- majestic54Légende du forum
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Le plateau d'albion la zone 51 française?
Dim 23 Sep 2007, 14:00
Le Général De Gaulle veut une défense nucléaire avec des avions, des sous-marins et des missiles sol-air. Il s'agit maintenant de trouver un site stratégique où implanter ces missiles. Deux critères entrent en compte : zone à faible densité humaine et sol capable de permettre un bon ancrage des silos renfermant les missiles mais aussi capables d'amortir l'onde de choc en cas d'agression nucléaire. Au début des années 1960s, des recherches sont menées en Corse, dans les Vosges, dans le Massif central et la Drôme. En 1963, 2 plateaux restent en lice : Valensole et Albion.
Le plateau de Valensole est écarté car son réseau hydrographique est incompatible avec la construction des silos. Le sous-sol d'Albion est idéal : calcaire facile à travailler et suffisamment résistant pour encaisser des chocs et hors de la zone sismique de la Durance. En surface, une étendue quasi déserte à perte de vue, 785 hectares et 288 propriétaires. Le village le plus proche est Saint-Christol (Vaucluse) au Sud, avec 1600 habitants. La ville la plus proche est Apt, à 30 km. Le 2 mai 1963, le Conseil de Défense décide la construction de la base de missiles sol-sol sur d'Albion.
Le terminal de transmission n°1 du plateau d'Albion Le terminal de transmission n°1 du plateau d'Albion
En 1965, après la visite de Pierre Messmer, la décision est prise d'y implanter 27 missiles.
Toutes les installations doivent résister à une explosion nucléaire. C'est dire les tonnes de béton, de ferraillage et de blindage qui vont être déversées sur et dans le plateau. Le creusement des silos commence en Août 1966 et parfois, on tombe sur d'immenses avens qu'il faut combler. 5500 m3 de roches sont extraites pour chaque silo et son abri auxiliaire. Bien qu'impressionnants, ces travaux ne dénaturent pourtant pas le site puisqu'ils sont non seulement enfouis, mais que les militaires veillent à les camoufler un maximum. En tout, le système dissuasif français s'étend sur 800 km2 car il englobe les installations de transmissions du Mont Ventoux, de la montagne de Lure et du Luberon, son coeur étant sur le plateau d’Albion.
En 1967, c'est en fait seulement 18 silos qui sont construits. Chacun de ces derniers est nanti de son abri auxiliaire, et distant de 3 km de son voisin afin qu'une seule attaque ne détruise plusieurs sites à la fois mais que des frappes nucléaires simultanées annulent leurs effets (2 explosions nucléaires simultanées annulent une grande partie de leurs effets mécaniques). Un agresseur devrait donc détruire un 1er silo, puis un 2ème, etc. ce qui laisse le temps de la riposte.
Un missile de Albion Un missile de Albion
Les missiles sont surveillés nuit et jour et commandés à partir de 2 Postes de Conduite de Tir (PCT), construits sous terre, à distance. Chaque poste de tir a en charge 9 zones de lancement. L'un se trouve dans la Drôme près de Reilhannette et l'autre dans le Vaucluse près de Rustrel, à 35 km l'un de l'autre. Véritables bunkers dissimulés sous plusieurs centaines de mètres de roche, les PCT sont conçus non seulement pour résister à toute attaque nucléaire, mais aussi pour éviter toute intrusion : des galeries de 2 km de long y mènent.
Il faut aussi construire la Base Aérienne (BA) 200, dont les militaires maintiendront opérationnels les missiles et les matériels périphériques. Sur 406 hectares, cette base regroupe les bâtiments du commandement, les services administratifs, un restaurant, une hôtellerie, une zone technique (véhicules de liaison, entretien, énergie de secours, stockage de carburants), une zone technique spécialisée pour la maintenance en silo, un dépôt de munitions spéciales où travaillent aussi les spécialistes du CEA pour l'assemblage des têtes nucléaires des missiles et une zone d'instruction du personnel. Les couleurs sont envoyées le 5 juillet 1968.
Entrée à l'installation d'Albion Entree à l'installation d'Albion
A flanc de montagne on ne voit des 2 postes de tir qu'une plate-forme et un fronton de béton de 2 m d'épaisseur. Seuls pourront y pénétrer les officiers de tir chargés de l'éventuelle mise à feu des missiles. Clôture électrifiée, barreaux, grilles équipées de détecteurs, filet anti-grenade, plaque blindée contre les tirs de roquette, gardes armés, détecteur d'attaque chimique, porte blindée, vitre blindée sans tain, fenêtre de tir permettant le lancement de grenade sur des visiteurs indésirables, portique de détection... le dispositif est impressionnant.
Une fois que patte blanche est montrée, ce sont les officiers de permanence dans leur trou à 400 m sous terre qui actionnent les portes d'accès de la galerie. Embarquement dans un drôle de petit tracteur électrique, mais claustrophobes s'abstenir. Une galerie souterraine de 4 m de diamètre, éclairée d'une lumière blafarde monte légèrement et interminablement, pour éviter une neutralisation ennemie par inondation. Elle présente des coudes à angle droit destinés à casser une onde de choc consécutive à une explosion nucléaire. Même rôle pour une galerie de roche appelée galerie anti-souffle. En cas d'effondrement de la galerie, un ingénieux mais terrifiant système de puits hérité des Égyptiens permet de grimper jusqu'à l'air libre. Décidément, on a pensé à tous les scénarii catastrophe. Des clapets d'air, que l'on peut fermer, permettent une survie de longue durée aux 2 officiers qui se relaient en permanence. Dans la capsule de tir, 2 locaux protégés par 3 m d'épaisseur de béton armé, montés sur vérins hydrauliques pour résister aux secousses, équipés en cage de Faraday et bourré d'écrans.
