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- brunehautAnalyste enquêteur
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Les hallucinations
Mar 13 Avr 2010, 00:26
Bonsoir,
Certains de mes proches m'ont dit, après avoir entendu mon " histoire d'ovni", que j'avais certainement rêvé ou Halluciné.
Soit! Mais avant de proposer une hallucination, il me semble préférable de connaître la définition de ce mot.
Important!
Une verre de trop ne provoque pas d'hallucination.
Eventuellement une illusion, mais pas d'hallucination.
C'est le délirium trémens lié au manque d'alcool qui peut l'engendrer.
L'hallucination est définie classiquement comme étant une "perception sans objet", et plus précisément selon Henri Ey comme une "perception sans objet à percevoir". Elle se distingue d'une illusion, qui est une perception anormale d'un stimulus externe. Les hallucinations peuvent toucher tous nos sens - vue, ouïe, odorat, toucher et goût - isolément ou simultanément. On décrit aussi les "hallucinations psychiques" qui ne présentent pas suffisamment de caractéristiques sensorielles pour être confondue avec une perception. Ils sont en général vécus comme des phénomènes psychiques empreints d'un sentiment d'étrangeté: imposition de pensées, télépathie, intrusion dans les pensées du patient...
Sommaire
1 L'hallucinose n'est pas une hallucination
2 Des causes multiples
3 Spécifiques au sommeil
4 Classification des hallucinations
4.1 Hallucinations psychosensorielles
4.2 Hallucinations psychiques
4.3 En sciences humaines
5 Voir aussi
5.1 Liens externes
5.2 Bibliographie
L'hallucinose n'est pas une hallucination
Il faut distinguer l'hallucination, qui associe à cette perception sans objet une perte de discernement, de l'hallucinose au cours de laquelle le patient reste critique quant à la réalité de la perception expérimentée (ex: syndrome de Charles Bonnet et hallucinose visuelle complexe, crises d'épilepsie temporale et hallucinoses acoustique et/ou verbale).
Des causes multiples
L'hallucination peut avoir des causes multiples :
- Intoxications par des drogues (psilocybine, LSD, PCP, mescaline, et dans une moindre mesure l'ecstasy),
- Pathologies psychiatriques (notamment les psychoses, comme la schizophrénie),
- Pathologies neurologiques : maladie de Parkinson, maladie des corps de Lewy diffus, atrophie multi-systématisée, paralysie supranucléaire progressive
- Pathologies du sommeil : narcolepsie,
- Pathologies organiques (épilepsie, méningo-encéphalites infectieuses...).
Spécifiques au sommeil
- Hallucinations hypnagogiques qui ont lieu au moment de l'endormissement
- Hallucinations hypnopompiques qui ont lieu au réveil.
Elles peuvent se produire alors que la personne est bien réveillée mais aussi dans un état intermédiaire comme au cours d'une paralysie du sommeil ce qui les rend particulièrement angoissantes pour la personne qui en fait l'expérience.. Les hallucinations hypnopompiques ne se prolongent en général pas plus de quelques minutes après l'éveil complet.
Classification des hallucinations
On classe les hallucinations en deux catégories : les hallucinations psychosensorielles et les hallucinations psychiques.
Hallucinations psychosensorielles
1- Elles sont objectivées par l’un des cinq sens : l’audition, la vue, le toucher, l’olfaction et le goût plus rarement.
2- Ces perceptions erronées apparaissent au patient comme situées dans l’espace.
Ces caractéristiques de sensorialité et de spatialité ajoutent à la conviction du patient.
-Les hallucinations auditives sont strictement les plus fréquentes. La personne peut entendre des sons simples, ... ou le plus souvent des 'voix'. Il s’agit d’une ou de plusieurs voix. Leur thématique peut être en rapport avec un contenu délirant, souvent évidemment paranoïaque (persécution). Les voix peuvent commenter les actes ou les pensées du patient, et même converser entre elles... Ces mécanismes de la pensée irrationnelle sont catégoriquement à distinguer des 'acouphènes' recensés par la médecine de l'audition. Il faut bien mesurer aussi que les processus de 'double-pensée' ('je-m'entends-penser-avant-de-parler') émanent pour eux vraisemblablement de quelque chose de névrotique..., ... et sont d'ailleurs de-sorte, même si pénibles, esquivables assez-souvent par le sujet, dans un retour voulu à la spontanéité ('je-me-fie-à-mon-désir, en ce qu'il est positif', et non-pas: 'je réalise l'injonction préalable de l'automatisme').
- Les hallucinations visuelles sont plus rares, simples ou complexes. Certaines sont assez typiques comme la vision d’animaux effrayants (zoopsies) dans le delirium tremens de l’alcoolique ou encore les hallucinations élaborées « lilliputiennes » du syndrome de Charles Bonnet
- Les hallucinations olfactives et gustatives sont encore plus rares.
- Les hallucinations tactiles sont de nature très diverse; elles peuvent concerner tout ou partie du corps, être à type d’effleurement ou autre, avoir un contenu positif ou désagréable.
