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(1967) La trace de Marliens
Ven 21 Sep 2007, 20:28
La trace de Marliens (1967)
Vue aérienne d'ensemble (la comparaison avec l'estafette donne une idée de la grandeur de l'empreinte) et vue aérienne de l'empreinte telle qu'elle a été découverte (avant tout dégagement ou modification)
Un jour de la 1ère semaine de mai 1967, au lieu-dit "Le Champ Terraillot", près de Marliens (Côte d'Or, près de Dijon, France), entre 550 et 800 m de la route Genlis-Longecourt, Camille Maillotte [2] [3] découvre dans un champ de trèfle appartenant à son père (Emile Maillotte, cultivateur, maire de Marliens) une trace étrange de 30 m2 environ. Aucun ovni n'a été observé.
Dans la soirée du 6 mai, après avoir déblayé des mottes de terre, on découvre d'étranges empreintes d'autant plus intriguantes qu'aucune trace de véhicule n'est visible alentour.
Vers l'est, une fissure reconnue naturelle par les géologues de l'Institut agronomique de Dijon, qui existait antérieurement aux traces, pénètre de 10 m dans un champ d'orge à proximité.
La cuvette
Vue d'ensemble de l'empreinte, présenant le trou central, les différents sillons, et les trous qui s'y trouvent [5]
Au centre, une dépression très nette de 1,30 m de diamètre, qui semble avoir subi une forte pression : la terre y est dure, tassée 1, comme déshydratée. En son milieu on relève la présence d'un trou de 40 cm de diamètre, profond de 30 cm. Il est traversé sur 85 cm selon un axe est-ouest par une empreinte cylindrique de 12 cm de diamètre et profonde de 10 cm, coudée en son centre.
Dans la cuvette, on trouve des silex brisés, des vers de terre écrasés et quelques feuilles de trèfle séchées. Des racines semblent végéter encore.
Les sillons
De la cuvette centrale partent 6 boursouflures de terrain qui, une fois ouvertes rèvelent des sillons creusés en demi-lune, aux parois dures mais moins que celles de l'empreinte centrale, dans lesquels la terre éclatée superficiellement était retombée. Autour, l'herbe, le trèfle et l'orge du champ avoisinant ne semblent pas avoir souffert du feu ou de la chaleur. Cependant toute trace d'humidité à disparu dans un rayon de 8 m. Chaque sillon est de longueur variable, d'une largeur moyenne de 12 cm et d'une profondeur moyenne de 25 cm. Leurs parois sont recouvertes d'une poudre gris-mauve.
Les trous
Schéma décrivant les trous présents dans les sillons
Dans presque chaque sillon (il y a 1 grand sillon où on en trouve 2, et 2 petits sillon qui s'en partagent 1 seul) on trouve un trou quasi-cylindrique (légèrement conique) de 12 cm de diamètre, à la profondeur variable (de 15 à 40 cm). Au fond de chacun d'entre eux partent 2 autres trous plus petits (4 cm de diamètre), inclinés à 45 °, aux profondeurs également variables (20 cm à 1 m). Chacun de ces trous s'arrête sur une pierre plate, recouverte de la même poudre gris-mauve.
Enquêtes
Un enquêteur du CSERU arrive sur les lieux. Par la suite le 10 mai, la brigade de gendarmerie de Genlis (à 5 km de Marliens) est avisée et vient faire des relevés. Arrive l'adjudant Geslain, commandant de la brigade, accompagné des gendarmes Journaux, Mercier et Guilbert. Ils ne relèvent aucune trace de véhicule ni de pas. Aucune radioactivité n'est détectée.
La poudre
L'analyse de la poudre gris-mauve, confiée au laboratoire municipal de Paris, conclut à la présence d'un oxyde réfractaire, silice ou aluminium, qui aurait subit une fusion partielle. Il semble en fait qu'il s'agisse de petits cristaux de silice, genre quartz, dont les arêtes sont arrondies, ce qui fait effectivement penser à un début de fusion (qui aurait nécessité une température minimale de 1500 °C). Une analyse par la faculté des Sciences de Dijon, par spectrographie aux rayons X, arrive aux mêmes conclusions.
