Page 1 sur 2 • 1, 2
- ghispEquipe du forum
Age : 39
Nombre de messages : 127
Inscription : 13/02/2008
Localisation : Belgique
Emploi : Chercheur
Passions : Sport
Règlement : Règlement
Points de Participation : 6105
*MU le continent perdu
Ven 11 Avr 2008, 19:41
MU Le continent perdu
vidéo le continent retrouvé - Pyramide Okinawa Ziggourat
En des temps immémoriaux existait dans l'océan pacifique un vaste continent dont le centre se trouvait situé un peu au sud de l'équateur. Ce continent s'appelait MU.
A en juger par les vestiges qui demeurent aujourd'hui à la surface des mers, sa superficie couvrait quelques 10.000 km d'est en ouest et environ 5.000 km du nord au sud. Toutes les îles du pacifique, isolées ou en archipels, faisaient jadis partie du continent de MU dévastés il y a quelque 12.000 ans par un cataclysme. Des tremblements de terres et des éruptions volcaniques détruisirent toute une civilisation et les eaux du pacifique engloutirent toute une population évaluée à soixante millions d'habitants. L'Ile de Pâques, Tahiti, les Samoas, les îles Cook, les Tongas, l'archipel Marshall, les Gilbert, les Carolines, les Mariannes Hawaii et les marquises sont tout ce qui reste de cet immense continent dont l'existence est confirmée par d'innombrables légendes indiennes, chinoises, birmanes, tibétaines et cambodgiennes, ainsi que par des tablettes, des inscriptions, des symboles découvert dans le Yucatan et en Amérique centrale ou dans les îles océaniennes, sans parler des vestiges préhistoriques d'Amérique du nord, des ouvrages des philosophes de la Grèce antique et des inscriptions égyptiennes. Tout ces écrits prouvent que ce grand continent a existé et que ce fut là que l'homme fit son apparition sur la terre, il y a deux cent mille ans.
Le continent de MU n'était autre que le jardin d'Eden de la bible. Lors de sa destruction, sa population étaient extraordinairement civilisée et ses progrès scientifiques dépassaient tout ce que nous pouvons connaître aujourd'hui, ce qui n'a rien de surprenant, puisque ce peuple avait deux cent mille ans d'expérience, alors que nos débuts scientifiques ne remontent guère qu'à 500 ans.
Les grandes civilisations des anciens empires orientaux, Babylone, l'Inde, l'Egypte etc… n'étaient que les derniers feux de la civilisation de MU, ses enfants qui moururent quand elle ne fut plus là. Quelle meilleure introduction au mystère de MU que celle- ci qui n'est autre que la préface du livre de James Churchward, " l'univers secret de MU ". J.Churchward rédigea cinq livres consacrés a ce sujet : " MU le continent perdu " et " l'univers secret de MU " qui furent réédités en 1969 aux éditions " j'ai lu " dans la collection " l'aventure mystérieuse " sont les deux seuls que j'ai en ma possession, les trois autres sont :
"the sacred symbols of MU" (1933)
"the cosmic forces of MU" (1934)
"the second book of the cosmic forces of MU" (1935)
James Churchward, né en 1850, décédé en 1936 était un britannique, officier de l'armée des indes. Sa théorie sur le continent de MU repose sur l'étude de deux grandes découvertes, Les tablettes Naacals qu'il découvrit en inde et la découverte par William Niven de 2600 tablettes près de Mexico qu'aucun archéologues ne semblaient être capables de déchiffrer.
Tout débuta en 1874 lorsque le jeune officier anglais rencontra un grand prêtre en inde qui se lia d'amitié avec lui et l'initia à la compréhension de la langue ancestrale de MU. Ensembles, ils entreprirent de traduire un ensemble de tablettes sacrées, les tablettes Naacals, qui étaient archivées depuis des temps immémoriaux au cœur d'un temple de l'inde. Cette découverte fut le début d'une vie entière consacrée a la recherche des preuves de l'existence de ce continent qui fut la " Mère-Patrie " de toute l'humanité.
D'après les faits relatés par J.Churchward, il s'avère donc que l'Atlantide ne fut pas le seul continent englouti de l'histoire de l'humanité, mais que, comme l'océan Atlantique avec l'Atlantide, l'océan Pacifique avait jadis eu son continent perdu : le continent de MU ou lémurie selon certaines sources.