Témoignages
Un certain nombre de témoignages, malheureusement souvent invérifiables, émaillent le Net à propos d'Albion, relatant des observations d'extraterrestres et autres hommes en noir, en passant par des mutilations de bétail, entre la fin des années 1970s et le début des années 1990s. Citons en 2 des plus détaillés.
Alerte (1981)
Un autre témoignage d'un appelé affecté à Albion en 1981 [Photovni] :
J'ai effectué mon service militaire au plateau d'Albion en 1981. J'étais dans les commandos de l'air 3ème compagnie. A l'époque, notre mission était bien entendue la défense de la base de St Christol dont je faisais partie. Le plateau d'Albion disposait avant sont désarmement de 18 zones de lancement de missiles atomique 2 (PCT) poste de commandement de tirs et un en construction à l'époque. Ces postes étaient situés 500m environ sous différentes montagnes allant du haut Vaucluse jusqu'en limite drome.
Les commandos étaient chargés d'effectuer des patrouilles régulièrement sur les différentes zones, dont la destination nous était donnée au dernier moment par radio en message codé lorsque nous quittions la base. Nous devions effectuer ces patrouilles environ toutes les deux heures. la patrouille qui rentrait devait réveiller la relève qui prenait une mission vers d'autres zones.
Un matin, je me suis réveillé vers 6 h et j'ai cru avoir raté ma patrouille qui était prévue vers 2 h et m'être rendormi. Après renseignements auprès du sous officier de semaine, il n'en était rien. La patrouille précédente avait déclenché l'alerte dans la nuit, signalant un objet non identifié en stationnement au-dessus de la ZL n° ? Dés lors, la gendarmerie mobile de la base et l'équipe d'inter' des commandos ainsi que le général de la base s'étaient rendus sur les lieux. L'alerte avait été donnée comme il se doit à la hiérarchie.
Le surlendemain, un tout petit article dans le journal "le Provençal" précisait en quelques lignes brèves cet événement mais sans plus. C'était un sujet de discussions sur la base pendant quelques jours puis plus rien. Personne n'avait d'éléments complémentaires. Cela restait donc une énigme. Quand je racontais çà dans mon entourage et au cours de discussions relatives aux phénomènes, je passais pour un demeuré.
10 ans plus tard, en 1991, alors que je regardais une émission télévisée sur les phénomènes extra-terrestres, j'apprenais que ce fameux jour en 1981, les contrôleurs aériens avaient repéré par radar un ovni venant d'Espagne et se dirigeant vers les Pays de l'Est. 2 Mirages 2000 décollaient de la base d'Istres pour prendre en chasse l'objet lorsqu'il est entré dans l'espace aérien français. Cet ovni a donc été repéré et observé par plusieurs dizaines de personnes et non des moindres. Contrôleurs aériens, commandos, gendarmes mobiles, station météo et certains gradés de la BA. dont le général.
L'ovni quant à lui avait disparu, laissant à l'aviation aucune chance de pouvoir le rejoindre. Tout ceci à priori, s'est déroulé très rapidement. Néanmoins nous avons eu des informations réelles de ce qui s'est passé 10 ans après l'événement. Je pense que tout cela n'est pas nouveau et suis sûr que les gouvernements font tout ce qu'ils peuvent pour leurrer les gens par de la désinformation, en expliquant que telles ou telles observations émanent de phénomènes naturels.
De plus, à cette époque, j'habitais dans un village du Vaucluse, ou il nous est arrivé mon père et moi-même, de pouvoir observer à deux reprises des formes lumineuses passer à très grande vitesse dans le ciel et à courtes distances, mais nous n'en avions jamais parlé à personne pour les raisons que vous savez. En plus, nous n'avions aucune preuve de tout cela.
En bref, je reste persuadé que le plateau du Vaucluse est un carrefour ou ces observations seront régulièrement constatées et que nous aurons un jour ou l'autre la preuve formelle de la présence de vie extraterrestre.
Hommes en noir
A la fin des années 1980s (témoignage enregistré le 10 octobre 1990) [Patrick Gamb] :
J'ai effectué mon service militaire en tant que maître chien sur le plateau d'Albion. J'ai été témoin de faits troublants durant mon séjour sur cette base. Je puis vous affirmer que de temps en temps des commandos totalement étrangers à la base prennent le contrôle de celle-ci pendant plus ou moins 48 h. Ils arrivent en convoi spécial, camions et voitures de couleur noire, leurs uniformes sont aussi de couleur noire, ils sont très grands avec une peau de couleur très blanche et portent en permanence des lunettes noires. Ces hommes ne se mélangent jamais avec les autres militaires de la base et ils prennent le contrôle total de celle ci, ils reçoivent leur nourriture par camions spéciaux et on ne peut que les apercevoir que la nuit.
Un soir j'étais de garde avec mon chien et je suis passé à proximité d'une grande salle en sous-sol qui ne possédait que quelques petites fenêtres en hauteur. En passant devant ces petites fenêtres mon chien est devenu très nerveux, j'ai alors regardé par une de ces fenêtres et là j'ai vu ces hommes en réunion. La nuit était totale et personne ne pouvait m'apercevoir. Cependant au bout de quelques instants un de ces hommes s'est retourné en direction de cette fenêtre - comment a-t-il su que j'étais là, je ne le sais pas - à ce moment là une peur incompréhensible s'est emparée de moi et mon chien est devenu complètement fou. J'ai tiré mon chien et je suis parti très vite continuer mon tour de garde.