- Les hallucinations cénesthésiques concernent la sensibilité profonde, proprioceptive.
Hallucinations psychiques
Ce sont des perceptions dépourvues de spatialité et de sensorialité, contrairement aux précédentes. Il s’agit le plus souvent d’hallucinations psycho-verbales, voix intérieures qu’il est parfois difficile de distinguer de l’activité mentale propre du sujet...
En sciences humaines
Quelques philosophes et écrivains comme Karl Marx, Friedrich Nietzsche et Sigmund Freud ont décrit la religion comme une hallucination collective.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Hallucination
Certains de mes proches m'ont dit, après avoir entendu mon " histoire d'ovni", que j'avais certainement rêvé ou Halluciné.
Soit! Mais avant de proposer une hallucination, il me semble préférable de connaître la définition de ce mot.
Important!
Une verre de trop ne provoque pas d'hallucination.
Eventuellement une illusion, mais pas d'hallucination.
C'est le délirium trémens lié au manque d'alcool qui peut l'engendrer.
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Hallucination
Cette illustration est pour une histoire écrite par un malade de Parkinson, qui souffre de «illusions sonores» comme un effet secondaire de ses médicaments. Une femme qui rit trop fort dans un restaurant se transforme en un cheval qui hennit, et un homme avec une voix de stentor devient un chef de file du cirque avec un mégaphone.
http://jonkeegan.com/illo.php?id=74
Hallucination
Cette illustration est pour une histoire écrite par un malade de Parkinson, qui souffre de «illusions sonores» comme un effet secondaire de ses médicaments. Une femme qui rit trop fort dans un restaurant se transforme en un cheval qui hennit, et un homme avec une voix de stentor devient un chef de file du cirque avec un mégaphone.
http://jonkeegan.com/illo.php?id=74
L'hallucination est définie classiquement comme étant une "perception sans objet", et plus précisément selon Henri Ey comme une "perception sans objet à percevoir". Elle se distingue d'une illusion, qui est une perception anormale d'un stimulus externe. Les hallucinations peuvent toucher tous nos sens - vue, ouïe, odorat, toucher et goût - isolément ou simultanément. On décrit aussi les "hallucinations psychiques" qui ne présentent pas suffisamment de caractéristiques sensorielles pour être confondue avec une perception. Ils sont en général vécus comme des phénomènes psychiques empreints d'un sentiment d'étrangeté: imposition de pensées, télépathie, intrusion dans les pensées du patient...
Sommaire
1 L'hallucinose n'est pas une hallucination
2 Des causes multiples
3 Spécifiques au sommeil
4 Classification des hallucinations
4.1 Hallucinations psychosensorielles
4.2 Hallucinations psychiques
4.3 En sciences humaines
5 Voir aussi
5.1 Liens externes
5.2 Bibliographie
L'hallucinose n'est pas une hallucination
Il faut distinguer l'hallucination, qui associe à cette perception sans objet une perte de discernement, de l'hallucinose au cours de laquelle le patient reste critique quant à la réalité de la perception expérimentée (ex: syndrome de Charles Bonnet et hallucinose visuelle complexe, crises d'épilepsie temporale et hallucinoses acoustique et/ou verbale).
Des causes multiples
L'hallucination peut avoir des causes multiples :
- Intoxications par des drogues (psilocybine, LSD, PCP, mescaline, et dans une moindre mesure l'ecstasy),
- Pathologies psychiatriques (notamment les psychoses, comme la schizophrénie),
- Pathologies neurologiques : maladie de Parkinson, maladie des corps de Lewy diffus, atrophie multi-systématisée, paralysie supranucléaire progressive
- Pathologies du sommeil : narcolepsie,
- Pathologies organiques (épilepsie, méningo-encéphalites infectieuses...).
Spécifiques au sommeil
- Hallucinations hypnagogiques qui ont lieu au moment de l'endormissement
- Hallucinations hypnopompiques qui ont lieu au réveil.
Elles peuvent se produire alors que la personne est bien réveillée mais aussi dans un état intermédiaire comme au cours d'une paralysie du sommeil ce qui les rend particulièrement angoissantes pour la personne qui en fait l'expérience.. Les hallucinations hypnopompiques ne se prolongent en général pas plus de quelques minutes après l'éveil complet.
Classification des hallucinations
On classe les hallucinations en deux catégories : les hallucinations psychosensorielles et les hallucinations psychiques.
Hallucinations psychosensorielles
1- Elles sont objectivées par l’un des cinq sens : l’audition, la vue, le toucher, l’olfaction et le goût plus rarement.
2- Ces perceptions erronées apparaissent au patient comme situées dans l’espace.
Ces caractéristiques de sensorialité et de spatialité ajoutent à la conviction du patient.
