec précaution, pensant prendre des gens la main dans le sac.
Mais c'est un tout autre spectacle qui l'attend :
Mais l'objet n'est pas seul. 2 petits humanoïdes se trouvent à ses pieds, accroupis :" Je sortis alors de derrière le clapier qui me dissimulait et vis à 90 m de moi environ un engin de forme bizarre qui s'était posé dans mon champ. J'avais d'abord pensé à un hélicoptère, mais je me suis rendu compte que ce ne pouvait en être un. J'avais trop l'habitude de ces machines de l'armée qui, en difficulté ou non, atterrissent souvent sur mon champ ou à côté. Je ne manque pas, chaque fois, d'aller m'entretenir avec les pilotes lesquels, bien souvent, sont des chasseurs comme moi. Mais cet engin ressemblant à un gros ballon de rugby, gros comme une Dauphine, surmonté d'une coupole, reposant sur 6 béquilles, qu'est-ce que ça pouvait être ?
Peut-être, pensais-je, un engin expérimental ? "
C'est en mettant au courant de son aventure M. Moisson, patron du Café des Sports que la gendarmerie a vent de la nouvelle." Je m'avance néanmoins d'un pas tranquille, rien dans les mains, à travers les jeunes plants de lavande qui couvrent mon champ. Et j'aperçois tout près de l'engin 2 petits êtres ayant apparence humaine, penchés sur un pied de lavande. Sans trop d'inquiétude, je m'approche avec l'intention d'entrer en contact avec eux. J'arrive ainsi à 5 ou 6 m des étranges visiteurs, mais ceux-ci m'aperçoivent, se redressent et l'un d'eux braque aussitôt sur moi une sorte de tube, ou de "pistolet". Je suis alors instantanément figé sur place au point de ne pouvoir faire un seul mouvement. Je ne ressentais rien, je n'étais pas engourdi ni contracté mais je ne pouvais pas faire un seul geste. J'ai très bien distingué que celui qui m'avait paralysé remettait de la main droite, dans l'étui qu'il portait à gauche, ce fameux tube. Ces 2 êtres sont ensuite restés quelques minutes a discuter en me regardant la plupart du temps. J'ai remarqué que leurs yeux bougeaient et j'entendis une sorte de gargouillement provenant certainement de leur gorge. Ils n'avaient presque pas de cou tant leur tête était rentrée dans les épaules. Ils semblaient se moquer de moi, pourtant leurs regards n'étaient pas méchants, tout au contraire.
Au bout de 4 à 5 minutes, ils retournèrent, avec une agilité surprenante, dans leur appareil en s'aidant de la main droite, puis de la main gauche. Une fois montés à bord, une porte à glissière se referma d'une façon qui m'a semblé automatique, de bas en haut, de la même manière qu'une porte de meuble. Je les ai distingués derrière le dôme, j'ai entendu un bruit sourd qui a duré 2 à 3 s, tandis que leur appareil se soulevait de 10 cm à 1 m. Le tube qui se trouvait sous l'appareil est sorti de terre et les 6 pieds se sont mis à tourner. Il n'y a eu ni fumée, ni poussière soulevée par cet engin. Les 6 pattes tournaient dans le sens des aiguilles d'une montre. Tandis que les visiteurs me faisaient face, l'appareil est parti en arrière, dans la direction opposée à leur orientation. Il s'est élevé en oblique plus vite qu'un avion à réaction. Je l'ai suivi pendant 15 à 30 m, puis il a disparu subitement de ma vue, pire qu'un éclair.
Je suis resté immobilisé encore 15 minutes, puis j'ai remué mes mains, puis tous le corps et les membres. Je suis alors parti vers mon tracteur. J'ai allumé une cigarette et j'ai continué mon travail jusqu'à 7h30 - 8h00.
Monté sur mon engin, j'ai biné ma vigne qui n'est pas celle que j'ai traversé lors de mon approche puis je suis rentré chez moi vers 9 h. "
L'enquête révèleras la présence, a l'endroit ou l'appareil se trouvait, d'une empreinte nette ainsi que le fait que la terre a cet endroit était desséchée et durcie, alors que partout alentour, elle était humide et meuble.
Un autre point intéressant est que cette observation ressemble fortement a une autre effectuée aux état unis et connu comme " la rencontre de socorro " dont voici un bref exposé :
Le 24 avril 1964 à 17 h 50, Lonnie Zamora, sergent de police de Soccorro (Nouveau-Mexique), pourchasse un chauffard. Il entend soudain un rugissement et voit une flamme bleu-orange derrière une colline. Il abandonne donc sa poursuite et se dirige vers le lieu en question. Au sommet il lui semble voir à 200 m une voiture accidentée et 2 hommes en combinaison blanche.
Tout en s'approchant, il fait un appel radio signalant un accident. Il voit maintenant l'objet à 30 m de distance, ovoïde, posé sur des échasses dans un ravin. A côté, 2 petits êtres humanoïdes vêtus de blanc, voyant Lonnie, ils remontent dans l'appareil. Le vaisseau décolle aussitôt dans un vacarme assourdissant, en émettant une flamme bleue.
Dans ce cas on trouva également des traces laissées par l'appareil lors de son décollage.
Pour de plus ample information sur ce cas :
http://www.rr0.org/1965-07-01_Valensole.html
http://ufologie.net/foiafr/g01f.htm
http://www.rr0.org/1964-04-24_Soccorro.html
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