- Benjamin.dResponsable du forum
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La mode des contactés dans les années 50
La mode des contactés dans les années 50
Le terme de "contacté" implique chez un témoin d'ovni une interaction soutenue avec ses occupants supposés, dont le message implique généralement un développement de type religieux ou sectaire basé sur l'inter-médiation du contacté.
Le contacté dispose dans son témoignage d'une position particulièrement privilégiée. Il justifie généralement le fait qu'il ait été choisi par ses visiteurs (pour les accompagner sur d'autres planètes, recevoir des informations fondamentales) par 2 types de raisons :
1) sa nature exceptionnelle : sa sagesse, son ouverture d'esprit, ou plus souvent son origine ou son hydridation extraterrestre (généralement insoupçonnée) ont fait de lui le seul ou le meilleur candidat pour le contact qu'il décrit.
2) sa mission : chargé de la diffuser d'un message important, à l'image d'un prophète ou d'un messie. Le message peut traiter de l'imminence d'un danger issu de l'actualité du moment (la prolifération nucléaire, le passage d'un astéroïde près de la Terre) ou invérifiable (l'attaque d'une flotte extraterrestre) si les hommes ne suivent pas une ligne de conduite donnée. Le fait qu'un tel avertissement, lorsqu'il s'aventure à être vérifiable (fin du monde, cataclysme, etc.) se révèle invalide (la fin du monde n'est pas arrivée, le cataclysme non plus, etc.) aboutit généralement à des réflexes de dissonance cognitive, où des justifications ad hoc permettent de s'accommoder de la réalité (les extraterrestres ont finalement décidé de ne pas nous détruire, de dévier l'astéroïde menaçant, etc).
Ces histoires de contact sont à la frange de la psychologie et n'entre pas dans l'étude officielle du phénomène Ovni. On peut les appréhender, je pense, par l'analyse psychologique et la psychanalyse. Cens gens ont profité des nombreuses observations de l'époque et donc du climat favorable pour se greffer aux vrais témoins.
A partir de la fin des années 1960s apparaissent une variante des contactés : les enlevés.
Attention les pseudos contactés dont il est question dans cet article sont pratiquement tous des menteurs et des auteurs de canulars. Certains ont ajouté des éléments loufoques à leurs récits qui n'était pas si extraordinaire à la base, d'autres parlent des habitants de Venus alors que nous savons aujourd'hui que cela est impossible. Et quand bien même il subsisterait une certaine part de vérité, il est inutile, voir dangereux de le prendre en compte dans l'étude du phénomène ovni. Ne mélangeons surtout pas ces histoires inventées par des esprits dérangés avec les observations sérieuses et les cas avérés.
Howard Menger
Howard Menger naît en 1922. En 1930 sa famille de Menger s'installe dans la campagne de High Bridge (New Jersey).
Un jour de 1932, âgé de 10 ans, Menger se trouve à un endroit des bois où il se rend souvent, quand tout à coup : Je vis quelque chose encore plus beau que les environs... assise sur un rocher près du ruisseau, se trouvait la femme la plus exquise que mes jeunes yeux avaient jamais contemplés !
Howard parlera de cette femme comme La fille sur le rocher, décrivant son apparence et ses habits, et déclarant : un émerveillement débordant me figea sur place et que le sentiment qu'il avait d'elle était une incroyable vague de chaleur, d'amour et d'attraction physique qui émanait d'elle vers moi.
Elle dit qu'elle savait d'où je venais et quels étaient mes buts sur Terre. La femme dit à Menger qu'elle a fait un long trajet pour venir le voir, et il comprend qu'elle ne vient pas de la Terre.
Lors de la 2nde guerre mondiale, Menger est affecté à Hawaii. Là il rencontre une belle femme brune, qui a le même effet sur lui. Elle sent cette attraction et alors que Howard en est gêné, elle lui dit ne ne pas s'en faire, que c'est naturel et qu'elle est aussi attirée par lui. Lorsque Menger revient chez lui dans le New Jersey en 1946, il revoit une fois encore cette fille blonde vénusienne, mais cette fois elle sort d'une soucoupe volante, portant un vêtement bleu-gris semblable à une combinaison de ski, qui lui adhère de près. Il lui demande s'il la reverra un jour. Elle répond que non, mais lui indique que sa mission était d'aider le peuple de l'espace dans leurs efforts bénévoles pour sauver la race humaine d'elle même, et lui donne un baiser sur la joue. Elle ajoute qu'il pourrait rencontrer sa soeur, une vénusienne alors en incarnation humaine. Elle travaillerait avec lui et serait avec lui pour le restant de sa vie. On lui dit qu'il la reconnaîtra au moment où il la verra.
Voyages sur la Lune (1956)
Connie et Howard Menger
En 1956, Menger est peintre de panneaux. La seconde semaine d'Août, il fait sur son 1er voyage sur la Lune, avec ses amis de l'espace. A cette occasion, le peuple de l'espace lui montrent une vue de la surface de la Lune avant qu'ils décollent de la Terre : il voit des constructions en forme de dôme et un appareil effectuant un atterrissage près de l'une d'entre elles. L'appareil où se trouve Menger s'envole alors dans l'espace. La fois suivante où il voit la Lune sur l'écran de visualisation, ils s'approchent apparemment très rapidement. La Lune apparaît maintenant beaucoup plus grande, emplissant l'écran. Menger apperçoit une fois la Terre à distance luisant de bleu-blanc avec des teintes de rouge, flottant comme une balle de tennis dans une piscine d'encre noire. Il prend 5 photographies de la Lune et de la Terre, dont 3 se développeront, avant que l'appareil parte rapidement de la Terre. Le voyage aura duré 2 h.
En Septembre, Menger fait son 2nd voyage sur la Lune, qui dure apparemment plusieurs jours. Cette fois, alors que l'appareil approche de la Lune, il peut voir une énorme construction en forme de dôme, d'environ 150 pieds de diamètre et peut-être 50 pieds de haut. Il y a des lumières colorées clignotant sous le dôme, qui repose sur une base ou piedestal d'un matériau blanc solide. Menger prend conscience de la beauté simple de la structure adorable, iridescente, semblable à une perle de cette grand construction en dôme.
Ils glissent alors à travers une route plate couleur cuivre vers une énorme ouverture à la base de la structure. L'appareil se trouve alors à l'intérieur du grand bâtiment dômé perléscent - peut-être un des nombreux bâtiments semblables qui constituent (ou ont constitué) une base lunaire maintenue par le peuple de l'espace.