Il s'avère également que c'est de ce continent qu'est originaire l'ensemble de l'humanité, toutes races confondues.
MU était donc la " Mère-Patrie " d'où partirent les diverses vagues colonisatrices qui essaimèrent sur l'ensemble de la planète. La fabuleuse Atlantide n'étant, dans ce cas de figure, qu'une simple colonie de l'extraordinaire continent de MU.
La colonisation de notre monde s'effectua suivant deux grands axes, au départ de MU, par l'ouest vers l'Asie centrale, puis plus tard par la Chine et l'Egypte, et par l'est en Amérique du nord et en Amérique centrale, puis en Europe et en Afrique en passant par l'Atlantide.
James Churchward fait également référence à divers textes anciens pour appuyer son hypothèse comme, par exemple, le manuscrit de Troano, un ancien livre maya écrit au Yucatan, son âge est estimé entre 1500 et 5.000 ans et il se trouve actuellement au British muséum. Il mentionne également le Codex Cortesianus qui fut un autre de ces anciens livres mayas qui échappèrent au regard fanatique de l'évêque espagnol Landa, cet ouvrage se trouve aujourd'hui au musée national de Madrid. Il fait allusion également aux document de Lhassa qui furent découvert par Schliemann dans le vieux temple bouddhique de Lhassa au tibet.
D'ailleurs, concernant ce dernier ouvrage, je ne résiste pas à l'envie de vous en dévoiler un extrait dont le contenu ainsi que la morale ne me semble pas dénué d'intérêt a notre époque (mais ce n'est bien sur qu'un avis personnel).
" quand l'étoile de Bal tomba sur le lieu qui n'est maintenant que ciel et mer, les sept villes avec leur portes d'or et leur temples transparents frémirent et furent secouées comme des feuilles dans la tempête, et un déluge de feu et de fumée s'éleva des palais. Les cris de la multitude montaient dans les airs. Le peuple cherchait refuge dans ses temples et ses citadelles et le sage MU, le Ra Mu hiératique se dressa et lui dit : " n'avais-je pas prédit cela ? " et les femmes et les hommes dans leurs beaux vêtements brillants brodés de pierreries se lamentaient : " Mu sauve nous ! " et Mu répliqua : " vous allez tous mourir avec vos serviteurs et vos richesses, et de vos cendres de nouvelles nations surgiront. Et si elles oublient qu'elles sont supérieures non a cause de ce qu'elles se mettent sur le dos mais a cause de ce qu'elles font, le même sort leur sera réservé " Les flammes et la fumée étouffèrent les paroles de MU, la terre et tous ses habitants furent mis en pièces et engloutis dans les flots. "
Différents vestiges encore visibles de nos jours son également cités comme preuve de l'existence ancienne d'un continent perdu et parmi eux, l'un des plus parlant est, je pense, celui de Tongatabu, ce petit atoll de corail appartient à l'archipel Tonga. Il n'y a pas la moindre parcelle de pierre sur l'île et pourtant on y trouve un immense monument de pierre en forme d'arche composé de deux piliers pesant chacun 70 tonnes reliés par un autre d'environ 25 tonnes. Comme il n'y a pas de pierre sur l'île (atoll d'origine corallienne) et que les îles les plus proches se trouvent à plus de 200 miles, on peut se demander quels navires les hommes de l'époque possédaient pour transporter une telle masse.
James Churchward énumère ainsi dans son livre " MU le continent perdu " une longue liste de vestiges titanesque qui ne représente pourtant qu'une partie de ce que l'on peut trouver dans les îles du pacifique. Devant ces preuves tangibles, preuves incontestable d'une architecture avancée donc d'une civilisation avancée, on ne peut que conclure qu'a un moment de l'histoire de la terre, il a existé un vaste continent au milieu de l'océan pacifique embrassant tous les groupes d'îles sur lesquels on peut trouver des vestiges anciens et que ce continent connaissait un haut niveau de civilisation.