-Les hallucinations auditives sont strictement les plus fréquentes. La personne peut entendre des sons simples, ... ou le plus souvent des 'voix'. Il s’agit d’une ou de plusieurs voix. Leur thématique peut être en rapport avec un contenu délirant, souvent évidemment paranoïaque (persécution). Les voix peuvent commenter les actes ou les pensées du patient, et même converser entre elles... Ces mécanismes de la pensée irrationnelle sont catégoriquement à distinguer des 'acouphènes' recensés par la médecine de l'audition. Il faut bien mesurer aussi que les processus de 'double-pensée' ('je-m'entends-penser-avant-de-parler') émanent pour eux vraisemblablement de quelque chose de névrotique..., ... et sont d'ailleurs de-sorte, même si pénibles, esquivables assez-souvent par le sujet, dans un retour voulu à la spontanéité ('je-me-fie-à-mon-désir, en ce qu'il est positif', et non-pas: 'je réalise l'injonction préalable de l'automatisme').
- Les hallucinations visuelles sont plus rares, simples ou complexes. Certaines sont assez typiques comme la vision d’animaux effrayants (zoopsies) dans le delirium tremens de l’alcoolique ou encore les hallucinations élaborées « lilliputiennes » du syndrome de Charles Bonnet
- Les hallucinations olfactives et gustatives sont encore plus rares.
- Les hallucinations tactiles sont de nature très diverse; elles peuvent concerner tout ou partie du corps, être à type d’effleurement ou autre, avoir un contenu positif ou désagréable.
- Les hallucinations cénesthésiques concernent la sensibilité profonde, proprioceptive.
Hallucinations psychiques
Ce sont des perceptions dépourvues de spatialité et de sensorialité, contrairement aux précédentes. Il s’agit le plus souvent d’hallucinations psycho-verbales, voix intérieures qu’il est parfois difficile de distinguer de l’activité mentale propre du sujet...
En sciences humaines
Quelques philosophes et écrivains comme Karl Marx, Friedrich Nietzsche et Sigmund Freud ont décrit la religion comme une hallucination collective.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Hallucination
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brunehaut
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Re: Les hallucinations
Mar 13 Avr 2010, 01:26
Notes de lecture ovnis 1 : Jung, Rossoni..., Cooper, Greslé, Granger, Le Chatelain, Stengers,
Par le Dr. Jacques Costagliola
"Observation de Laxou, banlieue de Nancy, 21 octobre 1982"
"II.1. Une hallucination hypnagogique ou hypnopompique. Ce sont de bien grands mots pour un symptôme bénin et fréquent qui, comme le nom l’indique, survient au réveil ou à l’endormissement, illusions grossières visuelles ou auditives très courtes toujours autocritiquées. Rien à voir avec les états divers doctement étalés : faux souvenirs, transfert inconscient, rêves remémorisés, rêve éveillé, paralysie du sommeil. Le dernier, son nom l’indique, ne survient pas à midi dans un jardin, et à garder plutôt en diagnostic différentiel d’une abduction au lit.
II.2. La fabulation. Le syndrome décalqué de l’anglais de personnalité encline à la fabulation, nouvelle forme clinique découverte d’hypnose, ficelée autour de quelques cas pour les besoins d’une publication dans un périodique de pointe. Diagnostic basé sur ses réactions délirantes liées à sa certitude d’avoir été visité par un engin d’un autre monde : pourquoi moi ? Qu’y avait-il dedans ? Quelle forme de vie possible dans un engin si petit ? propos décrétés incohérents parce qu’ils refusent ce diagnostic a priori. De toutes façons, en nosologie psychiatrique, la fabulation n’est pas une hallucination et relève de la mythomanie. Qui ne naît pas pour 20 minutes.
Puis on revient longuement à la paralysie du sommeil par erreur de copier coller probable. Et toujours pas à leur place des regrets de manque d’informations : a-t-il mangé avant ou après l’épisode ? est-il allé au travail l’après-midi ? Pourquoi n’y serait-il pas allé ? Il n’a perdu que vingt minutes et n’avait d’après eux aucune raison d’avoir eu peur. Et s’il est allé le soir à la gendarmerie, c’est qu’il avait autre chose à faire avant.
II.3 Une hallucination d’origine psychiatrique. L’escalade verbeuse plafonne au délire. Diagnostic basé de façon ambiguë à la fois sur le témoignage et sur l’interprétation ovnienne qu’il en fait, décrétée discours incohérent. Ils évoquent sans le dire deux diagnostics proches mais de gravité différente. Soit une bouffée délirante unique de 20 minutes, traduite par une hallucination à scénario ovnien complexe et précis autant qu’étrange. Soit la manifestation d’une psychose chronique qui en implique d’autres fréquentes incompatibles avec une vie de chercheur. Et il faudrait chercher d’autres symptômes que la croyance aux ovnis qui est bien banale si l’on croit en avoir fait une observation.