Détection radar... trop tardLe 11 mai, M. Bois, ingénieur de la navigation aérienne, chef de la division D5 de la direction de la région aéronautique nord, appelle Charles Garreau pour lui demander de lui communiquer des renseignements sur les traces d'un ovni observé dans la région de Genlis, un écho non-identifié ayant été détecté par le radar militaire de Creil. Garreau en déduit que l'objet détecté est l'ovni ayant laissé la trace de Marliens, dont il date l'atterrissage au 10 mai [7]. Cette date est cependant en contradiction avec les enquêtes de Roger Mignot [8] qui rapporte la date de découverte du 5 mai, confirmée par l'enquête de la SVEPS [9] et surtout avec l'arrivée de la gendarmerie ce même 10 mai pour examiner les traces.
L'affaire commence à être traitée par la presse le 12 mai [10]. [11] Le cas est rapporté la même année dans la FSR.
Explication ?
L'ensemble des éléments amène à expliquer la trace par la foudre, d'autant qu'un orage a effectivement frappé la région le 5 mai. Mais Camille Maillotte déclare se souvenir avoir découvert la trace avant l'orage du 5 mai. On s'étonne aussi que la végétation environnante ne comporte pas de trace de brûlures, pas plus que le sol, comme le confirmera le commandant Gerlach, directeur départemental de la lutte contre l'incendie.
En 1968 le rapport Condon cite le cas [12]. En 1971 le capitaine Kervandal cite également ce cas, avec l'autre cas de trace de Valensole, comme significatif d'un problème réel et sérieux.
Il faudra utiliser un marteau pour en extraire un échantillon ↩
1Documents originaux du procès-verbal de la brigade de gendarmerie de Genlis ↩
2Phénomènes Spatiaux n° 13, p. 13 ↩
3Lagarde, F. "Traces à Marliens", Mystérieuses soucoupes volantes, pp. 75-76 ↩
4Vallée 1969, 179 ↩
5Procès-verbal de la brigade de gendarmerie de Genlis ↩
6Lamb, Daniel. "Lightning+Sand=Glass... Fact or Fiction???" ↩
7Garreau, C. Soucoupes volantes, 25 ans d'enquêtes, pp. 28 et 34 ↩
8Ouranos n° 33, pp. 3-5 ↩
9Approche n° 12, pp. 6 à 10 (documents photographiques fournis par l'enquêteur du CSERU qui a pu se trouver sur les lieux avant l'arrivée de la gendarmerie) ↩
10France Soir, 12 mai 1967 ↩
11Cercles, Jean. La Nouvelle République, 12 mai 1967 ↩
12Craig, R. "Parts of UFOs, or UFO Equipment" in "Direct Physical Evidence", Scientific Study of Unidentified Flying Objects, 1969 ↩
13Figuet, M. et Ruchon, Jean-Louis. OVNI: Le 1er dossier des rencontres rapprochées en France, Connaissance de l'étrange, Alain Lefeuvre, 1979, pp. 269-271 ↩
14achon, Patrice. Marliens, mai 1967 - Les dossiers du CNEGU, HS, 63 pp
http://rr0.org/enquete/dossier/Marliens/index.html
Vue aérienne d'ensemble (la comparaison avec l'estafette donne une idée de la grandeur de l'empreinte) et vue aérienne de l'empreinte telle qu'elle a été découverte (avant tout dégagement ou modification)
Un jour de la 1ère semaine de mai 1967, au lieu-dit "Le Champ Terraillot", près de Marliens (Côte d'Or, près de Dijon, France), entre 550 et 800 m de la route Genlis-Longecourt, Camille Maillotte [2] [3] découvre dans un champ de trèfle appartenant à son père (Emile Maillotte, cultivateur, maire de Marliens) une trace étrange de 30 m2 environ. Aucun ovni n'a été observé.
Dans la soirée du 6 mai, après avoir déblayé des mottes de terre, on découvre d'étranges empreintes d'autant plus intriguantes qu'aucune trace de véhicule n'est visible alentour.
Vers l'est, une fissure reconnue naturelle par les géologues de l'Institut agronomique de Dijon, qui existait antérieurement aux traces, pénètre de 10 m dans un champ d'orge à proximité.
La cuvette
Vue d'ensemble de l'empreinte, présenant le trou central, les différents sillons, et les trous qui s'y trouvent [5]
Au centre, une dépression très nette de 1,30 m de diamètre, qui semble avoir subi une forte pression : la terre y est dure, tassée 1, comme déshydratée. En son milieu on relève la présence d'un trou de 40 cm de diamètre, profond de 30 cm. Il est traversé sur 85 cm selon un axe est-ouest par une empreinte cylindrique de 12 cm de diamètre et profonde de 10 cm, coudée en son centre.