Je reviendrais ultérieurement sur les découvertes de James Churchward au sein de ce site. Néanmoins, je conclurais, pour l'instant, que si l'on relativise le fait que les ouvrages de J.Churchward font appel à des connaissances scientifiques, en géologie notamment, d'une autre époque, et dont la véracité, de nos jours, semble plus que fantaisiste, ainsi que certaines allusions raciales qui n'ont plus de sens à notre époque, il n'en reste pas moins que les ouvrages de James Churchward sont le résultat de toute une vie de recherche qui l'amenèrent à parcourir le monde, des temples du Tibet aux îles du pacifique à la recherche de la vérité concernant nos origines. Le seul conseil que je me permettrais donc face aux ouvrages de JAMES CHURCHWARD sera de vous inciter à lire ses livres si vous les trouvez :
Mu le continent perdu (reédité en 1969 aux éditions "j'ai lu" collection "l'aventure mystérieuse")
L'univers secret de Mu (reédité en 1970 aux editions "j'ai lu" collections "l'aventure mystérieuse")
The sacred symbols of Mu (edité en 1933)
The cosmic forces of MU (édité en 1934)
The second book of the cosmic forces of Mu (édité en 1935)
Civilisations perdues
vidéo le continent retrouvé - Pyramide Okinawa Ziggourat
En des temps immémoriaux existait dans l'océan pacifique un vaste continent dont le centre se trouvait situé un peu au sud de l'équateur. Ce continent s'appelait MU.
A en juger par les vestiges qui demeurent aujourd'hui à la surface des mers, sa superficie couvrait quelques 10.000 km d'est en ouest et environ 5.000 km du nord au sud. Toutes les îles du pacifique, isolées ou en archipels, faisaient jadis partie du continent de MU dévastés il y a quelque 12.000 ans par un cataclysme. Des tremblements de terres et des éruptions volcaniques détruisirent toute une civilisation et les eaux du pacifique engloutirent toute une population évaluée à soixante millions d'habitants. L'Ile de Pâques, Tahiti, les Samoas, les îles Cook, les Tongas, l'archipel Marshall, les Gilbert, les Carolines, les Mariannes Hawaii et les marquises sont tout ce qui reste de cet immense continent dont l'existence est confirmée par d'innombrables légendes indiennes, chinoises, birmanes, tibétaines et cambodgiennes, ainsi que par des tablettes, des inscriptions, des symboles découvert dans le Yucatan et en Amérique centrale ou dans les îles océaniennes, sans parler des vestiges préhistoriques d'Amérique du nord, des ouvrages des philosophes de la Grèce antique et des inscriptions égyptiennes. Tout ces écrits prouvent que ce grand continent a existé et que ce fut là que l'homme fit son apparition sur la terre, il y a deux cent mille ans.
Le continent de MU n'était autre que le jardin d'Eden de la bible. Lors de sa destruction, sa population étaient extraordinairement civilisée et ses progrès scientifiques dépassaient tout ce que nous pouvons connaître aujourd'hui, ce qui n'a rien de surprenant, puisque ce peuple avait deux cent mille ans d'expérience, alors que nos débuts scientifiques ne remontent guère qu'à 500 ans.
Les grandes civilisations des anciens empires orientaux, Babylone, l'Inde, l'Egypte etc… n'étaient que les derniers feux de la civilisation de MU, ses enfants qui moururent quand elle ne fut plus là. Quelle meilleure introduction au mystère de MU que celle- ci qui n'est autre que la préface du livre de James Churchward, " l'univers secret de MU ". J.Churchward rédigea cinq livres consacrés a ce sujet : " MU le continent perdu " et " l'univers secret de MU " qui furent réédités en 1969 aux éditions " j'ai lu " dans la collection " l'aventure mystérieuse " sont les deux seuls que j'ai en ma possession, les trois autres sont :
"the sacred symbols of MU" (1933)
"the cosmic forces of MU" (1934)
"the second book of the cosmic forces of MU" (1935)
James Churchward, né en 1850, décédé en 1936 était un britannique, officier de l'armée des indes. Sa théorie sur le continent de MU repose sur l'étude de deux grandes découvertes, Les tablettes Naacals qu'il découvrit en inde et la découverte par William Niven de 2600 tablettes près de Mexico qu'aucun archéologues ne semblaient être capables de déchiffrer.