Révélations (1956)
Cette année 1956, il rend public ses histoires de contacts depuis 1932. Les adeptes de Menger se rassemblent à sa ferme près de High Bridge. Un jour que George Van Tassel, un contacté californien, y faisait une conférence, Menger remarque une jeune femme mince et attirante et sait tout de suite que c'est elle. A sa vue, sa mémoire reçoit un choc et il se souvient de ses vies passées, et sait qu'elle est la soeur de son visiteur d'origine, et voit qu'ils ont été amoureux depuis longtemps, lorsqu'il était un instructeur spirituel saturnien nommé Sol da Naro et elle une beauté vénusienne. La jeune femme est Connie Weber, veuve depuis peu, et bien que Menger soit marrié et ait des enfants, ils commencent une relation amoureuse dont Weber racontera l'histoire en tant que Marla Baxter dans Mon amour saturnien (1958).
Auteur de :
From Outer Space to You (Clarksberg, West Virginia:Saucerian Press 1959)
The High Bridge Incident avec Connie Menger (1991)
http://rr0.org/personne/contacte/MengerHoward/index.html
Pierre Monet
Par une belle nuit de Juillet 1951, alors qu'il roule à bicyclette, Monnet, 19 ans, se sent téléporté :
Le temps, soudain s'était arrêté. Sans m'en apercevoir, je venais d'être transporté 5 km plus loin, dans une vaste carrière.
Il se retrouve devant un ovni qui flotte à 50 cm au-dessus du sol :
Devant moi, un engin lumineux de 3 m de hauteur et 25 m de diamètre, irradiait, par pulsations lentes, une lueur blanc-argent-bleuté...
Pendant 20 mn, 4 êtres en combinaison métallique lui délivrent par télépathie un discours dont il évalue la durée à plus d'un an s'il fallait l'articuler de façon humaine :
Tout devint silencieux. 4 êtres, en combinaisons métalliques, me regardaient avec bonté. Ils étaient grands, blonds et très beaux.
Et j'entendis en moi les mots suivants : "Tu vas entrer dans notre vaisseau. Nous pratiquerons sur toi, une opération qui te permettra de vivre beaucoup plus longtemps que les autres hommes. La Terre est en danger de mort. Écoute et répète à tes frères ce que nous allons te dire..."
Quand il repart, toujours sur son vélo, Monnet s'aperçoit que le temps s'est contracté. Il sera de fait le 1er enlevé français.
A partir de 1974, il dit rester en contact télépathique avec ses "ravisseurs". En Juin, un samedi matin, vers 10 h, à la station-service située en pleine ville, Monnet aurait vu 2 êtres semblables à ceux de 1951, faisant le plein d’une Renault 16 neuve, reluisante, gris métallisé, immatriculée en WW [Monnet 1978, pp. 85-89].
A l'image de ses homologues américains qui, dans les années 1950s (on se souvient de George Adamski), recevaient de bienveillants "Frères de l'Espace" tout un enseignement basé sur l'amour, Monnet entretient les meilleurs rapports avec les êtres cosmiques (beaux et blonds) qu'il dit avoir rencontrés. Comme tous les "contactés", il se sent investi d'une mission : stopper la chute de notre civilisation en folie et faire entrer la Terre dans la confédération interplanétaire universelle.
"Un cas d'école en socio-psychologie"
J'ai connu Pierre Monnet en 1975, avant qu'il n'édite son livre "les extraterrestres m'ont dit". A l'époque il était président de l'association le GREPO, Groupement de recherche et d'étude du phénomène ovni. En dehors de Roger Lorthioir, l'ayant rencontré un peu avant, j'ai été le premier enquêteur à tenter de comprendre son histoire, en enquêtant sur son récit durant 3 ans. Durant cette période je l'ai côtoyé toutes les semaines, le suivant dans ces activités associatives, amicales et familiales. Son histoire était récitée sans faille, il revenait toujours sur les mêmes précisions. J'ai publié en 1977 un rapport "le cas Monnet", avec l'aide de l'un de mes amis René F. (qui se reconnaîtra), militaire d'active à l'époque dans l'armée de l'air. Plus tard j'ai synthétisé cette enquête dans l'ouvrage collectif "Ovni le mystère subsiste", aux éditions des Confins. J'aborde le cas sous l'angle de la socio-psychologie. Son récit constitue pour moi un formidable témoignage des années 50, dans la période des récits des contactés américains du type de ceux de George Adamski. Bien entendu il n'y a aucune preuve de son récit. Je dirai qu'il s'agit d'une histoire où une part de la vie du témoin se mêle aux récits de science-fiction de l'époque.
Je suis retourné sur les lieux de sa rencontre du IV éme type, avec lui en 1976. Les lieux avaient changé, mais on reconnaissait la topographie. Pierre Monnet décrivait sur place les faits comme s'ils s'étaient passé la veille. Éléments troublants, que je n'ai jamais révélé, c'est qu'un témoin, quelques années plus tard, à quelques kms de là, a vu le même objet ! Il ne connaissait pas Pierre Monnet ! Ces histoires de contact sont à la frange de la psychologie et n'entre pas dans l'étude officielle du phénomène. On peut les appréhender, je pense, par l'analyse psychologique et la psychanalyse. Ces récits sont riches en symboles et Carle Gustav Jung y avait détecté les fondements des archétypes (On peut définir un archétype comme un point de vue analogique sur une réalité sensible, susceptible d'intégrer la totalité des points de vue qu'on peut en avoir)
Auteur de :
Les Extra-Terrestres m'ont dit... (Alain Lefeuvre 1978)
Contacts d'Outre-Espace (Amrita, Mai 1994).
http://rr0.org/personne/contacte/MonnetPierre/index.html
Harold Trudel
Trudel prétend être en contact mental avec le peuple de l'espace qui lui envoie des messages indiquant l'endroit où ils vont apparaître.
Ces photos sont des canulars
1er témoignage (1966)
Une des 6 photographies prises par Trudel le 9 novembre 1966
Le 9 novembre 1966 à 23 h, Trudel est assis dans sa voiture sur Elder Ballou Meetinghouse Road et scrute les cieux à la recherche de l'objet lumineux étrange qu'il a vu plusieurs fois de jour comme dans l'obscurité. Soudain il repère une lueur jaune-or montant de derrière l'horizon. La lumière ou l'objet lumineux se déplace très lentement à travers le ciel. Il prend 6 clichés avant qu'il ne disparaisse Cas n° 27, Projet Blue Book/FBI/USAF.
