- Benjamin.dResponsable du forum
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Les ovnis dans la presse en 1968
Mer 28 Nov 2007, 20:57
OVNI PHOTOGRAPHIE PAR UN SCIENTIFIQUE:
L'article ci-dessous est paru le dans le quotidien El Mercurio, Chili, le 11 Juin 1968.
TRADUCTION FRANCAISE:
Etrange "phénomène" spatial photographié
Le Professeur Gabriel Alvial Caceres, directeur du Centre des Rayonnements Cosmique de l'Université du Chili, a présenté aujourd'hui une photographie d'un "phénomène à expliquer," qui a laissé l'empreinte d'un objet de forme biconvex, avec une partie supérieure convexe et une partie inférieure légèrement en pointe aux extrémités, et qui est resté pendant plus qu'une heure à environ des deux milles mètres d'altitude, entre la capitale et la côte de Valparaiso, récemment le 17 Mars.
La photographie, selon les mots du professeur Alvial, a été prise, ainsi que deux autres en 60 minutes, à 21:35 le jour indiqué, avec un objectif Elmer-Leika, un temps d'ouverture de 2 minutes, une ouverture de 2.5 sur un film de 80 ASA.
Afin d'être sûr de ce que le "phénomène" planait à une position fixe dans l'espace, d'une façon stable, d'autres photographies ont été prise, l'une d'elles avec une durée d'exposition de 5 minutes, où le mouvement d'une étoile de la première magnitude et la position fixe de l'objet ou de la lumière ont été capturés par le centre scientifique mentionné ci-dessus.
Selon l'explication par le professeur Alvial au sujet de sa méthodologie, il n'appelle pas les observations visuelles et les observations photographique de ces types des phénomènes des "objets volants non identifiés," (OVNIS), ni des soucoupes volantes, parce que ses études les dénomment avec l'abréviation PAE, qui signifie des "phénomènes à expliquer". Il était tout à fait spécifique quand il a insisté sur le fait qu'à aucun moment il s'agissait de prouver l'existence d'OVNIS ou de soucoupes, mais que son intérêt pour l'observation de l'espace doit continuer, pour réaliser un travail coordonné avec d'autres centres scientifiques nationaux et internationaux, pour trouver les explications à ces phénomènes. Il a exprimé, en outre, que les phénomènes, "ne se produisent pas avec une régularité certaine, qui permettrait de meilleures appréciations et la preuve scientifique, mais ceci ne signifie pas cela que la régularité n'est pas possible".
DEPUIS OCTOBRE
Le professeur Alvial a indiqué que depuis le mois d'Octobre de l'année dernière, les traces photographiques d'environ de 10 à 15 de ces "phénomènes à expliquer" ont été obtenues, e plus que les étoiles de magnitude 1, ce qui a poussé le Centre des Rayonnements Cosmiques, hormis son programme, à consacrer également ses observations à ce sujet. Il a indiqué que pour le Centre, ceci a impliqué une méthodologie, d'abord une phase d'enquête, dont de plus grands avantages peuvent être forme obtenus des observations visuelles et des détails photographiques, pour obtenir les "traces de ces phénomènes." Une deuxième étape, dit-il, exigera les compétences de grandes connaissances et des éléments scientifiques plus avancés.
LA LOCALISATION
Le Professeur Alvial a dit que, hormis le personnel qui a vu et a photographié le "phénomène à expliquer," il n'a pas connaissance d'autres personnes qui auraient fait la même observation. "Notre personnel, j'insiste là dessus, a observé le phénomène et je l'ai photographié."
L'endroit était à partir du Centre des Rayonnements Cosmiques, à 33 degrés de latitude et à 71 degrés de longitude, à une distance de 4 kilomètres de Santiago, à l'intérieur des montagnes des Andes à une altitude de 3.442 mètres, où une observation de l'horizon peut être faite, au niveau de la mer, à une distance de 350 kilomètres. Avec 4 kilomètres d'atmosphère, dit-il, la transparence du ciel nocturne est bien meilleure.
La photographie présentée par professeur Alvial montre la Cordillère de la Costa dans le fond et la lumière réfléchie à côté du port de Valparaiso du côté gauche, avec la luminosité du "phénomène à expliquer" du côté droit. Cela pourrait être que le phénomène planait à deux mille mètres de haut, entre Santiago et l'Observatoire d'Astronomie de Oak, situé au nord de Valparaiso à environ 80 kilomètres de la capitale. Le professeur a indiqué qu'il a présenté cette photographies et les photographies précédentes en raison de la spéculation qui a été faite récemment, sans base scientifique, sur la capture alléguée d'une "soucoupe volante."
La possibilité existe, il en convient, que la chose capturée en photo soit un phénomène atmosphérique, mais sa capacité ä rester à un endroit fixe pendant plus d'une heure, leur a fait beaucoup penser à cette circonstance, et qu'elle est en contradiction avec une explication.
Quand on l'a consulté pour savoir si la chose capturée avait été profilée contre une certaine colline intermédiaire entre la chaîne de montagnes de la côte et la chaîne des montagnes des Andes, il a indiqué que d'autres photographies, prises en journée, ont montré des profils géographiques différents de celui de ce "phénomène." La possibilité d'un défaut dans les plats photographiques a été également rejetée.
SCAN DE L'ARTICLE ORIGINAL:
TRANSCRIPTION DE L'ORIGINAL:
Fotografiado Extraño "Fenómeno" Espacial
El Professor Gabriel Alvial Caceres, Director del Centro de Radiación Cósmica de la Universidad de Chile, dio a conocer antecedentes y una fotografia de "un fenómeno por explicar", que dejó la impresión fotografica de un objeto de forma lenticular, con la parte superior convexa y la inferior ligeramente en punta hacias los extremos y que permaneció durante más de una hora a unos 2 mil metres de altura, entre la capital y la costa de Valparaiso, el 17 de marzo recién pasado.
La fotografia, según expreso el professor Alvial, fue captada, con otras dos en 60 minutos, a las 21.35 horas del dia indicado, con una lente Elmer-Leika, con una exposición de 2 minutos, une abertura de 2.5 en una pelicula de 80 asas.
Para demostrar que el "fenómeno" quedó quieto en el espacio, parpadeante, se tomaron otras fotografias, una de ellas con 5 minutos de exposición, donde se advierte el movimiento de una estrella de primera magnitud y el estatismo del objeto o luz que captó el mencionados centre cientifico.
Según explicó el professor Alvial su métode de trabajo ne califica de "objetos voladores no identificados, (Ovnis), ni come platillos voladores, las evidencias visuales e fotográficas observadas de estos tipos de fenónenos, a los cuales, para su estudie denomina con la sigla FPE, que indica "fenómenos por explicar". Fue especifico para señalar que en nungún momento se refiere a comprobar la existencia de ovnis o platillos, sino que es de interés continuar las obcervaciones del espacio, lograr una labor coordinada con otros centros cientificos nacionales e internacionales, para encontrar explicación a esos fenómenos. Expresó, además, que estes "no so dan con cierta periodicidad, que permitiria mejores apreciaciones y evidencias cientificas, pero este no quiere decir que esa periodicidad no sea posible".
DESDE OCTUBRE
Señaló el professor Abvial que desde el mes de octubre del año pasado comenzaron a manifestarse las evidencias visuales de unos 10 a 15 de estos "fenómenos por explicar", de estrellas de más de primera magnitud, lo que impulsó al Centro de Radiación Cósmica, aparte de su programa, a dedicar también sus observaciones en esta materia. Señaló que el centro esta adecuande una metodologia, en una primera parte investigadora, de la cual puedan obtenerse las mayores ventajas agotando los detalles visuales y fotográficos, para obtener las "evidencias de estos fenómenos". Una segunda etapa, señaló, necesitará el concurse de mayores conocimientos y de elementos cientificos más avancados.
LA UBICACION
Dijo el professor Alvial que, aparte del personal que vió y fotografió el "fenómeno por explicar", no tiene conocimiento de otras personas que hayan hecho la misma observación. "Nuestro personal, recalcó, observé el fenómeno y por ese lo captó".
Ubicado el Centro de Radiación Cósmica a 33 grades de latitud y 71 grades de longitud, a una distancia de 4 kilómetros de Santiago, al interior de la Cordillera de los Andoes en una altura de 3.442 metros, puede hacer una observación del horizonte, a nivel del mar, hasta una distancia de 350 kilómetros. Con 4 kilómetros de atmósfera, dijo, la diafanidad del cielo nocturne es mucho mayor.
La fotografia que dio a conocer el professor Alvial, muestra, al fondo, la Cordillera de la Costa y la luz reflejada del puerto de Valparaiso al lado izquierdo encontrándose al derecho la luminosidad del "fenómenos por explicar". Pude estar éste, inmóvil a dos mil metres de altura, entre Santiago y el Observatorio Astronomicó de El Roble, ubicado al norte de Valparaiso a unos 80 kilómetros de la capital. Señaló el Professor que daba a conocer esta fotografia y antecedentes en vista de la especulación que se ha hecho ultimamente, sin basamento cientifico, sobre la supuesta captación de "un platillo volador".
Existe la posibilidad, agrego, que lo captado en la fotografia sea un fenómeno atmosférico, pero su capabilidad por má de una hora, hacen pensarmas allé de esta circunstancia, y que podemos encontrarie una explicación.
Al consultárse le si lo captado hubiera sido el perfil de algún cerro intermedio entre las cordilleras de la Costa y la de los Andes, especificó, que otras fotografias, captada de die, revelaron perfiles geográficos distintos a los que tenia el "fenómeno". También fue descartada algunar falla de las placas usadas para la exposición fotográfica.
Remerciements particuliers à Richard Hall pour m'avoir confié l'original et le soin de sa traduction.