Tout débuta en 1874 lorsque le jeune officier anglais rencontra un grand prêtre en inde qui se lia d'amitié avec lui et l'initia à la compréhension de la langue ancestrale de MU. Ensembles, ils entreprirent de traduire un ensemble de tablettes sacrées, les tablettes Naacals, qui étaient archivées depuis des temps immémoriaux au cœur d'un temple de l'inde. Cette découverte fut le début d'une vie entière consacrée a la recherche des preuves de l'existence de ce continent qui fut la " Mère-Patrie " de toute l'humanité.
D'après les faits relatés par J.Churchward, il s'avère donc que l'Atlantide ne fut pas le seul continent englouti de l'histoire de l'humanité, mais que, comme l'océan Atlantique avec l'Atlantide, l'océan Pacifique avait jadis eu son continent perdu : le continent de MU ou lémurie selon certaines sources.
Il s'avère également que c'est de ce continent qu'est originaire l'ensemble de l'humanité, toutes races confondues.
MU était donc la " Mère-Patrie " d'où partirent les diverses vagues colonisatrices qui essaimèrent sur l'ensemble de la planète. La fabuleuse Atlantide n'étant, dans ce cas de figure, qu'une simple colonie de l'extraordinaire continent de MU.
La colonisation de notre monde s'effectua suivant deux grands axes, au départ de MU, par l'ouest vers l'Asie centrale, puis plus tard par la Chine et l'Egypte, et par l'est en Amérique du nord et en Amérique centrale, puis en Europe et en Afrique en passant par l'Atlantide.
James Churchward fait également référence à divers textes anciens pour appuyer son hypothèse comme, par exemple, le manuscrit de Troano, un ancien livre maya écrit au Yucatan, son âge est estimé entre 1500 et 5.000 ans et il se trouve actuellement au British muséum. Il mentionne également le Codex Cortesianus qui fut un autre de ces anciens livres mayas qui échappèrent au regard fanatique de l'évêque espagnol Landa, cet ouvrage se trouve aujourd'hui au musée national de Madrid. Il fait allusion également aux document de Lhassa qui furent découvert par Schliemann dans le vieux temple bouddhique de Lhassa au tibet.
D'ailleurs, concernant ce dernier ouvrage, je ne résiste pas à l'envie de vous en dévoiler un extrait dont le contenu ainsi que la morale ne me semble pas dénué d'intérêt a notre époque (mais ce n'est bien sur qu'un avis personnel).
" quand l'étoile de Bal tomba sur le lieu qui n'est maintenant que ciel et mer, les sept villes avec leur portes d'or et leur temples transparents frémirent et furent secouées comme des feuilles dans la tempête, et un déluge de feu et de fumée s'éleva des palais. Les cris de la multitude montaient dans les airs. Le peuple cherchait refuge dans ses temples et ses citadelles et le sage MU, le Ra Mu hiératique se dressa et lui dit : " n'avais-je pas prédit cela ? " et les femmes et les hommes dans leurs beaux vêtements brillants brodés de pierreries se lamentaient : " Mu sauve nous ! " et Mu répliqua : " vous allez tous mourir avec vos serviteurs et vos richesses, et de vos cendres de nouvelles nations surgiront. Et si elles oublient qu'elles sont supérieures non a cause de ce qu'elles se mettent sur le dos mais a cause de ce qu'elles font, le même sort leur sera réservé " Les flammes et la fumée étouffèrent les paroles de MU, la terre et tous ses habitants furent mis en pièces et engloutis dans les flots. "
Différents vestiges encore visibles de nos jours son également cités comme preuve de l'existence ancienne d'un continent perdu et parmi eux, l'un des plus parlant est, je pense, celui de Tongatabu, ce petit atoll de corail appartient à l'archipel Tonga. Il n'y a pas la moindre parcelle de pierre sur l'île et pourtant on y trouve un immense monument de pierre en forme d'arche composé de deux piliers pesant chacun 70 tonnes reliés par un autre d'environ 25 tonnes. Comme il n'y a pas de pierre sur l'île (atoll d'origine corallienne) et que les îles les plus proches se trouvent à plus de 200 miles, on peut se demander quels navires les hommes de l'époque possédaient pour transporter une telle masse.
