- Stéphane 14Equipe du forum
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Inscription : 25/01/2009
Localisation : basse-normandie/Berjou
Emploi : ouvrier dans l'industrie
Passions : Peinture, les oiseaux exotiques et l'ufologie
Règlement : Règlement
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Interview de Serge Tinland du projet Phenix.
Mer 16 Sep 2009, 21:46
Bonsoir à tous,
Source: http://www.ufofu.org/blog/
La Terre a-t-elle été visitée par une ou plusieurs civilisations extraterrestres dans le passé ? Si oui, existe-t-il des traces physiques de cette présence ? Serge Tinland pense que c’est bien le cas et il s’est lancé le défi de retrouver de tels artefacts. C’est le but de son projet, le Projet Phenix. Il a bien voulu nous accorder un peu de son temps pour réponde à ces quelques questions.
Merci à lui, et merci également à ufo-paris, dont les conseils et suggestions m’ont aidé à préparer cette interview.
__________________________________________
Serge Tinland, bonjour.
Originaire du Cannet dans le sud de la France, âgé de 47 ans, vous êtes l’initiateur du très ambitieux Projet Phenix que nous avons déjà cité à quelques reprises ici sur ufofu, notamment pour l’annonce de votre projet d’expédition sur le terrain, dans la jungle équatorienne.
L’annonce de votre démarche ayant soulevé beaucoup d’interrogations de la part de nos lecteurs, nous avons décidé de mieux comprendre vos motivations en vous soumettant une série de questions auxquelles nous serions ravis que vous répondiez…
Tout d’abord, pouvez-vous vous présenter en quelques mots à nos lecteurs ?
Bonjour à vous et à l’ensemble des lecteurs d’Ufofu,
Comme signalé en avant-propos, je vais avoir bientôt 47 ans, divorcé, sans enfant, vivant dans le sud de la France, au sein de la communauté de la ville du Cannet (06).
J’ai fait une partie de mes études sur Poitiers, avant de me rendre sur Paris, puis enfin Marseille, pour parfaire ma formation de plongeur professionnel, enseignant (BEES1) et scaphandrier (C2).
Après douze années passées à vivre de très belles aventures humaines, techniques et scientifiques dans le domaine de la plongée sous-marine professionnelle, je me suis tourné vers l’enseignement, puis la formation aéronautique. J’exerce cette activité depuis 1994, notamment depuis fin 2002 sur l’aéroport de Cannes-Mandelieu au sein d’IFAERO, l’Institut de Formation Aéronautique de la CCI Nice Côte d’Azur. Mes fonctions consistent à mettre en place des formations spécifiques pour les personnels des compagnies aériennes, entre autres pour les pilotes professionnels sur jets d’affaires.
Vous pouvez consulter mon CV complet sur le site du Phenix Project :
Comment avez-vous été amené à vous intéresser au sujet OVNI et à d’éventuels contacts entre l’humanité et des entités extra-terrestres ? Y a-t-il des auteurs ou des documents en particulier qui ont influencé votre parcours ?
Du plus loin que je puisse remonter dans ma mémoire, j’ai toujours été attiré par la beauté du ciel étoilé et du monde qui nous entoure. Devant la magnificence et le mystère de l’univers, se sont imposées les questions que tous les nantis que nous sommes se sont un jour posées, car il faut être nanti pour avoir le temps de se poser des questions alors que 90 % de l’humanité se bat pour survivre… : Qui sommes-nous ? D’où venons-nous ? Existe-t-il d’autres vies ‘intelligentes’ en dehors de l’humanité, au-delà de la planète Terre ?
De question en question, mon environnement familial, amical, scolaire et universitaire ne pouvant satisfaire à mes interrogations, j’en suis venu très naturellement à m’intéresser à l’une, sinon à la plus grande énigme scientifique de tous les temps : la problématique OVNI.
Après avoir beaucoup lu sur le sujet et acquis une assez solide expérience en astronomie (40 années d’astronomie pratique et théorique, de la simple lunette de 60 mm au 600 mm du Pic du Midi lors de plusieurs missions au tout début de l’aventure du 60 cm du Pic), il m’a semblé comme une certitude que pour pouvoir avancer sur le sujet et dossier UFO, il faudrait un jour ou l’autre se décider à emprunter des chemins encore hostiles, aller hors des sentiers battus dans l’espoir d’une véritable découverte pour une vraie avancée dans le domaine.
Alors là aussi, comme une évidence que notre monde était voué depuis sa création à évoluer pour essaimer en dehors de sa planète d’origine sous peine de disparition totale, il m’était tout aussi évident que dans le fourmillement des centaines de milliards d’étoiles de notre galaxie et des centaines de milliards de galaxies peuplant l’univers connu à ce jour, les mondes et planètes ayant engendré la vie ont fait et referont, ce que nous terriens nous tenterons et réussirons dans un futur proche : voyager et essaimer en dehors du berceau originel.
Là, à cet instant, nous parlons de technologie, de science et non pas d’autre chose.
De fait, partant de ce postulat, il m’était tout aussi évident qu’il devait exister un lien entre l’histoire de l’humanité et le dossier UFO.
Ce lien ne pouvait être, s’il existe vraiment, que du domaine de l’archéologie, la géologie, la paléontologie, l’ethnologie et la linguistique, en passant par l’histoire des technologies et des sciences.
Ce processus de réflexion est la genèse du lien que j’établis entre humanité et vie intelligente extra-terrestre et par conséquent, du Phenix Project.
Toutes ces réflexions ont bien évidemment été soutenues et enrichies par la lecture d’auteurs ou de documents sortant de l’ordinaire.
Je citerai parmi eux les acteurs et auteurs suivants, liste non exhaustive, qui ont tous contribué à leurs manières à faire avancer le dossier d’une façon plus que pertinente : Allen Hynek, Jacques Vallée, Stanton Friedman, Auguste Meessen, Jean-Pierre Petit, Heinrich Schliemann, Jean-Claude Bourret, Emile Fradin, Erich von Däniken, Guy Tarade, Stefen Jay Gould, Michel Brunet, …
Plus près de nous, des personnalités comme Stéphane Alix et Christel Seval, ainsi que des mouvements comme ceux de l’exopolitics du Paradigm Research Group animés par l’activiste Steve Bassett, ou encore les résultats très encourageants du CBU (Brazilian UFO Researchers Committee), et de leur campagne “UFOs : Freedom of Information Now”, commencée en 2004 et coordonnée par la revue brésilienne UFO Magazine, qui a abouti ce jour à la déclassification de plus de 1400 pages de documents très intéressants, permettent d’approcher le dossier sous de nouvelles perspectives avec de possibles leviers permettant peut-être d’activer le processus de divulgation au niveau international.
Parlons à présent du Projet Phenix en lui même. Quand et comment est née l’idée de ce projet ?
Au retour des deux dernières années de missions d’archéologie sous-marine aux Philippines, plusieurs événements sont survenus dans ma carrière professionnelle venant remettre en cause petit à petit mes activités de plongeur professionnel. Me retrouvant par la suite dans le secteur aéronautique, j’ai été confronté très rapidement à des déclarations étonnantes émanant de responsables militaires travaillant au sein d’une base de surveillance radar dans le sud de la France, celle du Mont Agel, Centre de Détection et de Contrôle (BA 943 - Armée de l’Air).
C’est l’élément déclencheur qui est venu me raccrocher à mes premières réflexions sur le sujet. Il m’était à ce moment-là totalement certain qu’il était temps pour moi d’écrire un projet pouvant me permettre, peut-être, de me concentrer sur le sujet qui me tient le plus à cœur : sommes-nous seuls ?
Cinq années plus tard, le Projet Phenix était finalisé et en ligne le 25 janvier 2007.
Dans votre dossier PDF on peut lire que le Projet Phenix est :
« un projet exclusivement scientifique, tourné vers la recherche définitive et formelle de la preuve empirique pouvant nous permettre de résoudre l’une des énigmes les plus importantes de notre siècle et de tous les temps, celle de la réalité physique ou non des UFOs (Unidentified Flying Object / Objet Volant Non Identifié), de l’intelligence éventuelle qui se cacherait derrière, terrestre ou autre, et de la réalité ou non des traces d’artefacts technologiques préhistoriques pouvant être reliées ou non au dossier UFO ».
Vaste projet ! Qu’est-ce qui vous fait croire que vous pouvez réussir là où les ufologues et les scientifiques ont échoué depuis 60 ans ?
Oui, je suis le premier à le reconnaître ; vaste, très vaste projet !
Ceci n’est pas une question de croyance, je ne suis ni mieux, ni pire, ni plus ni moins qu’un autre. Je suis le terrien lambda qui se pose des questions et qui cherche des réponses.
Je suis intimement persuadé que pour sortir de l’impasse d’une démarche quelconque, technique, scientifique, il faut emprunter des voies hors des sentiers battus. Les découvertes les plus importantes ont toutes été faites par des hommes et des femmes aimant l’aventure, ayant l’esprit d’aventure, l’esprit d’entreprendre, ayant le feu de la véritable quête de la recherche et non du dogme bien établi.
Depuis les tout premiers projets d’études dits « sérieux » sur le dossier UFO fait notamment aux USA, puis par la suite en Europe et dans d’autres pays, sur d’autres continents, qu’en est-il ressorti de concret ? Les études militaires civiles et associatives connues n’ont à ce jour fait que peu avancer le dossier. Bien au contraire, c’est la confusion la plus totale au sein du grand public et du monde scientifique depuis la fin des années 40 à nos jours. Pourquoi ?
Le dossier est à la fois si complexe et si étonnamment « simple », qu’il a fait surtout ressortir l’ensemble des instincts basics ou primaires de l’homme en 60 années d’études ou de pseudo études. Nous avons eu affaire à la manipulation, la désinformation, le ridicule et les batailles d’ego des «personnalités » les plus en vue du petit monde dit de « l’ufologie » internationale, nationale et régionale !
Dans un modèle de recherche scientifique traditionnelle, il existe un processus simple à mettre en œuvre pour avoir une chance de trouver une piste exploitable, modélisable et enfin transférable au monde économique et industriel mondial, à savoir : une observation de base, des modèles théoriques posés, puis des équipes pluridisciplinaires mises en œuvres, toutes interconnectées entre elles et ayant toutes des objectifs bien définis liés à des budgets dédiés, calculés en fonction de l’importance du projet initial.
C’est ce processus simple et efficace que j’ai décidé d’adopter pour le Phenix Project.
L’échec passé et actuel des «ufologues» concernant le dossier est essentiellement dû, au-delà des personnalités souvent ambiguës et contradictoires, au manque de structures spécifiques liées à des personnels qualifiés soutenus par des moyens financiers et matériels adaptés.
Il en est de même pour les quelques véritables scientifiques connus qui ont eu le courage de s’intéresser d’un peu plus près au dossier. Nous pouvons nommer en France Michel Bounias, Jean-Pierre Petit, et bien d’autres de par le monde.
