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Croyances aux parasciences : dimensions sociales et culturelles
Jeu 18 Fév 2010, 17:21
Croyances aux parasciences : dimensions sociales et culturelles
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/rfsoc_0035-2969_1986_num_27_2_2302
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- Benjamin.dResponsable du forum
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Pourquoi (perdre son temps à) étudier les “parasciences”?
Ven 18 Fév 2011, 21:12
Pourquoi (perdre son temps à) étudier les “parasciences”?
Jeudi 17 février 2011
Par Pierre Lagrange
Pouquoi s’intéresser à ces astrologues, ufologues, parapsychologues, cryptozoologues et autres homéopathes qui nous gachent la Raison et la Science?
Je voudrai montrer que ces sujets sont particulièrement intéressants pour les sciences sociales parce qu’ils obligent à réviser nos explications sociales.
Remontons au début: les sciences sociales se sont assez largement constituées autour de l’idée d’étudier les Autres et leurs (étranges) façons de penser: magie, croyances diverses etc. Il s’agissait de comprendre pourquoi ils n’avaient pas réussi comme nous leur passage à la rationalité, à la science, et comment on pouvait comprendre ce partage entre rationalité et irrationnel, entre magie et science, et croyance et savoir. Et d’expliquer cette pensée magique.
Et puis, certains sociologues se sont rendus compte qu’au sein de nos sociétés, il y avait aussi, encore, des gens pour croire à tout un tas de choses étranges: ovnis, psi, yéti, monstres de lac, influence des planètes, etc.
Jusqu’ici pas de soucis: les sciences sociales pouvaient rendre compte de ces croyances contemporaines de la même façon qu’elle avait rendu compte des croyances des autres. Pourtant, deux problèmes sont apparus qui méritent qu’on s’y arrête.
Le premier, c’est la naissance de la sociologie des sciences, cette idée que la sociologie peut se pencher sur les faits scientifiques comme elle s’est penchée sur les ethno-ceci ou ethno-cela. Rien de ce qui est humain ne devrait demeurer étranger à l’anthropologie, se sont dits les sociologues des sciences. Mais l’idée d’étendre la sociologie aux sciences – et aux faits scientifiques – avait une conséquence: comme on ne peut pas réduire les faits scientifiques aux contextes sociaux qui ont vu leur naissance (le contexte de l’Italie du 17e siècle n’expliquera jamais le contenu des découvertes de Galilée), on ne pouvait plus en retour traiter les faits sociaux “classiques” comme de simples croyances. On ne pouvait plus expliquer ces faits par opposition aux “vrais” faits scientifiques. Il fallait rétablir une certaine symétrie entre les différentes explications des phénomènes sociaux. Cela n’impliquait pas de tomber dans le relativisme, mais de se servir de la posture relativiste pour élaborer des modèles explicatifs des différents discours/pratiques/savoirs etc. Dans un tel cadre, les parasciences représentent un véritable enjeu. Il est en effet facile – enfin relativement facile – de rendre compte des croyances anciennes ou lointaines, cela ne mange pas de pain, elles sont nées dans des contextes différents du nôtre loin de nos sciences. Mais il est autrement plus difficile de rendre compte des parasciences à cause de leur rapport étroit au savoir scientifique. Tant que la sociologie ne touchait pas aux sciences, on pouvait expliquer les croyances parascientifiques, mais dès que la sociologie rend compte aussi des sciences, il faut revoir les explications des parasciences puisque les sciences ne sont plus d’aucun secours pour expliquer (ou pour dire les choses clairement: réduire) les parasciences. Donc ces parasciences occupent une position stratégique sur la route des explications sociales. Elles obligent à parler autrement des sciences, et donc des parasciences.
Ce n’est pas tout: lorsqu’on se penche sur les bibliographies des travaux sociologiques sur les croyances contemporaines, on découvre avec surprise que les sociologues se sont surtout intéressés aux formes de croyance les plus “caricaturales”: sectes, satanisme etc. Bref, tout ce qui se présente d’emblée comme une “croyance” typique, comme un “objet d’étude sociologique”. Ainsi, on trouve de très nombreux articles et livres sur les personnes se déclarant en contact avec les grands frères de l’espace et quasi rien sur les ufologues aux prises avec les sceptiques à propos des preuves de l’existence des ovnis. Pourquoi cette absence d’étude sur les débats autour des preuves? Parce que la sociologie a été habituée à laisser de côté tout ce qui touche aux sciences.