James Churchward énumère ainsi dans son livre " MU le continent perdu " une longue liste de vestiges titanesque qui ne représente pourtant qu'une partie de ce que l'on peut trouver dans les îles du pacifique. Devant ces preuves tangibles, preuves incontestable d'une architecture avancée donc d'une civilisation avancée, on ne peut que conclure qu'a un moment de l'histoire de la terre, il a existé un vaste continent au milieu de l'océan pacifique embrassant tous les groupes d'îles sur lesquels on peut trouver des vestiges anciens et que ce continent connaissait un haut niveau de civilisation.
Je reviendrais ultérieurement sur les découvertes de James Churchward au sein de ce site. Néanmoins, je conclurais, pour l'instant, que si l'on relativise le fait que les ouvrages de J.Churchward font appel à des connaissances scientifiques, en géologie notamment, d'une autre époque, et dont la véracité, de nos jours, semble plus que fantaisiste, ainsi que certaines allusions raciales qui n'ont plus de sens à notre époque, il n'en reste pas moins que les ouvrages de James Churchward sont le résultat de toute une vie de recherche qui l'amenèrent à parcourir le monde, des temples du Tibet aux îles du pacifique à la recherche de la vérité concernant nos origines. Le seul conseil que je me permettrais donc face aux ouvrages de JAMES CHURCHWARD sera de vous inciter à lire ses livres si vous les trouvez :
Mu le continent perdu (reédité en 1969 aux éditions "j'ai lu" collection "l'aventure mystérieuse")
L'univers secret de Mu (reédité en 1970 aux editions "j'ai lu" collections "l'aventure mystérieuse")
The sacred symbols of Mu (edité en 1933)
The cosmic forces of MU (édité en 1934)
The second book of the cosmic forces of Mu (édité en 1935)
Civilisations perdues
- Astrid77Ufologue/enquêteur
Age : 70
Nombre de messages : 1328
Inscription : 13/04/2008
Localisation : dammartin en goele
Emploi : Lecteur-Correcteur à domicile
Passions : Lecture, Ufologie
Règlement : Règlement
Points de Participation : 6479
Re: *MU le continent perdu
Jeu 15 Mai 2008, 14:07
Sujet passionant je trouve, et les recherches ne font que commencé.
A quant l'Atlandide !!
Pour bientôt j'espère.
Amitiées.
A quant l'Atlandide !!
Pour bientôt j'espère.
Amitiées.
- InvitéInvité
Re: *MU le continent perdu
Mer 16 Juil 2008, 00:07
Désolé mais il est impossible qu'une grande île comme celle qui est imaginée sur la vidéo soit "engloutie sous les océans en une nuit"! Il existe en Europe un phénomène extrêmement violent qui se déroule sous nos yeux: la surrection de la Scandinavie qui s'élève chaque année d'un énorme 10mm, depuis que l'inlandsis, le grand glacier de plus d'un kilomètre d'épaisseur qui la recouvrait comme actuellement l'est le Groenland vient de fondre depuis 10 000 ans.
Comme un radeau sur l'eau dont on aurait ôté la charge, le retrait de ce léger poids de glace fait que la poussée d'Archimède qui règne dans le manteau visqueux comme dans un pot de miel soulève toute la péninsule. On voit qu'à cette vitesse "rapide", les Scandinaves auraient cependant le temps d'évacuer en cas d'inconvénient!
Les Japonais ne sont pas cartésiens, sauf exception. Ils sont même dans l'ensemble religieux, superstitieux, irrationnels. Ils étaient les plus enthousiastes croyants dans les prophéties de Nostradamus avant la déception qui a suivi l'arrivée de l'an 2000.
Relier l'écriture d'une civilisation vieille de plusieurs millénaires et proche du Japon (comme par hasard, proche de l'auteur de la "recherche", cela n'est pas sans rappeler la frustration des biblistes états-uniens qui voudraient bien que les héros de la bible soient venus chez eux avant de mourir!) et les caractères de l'alphabet latin, bien plus récents et, pour l'Antiquité, extraordinairement lointain sur le plan géographique, "il faut le faire"!
Et on ne comprend pas pourquoi après l'apparition de l'écriture alphabétique, si géniale, les Chinois, des siècles après auraient réinventé la roue avec des dessins hiéroglyphiques qui deviendront les idéogrammes, si difficiles, eux, à maîtriser!