Un autre soir étant encore de garde, j'aperçois par une fenêtre d'un local hautement sécurisé des faisceaux de lampes torches comme si quelqu'un cherchait quelque chose, la base était depuis l'arrivée de ces commandos en stade maximum d'alerte. J'avertis par radio l'officier de garde de cette anomalie mais celui ci me fait comprendre de passer mon chemin et que je n'avais rien vu.
Je ne sais pas pourquoi mais à la fin de mon tour de garde j'ai consigné cette observation sur un carnet.
Le lendemain matin un officier me fait appeler pour me dire que ceux que j'avais vu la nuit précédente était certainement une hallucination. Par la suite en rentrant dans ma chambre, mon placard personnel avait été fracturé et mon carnet de note ainsi que mon appareil photo avaient disparu.
Un ami aussi maître chien avait, lui, pu prendre des photos de certaines choses anormales et il avait aussi dessiné un portrait d'un de ces hommes. On a retrouvé mon ami sauvagement tabassé à l'extérieur de la base et bien sûr son placard avait été vidé complètement. Comment avait-il fait pour sortir de la base, alors que celle ci, en alerte maximum, personne ne pouvait sortir ? Ces blessures étaient tellement graves qu'un hélicoptère est venu le chercher pour le rapatrier à l'hôpital militaire de Laveran à Marseille.
Quand ces commandos étaient sur la base, on avait interdit aux maîtres chiens certaines zones, l'explication des officiers étaient que "les chiens sont trop sensibles".
Les chiens avaient une peur terrible de ces hommes, quand les commandos étaient sur place tous les soirs ils hurlaient en bavant anormalement et en se tapant la tète contre les grilles de leurs cages et cette situation était invivable. Au lever du jour tout redevenait normal.
Le vétérinaire - appelé du contingent et faisant des études pour devenir vétérinaire - était très étonné de la réaction incompréhensible des chiens. Il a voulu en savoir plus et a fait des prélèvements de salive et de sang sur quelques chiens, mais un officier lui a ordonné de laisser tomber ces analyses.
Quelques jours plus tard mon chien est tombé malade et un autre vétérinaire totalement étranger à la base est venu le chercher. J'ai protesté vivement car je pense qu'on aurait pu le soigner sur place. C'est alors qu'un capitaine est venu vers moi en me disant "c'est une affaire top secret". Par la suite j'ai su que mon chien était mort et qu'il avait subi une autopsie.
D'autres personnes ayant également été affectées à cette base émettent cependant de vifs doutes à quant à la crédibilé de ces témoignages :
J'ai été officier de réserve sur cette base, de février 1995 à avril 1996. J'étais responsable de la protection de la base et des silos nucléaires. Je suis retourné dans la vie civile ensuite.
Si la base avait été le centre de telles intrusions, j'aurais obligatoirement été en 1ère ligne. Tout ce qui avait trait à la sécurité passait par moi ou mes collègues. Les témoignages sur votre site me semblent franchement fantaisistes et dénués de toute logique. La base était truffée de capteurs et la moindre intrusion faisait retentir un nombre impressionnant d'alarmes. Même les lapins déclenchaient des alarmes intempestives. Il était impossible de les neutraliser de l'extérieur. Fort heureusement, pour la sécurité.
En revanche, après mon départ, mes collègues m'ont confirmé que les dépistages de radio-activité avaient été suspendus, suite à l'explosion de Tchernobyl. Il ne fallait pas que l'information s'ébruite. Pourtant, le protocole nous obligeait à effectuer un test par jour sur la base.
Démantèlement (1996)
En septembre 1996, le président Chirac annonce la fermeture des sites de lancement terrestres de missiles nucléaires. On prévoit que le démantèlement des missiles et de leurs silos prendra 2 ans. La défense nucléaire du pays reposera dorénavant sur l'aviation et les sous-marins. Les missiles, dont chacun d'entre eux est plus puissant que la bombe d'Hiroshima, sont désactivés 1 an plus tard, en Septembre 1997.
Le 17 septembre 1997, le Ministre de la Défense annonce que 1000 légionnaires de la Légion Etrangère vont s'installer sur le Plateau d’Albion. De 1999 à 2000 il vont constituer une nouvelle unité d'ingénieur de comabt pouvant être rapidement dépêchée dans le monde en cas de crise. Certains membres de cette unité viendront d'un régiment de la Légion qui maintient la site de test aujourd'hui fermé de Mururoa (Pacifique Sud).
Références :
* "Histoire de missiles... Le plateau d'Albion", CAPCOM Espace
quelqu'un a-t-il de nouvelles information a ce sujet
Le plateau de Valensole est écarté car son réseau hydrographique est incompatible avec la construction des silos. Le sous-sol d'Albion est idéal : calcaire facile à travailler et suffisamment résistant pour encaisser des chocs et hors de la zone sismique de la Durance. En surface, une étendue quasi déserte à perte de vue, 785 hectares et 288 propriétaires. Le village le plus proche est Saint-Christol (Vaucluse) au Sud, avec 1600 habitants. La ville la plus proche est Apt, à 30 km. Le 2 mai 1963, le Conseil de Défense décide la construction de la base de missiles sol-sol sur d'Albion.
Le terminal de transmission n°1 du plateau d'Albion Le terminal de transmission n°1 du plateau d'Albion
En 1965, après la visite de Pierre Messmer, la décision est prise d'y implanter 27 missiles.
Toutes les installations doivent résister à une explosion nucléaire. C'est dire les tonnes de béton, de ferraillage et de blindage qui vont être déversées sur et dans le plateau. Le creusement des silos commence en Août 1966 et parfois, on tombe sur d'immenses avens qu'il faut combler. 5500 m3 de roches sont extraites pour chaque silo et son abri auxiliaire. Bien qu'impressionnants, ces travaux ne dénaturent pourtant pas le site puisqu'ils sont non seulement enfouis, mais que les militaires veillent à les camoufler un maximum. En tout, le système dissuasif français s'étend sur 800 km2 car il englobe les installations de transmissions du Mont Ventoux, de la montagne de Lure et du Luberon, son coeur étant sur le plateau d’Albion.