2ème témoignage (1967) Une des photographies de Trudel le 10 juin 1967 à Woonsocket est
Le samedi 10 juin 1967 à 12 h, alors qu'il roule en voiture à Woonsocket est (Rhode Island), Trudel repère un objet volant metallique argenté brillant en déplacement pendulaire. Il arrête sa voiture, saisit son appareil photo, et prend 7 clichés de la soucoupe (ci-contre) avant que celui-ci ne disparaisse. Timothy Green Beckley, Flying Saucers, décembre 1970, p. 26.
3ème témoignage (1967)
Photographie de Trudel le 16 juin 1967 à Woonsocket est
Le vendredi 16 juin, de retour à Woonsocket est pour chercher des éléments pouvant accréditer son observation, Trudel photographie un autre objet (ci-contre). "Best UFO Photographs-1967-Woonsocket, Rhode Island", About
4ème témoignage (1968)
En septembre 1968, Trudel fournit cette fois le film d'un ovni flottant et rebondissant. Un traitement informatisé aurait conclut qu'il s'agissait d'un faux.
http://rr0.org/personne/contacte/TrudelHarold/index.html
Buck Nelson (1894-1982)
Nelson
Nelson en 1894. Il vit sur une ferme de 80 acres dans les montagnes Ozark du Missouri.
1ère rencontre
Le 30 juillet 1954, Nelson est chez lui quand sa radio commence à devenir folle. Son chien dehors aboie et Nelson court dehors pour voir ce qui se passe. Dans le ciel il voit un gros disque en survol avec 2 autres. Nelson revient chez lui, attrape son appareil photo et prend 3 clichés.
C'était une journée plutôt belle. Et j'ai pu sortir dehors. J'ai vu ces choses au-dessus de ma maison. Je les appelais des "choses" à l'époque ; je ne savais pas ce qu'elles étaient. Mais elles avaient tout simplement l'air de ce qu'on en disait... des soucoupes volantes.
Les soucoupes au nord de la porte de ma cuisine. Le projet Blue Book concluera à une double exposition.
Les photos faites, Nelson fait des signaux avec une lampe-torche pour les faire descendre et atterrir. Pour toute réponse, les objets tirent sur lui une sorte de rayon. C'était bien plus brillant et chaud que le Soleil, écrira-t-il. Le rayon assomme Nelson derrière un tonneau et il ne se réveille pas avant que les "choses" soient parties.
A sa stupéfaction, il découvre ne sentir aucune douleur et ne plus avoir besoin de ses lunettes pour lire. Plus tard il découvre être guéri d'un lumbago à son dos.
Lorsque la pellicule est développée, seule 1 photo montre 2 des "choses" qualifiées de disques par Nelson.
2ème rencontre
La "chose" - Environ 50 pieds de large et plus de 8 pieds de haut
Presque 1 an plus tard, vers minuit, la "chose" atterrit et 3 hommes et un chien de 365 livres arrivent à la maison de Nelson. L'un d'eux est Bucky, un américain de 19 ans avec un accent scandinave, prétendumment cousin éloigné de Nelson. Les 2 autres sont Bob Solomon, un extraterrstre semblant du même âge que Bucky mais vieux de 200 ans, et un autre extraterrestre sans nom, vieux et frippé, ainsi que le chien appelé BO.
Ils passent près de 1 h à comparer leur habitat à celui de Nelson. Ils s'intéressent à sa radio, en particulier la batterie au sommet. Lorsque Buck explique qu'elle sert à alimenter la radio, ils agitent leur mains au-dessus de leur tête et disent : Quoi, avec toute cette puissance au-dessus, vous utilisez çà ? Ils disent brancher leurs éclairages et appareils sur leur radio pour les alimenter.
Plus tard Nelson découvrira que les gens de l'espace n'utilisent que l'énergie solaire et les lignes d'énergie entre le Soleil et les planètes, semblables aux lignes entre un aimant et un morceau de métal qui seraient fixés à distance.
Juste avant son voyage pour Mars, la Lune et Vénus, Nelson est autorisé à écrire les 12 Lois de Dieu à l'extérieur du vaisseau spatial, avec les étoiles pour témoins. Après que Nelson ait terminé, ils demandent si cela signifie quelque chose pour lui d'écrire les Lois de Dieux, dehors sous les étoiles. Il répond que peut-être que c'est peut-être proche de la nature, et ils demandent et Dieu ? Nelson répond Oui.
Les 12 Lois de Dieu sont semblables au "10 commandements" bien connus.
Amour : Aime ton Créateur, tes parents, ton prochain, tous les oiseaux et animaux sur Terre, et tout ce qui est dans la mer et les airs.
Honneur : Honore ton Dieu et tes parents. Obéit à la loi de Dieu qui est aussi la loi de l'homme.
Obéissance : Obéis à la loi de Dieu, tes parents et les droits des autres.
1. Aime ton Créateur... Dieu
2. Tu ne tueras point... y compris accidents et guerres.
3. Aime ton prochain.
4. Laisse ta lumière briller devant les hommes, et tous verront tes bonnes oeuvres, et ce sera un honneur pour toi et ton Créateur... Dieu.
11. Ton corps est celui de Dieu ; ne l'utilise pas mal d'aucune manière. Ne bois pas ni ne mange quoi que ce soit qui n'est pas de la nourriture. N'utilise rien pour blesser le corps, à l'intérieur ou à l'extérieur. Ne porte rien sur le corps qui blesse ou qui ne soit inutile. Dieu a fait ton corps et ce n'est pas bien ?
12. Dieu a fait les cieux et la Terre et nous devons le remercier pour ce qu'il nous donne.
Voyages sur Mars, la Lune et Vénus Mars : Il voit le système de canaux et apprend que là vivent d'autres gens avec d'autres couleurs et races que celles que nous connaissons. Mars est une planète très colorée. Ils ont des chevaux et du bétail.
La Lune : Les bâtiments sont habituellement dans les cratères et il existe un pont entre 2 cratères du côté orienté vers la Terre. La Lune n'était utilisé que comme une base et pour fabriquer des roches pour d'autres planètes très anciennes. Il y avait de la neige sur les montagnes, des rivières et des lacs sur la face cachée à la Terre. Il parle au dirigeant de cet astre.
L'horloge vénusienne à 17 heures avec des inscriptions "chinoises"
L'espace : d'un noir d'encre dans toutes les directions.