On me répondra bien sûr que les études consacrées à ces croyances contemporaines font preuve de mesure et de relativisme, comme les explications des ethnologues à propos des ethno-savoirs. On ne peut donc les mettre en cause. Pourtant, leur relativisme serait bien plus convaincant, et mis à l’épreuve, s’il s’exerçait sur des “croyances” au contact direct des sciences, en prise directe avec les questions de preuve, de démonstration, etc. Je n’ai jamais vu un scientifique contester les croyances que les sociologues étudient, elles leur paraissent tellement ridicules qu’ils ne prendront jamais la peine de les discuter. Par contre, ils n’ont pas de mots assez durs pour dénoncer l’astrologie et les ovnis. Où sont les nombreuses études sociologiques que l’on devrait alors voir sur ces débats autour de l’influence des planètes et des visites d’extraterrestres?
Lorsqu’on rapproche les réticences des sociologues à étudier les sciences et leur volonté d’étudier les formes les plus étranges de croyances occidentales, les raisons de cette absence s’éclairent: ils ne veulent pas se pencher sur les sujets qui les obligerait à marier sociologie “classique” des croyances et sociologie des sciences; car alors la contradiction flagrante entre les deux sauterait aux yeux. Et par conséquent, l’importance de ces “parasciences” devient évidente: c’est la tâche aveugle de la sociologie. Tant qu’on ne parviendra pas à traiter ces sujets, on aura d’un côté les explications classiques réservées aux “croyances” et de l’autre les explications des sciences, mais ces deux registres d’explication n’auront rien de commun. Pour élaborer des registres d’explications capables d’aborder les sciences comme les autres objets sociaux, il faut se pencher sur des situations qui obligent à garder constamment en vue les sciences et les phénomènes sociaux “classiques”. Quels objets occupent cette position double, en lien à la fois avec ce qui ressemble aux croyances auxuqlles les sociologues sont habitués et avec les sciences pour lesquelles ils doivent inventer de nouvelles analyses? Les ovnis, les phénomènes paranormaux, tous ces objets qui ne cessent de réclamer l’attention des scientifiques et qui suscitent des débats interminables sur la preuve scientifique.
Il y a bien sûr d’autres objets qui se trouvent sur cette frontière entre sciences et monde social: certaines maladies, le changement climatique, le nucléaire etc. Il existe, depuis les lanceurs d’alerte, toute une gamme de phénomènes sociaux qui remetent en question les ressorts habituels de l’expertise scientifique. Le sociologue est obligé ici aussi d’élaborer des outils nouveaux et des explications capables de rendre compte à la fois des sciences et de ces discours/pratiques plus “politiques” dirons-nous. Mais ces objets me semblent un peu moins intéressants que les parasciences car ils sont moins marginaux. Ils ont acqui des porte parole, du pouvoir etc. Et donc les sociologues qui les traitent sont moins enclins à jouer de la croyance pour les expliquer. Souvent même, chez les sociologues qui étudient ces nouveaux phénomènes, on constate une asymétrie pure et simple: les scientifiques qui les contestent sont traités comme des croyants. Allègre qui conteste le changement climatique se voit traité comme les astrologues qu’il fustige. La sociologie peut donc rendre compte de ces “nouveaux riches” de la sociologie sans rien changer à ses explications.
A bientôt pour une nouvelle chronique.
http://www.knowtex.com/nav/pourquoi-perdre-son-temps-a-etudier-les-parasciences_19360
Jeudi 17 février 2011
Par Pierre Lagrange
Pouquoi s’intéresser à ces astrologues, ufologues, parapsychologues, cryptozoologues et autres homéopathes qui nous gachent la Raison et la Science?
Je voudrai montrer que ces sujets sont particulièrement intéressants pour les sciences sociales parce qu’ils obligent à réviser nos explications sociales.
Remontons au début: les sciences sociales se sont assez largement constituées autour de l’idée d’étudier les Autres et leurs (étranges) façons de penser: magie, croyances diverses etc. Il s’agissait de comprendre pourquoi ils n’avaient pas réussi comme nous leur passage à la rationalité, à la science, et comment on pouvait comprendre ce partage entre rationalité et irrationnel, entre magie et science, et croyance et savoir. Et d’expliquer cette pensée magique.
Et puis, certains sociologues se sont rendus compte qu’au sein de nos sociétés, il y avait aussi, encore, des gens pour croire à tout un tas de choses étranges: ovnis, psi, yéti, monstres de lac, influence des planètes, etc.
Jusqu’ici pas de soucis: les sciences sociales pouvaient rendre compte de ces croyances contemporaines de la même façon qu’elle avait rendu compte des croyances des autres. Pourtant, deux problèmes sont apparus qui méritent qu’on s’y arrête.
Le premier, c’est la naissance de la sociologie des sciences, cette idée que la sociologie peut se pencher sur les faits scientifiques comme elle s’est penchée sur les ethno-ceci ou ethno-cela. Rien de ce qui est humain ne devrait demeurer étranger à l’anthropologie, se sont dits les sociologues des sciences. Mais l’idée d’étendre la sociologie aux sciences – et aux faits scientifiques – avait une conséquence: comme on ne peut pas réduire les faits scientifiques aux contextes sociaux qui ont vu leur naissance (le contexte de l’Italie du 17e siècle n’expliquera jamais le contenu des découvertes de Galilée), on ne pouvait plus en retour traiter les faits sociaux “classiques” comme de simples croyances. On ne pouvait plus expliquer ces faits par opposition aux “vrais” faits scientifiques. Il fallait rétablir une certaine symétrie entre les différentes explications des phénomènes sociaux. Cela n’impliquait pas de tomber dans le relativisme, mais de se servir de la posture relativiste pour élaborer des modèles explicatifs des différents discours/pratiques/savoirs etc. Dans un tel cadre, les parasciences représentent un véritable enjeu. Il est en effet facile – enfin relativement facile – de rendre compte des croyances anciennes ou lointaines, cela ne mange pas de pain, elles sont nées dans des contextes différents du nôtre loin de nos sciences. Mais il est autrement plus difficile de rendre compte des parasciences à cause de leur rapport étroit au savoir scientifique. Tant que la sociologie ne touchait pas aux sciences, on pouvait expliquer les croyances parascientifiques, mais dès que la sociologie rend compte aussi des sciences, il faut revoir les explications des parasciences puisque les sciences ne sont plus d’aucun secours pour expliquer (ou pour dire les choses clairement: réduire) les parasciences. Donc ces parasciences occupent une position stratégique sur la route des explications sociales. Elles obligent à parler autrement des sciences, et donc des parasciences.
Ce n’est pas tout: lorsqu’on se penche sur les bibliographies des travaux sociologiques sur les croyances contemporaines, on découvre avec surprise que les sociologues se sont surtout intéressés aux formes de croyance les plus “caricaturales”: sectes, satanisme etc. Bref, tout ce qui se présente d’emblée comme une “croyance” typique, comme un “objet d’étude sociologique”. Ainsi, on trouve de très nombreux articles et livres sur les personnes se déclarant en contact avec les grands frères de l’espace et quasi rien sur les ufologues aux prises avec les sceptiques à propos des preuves de l’existence des ovnis. Pourquoi cette absence d’étude sur les débats autour des preuves? Parce que la sociologie a été habituée à laisser de côté tout ce qui touche aux sciences.
On me répondra bien sûr que les études consacrées à ces croyances contemporaines font preuve de mesure et de relativisme, comme les explications des ethnologues à propos des ethno-savoirs. On ne peut donc les mettre en cause. Pourtant, leur relativisme serait bien plus convaincant, et mis à l’épreuve, s’il s’exerçait sur des “croyances” au contact direct des sciences, en prise directe avec les questions de preuve, de démonstration, etc. Je n’ai jamais vu un scientifique contester les croyances que les sociologues étudient, elles leur paraissent tellement ridicules qu’ils ne prendront jamais la peine de les discuter. Par contre, ils n’ont pas de mots assez durs pour dénoncer l’astrologie et les ovnis. Où sont les nombreuses études sociologiques que l’on devrait alors voir sur ces débats autour de l’influence des planètes et des visites d’extraterrestres?
Lorsqu’on rapproche les réticences des sociologues à étudier les sciences et leur volonté d’étudier les formes les plus étranges de croyances occidentales, les raisons de cette absence s’éclairent: ils ne veulent pas se pencher sur les sujets qui les obligerait à marier sociologie “classique” des croyances et sociologie des sciences; car alors la contradiction flagrante entre les deux sauterait aux yeux. Et par conséquent, l’importance de ces “parasciences” devient évidente: c’est la tâche aveugle de la sociologie. Tant qu’on ne parviendra pas à traiter ces sujets, on aura d’un côté les explications classiques réservées aux “croyances” et de l’autre les explications des sciences, mais ces deux registres d’explication n’auront rien de commun. Pour élaborer des registres d’explications capables d’aborder les sciences comme les autres objets sociaux, il faut se pencher sur des situations qui obligent à garder constamment en vue les sciences et les phénomènes sociaux “classiques”. Quels objets occupent cette position double, en lien à la fois avec ce qui ressemble aux croyances auxuqlles les sociologues sont habitués et avec les sciences pour lesquelles ils doivent inventer de nouvelles analyses? Les ovnis, les phénomènes paranormaux, tous ces objets qui ne cessent de réclamer l’attention des scientifiques et qui suscitent des débats interminables sur la preuve scientifique.