II.4. L’hallucination neurologique : la crise d’épilepsie temporale, perte de contact avec la réalité avec hallucinations complexes en relation avec la reconnaissance des visages. Ce sont des crises gravissimes à répétitions traitées par la chirurgie. Diagnostic exclu ici. S’il en souffrait avant, pourquoi aurait-il été surpris et couru au gendarme et non au médecin, et si c’était la première crise, elle ne serait pas restée unique et la suite gravissime se saurait. "
Jacques Costagliola
Voir la totalité de l'article :http://j.costagliola.over-blog.com/article-20297318.html
Par le Dr. Jacques Costagliola
"Observation de Laxou, banlieue de Nancy, 21 octobre 1982"
"II.1. Une hallucination hypnagogique ou hypnopompique. Ce sont de bien grands mots pour un symptôme bénin et fréquent qui, comme le nom l’indique, survient au réveil ou à l’endormissement, illusions grossières visuelles ou auditives très courtes toujours autocritiquées. Rien à voir avec les états divers doctement étalés : faux souvenirs, transfert inconscient, rêves remémorisés, rêve éveillé, paralysie du sommeil. Le dernier, son nom l’indique, ne survient pas à midi dans un jardin, et à garder plutôt en diagnostic différentiel d’une abduction au lit.
II.2. La fabulation. Le syndrome décalqué de l’anglais de personnalité encline à la fabulation, nouvelle forme clinique découverte d’hypnose, ficelée autour de quelques cas pour les besoins d’une publication dans un périodique de pointe. Diagnostic basé sur ses réactions délirantes liées à sa certitude d’avoir été visité par un engin d’un autre monde : pourquoi moi ? Qu’y avait-il dedans ? Quelle forme de vie possible dans un engin si petit ? propos décrétés incohérents parce qu’ils refusent ce diagnostic a priori. De toutes façons, en nosologie psychiatrique, la fabulation n’est pas une hallucination et relève de la mythomanie. Qui ne naît pas pour 20 minutes.
Puis on revient longuement à la paralysie du sommeil par erreur de copier coller probable. Et toujours pas à leur place des regrets de manque d’informations : a-t-il mangé avant ou après l’épisode ? est-il allé au travail l’après-midi ? Pourquoi n’y serait-il pas allé ? Il n’a perdu que vingt minutes et n’avait d’après eux aucune raison d’avoir eu peur. Et s’il est allé le soir à la gendarmerie, c’est qu’il avait autre chose à faire avant.
II.3 Une hallucination d’origine psychiatrique. L’escalade verbeuse plafonne au délire. Diagnostic basé de façon ambiguë à la fois sur le témoignage et sur l’interprétation ovnienne qu’il en fait, décrétée discours incohérent. Ils évoquent sans le dire deux diagnostics proches mais de gravité différente. Soit une bouffée délirante unique de 20 minutes, traduite par une hallucination à scénario ovnien complexe et précis autant qu’étrange. Soit la manifestation d’une psychose chronique qui en implique d’autres fréquentes incompatibles avec une vie de chercheur. Et il faudrait chercher d’autres symptômes que la croyance aux ovnis qui est bien banale si l’on croit en avoir fait une observation.
II.4. L’hallucination neurologique : la crise d’épilepsie temporale, perte de contact avec la réalité avec hallucinations complexes en relation avec la reconnaissance des visages. Ce sont des crises gravissimes à répétitions traitées par la chirurgie. Diagnostic exclu ici. S’il en souffrait avant, pourquoi aurait-il été surpris et couru au gendarme et non au médecin, et si c’était la première crise, elle ne serait pas restée unique et la suite gravissime se saurait. "
Jacques Costagliola
Voir la totalité de l'article :http://j.costagliola.over-blog.com/article-20297318.html
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brunehaut
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Re: Les hallucinations
Mar 13 Avr 2010, 10:01
Très bon article, merci à toi.
Comme précisé ci dessus, à moins d'avoir absorbé ou inhalé une substance hallucinogène ( et même dans ce cas là les hallucinations d'un groupe de personnes ne peuvent être les mêmes).
Il est intolérable d'entendre que l'hallucination collective existe.
Donc tous les témoignages de personnes en groupe (a moins d'un canular) ne peuvent être des hallucinations.
Comme précisé ci dessus, à moins d'avoir absorbé ou inhalé une substance hallucinogène ( et même dans ce cas là les hallucinations d'un groupe de personnes ne peuvent être les mêmes).
Il est intolérable d'entendre que l'hallucination collective existe.
Donc tous les témoignages de personnes en groupe (a moins d'un canular) ne peuvent être des hallucinations.
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https://www.dailymotion.com/video/xbwwty_infos-sur-les-ovnis-odh-pub2_tech%20
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Re: Les hallucinations
Mar 13 Avr 2010, 12:17
Bonjour Chris, et merci!
Encore une fois, je pense que les personnes qui suggèrent l'hallucination collective se facilitent surtout la vie en ne cherchant pas plus loin que le bout de leur nez.
La paralysie du sommeil normale
La paralysie normale du sommeil est due à des mécanismes dans le tronc cérébral, en particulier les neurones réticulaires, vestibulaires, et oculomoteurs, qui empêchent les mouvements corporels, bloquent l'influx sensoriel et fournissent au prosencéphale l'activité interne qui caractérise l'activité cérébrale pendant le sommeil paradoxal.
Pendant le sommeil paradoxal, phase pendant laquelle le cerveau est particulièrement actif, l'activité des muscles est bloquée, à part les muscles de la respiration, de la circulation sanguine et des mouvements oculaires rapides. Cela empêche que l'on vive physiquement les rêves, avec des mouvements induits qui pourraient s'avérer dangereux pour soi ou les autres.
Comme les yeux ne sont pas paralysés par ce système, cette exception a été employée pour montrer que le rêve lucide était un phénomène objectivement vérifiable.
Éveil pendant la paralysie du sommeil
Le trouble connu sous le nom de « paralysie de sommeil » peut se manifester aussi bien au moment de l'endormissement (état hypnagogique) que du réveil (état hypnopompique). La personne est réveillée, mais se retrouve complètement immobilisée et ne peut même plus respirer profondément. Seules les paupières peuvent encore bouger. La paralysie du sommeil est souvent accompagnée d'hallucinations, ce qui la rend particulièrement angoissante pour la personne qui en fait l'expérience. La paralysie du sommeil dure entre quelques secondes et plusieurs minutes mais rarement plus de 10 minutes. La personne revient ensuite spontanément à son état normal.
Causes possibles
On connaît peu de choses sur la physiologie du trouble de l'éveil pendant la paralysie du sommeil. Cependant, certains suggèrent que cela pourrait être lié à l'inhibition post-synaptique de motoneurones dans la région pontique du cerveau. En particulier, de bas niveaux de mélatonine peuvent stopper le courant de dépolarisation des nerfs, ce qui empêche la stimulation des muscles.
Ce trouble est fréquemment associé à la narcolepsie. Cependant diverses études suggèrent qu'environ 25 % de la population générale l'expérimente au moins sous une forme légère une fois ou plus dans la vie1. Il a été noté que divers facteurs augmentent la probabilité de paralysie et d'hallucinations2 :
- dormir sur le dos ;
- avoir des horaires de sommeil irréguliers, siestes ;
- stress important ;
- changement de style de vie ou d'environnement ;
- certains exhausteurs de goût, contenant notamment du glutamate de sodium[réf. nécessaire] .
- la lumière ambiante [réf. nécessaire].
Hallucinations connexes
Ces hallucinations varient généralement selon l'individu, mais certaines sont plus communes à l'expérience que d'autres.
La plus courante
- Peur
Très courantes
- Sensation de « présence » (souvent maléfique)
- Sensation de pression, d'écrasement ou d'étouffement
- Sentiment de danger ou de mort imminente
Assez courantes
- Hallucinations auditives (respirations, bruits de pas, voix, grognements, bourdonnement, chants, etc.)
- Hallucinations visuelles (dont silhouettes, ombres autour du sujet)
Moins courantes
- Sensation de flottement
- Hallucinations tactiles (par exemple, contacts ou saisie par une main)
- Hallucinations agréables (par exemple, présence "protectrice")
Rares
- Sensation de chute
- Vibrations (avec parfois impression d'électrocution)
- Interaction sexuelle
Dans le folklore
Il a été établi[Qui ?] que la paralysie du sommeil joue un rôle non négligeable dans la génération des témoignages d'enlèvements par les extraterrestres ainsi que dans d'autres événements en apparence paranormaux (visions de fantômes ou de démons par exemple).
Au Japon, la conscience pendant la paralysie de sommeil est désignée sous le nom de kanashibari (littéralement : « maintenu par une étreinte de fer », de kana : métal et shibaru : lier) ; en Chine, le phénomène est connu sous le nom de gui ya chuang « fantôme qui écrase [le dormeur contre] le lit » ; au Canada (Terre-Neuve), on parle de visite de la « vieille sorcière » (Ag Rog ou Old Hag) ; les Inuits appellent le phénomène augumangia en Inupik et ukomiarik en Yupik et l'attribuent aux esprits ; au Mexique, c'est la subida del muerto (le « mort qui monte dessus ») ; en Turquie, karabasan (le « gars noir ») ; en Algérie, on désigne ce phénomène sous le nom de jedma (« cauchemar ») ou bou berrak (« celui qui se met avec tout le poids de son corps sur la personne endormie ») ; au Maroc, on le désigne sous le nom de bough'tat (« celui qui te recouvre ») car on explique parfois le phénomène par la venue du « gars noir », très lourd, ou d'une vieille femme ou encore d'un djinn écrasant de son poids la poitrine du dormeur. Aux Antilles Françaises, c'est probablement l'origine de la croyance concernant les Dorlis, chiens volants qui peuvent pénétrer la nuit dans les cases pour épier et parfois violer les jeunes femmes (encore de nos jours on trouve des ciseaux disposés sur la porte pour s'en protéger). Dans les croyances russes traditionnelles, les symptômes de la paralysie de sommeil ont été attribués à la colère du domovoï, l'esprit de la maison, punissant des personnes pour mauvais devoir conjugal ou trahison.
Pendant l'époque médiévale de l'Europe, les attaques des victimes de la paralysie de sommeil ont souvent été expliquées par la présence de démons ou de sorcellerie. Le mot « cauchemar » (ou cauque-mar) viendrait de « caucher » signifiant presser, fouler ou s'accoupler et « mara » désignant un esprit de la nuit.
C'est aussi l'origine des légendes sur les incubes et succubes même si la composante sexuelle dans les hallucinations semble assez rare.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Paralysie_du_sommeil
Encore une fois, je pense que les personnes qui suggèrent l'hallucination collective se facilitent surtout la vie en ne cherchant pas plus loin que le bout de leur nez.
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Paralysie du sommeil
Le Cauchemar, par Heinrich Füssli
La paralysie du sommeil est le terme employé à la fois pour décrire l'atonie musculaire normale qui apparaît naturellement lors du sommeil paradoxal mais aussi le trouble pendant lequel la conscience est maintenue alors que le corps se paralyse durant l'entrée dans le sommeil (paralysie hypnagogique) ou lorsqu'il reste paralysé au réveil (paralysie hypnopompique). Pour différencier la paralysie naturelle du sommeil et le trouble, on peut se référer au trouble du sommeil comme étant l'éveil pendant la paralysie du sommeil.Paralysie du sommeil
Le Cauchemar, par Heinrich Füssli
La paralysie du sommeil normale
La paralysie normale du sommeil est due à des mécanismes dans le tronc cérébral, en particulier les neurones réticulaires, vestibulaires, et oculomoteurs, qui empêchent les mouvements corporels, bloquent l'influx sensoriel et fournissent au prosencéphale l'activité interne qui caractérise l'activité cérébrale pendant le sommeil paradoxal.
Pendant le sommeil paradoxal, phase pendant laquelle le cerveau est particulièrement actif, l'activité des muscles est bloquée, à part les muscles de la respiration, de la circulation sanguine et des mouvements oculaires rapides. Cela empêche que l'on vive physiquement les rêves, avec des mouvements induits qui pourraient s'avérer dangereux pour soi ou les autres.
Comme les yeux ne sont pas paralysés par ce système, cette exception a été employée pour montrer que le rêve lucide était un phénomène objectivement vérifiable.
Éveil pendant la paralysie du sommeil
Le trouble connu sous le nom de « paralysie de sommeil » peut se manifester aussi bien au moment de l'endormissement (état hypnagogique) que du réveil (état hypnopompique). La personne est réveillée, mais se retrouve complètement immobilisée et ne peut même plus respirer profondément. Seules les paupières peuvent encore bouger. La paralysie du sommeil est souvent accompagnée d'hallucinations, ce qui la rend particulièrement angoissante pour la personne qui en fait l'expérience. La paralysie du sommeil dure entre quelques secondes et plusieurs minutes mais rarement plus de 10 minutes. La personne revient ensuite spontanément à son état normal.
Causes possibles
On connaît peu de choses sur la physiologie du trouble de l'éveil pendant la paralysie du sommeil. Cependant, certains suggèrent que cela pourrait être lié à l'inhibition post-synaptique de motoneurones dans la région pontique du cerveau. En particulier, de bas niveaux de mélatonine peuvent stopper le courant de dépolarisation des nerfs, ce qui empêche la stimulation des muscles.
Ce trouble est fréquemment associé à la narcolepsie. Cependant diverses études suggèrent qu'environ 25 % de la population générale l'expérimente au moins sous une forme légère une fois ou plus dans la vie1. Il a été noté que divers facteurs augmentent la probabilité de paralysie et d'hallucinations2 :
- dormir sur le dos ;
- avoir des horaires de sommeil irréguliers, siestes ;
- stress important ;
- changement de style de vie ou d'environnement ;
- certains exhausteurs de goût, contenant notamment du glutamate de sodium[réf. nécessaire] .
- la lumière ambiante [réf. nécessaire].
Hallucinations connexes
Ces hallucinations varient généralement selon l'individu, mais certaines sont plus communes à l'expérience que d'autres.
La plus courante
- Peur
Très courantes
- Sensation de « présence » (souvent maléfique)
- Sensation de pression, d'écrasement ou d'étouffement
- Sentiment de danger ou de mort imminente
Assez courantes
- Hallucinations auditives (respirations, bruits de pas, voix, grognements, bourdonnement, chants, etc.)
- Hallucinations visuelles (dont silhouettes, ombres autour du sujet)
Moins courantes
- Sensation de flottement
- Hallucinations tactiles (par exemple, contacts ou saisie par une main)
- Hallucinations agréables (par exemple, présence "protectrice")
Rares
- Sensation de chute
- Vibrations (avec parfois impression d'électrocution)
- Interaction sexuelle
Dans le folklore
Il a été établi[Qui ?] que la paralysie du sommeil joue un rôle non négligeable dans la génération des témoignages d'enlèvements par les extraterrestres ainsi que dans d'autres événements en apparence paranormaux (visions de fantômes ou de démons par exemple).
Au Japon, la conscience pendant la paralysie de sommeil est désignée sous le nom de kanashibari (littéralement : « maintenu par une étreinte de fer », de kana : métal et shibaru : lier) ; en Chine, le phénomène est connu sous le nom de gui ya chuang « fantôme qui écrase [le dormeur contre] le lit » ; au Canada (Terre-Neuve), on parle de visite de la « vieille sorcière » (Ag Rog ou Old Hag) ; les Inuits appellent le phénomène augumangia en Inupik et ukomiarik en Yupik et l'attribuent aux esprits ; au Mexique, c'est la subida del muerto (le « mort qui monte dessus ») ; en Turquie, karabasan (le « gars noir ») ; en Algérie, on désigne ce phénomène sous le nom de jedma (« cauchemar ») ou bou berrak (« celui qui se met avec tout le poids de son corps sur la personne endormie ») ; au Maroc, on le désigne sous le nom de bough'tat (« celui qui te recouvre ») car on explique parfois le phénomène par la venue du « gars noir », très lourd, ou d'une vieille femme ou encore d'un djinn écrasant de son poids la poitrine du dormeur. Aux Antilles Françaises, c'est probablement l'origine de la croyance concernant les Dorlis, chiens volants qui peuvent pénétrer la nuit dans les cases pour épier et parfois violer les jeunes femmes (encore de nos jours on trouve des ciseaux disposés sur la porte pour s'en protéger). Dans les croyances russes traditionnelles, les symptômes de la paralysie de sommeil ont été attribués à la colère du domovoï, l'esprit de la maison, punissant des personnes pour mauvais devoir conjugal ou trahison.
Pendant l'époque médiévale de l'Europe, les attaques des victimes de la paralysie de sommeil ont souvent été expliquées par la présence de démons ou de sorcellerie. Le mot « cauchemar » (ou cauque-mar) viendrait de « caucher » signifiant presser, fouler ou s'accoupler et « mara » désignant un esprit de la nuit.
C'est aussi l'origine des légendes sur les incubes et succubes même si la composante sexuelle dans les hallucinations semble assez rare.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Paralysie_du_sommeil
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brunehaut
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Re: Les hallucinations
Mar 13 Avr 2010, 14:33
ORIENTATION DIAGNOSTIQUE DEVANT DES HALLUCINATIONS
Sandrine MANTELET
"II.3.1. Dans un contexte physiologique :
C'est à l'occasion des phases d'endormissement ou de réveil que l'on peut rencontrer des hallucinations. On parle alors respectivement d'hallucinations hypnagogiques et hypnopompiques.
Les hallucinations hypnagogiques : surviennent chez le sujet normal, au coucher ou à l'occasion d'un endormissement en cours de journée (sieste, rêverie profonde). Les hallucinations sont visuelles ou auditives, correspondent souvent à des événements de la journée écoulée et s'accompagnent volontiers de sensations d'apesanteur, de chute libre, de flottement. Elles prennent fin avec l'endormissement ou un sursaut et ne sont pas angoissantes.
Les hallucinations hypnopompiques correspondent à l'intrusion du contenu d'un rêve au moment du réveil, avec une période de désorientation brève. "
source:http://www.esculape.com/psychiatrie/hallucinations.html
Les hallucinations hipnagogiques et hypnopompiques visuelles apparaissent dans l'environnement visible au moment ou l'on ouvre les yeux.
Ces apparitions sembles immatérielles, car l'on perçoit les éléments se trouvant derrière. Ce qui permet avec l'habitude de faire rapidement la différence entre le rêve et la réalité.
Sandrine MANTELET
"II.3.1. Dans un contexte physiologique :
C'est à l'occasion des phases d'endormissement ou de réveil que l'on peut rencontrer des hallucinations. On parle alors respectivement d'hallucinations hypnagogiques et hypnopompiques.
Les hallucinations hypnagogiques : surviennent chez le sujet normal, au coucher ou à l'occasion d'un endormissement en cours de journée (sieste, rêverie profonde). Les hallucinations sont visuelles ou auditives, correspondent souvent à des événements de la journée écoulée et s'accompagnent volontiers de sensations d'apesanteur, de chute libre, de flottement. Elles prennent fin avec l'endormissement ou un sursaut et ne sont pas angoissantes.
Les hallucinations hypnopompiques correspondent à l'intrusion du contenu d'un rêve au moment du réveil, avec une période de désorientation brève. "
source:http://www.esculape.com/psychiatrie/hallucinations.html
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Les hallucinations hipnagogiques et hypnopompiques visuelles apparaissent dans l'environnement visible au moment ou l'on ouvre les yeux.
Ces apparitions sembles immatérielles, car l'on perçoit les éléments se trouvant derrière. Ce qui permet avec l'habitude de faire rapidement la différence entre le rêve et la réalité.
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Re: Les hallucinations
Mer 14 Avr 2010, 10:53
Hallucinose alcoolique
L'hallucinose alcoolique (encore nommée hallucinose des buveurs) décrit un état hallucinatoire aigu sans trouble confusionnel, avec un automatisme mental chez la personne souffrant d'alcoolisme chronique survenant dans les 12 à 24 heures après sevrage.
Les hallucinations sont acoustico-verbales, au contenu persécutif ou vécu comme tel, sans être critiquées par le patient. Cet état s'accompagne d'anxiété et d'agressivité, et bien qu'en général il soit de courte durée, il peut parfois se prolonger, voire se chroniciser.
La première description a été donnée par Carl Wernicke.
L'hallucinose alcoolique (encore nommée hallucinose des buveurs) décrit un état hallucinatoire aigu sans trouble confusionnel, avec un automatisme mental chez la personne souffrant d'alcoolisme chronique survenant dans les 12 à 24 heures après sevrage.
Les hallucinations sont acoustico-verbales, au contenu persécutif ou vécu comme tel, sans être critiquées par le patient. Cet état s'accompagne d'anxiété et d'agressivité, et bien qu'en général il soit de courte durée, il peut parfois se prolonger, voire se chroniciser.
La première description a été donnée par Carl Wernicke.
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Re: Les hallucinations
Mer 14 Avr 2010, 20:20
coucou
Et bien ....Ouahhh, je viens d'enrichir non pas mon vocabulaire, mais la définition qui s'y rapporte....
J'ai toujours eut du mal à avaler le fait que nous soyons tous victimes "d'hallucinations Collectives"...Je ne comprenais pas le mécanisme d'un tel phénomène....Maintenant, je comprends tout à fait, puisque celle ci n'existe pas, ou est utilisée dans un contexte qui ne s'applique pas...
Merci BruneHaut pour cette explication certes longue, mais instructive :eer&:
Et bien ....Ouahhh, je viens d'enrichir non pas mon vocabulaire, mais la définition qui s'y rapporte....
J'ai toujours eut du mal à avaler le fait que nous soyons tous victimes "d'hallucinations Collectives"...Je ne comprenais pas le mécanisme d'un tel phénomène....Maintenant, je comprends tout à fait, puisque celle ci n'existe pas, ou est utilisée dans un contexte qui ne s'applique pas...
Merci BruneHaut pour cette explication certes longue, mais instructive :eer&:
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Re: Les hallucinations
Mer 14 Avr 2010, 20:56
Merci Brunehaut pour ce dossier fort intéressant. Quand les sceptiques parlent d'hallucinations quand les témoins voient des ovnis pourquoi dans ce cas n'y a t-il pas de vague d'éléphants roses
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Veuillez svp respecter le forum en postant des messages sérieux et constructifs sans SMS. Merci à l'avance et bonne lecture.
Rendez-vous sur le blog Ovni et vie extraterrestre :http://ovni-extraterrestre.com/ Poster votre témoignage: Cliquer ici Perte de mot de passe: cliquer ici
- brunehautAnalyste enquêteur
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Re: Les hallucinations
Jeu 15 Avr 2010, 15:12
Après consultation du tableau de classification des différentes hallucinations, force est de constater que le terme d"'hallucination collective" est absent.
De plus, le terme étant inexistant dans le dictionnaire WIKIPEDIA comme dans le LAROUSSE, il s'avère qu'il s'agit là d'un concept loin d'être élucidé par le corps médical psychiatrique . On en conclut donc (et ce, sans spéculer) que ce type de phénomène n'est pas officiellement reconnu !
L'hallucination collective induit forcément un connexion mentale entre plusieurs individus pour que ces derniers puissent en interpréter la même version, ce qui sous-entend une approche paranormale...
Voilà qui me fait refléchir: l'argument le plus fréquemment invoqué par le bien pensant et cartésien pseudo sceptique, afin de réfuter le témoignage concordant de plusieurs personnes quant à l'observation d'un OVNI ou PAN, est L' hallucination collective .
Les détracteurs, rieurs, moqueurs etc, brandissent donc victorieusement ce principe non reconnu scientifiquement (par conséquent paranormal).
Ce qui m'amène à conclure que les "non croyants" au PAN utilisent un élément paranormal pour détruire une thèse qui s'explique plus aisément scientifiquement!
Outre le fait que cet argument d'hallucination collective ne saurait plus être retenu, Je m'interroge sur ces personnes qui toisent, par des facilités caricaturales. Ne sont-elles révélatrice de la fainéantise de leur esprit à faire des recherches constructives.
Ces dernières ne seraient-elles pas finalement victimes de leur propre peur face aux PAN?
Maintenant veuillez trouver, Messieurs les pseudo sceptiques, autre chose...
Cordialement,
brunehaut
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Re: Les hallucinations
Ven 16 Avr 2010, 16:46
Bonjour Benjamin, bonjour à tous,
Tu n'es pas au courant ? L'hallucination d'éléphant rose est en voie de disparition! :é'é('é: Quelle tristesse...
à bientôt,
Quand les sceptiques parlent d'hallucinations quand les témoins voient des ovnis pourquoi dans ce cas n'y a t-il pas de vague d'éléphants roses
Tu n'es pas au courant ? L'hallucination d'éléphant rose est en voie de disparition! :é'é('é: Quelle tristesse...
à bientôt,
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