Le "peuple de l'espace" : Leur nourriture est principalement constituée de fruits et légumes. Ils ont de belles dents et les maladies sont très rares. Ils sont leurs propres docteurs et utilisent des médecines "naturelles". Ils ne font pas de compétitions sportives car cela cause des contraintes sur l'ensemble du corps et en particulier au coeur. Ils travaillent de 1 à 3 h chaque jour et suivent des cours pour apprendre les langues des gens qu'ils vont contacter.
Puisqu'ils suivent les 12 Lois de Dieu, il n'ont pas de force de police, de prisons, cour de justice, bâtiments gouvernementaux, guerres... Leur technologie a aboli le besoin de routes et ils construisent les choses pour durer très longtemps.
En 1955, Bucky enregistre sur bande audio un avertissement sur le Futur de l'Humanité, ayant vu tant d'autres civilisations s'auto-détruire avec des Armes Atomiques : Le monde doit abandonner les Armes Atomiques et la Guerre. La prochaine guerre, si elle est faite, sera sur le sol américain. L'Amérique sera détruite, puis la civilisation à travers le monde sera détruite.
Nelson apprend aussi que nos scientifiques ne devraient pas rechercher une nouvelle source d'énergie dans le monde subatomique en faisant des expériences dans des énormes tunnels souterrains. Le Destin sera similaire à celui des Atlantes qui firent exploser leur continent alors qu'ils expérimentaient une nouvelle Energie, bien plus puissante que l'Energie Atomique (pas la fusion). Le peuple de l'espace n'utilise que l'énergie du Soleil et les lignes d'énergie des planètes.
Nelson tenant le panneau d'une convention sur les appareils spatiaux les 28 et 29 juin 1958 [Look Magazine, Edition spéciale sur les Soucoupes Volantes, 1967]
Nelson est l'un des 1ers à construire un détecteur d'ovnis, un petit aimant permanent, accroché à son plafond par un fil. Lorsqu'il tourne, la soucoupe est proche. On lui dit aussi qu'au milieu des années 1950s, autour de 1500 "gens de l'espace" ressemblant à vous et moi vivaient en Amérique.
Après la publication de son petit livre en 1956, il devient célèbre. Il est invité à la radio et la télévision, et même dans les églises locales. Tout le monde dans les montagnes Ozark et à Sprinfield le connait directement ou par un ami, ou l'ami d'un ami.
Conventions (1956-1965)
Entre 1956 et 1965 il tient sa "Convention des Appareils Spatiaux" annuelle, un rassemblement de personnes déclarant avoir été contactés par des extraterrestres. Au sommet de sa gloire, l'embouteillage jusqu'à chez lui fait plus de 1 mile de long. Le thème global est amical : Il est important que les visiteurs sachent qu'ils sont les bienvenus, dit Nelson. S'ils savent que nous sommes amicaux, ils atterriront plus souvent, ils viendront et nous aideront.
Après la fin des années 1960s, l'exposition de Nelson décroit. Dans les années 1970s il déménage en Californie. Il meurt en 1982.
Auteur de :
My trip to Mars, the Moon and Venus, 1956
http://rr0.org/personne/contacte/NelsonBuck/index.html
Apolinar Alberto Villa, Junior (1916-1980)
Photographie de Paul Villa le 16 juin 1963
Villa naît le 24 septembre 1916. Inspecteur des ponts et chaussées, il se fait appeler "Paul".
A partir de 5 ans il aurait été contacté télépathiquement par des visiteurs. Entre 1948 et 1953, il voit 5 ovnis sans pouvoir les photographier, et parle à un de ses occupants.
Premier contact (1953)En 1953 Villa travaille pour le Département de l'Eau et de l'Energie à Los Angeles (Californie). Un jour alors qu'il travaille sur Long Beach, il est poussé par une envie irrésistible d'aller sur la plage, qu'il ne comprend pas lui-même. Là il rencontre un homme d'environ 7 pieds de haut. Villa, pris de peur, pense tout d'abord à s'enfuir, mais l'homme l'appelle par son nom, et lui dit de nombreuses choses personnelles à son sujet. Villa est alors convaincu de communiquer avec une intelligence supérieure, et que cet homme vient de l'espace :
Il savait tout ce que j'avais dans mon esprit et me raconta de nombreuses choses qui étaient arrivées dans ma vie.
Il me dit alors de regarder derrière le récif. Je vis un objet en forme de disque d'aspect métallique qui semblait flotter sur l'eau. L'homme de l'espace me demanda alors si je voulais monter à bord et regarder alentour, et j'allai avec lui.
Photographie de Paul Villa le 16 juin 1963
Il dit que les occupants des soucoupes sont tous d'apparence humanoïde, bien que généralement plus beaux que les terriens, car ayant un visage et un corps plus rafiné. Ils disposent également d'une connaissance scientifique avancée, comme le démontre leur appareil, et leur dialogue avec Villa. Ils disent à Villa que la galaxie à laquelle appartient la Terre est un grain de sable sur une plage immense, par rapport à l'incommensurable nombre de galaxie habitées dans l'univers. De par leur technologie avancée, leur vaisseau spatial peut pénétrer le système de détection radar de la Terre, de sorte qu'ils sont détectés sur les écrans radar seulement lorsqu'ils veulent attirer l'attention sur leur présence dans nos cieux. Il semble que leur appareil soit constamment en activité à la surface de notre planète, et qu'ils prévoient plus d'atterrissages et d'observations afin d'augmenter la connaissance du public de leur existence. Ils déclarent être ici en mission pacifique pour aider notre peuple, qu'ils ont des bases sur la Lune, que Phobos, un des 2 satellites de Mars, est creux et de fabrication artificielle, et qu'il existe une intelligence supérieure qui gouverne l'univers et tout ce qu'il contient.
Premières photos (1963)
Photographie de Paul Villa le 16 juin 1963
Un jour ses contacts spatiaux lui demandent télépathiquement de venir seul avec sa camionnette sur un lieu de rencontre. Le dimanche 16 juin 1963 à 15 h 30, Villa se retrouve donc près d'un lit de rivière asséché au Sud d'Albuquerque, près de la ville de Peralta (Nouveau Mexique).
Villa a prévu de prendre des clichés et apporté son appareil photo japonais Rokuoh-Sha avec une lentille de 75 mm focale de 4,6, chargé avec un film Kodak 120. Alors qu'il fait une 1ère photo d'essai sur sa camionnette, il voit arriver un appareil circulaire argenté d'environ 70 pieds de diamètre.