Pour ce qui est des projets officiels, civils ou militaires, ce n’est pas par manque de moyens que cela n’a pas abouti officiellement, mais seulement par manque de volonté et de compétence, et surtout de la politique du secret des pouvoirs en place. Nous pouvons citer aux USA le projet Condon, Blue Book en passant en France par le GEPAN, puis le SEPRA et maintenant le GEIPAN dont il ne faut absolument rien attendre !
Seul un projet (qui lui a aboutit), sans nom et non officiel connu aujourd’hui, initié par le NIDS “National Institute for Discovery Science” aux US, bénéficiant de moyens illimités, tant en personnels qualifiés et motivés qu’en moyens matériels et financiers, est l’équivalent du Phenix Project en France.
Cependant, il semble que les conclusions du NIDS sur l’enquête hors norme entreprise dans le plus grand secret au sein du ranch de l’Utah sur près de 8 années ne soient pas totalement divulguées au grand public ! En effet, ayant été en contact début 2009 avec George Knapp, reporter d’investigation, celui-ci est resté très laconique sur les découvertes et premières conclusions du ranch de l’Utah !
Ce point souligné est très important, car dans les objectifs assignés au Phenix Project, il est bien spécifié que l’ensemble des découvertes seront totalement publiées et disponibles à la totalité du monde « ufologique » et scientifique, ce qui ne semble pas être la règle du NIDS et autres projets non dévoilés à ce jour.
Source: http://www.ufofu.org/blog/
La Terre a-t-elle été visitée par une ou plusieurs civilisations extraterrestres dans le passé ? Si oui, existe-t-il des traces physiques de cette présence ? Serge Tinland pense que c’est bien le cas et il s’est lancé le défi de retrouver de tels artefacts. C’est le but de son projet, le Projet Phenix. Il a bien voulu nous accorder un peu de son temps pour réponde à ces quelques questions.
Merci à lui, et merci également à ufo-paris, dont les conseils et suggestions m’ont aidé à préparer cette interview.
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Serge Tinland, bonjour.
Originaire du Cannet dans le sud de la France, âgé de 47 ans, vous êtes l’initiateur du très ambitieux Projet Phenix que nous avons déjà cité à quelques reprises ici sur ufofu, notamment pour l’annonce de votre projet d’expédition sur le terrain, dans la jungle équatorienne.
L’annonce de votre démarche ayant soulevé beaucoup d’interrogations de la part de nos lecteurs, nous avons décidé de mieux comprendre vos motivations en vous soumettant une série de questions auxquelles nous serions ravis que vous répondiez…
Tout d’abord, pouvez-vous vous présenter en quelques mots à nos lecteurs ?
Bonjour à vous et à l’ensemble des lecteurs d’Ufofu,
Comme signalé en avant-propos, je vais avoir bientôt 47 ans, divorcé, sans enfant, vivant dans le sud de la France, au sein de la communauté de la ville du Cannet (06).
J’ai fait une partie de mes études sur Poitiers, avant de me rendre sur Paris, puis enfin Marseille, pour parfaire ma formation de plongeur professionnel, enseignant (BEES1) et scaphandrier (C2).
Après douze années passées à vivre de très belles aventures humaines, techniques et scientifiques dans le domaine de la plongée sous-marine professionnelle, je me suis tourné vers l’enseignement, puis la formation aéronautique. J’exerce cette activité depuis 1994, notamment depuis fin 2002 sur l’aéroport de Cannes-Mandelieu au sein d’IFAERO, l’Institut de Formation Aéronautique de la CCI Nice Côte d’Azur. Mes fonctions consistent à mettre en place des formations spécifiques pour les personnels des compagnies aériennes, entre autres pour les pilotes professionnels sur jets d’affaires.
Vous pouvez consulter mon CV complet sur le site du Phenix Project :
Comment avez-vous été amené à vous intéresser au sujet OVNI et à d’éventuels contacts entre l’humanité et des entités extra-terrestres ? Y a-t-il des auteurs ou des documents en particulier qui ont influencé votre parcours ?
Du plus loin que je puisse remonter dans ma mémoire, j’ai toujours été attiré par la beauté du ciel étoilé et du monde qui nous entoure. Devant la magnificence et le mystère de l’univers, se sont imposées les questions que tous les nantis que nous sommes se sont un jour posées, car il faut être nanti pour avoir le temps de se poser des questions alors que 90 % de l’humanité se bat pour survivre… : Qui sommes-nous ? D’où venons-nous ? Existe-t-il d’autres vies ‘intelligentes’ en dehors de l’humanité, au-delà de la planète Terre ?
De question en question, mon environnement familial, amical, scolaire et universitaire ne pouvant satisfaire à mes interrogations, j’en suis venu très naturellement à m’intéresser à l’une, sinon à la plus grande énigme scientifique de tous les temps : la problématique OVNI.
Après avoir beaucoup lu sur le sujet et acquis une assez solide expérience en astronomie (40 années d’astronomie pratique et théorique, de la simple lunette de 60 mm au 600 mm du Pic du Midi lors de plusieurs missions au tout début de l’aventure du 60 cm du Pic), il m’a semblé comme une certitude que pour pouvoir avancer sur le sujet et dossier UFO, il faudrait un jour ou l’autre se décider à emprunter des chemins encore hostiles, aller hors des sentiers battus dans l’espoir d’une véritable découverte pour une vraie avancée dans le domaine.
Alors là aussi, comme une évidence que notre monde était voué depuis sa création à évoluer pour essaimer en dehors de sa planète d’origine sous peine de disparition totale, il m’était tout aussi évident que dans le fourmillement des centaines de milliards d’étoiles de notre galaxie et des centaines de milliards de galaxies peuplant l’univers connu à ce jour, les mondes et planètes ayant engendré la vie ont fait et referont, ce que nous terriens nous tenterons et réussirons dans un futur proche : voyager et essaimer en dehors du berceau originel.
Là, à cet instant, nous parlons de technologie, de science et non pas d’autre chose.
De fait, partant de ce postulat, il m’était tout aussi évident qu’il devait exister un lien entre l’histoire de l’humanité et le dossier UFO.
Ce lien ne pouvait être, s’il existe vraiment, que du domaine de l’archéologie, la géologie, la paléontologie, l’ethnologie et la linguistique, en passant par l’histoire des technologies et des sciences.
Ce processus de réflexion est la genèse du lien que j’établis entre humanité et vie intelligente extra-terrestre et par conséquent, du Phenix Project.
Toutes ces réflexions ont bien évidemment été soutenues et enrichies par la lecture d’auteurs ou de documents sortant de l’ordinaire.
Je citerai parmi eux les acteurs et auteurs suivants, liste non exhaustive, qui ont tous contribué à leurs manières à faire avancer le dossier d’une façon plus que pertinente : Allen Hynek, Jacques Vallée, Stanton Friedman, Auguste Meessen, Jean-Pierre Petit, Heinrich Schliemann, Jean-Claude Bourret, Emile Fradin, Erich von Däniken, Guy Tarade, Stefen Jay Gould, Michel Brunet, …
Plus près de nous, des personnalités comme Stéphane Alix et Christel Seval, ainsi que des mouvements comme ceux de l’exopolitics du Paradigm Research Group animés par l’activiste Steve Bassett, ou encore les résultats très encourageants du CBU (Brazilian UFO Researchers Committee), et de leur campagne “UFOs : Freedom of Information Now”, commencée en 2004 et coordonnée par la revue brésilienne UFO Magazine, qui a abouti ce jour à la déclassification de plus de 1400 pages de documents très intéressants, permettent d’approcher le dossier sous de nouvelles perspectives avec de possibles leviers permettant peut-être d’activer le processus de divulgation au niveau international.
Parlons à présent du Projet Phenix en lui même. Quand et comment est née l’idée de ce projet ?
Au retour des deux dernières années de missions d’archéologie sous-marine aux Philippines, plusieurs événements sont survenus dans ma carrière professionnelle venant remettre en cause petit à petit mes activités de plongeur professionnel. Me retrouvant par la suite dans le secteur aéronautique, j’ai été confronté très rapidement à des déclarations étonnantes émanant de responsables militaires travaillant au sein d’une base de surveillance radar dans le sud de la France, celle du Mont Agel, Centre de Détection et de Contrôle (BA 943 - Armée de l’Air).
C’est l’élément déclencheur qui est venu me raccrocher à mes premières réflexions sur le sujet. Il m’était à ce moment-là totalement certain qu’il était temps pour moi d’écrire un projet pouvant me permettre, peut-être, de me concentrer sur le sujet qui me tient le plus à cœur : sommes-nous seuls ?
Cinq années plus tard, le Projet Phenix était finalisé et en ligne le 25 janvier 2007.
Dans votre dossier PDF on peut lire que le Projet Phenix est :
« un projet exclusivement scientifique, tourné vers la recherche définitive et formelle de la preuve empirique pouvant nous permettre de résoudre l’une des énigmes les plus importantes de notre siècle et de tous les temps, celle de la réalité physique ou non des UFOs (Unidentified Flying Object / Objet Volant Non Identifié), de l’intelligence éventuelle qui se cacherait derrière, terrestre ou autre, et de la réalité ou non des traces d’artefacts technologiques préhistoriques pouvant être reliées ou non au dossier UFO ».
Vaste projet ! Qu’est-ce qui vous fait croire que vous pouvez réussir là où les ufologues et les scientifiques ont échoué depuis 60 ans ?
Oui, je suis le premier à le reconnaître ; vaste, très vaste projet !
Ceci n’est pas une question de croyance, je ne suis ni mieux, ni pire, ni plus ni moins qu’un autre. Je suis le terrien lambda qui se pose des questions et qui cherche des réponses.
Je suis intimement persuadé que pour sortir de l’impasse d’une démarche quelconque, technique, scientifique, il faut emprunter des voies hors des sentiers battus. Les découvertes les plus importantes ont toutes été faites par des hommes et des femmes aimant l’aventure, ayant l’esprit d’aventure, l’esprit d’entreprendre, ayant le feu de la véritable quête de la recherche et non du dogme bien établi.
Depuis les tout premiers projets d’études dits « sérieux » sur le dossier UFO fait notamment aux USA, puis par la suite en Europe et dans d’autres pays, sur d’autres continents, qu’en est-il ressorti de concret ? Les études militaires civiles et associatives connues n’ont à ce jour fait que peu avancer le dossier. Bien au contraire, c’est la confusion la plus totale au sein du grand public et du monde scientifique depuis la fin des années 40 à nos jours. Pourquoi ?
Le dossier est à la fois si complexe et si étonnamment « simple », qu’il a fait surtout ressortir l’ensemble des instincts basics ou primaires de l’homme en 60 années d’études ou de pseudo études. Nous avons eu affaire à la manipulation, la désinformation, le ridicule et les batailles d’ego des «personnalités » les plus en vue du petit monde dit de « l’ufologie » internationale, nationale et régionale !
Dans un modèle de recherche scientifique traditionnelle, il existe un processus simple à mettre en œuvre pour avoir une chance de trouver une piste exploitable, modélisable et enfin transférable au monde économique et industriel mondial, à savoir : une observation de base, des modèles théoriques posés, puis des équipes pluridisciplinaires mises en œuvres, toutes interconnectées entre elles et ayant toutes des objectifs bien définis liés à des budgets dédiés, calculés en fonction de l’importance du projet initial.
C’est ce processus simple et efficace que j’ai décidé d’adopter pour le Phenix Project.
L’échec passé et actuel des «ufologues» concernant le dossier est essentiellement dû, au-delà des personnalités souvent ambiguës et contradictoires, au manque de structures spécifiques liées à des personnels qualifiés soutenus par des moyens financiers et matériels adaptés.
Il en est de même pour les quelques véritables scientifiques connus qui ont eu le courage de s’intéresser d’un peu plus près au dossier. Nous pouvons nommer en France Michel Bounias, Jean-Pierre Petit, et bien d’autres de par le monde.
Pour ce qui est des projets officiels, civils ou militaires, ce n’est pas par manque de moyens que cela n’a pas abouti officiellement, mais seulement par manque de volonté et de compétence, et surtout de la politique du secret des pouvoirs en place. Nous pouvons citer aux USA le projet Condon, Blue Book en passant en France par le GEPAN, puis le SEPRA et maintenant le GEIPAN dont il ne faut absolument rien attendre !
Seul un projet (qui lui a aboutit), sans nom et non officiel connu aujourd’hui, initié par le NIDS “National Institute for Discovery Science” aux US, bénéficiant de moyens illimités, tant en personnels qualifiés et motivés qu’en moyens matériels et financiers, est l’équivalent du Phenix Project en France.
Cependant, il semble que les conclusions du NIDS sur l’enquête hors norme entreprise dans le plus grand secret au sein du ranch de l’Utah sur près de 8 années ne soient pas totalement divulguées au grand public ! En effet, ayant été en contact début 2009 avec George Knapp, reporter d’investigation, celui-ci est resté très laconique sur les découvertes et premières conclusions du ranch de l’Utah !
Ce point souligné est très important, car dans les objectifs assignés au Phenix Project, il est bien spécifié que l’ensemble des découvertes seront totalement publiées et disponibles à la totalité du monde « ufologique » et scientifique, ce qui ne semble pas être la règle du NIDS et autres projets non dévoilés à ce jour.
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"On peut tromper tout le monde pendant un certain temps,certains pour toujours.
Mais on ne peut tromper tout le monde éternellement".
Abraham Lincoln.
'Toute vérité franchit trois étapes. D'abord elle est ridiculisée. Ensuite, elle subit une forte opposition. Puis, elle est considérée comme ayant toujours été une évidence.'
Arthur Schopenhauer
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Re: Interview de Serge Tinland du projet Phenix.
Mer 16 Sep 2009, 21:47
Qu’est-ce qui vous fait croire que vous pouvez réussir là où les ufologues et les scientifiques ont échoué depuis 60 ans?
La réponse est simple et se retrouve en huit points principaux :
Mais soyons clairs, même si Phenix Project venait un jour à trouver le financement nécessaire à son ouverture, rien ne dit qu’il fera mieux que les autres…, seulement, il fera tout pour que les cinq premiers points soient totalement respectés, gage d’une certaine assurance de potentiels découvertes pertinentes dans des domaines stratégiques pour le bien de l’humanité, tels : l’énergie, les sciences fondamentales, le social, la médecine,…
Aujourd’hui, qu’avez-vous déjà réalisé de concret en terme de recherches avec le Projet Phenix?
A l’heure actuelle, toute mon énergie est focalisée à trouver le financement pouvant permettre l’ouverture officielle du projet avec la venue des premiers collaborateurs, des premières équipes sur le terrain.
Parallèlement à la levée de fonds dirigée vers le mécénat et la donation, mon travail a consisté à préparer les données pour définir les premières cibles des missions sur le terrain avant le survey (pré-mision avant la mission officielle).
Dix-sept missions ont donc étaient retenues en priorité à ce jour, celles-ci pouvant être modifiées en fonction de l’actualité.
Les contacts sur le terrain sont en place et sont prêts à accueillir les premières équipes d’enquêteurs, notamment en Equateur.
Mon travail à IFAERO, puis la levée de fonds et la préparation de la toute première mission en Equateur ne me laisse que peu de temps sur 24 H ! Cependant, avec le premier noyau d’hommes et de femmes constitué et pressenti pour la mission Equateur 2009 /2010, j’ai heureusement l’occasion d’aller sur le terrain en France notamment, afin de travailler sur des dossiers intéressants qui sont soit très peu connus, soit totalement inconnus du grand public et qui me permettent déjà de valider certains process d’enquêtes qui nous serviront pour les futures missions du Phenix Project.
Votre première grande mission sur le terrain doit se dérouler en Equateur.
Le but : rechercher un « réseau de souterrains au cœur de la cordillère des Andes, abritant [...] une civilisation antédiluvienne aux connaissances bien plus avancées que la nôtre ».
Vous citez des anciennes expéditions qui ont tenté en vain de trouver la « bibliothèque de métal » souterraine à l’endroit nommé « la Cueva de los Tayos ».
Comment allez-vous faire pour trouver cet endroit et qu’est-ce qui vous motive dans l’idée que vous y trouverez quelque chose ?
Bon nombre de mes recherches et investigations, ainsi que celles de mes amis et compagnons, tendent à faire ressortir un fil conducteur concernant un pan du dossier : celui d’une activité « probable » souterraine et ce, sur l’ensemble du globe.
Après avoir longuement travaillé sur l’affaire « Yan », l’archéologue Hongroi, soutenu par les journalistes d’investigations Marie-Thérèse Guinchard et Pierre Paolantoni, (mes recherches m’ayant fait remonter à la source du dossier), puis sur les missions de Stanley Hall et recherches du Père Carlos Crespi, il m’est apparu évident que cette affaire « pouvait être » digne d’intérêt pour le dossier SETAV du Phenix Project.
Les premières données sont là, précises, officielles, il n’est plus question de douter de la véracité des expéditions et découvertes passées dans cette région.
La localisation de « la Cueva de los Tayos » est connue, cela n’est pas le problème. La difficulté réside dans la localisation exacte de l’entrée au monde souterrain de Yan l’archéologue, puis de celle de Petronio Jaramillo. A ce jour, nul ne sait si les deux entrées sont indépendantes ou si elles ne font qu’une.
Pour démêler cela, une piste principale, celle du trait d’union entre toutes ces expéditions et « possibles découvertes » : Le peuple Jivaro, plus précisément, l’ethnie Suarhs.
Les objectifs de la première mission, plus précisément le premier survey, sera de positionner un camp de base au plus prés d’une zone délimitée dans la jungle Equatorienne, déterminé grâce au travail d’archives, puis d’entrer en contact avec les Suarhs, plus exactement ceux d’un village très précis de cette zone totalement déterminée à ce jour, afin de lier contacts et amitiés, puis d’essayer de les associer à l’aventure de la « découverte » ou « redécouverte » d’un possible monde souterrain.
Dans une démarche comme celle-ci, il existe bon nombre de paramètres pouvant faire capoter une mission. Cependant, en plus de certaines données pertinentes pouvant nous rapprocher d’une zone acceptable en terme de « zone de survey », il faut avoir en soi une démarche qui soit réellement celle d’un chercheur de vérité et non d’un pilleur de trésors archéologiques ou autre !
Je pense qu’une telle démarche peut faire la différence avec d’autres expéditions qui ont en vain tenté de percer le mystère des mondes souterrains de la cordillère des Andes, et qui pour X raisons se sont retrouvées à abandonner très vite leurs projets.
Travail et humilité, c’est cela qui peut faire la différence !
Vous faites le pari qu’une ou plusieurs civilisations extraterrestres sont venues sur Terre dans le passé et y ont laissé des traces, sous forme de constructions et d’artefacts.
Dans votre dossier vous donnez plusieurs exemples comme les sphères d’Ottosdal, le marteau de MyInfield, les pierres Dropas, etc.
Pour votre enquête sur le terrain vous avez décidé de rechercher un endroit dont on n’a aucune preuve physique, au contraire des artefacts précédemment cités, pourquoi avoir choisi de trouver la « bibliothèque de métal » plutôt que d’enquêter en profondeur sur les sphères d’Ottosdal par exemple ?
Avant tout, il faut ici rappeler les objectifs du Phenix Project (PP) :
C’est d’essayer de mettre tout en œuvre pour tenter de découvrir la « vérité » sur le dossier UFO, et par là même, peut-être, celle de l’origine de l’Humanité, en activant un pan de la recherche à ce jour totalement sous-estimé et sous-exploité : L’Astro-archéologie.
L’Astro-archéologie est une branche parallèle, non reconnue, de l’archéologie traditionnelle, ayant pour objectif la recherche et l’analyse d’artefacts anciens, dont la provenance pourrait nous éclairer sur l’histoire réelle de notre planète, son évolution, et de fait, en final, sur les origines de l’humanité.
L’un des axes principaux de recherche du PP, l’axe SETAV (Search for Extra-Terrestrial Artefact and Visitation ou Recherche d’Artefacts et de Sondes Extraterrestres), serait de découvrir, d’analyser et d’essayer de rétro-ingéniérer, pour le bien de l’humanité, les artefacts anachroniques, technologiques ou autres, potentiellement présents sur Terre : Dans le sous-sol, dans les mers et océans et au sein de l’atmosphère terrestre (sondes).
Les moyens modernes, adaptés et uniques déployés dans le cadre du PP pourraient permettre d’élucider une des énigmes les plus importantes et stratégiques du 21e siècle, hypothétiquement liée aux origines de l’humanité : le dossier UFO.
Celui-ci, le dossier UFO, est-il oui ou non un dossier digne d’intérêt scientifique, mettant en œuvre des phénomènes physiques bien réels, palpables, quantifiables et mesurables ? Et si oui, y a-t-il un lien avec nos origines et que peut-il apporter au devenir de l’humanité tout entière ?
Cette démarche exclusivement scientifique dans un des domaines des plus controversés, fait du PP un projet unique dans son orientation astro-archéologique, aux potentiels totalement insoupçonnés quant aux découvertes qu’il pourrait mettre à jour.
Ceci pour dire, que l’hypothèse « EBE », entité biologique extraterrestre, existant et ayant peut-être visité notre monde dans des temps reculés, n’est qu’une hypothèse d’investigations du PP , et que l’une des voies d’investigations est l’astro-archéologie.
Parmi les 17 dossiers d’investigations ouverts par PP, il fallait choisir !
Pour rappel :
Mon choix s’est porté sur les mondes souterrains et la bibliothèque de métal, car les dernières années d’investigations, en France et ailleurs, m’ont ouvert les yeux sur la forte probabilité de trouver certaines réponses à l’ensemble de nos questions, sous terre et non sur terre !
De plus, mes recherches en archives et sur le terrain du dossier Equateur, m’ont à ce jour apporté plus de données exploitables rapidement avec une petite équipe, que les autres dossiers qui demandent de plus gros moyens et plus de temps pour lancer un surey exploitable.
Concernant des possibles artefacts déjà existants pouvant être une piste matérielle potentielle, Il existe un artefact appartenant à la collection du Père Crespi : la plaque de métal
Cette collection se trouve dans la ville de Cuenca et devient par là même une piste active du dossier Equateur.
Pour ce qui est des sphères d’Ottosdal ou Sphères de Klerksdorp, je n’ai pas choisi de les mettre en premier dans la liste des missions du PP car les données ont évolué depuis 2007.
Pour rappel, les données de base de ce dossier sont :
Depuis près de 40 ans, des mineurs d’Afrique du Sud, extraient d’une mine d’argent, la Wonderstone Silver Mine, des artefacts étonnants : des sphères métalliques.
Des centaines de ces sphères ont déjà été retrouvées. Celle-ci ont un diamètre qui varie de 3 à 10 cm. Certaines des sphères ont sur leurs pourtours une ou plusieurs rainures concentriques, les partageant en deux hémisphères égaux. Il semble exister deux sortes de sphère : des sphères bleutées mouchetées de blanc, et d’autres pourvues d’une sorte de coquille. Lorsque celle-ci est brisée, on trouve à l’intérieur une substance spongieuse qui se désagrège au contact de l’air. Cette substance dans certaines sphères a l’apparence du charbon. Certains de ces artefacts sont plus allongés que d’autres et semblent résister au passage d’une pointe métallique, ce qui atteste de leur dureté.
Les examens aux isotopes radioactifs montrent que ces sphères viennent d’une couche rocheuse de pyrophyllite âgée entre 2,8 et 3 milliards d’années.
En 1979, plusieurs de ces sphères furent examinées par J.R. McIver, Professeur de géologie à l’Université de Witwaterstand de Johannesburg et le géologue Andries Bisschoff, professeur de géologie de l’université de Potchefstroom. L’hypothèse la plus probable à l’époque pour ces scientifiques était que ces sphères soient des concrétions de limonite. La limonite est un ensemble d’oxydes et d’hydroxydes de fer divers et d’argiles. L’origine météorique des sphères a été aussi une voie de recherche.
En 2007, des analyses aux rayons X ont montré que certaines de ces sphères sont en hématite (Fe2O3) ou en wollastonite (clinopyroxène calcique CaSiO3), mélangés à des quantités mineures de goethite, d’autres sont en pyrite
L’explication des nodules suite à ces nouvelles investigations serait un métamorphisme de concrétions carbonatées présentes au sein de sédiments d’origine volcaniques (cendres, tufs, etc.) en présence de fluide riche en silice. Les cannelures mystérieuses seraient quant à elle constituées d’anciennes laminations à grain très fin à partir desquelles la concrétion s’est développée. Cette hypothèse maintenant assez solide a été soutenue en 1988, par Cairncross, puis par Heinrich, en 1997 et 2007.
Quant au fait que certaines des sphères exposées au musée de Klerksdorp sembleraient tourner autour de leurs axes sans la présence d’aucune vibration extérieure, comme si une énergie qui lui est propre fonctionne toujours après 3 milliards d’années, cela reste à ce jour totalement à prouver !
Ce sont ces nouvelles données apparues alors que PP était finalisé dans son élaboration qui m’ont décidé à ne pas mettre ce dossier en priorité, dans l’attente de nouvelles conclusions venant d’autres équipes de chercheurs.
Pour le moment, le mystère reste entier quant à l’origine exacte des sphères.
Un complément d’étude par une équipe d’experts pluridisciplinaires reconnus est indispensable afin d’approcher au plus près de la vérité et ainsi mettre fin, ou non, aux rumeurs types « artefacts extraterrestres » comme il est colporté sur de nombreux sites internet.
D’autres dossiers ont eux aussi évolué depuis la mise en ligne du PP, notamment : l’affaire de la Toungounska en 1908. Une étude menée par Michael Kelley, Professeur de Mécanique à Cornell, et l’ensemble de son équipe entre 2007 et 2009, semble orienter leurs conclusions de ce dossier vers l’entrée d’une comète dans l’atmosphère terrestre. Leurs recherches ont été rapportées par la revue Geophysical Research Letters.
Cela est très intéressant et plus que pertinent. Maintenant, là aussi, il nous faudra encore attendre un peu afin d’avoir une totale assurance des premières conclusions de cette équipe de chercheurs.
La réponse est simple et se retrouve en huit points principaux :
- La volonté et l’ouverture d’esprit
- L’esprit d’aventure et d’entreprise
- La charte morale
- La direction des recherches à mener
- La transparence
- Les moyens humains
- Les moyens matériels
- Les moyens financiers
Mais soyons clairs, même si Phenix Project venait un jour à trouver le financement nécessaire à son ouverture, rien ne dit qu’il fera mieux que les autres…, seulement, il fera tout pour que les cinq premiers points soient totalement respectés, gage d’une certaine assurance de potentiels découvertes pertinentes dans des domaines stratégiques pour le bien de l’humanité, tels : l’énergie, les sciences fondamentales, le social, la médecine,…
Aujourd’hui, qu’avez-vous déjà réalisé de concret en terme de recherches avec le Projet Phenix?
A l’heure actuelle, toute mon énergie est focalisée à trouver le financement pouvant permettre l’ouverture officielle du projet avec la venue des premiers collaborateurs, des premières équipes sur le terrain.
Parallèlement à la levée de fonds dirigée vers le mécénat et la donation, mon travail a consisté à préparer les données pour définir les premières cibles des missions sur le terrain avant le survey (pré-mision avant la mission officielle).
Dix-sept missions ont donc étaient retenues en priorité à ce jour, celles-ci pouvant être modifiées en fonction de l’actualité.
Les contacts sur le terrain sont en place et sont prêts à accueillir les premières équipes d’enquêteurs, notamment en Equateur.
Mon travail à IFAERO, puis la levée de fonds et la préparation de la toute première mission en Equateur ne me laisse que peu de temps sur 24 H ! Cependant, avec le premier noyau d’hommes et de femmes constitué et pressenti pour la mission Equateur 2009 /2010, j’ai heureusement l’occasion d’aller sur le terrain en France notamment, afin de travailler sur des dossiers intéressants qui sont soit très peu connus, soit totalement inconnus du grand public et qui me permettent déjà de valider certains process d’enquêtes qui nous serviront pour les futures missions du Phenix Project.
Votre première grande mission sur le terrain doit se dérouler en Equateur.
Le but : rechercher un « réseau de souterrains au cœur de la cordillère des Andes, abritant [...] une civilisation antédiluvienne aux connaissances bien plus avancées que la nôtre ».
Vous citez des anciennes expéditions qui ont tenté en vain de trouver la « bibliothèque de métal » souterraine à l’endroit nommé « la Cueva de los Tayos ».
Comment allez-vous faire pour trouver cet endroit et qu’est-ce qui vous motive dans l’idée que vous y trouverez quelque chose ?
Bon nombre de mes recherches et investigations, ainsi que celles de mes amis et compagnons, tendent à faire ressortir un fil conducteur concernant un pan du dossier : celui d’une activité « probable » souterraine et ce, sur l’ensemble du globe.
Après avoir longuement travaillé sur l’affaire « Yan », l’archéologue Hongroi, soutenu par les journalistes d’investigations Marie-Thérèse Guinchard et Pierre Paolantoni, (mes recherches m’ayant fait remonter à la source du dossier), puis sur les missions de Stanley Hall et recherches du Père Carlos Crespi, il m’est apparu évident que cette affaire « pouvait être » digne d’intérêt pour le dossier SETAV du Phenix Project.
Les premières données sont là, précises, officielles, il n’est plus question de douter de la véracité des expéditions et découvertes passées dans cette région.
La localisation de « la Cueva de los Tayos » est connue, cela n’est pas le problème. La difficulté réside dans la localisation exacte de l’entrée au monde souterrain de Yan l’archéologue, puis de celle de Petronio Jaramillo. A ce jour, nul ne sait si les deux entrées sont indépendantes ou si elles ne font qu’une.
Pour démêler cela, une piste principale, celle du trait d’union entre toutes ces expéditions et « possibles découvertes » : Le peuple Jivaro, plus précisément, l’ethnie Suarhs.
Les objectifs de la première mission, plus précisément le premier survey, sera de positionner un camp de base au plus prés d’une zone délimitée dans la jungle Equatorienne, déterminé grâce au travail d’archives, puis d’entrer en contact avec les Suarhs, plus exactement ceux d’un village très précis de cette zone totalement déterminée à ce jour, afin de lier contacts et amitiés, puis d’essayer de les associer à l’aventure de la « découverte » ou « redécouverte » d’un possible monde souterrain.
Dans une démarche comme celle-ci, il existe bon nombre de paramètres pouvant faire capoter une mission. Cependant, en plus de certaines données pertinentes pouvant nous rapprocher d’une zone acceptable en terme de « zone de survey », il faut avoir en soi une démarche qui soit réellement celle d’un chercheur de vérité et non d’un pilleur de trésors archéologiques ou autre !
Je pense qu’une telle démarche peut faire la différence avec d’autres expéditions qui ont en vain tenté de percer le mystère des mondes souterrains de la cordillère des Andes, et qui pour X raisons se sont retrouvées à abandonner très vite leurs projets.
Travail et humilité, c’est cela qui peut faire la différence !
Vous faites le pari qu’une ou plusieurs civilisations extraterrestres sont venues sur Terre dans le passé et y ont laissé des traces, sous forme de constructions et d’artefacts.
Dans votre dossier vous donnez plusieurs exemples comme les sphères d’Ottosdal, le marteau de MyInfield, les pierres Dropas, etc.
Pour votre enquête sur le terrain vous avez décidé de rechercher un endroit dont on n’a aucune preuve physique, au contraire des artefacts précédemment cités, pourquoi avoir choisi de trouver la « bibliothèque de métal » plutôt que d’enquêter en profondeur sur les sphères d’Ottosdal par exemple ?
Avant tout, il faut ici rappeler les objectifs du Phenix Project (PP) :
C’est d’essayer de mettre tout en œuvre pour tenter de découvrir la « vérité » sur le dossier UFO, et par là même, peut-être, celle de l’origine de l’Humanité, en activant un pan de la recherche à ce jour totalement sous-estimé et sous-exploité : L’Astro-archéologie.
L’Astro-archéologie est une branche parallèle, non reconnue, de l’archéologie traditionnelle, ayant pour objectif la recherche et l’analyse d’artefacts anciens, dont la provenance pourrait nous éclairer sur l’histoire réelle de notre planète, son évolution, et de fait, en final, sur les origines de l’humanité.
L’un des axes principaux de recherche du PP, l’axe SETAV (Search for Extra-Terrestrial Artefact and Visitation ou Recherche d’Artefacts et de Sondes Extraterrestres), serait de découvrir, d’analyser et d’essayer de rétro-ingéniérer, pour le bien de l’humanité, les artefacts anachroniques, technologiques ou autres, potentiellement présents sur Terre : Dans le sous-sol, dans les mers et océans et au sein de l’atmosphère terrestre (sondes).
Les moyens modernes, adaptés et uniques déployés dans le cadre du PP pourraient permettre d’élucider une des énigmes les plus importantes et stratégiques du 21e siècle, hypothétiquement liée aux origines de l’humanité : le dossier UFO.
Celui-ci, le dossier UFO, est-il oui ou non un dossier digne d’intérêt scientifique, mettant en œuvre des phénomènes physiques bien réels, palpables, quantifiables et mesurables ? Et si oui, y a-t-il un lien avec nos origines et que peut-il apporter au devenir de l’humanité tout entière ?
Cette démarche exclusivement scientifique dans un des domaines des plus controversés, fait du PP un projet unique dans son orientation astro-archéologique, aux potentiels totalement insoupçonnés quant aux découvertes qu’il pourrait mettre à jour.
Ceci pour dire, que l’hypothèse « EBE », entité biologique extraterrestre, existant et ayant peut-être visité notre monde dans des temps reculés, n’est qu’une hypothèse d’investigations du PP , et que l’une des voies d’investigations est l’astro-archéologie.
Parmi les 17 dossiers d’investigations ouverts par PP, il fallait choisir !
Pour rappel :
- Recherche d’un réseau de souterrains en Équateur
- Étude approfondie des anomalies des îles Salomon
- Étude approfondie des anomalies des îles Stack Rocks
- Étude approfondie des anomalies du lac Baïkal
- Himalaya : « Kongka La » sur les traces de bases souterraines
- Recherche d’un réseau de souterrains au Pérou
- Recherche d’un réseau de souterrains au Venezuela
- Étude archéologique approfondie du peuple des « géants » sur les cinq continents
- Étude approfondie du peuple du lac Titicaca
- Étude approfondie du peuple des Dropas
- Étude approfondie des anomalies de la Toungounska
- Étude approfondie des anomalies des îles Porto Rico (Vieques)
- Recherche du F-89C Scorpion dans le lac Supérieur côté Canadien
- Recherche du Cherokee et anomalies dans le canal de l’île de Santa Catalina
- Étude approfondie des sphères Sud-africaines
- Étude approfondie des artefacts des montagnes de l’Oural
- Étude approfondie des dessins de la grotte de Cougnac, région du lot, France
Mon choix s’est porté sur les mondes souterrains et la bibliothèque de métal, car les dernières années d’investigations, en France et ailleurs, m’ont ouvert les yeux sur la forte probabilité de trouver certaines réponses à l’ensemble de nos questions, sous terre et non sur terre !
De plus, mes recherches en archives et sur le terrain du dossier Equateur, m’ont à ce jour apporté plus de données exploitables rapidement avec une petite équipe, que les autres dossiers qui demandent de plus gros moyens et plus de temps pour lancer un surey exploitable.
Concernant des possibles artefacts déjà existants pouvant être une piste matérielle potentielle, Il existe un artefact appartenant à la collection du Père Crespi : la plaque de métal
Cette collection se trouve dans la ville de Cuenca et devient par là même une piste active du dossier Equateur.
Pour ce qui est des sphères d’Ottosdal ou Sphères de Klerksdorp, je n’ai pas choisi de les mettre en premier dans la liste des missions du PP car les données ont évolué depuis 2007.
Pour rappel, les données de base de ce dossier sont :
Depuis près de 40 ans, des mineurs d’Afrique du Sud, extraient d’une mine d’argent, la Wonderstone Silver Mine, des artefacts étonnants : des sphères métalliques.
Des centaines de ces sphères ont déjà été retrouvées. Celle-ci ont un diamètre qui varie de 3 à 10 cm. Certaines des sphères ont sur leurs pourtours une ou plusieurs rainures concentriques, les partageant en deux hémisphères égaux. Il semble exister deux sortes de sphère : des sphères bleutées mouchetées de blanc, et d’autres pourvues d’une sorte de coquille. Lorsque celle-ci est brisée, on trouve à l’intérieur une substance spongieuse qui se désagrège au contact de l’air. Cette substance dans certaines sphères a l’apparence du charbon. Certains de ces artefacts sont plus allongés que d’autres et semblent résister au passage d’une pointe métallique, ce qui atteste de leur dureté.
Les examens aux isotopes radioactifs montrent que ces sphères viennent d’une couche rocheuse de pyrophyllite âgée entre 2,8 et 3 milliards d’années.
En 1979, plusieurs de ces sphères furent examinées par J.R. McIver, Professeur de géologie à l’Université de Witwaterstand de Johannesburg et le géologue Andries Bisschoff, professeur de géologie de l’université de Potchefstroom. L’hypothèse la plus probable à l’époque pour ces scientifiques était que ces sphères soient des concrétions de limonite. La limonite est un ensemble d’oxydes et d’hydroxydes de fer divers et d’argiles. L’origine météorique des sphères a été aussi une voie de recherche.
En 2007, des analyses aux rayons X ont montré que certaines de ces sphères sont en hématite (Fe2O3) ou en wollastonite (clinopyroxène calcique CaSiO3), mélangés à des quantités mineures de goethite, d’autres sont en pyrite
L’explication des nodules suite à ces nouvelles investigations serait un métamorphisme de concrétions carbonatées présentes au sein de sédiments d’origine volcaniques (cendres, tufs, etc.) en présence de fluide riche en silice. Les cannelures mystérieuses seraient quant à elle constituées d’anciennes laminations à grain très fin à partir desquelles la concrétion s’est développée. Cette hypothèse maintenant assez solide a été soutenue en 1988, par Cairncross, puis par Heinrich, en 1997 et 2007.
Quant au fait que certaines des sphères exposées au musée de Klerksdorp sembleraient tourner autour de leurs axes sans la présence d’aucune vibration extérieure, comme si une énergie qui lui est propre fonctionne toujours après 3 milliards d’années, cela reste à ce jour totalement à prouver !
Ce sont ces nouvelles données apparues alors que PP était finalisé dans son élaboration qui m’ont décidé à ne pas mettre ce dossier en priorité, dans l’attente de nouvelles conclusions venant d’autres équipes de chercheurs.
Pour le moment, le mystère reste entier quant à l’origine exacte des sphères.
Un complément d’étude par une équipe d’experts pluridisciplinaires reconnus est indispensable afin d’approcher au plus près de la vérité et ainsi mettre fin, ou non, aux rumeurs types « artefacts extraterrestres » comme il est colporté sur de nombreux sites internet.
D’autres dossiers ont eux aussi évolué depuis la mise en ligne du PP, notamment : l’affaire de la Toungounska en 1908. Une étude menée par Michael Kelley, Professeur de Mécanique à Cornell, et l’ensemble de son équipe entre 2007 et 2009, semble orienter leurs conclusions de ce dossier vers l’entrée d’une comète dans l’atmosphère terrestre. Leurs recherches ont été rapportées par la revue Geophysical Research Letters.
Cela est très intéressant et plus que pertinent. Maintenant, là aussi, il nous faudra encore attendre un peu afin d’avoir une totale assurance des premières conclusions de cette équipe de chercheurs.
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Mais on ne peut tromper tout le monde éternellement".
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Re: Interview de Serge Tinland du projet Phenix.
Mer 16 Sep 2009, 21:50
Vous l’imaginez, beaucoup s’interrogent sur la crédibilité d’un tel projet ainsi que votre légitimité dans cette démarche. Certains vous qualifient de « doux rêveur ». Qu’avez-vous à leur répondre ?
Oui, effectivement, j’en suis un, un « doux rêveur » ! Merci à vous pour cette expression qui pour moi est un véritable compliment.
J’ose, en ces temps particulièrement difficiles pour la société humaine, me positionner comme une personne « debout », ayant l’esprit d’aventure, l’esprit d’entreprise, l’esprit d’entreprendre en dehors des sentiers battus, là où beaucoup au coeur de ce dossier, pensent qu’il ne faut surtout pas s’engager, s’aventurer, par peur de se perdre…
Le monde n’a pu prendre forme et n’ira vers sa destinée qu’avec des projets d’envergure qui, même s’ils semblent aller à contre-courant, détiennent en leur sein un potentiel immense qui du jour au lendemain peuvent changer la face du monde connut.
Entreprendre, c’est prendre des risques, beaucoup de risques. C’est être original, novateur, aventureux, travailler et penser hors des théories établies afin de pouvoir devenir actif et travailler à la modification profonde et positive de soi et par ricoché, de notre environnement proche et global.
L’esprit d’entreprise, l’innovation, l’originalité, la technicité, avec tout ce que cela implique sont au cœur de ce projet, au même titre que l’inspiration, la passion, la créativité, l’enthousiasme et la profonde détermination à aboutir.
A la question, projet réaliste ou irréaliste ? La réponse est dans le cœur de chacun, car personne sur Terre ne peut prévaloir de la réussite ou non, de la concrétisation ou non de telle ou telle entreprise. L’essentiel est d’avoir tout fait, tout tenté, avoir mis toutes ses forces et toute son énergie pour le faire aboutir.
Ce projet est tout à fait crédible au regard des processus d’investigations pressentis. Comme tout projet, celui-ci a besoin de soutiens et surtout d’un financement de départ afin qu’il puisse prendre son envol et ainsi obtenir très vite la crédibilité que tous sont en droit d’attendre, en particulier et avant tout les investisseurs.
Quant à ma légitimité mes capacités mes compétences, mon expertise à mener à bien un tel projet (dès l’instant où celui-ci aura trouvé les financements nécessaires), sans vouloir paraître prétentieux, elles me paraissent aussi louables et bien-fondés que tout autre chercheur qui aurait comme moi, plus de quarante années de réflexions et études privées sur le sujet.
L’expertise et la légitimité, une fois de plus, ne se positionnent pas en terme de diplômes et autres réalisations, mais avant tout dans la détermination et volonté à vouloir mener à bien une entreprise quelle qu’elle soit, dés l’instant où on y croit et qu’elle représente un objectif réalisable.
Saint Augustin disait « l’homme n’est ni un objet, ni un sujet, il est un projet », pourquoi pas celui-là ?
De plus, je suis un entrepreneur, facilitateur et coordinateur, et l’expérience et l’expertise accumulées je les ai acquises au cours de diverses aventures depuis 29 années sur le terrain.
J’ai trop souvent rencontré des personnes brillantes sur le plan théorique et si loin de la réalité une fois confrontées au terrain !
Il y a peu, j’étais encore un inconnu au sein de la communauté dite « ufologique ».
Je fais peu parler de moi car je n’aime pas spécialement les feux des sunlights, quels qu’ils soient !
Je pense au contraire qu’il faut surtout rester bien en retrait dans le cadre d’un tel dossier.
Point n’est besoin de faire du bruit pour faire des découvertes pertinentes et déterminantes, nous le savons tous.
Pour Phenix Project, il m’était difficile de rester trop en retrait, car PP doit se faire connaître pour avoir une chance d’obtenir un financement. C’est PP qui doit être connu et non ma personne.
Alors oui, ce projet est celui d’un rêve. Celui de voir un jour la réponse à la question fondamentale de l’origine de l’humanité. Réponse qui pourrait venir des 10 à 15 % (pourcentage non négligeable) des observations d’UFOs à travers le monde ne pouvant recevoir immédiatement ce jour une explication d’origine naturelle et/ou humaine.
Pour cela, il faut réunir des hommes et des femmes d’exception, ayant comme points communs, cet esprit d’aventure, de courage, de détermination dans les décisions prises, afin de voir aboutir l’objectif affiché.
Le côté novateur du Phenix Project, avec son aspect et approche créative, originale, hors du commun, ouvre de nouveaux horizons dans les domaines les plus divers permettant d’avoir un impact des plus positifs sur la communauté humaine dans son sens le plus large.
Tout est en place, il ne manque plus que le soutien financier, pour mener à bien « The Phenix Project » et créer la Fondation Phenix, épine dorsale d’une belle aventure scientifique et humaine.
Ce sont les rêves qui ont permis à l’humanité de grandir et ce sont ces mêmes rêves qui lui permettront d’emprunter de nouvelles voies, de nouveaux chemins de son évolution !
Un tel projet demande énormément de fonds, vous l’expliquez très bien dans votre dossier dans lequel vous planifiez de manière exhaustive les différents coûts.
Où en êtes-vous dans la recherche de financements ? Auprès de qui cherchez-vous de l’argent ? Avez-vous pensé à faire appel à des aides publiques ?
Effectivement, face à un dossier d’envergure comme celui du SETI ou SETAV, il faut un projet d’envergure, et cela suppose de mettre en place des moyens appropriés et adaptés.
Lors de mes expéditions dans le cadre de l’exploration sous-marine, archéologique ou autres, il est toujours ressorti qu’il fallait pour avoir une petite chance d’aboutir mettre les moyens humains et financiers sur la « table ».
En fait, ce sont surtout les moyens humains qui sont les plus importants et les plus stratégiques pour atteindre les objectifs fixés à tout projet, quels qu’ils soient.
Mais avoir les meilleurs, hommes et femmes, les plus motivés, et surtout, les plus imaginatifs d’un point de vue technique et scientifique, cela coûte cher, très cher, et c’est plus que normal !
La qualité et l’expertise a un prix à payer. Je fais cela dans le cadre de mon métier actuel (chargé d’études et conseiller en formation aéronautique pour IFAERO CCI), et il est évident qu’il faut le faire pour PP.
Le ticket d’entrée pour ouvrir le premier UMR (unité mixte de recherche) de PP se situe entre 2 et 36 M€. Cela peut paraître très important vu les problèmes économiques et financiers que beaucoup d’entre nous (85 % de l’humanité) vivent en ce moment suite à la crise financière et économique mondiale, mais ne représente que peu face à la puissance financière d’une partie, très faible, de nos concitoyens.
Cependant, PP peut débuter ses investigations dans le cadre défini de « survey », en amont de l’expédition officielle, ceux-ci ayant un coût beaucoup moindre de l’ordre de 20 à 120 K€ (Cf. mission Equateur).
A l’issue de l’ouverture officielle du site de communication du PP, j’ai très vite constitué des packs de communication dédiés et ciblés. Ceux-ci sont partis en direction de capitaines d’industrie internationaux, ayant tous un point commun : le sens de l’entreprise et de l’aventure humaine.
A ce jour, au 21 juillet 2009, treize retours négatifs et deux retours positifs sur le fond et la forme, mais sans concrétisation sur le plan financier. Trois dossiers sont toujours en cours d’études par leurs destinataires. Comme signalé dans le dossier de présentation de la première mission du PP, un premier constat logique s’impose : il ne sera pas facile pour un tel projet, un tel concept, de pouvoir ouvrir dans des délais raisonnables sans une prise de conscience par des investisseurs audacieux, de l’importance et de l’enjeu d’un dossier comme celui-ci. L’une des raisons principales étant la nature et axe de recherche d’un concept aussi novateur dans un domaine autant controversé. Une autre de ces raisons étant les moyens importants, financièrement parlant, qu’il est nécessaire de déployer afin de pouvoir mener à bien une telle entreprise, et ce, en toute indépendance.
Six dossiers de communications à destination d’investisseurs privés sont actuellement en cours de finalisation.
Concernant l’axe des fonds publics, oui, la réflexion est faite et les premiers contacts sont en cours, notamment auprès des fonds européens à la recherche. Cependant, la difficulté de monter un projet de levée de fonds au niveau européen concernant un concept comme celui du PP et aussi périlleux et ardu que d’essayer d’obtenir des informations directes et sans langue de bois de la part d’un officier du renseignement ayant vécu en qualité de témoin direct la période des événements de Varginha, Brésil, 1996 !
J’espère que PP trouvera une oreille attentive auprès d’un investisseur, mécène, donateur ou partenaire, afin qu’il puisse ouvrir avec des moyens suffisants pour travailler dans de bonnes conditions et surtout d’une façon pérenne.
L’aventure de la levée de fonds et en soi la première des aventures du PP, et pas des moindres !
Quelle est la réaction des scientifiques lorsque vous leur parlez de votre projet ? Certains sont-ils prêts à vous suivre dans l’aventure ?
PP est en relation direct avec plusieurs scientifiques oeuvrant dans des domaines divers comme la physique fondamentale et la bio-informatique. Ces personnes travaillent au sein du secteur public et privé comme directeur de recherche et ingénieur de recherche. Après plusieurs années d’échange concernant le suivi du PP dans son évolution et possible ouverture, celles-ci sont toujours convaincues de l’intérêt de mettre en place une structure officielle privée ayant une approche ouverte, technique, scientifique et humaine du dossier en question.
Les concernant, ils sont totalement prêts à venir rejoindre le projet et l’aventure du PP, mais seulement à certaines conditions :
L’assurance d’une démarche exclusivement scientifique
L’assurance d’une rémunération pérenne (contrat CDI à long terme)
Pour ce qui est du premier point, cela fait partie de la charte du PP.
Pour ce qui est du second point, je le comprends fort aisément !
Ils ne peuvent, comme tous ceux qui sont actuellement en relation proche avec le PP, se permettre de lâcher une place assurée, avec une renommée internationale dans leurs domaines respectifs (ils publient régulièrement dans des journaux à comité de lecture), sans avoir l’assurance d’une certaine stabilité dans le cadre professionnel.
Ce qui pose un réel problème pour certains déjà en place au sein de différents UMR en France, c’est leurs retours sur la scène scientifique officielle et académique, après un passage plus au moins long dans un domaine aussi controversé que la recherche SETI / SETAV !
Cela est plus que compréhensif et je ne mettrai jamais en porte à faux ou en danger des personnes à l’expertise reconnue, sans leur offrir une totale assurance en ce domaine.
Mais, ce qui est vrai pour certains ne l’est pas pour d’autres !
PP est en relation avec d’autres personnes, ayant eux-mêmes des expertises dont PP a vraiment besoin, et qui sont prêtes à venir rejoindre celui-ci sans avoir « peur » d’un retour à la « vraie vie » suite à un passage au sein des UMR du PP . Ils sont experts en archéologie, anthropologie sociale, sociologie, ethnologie, en sciences cognitives, en philosophie, en physique appliquée, en nucléaire, en radioprotection, en environnement, en analyse, en informatique, en gestion, en sécurité du territoire, en production télévisuelle, etc.
PP intéresse fortement tous les pans des disciplines sociales, techniques et scientifiques.
Pourquoi ?
Parce qu’il touche du doigt un domaine qui pose question à l’ensemble de l’humanité depuis sa prise de conscience sur cette planète et que ces questions touchent toutes les disciplines.
Donc, oui, la réaction est dans l’ensemble très positive.
Reste la question qu’ils me posent tous et régulièrement ; l’ouverture dans la fondation Phenix, c’est pour quelle date ?
Oui, effectivement, j’en suis un, un « doux rêveur » ! Merci à vous pour cette expression qui pour moi est un véritable compliment.
J’ose, en ces temps particulièrement difficiles pour la société humaine, me positionner comme une personne « debout », ayant l’esprit d’aventure, l’esprit d’entreprise, l’esprit d’entreprendre en dehors des sentiers battus, là où beaucoup au coeur de ce dossier, pensent qu’il ne faut surtout pas s’engager, s’aventurer, par peur de se perdre…
Le monde n’a pu prendre forme et n’ira vers sa destinée qu’avec des projets d’envergure qui, même s’ils semblent aller à contre-courant, détiennent en leur sein un potentiel immense qui du jour au lendemain peuvent changer la face du monde connut.
Entreprendre, c’est prendre des risques, beaucoup de risques. C’est être original, novateur, aventureux, travailler et penser hors des théories établies afin de pouvoir devenir actif et travailler à la modification profonde et positive de soi et par ricoché, de notre environnement proche et global.
L’esprit d’entreprise, l’innovation, l’originalité, la technicité, avec tout ce que cela implique sont au cœur de ce projet, au même titre que l’inspiration, la passion, la créativité, l’enthousiasme et la profonde détermination à aboutir.
A la question, projet réaliste ou irréaliste ? La réponse est dans le cœur de chacun, car personne sur Terre ne peut prévaloir de la réussite ou non, de la concrétisation ou non de telle ou telle entreprise. L’essentiel est d’avoir tout fait, tout tenté, avoir mis toutes ses forces et toute son énergie pour le faire aboutir.
Ce projet est tout à fait crédible au regard des processus d’investigations pressentis. Comme tout projet, celui-ci a besoin de soutiens et surtout d’un financement de départ afin qu’il puisse prendre son envol et ainsi obtenir très vite la crédibilité que tous sont en droit d’attendre, en particulier et avant tout les investisseurs.
Quant à ma légitimité mes capacités mes compétences, mon expertise à mener à bien un tel projet (dès l’instant où celui-ci aura trouvé les financements nécessaires), sans vouloir paraître prétentieux, elles me paraissent aussi louables et bien-fondés que tout autre chercheur qui aurait comme moi, plus de quarante années de réflexions et études privées sur le sujet.
L’expertise et la légitimité, une fois de plus, ne se positionnent pas en terme de diplômes et autres réalisations, mais avant tout dans la détermination et volonté à vouloir mener à bien une entreprise quelle qu’elle soit, dés l’instant où on y croit et qu’elle représente un objectif réalisable.
Saint Augustin disait « l’homme n’est ni un objet, ni un sujet, il est un projet », pourquoi pas celui-là ?
De plus, je suis un entrepreneur, facilitateur et coordinateur, et l’expérience et l’expertise accumulées je les ai acquises au cours de diverses aventures depuis 29 années sur le terrain.
J’ai trop souvent rencontré des personnes brillantes sur le plan théorique et si loin de la réalité une fois confrontées au terrain !
Il y a peu, j’étais encore un inconnu au sein de la communauté dite « ufologique ».
Je fais peu parler de moi car je n’aime pas spécialement les feux des sunlights, quels qu’ils soient !
Je pense au contraire qu’il faut surtout rester bien en retrait dans le cadre d’un tel dossier.
Point n’est besoin de faire du bruit pour faire des découvertes pertinentes et déterminantes, nous le savons tous.
Pour Phenix Project, il m’était difficile de rester trop en retrait, car PP doit se faire connaître pour avoir une chance d’obtenir un financement. C’est PP qui doit être connu et non ma personne.
Alors oui, ce projet est celui d’un rêve. Celui de voir un jour la réponse à la question fondamentale de l’origine de l’humanité. Réponse qui pourrait venir des 10 à 15 % (pourcentage non négligeable) des observations d’UFOs à travers le monde ne pouvant recevoir immédiatement ce jour une explication d’origine naturelle et/ou humaine.
Pour cela, il faut réunir des hommes et des femmes d’exception, ayant comme points communs, cet esprit d’aventure, de courage, de détermination dans les décisions prises, afin de voir aboutir l’objectif affiché.
Le côté novateur du Phenix Project, avec son aspect et approche créative, originale, hors du commun, ouvre de nouveaux horizons dans les domaines les plus divers permettant d’avoir un impact des plus positifs sur la communauté humaine dans son sens le plus large.
Tout est en place, il ne manque plus que le soutien financier, pour mener à bien « The Phenix Project » et créer la Fondation Phenix, épine dorsale d’une belle aventure scientifique et humaine.
Ce sont les rêves qui ont permis à l’humanité de grandir et ce sont ces mêmes rêves qui lui permettront d’emprunter de nouvelles voies, de nouveaux chemins de son évolution !
Un tel projet demande énormément de fonds, vous l’expliquez très bien dans votre dossier dans lequel vous planifiez de manière exhaustive les différents coûts.
Où en êtes-vous dans la recherche de financements ? Auprès de qui cherchez-vous de l’argent ? Avez-vous pensé à faire appel à des aides publiques ?
Effectivement, face à un dossier d’envergure comme celui du SETI ou SETAV, il faut un projet d’envergure, et cela suppose de mettre en place des moyens appropriés et adaptés.
Lors de mes expéditions dans le cadre de l’exploration sous-marine, archéologique ou autres, il est toujours ressorti qu’il fallait pour avoir une petite chance d’aboutir mettre les moyens humains et financiers sur la « table ».
En fait, ce sont surtout les moyens humains qui sont les plus importants et les plus stratégiques pour atteindre les objectifs fixés à tout projet, quels qu’ils soient.
Mais avoir les meilleurs, hommes et femmes, les plus motivés, et surtout, les plus imaginatifs d’un point de vue technique et scientifique, cela coûte cher, très cher, et c’est plus que normal !
La qualité et l’expertise a un prix à payer. Je fais cela dans le cadre de mon métier actuel (chargé d’études et conseiller en formation aéronautique pour IFAERO CCI), et il est évident qu’il faut le faire pour PP.
Le ticket d’entrée pour ouvrir le premier UMR (unité mixte de recherche) de PP se situe entre 2 et 36 M€. Cela peut paraître très important vu les problèmes économiques et financiers que beaucoup d’entre nous (85 % de l’humanité) vivent en ce moment suite à la crise financière et économique mondiale, mais ne représente que peu face à la puissance financière d’une partie, très faible, de nos concitoyens.
Cependant, PP peut débuter ses investigations dans le cadre défini de « survey », en amont de l’expédition officielle, ceux-ci ayant un coût beaucoup moindre de l’ordre de 20 à 120 K€ (Cf. mission Equateur).
A l’issue de l’ouverture officielle du site de communication du PP, j’ai très vite constitué des packs de communication dédiés et ciblés. Ceux-ci sont partis en direction de capitaines d’industrie internationaux, ayant tous un point commun : le sens de l’entreprise et de l’aventure humaine.
A ce jour, au 21 juillet 2009, treize retours négatifs et deux retours positifs sur le fond et la forme, mais sans concrétisation sur le plan financier. Trois dossiers sont toujours en cours d’études par leurs destinataires. Comme signalé dans le dossier de présentation de la première mission du PP, un premier constat logique s’impose : il ne sera pas facile pour un tel projet, un tel concept, de pouvoir ouvrir dans des délais raisonnables sans une prise de conscience par des investisseurs audacieux, de l’importance et de l’enjeu d’un dossier comme celui-ci. L’une des raisons principales étant la nature et axe de recherche d’un concept aussi novateur dans un domaine autant controversé. Une autre de ces raisons étant les moyens importants, financièrement parlant, qu’il est nécessaire de déployer afin de pouvoir mener à bien une telle entreprise, et ce, en toute indépendance.
Six dossiers de communications à destination d’investisseurs privés sont actuellement en cours de finalisation.
Concernant l’axe des fonds publics, oui, la réflexion est faite et les premiers contacts sont en cours, notamment auprès des fonds européens à la recherche. Cependant, la difficulté de monter un projet de levée de fonds au niveau européen concernant un concept comme celui du PP et aussi périlleux et ardu que d’essayer d’obtenir des informations directes et sans langue de bois de la part d’un officier du renseignement ayant vécu en qualité de témoin direct la période des événements de Varginha, Brésil, 1996 !
J’espère que PP trouvera une oreille attentive auprès d’un investisseur, mécène, donateur ou partenaire, afin qu’il puisse ouvrir avec des moyens suffisants pour travailler dans de bonnes conditions et surtout d’une façon pérenne.
L’aventure de la levée de fonds et en soi la première des aventures du PP, et pas des moindres !
Quelle est la réaction des scientifiques lorsque vous leur parlez de votre projet ? Certains sont-ils prêts à vous suivre dans l’aventure ?
PP est en relation direct avec plusieurs scientifiques oeuvrant dans des domaines divers comme la physique fondamentale et la bio-informatique. Ces personnes travaillent au sein du secteur public et privé comme directeur de recherche et ingénieur de recherche. Après plusieurs années d’échange concernant le suivi du PP dans son évolution et possible ouverture, celles-ci sont toujours convaincues de l’intérêt de mettre en place une structure officielle privée ayant une approche ouverte, technique, scientifique et humaine du dossier en question.
Les concernant, ils sont totalement prêts à venir rejoindre le projet et l’aventure du PP, mais seulement à certaines conditions :
L’assurance d’une démarche exclusivement scientifique
L’assurance d’une rémunération pérenne (contrat CDI à long terme)
Pour ce qui est du premier point, cela fait partie de la charte du PP.
Pour ce qui est du second point, je le comprends fort aisément !
Ils ne peuvent, comme tous ceux qui sont actuellement en relation proche avec le PP, se permettre de lâcher une place assurée, avec une renommée internationale dans leurs domaines respectifs (ils publient régulièrement dans des journaux à comité de lecture), sans avoir l’assurance d’une certaine stabilité dans le cadre professionnel.
Ce qui pose un réel problème pour certains déjà en place au sein de différents UMR en France, c’est leurs retours sur la scène scientifique officielle et académique, après un passage plus au moins long dans un domaine aussi controversé que la recherche SETI / SETAV !
Cela est plus que compréhensif et je ne mettrai jamais en porte à faux ou en danger des personnes à l’expertise reconnue, sans leur offrir une totale assurance en ce domaine.
Mais, ce qui est vrai pour certains ne l’est pas pour d’autres !
PP est en relation avec d’autres personnes, ayant eux-mêmes des expertises dont PP a vraiment besoin, et qui sont prêtes à venir rejoindre celui-ci sans avoir « peur » d’un retour à la « vraie vie » suite à un passage au sein des UMR du PP . Ils sont experts en archéologie, anthropologie sociale, sociologie, ethnologie, en sciences cognitives, en philosophie, en physique appliquée, en nucléaire, en radioprotection, en environnement, en analyse, en informatique, en gestion, en sécurité du territoire, en production télévisuelle, etc.
PP intéresse fortement tous les pans des disciplines sociales, techniques et scientifiques.
Pourquoi ?
Parce qu’il touche du doigt un domaine qui pose question à l’ensemble de l’humanité depuis sa prise de conscience sur cette planète et que ces questions touchent toutes les disciplines.
Donc, oui, la réaction est dans l’ensemble très positive.
Reste la question qu’ils me posent tous et régulièrement ; l’ouverture dans la fondation Phenix, c’est pour quelle date ?
_______________________________________
"On peut tromper tout le monde pendant un certain temps,certains pour toujours.
Mais on ne peut tromper tout le monde éternellement".
Abraham Lincoln.
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Re: Interview de Serge Tinland du projet Phenix.
Mer 16 Sep 2009, 21:52
D’après votre dossier, si un investisseur privé décide de financer votre entreprise, celui-ci aura alors « les pleins droits des découvertes faites sur le terrain ».
Cela signifie-t-il que le monde ne saura pas forcément ce qui a été découvert ? Cela ne pose-t-il pas un problème moral ? Sans parler des problèmes législatifs vis-à-vis des autorités Equatoriennes ?
Une des particularités du projet est d’impliquer d’une façon forte ceux qui seront à l’origine de l’ouverture, du lancement et du fonctionnement du PP.
Un mécène, donateur, investisseur ou partenaire peut avoir diverses raisons de vouloir investir dans une aventure comme le PP. Cela peut être pour aider tout simplement la recherche, l’avancée des connaissances, soutenir l’entreprise et ceux qui font l’effort d’entreprendre. Mais aussi, cela peut être pour des raisons plus personnelles, comme l’opportunité de pouvoir, grâce à une opération de ce genre, mettre un pied proactif dans une entreprise pouvant apporter enfin des réponses aux questions posées, tout en permettant un possible retour sur investissement.
PP est dans sa version de croisière une entreprise qui a besoin d’un financement important et pérenne afin d’avoir la chance de faire ressortir des résultats pertinents et exploitables. PP peut apporter à ses différents partenaires des retours sur investissements de natures très diverses, comme :
PP peut être financé par un pays, et/ou des mécènes, investisseurs, donateurs et/ou partenaires. Tous peuvent demander à retirer tout ou aucun avantage à cette aventure.
L’un des objectifs du PP est et sera la transparence dans ses découvertes et résultats, en dehors de tout objectif personnel des investisseurs, de quelques natures qu’ils soient.