Car les progrès techniques d'intérêt permanent, d'usage quotidien ont toujours été conservés par les hommes, qu'il s'agisse de la science d'allumer et entretenir le feu, de cultiver la terre, d'élever des animaux domestiqués, de construire des cabanes et abris, de faire fermenter les aliments (bière, pâte à pain, fromage), de cuire les poteries, de filer et tisser, d'obtenir des métaux et donc d'utiliser l'écriture des nombres puis des idées.
L'Atlantide évoquée par Platon était sûrement la civilisation crétoise, proche de la Grèce continentale et en même temps hors de portée d'une invasion massive du fait de son insularité. Des traces très nettes subsistent en Crête d'un raz-de-marée qui aurait pu mettre à genoux cette civilisation de marins. C'est tout autre chose que Mù (avec accent grave) qui relève du mythe et ne doit pas être confondu, de toute façon avec le phénomène ovni!
Comme un radeau sur l'eau dont on aurait ôté la charge, le retrait de ce léger poids de glace fait que la poussée d'Archimède qui règne dans le manteau visqueux comme dans un pot de miel soulève toute la péninsule. On voit qu'à cette vitesse "rapide", les Scandinaves auraient cependant le temps d'évacuer en cas d'inconvénient!
Les Japonais ne sont pas cartésiens, sauf exception. Ils sont même dans l'ensemble religieux, superstitieux, irrationnels. Ils étaient les plus enthousiastes croyants dans les prophéties de Nostradamus avant la déception qui a suivi l'arrivée de l'an 2000.
Relier l'écriture d'une civilisation vieille de plusieurs millénaires et proche du Japon (comme par hasard, proche de l'auteur de la "recherche", cela n'est pas sans rappeler la frustration des biblistes états-uniens qui voudraient bien que les héros de la bible soient venus chez eux avant de mourir!) et les caractères de l'alphabet latin, bien plus récents et, pour l'Antiquité, extraordinairement lointain sur le plan géographique, "il faut le faire"!
Et on ne comprend pas pourquoi après l'apparition de l'écriture alphabétique, si géniale, les Chinois, des siècles après auraient réinventé la roue avec des dessins hiéroglyphiques qui deviendront les idéogrammes, si difficiles, eux, à maîtriser!
Car les progrès techniques d'intérêt permanent, d'usage quotidien ont toujours été conservés par les hommes, qu'il s'agisse de la science d'allumer et entretenir le feu, de cultiver la terre, d'élever des animaux domestiqués, de construire des cabanes et abris, de faire fermenter les aliments (bière, pâte à pain, fromage), de cuire les poteries, de filer et tisser, d'obtenir des métaux et donc d'utiliser l'écriture des nombres puis des idées.
L'Atlantide évoquée par Platon était sûrement la civilisation crétoise, proche de la Grèce continentale et en même temps hors de portée d'une invasion massive du fait de son insularité. Des traces très nettes subsistent en Crête d'un raz-de-marée qui aurait pu mettre à genoux cette civilisation de marins. C'est tout autre chose que Mù (avec accent grave) qui relève du mythe et ne doit pas être confondu, de toute façon avec le phénomène ovni!
- QuazardLégende du forum
Age : 41
Nombre de messages : 67
Inscription : 06/07/2007
Localisation : Lyon
Emploi : ^^
Règlement : Règlement
Points de Participation : 6343
Re: *MU le continent perdu
Mar 29 Juil 2008, 08:14
Symbolisme et cosmogonie
Mu disposait d’une transmission originale de son savoir, qui nous est aujourd’hui familière du fait du développement des échanges électroniques privilégiant la perception visuelle : des signes graphiques illustraient les concepts de manière directe au lieu de discours incomplets ou peu adaptés à l’auditoire. Ce langage symbolique fut étudié par James Churchward qui nous a livré ses transcriptions. Le cercle, le triangle équilatéral, le carré, l’étoile, le tau, sont quelques unes des figures utilisées et qui se retrouvent en tant que symboles universels. La svastika représentait « les 4 Grandes Sacrées », les forces qui président à la création de l’univers selon la Loi et l’Ordre Cosmiques. Un diagramme cosmogonique de plus de 35 000 ans servait de livre aux adeptes afin qu’ils puissent se remémorer les principes qui régissent la création ainsi que la constitution de l’homme. Ce graphique rappelle aussi que l’homme est soumis à 12 tentations terrestres qui sont autant de chemins pour parvenir aux 12 portes du ciel. L’image d’un grand serpent était aussi employée pour décrire l’esprit de Mu qui s’étendait à ses colonies. Plus tard, ce même type de transmission du savoir fut repris afin d’expliquer aux populations le cataclysme qui engloutit la mère-patrie. La doctrine de la réincarnation était enseignée. Osiris n’était pas un dieu du panthéon égyptien, mais il aurait existé en tant que Sage de Mu, restaurant par des réformes la pureté du culte de la Divinité et le rôle de l’homme au sein de la création. L’Amour constituait le Principe