A ce moment, 9 êtres à l'apparence humaine (4 hommes et 5 femmes) sortent alors du vaisseau par une porte fermée hermétiquement. Ils mesurent entre 7 et 9 pieds, et sont bien proportionnés. Certains sont blonds, d'autres roux (comme du cuivre poli), et d'autres bruns. Ils parlent à Villa en anglais et en espagnol et peuvent communiquer télépathiquement. Les visiteurs disent à Villa qu'ils viennent de la galaxie Coma Berenices, à de nombreuses années-lumières de là. Ils indiquent disposer de 9 autres disques contrôlés à distance et beaucoup plus petits (14 pouces de diamètre) capables de capter des images et des sons de n'importe où et retransmettre les données à leur vaisseau instantanément. Ils permettent à Villa de prendre des photos de leur appareil.
Photographie de Paul Villa le 16 juin 1963
Après une longue conversation, le vaisseau décolle. Villa leur demande de ne pas blesser les petites créatures sur le sol en-dessous, ce à quoi ils font attention.
Villa les photographie avec son appareil. Il produira 7 images de bonne qualité :
2 montrant l'appareil en position verticale, pour montrer que le peuple de l'espace a créé une gravité artificielle, et est donc complètement à l'aise quelle que soit la position du vaisseau
4 autres
une 7ème photo où l'on voit des ouvertures dans l'appareil, qui ne sont pas des fenêtres mais sont directement impliquées dans la propulsion de l'appareil. Villa déclare que les occupants lui ont dit que ces ouvertures ne sont ouvertes que dans l'atmosphère des planètes - jamais dans l'espace.
Faux ?
Le traitement de cliché de Spaulding
Cependant aucune ne sera réellement authentifiée par l'équipe du projet Blue Book VSD 2007 H. De son côté William Spaulding indiquera que ces photos sont fausses, avec à l'appui le traitement d'un cliché montrant la présence d'un fil. L'objet ne serait alors qu'une maquette de 50 cm de diamètre et de 20 cm de haut.
2ème contact (1965)
Photographie prétendumment prise à 18 avril 1965 près de Bernacillo (Nouveau Mexique)
Le dimanche (de Pâques) 18 Avril 1965, Villa est à nouveau "guidé télépatiquement" en un point près de près de Bernacillo (Nouveau-Mexique), proche de l'endroit d'où il apperçoit un appareil stationner dans l'air silencieusement et le photographie (ci-contre). L'appareil projette un rayon qui embrase une petite broussaille. Le fumée de la broussaille est visible (plus clairement en couleur) dans les arbres juste en-dessous de l'appareil, et juste au-dessus de la gauche de la porte de la camionnette de Villa. Dans une photo ils brûlent le sommeil d'un arbre - en utilisant un rayon dirigé par le vaisseau. Ces choses sont faites pour démontrer leurs capacités. L'appareil atterri et Villa évalue son diamètre à 300 pieds. Il dispose d'un tripode d'atterrissage télescopique sous l'appareil. Les 3 hommes d'équipages ont les cheveux clair et la peau hâlée.
Photographie prétendument prise le 19 janvier 1966 près de Albuquerque (Nouveau Mexique)
Villa discute avec eux durant presque 2 h de sujets personnels mais aussi généraux. Ils lui parlent des astronautes, Edward White et James MacDivitt, sur leur vol GT-4, qui virent réellement un vaisseau lorsqu'ils rapportèrent l'observation d'un objet comme Pégase. Ils disent aussi que le gouvernement ne diffusera pas les photos de Mariner 4 parce qu'elles montrent des stations de pompage pour les canaux de Mars. Ils ajoutent que vers 1966, 17 nations disposeront de la bombe atomique. Villa indique qu'ils parlent en anglais mais aussi en espagnol (sa langue natale). Sur leurs conseils, Villa arrête de fumer afin d'augmenter ses capacités à recevoir des communications télépathiques.
Villa meurt le 22 novembre 1980. Il est enterré au Cimetière National de Santa Fe (Nouveau Mexique).
http://rr0.org/enquete/dossier/Villa/index.html
Gabriel Green (1924)
Green
Green naît le 11 novembre 1924 à 23 h 25 à Whittier (Californie). Il commence sa vie comme photographe professionnel. Il vit à Yucca Valley (Californie).
Green sous le Rocher Géant de George Van Tassel.
Le panneau indique "Office & Lounge" et "Sous le Rocher".
A partir des années 1950s Green déclare avoir fait plus de 100 observations de soucoupes volantes et avoir été contacté plusieurs fois en personne par des gens d'autres planètes avancées, telles que Korender, une planète qui serait colonisée par des être en tous points humains, bien que 4 à 5 pieds de haut en moyenne. Green consacre sa vie à faire diffuser sur Terre le "Plan du Peuple de l'Espace" dans diverses publications (un autre contacté, Robert Renaud, parlera également des "Korendiens", déclara qu'ils possèdent une grande installation souterraine dans le Massachussetts). Les Korendiens auraient fait alliance avec les Arcturiens et feraient partie une alliance massive de mondes pronant le non-interventionisme.
En 1956 Green forme les Los Angeles Interplanetary Study Groups, jusqu'en 1959 ou Green fait évoluer l'organisation en l'AFSCA (Amalgamated Flying Saucer Clubs of America, Inc. avec son journal Flying Saucers International), qu'il fonde et préside en tant qu'organisation à but non lucratif dédié à l'émancipation physique, spirituelle et économique de l'homme. En 1960, il déclare que le Peuple de l'Espace lui a demandé de se présenter à un bureau politique dans un effort pour planter les graines de réformes nécessaires sur notre monde, et devient candidat indépendant à la présidence des USA, avant de finalement se retirer pour soutenir Kennedy. En 1962 il se présente également au Sénat américain depuis la Californie et reçoit plus de 171 000 votes à l'Election Primaire Démocratique, faisant campagne contre les essais nucléaires. En 1972, il est candidat à la présidence pour la Parti Universel.
Green est le principal exposant de Economie Universelle (le système d'économie sans argent sur d'autres planètes avancées perpemettant à leurs peuples d'apprécier une telle abondance) et le Monde Uni, un gouvernement mondial théocratique basé sur des lois universelles et des principes spirituels.