Je ne prétend pas maîtriser l'espagnol; aussi ma traduction peut-elle contenir des erreurs ou approximations qui ne sont toutefois aucunement volontaire. Si vous repérez de telles erreurs et inexactitudes, je vous serais reconnaissant de m'en faire part.
L'article ci-dessous est paru le dans le quotidien El Mercurio, Chili, le 11 Juin 1968.
TRADUCTION FRANCAISE:
Etrange "phénomène" spatial photographié
Le Professeur Gabriel Alvial Caceres, directeur du Centre des Rayonnements Cosmique de l'Université du Chili, a présenté aujourd'hui une photographie d'un "phénomène à expliquer," qui a laissé l'empreinte d'un objet de forme biconvex, avec une partie supérieure convexe et une partie inférieure légèrement en pointe aux extrémités, et qui est resté pendant plus qu'une heure à environ des deux milles mètres d'altitude, entre la capitale et la côte de Valparaiso, récemment le 17 Mars.
La photographie, selon les mots du professeur Alvial, a été prise, ainsi que deux autres en 60 minutes, à 21:35 le jour indiqué, avec un objectif Elmer-Leika, un temps d'ouverture de 2 minutes, une ouverture de 2.5 sur un film de 80 ASA.
Afin d'être sûr de ce que le "phénomène" planait à une position fixe dans l'espace, d'une façon stable, d'autres photographies ont été prise, l'une d'elles avec une durée d'exposition de 5 minutes, où le mouvement d'une étoile de la première magnitude et la position fixe de l'objet ou de la lumière ont été capturés par le centre scientifique mentionné ci-dessus.
Selon l'explication par le professeur Alvial au sujet de sa méthodologie, il n'appelle pas les observations visuelles et les observations photographique de ces types des phénomènes des "objets volants non identifiés," (OVNIS), ni des soucoupes volantes, parce que ses études les dénomment avec l'abréviation PAE, qui signifie des "phénomènes à expliquer". Il était tout à fait spécifique quand il a insisté sur le fait qu'à aucun moment il s'agissait de prouver l'existence d'OVNIS ou de soucoupes, mais que son intérêt pour l'observation de l'espace doit continuer, pour réaliser un travail coordonné avec d'autres centres scientifiques nationaux et internationaux, pour trouver les explications à ces phénomènes. Il a exprimé, en outre, que les phénomènes, "ne se produisent pas avec une régularité certaine, qui permettrait de meilleures appréciations et la preuve scientifique, mais ceci ne signifie pas cela que la régularité n'est pas possible".
DEPUIS OCTOBRE
Le professeur Alvial a indiqué que depuis le mois d'Octobre de l'année dernière, les traces photographiques d'environ de 10 à 15 de ces "phénomènes à expliquer" ont été obtenues, e plus que les étoiles de magnitude 1, ce qui a poussé le Centre des Rayonnements Cosmiques, hormis son programme, à consacrer également ses observations à ce sujet. Il a indiqué que pour le Centre, ceci a impliqué une méthodologie, d'abord une phase d'enquête, dont de plus grands avantages peuvent être forme obtenus des observations visuelles et des détails photographiques, pour obtenir les "traces de ces phénomènes." Une deuxième étape, dit-il, exigera les compétences de grandes connaissances et des éléments scientifiques plus avancés.
LA LOCALISATION
Le Professeur Alvial a dit que, hormis le personnel qui a vu et a photographié le "phénomène à expliquer," il n'a pas connaissance d'autres personnes qui auraient fait la même observation. "Notre personnel, j'insiste là dessus, a observé le phénomène et je l'ai photographié."
L'endroit était à partir du Centre des Rayonnements Cosmiques, à 33 degrés de latitude et à 71 degrés de longitude, à une distance de 4 kilomètres de Santiago, à l'intérieur des montagnes des Andes à une altitude de 3.442 mètres, où une observation de l'horizon peut être faite, au niveau de la mer, à une distance de 350 kilomètres. Avec 4 kilomètres d'atmosphère, dit-il, la transparence du ciel nocturne est bien meilleure.
La photographie présentée par professeur Alvial montre la Cordillère de la Costa dans le fond et la lumière réfléchie à côté du port de Valparaiso du côté gauche, avec la luminosité du "phénomène à expliquer" du côté droit. Cela pourrait être que le phénomène planait à deux mille mètres de haut, entre Santiago et l'Observatoire d'Astronomie de Oak, situé au nord de Valparaiso à environ 80 kilomètres de la capitale. Le professeur a indiqué qu'il a présenté cette photographies et les photographies précédentes en raison de la spéculation qui a été faite récemment, sans base scientifique, sur la capture alléguée d'une "soucoupe volante."
La possibilité existe, il en convient, que la chose capturée en photo soit un phénomène atmosphérique, mais sa capacité ä rester à un endroit fixe pendant plus d'une heure, leur a fait beaucoup penser à cette circonstance, et qu'elle est en contradiction avec une explication.
Quand on l'a consulté pour savoir si la chose capturée avait été profilée contre une certaine colline intermédiaire entre la chaîne de montagnes de la côte et la chaîne des montagnes des Andes, il a indiqué que d'autres photographies, prises en journée, ont montré des profils géographiques différents de celui de ce "phénomène." La possibilité d'un défaut dans les plats photographiques a été également rejetée.
SCAN DE L'ARTICLE ORIGINAL:
TRANSCRIPTION DE L'ORIGINAL:
Fotografiado Extraño "Fenómeno" Espacial
El Professor Gabriel Alvial Caceres, Director del Centro de Radiación Cósmica de la Universidad de Chile, dio a conocer antecedentes y una fotografia de "un fenómeno por explicar", que dejó la impresión fotografica de un objeto de forma lenticular, con la parte superior convexa y la inferior ligeramente en punta hacias los extremos y que permaneció durante más de una hora a unos 2 mil metres de altura, entre la capital y la costa de Valparaiso, el 17 de marzo recién pasado.
La fotografia, según expreso el professor Alvial, fue captada, con otras dos en 60 minutos, a las 21.35 horas del dia indicado, con una lente Elmer-Leika, con una exposición de 2 minutos, une abertura de 2.5 en una pelicula de 80 asas.
Para demostrar que el "fenómeno" quedó quieto en el espacio, parpadeante, se tomaron otras fotografias, una de ellas con 5 minutos de exposición, donde se advierte el movimiento de una estrella de primera magnitud y el estatismo del objeto o luz que captó el mencionados centre cientifico.
Según explicó el professor Alvial su métode de trabajo ne califica de "objetos voladores no identificados, (Ovnis), ni come platillos voladores, las evidencias visuales e fotográficas observadas de estos tipos de fenónenos, a los cuales, para su estudie denomina con la sigla FPE, que indica "fenómenos por explicar". Fue especifico para señalar que en nungún momento se refiere a comprobar la existencia de ovnis o platillos, sino que es de interés continuar las obcervaciones del espacio, lograr una labor coordinada con otros centros cientificos nacionales e internacionales, para encontrar explicación a esos fenómenos. Expresó, además, que estes "no so dan con cierta periodicidad, que permitiria mejores apreciaciones y evidencias cientificas, pero este no quiere decir que esa periodicidad no sea posible".
DESDE OCTUBRE
Señaló el professor Abvial que desde el mes de octubre del año pasado comenzaron a manifestarse las evidencias visuales de unos 10 a 15 de estos "fenómenos por explicar", de estrellas de más de primera magnitud, lo que impulsó al Centro de Radiación Cósmica, aparte de su programa, a dedicar también sus observaciones en esta materia. Señaló que el centro esta adecuande una metodologia, en una primera parte investigadora, de la cual puedan obtenerse las mayores ventajas agotando los detalles visuales y fotográficos, para obtener las "evidencias de estos fenómenos". Una segunda etapa, señaló, necesitará el concurse de mayores conocimientos y de elementos cientificos más avancados.
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Dijo el professor Alvial que, aparte del personal que vió y fotografió el "fenómeno por explicar", no tiene conocimiento de otras personas que hayan hecho la misma observación. "Nuestro personal, recalcó, observé el fenómeno y por ese lo captó".
Ubicado el Centro de Radiación Cósmica a 33 grades de latitud y 71 grades de longitud, a una distancia de 4 kilómetros de Santiago, al interior de la Cordillera de los Andoes en una altura de 3.442 metros, puede hacer una observación del horizonte, a nivel del mar, hasta una distancia de 350 kilómetros. Con 4 kilómetros de atmósfera, dijo, la diafanidad del cielo nocturne es mucho mayor.
La fotografia que dio a conocer el professor Alvial, muestra, al fondo, la Cordillera de la Costa y la luz reflejada del puerto de Valparaiso al lado izquierdo encontrándose al derecho la luminosidad del "fenómenos por explicar". Pude estar éste, inmóvil a dos mil metres de altura, entre Santiago y el Observatorio Astronomicó de El Roble, ubicado al norte de Valparaiso a unos 80 kilómetros de la capital. Señaló el Professor que daba a conocer esta fotografia y antecedentes en vista de la especulación que se ha hecho ultimamente, sin basamento cientifico, sobre la supuesta captación de "un platillo volador".
Existe la posibilidad, agrego, que lo captado en la fotografia sea un fenómeno atmosférico, pero su capabilidad por má de una hora, hacen pensarmas allé de esta circunstancia, y que podemos encontrarie una explicación.
Al consultárse le si lo captado hubiera sido el perfil de algún cerro intermedio entre las cordilleras de la Costa y la de los Andes, especificó, que otras fotografias, captada de die, revelaron perfiles geográficos distintos a los que tenia el "fenómeno". También fue descartada algunar falla de las placas usadas para la exposición fotográfica.