Premier qui pouvait redonner à l’âme de l’homme, éloignée de la Divinité de par son propre choix, son rayonnement émané du Soleil des origines. Les habitants de Mu apprenaient que les symboles n’étaient qu’une représentation permettant à l’esprit de pénétrer l’essence sacrée de l’univers ; par conséquent, ni théologie ni dogme ne pouvaient enfermer cette vivante connaissance reposant sur l’expérience directe de la conscience. Après la submersion de la mère-patrie, des déviations brisèrent ce principe et la superstition imprégna les religions autoritaires basées sur l’avidité et le pouvoir. Si le sens du sacré régnait sur la vie quotidienne, il se prolongeait naturellement par la science physique. Mu aurait mis en lumière l’atome et les rayonnements électromagnétiques
Les textes Naacals dérouleraient une succession de schémas démontrant la façon dont les Forces Sacrées opèrent dans la matière. Pour cette civilisation, le Soleil possède un centre en fusion qui se frotte à une croûte plus dure, engendrant une énergie qui se libère suivant une courbe d’ouest en est – à ce propos, Churchward se tourne vers les scientifiques car le fait l’étonne lui aussi -. Ce rayon courbe vient alors frapper la Terre. En retour, celle-ci émettrait un rayonnement en direction du Soleil. Les deux astres travailleraient donc ensemble, l’un régénérant l’autre dans un mouvement continuel ! Mais il y a plus étonnant : il existerait un autre Soleil, le vrai qui est invisible et qui anime celui que nous percevons : selon cette cosmogonie, notre soleil visible est… froid. Selon la terminologie Naacal, du vrai Soleil émane la Force de Vie. Par un enchaînement logique, la matière serait constituée d’une sorte d’étoile à 4 branches nommée « quatre en un », analogue à un électron. Une force magnétique fait tourner l’atome jusqu’à son épuisement et à son expulsion. Dans le vivant, les atomes épuisés sortiraient par la peau au moyen de l’eau. Cet élément jouerait donc un rôle capital dans la propagation de l’énergie vitale. Poursuivant sa démonstration, Churchward explique que le Déluge était un cataclysme logique visant à préparer la croûte terrestre à développer une nature encore plus riche. A la fin de l’ère tertiaire, le magnétisme du soleil attira le pôle au vrai nord, brisant les glaces qui s’abattirent en déferlantes sur l’hémisphère nord tandis qu’un mouvement inverse déversait des trombes d’eau depuis le bas de cet hémisphère, tuant les animaux sibériens de l’époque. Que pense la science actuelle de ces théories ? Le premier doute concerne les fameuses tablettes Naacals : seul Churchward les étudia… elles furent ensuite soigneusement remisées dans le monastère du sage. L’archéologue amateur commit aussi des erreurs géographiques, situant Tihuanaco au Pérou alors qu’elle se trouve en Bolivie, ou mentionnant différents lieux de dépôt des précieuses tablettes Naacals, en Inde ou au Tibet… D’autre part, les bouleversements géologiques de l’ère tertiaire se sont produits alors qu’aucune présence humaine n’a été attestée, du moins pour l’instant. En outre, le bassin océanique où aurait sombré Mu est bien antérieur à l’ère tertiaire, puisqu’il a été daté de l’ère primaire et déjà, les formes de vie de cet endroit étaient très diversifiées. D’autres tenants de la théorie de Mu sont eux aussi désignés comme des personnes scientifiquement peu crédibles ; c’est le cas d’Auguste Le Plongeon ou de l’abbé Brasseur de Bourbourg dont la traduction du « Codex Troano » provoque de sérieuses contestations. Quelques scientifiques concluent que nous ne disposons d’aucune preuve justifiant une catastrophe d’aussi grande ampleur ; par exemple, au 18e siècle, un théologien nommé Johann Reinhold Forster voyait dans les crêtes déchiquetées de la Polynésie les vestiges de Mu, thèse qui n’a jamais pu être confirmée. Plutôt qu’un phénomène d’explosion dû à des poches gazeuses, l’impact d’une comète géante qui aurait modifié la terre figure parmi les hypothèses plausibles. La disparition d’un continent a très bien pu se produire à une époque très ancienne : on sait combien la région est instable en raison des activités volcaniques qui s’y déroulent. Des chercheurs considèrent possible une civilisation prodigieuse recourant à des techniques inconnues : mentionnons les statues « Mogwaï » et le complexe cultuel de l’Ile de Pâques, des monuments colossaux ou des routes dallées à la perfection, des édifices impressionnants situés à des distances importantes de carrières … Parallèlement, les traditions de nombreux peuples se rejoignent alors qu’ils n’ont pas pu établir de contacts, comme celle d’un déluge d’eau et de feu qui aurait tout fait disparaître à la surface de la terre ou celle d’habitants à la culture très avancée qui auraient brutalement péri dans une catastrophe. L’étude des langues de ces ethnies révèle aussi de curieux points communs.