Dans la cuvette, on trouve des silex brisés, des vers de terre écrasés et quelques feuilles de trèfle séchées. Des racines semblent végéter encore.
Les sillons
De la cuvette centrale partent 6 boursouflures de terrain qui, une fois ouvertes rèvelent des sillons creusés en demi-lune, aux parois dures mais moins que celles de l'empreinte centrale, dans lesquels la terre éclatée superficiellement était retombée. Autour, l'herbe, le trèfle et l'orge du champ avoisinant ne semblent pas avoir souffert du feu ou de la chaleur. Cependant toute trace d'humidité à disparu dans un rayon de 8 m. Chaque sillon est de longueur variable, d'une largeur moyenne de 12 cm et d'une profondeur moyenne de 25 cm. Leurs parois sont recouvertes d'une poudre gris-mauve.
Les trous
Schéma décrivant les trous présents dans les sillons
Dans presque chaque sillon (il y a 1 grand sillon où on en trouve 2, et 2 petits sillon qui s'en partagent 1 seul) on trouve un trou quasi-cylindrique (légèrement conique) de 12 cm de diamètre, à la profondeur variable (de 15 à 40 cm). Au fond de chacun d'entre eux partent 2 autres trous plus petits (4 cm de diamètre), inclinés à 45 °, aux profondeurs également variables (20 cm à 1 m). Chacun de ces trous s'arrête sur une pierre plate, recouverte de la même poudre gris-mauve.
Enquêtes
Un enquêteur du CSERU arrive sur les lieux. Par la suite le 10 mai, la brigade de gendarmerie de Genlis (à 5 km de Marliens) est avisée et vient faire des relevés. Arrive l'adjudant Geslain, commandant de la brigade, accompagné des gendarmes Journaux, Mercier et Guilbert. Ils ne relèvent aucune trace de véhicule ni de pas. Aucune radioactivité n'est détectée.
La poudre
L'analyse de la poudre gris-mauve, confiée au laboratoire municipal de Paris, conclut à la présence d'un oxyde réfractaire, silice ou aluminium, qui aurait subit une fusion partielle. Il semble en fait qu'il s'agisse de petits cristaux de silice, genre quartz, dont les arêtes sont arrondies, ce qui fait effectivement penser à un début de fusion (qui aurait nécessité une température minimale de 1500 °C). Une analyse par la faculté des Sciences de Dijon, par spectrographie aux rayons X, arrive aux mêmes conclusions.
Détection radar... trop tardLe 11 mai, M. Bois, ingénieur de la navigation aérienne, chef de la division D5 de la direction de la région aéronautique nord, appelle Charles Garreau pour lui demander de lui communiquer des renseignements sur les traces d'un ovni observé dans la région de Genlis, un écho non-identifié ayant été détecté par le radar militaire de Creil. Garreau en déduit que l'objet détecté est l'ovni ayant laissé la trace de Marliens, dont il date l'atterrissage au 10 mai [7]. Cette date est cependant en contradiction avec les enquêtes de Roger Mignot [8] qui rapporte la date de découverte du 5 mai, confirmée par l'enquête de la SVEPS [9] et surtout avec l'arrivée de la gendarmerie ce même 10 mai pour examiner les traces.
L'affaire commence à être traitée par la presse le 12 mai [10]. [11] Le cas est rapporté la même année dans la FSR.
Explication ?
L'ensemble des éléments amène à expliquer la trace par la foudre, d'autant qu'un orage a effectivement frappé la région le 5 mai. Mais Camille Maillotte déclare se souvenir avoir découvert la trace avant l'orage du 5 mai. On s'étonne aussi que la végétation environnante ne comporte pas de trace de brûlures, pas plus que le sol, comme le confirmera le commandant Gerlach, directeur départemental de la lutte contre l'incendie.
En 1968 le rapport Condon cite le cas [12]. En 1971 le capitaine Kervandal cite également ce cas, avec l'autre cas de trace de Valensole, comme significatif d'un problème réel et sérieux.