Auteur de :
Let's face the facts about flying saucers avec Warren Smith (New York : Popular Library, 1967) — Ouvrage très peu critique, relayant notamment le canular de l'observation de l'Abbaye d'Ampelfort/Byland.
http://rr0.org/personne/contacte/GreenGabriel/index.html
George King (1919-1997)
George King
King naît à Wellington (Shropshire) le 23 Janvier 1919. A partir de 1944 il pratique le yoga.
AetheriusChauffeur de taxi, il a le 8 Mai 1954 une expérience étrange dans son appartement de Londres, lorsqu'une voix lui commande Tu vas devenir la voix du parlement interplanétaire. Son 1er contact est avec un extraterrestre de Vénus nommé Aetherius, et de là naît la société Aetherius.
En Juin 1959 King quitte Londres pour les collines de Californie, où les contactés sont légion, et s'auto-attribue le titre de "Sir". Après son 1er contact King devient un medium de la voix des extraterrestres. Il déclare avoir eu des contacts avec Jesus Christ (qui résiderait sur Venus) qu'il aurait rencontré sur une colline où il aurait émergé d'un vaisseau spatial, et lui aurait livré de nouveaux enseignements intitulés Les 12 bénédictions à transmettre à l'humanité. Dans son livre écrit dans les années 1950s, il décrit une visite en décorporation sur Mars, où il est blessé par un nain avec un pistolet à rayon. Plus tard, on lui ordonne d'aider les martiens à détruire une météorite intelligente attaquant leur flotte spatiale. King finit par mettre en déroute le rocher avec une arme d'amour.
King meurt le 12 Juillet 1997. La Société Aetherius continue à prospérer en Grande-Bretagne, aux USA, Canada, Australie, Nouvelle-Zélande, Niger et au Ghana.
Auteur de :
You are Responsible
Contacts With the Gods from Space : Pathway to the New Millennium avec Richard Lawrence (Hollywood, CA: Aetherius Society, 1996)
http://rr0.org/personne/contacte/KingGeorge/index.html
Miguères
Miguères naît en 1940. Il exerce divers métiers (mécanicien moto, postier, chef de train à la RATP à Paris, et enfin ambulancier à son propre compte.
Accident déclencheur (1969)
En 1969 il est victime — dans des circonstances bizarres — d'un terrible accident de la route. Reconnu par 3 fois "cliniquement décédé", dès son admission en milieu hospitalier, puis au cours des 18 interventions qu'il doit subir, sa guérison est qualifiée de miraculeuse par le corps médical.
Miguères affirme, lui, avoir été survolé par une soucoupe volante, puis "régénéré" et "redimensionné" par un "être de l'espace" qui se serait matérialisé à ses côtés, juste après le choc.
Il fait diverses interviews et conférences avant de publier son premier ouvrage J'ai été le cobaye des extra-terrestres, Promazur-RG, 1977 - remier Prix du récit fantastique au 8eme Rendez-Vous littéraire de Cannes l'année de sa parution. Adapté à la télévision par TF1. Adapté par FR3 dans le film-magazine "A la rencontre des extra-terrestres" - Texte et commentaire de Robert Stefinger, FR3 Lyon, tourné avec Miguères. Edite en livre "club" aux éditions Robert Laffont-canada. Traduit en anglais par Lucine Cometta sous le titre Saved by outer space men., puis un autre 1977
Face aux scientifiques, Alain Lefeuvre, Connaissance de l'étrange, 1980, déclarant que tous les tests scientifiques auxquels il a accepté de se soumettre, y compris sous hypnose, n'ont pu infirmer ses dires.
Dans son 3ème ouvrage Jean Miguères - Le cobaye des extra-terrestres, Alliance, 1983 Miguère dévoile le message de Strôb, une entité extraterrestre incarnée en lui, située au plus haut sommet hiérarchique au sein de la "confédération inter-galactique".
La révélation faite sur l'aventure de "J.M." prétend constituer le 1er livre écrit par un "extraterrestre en mission sur notre planète". Les "présages ou prophéties" qui sont annoncées pour la décennie 1987/96 prétendent dépasser celles de Nostradamus.
Il prétend que certaines "prédictions" sont déjà en cours de réalisation. Préfacé par un archevêque, exorciste officiel. Il meurt cependant en 1992, avant l'arrivée d'extraterrestres en masse, prédite pour 1996.
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Re: La mode des contactés dans les années 50
Laura Mundo (Marxer)
Mundo et Adamski
En 1954, Mundo crée l'Interplanetary Foundation (qui devient par la suite le Planetary Space Center) à Passadena (Maryland).
Le groupe de contactés considère que la Terre est en danger en raison des changements radicaux à venir dans l'atmosphère (activité solaire) et que les Etres de l'Espace sont là pour nous aider : ils seront capables, soit de résoudre le problème, soit de sélectionner des terriens et les emener en lieu sûr (dans leurs vaisseaux spatiaux indépendants) en attendant que l'activité atmosphérique se calme. Lorsque les humains retourneront sur Terre après avoir survécu à l'instabilité atmosphérique, ils adopteront un Mode de Vie Universel, qui est la manière standard de vivre sur les autres planètes. Le groupe croit également que les Gens de l'Espace vivant sur Terre aujourd'hui sont là pour nous surveiller et nous aider.
Auteur de :
"Simple As ABC", 1956
Doomsday… coming up?, Emergency Press, 1970
Our trip to the Moon and Venus. Dearborn Heights, Michigan, 1970
Flying saucer up-day! Emergency Press, Michigan, 1971
Nothing new under the sun? Flying Saucer Info Center, Dearborn Heights, 1973
Belmont, Laura Mundo Enterprises, Dearborn Heights, 1974
"How to contact a space person", 1976
"Sex And The UFO", 1981
"Sunspot countdown!", Planetary Center, Dearborn Heights, Michigan, 1981
Letter from Laura. Flying Saucer Information Center, Dearborn Heights, Michigan, 1981
Laura Mundo's telepathic messages from outerspace V.I.P.'s (on other more advanced planets). 1983
Correlations of radio and mind frequencies avec Wales, Jim, The Planetary Center, Pasadena, Maryland, 1983
Le cas d'Angelucci ("angel-you-see" ?) attire l'attention de Jung (Flying Saucers, Princeton-Bollingen Series) qui ne voit pas les expériences d'Angelucci comme un canular ni concrètes, mais plutôt comme une expérience "mystique".