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Re: Pourquoi (perdre son temps à) étudier les “parasciences”?
Mer 02 Mar 2011, 14:19
Bonjour,je suis un peu H.S mais ,je pense que çà vaut le coup.J'ai acheté ce matin,sans conviction,le "science et inexpliqué"n°20 de Nicolas Montigliani et là,entre la lettre d'aveux de Jose Luis Jordan Pena sur UMMO(réglé) et un ,"si c'était vrai?" sur Roswell(toujours pas réglé),qu'est que j'vois?
Deux pages et demie(p48à50) du vrai nom du petit chasseur mytho(logique) qui a été,en personne,relancer,d'homme à homme(?),Renato Nicolai de Trans-en-Provence,pour,enfin,face à face,lui dire de tout balancer genre "J'ai appuyé dans ce sens:que pour une blague,s'en était une belle et que cela ne constituait pas un délit.Il a rigolé et MAINTENU QUE NON..."
Voilà des gens qui ont dézingué depuis 30ANS un atterrissage étudié par le seul organisme d'état qui a fait UN RAPPORT sur un "évènement de grand ampleur".Des gens qui ont cherché tous les subterfuges possibles et imaginables(Bétonnière,camion,forage,etc...) pour réduire ce fameux cas( presque l'archétype du cas béton voulu par Hynek).Des gens qui ont pris le témoin pour un alcoolique parce qu'il avait une cave à vin et,à cours de psychosocio,traité le témoin de menteur.Et,à la fin,ils envoient leur "meilleur" recrue pour,sous prétexte de blaguer "virilement"(allez vous pouvez le dire maintenant!) mettre un point final...et ...peste,le témoin rigolard dit toujours la mème chose:il a bien vu un "truc"!!!
Alors voilà,les super rationalistes qui ont tout sous équations n'ont plus que çà:
Peut-etre,qu'avec le temps il lui est impossible de revenir en arrière!!!
C'est TOUT! c'est aussi fort que les pélicans,les hélicos à l'envers(Valensole),les hélicos avec des plongeurs qui font pipi(Cussac),les chouettes trempées dans les champignons phosphorescents et tout le reste!
BRAVO,mille fois BRAVO,çà m'a égayé mon mercredi matin!
Cordialement.
Deux pages et demie(p48à50) du vrai nom du petit chasseur mytho(logique) qui a été,en personne,relancer,d'homme à homme(?),Renato Nicolai de Trans-en-Provence,pour,enfin,face à face,lui dire de tout balancer genre "J'ai appuyé dans ce sens:que pour une blague,s'en était une belle et que cela ne constituait pas un délit.Il a rigolé et MAINTENU QUE NON..."
Voilà des gens qui ont dézingué depuis 30ANS un atterrissage étudié par le seul organisme d'état qui a fait UN RAPPORT sur un "évènement de grand ampleur".Des gens qui ont cherché tous les subterfuges possibles et imaginables(Bétonnière,camion,forage,etc...) pour réduire ce fameux cas( presque l'archétype du cas béton voulu par Hynek).Des gens qui ont pris le témoin pour un alcoolique parce qu'il avait une cave à vin et,à cours de psychosocio,traité le témoin de menteur.Et,à la fin,ils envoient leur "meilleur" recrue pour,sous prétexte de blaguer "virilement"(allez vous pouvez le dire maintenant!) mettre un point final...et ...peste,le témoin rigolard dit toujours la mème chose:il a bien vu un "truc"!!!
Alors voilà,les super rationalistes qui ont tout sous équations n'ont plus que çà:
Peut-etre,qu'avec le temps il lui est impossible de revenir en arrière!!!
C'est TOUT! c'est aussi fort que les pélicans,les hélicos à l'envers(Valensole),les hélicos avec des plongeurs qui font pipi(Cussac),les chouettes trempées dans les champignons phosphorescents et tout le reste!
BRAVO,mille fois BRAVO,çà m'a égayé mon mercredi matin!
Cordialement.
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