Il faudra utiliser un marteau pour en extraire un échantillon ↩
1Documents originaux du procès-verbal de la brigade de gendarmerie de Genlis ↩
2Phénomènes Spatiaux n° 13, p. 13 ↩
3Lagarde, F. "Traces à Marliens", Mystérieuses soucoupes volantes, pp. 75-76 ↩
4Vallée 1969, 179 ↩
5Procès-verbal de la brigade de gendarmerie de Genlis ↩
6Lamb, Daniel. "Lightning+Sand=Glass... Fact or Fiction???" ↩
7Garreau, C. Soucoupes volantes, 25 ans d'enquêtes, pp. 28 et 34 ↩
8Ouranos n° 33, pp. 3-5 ↩
9Approche n° 12, pp. 6 à 10 (documents photographiques fournis par l'enquêteur du CSERU qui a pu se trouver sur les lieux avant l'arrivée de la gendarmerie) ↩
10France Soir, 12 mai 1967 ↩
11Cercles, Jean. La Nouvelle République, 12 mai 1967 ↩
12Craig, R. "Parts of UFOs, or UFO Equipment" in "Direct Physical Evidence", Scientific Study of Unidentified Flying Objects, 1969 ↩
13Figuet, M. et Ruchon, Jean-Louis. OVNI: Le 1er dossier des rencontres rapprochées en France, Connaissance de l'étrange, Alain Lefeuvre, 1979, pp. 269-271 ↩
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Re: (1967) La trace de Marliens
Mar 10 Juin 2008, 12:12
Marliens, 1967 : Le maire se souvient
Que s'est-il vraiment passé début mai 1967 sur la petite commune de Marliens dans le canton de Genlis ? Le 9 mai 1967 Emile Maillotte, maire de Marliens, découvre dans son champ de trèfles, une trace pour le moins mystérieuse : une empreinte en forme d'étoile à six antennes, d'une trentaine de mètres carrés. Dans les fissures du sol, à environ 20 centimètres de profondeurs, une poudre mauve, fine, est retrouvée et analysée. Il s'agirait de petits cristaux de silice qui auraient subi un début de fusion de 1 500 degrés.
Et pourtant, sur le champ ne figure nulle trace de feu ou d'explosion.
A l'époque, l'affaire avait provoqué un intérêt international :
« Pendant six mois, des chercheurs anglais, allemands, américains sont venus », se souvient Camille Maillotte, le fils d'Emile Maillotte, qui, comme son père, a été élu maire de la commune. « Quand les gendarmes sont venus le jour des faits, ils ont balisé le terrain, puis, lorsque l'enquête a commencé, on ne nous a rien dit. D'ailleurs on ne nous a jamais rien communiqué sur le sujet », regrette Camille Maillotte. De quoi donner encore un peu plus de crédit à cette histoire décidément bien étrange.
http://www.bienpublic.com/archives/
Que s'est-il vraiment passé début mai 1967 sur la petite commune de Marliens dans le canton de Genlis ? Le 9 mai 1967 Emile Maillotte, maire de Marliens, découvre dans son champ de trèfles, une trace pour le moins mystérieuse : une empreinte en forme d'étoile à six antennes, d'une trentaine de mètres carrés. Dans les fissures du sol, à environ 20 centimètres de profondeurs, une poudre mauve, fine, est retrouvée et analysée. Il s'agirait de petits cristaux de silice qui auraient subi un début de fusion de 1 500 degrés.
Et pourtant, sur le champ ne figure nulle trace de feu ou d'explosion.
A l'époque, l'affaire avait provoqué un intérêt international :
« Pendant six mois, des chercheurs anglais, allemands, américains sont venus », se souvient Camille Maillotte, le fils d'Emile Maillotte, qui, comme son père, a été élu maire de la commune. « Quand les gendarmes sont venus le jour des faits, ils ont balisé le terrain, puis, lorsque l'enquête a commencé, on ne nous a rien dit. D'ailleurs on ne nous a jamais rien communiqué sur le sujet », regrette Camille Maillotte. De quoi donner encore un peu plus de crédit à cette histoire décidément bien étrange.
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Re: (1967) La trace de Marliens
Mar 10 Juin 2008, 12:17
Les Martiens ont-ils débarqué à Marliens ? - 5 mai 1967, Marliens
Cela a fait 40 ans il y a quelques jours. Et pourtant Camille Maillote, 68 printemps, s’en souvient « parfaitement ». C’est le 5 mai 1967, dans un champ de trèfles longeant la départementale 25 entre Genlis et Longecourt, que ce dernier fit une découverte intrigante, une trace en forme d’étoile d’une trentaine de mètres carrés environ (cf croquis page 12). Il constate également la présence de plusieurs trous cylindriques atteignant pour certains 70 cm de profondeur et dont la paroi est recouverte d’une poudre gris-mauve. Le sol est dur, il semble avoir été tassé par quelque chose de très lourd. Il faudra y aller au marteau pour prélever un échantillon. Aucune marque de véhicule n’est visible au alentour, laissant ainsi penser que seul un appareil venu « d’en haut » ait pu laisser cette trace. En tout cas l’hypothèse du canular est vite écartée. Les enquêteurs,amateurs et véritables spécialistes, qui se bousculent sur place y perdent leur latin. Ils concluent très vite qu’aucun engin terrestre ou aérien connu n’a pu laisser ces étranges stigmates. Il ne s’agirait pas non plus d’un explosif, puisque qu’aucun débris n’est retrouvé sur les lieux. Les gendarmes de la brigade de Genlis feront bien quelques relevés sur place sans pour autant donner une explication à ce phénomène. Quant à l’analyse de la poudre retrouvée sur place, elle est confiée au laboratoire municipal de Paris. Elle conclut à « la présence d’un oxyde » réfractaire qui aurait subi une fusion partielle ». Une analyse confirmée par la faculté de sciences de Dijon. Des résultats qui pourraient laisser penser que la foudre serait à l’origine de cette trace. Et même si un orage à bien éclaté ce 5 mai 1967, Camille Maillote est formel : « la découverte a été faite avant l’orage, tout était sec ». D’ailleurs aucune marque de brulure n’a été relevée sur la végétation environnante comme c’est habituellement le cas lorsque la foudre frappe le sol.
Alors que s’est-il passé à Marliens ce 5 mai 67 ? Pour beaucoup il apparaît évident qu’un engin, quel qu’il soit, ce soit posé dans ce champ. Donnée inquiétante et qui pourrait corroborer la théorie de l’OVNI, l’écho non-identifié détecté par le radar militaire de Creil en région parisienne à plus de 400 kilomètre de là.
PHOTO : Camille Maillote devant le champ où en 1967 il découvrit l’étrange trace de Marliens.
Cela a fait 40 ans il y a quelques jours. Et pourtant Camille Maillote, 68 printemps, s’en souvient « parfaitement ». C’est le 5 mai 1967, dans un champ de trèfles longeant la départementale 25 entre Genlis et Longecourt, que ce dernier fit une découverte intrigante, une trace en forme d’étoile d’une trentaine de mètres carrés environ (cf croquis page 12). Il constate également la présence de plusieurs trous cylindriques atteignant pour certains 70 cm de profondeur et dont la paroi est recouverte d’une poudre gris-mauve. Le sol est dur, il semble avoir été tassé par quelque chose de très lourd. Il faudra y aller au marteau pour prélever un échantillon. Aucune marque de véhicule n’est visible au alentour, laissant ainsi penser que seul un appareil venu « d’en haut » ait pu laisser cette trace. En tout cas l’hypothèse du canular est vite écartée. Les enquêteurs,amateurs et véritables spécialistes, qui se bousculent sur place y perdent leur latin. Ils concluent très vite qu’aucun engin terrestre ou aérien connu n’a pu laisser ces étranges stigmates. Il ne s’agirait pas non plus d’un explosif, puisque qu’aucun débris n’est retrouvé sur les lieux. Les gendarmes de la brigade de Genlis feront bien quelques relevés sur place sans pour autant donner une explication à ce phénomène. Quant à l’analyse de la poudre retrouvée sur place, elle est confiée au laboratoire municipal de Paris. Elle conclut à « la présence d’un oxyde » réfractaire qui aurait subi une fusion partielle ». Une analyse confirmée par la faculté de sciences de Dijon. Des résultats qui pourraient laisser penser que la foudre serait à l’origine de cette trace. Et même si un orage à bien éclaté ce 5 mai 1967, Camille Maillote est formel : « la découverte a été faite avant l’orage, tout était sec ». D’ailleurs aucune marque de brulure n’a été relevée sur la végétation environnante comme c’est habituellement le cas lorsque la foudre frappe le sol.
Alors que s’est-il passé à Marliens ce 5 mai 67 ? Pour beaucoup il apparaît évident qu’un engin, quel qu’il soit, ce soit posé dans ce champ. Donnée inquiétante et qui pourrait corroborer la théorie de l’OVNI, l’écho non-identifié détecté par le radar militaire de Creil en région parisienne à plus de 400 kilomètre de là.
PHOTO : Camille Maillote devant le champ où en 1967 il découvrit l’étrange trace de Marliens.
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