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- ChiboudiParticipation exceptionnelle
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(1989-Afrique du sud) Crash d'un ovni dans le desert du Kalahari.
Mar 13 Déc 2011, 14:48
ARMÉE DE L'AIR SUD-AFRICAINE
CLASSIFIÉ TOP SECRET – NE PAS DIVULGUER
MINISTÈRE DES ENQUÊTES SPÉCIALES ET DE RECHERCHE
MINISTÈRE DES RENSEIGNEMENTS DE L'ARMÉE DE L'AIR
DATE : 7 mai 1989
OBJET : Objet volant non identifié
NOM DE CODE : XXXXXXX
FICHIER N°: XXXXXXX
DESTINATION : XXXXXXX
CLASSIFICATION : ROUGE/TOP SECRET
ACCÈS LIMITÉ : XXXXXXXXX
CODE DE PRIORITÉ : XX
SPECTRUM LOT :Bleu
MOT DE PASSE ORDINATEUR DE LA DEFENSE – AGIR AVEC PRUDENCE
CONTENU:
Historique
Spécifications du vaisseau
Spécifications de l'humanoïde
conclusion
CLASSIFIÉ TOP SECRET – NE PAS DIVULGUER
MINISTÈRE DES RENSEIGNEMENTS DE L'ARMÉE DE L'AIR
MINISTÈRE DES ENQUÊTES SPÉCIALES ET DE RECHERCHE
ATTENTION /INFORMATION CLASSIFIÉE
ACCÈS RESTREINT
CLASSIFIÉ TOP SECRET / EAGLE (AIGLE)
EYES ONLY
Date : 9 janvier 1990
Sujet : Forme de vie biologique Extra Terrestre
Nom de Code : HORNET
Fichier SILVER DIAMOND
Classification: ROUGE/TOP SECRET/EAGLE
Access XXXXXXXXXXXXXXXXXX
Origine: XXXXXXXXXXXXXXXXXXXX
Destination: Bureau des Renseignements Intergouvernementaux
Code Prioritaire DEFCON 1
Spectrum Lot: Blue
Mot de passe Ordinateur de la défense
Sera informé
CLASSIFIÉ TOP SECRET/EAGLE - EYES ONLY
RAPPORT PRÉLIMINAIRE R: ÉTUDES PSYCHOLOGIQUES Á VALHALLA AFB (BASE DE L'ARMÉE DE L'AIR) RELATIF AUX FORMES DE VIES ÉTRANGÈRES TROUVÉES A BORD DU VAISSEAU RECUPÉRÉ AU KALAHARI.
Toutes les informations trouvées à bord du vaisseau spatial étranger concernant l'évolution des formes de vie étrangères, indiquent une évolution semblable à ce que nous pouvions trouver sur Terre avant l'extinction des dinosaures. Nos scientifiques ont émis la conclusion que ces Intelligences, en raison du fait qu'elles sont photosynthétiques et reptiliennes, sont une forme de croisement non encore trouvé sur Terre. Cette forme de croisement ne peut pas encore être comprise par la science physique que nous connaissons aujourd'hui, mais indique un haut degré d'adaptabilité.
Des études physiologiques et psychologiques menées en Afrique du Sud et aux Etats-Unis indiquent une structure simple mais complexe dans le comportement. Il semblerait que ces formes de vie ne puissent pas fonctionner indépendamment d'une intelligence de groupe, reliées ensemble à une commande centrale.
Selon des informations complémentaires trouvées à bord du vaisseau récupéré, une autre race serait supérieure à la leur. XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX
CONCLUSION
Une étude approfondie et une analyse de la nature psychologique du comportement est conseillé. Des études effectuées sur deux formes de vie étrangères capturées ont prouvé qu'elles ne peuvent pas agir indépendamment de leur propre intelligence sans avoir accès à des ordres de communication et des instructions d'une hiérarchie ou d'une commande centrale. XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX
La taille approximative de l'alien humanoïde est de 3 ½ à 4 ½ pieds. Son poids est d'à peu près 40 livres.
- Deux yeux ronds sans pupilles. Sous une lourde arcade sourcilière, les yeux sont en forme d'amande, allongés, et profondément enfoncés, légèrement obliques, de type "Oriental" ou "Mongoloïde".
- La tête, par rapport aux standards humains, est grosse comparée à la taille du torse et des membres. Semblable à un fœtus humain de 5 mois .
- Aucun lobe d'oreille ou de chair saillante ne se prolonge au-dessus d'orifices de chaque côté de la tête,
- Le nez est imprécis. Deux narines sont présentes avec une très légère protubérance.
- Une bouche existe ressemblant à une petite "fente" sans lèvres, s'ouvrant dans une petite cavité. La bouche semble ne pas fonctionner comme un moyen de communications ou comme un orifice pour l'ingestion d'aliments.
- Le cou est mince, et dans certains cas n'est pas visible à cause d'un vêtement sur cette partie du corps.
- La plupart des observateurs décrivent la tête des humanoïdes comme glabre. L'un des observateurs a indiqué que la tête montrait un léger duvet. Les corps sont exempts de pilosité.
- Petit et mince est la description globale du torse. Dans la plupart des cas, le corps a été observé portant un vêtement métallique mais flexible.
- Les bras sont longs et minces, descendant jusqu'aux de genoux.
- Un type de mains n'a que quatre doigts, et pas de pouce. Deux doigts apparaissent plus longs que les autres. Certains observateurs ont cru voir des ongles; d'autres pas. Un effet de légère palmature entre les doigts a été noté par trois observateurs autorisés.
D'autres rapports indiquent des types de mains avec moins ou plus de quatre doigts.
- Les pieds sont courts et minces. Les pieds d'un type sont décrits comme n'ayant aucun orteil. La plupart des observateurs décrivent des pieds comme étant "enveloppés".
Une source a noté que les pieds ressemblent à ceux d'un orang-outan.