Remerciements particuliers à Richard Hall pour m'avoir confié l'original et le soin de sa traduction.
Je ne prétend pas maîtriser l'espagnol; aussi ma traduction peut-elle contenir des erreurs ou approximations qui ne sont toutefois aucunement volontaire. Si vous repérez de telles erreurs et inexactitudes, je vous serais reconnaissant de m'en faire part.
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Re: Les ovnis dans la presse en 1968
Mer 28 Nov 2007, 20:57
OVNIS EN ARGENTINE, 1968:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien La Tribune, de Sherbrooke, Québec, Canada, page 11, 20 juillet 1968.
Soucoupes volantes et êtres extraterrestres en Argentine
BUENOS AIRES (AFP)- L'apparition de nouveaux OVNIs, objets volants non identifiés, est signalée par les journaux argentins. Dans la province de Neuquen, au sud-ouest de Buenos Aires, des membres de la Gendarmerie nationale chargée de la surveillance de la frontière ont déclaré qu'une patrouille avait observé le 16 juillet un mystérieux objet volant évoluant à haute altitude et qui émettait une lumière très claire. Selon les membres de la patrouille, l'objet avait semblé atterrir à proximité, mais en un lieu dissimulé par les accidents de terrain. D'autre part, deux filles âgées de 15 ans et de 10 ans, qui vivent près de La Plata, ont raconté qu'elles avaient vu, le 9 juillet, un être d'un autre monde qui avait tenté d'engager la conversation avec elles, comme s'il voulait leur transmettre un message. Selon ces jeunes filles, le visiteur mesurait environ 7 pieds de haut, il avait de longs cheveux roux et des yeux bleus, était vêtu d'une combinaison et portait une sorte de visière transparente de couleur verte qui émettait des rayons violent orange, rouges et bleus. La marque de quatre grands doigts a été relevée contre la porte de la maison, près de laquelle l'être extraterrestre se serait manifesté.
L'article a été publié par le quotidien The New York Time le 30 Juillet 1968.
SIX SCIENTIFIQUES RECOMMANDENT UNE ETUDE DES SOUCOUPES VOLANTES:
Lors d'une audition hier devant le Comité de la Chambre pour l'Espace et l'Astronautique, plusieurs témoins ont demandé le soutien fédéral pour un vaste programme de rassemblement de l'information visant à finalement régler des décennies de discussions sur les OVNIS. Le Président du Comité, J. Edward Roush, représentant de l'Indiana, a recommandé il y a 3 mois que le Congrès assure la recherche sur les soucoupes volantes après avoir mis en doute l'objectivité de l'étude conduite par l'US Air Force.
Le Dr J. Allen Hynek de la Norhtwestern University a dit que les Etats-Unis devraient chercher la coopération de l'ONU dans l'établissement d'un "centre de vérification international" pour l'information relatives aux OVNIS "parce qu'il y a un manque presque total de données quantitatives" sur le sujet. Le Dr James E. McDonald, un météorologue de l'Université de l'Arizona, a dit que la communauté scientifique a eu tendance à rejeter les rapports de soucoupes volantes parce qu'il n'y avait aucune donnée scientifique, mais que ces mêmes scientifiques ne soutiennent pas la collection de telles données. Il a également affirmé que le milieu des médias, y compris le New York Times, refusait d'imprimer des nouvelles des observations d'OVNIS. Les Dr Hynek et McDonald ont été soutenus par le Dr Robert L. Hall, un professeur de sociologie de l'Université de l'Illinois; Le Dr Robert M. L. Baker de la la Computer Sciences Coroporation à EL Segundo, Californie; et le Dr James A. Harder, un professeur associé de l'Université de la Californie, à Berkeley. Le Dr Carl Sagan de l'Université de Cornell, auteur de "La vie intelligente dans l'univers", a pris la position la moins avancée sur l'existence des OVNIS. Au lieu d'un programme coûteux pour recueillir des données qui a le gros risque de réaliser des résultats positifs, il a préconisé à la place une tentative d'entrer en contact avec d'autres civilisations par la radio-astronomie couplée aux vols spatiaux planétaires non-pilotés. Le Dr Sagan a ajouté la facétie que "il se peut que les choses soient si mauvaises ici bas que quelqu'un là haut vienne pour nous sauver de nous-mêmes."
Il est malheureux que l'article développe plus sur les moqueries de Carl Sagan que sur les déclarations des autres scientifiques.
Voici le texte intégral du scientifique James McDonald à ces auditions, de loin plus intéressant en ce qui me concerne que les fantaisies de Carl Sagan.
Vous trouverez naturellement d'autres textes de ces six scientifiques dans la partie science de ce site.
OVNIS EN ARGENTINE, 1968:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Méridional, France, page 11, le 30 juillet 1968.
Nouveaux objets mystérieux dans le ciel argentin
BUENOS AIRES (AFP). -- Des objets volants non identifiés ont de nouveau été observés dans les dernières heures en Argentine, à Rosario et à Mar Del Plata, annonce la presse.
A Rosario, à 350 km à l'Ouest de Buenos Aires, plusieurs personnes ont suivi pendant sept minutes les évolutions d'un bizarre objet de forme allongée, d'une dizaine de mètres environ, qui diffusait une lumière éclatante de couleur rouge. Il se déplaçait dans différentes directions à grande vitesse. Le phénomène a été observé également par plusieurs automobilistes qui se dirigeaient sur la ville.
Près de Mar Del Plata, à 400 km. au Sud de la capitale argentine, plusieurs personnes qui pêchaient depuis l'aube sur la côte atlantique ont été attirées par une puissante lumière orangée qui brillait sur la mer, à quelques 2 kilomètres de la côte.
L'objet, de forme rectangulaire d'environ 50 mètres de long sur 5 de haut, intensément lumineux, paraissait se diriger sur la ville de Miramar, à trente kilomètres du lieu d'observation, quand il a changé de direction et s'est éloigné en sens contraire, s'élevant à une vitesse vertigineuse et disparaissant en quelques secondes à peine. en s'éloignant, les témoins ont noté que l'objet prenait une forme ovale.
La région de Mar Del Plata parait détenir le privilège de ces apparitions bizarres. Aussi, de nombreuses personnes viennent-elles dès l'aube jusqu'à la côte atlantique pour les observer. Récemment, un photographe d'un journal local est arrivé à prendre plusieurs clichés [trucages] d'un de ces engins.
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien La Tribune, de Sherbrooke, Québec, Canada, page 11, 20 juillet 1968.
Soucoupes volantes et êtres extraterrestres en Argentine
BUENOS AIRES (AFP)- L'apparition de nouveaux OVNIs, objets volants non identifiés, est signalée par les journaux argentins. Dans la province de Neuquen, au sud-ouest de Buenos Aires, des membres de la Gendarmerie nationale chargée de la surveillance de la frontière ont déclaré qu'une patrouille avait observé le 16 juillet un mystérieux objet volant évoluant à haute altitude et qui émettait une lumière très claire. Selon les membres de la patrouille, l'objet avait semblé atterrir à proximité, mais en un lieu dissimulé par les accidents de terrain. D'autre part, deux filles âgées de 15 ans et de 10 ans, qui vivent près de La Plata, ont raconté qu'elles avaient vu, le 9 juillet, un être d'un autre monde qui avait tenté d'engager la conversation avec elles, comme s'il voulait leur transmettre un message. Selon ces jeunes filles, le visiteur mesurait environ 7 pieds de haut, il avait de longs cheveux roux et des yeux bleus, était vêtu d'une combinaison et portait une sorte de visière transparente de couleur verte qui émettait des rayons violent orange, rouges et bleus. La marque de quatre grands doigts a été relevée contre la porte de la maison, près de laquelle l'être extraterrestre se serait manifesté.
L'article a été publié par le quotidien The New York Time le 30 Juillet 1968.
SIX SCIENTIFIQUES RECOMMANDENT UNE ETUDE DES SOUCOUPES VOLANTES:
Lors d'une audition hier devant le Comité de la Chambre pour l'Espace et l'Astronautique, plusieurs témoins ont demandé le soutien fédéral pour un vaste programme de rassemblement de l'information visant à finalement régler des décennies de discussions sur les OVNIS. Le Président du Comité, J. Edward Roush, représentant de l'Indiana, a recommandé il y a 3 mois que le Congrès assure la recherche sur les soucoupes volantes après avoir mis en doute l'objectivité de l'étude conduite par l'US Air Force.
Le Dr J. Allen Hynek de la Norhtwestern University a dit que les Etats-Unis devraient chercher la coopération de l'ONU dans l'établissement d'un "centre de vérification international" pour l'information relatives aux OVNIS "parce qu'il y a un manque presque total de données quantitatives" sur le sujet. Le Dr James E. McDonald, un météorologue de l'Université de l'Arizona, a dit que la communauté scientifique a eu tendance à rejeter les rapports de soucoupes volantes parce qu'il n'y avait aucune donnée scientifique, mais que ces mêmes scientifiques ne soutiennent pas la collection de telles données. Il a également affirmé que le milieu des médias, y compris le New York Times, refusait d'imprimer des nouvelles des observations d'OVNIS. Les Dr Hynek et McDonald ont été soutenus par le Dr Robert L. Hall, un professeur de sociologie de l'Université de l'Illinois; Le Dr Robert M. L. Baker de la la Computer Sciences Coroporation à EL Segundo, Californie; et le Dr James A. Harder, un professeur associé de l'Université de la Californie, à Berkeley. Le Dr Carl Sagan de l'Université de Cornell, auteur de "La vie intelligente dans l'univers", a pris la position la moins avancée sur l'existence des OVNIS. Au lieu d'un programme coûteux pour recueillir des données qui a le gros risque de réaliser des résultats positifs, il a préconisé à la place une tentative d'entrer en contact avec d'autres civilisations par la radio-astronomie couplée aux vols spatiaux planétaires non-pilotés. Le Dr Sagan a ajouté la facétie que "il se peut que les choses soient si mauvaises ici bas que quelqu'un là haut vienne pour nous sauver de nous-mêmes."
Il est malheureux que l'article développe plus sur les moqueries de Carl Sagan que sur les déclarations des autres scientifiques.
Voici le texte intégral du scientifique James McDonald à ces auditions, de loin plus intéressant en ce qui me concerne que les fantaisies de Carl Sagan.
Vous trouverez naturellement d'autres textes de ces six scientifiques dans la partie science de ce site.
OVNIS EN ARGENTINE, 1968:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Méridional, France, page 11, le 30 juillet 1968.
Nouveaux objets mystérieux dans le ciel argentin
BUENOS AIRES (AFP). -- Des objets volants non identifiés ont de nouveau été observés dans les dernières heures en Argentine, à Rosario et à Mar Del Plata, annonce la presse.
A Rosario, à 350 km à l'Ouest de Buenos Aires, plusieurs personnes ont suivi pendant sept minutes les évolutions d'un bizarre objet de forme allongée, d'une dizaine de mètres environ, qui diffusait une lumière éclatante de couleur rouge. Il se déplaçait dans différentes directions à grande vitesse. Le phénomène a été observé également par plusieurs automobilistes qui se dirigeaient sur la ville.
Près de Mar Del Plata, à 400 km. au Sud de la capitale argentine, plusieurs personnes qui pêchaient depuis l'aube sur la côte atlantique ont été attirées par une puissante lumière orangée qui brillait sur la mer, à quelques 2 kilomètres de la côte.
L'objet, de forme rectangulaire d'environ 50 mètres de long sur 5 de haut, intensément lumineux, paraissait se diriger sur la ville de Miramar, à trente kilomètres du lieu d'observation, quand il a changé de direction et s'est éloigné en sens contraire, s'élevant à une vitesse vertigineuse et disparaissant en quelques secondes à peine. en s'éloignant, les témoins ont noté que l'objet prenait une forme ovale.
La région de Mar Del Plata parait détenir le privilège de ces apparitions bizarres. Aussi, de nombreuses personnes viennent-elles dès l'aube jusqu'à la côte atlantique pour les observer. Récemment, un photographe d'un journal local est arrivé à prendre plusieurs clichés [trucages] d'un de ces engins.
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Re: Les ovnis dans la presse en 1968
Mer 28 Nov 2007, 21:16
RENCONTRE RAPPROCHEE THE 3EME TYPE, CANADA, 1968:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien
Le "crapeauïde" de Saint-Stanislas-de-Kostka
Le "plus beau cas" de soucoupe volante, à Saint-Stanislas de Kostka
Par Jacques Hébert
Vers 9 h., le soir du dimanche 28 juillet, cinq enfants affirment qu'ils ont vu une soucoupe volante atterrir dans un champ d'avoine situé près de la maison où ils jouaient. Après une demi-heure, tout était redevenu normal dans le sixième rang de Saint-Stanislas-de-Kostka, à quelque 45 miles au sud-ouest de Montréal. Ils ont "vu" aussi un "être" de l'espace. Tout cela est-il le fruit de cinq imaginations habiles et bien orchestrées? Il semble que non.
Ils sont cinq, tous habitués à se fréquenter, à travailler aux champs avec leurs parents ou à gambader près de la petite rivière coulant près de leur maison respective. Il y a d'abord Denis Léger, 12 ans, un garçon joyeux à l'oeil vif et pas nerveux pour deux sous. Son frère Régent, a 15 ans et parle rapidement et sursaute au moindre bruit. Les trois autres appartiennent à la famille de M. et Mme Gaétan Sauvé: Nicole, 14 ans, toujours souriante, calme et intelligente; Paul, 20 ans, un petit bout d'homme inquiet de ne pas être cru mais très intéressé à vous convaincre. Finalement, Joanne, 9 ans, peu loquace mais sûre d'elle-même.
Un cercle rouge
Denis Léger et son ami "Ti-Paul" (Sauvé) s'amusent paisiblement au deuxième étage de la demeure des Sauvé. Denis jette un coup d'oeil à la fenêtre où s'étalent champs de blé et d'avoine. Il est 21 heures, le temps est doux, il ne pleut pas et la noirceur est presque complète. Denis aperçoit alors une espèce de cercle ceinturé d'un halo rouge brillant.
Vivement, il appelle son ami et les trois autres enfants! Quelques secondes plus tard, un second objet, semblable au premier, fait son apparition. Ils se déplacent lentement, de façon continue, sans soubresauts. Tandis que l'un s'arrête, l'autre descend à la verticale. On dirait une couronne glissant tranquillement vers le sol, sans bruit. Dix yeux ébahis observent bouche-bée, cette "chose mystérieuse" qui touche le sol d'un champ d'avoine, à 1000 pieds environ de leur point d'observation. Aussitôt, Denis s'écrie: "C'est une soucoupe volante", ce que les autres pensent aussi. "Je le sais, j'en suis certain, dit-il. J'en ai vu une l'an dernier à peu près à la même date mais durant l'après-midi. Elle m'avait suivi pendant cinq minutes environ à 20 pieds de terre. J'étais à 500 pieds, à bicyclette. J'ai vu l'intérieur, c'était facile parce que le dessus de la soucoupe était fait de verre, environ trois ou quatre pouces d'épais. Il y avait trois personnes dont l'une assise à un bout et les deux autres à l'autre. Ils semblaient petits et noirs. Ca ressemblait à une soucoupe ronde et brillante. Il n'y avait rien en dessous et au-dessus et ça ne faisait aucun bruit. "Je dois avouer que j'ai eu vraiment peur et que j'ai j'étais content de ne plus la voir lorsque je suis entré dans le bois pour me rendre à la maison." (Précisons ici qu'effectivement les arbres recouvrent la route à un certain endroit). Une fois son récit terminé, Denis retourne à la fenêtre suivi des autres. L'objet lumineux est toujours là; environ dix minutes se sont écoulées.
L'homme laid dans la cour
Revenus de leur surprise les cinq enfants décident d'aller regarder par la fenêtre du premier étage, puis dans la cour, pour mieux voir le fameux objet. Denis, le plus brave du groupe, se retrouve le premier sur la galerie, lampe de poche en main. Ses amis sont maintenant près de lui. Il dirige tout d'abord son faisceau lumineux droit devant lui, sur une clôture de bois, à 50 pieds tout au plus de l'endroit où il se trouve. Frayeur générale, sursaut puis panique et rentrée à toute vitesse à l'intérieur de la maison.
La lampe a éclairé une tête dépassant de la clôture, une tête chauve, noire ou brune, que l'on croirait incrustée entre les deux épaules, sans cou. Les yeux sont ronds, de grandeur normale mais ridés. Les oreilles n'offrent rien de particulier sinon qu'elles sont entourées de cheveux ou poils crépus, noirs. La bouche n'est pas anormalement large et le nez est plat. Le menton est normal. Au total, la tête apparaît un peu plus grosse que chez un humain. L'être en question peut mesurer dans les 4 pieds mais ses épaules sont plus larges que la normale. Les jambes et les pieds sont cachés par la noirceur.
Les enfants ont peur, surtout à cause de sa peau "ridée, galeuse, avec des bosses". Sitôt qu'il se sent vu et éclairé, l'être porte sa main droite à la hauteur de sa figure. C'est une main à 5 doigts, "très large, noire, bosselé, galeuse comme la peau d'un crapaud". Elle s'ouvre et se referme comme celle d'un bébé qui veut saluer. Elle demeure dans cette position tandis que la créature "reculera tranquillement vers la grange en faisant de très petits pas". Puis, elle disparaît.
Dans la fenêtre
Denis remonte au second étage d'où il observe toujours la soucoupe lumineuse. Paul est à ses côtés. Nicole est au téléphone et cherche ses parents absents. Joanne s'est enfermée à double tour dans la salle de bain; elle tremble de tous ses membres. Régent, le plus âgé, est à la fenêtre quand il aperçoit à son tour droit devant lui, la "même figure laide et noire et la main galeuse qui frappe la vitre." Il entend même un grognement semblable au mugissement d'une vache. Paralysé de frayeur, il ne peut bouger ni parler. Il est livide. La créature n'insiste pas, recule et disparaît à nouveau.
Départ de la soucoupe
Les enfants remontent au second étage. Quelques minutes après "les coups dans la vitre", la soucoupe, toujours d'une luminosité rouge, s'élève dans les airs "verticalement et lentement jusqu'à ce qu'elle disparaisse dans les nuages ou dans le ciel". L'autre objet qui accompagnait le premier à son arrivée, a dû partir plus tôt car on ne le voit plus. Aucun bruit particulier, aucune explosion de lumière. M. et Mme Sauvé acceptent "l'histoire de la soucoupe" mais demeurent sceptiques quant à la créature. L'été dernier M. Sauvé, un homme très posé, a lui-même vu une "soucoupe" à 500 pieds de sa maison. Cela l'a peu impressionné. Le temps d'entrer pour prévenir sa femme que l'objet avait déjà disparu. En rentrant, Mme Sauvé a trouvé ses enfants dans "un état de très grande nervosité et terriblement effrayés". Les parents de Denis et Régent ont la même réflexion. Laissons parler M. Henri Léger: "Je connais bien mon fils Denis. C'est un enfant "pas peureux" qui ne se laisse pas impressionner. Se promener dans les bois et dans les champs la nuit, ça ne le force pas du tout. Mais le soir où c'est arrivé (dimanche 29 juillet) il m'a rappelé la fois où il avait dit avoir vu une soucoupe volante à 500 pieds (l'an dernier). Il était effrayé, très nerveux et ce n'est pas dans ses habitudes d'avoir un tel comportement". De l'avis général, il a fallu que quelque chose de vraiment extraordinaire se produise pour que leurs enfants soient à ce point terrifiés.
Une pure invention?
Sûrement pas une pure invention. Est-il possible que cinq enfants de 9 à 15 ans résistent parfaitement à trois interrogatoires espacés d'une journée chacune, et d'une durée respective d'environ 1 heure et 30 minutes sans jamais varier leur version des faits à moins qu'ils ne disent que la vérité ? Il faut aussi noter qu'ils ne se vantent pas d'avoir vu une soucoupe; ils ne considèrent pas cela comme une petite gloriole et ne sont pas plus bavards qu'il ne le faut.
Ils répondent aux questions qu'on leur pose, calmement, sans exagérer. Interrogés pour savoir s'ils voyaient souvent des aventures spatiales à la télévision ou s'ils étaient amateurs d'albums racontant des histoires fantastiques, les jeunes ont répondu dans la négative. Ils sont francs; à l'un d'entre eux à qui on demandait s'il était toujours premier en classe, cette réponse nous fut donnée: "Non, je suis toujours le dernier". Les pièges, les questions embêtantes, les détails à répéter, rien ne fait changer leur témoignage.
L'endroit de l'atterrissage
A l'endroit où les cinq enfants prétendent avoir vu la soucoupe se poser en douceur (un immense champ d'avoine) il est facile de constater qu'une surface circulaire de 15 pieds de diamètre a été écrasée et que l'avoine a été battue de façon circulaire comme l'aurait fait un tourbillon. A partir de cet endroit, on remarque aussi une trace de 4 pouces de large, longue de 60 pieds qui s'arrête brutalement.
L'opinion d'un expert
L'auteur du volume "J'ai vu des soucoupes volantes", M. Henri Bordeleau, de Montréal qui s'intéresse au problème des soucoupes volantes depuis 20 ans, s'est lui-même rendu sur les lieux et a interrogé les enfants après avoir longuement étudié la trace laissée par l'appareil. A son avis, le cas observé à Saint-Stanislas-de-Kostka, dans le comté de Beauharnois, est "le plus beau, le plus clair et le plus explicite enregistré depuis 20 ans". "Jamais, a-t-il ajouté, il n'a été possible de rassembler autant de détails. Il est certain que ces enfants ne mentent pas. Tout ce qu'ils ont dit et décrit correspond parfaitement à ce que nous savons déjà, à ce qui a déjà été observé ailleurs".
C'est à cette distance que les enfants ont aperçu l'être étrange. Il était placé derrière la clôture où se situe le garçon portant chapeau sur la photo du haut. La photo du bas du bas montre l'endroit où la soucoupe se serais posée.
Dans l'ordre habituel, Régent Léger, Denis Léger, Paul Sauvé, Nicole Sauvé. Joanne n'apparaît pas sur la photo.
OVNIS DANS LA PRESSE FRANCAISE, 1968:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Méridional, France, page 12, le 21 août 1968.
SOUCOUPE VOLANTE DANS LE CIEL DU DOUAISIS
DOUAI (A.F.P.). -- Une forme orange, assez lumineuse, a été aperçue dans le ciel du Douaisis, vers 1 heure 40, dans la nuit de dimanche à lundi, par un gendarme en retraite, M. Jean Lacroix, habitant Sin-le-Noble.
Cet objet, selon ce témoin, effectua un parcours sinueux vers le sud, se déplaça ensuite en sens inverse, s'immobilisa un instant, puis repartit très vite, à une vitesse comparable sinon supérieure à celle d'un avion à réaction.
M. Lacroix, qui ne croyait pas auparavant aux "soucoupes volantes" et autres objets mystérieux, est maintenant moins sceptique.
OVNIS DANS LA PRESSE FRANCAISE, 1968:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien L'Est Républicain, France, page 5, le 24 août 1968.
Un objet lumineux fonce sur deux cultivateurs
DIJON. -- Deux cultivateurs de Brazay-en-Morvan (Côte-d'Or), MM. Marius Carré et Paul Billard, qui faisaient la moisson furent intrigués par un objet blanc éclatant posé sur la montagne faisant face à leur champ. L'engin avait la grosseur d'une cuisinière.
Soudain une lueur apparut, grandit et s'approcha en direction des deux compagnons. Elle devint éblouissante, avec de nombreuses étincelles.
L'engin s'immobilisa à ras d'une haie avant de reculer. La lumière était si aveuglante que MM. Carré et Billard ne purent garder les yeux fixés sur l'objet, qui disparut aussitôt.
Mais les cultivateurs remarquaient après cette scène, qu'une voiture quittait les lieux pourtant peu fréquenté.
Canular ou soucoupe volante?
Les faits sont troublants. On ne saurait douter de la bonne foi des témoins. De plus, le 21 juillet dernier, à quelques kilomètres de là, un autre objet avait été vu par un agriculteur de Brazey-en-Morvan.
Les gendarmes de Liernais, qui n'ont retrouvé aucune trace, s'interrogent. L'aventure amuse beaucoup les gens du village voisin. On parle de canular. Cette histoire n'aurait-elle point été montée de toutes pièces?
Cette hypothèse ne semble pas exclue: un très grand miroir, une grosse boule blanche, on éblouit les cultivateurs au travail, on avance, on recule le miroir avant de le retourner subitement et "l'objet" a disparu.
Autre hypothèse: il pourrait s'agir d'un ballon-sonde de la météo.
Enfin, n'excluons point l'hypothèse d'un objet venant d'une autre planète, puisque, nous aussi nous allons rendre visite à Mars, à Vénus et autres planètes peut-être habitées.
LES MARTIENS DANS LA PRESSE CANADIENNE, 1968:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien La Tribune de Sherbrooke, Sherbrooke, Canada, page 1, 23 septembre 1968.
Soucoupe volante et martien à Coaticook?
COATICOOK. -- Le témoignage de deux jeunes filles qui ont prétendu avoir aperçu un martien, près du High School de Coaticook, a semé la panique chez plusieurs enfants de cette ville en fin de semaine. Un garçonnet, André Bolduc, est entré chez lui effrayé et en larmes. Par ailleurs, une fillette a refusé de coucher seule dans sa chambre comme à l'habitude, parce qu'elle avait peur.
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien
Le "crapeauïde" de Saint-Stanislas-de-Kostka
Le "plus beau cas" de soucoupe volante, à Saint-Stanislas de Kostka
Par Jacques Hébert
Vers 9 h., le soir du dimanche 28 juillet, cinq enfants affirment qu'ils ont vu une soucoupe volante atterrir dans un champ d'avoine situé près de la maison où ils jouaient. Après une demi-heure, tout était redevenu normal dans le sixième rang de Saint-Stanislas-de-Kostka, à quelque 45 miles au sud-ouest de Montréal. Ils ont "vu" aussi un "être" de l'espace. Tout cela est-il le fruit de cinq imaginations habiles et bien orchestrées? Il semble que non.
Ils sont cinq, tous habitués à se fréquenter, à travailler aux champs avec leurs parents ou à gambader près de la petite rivière coulant près de leur maison respective. Il y a d'abord Denis Léger, 12 ans, un garçon joyeux à l'oeil vif et pas nerveux pour deux sous. Son frère Régent, a 15 ans et parle rapidement et sursaute au moindre bruit. Les trois autres appartiennent à la famille de M. et Mme Gaétan Sauvé: Nicole, 14 ans, toujours souriante, calme et intelligente; Paul, 20 ans, un petit bout d'homme inquiet de ne pas être cru mais très intéressé à vous convaincre. Finalement, Joanne, 9 ans, peu loquace mais sûre d'elle-même.
Un cercle rouge
Denis Léger et son ami "Ti-Paul" (Sauvé) s'amusent paisiblement au deuxième étage de la demeure des Sauvé. Denis jette un coup d'oeil à la fenêtre où s'étalent champs de blé et d'avoine. Il est 21 heures, le temps est doux, il ne pleut pas et la noirceur est presque complète. Denis aperçoit alors une espèce de cercle ceinturé d'un halo rouge brillant.
Vivement, il appelle son ami et les trois autres enfants! Quelques secondes plus tard, un second objet, semblable au premier, fait son apparition. Ils se déplacent lentement, de façon continue, sans soubresauts. Tandis que l'un s'arrête, l'autre descend à la verticale. On dirait une couronne glissant tranquillement vers le sol, sans bruit. Dix yeux ébahis observent bouche-bée, cette "chose mystérieuse" qui touche le sol d'un champ d'avoine, à 1000 pieds environ de leur point d'observation. Aussitôt, Denis s'écrie: "C'est une soucoupe volante", ce que les autres pensent aussi. "Je le sais, j'en suis certain, dit-il. J'en ai vu une l'an dernier à peu près à la même date mais durant l'après-midi. Elle m'avait suivi pendant cinq minutes environ à 20 pieds de terre. J'étais à 500 pieds, à bicyclette. J'ai vu l'intérieur, c'était facile parce que le dessus de la soucoupe était fait de verre, environ trois ou quatre pouces d'épais. Il y avait trois personnes dont l'une assise à un bout et les deux autres à l'autre. Ils semblaient petits et noirs. Ca ressemblait à une soucoupe ronde et brillante. Il n'y avait rien en dessous et au-dessus et ça ne faisait aucun bruit. "Je dois avouer que j'ai eu vraiment peur et que j'ai j'étais content de ne plus la voir lorsque je suis entré dans le bois pour me rendre à la maison." (Précisons ici qu'effectivement les arbres recouvrent la route à un certain endroit). Une fois son récit terminé, Denis retourne à la fenêtre suivi des autres. L'objet lumineux est toujours là; environ dix minutes se sont écoulées.
L'homme laid dans la cour
Revenus de leur surprise les cinq enfants décident d'aller regarder par la fenêtre du premier étage, puis dans la cour, pour mieux voir le fameux objet. Denis, le plus brave du groupe, se retrouve le premier sur la galerie, lampe de poche en main. Ses amis sont maintenant près de lui. Il dirige tout d'abord son faisceau lumineux droit devant lui, sur une clôture de bois, à 50 pieds tout au plus de l'endroit où il se trouve. Frayeur générale, sursaut puis panique et rentrée à toute vitesse à l'intérieur de la maison.
La lampe a éclairé une tête dépassant de la clôture, une tête chauve, noire ou brune, que l'on croirait incrustée entre les deux épaules, sans cou. Les yeux sont ronds, de grandeur normale mais ridés. Les oreilles n'offrent rien de particulier sinon qu'elles sont entourées de cheveux ou poils crépus, noirs. La bouche n'est pas anormalement large et le nez est plat. Le menton est normal. Au total, la tête apparaît un peu plus grosse que chez un humain. L'être en question peut mesurer dans les 4 pieds mais ses épaules sont plus larges que la normale. Les jambes et les pieds sont cachés par la noirceur.
Les enfants ont peur, surtout à cause de sa peau "ridée, galeuse, avec des bosses". Sitôt qu'il se sent vu et éclairé, l'être porte sa main droite à la hauteur de sa figure. C'est une main à 5 doigts, "très large, noire, bosselé, galeuse comme la peau d'un crapaud". Elle s'ouvre et se referme comme celle d'un bébé qui veut saluer. Elle demeure dans cette position tandis que la créature "reculera tranquillement vers la grange en faisant de très petits pas". Puis, elle disparaît.
Dans la fenêtre
Denis remonte au second étage d'où il observe toujours la soucoupe lumineuse. Paul est à ses côtés. Nicole est au téléphone et cherche ses parents absents. Joanne s'est enfermée à double tour dans la salle de bain; elle tremble de tous ses membres. Régent, le plus âgé, est à la fenêtre quand il aperçoit à son tour droit devant lui, la "même figure laide et noire et la main galeuse qui frappe la vitre." Il entend même un grognement semblable au mugissement d'une vache. Paralysé de frayeur, il ne peut bouger ni parler. Il est livide. La créature n'insiste pas, recule et disparaît à nouveau.
Départ de la soucoupe
Les enfants remontent au second étage. Quelques minutes après "les coups dans la vitre", la soucoupe, toujours d'une luminosité rouge, s'élève dans les airs "verticalement et lentement jusqu'à ce qu'elle disparaisse dans les nuages ou dans le ciel". L'autre objet qui accompagnait le premier à son arrivée, a dû partir plus tôt car on ne le voit plus. Aucun bruit particulier, aucune explosion de lumière. M. et Mme Sauvé acceptent "l'histoire de la soucoupe" mais demeurent sceptiques quant à la créature. L'été dernier M. Sauvé, un homme très posé, a lui-même vu une "soucoupe" à 500 pieds de sa maison. Cela l'a peu impressionné. Le temps d'entrer pour prévenir sa femme que l'objet avait déjà disparu. En rentrant, Mme Sauvé a trouvé ses enfants dans "un état de très grande nervosité et terriblement effrayés". Les parents de Denis et Régent ont la même réflexion. Laissons parler M. Henri Léger: "Je connais bien mon fils Denis. C'est un enfant "pas peureux" qui ne se laisse pas impressionner. Se promener dans les bois et dans les champs la nuit, ça ne le force pas du tout. Mais le soir où c'est arrivé (dimanche 29 juillet) il m'a rappelé la fois où il avait dit avoir vu une soucoupe volante à 500 pieds (l'an dernier). Il était effrayé, très nerveux et ce n'est pas dans ses habitudes d'avoir un tel comportement". De l'avis général, il a fallu que quelque chose de vraiment extraordinaire se produise pour que leurs enfants soient à ce point terrifiés.
Une pure invention?
Sûrement pas une pure invention. Est-il possible que cinq enfants de 9 à 15 ans résistent parfaitement à trois interrogatoires espacés d'une journée chacune, et d'une durée respective d'environ 1 heure et 30 minutes sans jamais varier leur version des faits à moins qu'ils ne disent que la vérité ? Il faut aussi noter qu'ils ne se vantent pas d'avoir vu une soucoupe; ils ne considèrent pas cela comme une petite gloriole et ne sont pas plus bavards qu'il ne le faut.
Ils répondent aux questions qu'on leur pose, calmement, sans exagérer. Interrogés pour savoir s'ils voyaient souvent des aventures spatiales à la télévision ou s'ils étaient amateurs d'albums racontant des histoires fantastiques, les jeunes ont répondu dans la négative. Ils sont francs; à l'un d'entre eux à qui on demandait s'il était toujours premier en classe, cette réponse nous fut donnée: "Non, je suis toujours le dernier". Les pièges, les questions embêtantes, les détails à répéter, rien ne fait changer leur témoignage.
L'endroit de l'atterrissage
A l'endroit où les cinq enfants prétendent avoir vu la soucoupe se poser en douceur (un immense champ d'avoine) il est facile de constater qu'une surface circulaire de 15 pieds de diamètre a été écrasée et que l'avoine a été battue de façon circulaire comme l'aurait fait un tourbillon. A partir de cet endroit, on remarque aussi une trace de 4 pouces de large, longue de 60 pieds qui s'arrête brutalement.
L'opinion d'un expert
L'auteur du volume "J'ai vu des soucoupes volantes", M. Henri Bordeleau, de Montréal qui s'intéresse au problème des soucoupes volantes depuis 20 ans, s'est lui-même rendu sur les lieux et a interrogé les enfants après avoir longuement étudié la trace laissée par l'appareil. A son avis, le cas observé à Saint-Stanislas-de-Kostka, dans le comté de Beauharnois, est "le plus beau, le plus clair et le plus explicite enregistré depuis 20 ans". "Jamais, a-t-il ajouté, il n'a été possible de rassembler autant de détails. Il est certain que ces enfants ne mentent pas. Tout ce qu'ils ont dit et décrit correspond parfaitement à ce que nous savons déjà, à ce qui a déjà été observé ailleurs".
C'est à cette distance que les enfants ont aperçu l'être étrange. Il était placé derrière la clôture où se situe le garçon portant chapeau sur la photo du haut. La photo du bas du bas montre l'endroit où la soucoupe se serais posée.
Dans l'ordre habituel, Régent Léger, Denis Léger, Paul Sauvé, Nicole Sauvé. Joanne n'apparaît pas sur la photo.
OVNIS DANS LA PRESSE FRANCAISE, 1968:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Méridional, France, page 12, le 21 août 1968.
SOUCOUPE VOLANTE DANS LE CIEL DU DOUAISIS
DOUAI (A.F.P.). -- Une forme orange, assez lumineuse, a été aperçue dans le ciel du Douaisis, vers 1 heure 40, dans la nuit de dimanche à lundi, par un gendarme en retraite, M. Jean Lacroix, habitant Sin-le-Noble.
Cet objet, selon ce témoin, effectua un parcours sinueux vers le sud, se déplaça ensuite en sens inverse, s'immobilisa un instant, puis repartit très vite, à une vitesse comparable sinon supérieure à celle d'un avion à réaction.
M. Lacroix, qui ne croyait pas auparavant aux "soucoupes volantes" et autres objets mystérieux, est maintenant moins sceptique.
OVNIS DANS LA PRESSE FRANCAISE, 1968:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien L'Est Républicain, France, page 5, le 24 août 1968.
Un objet lumineux fonce sur deux cultivateurs
DIJON. -- Deux cultivateurs de Brazay-en-Morvan (Côte-d'Or), MM. Marius Carré et Paul Billard, qui faisaient la moisson furent intrigués par un objet blanc éclatant posé sur la montagne faisant face à leur champ. L'engin avait la grosseur d'une cuisinière.
Soudain une lueur apparut, grandit et s'approcha en direction des deux compagnons. Elle devint éblouissante, avec de nombreuses étincelles.
L'engin s'immobilisa à ras d'une haie avant de reculer. La lumière était si aveuglante que MM. Carré et Billard ne purent garder les yeux fixés sur l'objet, qui disparut aussitôt.
Mais les cultivateurs remarquaient après cette scène, qu'une voiture quittait les lieux pourtant peu fréquenté.
Canular ou soucoupe volante?
Les faits sont troublants. On ne saurait douter de la bonne foi des témoins. De plus, le 21 juillet dernier, à quelques kilomètres de là, un autre objet avait été vu par un agriculteur de Brazey-en-Morvan.
Les gendarmes de Liernais, qui n'ont retrouvé aucune trace, s'interrogent. L'aventure amuse beaucoup les gens du village voisin. On parle de canular. Cette histoire n'aurait-elle point été montée de toutes pièces?
Cette hypothèse ne semble pas exclue: un très grand miroir, une grosse boule blanche, on éblouit les cultivateurs au travail, on avance, on recule le miroir avant de le retourner subitement et "l'objet" a disparu.
Autre hypothèse: il pourrait s'agir d'un ballon-sonde de la météo.
Enfin, n'excluons point l'hypothèse d'un objet venant d'une autre planète, puisque, nous aussi nous allons rendre visite à Mars, à Vénus et autres planètes peut-être habitées.
LES MARTIENS DANS LA PRESSE CANADIENNE, 1968:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien La Tribune de Sherbrooke, Sherbrooke, Canada, page 1, 23 septembre 1968.
Soucoupe volante et martien à Coaticook?
COATICOOK. -- Le témoignage de deux jeunes filles qui ont prétendu avoir aperçu un martien, près du High School de Coaticook, a semé la panique chez plusieurs enfants de cette ville en fin de semaine. Un garçonnet, André Bolduc, est entré chez lui effrayé et en larmes. Par ailleurs, une fillette a refusé de coucher seule dans sa chambre comme à l'habitude, parce qu'elle avait peur.
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Re: Les ovnis dans la presse en 1968
Mer 28 Nov 2007, 21:18
Scepticisme
Même si samedi soir, vers 8 heures, une foule de près de 50 personnes s'étaient massées près du High School parce que l'on prétendait voir à nouveau l'explorateur venu d'un autre monde, la majorité des gens demeurent sceptiques. Samedi, la police municipale a été demandée sur les lieux, car disait-on, "l'envahisseur"était sur le toit de l'édifice." Les constables René Marcoux et Gille Sauvageau ont fait l'enquête. Selon M. Marcoux, le phénomène s'expliquerait du fait que les lumières d'un garage, situé près de cette école reflétaient sur une girouette qui se trouve sur le toit. Cependant, il semble d'après des témoins que la chose eut été possible. La majorité des personnes interrogées ont souligné avoir aperçu un objet qui émettait des "flashes" oranges, rouges et verts. Certains disent avoir vu cet objet qui ressemblait à une étoile se déplaçant en rond avant de disparaître ou s'immobiliser.
La petite Sharley Green a déclaré: "Il était vers 9h.30, j'ai vu une face verte qui n'avait ni nez, ni de bouche, ni de cheveux." Elle prétend que le bonhomme émettait des lueurs intermittentes. pour sa part, la petite Fabienne Champagne a déclaré n'avoir vu que les arbres bouger mais elle est certaine qu'un martien s'y trouvait. Pour sa part, Jacques Lessard a déclaré avoir vu une grosse boule orange, grise et verte faire deux tours et disparaître. Selon lui, un anneau entourait l'objet. C'est de cet anneau qu'émanaient les clignotements.
Les traces
Par ailleurs, des traces ont été montrées. Il s'agirait des traces laissées par "l'envahisseur." Ces traces sont d'environ un pouce de large, six pouces de longueur. Les marques sont éloignées de cinq pouces. Cependant, certains croient qu'il peut s'agir de traces faites par une tondeuse mais à cet endroit l'herbe n'avait pas été tondue. Par ailleurs, un témoin qui s'est rendu deux fois sur les lieux a pris note qu'à un jour d'intervalle, il y avait une trace de plus.
Les rumeurs
Les rumeurs des plus sérieuses aux plus fantaisistes ont circulé à Coaticook. Certains voulaient même qu'un poste de radio de Sherbrooke ait annoncé à ses nouvelles qu'une femme qui s'était penchée sur la rampe de sa galerie pour voir la soucoupe était tombée en bas et avait succombé à ses blessures. D'autres disaient que plus de 100 personnes s'étaient massées à l'aéroport de Sherbrooke pour voir un tel objet. Ces rumeurs démontrent un peu l'état d'esprit qui régnait dans certains milieux. Chose certaine, tous ceux qui disent avoir vu la soucoupe volante seraient prêts à jurer que c'est la vérité et comprennent très mal que les malheureux qui n'ont pu avoir "cette vision" ne les croient pas. Hier soir, près de 80 enfants s'étaient massé près du High School et dans différents champs de Coaticook pour surveiller ce qui se passerait. Sous la direction de Pierre Bolduc, Jacques Lessard et Pierre Fournier, les jeunes gens surveillaient avec des lumières de poches et communiquaient entre eux par Walkie-talkie. Ils étaient indignés du scepticisme de plusieurs et surveillaient avec attention tous les mouvements qui leur semblaient suspects. Par ailleurs, plusieurs observaient le ciel.
Dernière trace
Par ailleurs, Jacques Lessard a également conduit le représentant de La Tribune dans un champ de M. Boivin, où l'herbe a été écrasée. Il s'agit d'un cercle d'environ 42 pieds de diamètre.
UN EXPERT DEMEURE SCEPTIQUE MAIS NE LAISSE PAS TOMBER "L'AFFAIRE"
COATICOOK. -- M. Jean Dicaire, du Saucer Institute of Research, de Montréal, a déclaré qu'il est très sceptique quant à la véracité de l'apparition d'un Martien à Coaticook. L'expert en la matière a tenu à souligner que tous ces commentaires sont personnels et n'engagent rien de l'Association dont il est membre. Selon M. Dicaire, la trace de l'endroit où se serait poser l'engin parait avoir été faite de main humaines. Selon lui, s'il y avait eu une soucoupe volante, la terre aurait été foulée et non creusée. De toutes façons des mesures ont été prises pour tirer l'affaire au clair. Des photos et des questionnaires, qui une fois remplis, seront envoyés, aux autorités qui étudieront le dossier.
Ridicule
"Même si cela a l'air ridicule et que l'on pense se faire traiter de niaiseux, au moment où des gens croient avoir pris connaissance d'un tel phénomène devrait alerter les autorités compétentes", de dire M. Dicaire. Questionné sur le problème posé par l'apparition de soucoupes-volantes, M. Dicaire a déclaré que personnellement il croit à l'hallucination collective. "Cependant, dans de tels cas, lorsqu'il y a plus de cinq à dix personnes, il y en a toujours une ou deux qui ont vu quelque chose de différent. Quand tous les témoins disent exactement la même chose, il serait impossible qu'il s'agisse alors d'hallucination collective" d'ajouter M. Dicaire.
M. Dicaire a aussi déclaré que personnellement il ne croit pas que les soucoupes-volantes soient le produit ou des États-Unis ou de la Russie, car ces pays ne seraient pas encore assez puissants scientifiquement pour construire des engins qui pouraient évoluer à de tels vitesses et sans bruit.
Charroux
M. Dicaire croit que les visiteurs viendraient de Vénus. Il a expliqué qu'il a été influencé par les théories de Robert Charoux, théories qui veulent qu'au moment où l'Atlantique a été immergée les gens de la terre aurait pu prévoir la catastrophe et aurait abandonné la terre pour Vénus. Ceux-ci tenteraient maintenant de revenir à leur terre natale. Pour ceux que la chose intéresse cette théorie est exposée dans le livre: "Histoire inconnue des hommes depuis 10,000 ans". M. Dicaire croit personnellement dans deux théories soit qu'il s'agit de patrouille de l'espace ou ce sont des gens d'une autre planète qui veulent entrer en contact avec nous. M. Dicaire a fait remarquer qu'il se poursuit actuellement des recherches afin de pouvoir communiquer avec eux par télépatie [sic]. De toute façon, selon M. Dicaire, si la chose est vraie, il y aura encore des apparitions.
OVNIS EN ALGERIE, 1968:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Provençal, France, page 15, le 15 novembre 1968.
Plusieurs "soucoupes volantes" ont survolé Alger
Plusieurs objets volants non identifiées qu'on appelle encore "soucoupes volantes", ont survolé Algers dans la nuit de mercredi à Jeudi. En effet, deux employés administratifs de l'hopital "Aït Idir", Chaffai Mohamed Chérif et Youssefi Ali, et un journaliste de l'agence de presse algérienne "A.P.S." ont aperçu du côté de Bouzareah, plusieurs objets très lumineux (une quinzaine environ) évoluer dans le ciel à grande vitesse.
Ces objets, qui selon les dires des témoins, avaient une forme triangulaire, ou circulaire, se dirigeaient vers le nord. D'autre part, ces mystérieux objets en forme de soucoupes volantes ont également été aperçus par des témoins au-dessus de la ville de Kolea et de ses environs.
BOULE LUMINEUSE SUIVANT UN TRAIN, FRANCE, 1968:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Parisien Libéré, Paris, France, page 7, le 19 décembre 1968.
Une soucoupe volante en Bretagne?
SAINT-BRIEUC (corr. part.) -- Craignant de n'être pas pris au sérieux les voyageurs du rapide "Armor" qui relie Brest à Paris ont gardé le silence pendant plusieurs heures sur la "boule de feu" qui, l'autre soir, a suivi à quelques centaines de mètres de hauteur, le convoi.
Le phénomène apparut dès que le rapide eut quitté à 19 heures la gare de Saint-Brieuc: un engin sphérique de couleur blanche métallisée et dégageant une certaine luminosité accompagnait le train sur la droite, épousant tout d'abord la trajectoire parfois sinueuse du convoi.
Pensant avoir affaire à un reflet de lumière sur une vitre, les voyageurs n'y prêtèrent tout d'abord aucune attention, mais grande fut la surprise générale lorsqu'une fois les vitres abaissées, on continua d'apercevoir l'étrange boule.
Dans plusieurs compartiments on observa le curieux manège. L' "engin" s'arrêta à la verticale du train en gare de Lamballe et reprit son curieux cheminement le long de la voie ferrée. Peu avant Rennes, il prenait de la hauteur et disparaissait subitement derrière les nuages. Pendant près d'une heure les voyageurs de l' "Armor" avaient été intrigués par cette mystérieuse boule de feu.
"On aurait dit un chien suivant son maître. Il ne pouvait, ont affirmé les témoins, être question d'une illusion d'optique, encore moins d'une hallucination collective, mais certainement d'un objet non identifié."
SOUCOUPES VOLANTES DANS LA PRESSE FRANCAISE, 1968:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Parision Libéré, France, page 14, 21 décembre 1968.
Soucoupes volantes en Seine-et-Marne?
MEAUX (corr. part.). -- L'engin lumineux qui avait été vu l'espace d'une seconde, mercredi soir, dans le ciel de Moret-sur-Loing, a été également aperçu évoluant au-dessus de Meaux et de Villuis, au sud-ouest de Bray-sur-Marne.
MM. André Bénard et Pierre Drivière, témoins du phénomène, sont formels: la "soucoupe volante" projetait des lueurs jaunes.
Même si samedi soir, vers 8 heures, une foule de près de 50 personnes s'étaient massées près du High School parce que l'on prétendait voir à nouveau l'explorateur venu d'un autre monde, la majorité des gens demeurent sceptiques. Samedi, la police municipale a été demandée sur les lieux, car disait-on, "l'envahisseur"était sur le toit de l'édifice." Les constables René Marcoux et Gille Sauvageau ont fait l'enquête. Selon M. Marcoux, le phénomène s'expliquerait du fait que les lumières d'un garage, situé près de cette école reflétaient sur une girouette qui se trouve sur le toit. Cependant, il semble d'après des témoins que la chose eut été possible. La majorité des personnes interrogées ont souligné avoir aperçu un objet qui émettait des "flashes" oranges, rouges et verts. Certains disent avoir vu cet objet qui ressemblait à une étoile se déplaçant en rond avant de disparaître ou s'immobiliser.
La petite Sharley Green a déclaré: "Il était vers 9h.30, j'ai vu une face verte qui n'avait ni nez, ni de bouche, ni de cheveux." Elle prétend que le bonhomme émettait des lueurs intermittentes. pour sa part, la petite Fabienne Champagne a déclaré n'avoir vu que les arbres bouger mais elle est certaine qu'un martien s'y trouvait. Pour sa part, Jacques Lessard a déclaré avoir vu une grosse boule orange, grise et verte faire deux tours et disparaître. Selon lui, un anneau entourait l'objet. C'est de cet anneau qu'émanaient les clignotements.
Les traces
Par ailleurs, des traces ont été montrées. Il s'agirait des traces laissées par "l'envahisseur." Ces traces sont d'environ un pouce de large, six pouces de longueur. Les marques sont éloignées de cinq pouces. Cependant, certains croient qu'il peut s'agir de traces faites par une tondeuse mais à cet endroit l'herbe n'avait pas été tondue. Par ailleurs, un témoin qui s'est rendu deux fois sur les lieux a pris note qu'à un jour d'intervalle, il y avait une trace de plus.
Les rumeurs
Les rumeurs des plus sérieuses aux plus fantaisistes ont circulé à Coaticook. Certains voulaient même qu'un poste de radio de Sherbrooke ait annoncé à ses nouvelles qu'une femme qui s'était penchée sur la rampe de sa galerie pour voir la soucoupe était tombée en bas et avait succombé à ses blessures. D'autres disaient que plus de 100 personnes s'étaient massées à l'aéroport de Sherbrooke pour voir un tel objet. Ces rumeurs démontrent un peu l'état d'esprit qui régnait dans certains milieux. Chose certaine, tous ceux qui disent avoir vu la soucoupe volante seraient prêts à jurer que c'est la vérité et comprennent très mal que les malheureux qui n'ont pu avoir "cette vision" ne les croient pas. Hier soir, près de 80 enfants s'étaient massé près du High School et dans différents champs de Coaticook pour surveiller ce qui se passerait. Sous la direction de Pierre Bolduc, Jacques Lessard et Pierre Fournier, les jeunes gens surveillaient avec des lumières de poches et communiquaient entre eux par Walkie-talkie. Ils étaient indignés du scepticisme de plusieurs et surveillaient avec attention tous les mouvements qui leur semblaient suspects. Par ailleurs, plusieurs observaient le ciel.
Dernière trace
Par ailleurs, Jacques Lessard a également conduit le représentant de La Tribune dans un champ de M. Boivin, où l'herbe a été écrasée. Il s'agit d'un cercle d'environ 42 pieds de diamètre.
UN EXPERT DEMEURE SCEPTIQUE MAIS NE LAISSE PAS TOMBER "L'AFFAIRE"
COATICOOK. -- M. Jean Dicaire, du Saucer Institute of Research, de Montréal, a déclaré qu'il est très sceptique quant à la véracité de l'apparition d'un Martien à Coaticook. L'expert en la matière a tenu à souligner que tous ces commentaires sont personnels et n'engagent rien de l'Association dont il est membre. Selon M. Dicaire, la trace de l'endroit où se serait poser l'engin parait avoir été faite de main humaines. Selon lui, s'il y avait eu une soucoupe volante, la terre aurait été foulée et non creusée. De toutes façons des mesures ont été prises pour tirer l'affaire au clair. Des photos et des questionnaires, qui une fois remplis, seront envoyés, aux autorités qui étudieront le dossier.
Ridicule
"Même si cela a l'air ridicule et que l'on pense se faire traiter de niaiseux, au moment où des gens croient avoir pris connaissance d'un tel phénomène devrait alerter les autorités compétentes", de dire M. Dicaire. Questionné sur le problème posé par l'apparition de soucoupes-volantes, M. Dicaire a déclaré que personnellement il croit à l'hallucination collective. "Cependant, dans de tels cas, lorsqu'il y a plus de cinq à dix personnes, il y en a toujours une ou deux qui ont vu quelque chose de différent. Quand tous les témoins disent exactement la même chose, il serait impossible qu'il s'agisse alors d'hallucination collective" d'ajouter M. Dicaire.
M. Dicaire a aussi déclaré que personnellement il ne croit pas que les soucoupes-volantes soient le produit ou des États-Unis ou de la Russie, car ces pays ne seraient pas encore assez puissants scientifiquement pour construire des engins qui pouraient évoluer à de tels vitesses et sans bruit.
Charroux
M. Dicaire croit que les visiteurs viendraient de Vénus. Il a expliqué qu'il a été influencé par les théories de Robert Charoux, théories qui veulent qu'au moment où l'Atlantique a été immergée les gens de la terre aurait pu prévoir la catastrophe et aurait abandonné la terre pour Vénus. Ceux-ci tenteraient maintenant de revenir à leur terre natale. Pour ceux que la chose intéresse cette théorie est exposée dans le livre: "Histoire inconnue des hommes depuis 10,000 ans". M. Dicaire croit personnellement dans deux théories soit qu'il s'agit de patrouille de l'espace ou ce sont des gens d'une autre planète qui veulent entrer en contact avec nous. M. Dicaire a fait remarquer qu'il se poursuit actuellement des recherches afin de pouvoir communiquer avec eux par télépatie [sic]. De toute façon, selon M. Dicaire, si la chose est vraie, il y aura encore des apparitions.
OVNIS EN ALGERIE, 1968:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Provençal, France, page 15, le 15 novembre 1968.
Plusieurs "soucoupes volantes" ont survolé Alger
Plusieurs objets volants non identifiées qu'on appelle encore "soucoupes volantes", ont survolé Algers dans la nuit de mercredi à Jeudi. En effet, deux employés administratifs de l'hopital "Aït Idir", Chaffai Mohamed Chérif et Youssefi Ali, et un journaliste de l'agence de presse algérienne "A.P.S." ont aperçu du côté de Bouzareah, plusieurs objets très lumineux (une quinzaine environ) évoluer dans le ciel à grande vitesse.
Ces objets, qui selon les dires des témoins, avaient une forme triangulaire, ou circulaire, se dirigeaient vers le nord. D'autre part, ces mystérieux objets en forme de soucoupes volantes ont également été aperçus par des témoins au-dessus de la ville de Kolea et de ses environs.
BOULE LUMINEUSE SUIVANT UN TRAIN, FRANCE, 1968:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Parisien Libéré, Paris, France, page 7, le 19 décembre 1968.
Une soucoupe volante en Bretagne?
SAINT-BRIEUC (corr. part.) -- Craignant de n'être pas pris au sérieux les voyageurs du rapide "Armor" qui relie Brest à Paris ont gardé le silence pendant plusieurs heures sur la "boule de feu" qui, l'autre soir, a suivi à quelques centaines de mètres de hauteur, le convoi.
Le phénomène apparut dès que le rapide eut quitté à 19 heures la gare de Saint-Brieuc: un engin sphérique de couleur blanche métallisée et dégageant une certaine luminosité accompagnait le train sur la droite, épousant tout d'abord la trajectoire parfois sinueuse du convoi.
Pensant avoir affaire à un reflet de lumière sur une vitre, les voyageurs n'y prêtèrent tout d'abord aucune attention, mais grande fut la surprise générale lorsqu'une fois les vitres abaissées, on continua d'apercevoir l'étrange boule.
Dans plusieurs compartiments on observa le curieux manège. L' "engin" s'arrêta à la verticale du train en gare de Lamballe et reprit son curieux cheminement le long de la voie ferrée. Peu avant Rennes, il prenait de la hauteur et disparaissait subitement derrière les nuages. Pendant près d'une heure les voyageurs de l' "Armor" avaient été intrigués par cette mystérieuse boule de feu.
"On aurait dit un chien suivant son maître. Il ne pouvait, ont affirmé les témoins, être question d'une illusion d'optique, encore moins d'une hallucination collective, mais certainement d'un objet non identifié."
SOUCOUPES VOLANTES DANS LA PRESSE FRANCAISE, 1968:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Parision Libéré, France, page 14, 21 décembre 1968.
Soucoupes volantes en Seine-et-Marne?
MEAUX (corr. part.). -- L'engin lumineux qui avait été vu l'espace d'une seconde, mercredi soir, dans le ciel de Moret-sur-Loing, a été également aperçu évoluant au-dessus de Meaux et de Villuis, au sud-ouest de Bray-sur-Marne.
MM. André Bénard et Pierre Drivière, témoins du phénomène, sont formels: la "soucoupe volante" projetait des lueurs jaunes.
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