Source: Monde de l'inconnu.
- InvitéInvité
Re: *MU le continent perdu
Mar 29 Juil 2008, 10:36
quazard, il est TOTALEMENT IMPOSSIBLE qu'une telle étendue de terre soit submergée en quelques années, encore moins en une nuit !!!
Et s'il avait disparu en un million d'années, ce qui est peu pour un phénomène géologique de cette ampleur, il y aurait encore des traces sur le plancher de l'océan Pacifique, les roches des continents, plus légères, y restant en surface malgré la subduction éventuelle.
L'existence d'un continent perdu, qui n'a rien à voir avec les ovnis, c'est aussi délirant que le mythe de la Terre creuse!
Et s'il avait disparu en un million d'années, ce qui est peu pour un phénomène géologique de cette ampleur, il y aurait encore des traces sur le plancher de l'océan Pacifique, les roches des continents, plus légères, y restant en surface malgré la subduction éventuelle.
L'existence d'un continent perdu, qui n'a rien à voir avec les ovnis, c'est aussi délirant que le mythe de la Terre creuse!
- QuazardLégende du forum
Age : 41
Nombre de messages : 67
Inscription : 06/07/2007
Localisation : Lyon
Emploi : ^^
Règlement : Règlement
Points de Participation : 6343
Re: *MU le continent perdu
Mar 29 Juil 2008, 12:04
Je fais juste suivre cette info. Je ne prends aucunement parti de cet article. Je n'en suis pas l'auteur.
- lizyLégende du forum
Age : 35
Nombre de messages : 68
Inscription : 24/06/2008
Localisation : aisne
Emploi : étudiante archéologie
Passions : dessin archéologie astronomie
Règlement : Règlement
Points de Participation : 5995
Re: *MU le continent perdu
Mar 29 Juil 2008, 23:06
On a jamais su si Platon disait vrai quand il parlait de l'Atlantide.
- KysmaEquipe du forum
Age : 43
Nombre de messages : 172
Inscription : 14/05/2008
Localisation : nord
Emploi : eduk
Passions : histoire, philo, geopolitik
Règlement : Règlement
Points de Participation : 6030
Re: *MU le continent perdu
Mer 30 Juil 2008, 07:58
Un mythe est toujours inspiré d'une partie réelle, pour l'atlantide peut-être Santorin? qui sait. Beaucoup d'archéologues identifient le mythe du déluge comme une trace dans la mémoire de l'Humanité d'une événement réel peut-etre bien l'affaissement de l'isthme séparant la Mer noire et la Medittérannée.
En tout cas d'une base lointaine et réelle je pense que Platon à construit ce conte philopsohique, allégorique et idéaliste.
En tout cas d'une base lointaine et réelle je pense que Platon à construit ce conte philopsohique, allégorique et idéaliste.
_______________________________________
http://educ-spe.forums1.net/index.htm
« Il faut une infinie patience pour attendre toujours ce qui n'arrive jamais. »
Pierre Dac
http://dzka.labrute.fr
Oserez vous m'affronter?
Page 1 sur 2 • 1, 2
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum