- Benjamin.dResponsable du forum
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Les ovnis dans la presse en 1999
Lun 03 Déc 2007, 20:00
OBSERVATION D'UN OVNI DURANT 45 MINUTES SUR L’ÎLE DE LA REUNION
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Journal de l'Ile, La Réunion, le 15 Octobre 1999. L'auteur est Philippe Le Claire.
Voici un article bien plus factuel et intéressant que ce que publie d'ordinaire la presse francophone sur ce type d'événements. Il n'y est pas question de "fans de X-files pourchassant les petits hommes verts," comme cela est l'usage courant, mais des faits et circonstances de l'observation d'un OVNI entre les îles de Mdagascar et de la Réunion en 199.
Trois pilotes accompagnés par un OVNI
Eric Grignon, instructeur de l’aéro-club Roland Garros, Philippe Cadet, ingénieur à la DDE et Eric Lescaret, commercial, s’en revenaient tranquillement d’un long périple aérien sur Madagascar - Diégo-Suarez, Tamatave, Gillot soit 7 heures de vol - mercredi 13 Octobre 1999, quand, au cours de la dernière étape de leur navigation, au-dessus de l’Océan, entre la Grande Ile et la Réunion, alors qu’ils pratiquaient du VFR de nuit - à savoir du vol à vue nocturne, à la lumière des étoiles - à bord de leur Cessna 172, un appareil monomoteur, une "étoile" plus brillante que les autres attira leur attention. Ils avaient décollé de Tamatave à 12 h 40 temps universel, soit 16 h 40 heure de la Réunion, on dit "temps Zoulou" dans le jargon des pilotes, et il était 15 h 15 T.U. quand la chose s’est produite, à 110 nautiques de la Réunion, radiale 134 de Gillot.
Eric Grignon, l’instructeur explique dans quel contexte: "La nuit était entamée car nous avions le coucher sur notre arrière (Ndlr: à l’Ouest), le ciel était bien sombre. Un point lumineux a attiré notre attention sur notre avant-gauche, à 11 h. On ne l’a pas vu apparaître parce que vraisemblablement il était noyé dans les étoiles. Nous cherchions une lumière qui nous indiquerait la Réunion, et l’un de nous a dit: "À gauche, il y a une lumière”. Mais la Réunion à gauche, ce n’était pas possible, à cause du cap, il ne pouvait y avoir de doute car nous avions un GPS en plus du reste... C’est sa luminosité qui nous a donc amené à le remarquer..." Pour Philippe Cadet, pilote lui aussi, qui était installé en place arrière, "le point lumineux était extrêmement brillant, et sa taille était d’environ trois fois celle de Vénus..."
Les trois hommes commencent alors à s’interroger sur la nature de ce qu’ils voient au travers du Plexiglas de leur cockpit. "Un bâteau? Vous savez, la nuit, en avion, les lumières d’un bâteau sur la mer, avec les illusions d’optique, ça peut tromper. Mais ce n’était pas ça parce que le point lumineux bougeait. On a commencé à gamberger sérieusement!"
Quand les trois hommes ont commencé à constater des déplacements notables, ils se sont réellement inquiétés. Philippe Cadet explique: "Eric a pensé que c’était un "trafic," un avion, il a donc appelé la tour de Gillot..." Eric Grignon contacte donc Gillot sur VHF et signale: "un appareil dans mon avant gauche", à telle distance approximative, "dont la trajectoire paraît convergente..." En l’air, surtout en VFR de nuit, on ne peut se permettre de prendre le moindre risque de collision. La tour de Gillot répond et assure l’équipage d’India Tango qu’il n’y a aucun vol dans leur secteur. Le seul appareil à se déplacer dans l’espace aérien Réunion-Madagascar, à ce moment-là, est un Air Austral dont la route est extrêmement éloignée de la leur...
Modérément rassurés, les trois hommes décident de procéder le plus rationnellement possible et d’éliminer toutes les hypothèses fallacieuses. "C’était peut-être un effet lumineux parasite, un reflet à travers le plexi..."
Eric Grignon prend les commandes et stabilise parfaitement l’avion sur ses trois axes. L’équipage procède à une triangulation manuelle sommaire et constate en un premier temps que le point lumineux ne bouge pas... "Sur le coup, on a été rassurés et puis... hop, ça a commencé... ce n’était pas une illusion d’optique, ni le fruit d’un mouvement relatif! Ça a duré 45 minutes, jusqu’à ce que nous entamions notre descente et que le plafond de nuages nous cache la chose... la première couche était à 5.000 pieds..."
Eric Grignon, certain d’être confronté à un appareil volant non identifié rappelle la tour et confirme son observation initiale. Gillot contrôle et informe à son tour le vol Air Austral de ce qu’il se passe quelque chose d’anormal. Le commandant de bord du 737 confirme qu’il a bien reçu et qu’il ouvre l’oeil...
De ce moment l’équipage d’India Tango va bénéficier d’un spectacle rare, "C’est un peu comme lorsque les dauphins accompagnent un bateau... Dans notre cas c’était ce point lumineux qui nous précédait et qui jouait avec nous!"
Selon Eric Grignon, "on avait du mal à estimer la distance et la taille de l’engin, la nuit, faute de références ; soit l’engin était éloigné et alors la vitesse et l’ampleur des déplacements est remarquable, soit il était petit et tout près, et le caractère extraordinaire de ses déplacements s’explique mieux..."
Ces déplacements constituent le caractère étonnant de l’observation: "Il effectua des changements de trajectoire instantanés, à l’horizontale. Or un virage de cette ampleur, un 180° prend au moins une bonne minute, là, c’était moins d’une seconde! Au début les mouvements s’effectuaient surtout à l’horizontale, puis les déplacements sont devenus verticaux... Des taux de montée hallucinants! Et pareil dans l’autre sens!"
Pour qui connaît un tantinet les réalités liées au déplacement aériens, il est évident qu’une telle voltige n’appartient pas au domaine du possible que nous offre la technologie contemporaine. Les matériaux ne supportent pas les facteurs de charge qu’impliquent de tels changements de trajectoires, quant aux pilotes, n’en parlons pas... En voltige moteur, les meilleurs mondiaux ne s’aventurent que rarement au-delà du + 10, - 10, syncope oblige. En jet, les facteurs de charge encaissés par les pilotes équipés de combinaison anti-G sont encore moindres, rarement plus de 7 G, bien que le temps passé sous effort soit plus long, dans le cas des virages à haute vitesse par exemple.
Les trois hommes du Cessna ont assisté à un spectacle de haute voltige extraordinaire sur 80 nautiques, soit environ 160 km.
Eric Grignon n’a aucun doute sur le caractère "étranger" de l’engin: "Sûr que ce n’était pas un avion de ligne! Ou alors, je vous laisse imaginer l’état des passagers! Un chasseur? Qu’est-ce qu’il ferait par là? Et puis, un chasseur ne s’amuse pas à brûler du pétrole pour le plaisir. Et là, pour faire le centième de ce que nous avons vu, un chasseur se serait rapidement trouvé à sec!
Même témoignage de la part de Philippe Cadet qui de sa place arrière ne perdait pas une miette du spectacle. "Il faisait des évolutions de droite à gauche, assez rapides, puis en biais, sur une trajectoire d’éloignement par rapport à nous... et il revenait. On l’a vu monter à une vitesse pas possible... Il n’y avait pas de trace de propulsion, ni de feux de position ; pas non plus de variation d’intensité de la lumière, une couleur blanche, constante... C’était hallucinant! À un moment donné Eric m’a dit "Regarde!" L’engin plongeait vertigineusement à une vitesse fantastique, et puis hop, il est remonté dans l’autre sens tout aussi vite!"
Au-delà du spectacle qu’ils apprécient, les trois pilotes sont un tantinet inquiets. Seuls au-dessus de l’Océan à bord d’un tout petit monomoteur! "On avait peur qu’il ne s’approche trop... on ne sait jamais, le rayonnement possible de l’engin aurait pu nous priver d’énergie électrique, et alors, c’était le grand bain... Mais il ne s’est rien passé de tel, l’engin paraissait jouer avec nous, tout en se tenant à distance respectueuse... Il était là, il nous observait, et nous le montrait, comme en avion on se signale en battant des ailes..."
Lorsque le Cessna 172 de l’aéro-club de Roland Garros a entamé sa descente, il a percé la couche nuageuse qui s’étalait dans le ciel à 5.300 pieds... "On l’a perdu de vue à 4.500 pieds... J’espérais que la tour puisse le voir et nous confirmer la présence de notre poisson pilote en visuel, mais les nuages l’ont dérobé à l’observation..."
L’équipage d’India Tango racontait hier à Gillot son aventure à qui voulait bien l’entendre. On les comprend, un tel événement n’arrive pas tous les jours. Mais leur "histoire" restera dans les annales de l’aéronautique locale, déclarée officiellement comme incident de vol, et parallèlement explicitée devant les enquêteurs de la gendarmerie nationale.
Dans les états-majors des quatre régions aériennes françaises, la sécurité militaire reçoit régulièrement les enquêtes menées par la gendarmerie sur toutes les observations déclarées. Si l’ufologie n’est pas encore une science exacte, il y a longtemps que ce qui en constitue l’objet est pris au sérieux par l’État et la défense nationale.
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Journal de l'Ile, La Réunion, le 15 Octobre 1999. L'auteur est Philippe Le Claire.
Voici un article bien plus factuel et intéressant que ce que publie d'ordinaire la presse francophone sur ce type d'événements. Il n'y est pas question de "fans de X-files pourchassant les petits hommes verts," comme cela est l'usage courant, mais des faits et circonstances de l'observation d'un OVNI entre les îles de Mdagascar et de la Réunion en 199.
Trois pilotes accompagnés par un OVNI
Eric Grignon, instructeur de l’aéro-club Roland Garros, Philippe Cadet, ingénieur à la DDE et Eric Lescaret, commercial, s’en revenaient tranquillement d’un long périple aérien sur Madagascar - Diégo-Suarez, Tamatave, Gillot soit 7 heures de vol - mercredi 13 Octobre 1999, quand, au cours de la dernière étape de leur navigation, au-dessus de l’Océan, entre la Grande Ile et la Réunion, alors qu’ils pratiquaient du VFR de nuit - à savoir du vol à vue nocturne, à la lumière des étoiles - à bord de leur Cessna 172, un appareil monomoteur, une "étoile" plus brillante que les autres attira leur attention. Ils avaient décollé de Tamatave à 12 h 40 temps universel, soit 16 h 40 heure de la Réunion, on dit "temps Zoulou" dans le jargon des pilotes, et il était 15 h 15 T.U. quand la chose s’est produite, à 110 nautiques de la Réunion, radiale 134 de Gillot.
Eric Grignon, l’instructeur explique dans quel contexte: "La nuit était entamée car nous avions le coucher sur notre arrière (Ndlr: à l’Ouest), le ciel était bien sombre. Un point lumineux a attiré notre attention sur notre avant-gauche, à 11 h. On ne l’a pas vu apparaître parce que vraisemblablement il était noyé dans les étoiles. Nous cherchions une lumière qui nous indiquerait la Réunion, et l’un de nous a dit: "À gauche, il y a une lumière”. Mais la Réunion à gauche, ce n’était pas possible, à cause du cap, il ne pouvait y avoir de doute car nous avions un GPS en plus du reste... C’est sa luminosité qui nous a donc amené à le remarquer..." Pour Philippe Cadet, pilote lui aussi, qui était installé en place arrière, "le point lumineux était extrêmement brillant, et sa taille était d’environ trois fois celle de Vénus..."
Les trois hommes commencent alors à s’interroger sur la nature de ce qu’ils voient au travers du Plexiglas de leur cockpit. "Un bâteau? Vous savez, la nuit, en avion, les lumières d’un bâteau sur la mer, avec les illusions d’optique, ça peut tromper. Mais ce n’était pas ça parce que le point lumineux bougeait. On a commencé à gamberger sérieusement!"
Quand les trois hommes ont commencé à constater des déplacements notables, ils se sont réellement inquiétés. Philippe Cadet explique: "Eric a pensé que c’était un "trafic," un avion, il a donc appelé la tour de Gillot..." Eric Grignon contacte donc Gillot sur VHF et signale: "un appareil dans mon avant gauche", à telle distance approximative, "dont la trajectoire paraît convergente..." En l’air, surtout en VFR de nuit, on ne peut se permettre de prendre le moindre risque de collision. La tour de Gillot répond et assure l’équipage d’India Tango qu’il n’y a aucun vol dans leur secteur. Le seul appareil à se déplacer dans l’espace aérien Réunion-Madagascar, à ce moment-là, est un Air Austral dont la route est extrêmement éloignée de la leur...
Modérément rassurés, les trois hommes décident de procéder le plus rationnellement possible et d’éliminer toutes les hypothèses fallacieuses. "C’était peut-être un effet lumineux parasite, un reflet à travers le plexi..."
Eric Grignon prend les commandes et stabilise parfaitement l’avion sur ses trois axes. L’équipage procède à une triangulation manuelle sommaire et constate en un premier temps que le point lumineux ne bouge pas... "Sur le coup, on a été rassurés et puis... hop, ça a commencé... ce n’était pas une illusion d’optique, ni le fruit d’un mouvement relatif! Ça a duré 45 minutes, jusqu’à ce que nous entamions notre descente et que le plafond de nuages nous cache la chose... la première couche était à 5.000 pieds..."
Eric Grignon, certain d’être confronté à un appareil volant non identifié rappelle la tour et confirme son observation initiale. Gillot contrôle et informe à son tour le vol Air Austral de ce qu’il se passe quelque chose d’anormal. Le commandant de bord du 737 confirme qu’il a bien reçu et qu’il ouvre l’oeil...
De ce moment l’équipage d’India Tango va bénéficier d’un spectacle rare, "C’est un peu comme lorsque les dauphins accompagnent un bateau... Dans notre cas c’était ce point lumineux qui nous précédait et qui jouait avec nous!"
Selon Eric Grignon, "on avait du mal à estimer la distance et la taille de l’engin, la nuit, faute de références ; soit l’engin était éloigné et alors la vitesse et l’ampleur des déplacements est remarquable, soit il était petit et tout près, et le caractère extraordinaire de ses déplacements s’explique mieux..."
Ces déplacements constituent le caractère étonnant de l’observation: "Il effectua des changements de trajectoire instantanés, à l’horizontale. Or un virage de cette ampleur, un 180° prend au moins une bonne minute, là, c’était moins d’une seconde! Au début les mouvements s’effectuaient surtout à l’horizontale, puis les déplacements sont devenus verticaux... Des taux de montée hallucinants! Et pareil dans l’autre sens!"
Pour qui connaît un tantinet les réalités liées au déplacement aériens, il est évident qu’une telle voltige n’appartient pas au domaine du possible que nous offre la technologie contemporaine. Les matériaux ne supportent pas les facteurs de charge qu’impliquent de tels changements de trajectoires, quant aux pilotes, n’en parlons pas... En voltige moteur, les meilleurs mondiaux ne s’aventurent que rarement au-delà du + 10, - 10, syncope oblige. En jet, les facteurs de charge encaissés par les pilotes équipés de combinaison anti-G sont encore moindres, rarement plus de 7 G, bien que le temps passé sous effort soit plus long, dans le cas des virages à haute vitesse par exemple.
Les trois hommes du Cessna ont assisté à un spectacle de haute voltige extraordinaire sur 80 nautiques, soit environ 160 km.
Eric Grignon n’a aucun doute sur le caractère "étranger" de l’engin: "Sûr que ce n’était pas un avion de ligne! Ou alors, je vous laisse imaginer l’état des passagers! Un chasseur? Qu’est-ce qu’il ferait par là? Et puis, un chasseur ne s’amuse pas à brûler du pétrole pour le plaisir. Et là, pour faire le centième de ce que nous avons vu, un chasseur se serait rapidement trouvé à sec!
Même témoignage de la part de Philippe Cadet qui de sa place arrière ne perdait pas une miette du spectacle. "Il faisait des évolutions de droite à gauche, assez rapides, puis en biais, sur une trajectoire d’éloignement par rapport à nous... et il revenait. On l’a vu monter à une vitesse pas possible... Il n’y avait pas de trace de propulsion, ni de feux de position ; pas non plus de variation d’intensité de la lumière, une couleur blanche, constante... C’était hallucinant! À un moment donné Eric m’a dit "Regarde!" L’engin plongeait vertigineusement à une vitesse fantastique, et puis hop, il est remonté dans l’autre sens tout aussi vite!"
Au-delà du spectacle qu’ils apprécient, les trois pilotes sont un tantinet inquiets. Seuls au-dessus de l’Océan à bord d’un tout petit monomoteur! "On avait peur qu’il ne s’approche trop... on ne sait jamais, le rayonnement possible de l’engin aurait pu nous priver d’énergie électrique, et alors, c’était le grand bain... Mais il ne s’est rien passé de tel, l’engin paraissait jouer avec nous, tout en se tenant à distance respectueuse... Il était là, il nous observait, et nous le montrait, comme en avion on se signale en battant des ailes..."
Lorsque le Cessna 172 de l’aéro-club de Roland Garros a entamé sa descente, il a percé la couche nuageuse qui s’étalait dans le ciel à 5.300 pieds... "On l’a perdu de vue à 4.500 pieds... J’espérais que la tour puisse le voir et nous confirmer la présence de notre poisson pilote en visuel, mais les nuages l’ont dérobé à l’observation..."
L’équipage d’India Tango racontait hier à Gillot son aventure à qui voulait bien l’entendre. On les comprend, un tel événement n’arrive pas tous les jours. Mais leur "histoire" restera dans les annales de l’aéronautique locale, déclarée officiellement comme incident de vol, et parallèlement explicitée devant les enquêteurs de la gendarmerie nationale.
Dans les états-majors des quatre régions aériennes françaises, la sécurité militaire reçoit régulièrement les enquêtes menées par la gendarmerie sur toutes les observations déclarées. Si l’ufologie n’est pas encore une science exacte, il y a longtemps que ce qui en constitue l’objet est pris au sérieux par l’État et la défense nationale.
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