En 1967, c'est en fait seulement 18 silos qui sont construits. Chacun de ces derniers est nanti de son abri auxiliaire, et distant de 3 km de son voisin afin qu'une seule attaque ne détruise plusieurs sites à la fois mais que des frappes nucléaires simultanées annulent leurs effets (2 explosions nucléaires simultanées annulent une grande partie de leurs effets mécaniques). Un agresseur devrait donc détruire un 1er silo, puis un 2ème, etc. ce qui laisse le temps de la riposte.
Un missile de Albion Un missile de Albion
Les missiles sont surveillés nuit et jour et commandés à partir de 2 Postes de Conduite de Tir (PCT), construits sous terre, à distance. Chaque poste de tir a en charge 9 zones de lancement. L'un se trouve dans la Drôme près de Reilhannette et l'autre dans le Vaucluse près de Rustrel, à 35 km l'un de l'autre. Véritables bunkers dissimulés sous plusieurs centaines de mètres de roche, les PCT sont conçus non seulement pour résister à toute attaque nucléaire, mais aussi pour éviter toute intrusion : des galeries de 2 km de long y mènent.
Il faut aussi construire la Base Aérienne (BA) 200, dont les militaires maintiendront opérationnels les missiles et les matériels périphériques. Sur 406 hectares, cette base regroupe les bâtiments du commandement, les services administratifs, un restaurant, une hôtellerie, une zone technique (véhicules de liaison, entretien, énergie de secours, stockage de carburants), une zone technique spécialisée pour la maintenance en silo, un dépôt de munitions spéciales où travaillent aussi les spécialistes du CEA pour l'assemblage des têtes nucléaires des missiles et une zone d'instruction du personnel. Les couleurs sont envoyées le 5 juillet 1968.
Entrée à l'installation d'Albion Entree à l'installation d'Albion
A flanc de montagne on ne voit des 2 postes de tir qu'une plate-forme et un fronton de béton de 2 m d'épaisseur. Seuls pourront y pénétrer les officiers de tir chargés de l'éventuelle mise à feu des missiles. Clôture électrifiée, barreaux, grilles équipées de détecteurs, filet anti-grenade, plaque blindée contre les tirs de roquette, gardes armés, détecteur d'attaque chimique, porte blindée, vitre blindée sans tain, fenêtre de tir permettant le lancement de grenade sur des visiteurs indésirables, portique de détection... le dispositif est impressionnant.
Une fois que patte blanche est montrée, ce sont les officiers de permanence dans leur trou à 400 m sous terre qui actionnent les portes d'accès de la galerie. Embarquement dans un drôle de petit tracteur électrique, mais claustrophobes s'abstenir. Une galerie souterraine de 4 m de diamètre, éclairée d'une lumière blafarde monte légèrement et interminablement, pour éviter une neutralisation ennemie par inondation. Elle présente des coudes à angle droit destinés à casser une onde de choc consécutive à une explosion nucléaire. Même rôle pour une galerie de roche appelée galerie anti-souffle. En cas d'effondrement de la galerie, un ingénieux mais terrifiant système de puits hérité des Égyptiens permet de grimper jusqu'à l'air libre. Décidément, on a pensé à tous les scénarii catastrophe. Des clapets d'air, que l'on peut fermer, permettent une survie de longue durée aux 2 officiers qui se relaient en permanence. Dans la capsule de tir, 2 locaux protégés par 3 m d'épaisseur de béton armé, montés sur vérins hydrauliques pour résister aux secousses, équipés en cage de Faraday et bourré d'écrans.
Témoignages
Un certain nombre de témoignages, malheureusement souvent invérifiables, émaillent le Net à propos d'Albion, relatant des observations d'extraterrestres et autres hommes en noir, en passant par des mutilations de bétail, entre la fin des années 1970s et le début des années 1990s. Citons en 2 des plus détaillés.
Alerte (1981)
Un autre témoignage d'un appelé affecté à Albion en 1981 [Photovni] :
J'ai effectué mon service militaire au plateau d'Albion en 1981. J'étais dans les commandos de l'air 3ème compagnie. A l'époque, notre mission était bien entendue la défense de la base de St Christol dont je faisais partie. Le plateau d'Albion disposait avant sont désarmement de 18 zones de lancement de missiles atomique 2 (PCT) poste de commandement de tirs et un en construction à l'époque. Ces postes étaient situés 500m environ sous différentes montagnes allant du haut Vaucluse jusqu'en limite drome.
Les commandos étaient chargés d'effectuer des patrouilles régulièrement sur les différentes zones, dont la destination nous était donnée au dernier moment par radio en message codé lorsque nous quittions la base. Nous devions effectuer ces patrouilles environ toutes les deux heures. la patrouille qui rentrait devait réveiller la relève qui prenait une mission vers d'autres zones.
Un matin, je me suis réveillé vers 6 h et j'ai cru avoir raté ma patrouille qui était prévue vers 2 h et m'être rendormi. Après renseignements auprès du sous officier de semaine, il n'en était rien. La patrouille précédente avait déclenché l'alerte dans la nuit, signalant un objet non identifié en stationnement au-dessus de la ZL n° ? Dés lors, la gendarmerie mobile de la base et l'équipe d'inter' des commandos ainsi que le général de la base s'étaient rendus sur les lieux. L'alerte avait été donnée comme il se doit à la hiérarchie.
Le surlendemain, un tout petit article dans le journal "le Provençal" précisait en quelques lignes brèves cet événement mais sans plus. C'était un sujet de discussions sur la base pendant quelques jours puis plus rien. Personne n'avait d'éléments complémentaires. Cela restait donc une énigme. Quand je racontais çà dans mon entourage et au cours de discussions relatives aux phénomènes, je passais pour un demeuré.
10 ans plus tard, en 1991, alors que je regardais une émission télévisée sur les phénomènes extra-terrestres, j'apprenais que ce fameux jour en 1981, les contrôleurs aériens avaient repéré par radar un ovni venant d'Espagne et se dirigeant vers les Pays de l'Est. 2 Mirages 2000 décollaient de la base d'Istres pour prendre en chasse l'objet lorsqu'il est entré dans l'espace aérien français. Cet ovni a donc été repéré et observé par plusieurs dizaines de personnes et non des moindres. Contrôleurs aériens, commandos, gendarmes mobiles, station météo et certains gradés de la BA. dont le général.
L'ovni quant à lui avait disparu, laissant à l'aviation aucune chance de pouvoir le rejoindre. Tout ceci à priori, s'est déroulé très rapidement. Néanmoins nous avons eu des informations réelles de ce qui s'est passé 10 ans après l'événement. Je pense que tout cela n'est pas nouveau et suis sûr que les gouvernements font tout ce qu'ils peuvent pour leurrer les gens par de la désinformation, en expliquant que telles ou telles observations émanent de phénomènes naturels.
De plus, à cette époque, j'habitais dans un village du Vaucluse, ou il nous est arrivé mon père et moi-même, de pouvoir observer à deux reprises des formes lumineuses passer à très grande vitesse dans le ciel et à courtes distances, mais nous n'en avions jamais parlé à personne pour les raisons que vous savez. En plus, nous n'avions aucune preuve de tout cela.
En bref, je reste persuadé que le plateau du Vaucluse est un carrefour ou ces observations seront régulièrement constatées et que nous aurons un jour ou l'autre la preuve formelle de la présence de vie extraterrestre.
Hommes en noir
A la fin des années 1980s (témoignage enregistré le 10 octobre 1990) [Patrick Gamb] :
J'ai effectué mon service militaire en tant que maître chien sur le plateau d'Albion. J'ai été témoin de faits troublants durant mon séjour sur cette base. Je puis vous affirmer que de temps en temps des commandos totalement étrangers à la base prennent le contrôle de celle-ci pendant plus ou moins 48 h. Ils arrivent en convoi spécial, camions et voitures de couleur noire, leurs uniformes sont aussi de couleur noire, ils sont très grands avec une peau de couleur très blanche et portent en permanence des lunettes noires. Ces hommes ne se mélangent jamais avec les autres militaires de la base et ils prennent le contrôle total de celle ci, ils reçoivent leur nourriture par camions spéciaux et on ne peut que les apercevoir que la nuit.
Un soir j'étais de garde avec mon chien et je suis passé à proximité d'une grande salle en sous-sol qui ne possédait que quelques petites fenêtres en hauteur. En passant devant ces petites fenêtres mon chien est devenu très nerveux, j'ai alors regardé par une de ces fenêtres et là j'ai vu ces hommes en réunion. La nuit était totale et personne ne pouvait m'apercevoir. Cependant au bout de quelques instants un de ces hommes s'est retourné en direction de cette fenêtre - comment a-t-il su que j'étais là, je ne le sais pas - à ce moment là une peur incompréhensible s'est emparée de moi et mon chien est devenu complètement fou. J'ai tiré mon chien et je suis parti très vite continuer mon tour de garde.
Un autre soir étant encore de garde, j'aperçois par une fenêtre d'un local hautement sécurisé des faisceaux de lampes torches comme si quelqu'un cherchait quelque chose, la base était depuis l'arrivée de ces commandos en stade maximum d'alerte. J'avertis par radio l'officier de garde de cette anomalie mais celui ci me fait comprendre de passer mon chemin et que je n'avais rien vu.
Je ne sais pas pourquoi mais à la fin de mon tour de garde j'ai consigné cette observation sur un carnet.
Le lendemain matin un officier me fait appeler pour me dire que ceux que j'avais vu la nuit précédente était certainement une hallucination. Par la suite en rentrant dans ma chambre, mon placard personnel avait été fracturé et mon carnet de note ainsi que mon appareil photo avaient disparu.
Un ami aussi maître chien avait, lui, pu prendre des photos de certaines choses anormales et il avait aussi dessiné un portrait d'un de ces hommes. On a retrouvé mon ami sauvagement tabassé à l'extérieur de la base et bien sûr son placard avait été vidé complètement. Comment avait-il fait pour sortir de la base, alors que celle ci, en alerte maximum, personne ne pouvait sortir ? Ces blessures étaient tellement graves qu'un hélicoptère est venu le chercher pour le rapatrier à l'hôpital militaire de Laveran à Marseille.
Quand ces commandos étaient sur la base, on avait interdit aux maîtres chiens certaines zones, l'explication des officiers étaient que "les chiens sont trop sensibles".
Les chiens avaient une peur terrible de ces hommes, quand les commandos étaient sur place tous les soirs ils hurlaient en bavant anormalement et en se tapant la tète contre les grilles de leurs cages et cette situation était invivable. Au lever du jour tout redevenait normal.
Le vétérinaire - appelé du contingent et faisant des études pour devenir vétérinaire - était très étonné de la réaction incompréhensible des chiens. Il a voulu en savoir plus et a fait des prélèvements de salive et de sang sur quelques chiens, mais un officier lui a ordonné de laisser tomber ces analyses.
Quelques jours plus tard mon chien est tombé malade et un autre vétérinaire totalement étranger à la base est venu le chercher. J'ai protesté vivement car je pense qu'on aurait pu le soigner sur place. C'est alors qu'un capitaine est venu vers moi en me disant "c'est une affaire top secret". Par la suite j'ai su que mon chien était mort et qu'il avait subi une autopsie.
D'autres personnes ayant également été affectées à cette base émettent cependant de vifs doutes à quant à la crédibilé de ces témoignages :
J'ai été officier de réserve sur cette base, de février 1995 à avril 1996. J'étais responsable de la protection de la base et des silos nucléaires. Je suis retourné dans la vie civile ensuite.
Si la base avait été le centre de telles intrusions, j'aurais obligatoirement été en 1ère ligne. Tout ce qui avait trait à la sécurité passait par moi ou mes collègues. Les témoignages sur votre site me semblent franchement fantaisistes et dénués de toute logique. La base était truffée de capteurs et la moindre intrusion faisait retentir un nombre impressionnant d'alarmes. Même les lapins déclenchaient des alarmes intempestives. Il était impossible de les neutraliser de l'extérieur. Fort heureusement, pour la sécurité.
En revanche, après mon départ, mes collègues m'ont confirmé que les dépistages de radio-activité avaient été suspendus, suite à l'explosion de Tchernobyl. Il ne fallait pas que l'information s'ébruite. Pourtant, le protocole nous obligeait à effectuer un test par jour sur la base.
Démantèlement (1996)
En septembre 1996, le président Chirac annonce la fermeture des sites de lancement terrestres de missiles nucléaires. On prévoit que le démantèlement des missiles et de leurs silos prendra 2 ans. La défense nucléaire du pays reposera dorénavant sur l'aviation et les sous-marins. Les missiles, dont chacun d'entre eux est plus puissant que la bombe d'Hiroshima, sont désactivés 1 an plus tard, en Septembre 1997.
Le 17 septembre 1997, le Ministre de la Défense annonce que 1000 légionnaires de la Légion Etrangère vont s'installer sur le Plateau d’Albion. De 1999 à 2000 il vont constituer une nouvelle unité d'ingénieur de comabt pouvant être rapidement dépêchée dans le monde en cas de crise. Certains membres de cette unité viendront d'un régiment de la Légion qui maintient la site de test aujourd'hui fermé de Mururoa (Pacifique Sud).
Références :
* "Histoire de missiles... Le plateau d'Albion", CAPCOM Espace
quelqu'un a-t-il de nouvelles information a ce sujet
- HocineEquipe du forum
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Re: Le plateau d'albion la zone 51 française?
Ven 19 Oct 2007, 19:28
dans le post ci dessus ,n’y a t il pas un indice (involontaire) qui nous amènent à un autre « lieu sécret » qui est ignoré de tous ?:!:
- Mitch13Equipe du forum
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1981: Observation d'ovni (plateau d'albion)
Sam 01 Mar 2008, 12:54
Comme je l’ai précisé sur le chat, c’est moi en effet, qui ai témoigné sur le plateau d’Albion en relatant l’année de mon service militaire en 1981. Juste une petite précision sur le témoignage, c’est que j’avais indiqué que deux MIRAGES 2000 avaient décollé pour l’interception de l’ovni, alors que c’était deux MIRAGE F1 les MIRAGES 2000 étaient encore en expérimentation et réalisaient uniquement des exercices avec la base. Puis, mon service s’est déroulé de juin 1981 à juin 1982. C’est donc dans cette période que s’est déroulé l’événement.
Depuis, j’observe le ciel tous les soirs. Je dis bien tous les soirs lorsque le temps n’est pas nuageux. Résidant dans les alentours de la Base aérienne d’ISTRES dans les Bouches du Rhône, et non loin de l’aéroport de Marignane, je sais bien différencier les avions, et suis capable de dire le type d’appareil qui vole ayant une bonne connaissance des avions de chasse. Pour l’instant je tiens à garder l’anonymat, car je porte l’uniforme d’une part, d’autre part, je veux apporter les preuves de ce que j’avance. Aujourd’hui, et cela n’avance que moi, je peux dire une chose sur les observations que j’ai pu faire et sur le contenu de tout ce que j’ai pu lire et entendre ; témoignages, documents et conversations diverses sur le sujet. OUI cela existe vraiment. En observant régulièrement tous les soirs le ciel on est obligé de voir des choses. L’erreur que l’on fait tous, c’est de toujours avoir les yeux rivets par terre. A plusieurs reprise j’ai pu voir des objets lumineux comme l’année dernière et cette année, haut dans le ciel qui semblaient glisser rapidement sur une trajectoire non rectiligne se manifestant par une lumière très brillante sans clignotants puis montaient à la verticale en disparaissant en quelques secondes. Non ce ne peut pas être un avion. J’en ai bien sur discuté avec certaines personnes de mon entourage des amis pour la plupart dont un Commandant de Gendarmerie à la retraite mais également des pilotes et un contrôleur aérien qui me confirment qu’il y a quelquefois des échos radars. Pour toutes intrusions dans l’espace aérien du territoire français, des avions décollent des bases stratégiques pour l’interception ou l’identification et c’était le cas lors de présence d’Ovni il y a quelques années. Aujourd’hui, les avions ne décollent plus pour ce genre d’intrusion car les instances savent très bien qu’il est impossible de pouvoir rattraper un OVNI dont la vitesse peut atteindre 30 000 Km/h. Pourtant un MIRAGE 2000 en situation d’urgence peut décoller en 2mn. Non, je pense que l’ordre d’identification doit être donné lorsque les appareils sont en vol et qu’ils ont un visuel sur l’objet et que celui-ci se déplace relativement doucement c’est à dire ne dépassant pas Mach 3. Pourquoi j’avance cela ? Parce que, chaque fois que j’ai vu un objet dans le ciel aucun intercepteur n’a décollé… trop haute altitude rendant la poursuite impossible ???? Allez savoir !!!!
Ils le savent très bien eux, et tous les Gouvernements aussi. Pourquoi commence t-on à nous dévoiler des dossiers « TOP SECRET » c’est bien pour nous habituer et nous préparer à apprendre une vérité non ? Voila mon analyse personnelle. On pourrait en discuter pendant des heures… Par contre, le Plateau d’Albion est à suivre de prêt. Il y a des choses qui ne sont pas claires. Je n’irai pas jusqu’à dire qu’il y a des entités dans des souterrains mais je n’en suis pas loin.
mitch13
Depuis, j’observe le ciel tous les soirs. Je dis bien tous les soirs lorsque le temps n’est pas nuageux. Résidant dans les alentours de la Base aérienne d’ISTRES dans les Bouches du Rhône, et non loin de l’aéroport de Marignane, je sais bien différencier les avions, et suis capable de dire le type d’appareil qui vole ayant une bonne connaissance des avions de chasse. Pour l’instant je tiens à garder l’anonymat, car je porte l’uniforme d’une part, d’autre part, je veux apporter les preuves de ce que j’avance. Aujourd’hui, et cela n’avance que moi, je peux dire une chose sur les observations que j’ai pu faire et sur le contenu de tout ce que j’ai pu lire et entendre ; témoignages, documents et conversations diverses sur le sujet. OUI cela existe vraiment. En observant régulièrement tous les soirs le ciel on est obligé de voir des choses. L’erreur que l’on fait tous, c’est de toujours avoir les yeux rivets par terre. A plusieurs reprise j’ai pu voir des objets lumineux comme l’année dernière et cette année, haut dans le ciel qui semblaient glisser rapidement sur une trajectoire non rectiligne se manifestant par une lumière très brillante sans clignotants puis montaient à la verticale en disparaissant en quelques secondes. Non ce ne peut pas être un avion. J’en ai bien sur discuté avec certaines personnes de mon entourage des amis pour la plupart dont un Commandant de Gendarmerie à la retraite mais également des pilotes et un contrôleur aérien qui me confirment qu’il y a quelquefois des échos radars. Pour toutes intrusions dans l’espace aérien du territoire français, des avions décollent des bases stratégiques pour l’interception ou l’identification et c’était le cas lors de présence d’Ovni il y a quelques années. Aujourd’hui, les avions ne décollent plus pour ce genre d’intrusion car les instances savent très bien qu’il est impossible de pouvoir rattraper un OVNI dont la vitesse peut atteindre 30 000 Km/h. Pourtant un MIRAGE 2000 en situation d’urgence peut décoller en 2mn. Non, je pense que l’ordre d’identification doit être donné lorsque les appareils sont en vol et qu’ils ont un visuel sur l’objet et que celui-ci se déplace relativement doucement c’est à dire ne dépassant pas Mach 3. Pourquoi j’avance cela ? Parce que, chaque fois que j’ai vu un objet dans le ciel aucun intercepteur n’a décollé… trop haute altitude rendant la poursuite impossible ???? Allez savoir !!!!
Ils le savent très bien eux, et tous les Gouvernements aussi. Pourquoi commence t-on à nous dévoiler des dossiers « TOP SECRET » c’est bien pour nous habituer et nous préparer à apprendre une vérité non ? Voila mon analyse personnelle. On pourrait en discuter pendant des heures… Par contre, le Plateau d’Albion est à suivre de prêt. Il y a des choses qui ne sont pas claires. Je n’irai pas jusqu’à dire qu’il y a des entités dans des souterrains mais je n’en suis pas loin.
mitch13
- rejean.lebelNouveau membre
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Re: Le plateau d'albion la zone 51 française?
Sam 01 Mar 2008, 14:10
tres bon temoignage
- Daniel JEquipe du forum
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Re: Le plateau d'albion la zone 51 française?
Sam 01 Mar 2008, 15:04
Oui merci pour ce bon témoignage, j'avais lu quelques articles sur le plateau d'albion et les phénomène étrange qui s'y produisaient;)
- Mitch13Equipe du forum
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Re: Le plateau d'albion la zone 51 française?
Sam 01 Mar 2008, 18:14
Une question m’avait été posée sur le tchat, comment peut-on voir un ovni à 10 000m d’altitude ça fait 10 km…
Un avion commercial appelé long courrier c'est-à-dire vers des destinations très éloignées comme par exemple les USA, vole à 10 000m en général c’est son altitude de croisière. Pourquoi ? tout simplement parce quand volant très haut il économise du kérosène. Quand vous êtes dans l’avion en regardant par les hublots, vous pouvez apercevoir les lumières des villes que vous survolez. Imaginez le contraire, vous êtes au sol et regardez un avion à cette altitude vous verrez de nuit ses lumières qui ressortent plus facilement puisqu’il fait nuit. Du moins, un point qui brille modérément et par temps trés clair, même un feu clignotant . De jour vous verrez la traînée blanche qui représente les vapeurs de ses réacteurs. 10km en l’air, c’est rien, la problématique est l’évaluation de la hauteur et de la distance surtout de nuit car on ne connaît pas la grosseur de l’objet. Plus l’objet est petit, plus il semble éloigné et le contraire quand il est gros. Donc difficile d’évaluer… Concernant la luminosité, voir les expériences du professeur J.P PETIT sur la MHD, et l’électromagnétisme on comprendra alors les effet visible de la propulsion au moyen de ces énergies. Je ne suis pas un spécialiste mais j’ai lu les expériences qu’il a faites à ce sujet c’est très intéressant.