Les visiteurs d'Angelucci lui apparaissent pour la 1ère fois comme 2 boules de lumière verte. Il reçoit le message que : "Chaque personne sur Terre a un soi spirituel ou inconnu". Les visiteurs disent aussi : "Chacun de vous est infiniment plus important pour nous que pour vos congénères parce que vous n'est pas conscient du véritable mystère de votre être".
Auteur de :
J'ai voyagé dans une soucoupe volante (Novembre 1953)
J'ai rencontre l'homme des soucoupes volantes (Mai 1954)
Mon réveil sur une autre planète (Octobre 1954)
[Angelucci 1955] Le secret [de l'histoire] des soucoupes (Amherst Press, Armherst, Wisconsin, 1955, Editor: Ray Palmer) - Parle notamment de l'accident de Mantell.
Concrete evidence (Franky C. Miller, Phoenix, Arizona, 1959)
Fil du Soleil (DeVorss, Los Angeles, Californie, 1959)
http://rr0.org/personne/contacte/AngelucciOrfeo/index.html
George Hunt-Williamson
Williamson naît le 9 décembre 1926 à Chicago, dans le comté de Cook (Illinois), fils de George et Bernice (Hunt) Williamson. Il fait des études jusqu'en février 1951, où ses résultats ne lui permettent pas de poursuivre ses études dans l'Université d'Arizona.
Ne souhaitant pas se réinscrire, il préfère partir un moment à Noblesville (Indiana), où il est rédacteur à Valor, je journal de l'organisation Soulcraft de William Dudley Pelley. Ce dernier, faciste et raciste, sortant de 8 ans de prison pour opposition à Roosevelt lors de la guerre, est également féru d'occulte (il compile 32 volumes d'écriture automatique issue de contact avec des intelligences supérieures) et est également en contact avec George Adamski, via leur adhésion mutuelle au culte I AM de Guy Ballard. Il est probable que, de fil en aiguille, Pelly ait présenté Williamson à Adamski.
Contact
Le 20 novembre 1952, Adamski aurait installé son télescope dans un endroit favorable au passage des soucoupes volantes, au centre du désert de Californie et aurait attendu, avec 6 autres personnes : Williamson et sa femme Betty, une connaissance nommée Al Bailey et sa femme, Lucy McGiness (secrétaire d'Adamski), et Alice K. Wells, propriétaire du Palomar Gardens Cafe.
En 1952, il déclare avoir établi un contact sur ondes courtes avec des ovnis, et observé des ovnis au-dessus de son lieu d'émission.
Dans ses livres, Williamson reprend les thêmes de 2 camps opposés d'ET, avec les bons (les moissonneurs) et les mauvais (les intrus). Selon lui tous les terriens sont des êtres de l'espace dont les ancêtres viennent ici en tant que fils de Dieu. Pour lui l'humanité passe par une période de turbulence planétaire menant à une nouvelle conscience et l'aube d'une nouvelle ère dorée. De plus, un gouvernement mondial caché (les familles banquière internationales) controllées par les ET négatifs maintiendraient la vérité cachée, gardant les gens nés sur Terre ignorant de leur leur origines réelles. Williamson cite aussi la Bible pour identifier les ET "maléfiques".
A la fin des années 1950s, Williamson cesse d'être actif dans le milieu des ovnis et fonde un monastère dans les montagnes des Andes. Il y reste quelques années puis retourne à Santa Barbara (Californie), où il est ordonné dans l'Eglise Nestorienne.
En 1965, lors d'une expédition au Pérou, Williamson disparaît.
Williamson meurt en janvier 1986 à Long Beach (Californie).
Certains [1] ont indiqué que son véritable nom serait Michel d'Obrenovic, apparemment à tort (le nom de d'Obrenovic aurait disparu de Yougoslavie après 1903). Williamson aurait utilisé ce titre en une occasion en 1961 lorsqu'il assistait à un mariage, se posant comme H.R.H. Prince Michael d'Obrenovic van Lazar, Duc de Sumadya.
Auteur de :
* Hunt-Williamson, G.: Le Secret des Andes - Où Williamson suspecte les ancients sites indiens aux Andes d'être des bases secrètes de soucoupes.
* Hunt-Williamson, G. & McCoy, John: UFOs Confidential - The meaning behind the most closely guarded secret of all time, Corpus Christi, TX : Essene Press, 1958 - Un des premiers livres à parler d'un supposé empire caché de banquiers internationaux empêchant la révélation de la vérité sur les ovnis et les civilisations ET.
* Hunt-Williamson, G.: Other tongues - Other flesh, Neville Spearman, Londres 1953
* Hunt-Williamson, G.: Captain, 1954 - Dans lequel Williamson déclare que les derniers mots de Mantell étaient : Il y a des fenêtres et je peux voir des gens dedans ! (4)
* Hunt-Williamson, G.: The saucers speak ! 1954; Los Angeles, 1959 ; Londres 1963 - Ce rapport documentaire sur la communication avec un vaisseau spatial dans l'atmosphère de la Terre couvre la période du 2 Août 1952 jusqu'à l'époque de la rédaction. Une communication a aussi été établie avec plusieurs planètes dans notre propre système solaire et avec un vaisseau spatial dans notre atmosphère venant autres systèmes solaires. Pour la plupart... des messages ont été reçus en Code Morse International par radiotélégraphie. Il y eut un cas où la radiotélégraphie fut employée par les intelligences du vaisseau spatial.
* Hunt-Williamson, G.: Secret places of the lion - Alien influences on Earth's destiny, ISBN 0-89281-6015. Traduit Les gîtes secrets du lion, J'ai Lu 1958/1972.
* Hunt-Williamson, G.: Road in the sky, 1975 - Sur les visites extraterrestres sur Terre. Pour l'anecdote Williamson y décrit le jeune Michael Wolf transmettant des messages aux intelligences de l'espace en utilisant des rayons de lumière modulés [2].
Références :
* Hidel, Alec: "George Hunt Williamson & the Genesis of the Contactees"
Alberto Sanmartín Comes
La nuit du 17 novembre 1954, Sanmartín quitte sa maison de Cuatro Caminos pour aller se promener, afin d'oublier son mal de dents. En sortant de la route de Coruña (Corogne), il rencontre 1 humanoïde blond étrange de 1,65 m, vêtu d'une espèce de combinaison comme celle utilisée par les aviateurs, irradiant l'amour et la compréhension. Celui-ci lui fait signe d'attendre, part prendre quelque chose dans sa soucoupe noirâtre de 3 m de diamètre environ, qu'il confie à Sanmartin. Ce dernier, stupéfait, accepte, et regarde alors l'humanoïde descendre dans un ravin, embarquer dans son vaisseau et décoller en oblique dans le ciel nocturne, disparaissant entre les nuages. L'objet qu'il a dans les mains est 1 pierre couverte de 9 signes [1].
L'affaire est bientôt relayée par la presse [2]. Alors que nombreux sont ceux qui remettent l'expérience en question (un épigraphe qui les examine les considère comme des bétises aléatoires), d'autres voient dans la pierre la 1ère preuve véritable d'une présence extraterrestre sur Terre.
Décryptages
La pierre de Sanmartin La pierre de Sanmartin
Severino Machado, un prêtre, devient le plus fervent soutien de Sanmartín, consacrant des heures à l'étude des mystérieux signes de la "pierre martienne". Les longues heures d'étude du père Machado aboutissent à la déclaration que la pierre ne vient pas de Mars mais de Saturne. Selon lui, les inscriptions contiennent le message suivant :
Message de Saturne à la Terre – nous sommes sur un voyage aller-retour pour établir des liens amicaux avec l'ensemble de la Terre. Il y a un chemin plus court pour vous atteindre en exploitant la conjonction d'un corps céleste entre Saturne et la Terre (...) [3].
Machado et la "pierre martienne" finirent par trouver leur chemin dans les conférences de Fernando Sesma à la Baleine Joyeuse, ce dernier invitant même Sanmartin à devenir membre à vie du comité directeur de sa société. Tous s'ingénient alors à leur tour à décrypter le message. Les discussions vont bon train, jusqu'à ce que Sesma, féru de cryptographie et de graphologie, en propose le déchiffrage suivant :
Nous venons des hautes sphères célestes, vers votre monde divisé.
Bientôt l'arc du ciel s'unira à la droite terrestre.
Mais, pour éviter le choc, il y aura une période de contacts préliminaires.
L'union sera heureuse.
Vous vous appuierez sur nous et votre croix sera moins lourde à porter.
Vous surmonterez vos mauvais penchants quand nous nous abriterons tous sous un même toit.
Et vous connaîtrez enfin la paix [4].
Sesma entreprend alors de reproduire les mystérieux signes de façon qu'il soient visibles du ciel. A l'endroit de la rencontre de Sanmartín, il trace les signes au sol.
Sanmartín écrit un livre sur son histoire [5]. Après plusieurs examens et analyses, la pierre aurait bien semblé produite par l'industrie humaine [6].
1. Guerrero, David: "Ovnis a la Española", El Umbral Inexplorado, 2003
2. Baquero, Arcadio: "Marte pone en Madrid su primera piedra", quotidien El Alcázar
3. Corrales, Scott: "The Fabulous Fifties - The early days of UFO in the Spanish-Speaking World", 2006
4. FIF International Features. 317-29356.Communiqué de Martin Bernvelt, correspondant à Madrid
5. The Space Rock
6. Caudron, D.: "Les amis des visiteurs de l'espace"
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- AlbertiEquipe du forum
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Re: La mode des contactés dans les années 50
Le mot « ange » signifiait « messager ». Les channels d’aujourd’hui prétendent être en contact avec des extraterrestres bienveillants dont les codes d’identification de leurs transmissions sont l’expression de termes comme « message apporté à ». ça a donné lieu à quelques délires ou des channels annoncent qu’une coalition d’extraterrestres apportant un message de libération vont déclarer la guerre à des reptiliens qui ont fait des hommes leurs esclaves. Toute ces eschatologies New Age prennent sans doute racine dans l’apocalypse de St Jean qui commence comme par les chapitres qui contiennent le prologue du livre : celui-ci est présenté comme une « révélation de Jésus-Christ » qui est communiquée par un ange à un voyant, le « serviteur Jean », dans laquelle le Christ révèle le sens divin de l'époque, « ce qui doit arriver bientôt » et comment « le peuple sera bientôt délivré ». Dans le texte de l'apocalypse, Jesus Christ et les anges vont détruire le diable qui est symbolisé par un grand dragon de feu et ensuite les hommes pourront regagner le paradis.
L’un des représentants les plus connus de l’ufologie New Age est Steven Greer dont le discours est lui aussi structuré par un fondamentalisme chrétien qui caractérise certaines composantes de la culture américaine. Il prétend qu’un jour dans sa jeunesse, il a eu une expérience transcendante avec une femme extraterrestre aux cheveux blonds ce qui n’est pas sans rappeler les Vénusiens blonds d’Adamski. Au départ j’étais séduit par son disclosure project qui laissait espérer une meilleure transparence sur la questions des Ovnis. Mais il expose des thèses assez sectaires. Il affirme qu'en faisant de la méditation lui et sont groupe sont entrés en contact avec de bons extraterrestres et que la divulgation marquera l’avènement d’un nouvel age d’or paradisiaque qui fera suite à la défaite du Majestic qu’il diabolise. Ce dernier représente selon lui les « global corporate interests » qui veulent détruire les bons extraterrestres en organisant une fausse invasion qui va légitimer la guerre céleste des humains contre les ETs. Pour Greer l’agenda final du Majesticest l’accroissement de leur pouvoir de contrôle sur l’humanité.
En 2007 Greer a affirmé qu’un gouvernement européen a pris contact avec lui et qu’ils travaillaient ensemble pour préparer un premier contact officiel et public avec des extraterrestres. Dans plusieurs de ces conférences Greer dit qu’il a reçu une lettre « magnifique » de la part d’un gouvernement européen lui demandant de les aider « à voyager à travers le temps et l’espace » pour contacter les extraterrestres bienveillants. Dans son son excellent livre « Vers la fin du secret ? », Gildas Bourdais indique qu’une source fiable l’a informé « qu’en petit comité, il avait désigné la France ! ». Bourdais conclu bien en disant : « Ce n’est pas sérieux. »
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Re: La mode des contactés dans les années 50
Je note : "Ils utilisent une "machine-livre", de la taille d'un poste de télévision. Cela peut lire le texte, jouer n'importe quelle musique et montrer n'importe quelle photographie se trouvant dans le livre."
Cela ne vous fait pas penser à quelque chose ?
- Flo78Equipe du forum
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Re: La mode des contactés dans les années 50
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Il y a du bon des 2 cotés (pro-OVNI et sceptiques), faire abstraction de l'avis des personnes avisées d'un "camp", revient à nier une partie de la réalité.