- La peau n'est pas de couleur verte. Certains observateurs affirment qu'elle est beige, brun roux, brun ou tannée, gris rosâtre et semble presque "gris bleuâtre" sous les lumières d'un congélateur. Dans les deux cas, les corps étaient carbonisés de couleur brun foncé. La texture est écailleuse ou de type reptilien, élastique ou mobile sur un muscle lisse ou sur le tissu squelettique. Il n'y a aucun muscle strié. Aucune transpiration, aucune odeur corporelle.
- Pas de dents,
- Aucun organe reproducteur apparent, Peut-être atrophié par une dégénération évolutive. Pas d'organes génitaux.
A mon avis non professionnel, l'absence d'organes sexuels suggère que certains des aliens et peut-être tous, ne se reproduisent pas aussi bien que l'Homo sapiens, ou que certains des corps étudiés sont produits peut-être par un système de clonage ou d'autres moyens inconnus.
Pour la plupart des observateurs ces humanoïdes semblent être "fabriqués dans un moule", ou alors ils partagent des caractéristiques faciales identiques.
Le cerveau et ses dispositions sont inconnus.
Un liquide sans couleur est répandu dans le corps, sans cellules rouges. Aucun lymphocytes. Pas un seul transporteur d'oxygène. On ne connaît aucune alimentation ou de consommation d'eau. Aucune nourriture trouvée à bord du vaisseau dans une récupération connue. Aucun système digestif. Aucun canal intestinal ou alimentaire ou zone rectale sont décrits.
Il semble y avoir plus d'un type d'humanoïde. Durée de vie inconnue. Les variations descriptives de l'anatomie ne peuvent pas être plus diversifiées que celles connues sur Terre chez l'Homo sapiens.
D'autres types d'aliens récupérés de forme humaine, ou d'autres configurations grotesques me sont inconnus.
Origine inconnue.
Source : http://photovni.free.fr/f.o.i.a%2057/south_africa.htm (Document trouver grâce à la Loi pour la liberté d'information (FOIA))
QUOI DE NEUF SUR LE CRASH DU KALAHAR ?
Tony Dodd, l'enquêteur le plus documenté sur le crash du Kalahari vient de reprendre toute cette
histoire avec ses derniers rebondissements de 1998, et l'a rapportée dans son livre qui vient juste de
paraître : " Alien Investigator ". (chap. 2), voici cette documentation traduite et résumée.
Un matin de juillet 1989, je reçus un envoi postal venant d'Afrique du Sud. Mon correspondant
anonyme me déclarait qu'un avion de combat avait descendu un OVNI au-dessus du désert du
Kalahari, le 7 mai 1989. Il disait qu'il contenait deux occupants qui, apparemment, étaient encore
vivants. On avait récupéré le vaisseau et les deux êtres et les avait amenés à une base de l'Air Force
en Afrique du Sud. Une équipe d'experts envoyés de la base de Wright-Patterson aux U.S.A. étaient
arrivés et avaient ramené l'ensemble à la base de W-P, sous une étroite surveillance. L'informant
s'excusait de ne pas donner son nom, par mesure de sécurité, mais promettait d'envoyer des
documents. J'étais excité mais je me contenais et attendais la suite.
J'ai montré la lettre à l'un de mes meilleurs amis, Armen Victorian. Il est arménien de naissance, mais
il arriva en Angleterre en 1987, et travailla dans les Services Secrets pour l'Angleterre et les U.S.A.
C'est un expert dans l'espionnage militaire et a mené une croisade pour dévoiler les armes secrètes
fabriquées à l'Ouest. Il a rassemblé une nombreuse documentation sur l'espionnage et les espions. Il
fut très intrigué. Deux semaines plus tard, je reçus un paquet d'Afrique du Sud : une lettre et 5 pages
de documents. Cette fois, l'homme donnait son nom : James Von Greunen, et une adresse en Afrique
du Sud où il était possible de le joindre. Dès le début, les documents nous paraissaient falsifiés. Des
erreurs de vocabulaire, de grammaire, un mélange de mètres et de yards semblaient suspects. Le
sigle de l'Armée de l'Air d'Afrique du Sud, placé en en-tête de chaque document était, de toute
évidence, surajouté (peut-être par photocopie). Mais quelques détails importants nous interpellaient.
Nous décidâmes, Armen et moi, de prendre contact avec Van Greunen. Au téléphone, il insista pour
confirmer que les documents étaient authentiques. Par ailleurs, nous apprîmes d'un officier des
Services Secrets Américains, que ce crash avait bien eu lieu et que lui-même avait vu des photos du
vaisseau abattu et de ses occupants. Il ajouta qu'un télex avait été envoyé de la base de W.P. au
gouvernement africain, avec des instructions concernant la façon de récupérer l'appareil et de traiter
les occupants. La base de W.P. était celle où les débris de Roswell 1 avaient été envoyés, ainsi que
ceux du crash, près d'Aztec, qui avait eu lieu en 1948, dans lequel un bon nombre d'aliens étaient
morts. 5 ans plus tard, un nouvel incident se produisit en Arizona. Les corps avaient été récupérés,
réfrigérés puis emmenés, encore à la base de Wright-Patterson. Des individus ont témoigné de ces
crashes, parfois sur leur lit de mort.
En 1954, le Président Eisenhower a visité cette base, et a vu les corps. Le comédien Jackie Gleason,
qui a beaucoup travaillé sur l'ufologie, et était un ami très proche du Président Eisenhower, m'a
confirmé personnellement cette histoire à la veille de sa mort.
Maintenant, nous savions que quelque chose s'était passé, bien que Von Greunen ait pu donner des
documents falsifiés. L'officier de l'Intelligence Service nous fournit des informations complémentaires :
le nom des officiers militaires, de l'équipe médicale, des scientifiques à la fois des Américains et des
Sud-Africains qui prirent part au recouvrement et à l'étude de l'OVNI et des aliens (l'un des
scientifiques nommés travaillait à W.P.). Nous réussîmes à le joindre par tél éphone. Surpris, il ne nia
pas le crash, mais nous dit qu'il ne pouvait en parler plus longuement. Armen réussit également à
prendre contact avec un américain qui travaillait dans un bureau des Services Secrets, et qui pensait
pouvoir révéler des faits, même au péril de sa vie.
Il nous confirma la réalité de ce crash. Son nom de code en Afrique du Sud était "Silver Diamond", et
il avait un autre nom de code aux États-Unis : " " Project Pantry".
Nous eûmes aussi une autre confirmation par le pilote appelé Goosen, qui avait tiré sur l'OVNI,
d'après Von Greunen. On avait vérifié qu'il était bien basé à Prétoria. Se faisant passer pour le
Général Brunel de
W.P., Armen lui téléphona en lui demandant s'il avait tiré une fois ou deux sur la cible. " Une fois, mon
général" répondit Goosen.
Finalement, nous pressâmes tant Von Greunen qu'il finit par venir nous voir en Angleterre, le 16 août
1989. Il était jeune, grand, mince, avec des cheveux noirs et un accent Sud-Africain évident. Il
produisit plusieurs documents prouvant qu'il servait dans l'USAF, de septembre 1984 à janvier 1989.
Mais nous n'étions pas certains de l'authenticité de ces éléments. Il resta deux semaines en
Angleterre en logeant chez Armen, à Nottingham. On sut qu'il était un ufologue enthousiaste, qui
faisait partie du MUFON. Il ne put expliquer les inconsistances de l'information qu'il nous avait
donnée. Il mentait sur certains points, c'était évident ; mais on voyait que quelqu'un lui faisait peur.
Armen fut témoin d'un appel téléphonique impérieux, qui lui intimait l'ordre de retourner de toute
urgence en Afrique du Sud.
Conclusion : c'était un personnage douteux, mais il nous avait fourni des informations valables.
D'autre part, notre contact qui avait bien vu des photos du crash, nous téléphona qu'il avait reçu des
menaces et qu'il devait cesser toute relation avec nous.
Nous avons fait quelques conférences sur ce cas, une au Yorkshire, l'autre à Francfort. Dans cette
dernière ville, nous avons rencontré Wendelle Stevens, très en forme, malgré son âge. Il ne savait pas
grand chose sur le crash du Kalahari et fut très intéressé. Il nous dit qu'un officier des Services
Secrets de la NAVY l'avait informé que les USA avaient donné une technologie avancée à l'Afrique du
Sud, en échange d'un OVNI et de ses occupants !
À cette conférence, nous avons aussi rencontré le cosmonaute russe Marina Popavich. Elle voulut me
parler, mais je fus très prudent, car je m'aperçus qu'elle buvait beaucoup et on m'avait dit qu'elle était
constamment accompagnée d'un agent du KGB.
Von Greunen alla en Europe et au Canada, essayant de monnayer ses informations. Il était menteur
et intéressé. Il mit en danger l'une de ses sources, si bien que cette personne dut émigrer aux USA.
Je suis pour ma part toujours soigneux de ne pas mettre la vie de ceux qui m'offrent des
renseignements, en danger. C'est une courtoisie élémentaire. On nous avertit aussi qu'Armen et moi
étions sous surveillance. J'avais remarqué que ma voiture était souvent suivie et que mon téléphone
était probablement sur écoute. Un électronicien me le confirma. On nous avertit de ne pas nous
rendre en France, car nous risquions d'être enlevés par les Services Secrets de ce pays. (Je me
rappelais que des accords commerciaux et militaires avaient été signés entre la France et l'Afrique du
Sud).
Pauline avait peur, mais nous sommes quand même allés à une conférence à Munich du 22 au 24
juin 1990. Une voiture nous prit en chasse depuis la maison, avec une personne à l'intérieur. Cet
homme ne nous lâcha pas dans l'aéroport, et prit l'avion avec nous. Il suivit toute la conférence et
nous escorta dans le voyage du retour. Au contrôle de l'immigration, il ne présenta pas un passeport,
mais une carte ressemblant à celle d'un agent secret. James Von Greunen était à la conférence de
Munich. Il voulut parler mais on le soupçonna de mentir. Je ne l'ai plus revu depuis, mais je sais qu'il
est encore en Allemagne.
À la conférence je vis deux officiers de l'Ambassade Allemande, originaires d'Afrique du Sud. Ils
écoutèrent soigneusement et prirent des notes. Ils me posèrent beaucoup de questions qui montraient
qu'ils étaient au courant d'un bon nombre de choses.
Dans les documents de Von Greunen, on parlait d'un certain Tafelberg. Par recoupements, nous
comprîmes que c'était un cargo international qui possédait une technologie de pointe et pouvait
repérer des OVNI.
D'autres chercheurs comme le Dr Hurtak et le Baron Von Buttar furent aussi très intéressés. Ils se
rendirent tous deux en Afrique du Sud, et Von Buttar m'offrit de me payer mon voyage. Je déclinais
l'offre, mais lorsqu'ils rentrèrent, ils me donnèrent de leurs nouvelles. Ils me confirmèrent que ce crash
avait bien eu lieu, mais ils ne pouvaient me donner aucun détail supplémentaire.
À la fin de 1989, un ami proche qui suivait un stage pour être diplomate, à Londres, se trouva à table,
près d'un politicien du Botswana : M. Dthoko Seiso, Ministre de l'environnement de son pays.
(Frontière avec l'Afrique du Sud). Mon ami parla du crash du Kalahari, mais on se moqua de lui.
Cependant, M. Seiso promit que, lorsqu'il retournerait dans son pays, il s'informerait. Quelques mois
plus tard, lorsqu'il retrouva mon ami, il lui dit devant témoins : " Je confirme ce que vous m'aviez dit.
Ce crash s'est bien produit. Mais je ne comprends pas comment vous l'avez su ".
Par la suite, Armen et moi, nous fûmes appelés pour faire des conférences devant des militaires
américains ou des membres du K.G.B. Mais personne ne nous prit au sérieux. Aussi, nous
continuâmes nos enquêtes tranquillement, malgré les menaces dont nous étions victimes.
En mai 1991, je suis allé à Tucson (USA) pour la conférence mondiale de Quest. Le soir, tandis que
nous discutions entre amis, deux hommes se présentèrent et demandèrent à se joindre à nous. Mes
amis américains se levèrent tous et s'en allèrent. Ils savaient qui étaient ces hommes habillés de noir.
Disons que l'un semblait être " M. Gentil " et l'autre, " M. Méchant ".
M. Gentil seul parla et me dit qu'ils faisaient partie du Gouvernement américain, et il me recommanda
d'être très prudent dans le futur. L'autre me fixait droit dans les yeux pendant tout le temps. Je
répondis que personne n'était capable de m'intimider, et qu'ils ne me faisaient pas peur. Je parlais
d'une voix calme et je souriais. Il sourit également. " Ne faites aucune erreur. Nous sommes capables
de vous arrêter ! " Je leur dit que leur organisation était connue dans le monde entier et que j'avais
des amis qui continueraient ce que je faisais si je disparaissais. " Je suis sur cette Terre pour faire
quelque chose et je le ferai quoi qu'il arrive ". Tout le monde souriait, et de loin, on aurait pu nous
prendre pour une bande d'amis. Mais une énorme tension régnait. Pauline avait très peur, mais
essayait de le cacher. M. Méchant ne me quittait pas des yeux. Je remerciai Dieu de l'entraînement
que j'avais suivi dans la police. Je connaissais leur tactique américaine, mais j'étais en mesure de ne
pas me laisser intimider. Avant de partir, le " Gentil " changea de tactique et nous invita à nous faire
visiter le désert autour de Tucson, le lendemain. J'acceptai. Le jour suivant, ils vinrent nous chercher à
l'hôtel dans un 4X4 . La conversation était brève. Le Gentil, le seul qui parlait, dit : " Vous savez
beaucoup de choses, mais toutes ne sont pas bonnes à dire à M. Tout le Monde, et pas seulement
dans ce pays ". J'étais plus anxieux que la veille, mais je leur répétai que je n'avais pas peur.
L'homme sourit et même M. Méchant se relaxa. Tous se détendirent et ils surent nous faire profiter
agréablement de cette promenade. Pauline posait des questions sur tout et on lui répondit
courtoisement. Avant de nous quitter, M. Gentil nous dit : " Essayez de trouver des cartes
rapprochées de Mars et de Vénus ". Nous ne les avons pas revus.
6 semaines plus tard, on sonna à la porte. Le commissionnaire était un jeune homme aux cheveux
courts, d'aspect net et soigné. Il me présenta une liasse de photos de Mars et de Vénus. Je n'avais
pas donné mon adresse, mais on avait su nous trouver. Le jeune homme à l'accent américain nous dit
qu'il travaillait près d'Harrogate. Je demandai : " À Menwtich Hill ? " C'était le point d'impact de la
SNA, en Angleterre, à 20 km de chez moi. (La CIA est un enfant de chœur, à côté de la NSA, qui
supervise tous les crashes d'OVNI et des êtres récupérés). Le jeune homme acquiesça sans paraître
surpris. Il nous dit en souriant que son intérêt pour les OVNI était un hobby. Nous savions tous les
deux qu'il mentait. Puis il s'en alla. Je compris alors d'où venait la surveillance que nous subissions.
Par la suite on me confirma la vitesse et l'endroit exact où avait eu lieu l'impact de l'arme et de la
cible : l'OVNI. On comprit que Von Greunen avait vu tous les documents et qu'il avait essayé de les
reconstituer. Ces derniers étaient des faux, mais l'information était juste. Sauf sur un point où sa
mémoire avait flanché. Il avait parlé d'une arme à laser THOR 2, mais en fait, il s'agissait d'un MASER
(amplification d'une micro-onde par une émission stimulée de radiation). Les flashes aveuglants
rapportés par les témoins en sont la preuve. J'ai appris que ces armes ne sont fixées que sur des
avions F14 Tomcat ou sur des Mirages. Comme la France et l'Afrique du Sud sont les seuls pays à
posséder des Mirages, il est logique de penser que des armes à Maser ont été achetées par ces deux
pays.
En 1997, j'ai eu le plaisir de recueillir une information nouvelle très gratifiante. J'ai entendu les propos
d'une amie qui travaillait à l'hôpital Groote Schuur, à l'époque du crash (celui où le Prof. Barnard fit la
première transplantation cardiaque). Elle avait assisté à l'autopsie d'un corps d'alien tué au cours du
crash. Elle précisa que les plus grandes différences entre ce corps et le nôtre sont : le manque
d'organes génitaux, de système immunitaire et de système digestif. La descrïption de l'être était
conforme à celle dite " petit gris ", peau lisse et grise, aucun poil, ni cheveu. Grosse tête avec
d'énormes yeux noirs de forme ovale.
Elle me dit qu'il lui était défendu de parler, mais que maintenant elle quittait l'hôpital et allait changer
de pays. Elle avait essayé en vain de retrouver le dossier dans les archives. Elle pensait qu'il avait été
détruit. Elle est à présent installée en Europe.
Cette affaire est l'une des plus importantes dans l'histoire des OVNI, avec Roswell et Randlesham
Forest.
1 - Voir le nouveau livre : " Roswell, I was there " par R. Shirley - 1999.
CONCLUSION DE GENEVIEVE VANQUELEF :
Cette enquête voit enfin son dénouement, et le rôle de Von Greunen est bien précisé. Ce crash est donc
authentique. Tony Dodd est un excellent enquêteur et tout son livre est très intéressant. Je le
recommande à ceux qui lisent l'anglais. (Éditions Headline, Angleterre).
Source: libres de Genieve Vanquelef
Site de Genieve Vanquelef: http://www.auwebmania.com/vanquelef/
Source : http://81032.aceboard.fr/81032-2091-4256-0-Crash-Kalahari.htm
Tony Dodd, l'enquêteur le plus documenté sur le crash du Kalahari vient de reprendre toute cette
histoire avec ses derniers rebondissements de 1998, et l'a rapportée dans son livre qui vient juste de
paraître : " Alien Investigator ". (chap. 2), voici cette documentation traduite et résumée.
Un matin de juillet 1989, je reçus un envoi postal venant d'Afrique du Sud. Mon correspondant
anonyme me déclarait qu'un avion de combat avait descendu un OVNI au-dessus du désert du
Kalahari, le 7 mai 1989. Il disait qu'il contenait deux occupants qui, apparemment, étaient encore
vivants. On avait récupéré le vaisseau et les deux êtres et les avait amenés à une base de l'Air Force
en Afrique du Sud. Une équipe d'experts envoyés de la base de Wright-Patterson aux U.S.A. étaient
arrivés et avaient ramené l'ensemble à la base de W-P, sous une étroite surveillance. L'informant
s'excusait de ne pas donner son nom, par mesure de sécurité, mais promettait d'envoyer des
documents. J'étais excité mais je me contenais et attendais la suite.
J'ai montré la lettre à l'un de mes meilleurs amis, Armen Victorian. Il est arménien de naissance, mais
il arriva en Angleterre en 1987, et travailla dans les Services Secrets pour l'Angleterre et les U.S.A.
C'est un expert dans l'espionnage militaire et a mené une croisade pour dévoiler les armes secrètes
fabriquées à l'Ouest. Il a rassemblé une nombreuse documentation sur l'espionnage et les espions. Il
fut très intrigué. Deux semaines plus tard, je reçus un paquet d'Afrique du Sud : une lettre et 5 pages
de documents. Cette fois, l'homme donnait son nom : James Von Greunen, et une adresse en Afrique
du Sud où il était possible de le joindre. Dès le début, les documents nous paraissaient falsifiés. Des
erreurs de vocabulaire, de grammaire, un mélange de mètres et de yards semblaient suspects. Le
sigle de l'Armée de l'Air d'Afrique du Sud, placé en en-tête de chaque document était, de toute
évidence, surajouté (peut-être par photocopie). Mais quelques détails importants nous interpellaient.
Nous décidâmes, Armen et moi, de prendre contact avec Van Greunen. Au téléphone, il insista pour
confirmer que les documents étaient authentiques. Par ailleurs, nous apprîmes d'un officier des
Services Secrets Américains, que ce crash avait bien eu lieu et que lui-même avait vu des photos du
vaisseau abattu et de ses occupants. Il ajouta qu'un télex avait été envoyé de la base de W.P. au
gouvernement africain, avec des instructions concernant la façon de récupérer l'appareil et de traiter
les occupants. La base de W.P. était celle où les débris de Roswell 1 avaient été envoyés, ainsi que
ceux du crash, près d'Aztec, qui avait eu lieu en 1948, dans lequel un bon nombre d'aliens étaient
morts. 5 ans plus tard, un nouvel incident se produisit en Arizona. Les corps avaient été récupérés,
réfrigérés puis emmenés, encore à la base de Wright-Patterson. Des individus ont témoigné de ces
crashes, parfois sur leur lit de mort.
En 1954, le Président Eisenhower a visité cette base, et a vu les corps. Le comédien Jackie Gleason,
qui a beaucoup travaillé sur l'ufologie, et était un ami très proche du Président Eisenhower, m'a
confirmé personnellement cette histoire à la veille de sa mort.
Maintenant, nous savions que quelque chose s'était passé, bien que Von Greunen ait pu donner des
documents falsifiés. L'officier de l'Intelligence Service nous fournit des informations complémentaires :
le nom des officiers militaires, de l'équipe médicale, des scientifiques à la fois des Américains et des
Sud-Africains qui prirent part au recouvrement et à l'étude de l'OVNI et des aliens (l'un des
scientifiques nommés travaillait à W.P.). Nous réussîmes à le joindre par tél éphone. Surpris, il ne nia
pas le crash, mais nous dit qu'il ne pouvait en parler plus longuement. Armen réussit également à
prendre contact avec un américain qui travaillait dans un bureau des Services Secrets, et qui pensait
pouvoir révéler des faits, même au péril de sa vie.
Il nous confirma la réalité de ce crash. Son nom de code en Afrique du Sud était "Silver Diamond", et
il avait un autre nom de code aux États-Unis : " " Project Pantry".
Nous eûmes aussi une autre confirmation par le pilote appelé Goosen, qui avait tiré sur l'OVNI,
d'après Von Greunen. On avait vérifié qu'il était bien basé à Prétoria. Se faisant passer pour le
Général Brunel de
W.P., Armen lui téléphona en lui demandant s'il avait tiré une fois ou deux sur la cible. " Une fois, mon
général" répondit Goosen.
Finalement, nous pressâmes tant Von Greunen qu'il finit par venir nous voir en Angleterre, le 16 août
1989. Il était jeune, grand, mince, avec des cheveux noirs et un accent Sud-Africain évident. Il
produisit plusieurs documents prouvant qu'il servait dans l'USAF, de septembre 1984 à janvier 1989.
Mais nous n'étions pas certains de l'authenticité de ces éléments. Il resta deux semaines en
Angleterre en logeant chez Armen, à Nottingham. On sut qu'il était un ufologue enthousiaste, qui
faisait partie du MUFON. Il ne put expliquer les inconsistances de l'information qu'il nous avait
donnée. Il mentait sur certains points, c'était évident ; mais on voyait que quelqu'un lui faisait peur.
Armen fut témoin d'un appel téléphonique impérieux, qui lui intimait l'ordre de retourner de toute
urgence en Afrique du Sud.
Conclusion : c'était un personnage douteux, mais il nous avait fourni des informations valables.
D'autre part, notre contact qui avait bien vu des photos du crash, nous téléphona qu'il avait reçu des
menaces et qu'il devait cesser toute relation avec nous.
Nous avons fait quelques conférences sur ce cas, une au Yorkshire, l'autre à Francfort. Dans cette
dernière ville, nous avons rencontré Wendelle Stevens, très en forme, malgré son âge. Il ne savait pas
grand chose sur le crash du Kalahari et fut très intéressé. Il nous dit qu'un officier des Services
Secrets de la NAVY l'avait informé que les USA avaient donné une technologie avancée à l'Afrique du
Sud, en échange d'un OVNI et de ses occupants !
À cette conférence, nous avons aussi rencontré le cosmonaute russe Marina Popavich. Elle voulut me
parler, mais je fus très prudent, car je m'aperçus qu'elle buvait beaucoup et on m'avait dit qu'elle était
constamment accompagnée d'un agent du KGB.
Von Greunen alla en Europe et au Canada, essayant de monnayer ses informations. Il était menteur
et intéressé. Il mit en danger l'une de ses sources, si bien que cette personne dut émigrer aux USA.
Je suis pour ma part toujours soigneux de ne pas mettre la vie de ceux qui m'offrent des
renseignements, en danger. C'est une courtoisie élémentaire. On nous avertit aussi qu'Armen et moi
étions sous surveillance. J'avais remarqué que ma voiture était souvent suivie et que mon téléphone
était probablement sur écoute. Un électronicien me le confirma. On nous avertit de ne pas nous
rendre en France, car nous risquions d'être enlevés par les Services Secrets de ce pays. (Je me
rappelais que des accords commerciaux et militaires avaient été signés entre la France et l'Afrique du
Sud).
Pauline avait peur, mais nous sommes quand même allés à une conférence à Munich du 22 au 24
juin 1990. Une voiture nous prit en chasse depuis la maison, avec une personne à l'intérieur. Cet
homme ne nous lâcha pas dans l'aéroport, et prit l'avion avec nous. Il suivit toute la conférence et
nous escorta dans le voyage du retour. Au contrôle de l'immigration, il ne présenta pas un passeport,
mais une carte ressemblant à celle d'un agent secret. James Von Greunen était à la conférence de
Munich. Il voulut parler mais on le soupçonna de mentir. Je ne l'ai plus revu depuis, mais je sais qu'il
est encore en Allemagne.
À la conférence je vis deux officiers de l'Ambassade Allemande, originaires d'Afrique du Sud. Ils
écoutèrent soigneusement et prirent des notes. Ils me posèrent beaucoup de questions qui montraient
qu'ils étaient au courant d'un bon nombre de choses.
Dans les documents de Von Greunen, on parlait d'un certain Tafelberg. Par recoupements, nous
comprîmes que c'était un cargo international qui possédait une technologie de pointe et pouvait
repérer des OVNI.
D'autres chercheurs comme le Dr Hurtak et le Baron Von Buttar furent aussi très intéressés. Ils se
rendirent tous deux en Afrique du Sud, et Von Buttar m'offrit de me payer mon voyage. Je déclinais
l'offre, mais lorsqu'ils rentrèrent, ils me donnèrent de leurs nouvelles. Ils me confirmèrent que ce crash
avait bien eu lieu, mais ils ne pouvaient me donner aucun détail supplémentaire.
À la fin de 1989, un ami proche qui suivait un stage pour être diplomate, à Londres, se trouva à table,
près d'un politicien du Botswana : M. Dthoko Seiso, Ministre de l'environnement de son pays.
(Frontière avec l'Afrique du Sud). Mon ami parla du crash du Kalahari, mais on se moqua de lui.
Cependant, M. Seiso promit que, lorsqu'il retournerait dans son pays, il s'informerait. Quelques mois
plus tard, lorsqu'il retrouva mon ami, il lui dit devant témoins : " Je confirme ce que vous m'aviez dit.
Ce crash s'est bien produit. Mais je ne comprends pas comment vous l'avez su ".
Par la suite, Armen et moi, nous fûmes appelés pour faire des conférences devant des militaires
américains ou des membres du K.G.B. Mais personne ne nous prit au sérieux. Aussi, nous
continuâmes nos enquêtes tranquillement, malgré les menaces dont nous étions victimes.
En mai 1991, je suis allé à Tucson (USA) pour la conférence mondiale de Quest. Le soir, tandis que
nous discutions entre amis, deux hommes se présentèrent et demandèrent à se joindre à nous. Mes
amis américains se levèrent tous et s'en allèrent. Ils savaient qui étaient ces hommes habillés de noir.
Disons que l'un semblait être " M. Gentil " et l'autre, " M. Méchant ".
M. Gentil seul parla et me dit qu'ils faisaient partie du Gouvernement américain, et il me recommanda
d'être très prudent dans le futur. L'autre me fixait droit dans les yeux pendant tout le temps. Je
répondis que personne n'était capable de m'intimider, et qu'ils ne me faisaient pas peur. Je parlais
d'une voix calme et je souriais. Il sourit également. " Ne faites aucune erreur. Nous sommes capables
de vous arrêter ! " Je leur dit que leur organisation était connue dans le monde entier et que j'avais
des amis qui continueraient ce que je faisais si je disparaissais. " Je suis sur cette Terre pour faire
quelque chose et je le ferai quoi qu'il arrive ". Tout le monde souriait, et de loin, on aurait pu nous
prendre pour une bande d'amis. Mais une énorme tension régnait. Pauline avait très peur, mais
essayait de le cacher. M. Méchant ne me quittait pas des yeux. Je remerciai Dieu de l'entraînement
que j'avais suivi dans la police. Je connaissais leur tactique américaine, mais j'étais en mesure de ne
pas me laisser intimider. Avant de partir, le " Gentil " changea de tactique et nous invita à nous faire
visiter le désert autour de Tucson, le lendemain. J'acceptai. Le jour suivant, ils vinrent nous chercher à
l'hôtel dans un 4X4 . La conversation était brève. Le Gentil, le seul qui parlait, dit : " Vous savez
beaucoup de choses, mais toutes ne sont pas bonnes à dire à M. Tout le Monde, et pas seulement
dans ce pays ". J'étais plus anxieux que la veille, mais je leur répétai que je n'avais pas peur.
L'homme sourit et même M. Méchant se relaxa. Tous se détendirent et ils surent nous faire profiter
agréablement de cette promenade. Pauline posait des questions sur tout et on lui répondit
courtoisement. Avant de nous quitter, M. Gentil nous dit : " Essayez de trouver des cartes
rapprochées de Mars et de Vénus ". Nous ne les avons pas revus.
6 semaines plus tard, on sonna à la porte. Le commissionnaire était un jeune homme aux cheveux
courts, d'aspect net et soigné. Il me présenta une liasse de photos de Mars et de Vénus. Je n'avais
pas donné mon adresse, mais on avait su nous trouver. Le jeune homme à l'accent américain nous dit
qu'il travaillait près d'Harrogate. Je demandai : " À Menwtich Hill ? " C'était le point d'impact de la
SNA, en Angleterre, à 20 km de chez moi. (La CIA est un enfant de chœur, à côté de la NSA, qui
supervise tous les crashes d'OVNI et des êtres récupérés). Le jeune homme acquiesça sans paraître
surpris. Il nous dit en souriant que son intérêt pour les OVNI était un hobby. Nous savions tous les
deux qu'il mentait. Puis il s'en alla. Je compris alors d'où venait la surveillance que nous subissions.
Par la suite on me confirma la vitesse et l'endroit exact où avait eu lieu l'impact de l'arme et de la
cible : l'OVNI. On comprit que Von Greunen avait vu tous les documents et qu'il avait essayé de les
reconstituer. Ces derniers étaient des faux, mais l'information était juste. Sauf sur un point où sa
mémoire avait flanché. Il avait parlé d'une arme à laser THOR 2, mais en fait, il s'agissait d'un MASER
(amplification d'une micro-onde par une émission stimulée de radiation). Les flashes aveuglants
rapportés par les témoins en sont la preuve. J'ai appris que ces armes ne sont fixées que sur des
avions F14 Tomcat ou sur des Mirages. Comme la France et l'Afrique du Sud sont les seuls pays à
posséder des Mirages, il est logique de penser que des armes à Maser ont été achetées par ces deux
pays.
En 1997, j'ai eu le plaisir de recueillir une information nouvelle très gratifiante. J'ai entendu les propos
d'une amie qui travaillait à l'hôpital Groote Schuur, à l'époque du crash (celui où le Prof. Barnard fit la
première transplantation cardiaque). Elle avait assisté à l'autopsie d'un corps d'alien tué au cours du
crash. Elle précisa que les plus grandes différences entre ce corps et le nôtre sont : le manque
d'organes génitaux, de système immunitaire et de système digestif. La descrïption de l'être était
conforme à celle dite " petit gris ", peau lisse et grise, aucun poil, ni cheveu. Grosse tête avec
d'énormes yeux noirs de forme ovale.
Elle me dit qu'il lui était défendu de parler, mais que maintenant elle quittait l'hôpital et allait changer
de pays. Elle avait essayé en vain de retrouver le dossier dans les archives. Elle pensait qu'il avait été
détruit. Elle est à présent installée en Europe.
Cette affaire est l'une des plus importantes dans l'histoire des OVNI, avec Roswell et Randlesham
Forest.
1 - Voir le nouveau livre : " Roswell, I was there " par R. Shirley - 1999.
CONCLUSION DE GENEVIEVE VANQUELEF :
Cette enquête voit enfin son dénouement, et le rôle de Von Greunen est bien précisé. Ce crash est donc
authentique. Tony Dodd est un excellent enquêteur et tout son livre est très intéressant. Je le
recommande à ceux qui lisent l'anglais. (Éditions Headline, Angleterre).
Source: libres de Genieve Vanquelef
Site de Genieve Vanquelef: http://www.auwebmania.com/vanquelef/
Source : http://81032.aceboard.fr/81032-2091-4256-0-Crash-Kalahari.htm
- dupont david 02Equipe du forum
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Re: (1989-Afrique du sud) Crash d'un ovni dans le desert du Kalahari.
Mar 13 Déc 2011, 15:58
oui j'ai dèja vu ces rapports avec aussi la CIA, FBI, etc
- JordanBLégende du forum
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Re: (1989-Afrique du sud) Crash d'un ovni dans le desert du Kalahari.
Mer 14 Déc 2011, 04:08
Bonjour,
un cas vraiment intéressant et peu connu du grand public.
On dirait même parfois que la focalisation médiatique sur Roswell et tout le cirque qu'il y a autour, obscurcit toutes les autres affaires autrement plus symboliques dans un sens.
Parler de ce cas extraordinaire à quelqu'un, il en sera réellement surpris, voire décontenancé.
JordanB
un cas vraiment intéressant et peu connu du grand public.
On dirait même parfois que la focalisation médiatique sur Roswell et tout le cirque qu'il y a autour, obscurcit toutes les autres affaires autrement plus symboliques dans un sens.
Parler de ce cas extraordinaire à quelqu'un, il en sera réellement surpris, voire décontenancé.
JordanB
- dupont david 02Equipe du forum
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Re: (1989-Afrique du sud) Crash d'un ovni dans le desert du Kalahari.
Mer 14 Déc 2011, 12:37
oui mais les septiques diront que tous ces documents sont faux en plus traduit en francais que demandès de plus
il y a aussi the vault sur le site du FBI avec un rapport dèclassifiè sur le crash d'un ovni et rècupèration de corps extraterrestres avec leur description et aussi sur le ste de la CIA avec un rapport avoir recu un signal extraterrestre dans les annès 90 mais les septiques diront que c'est pas une preuve les agences ont èditès de faux rapport
il y a aussi the vault sur le site du FBI avec un rapport dèclassifiè sur le crash d'un ovni et rècupèration de corps extraterrestres avec leur description et aussi sur le ste de la CIA avec un rapport avoir recu un signal extraterrestre dans les annès 90 mais les septiques diront que c'est pas une preuve les agences ont èditès de faux rapport
- Thierry-80Participation exceptionnelle
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Re: (1989-Afrique du sud) Crash d'un ovni dans le desert du Kalahari.
Mer 14 Déc 2011, 14:20
C'est tiré d'un roman ou quoi ?!
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Re: (1989-Afrique du sud) Crash d'un ovni dans le desert du Kalahari.
Mer 14 Déc 2011, 15:24
bonjour,
Il s'agirait évidemment d'un canular (hoax) selon le site :
http://www.abovetopsecret.com/forum/thread576759/pg1
Il s'agirait évidemment d'un canular (hoax) selon le site :
http://www.abovetopsecret.com/forum/thread576759/pg1
- Pierre.BAdministrateur
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Re: (1989-Afrique du sud) Crash d'un ovni dans le desert du Kalahari.
Mer 14 Déc 2011, 23:08
Bonsoir,
J'aimerais bien trouver la source direct de ce document , sur le site du FBI , CIA ou autre officine gouvernementale américaine. . Une source indirect (comme photovni.free.fr ,attention je ne juge pas ce site ) n'est pas gage de certitude.
Si l'on retrouve la source direct et qu'elle s'avère donc sûr (sûr de sa provenance d'un site du gouvernement américain) , on est devant deux possibilités :
1- C'est une histoire vraie.
2- C'est une opération de désinformation provenant soit de l'officine américaine soit d'une autre source d'où l'officine américaine tire ce document.
Alors , comment savoir où se trouve "la vérité" ? Les States ont tellement brouillé les cartes sur le sujet ovni qu'il est aujourd'hui très difficile de démêler le vrai du faux , et ce malgré la fameuse loi FOIA .
Histoire vrai ou désinfo ? ... Telle est la question.
Cordialement.
J'aimerais bien trouver la source direct de ce document , sur le site du FBI , CIA ou autre officine gouvernementale américaine. . Une source indirect (comme photovni.free.fr ,attention je ne juge pas ce site ) n'est pas gage de certitude.
Si l'on retrouve la source direct et qu'elle s'avère donc sûr (sûr de sa provenance d'un site du gouvernement américain) , on est devant deux possibilités :
1- C'est une histoire vraie.
2- C'est une opération de désinformation provenant soit de l'officine américaine soit d'une autre source d'où l'officine américaine tire ce document.
Alors , comment savoir où se trouve "la vérité" ? Les States ont tellement brouillé les cartes sur le sujet ovni qu'il est aujourd'hui très difficile de démêler le vrai du faux , et ce malgré la fameuse loi FOIA .
Histoire vrai ou désinfo ? ... Telle est la question.
Cordialement.
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Re: (1989-Afrique du sud) Crash d'un ovni dans le desert du Kalahari.
Jeu 15 Déc 2011, 19:51
Bonsoir,
Il semblerai que cette affaire soit réellement entouré de mystères (Disparitions et falsifications de documents, exercices de désinformation...)
D'autres encore pensent tout simplement à un canular habilement fabriqué par James Van Groenen en personne.
Je continu actuellement à recherché des infos sur l'affaire , même si elle semble de moins en moins vraie.
Un peu plus d'infos : http://rr0.org/science/crypto/ufo/enquete/dossier/SouthAfricaCrash/index.html
Il semblerai que cette affaire soit réellement entouré de mystères (Disparitions et falsifications de documents, exercices de désinformation...)
D'autres encore pensent tout simplement à un canular habilement fabriqué par James Van Groenen en personne.
Je continu actuellement à recherché des infos sur l'affaire , même si elle semble de moins en moins vraie.
Un peu plus d'infos : http://rr0.org/science/crypto/ufo/enquete/dossier/SouthAfricaCrash/index.html
- dupont david 02Equipe du forum
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Re: (1989-Afrique du sud) Crash d'un ovni dans le desert du Kalahari.
Jeu 15 Déc 2011, 20:32
sur le site du FBI il faut cliquer sur les documents ufo et ensuite il faut traduit j'ai vu ca quelque part mais ou je sais plus il y a tellement de document mais j'avais traduit un document ou c'ètait ècrit avoir rècupèrè un ovnis avec 3 ou 5 corps extraterretres en 1952 il me semble
- jérôme38Culture Scientifique
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Re: (1989-Afrique du sud) Crash d'un ovni dans le desert du Kalahari.
Jeu 15 Déc 2011, 22:47
dupont david 02 a écrit:sur le site du FBI il faut cliquer sur les documents ufo et ensuite il faut traduit j'ai vu ca quelque part mais ou je sais plus il y a tellement de document mais j'avais traduit un document ou c'ètait ècrit avoir rècupèrè un ovnis avec 3 ou 5 corps extraterretres en 1952 il me semble
Super, mais tu m'expliques comment on traduit un scan de photocopies ? Navigation ou logiciel : c'est du délire ...
Bien que je ne nie pas non plus qu'il n'est pas "impossible" de réaliser un logiciel qui lira des caractères sur un scan pour en saisir numériquement le contenu (l'information en somme : pas le dessin du caractère j'entends) et de la traduction aisée logiciel
Mais j'ai de sacré doute, que d'une telle méthode tu reconstitus le scan via ses caractères traduits ... Avec l'effet photocopie & tout ! Stop ... A partir de la, c'est une création pure et simple
Pourquoi alors chercher a lui donner un effet de scan de photocopie d'archive ? Si ce n'est chercher a tromper des indécrules
Pour moi le scan photocop' des dessins des mains/os qu'on voit + haut, sont une bonne preuve de la manipulation d'un hoaxeur, ou du moins un signe assez fort en cette direction ...
Refait a la main, au propre, traduit sans effet scan photocopie : aurait été 2000x + crédible
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L'arracheur de navet, montre le chemin avec un navet ... Kobayashi Issa
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