Un avion commercial appelé long courrier c'est-à-dire vers des destinations très éloignées comme par exemple les USA, vole à 10 000m en général c’est son altitude de croisière. Pourquoi ? tout simplement parce quand volant très haut il économise du kérosène. Quand vous êtes dans l’avion en regardant par les hublots, vous pouvez apercevoir les lumières des villes que vous survolez. Imaginez le contraire, vous êtes au sol et regardez un avion à cette altitude vous verrez de nuit ses lumières qui ressortent plus facilement puisqu’il fait nuit. Du moins, un point qui brille modérément et par temps trés clair, même un feu clignotant . De jour vous verrez la traînée blanche qui représente les vapeurs de ses réacteurs. 10km en l’air, c’est rien, la problématique est l’évaluation de la hauteur et de la distance surtout de nuit car on ne connaît pas la grosseur de l’objet. Plus l’objet est petit, plus il semble éloigné et le contraire quand il est gros. Donc difficile d’évaluer… Concernant la luminosité, voir les expériences du professeur J.P PETIT sur la MHD, et l’électromagnétisme on comprendra alors les effet visible de la propulsion au moyen de ces énergies. Je ne suis pas un spécialiste mais j’ai lu les expériences qu’il a faites à ce sujet c’est très intéressant.
- Mitch13Equipe du forum
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Re: Le plateau d'albion la zone 51 française?
Sam 01 Mar 2008, 18:16
Merci de vos appréciations.
- majestic54Légende du forum
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Re: Le plateau d'albion la zone 51 française?
Sam 01 Mar 2008, 20:17
je suis obligér de corroborer tes propos moi ayant vus des ovni prés du plateau d'albion il y a deux-trois ans .
- Mitch13Equipe du forum
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le témoignage que j'avais fait à l'époque
Mar 04 Mar 2008, 17:43
J'ai effectué mon service militaire au plateau d'Albion en 1981. J'étais dans les commandos de l'air 3ème compagnie. A l'époque, notre mission était bien entendue la défense de la base de St Christol dont je faisais partie. Le plateau d'Albion disposait avant sont désarmement de 18 zones de lancement de missiles atomique 2 (PCT) poste de commandement de tirs et un en construction à l'époque. Ces postes étaient situés 500m environ sous différentes montagnes allant du haut Vaucluse jusqu'en limite drome.
Les commandos étaient chargés d'effectuer des patrouilles régulièrement sur les différentes zones, dont la destination nous était donnée au dernier moment par radio en message codé lorsque nous quittions la base. Nous devions effectuer ces patrouilles environ toutes les deux heures. la patrouille qui rentrait devait réveiller la relève qui prenait une mission vers d'autres zones.
Un matin, je me suis réveillé vers 6 h et j'ai cru avoir raté ma patrouille qui était prévue vers 2 h et m'être rendormi. Après renseignements auprès du sous officier de semaine, il n'en était rien. La patrouille précédente avait déclenché l'alerte dans la nuit, signalant un objet non identifié en stationnement au-dessus de la ZL n° ? Dés lors, la gendarmerie mobile de la base et l'équipe d'inter' des commandos ainsi que le général de la base s'étaient rendus sur les lieux. L'alerte avait été donnée comme il se doit à la hiérarchie.
Le surlendemain, un tout petit article dans le journal "le Provençal" précisait en quelques lignes brèves cet événement mais sans plus. C'était un sujet de discussions sur la base pendant quelques jours puis plus rien. Personne n'avait d'éléments complémentaires. Cela restait donc une énigme. Quand je racontais çà dans mon entourage et au cours de discussions relatives aux phénomènes, je passais pour un demeuré.
10 ans plus tard, en 1991, alors que je regardais une émission télévisée sur les phénomènes extra-terrestres, j'apprenais que ce fameux jour en 1981, les contrôleurs aériens avaient repéré par radar un ovni venant d'Espagne et se dirigeant vers les Pays de l'Est. 2 Mirages 2000 décollaient de la base d'Istres pour prendre en chasse l'objet lorsqu'il est entré dans l'espace aérien français. Cet ovni a donc été repéré et observé par plusieurs dizaines de personnes et non des moindres. Contrôleurs aériens, commandos, gendarmes mobiles, station météo et certains gradés de la BA. dont le général.
L'ovni quant à lui avait disparu, laissant à l'aviation aucune chance de pouvoir le rejoindre. Tout ceci à priori, s'est déroulé très rapidement. Néanmoins nous avons eu des informations réelles de ce qui s'est passé 10 ans après l'événement. Je pense que tout cela n'est pas nouveau et suis sûr que les gouvernements font tout ce qu'ils peuvent pour leurrer les gens par de la désinformation, en expliquant que telles ou telles observations émanent de phénomènes naturels.
De plus, à cette époque, j'habitais dans un village du Vaucluse, ou il nous est arrivé mon père et moi-même, de pouvoir observer à deux reprises des formes lumineuses passer à très grande vitesse dans le ciel et à courtes distances, mais nous n'en avions jamais parlé à personne pour les raisons que vous savez. En plus, nous n'avions aucune preuve de tout cela.
En bref, je reste persuadé que le plateau du Vaucluse est un carrefour ou ces observations seront régulièrement constatées et que nous aurons un jour ou l'autre la preuve formelle de la présence de vie extraterrestre.
- Mitch13Equipe du forum
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Re: Le plateau d'albion la zone 51 française?
Mar 04 Mar 2008, 18:14
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