La divulgation de la réalité ou non du phénomène UFO et de sa (ou ses) nature profonde n’est absolument pas incompatible avec la transparence voulue par PP et parallèlement les objectifs profonds des investisseurs.
Cette démarche s’applique pour l’ensemble des missions prévues sur le terrain, notamment l’Equateur. Le survey qui est prévu en amont de l’expédition officielle devra permettre de valider certaines données recueillies en archives. Le résultat de celui-ci, le survey, permettra de mettre en lien PP et l’ensemble des autorités Equatorienne. Les possibles découvertes faites sur le terrain seront en totale régularité avec les réglementations et lois Equatoriennes. Des accords seront établis afin de permettre un équilibre entre les autorités, PP et les investisseurs du PP. Un bon contrat est un contrat qui satisfait tout le monde.
Les découvertes faites sur un territoire quelconque appartiennent avant tout aux pays du lieu de la découverte. Mais des contrats de divulgation et d’exploitation de la matière découverte sont à établir afin que tous soient satisfaits de leurs investissements et donc au final, de leurs retours sur investissement.
Pour PP, le retour de son travail c’est la divulgation au monde des résultats de ses missions sur le terrain, de la réalité ou non du SETI/SETAV sur Terre et par là même, du phénomène UFO et de sa (ou ses) nature profonde.
Pour avoir déjà travaillé sur des missions organisées de cette façon, je peux vous dire que cela fonctionne à partir de l’instant où tout est mis sur la table bien en amont de toutes démarches officielles sur le terrain.
Donc, aucun problème moral, car le process de montage est pensé et réglé pour faire en sorte que tout un chacun puisse s’y retrouver.
Question qui fâche à présent : Comme nous venons de l’évoquer, vous essayez de lever des fonds vraiment conséquents.
Avez-vous conscience de l’image que peut donner le fait de demander des sommes aussi astronomiques alors que vous semblez pour l’instant être la seule personne officiellement impliquée dans le projet?
Certains pensent déjà à une escroquerie de grande ampleur ou au financement d’une secte. Qu’avec vous à répondre à vos détracteurs ?
Il n’existe et ne peut exister de ma part et de celui du PP aucune question qui fâche.
Il est plus que naturel, l’inverse serait étonnant, problématique et fâcheux, que PP et moi-même fassions l’objet de questionnements et d’inquiétudes face à la soudaine ampleur d’un tel projet.
Il y a encore peu, je n’étais pas connu dans ce milieu si fermé dit de « l’ufologie ». Puis, un site apparaît de nulle part présentant et proposant aux investisseurs talentueux et audacieux, de venir participer à une des aventures humaines, scientifiques et technologiques, les plus importants depuis l’apparition de l’homme sur Terre.
Je suis une personne publique dans le cadre de mes activités professionnelles actuelles. Je suis aussi connu par mes activités professionnelles antérieures. Je ne cache rien et n’ai jamais rien eu à cacher.
PP est un projet qui peut et doit être critiqué et ce, de la façon la plus ouverte possible.
Il doit faire l’objet de réflexions et d’échanges de la part de tous ceux qui le veulent. Cependant, il est souvent très étonnant de lire dans divers forums sur le net principalement, des échanges et réflexions sur celui-ci par des personnes qui se disent « spécialistes » du dossier et qui en fait, ne font que critiquer pour critiquer, n’ayant aucun but concret si ce n’est de vouloir « démolir » sans rien apporter de positif. Pratiquement 100 % des personnes présentes sur les forums le sont d’une manière anonyme, se cachant obstinément derrière un pseudo. De fait, il est si facile de juger rapidement et négativement, sans rien proposer en contrepartie, en sachant que rien ne pourra jamais arriver suite à des propos souvent diffamatoires ou la limite de la diffamation. A mon niveau, je n’ai rien caché, je me suis livré totalement dès l’ouverture du site officiel du site PP, avec coordonnées et CV complet. Il est vraiment dommage que les forums soient et restent anonymes. Les échanges auraient tout à y gagner en honnêteté et professionnalisme, si les personnes s’inscrivaient sous leurs vraies identités avec accès pour tous à leurs CV complets. Je participe très rarement aux discussions sur les forums, seulement lorsque l’on me pose une question sur PP. Là, je réponds avec la plus grande sincérité, précision, honnêteté et courtoisie, ce qui n’est malheureusement pas toujours le cas de certains sur certains forums de discussions traitant du dossier.
Une fois de plus, les moyens nécessaires pour ouvrir et faire fonctionner le PP sont à la hauteur de la difficulté de la tâche.
Il est impossible de réaliser, monter, organiser, structurer, ne serait-ce qu’une seule mission sur le terrain, sans avoir les moyens minimums pour espérer aboutir dans les objectifs fixés.
La réussite d’une telle tache est assujettie à pratiquement une seule donnée : La qualité et l’expertise des hommes et femmes participant à l’aventure.
Et la qualité, l’expertise, cela se payent !
Si PP vient à ouvrir ses portes, tout sera transparent, financièrement parlant et aussi dans ses découvertes et résultats potentiels, en accord avec l’ensemble des partenaires impliqués dans le projet.
Donc, je ne suis pas une entité invisible, mon adresse et profession sont publiques, ainsi que mes projets et objectifs, et l’on peut venir me rencontrer le plus facilement du monde.
Si je suis la seule personne ressource physique actuelle du PP, il n’en reste pas moins qu’un nombre important d’autres bonnes volontés sont là, soutenant le PP, prêtes à venir le rejoindre dès l’instant où celui-ci aura trouvé son financement. Je suis seul pour le moment, sans l’être totalement !
Alors, Phenix Project et Serge Tinland, ni secte, ni escroquerie, seulement un projet sortant des sentiers battus de « l’ufologie » traditionnelle ainsi que de la recherche officielle académique !
Vous expliquez que vos découvertes possibles peuvent engendrer des progrès immenses pour l’humanité en terme, entre autres, de technologie, de médecine et d’énergie.
Cela signifie-t-il que le monde ne saura pas forcément ce qui a été découvert ? Cela ne pose-t-il pas un problème moral ? Sans parler des problèmes législatifs vis-à-vis des autorités Equatoriennes ?
Une des particularités du projet est d’impliquer d’une façon forte ceux qui seront à l’origine de l’ouverture, du lancement et du fonctionnement du PP.
Un mécène, donateur, investisseur ou partenaire peut avoir diverses raisons de vouloir investir dans une aventure comme le PP. Cela peut être pour aider tout simplement la recherche, l’avancée des connaissances, soutenir l’entreprise et ceux qui font l’effort d’entreprendre. Mais aussi, cela peut être pour des raisons plus personnelles, comme l’opportunité de pouvoir, grâce à une opération de ce genre, mettre un pied proactif dans une entreprise pouvant apporter enfin des réponses aux questions posées, tout en permettant un possible retour sur investissement.
PP est dans sa version de croisière une entreprise qui a besoin d’un financement important et pérenne afin d’avoir la chance de faire ressortir des résultats pertinents et exploitables. PP peut apporter à ses différents partenaires des retours sur investissements de natures très diverses, comme :
- La satisfaction toute personnelle d’avoir pu faire avancer la science sur un des sujets les plus controversés au monde.
- La satisfaction toute personnelle d’avoir pu approcher au plus près, comme peu sur Terre, le dossier, et avoir pu se forger de nouvelles convictions lui permettant de se positionner d’une façon nouvelle dans le monde qui est le notre.
- La satisfaction elle aussi toute personnelle d’avoir pu vivre l’aventure d’un enquêteur sur le terrain, en prise directe avec l’action.
- La possibilité de se faire connaître grâce à une aventure unique au monde.
- La possibilité de faire connaître ses activités, de vendre son image au monde grâce à une entreprise sortant des sentiers battus de la recherche académique.
- La possibilité de disposer d’artefacts technologiques actifs ou non actifs pouvant faire l’objet de rétro-ingénierie sur les marchés industriels internationaux.
- La possibilité d’entrer dans le lobbying industriel, politique et maintenant exopolitique.
- Autre…
PP peut être financé par un pays, et/ou des mécènes, investisseurs, donateurs et/ou partenaires. Tous peuvent demander à retirer tout ou aucun avantage à cette aventure.
L’un des objectifs du PP est et sera la transparence dans ses découvertes et résultats, en dehors de tout objectif personnel des investisseurs, de quelques natures qu’ils soient.
La divulgation de la réalité ou non du phénomène UFO et de sa (ou ses) nature profonde n’est absolument pas incompatible avec la transparence voulue par PP et parallèlement les objectifs profonds des investisseurs.
Cette démarche s’applique pour l’ensemble des missions prévues sur le terrain, notamment l’Equateur. Le survey qui est prévu en amont de l’expédition officielle devra permettre de valider certaines données recueillies en archives. Le résultat de celui-ci, le survey, permettra de mettre en lien PP et l’ensemble des autorités Equatorienne. Les possibles découvertes faites sur le terrain seront en totale régularité avec les réglementations et lois Equatoriennes. Des accords seront établis afin de permettre un équilibre entre les autorités, PP et les investisseurs du PP. Un bon contrat est un contrat qui satisfait tout le monde.
Les découvertes faites sur un territoire quelconque appartiennent avant tout aux pays du lieu de la découverte. Mais des contrats de divulgation et d’exploitation de la matière découverte sont à établir afin que tous soient satisfaits de leurs investissements et donc au final, de leurs retours sur investissement.
Pour PP, le retour de son travail c’est la divulgation au monde des résultats de ses missions sur le terrain, de la réalité ou non du SETI/SETAV sur Terre et par là même, du phénomène UFO et de sa (ou ses) nature profonde.
Pour avoir déjà travaillé sur des missions organisées de cette façon, je peux vous dire que cela fonctionne à partir de l’instant où tout est mis sur la table bien en amont de toutes démarches officielles sur le terrain.
Donc, aucun problème moral, car le process de montage est pensé et réglé pour faire en sorte que tout un chacun puisse s’y retrouver.
Question qui fâche à présent : Comme nous venons de l’évoquer, vous essayez de lever des fonds vraiment conséquents.
Avez-vous conscience de l’image que peut donner le fait de demander des sommes aussi astronomiques alors que vous semblez pour l’instant être la seule personne officiellement impliquée dans le projet?
Certains pensent déjà à une escroquerie de grande ampleur ou au financement d’une secte. Qu’avec vous à répondre à vos détracteurs ?
Il n’existe et ne peut exister de ma part et de celui du PP aucune question qui fâche.
Il est plus que naturel, l’inverse serait étonnant, problématique et fâcheux, que PP et moi-même fassions l’objet de questionnements et d’inquiétudes face à la soudaine ampleur d’un tel projet.
Il y a encore peu, je n’étais pas connu dans ce milieu si fermé dit de « l’ufologie ». Puis, un site apparaît de nulle part présentant et proposant aux investisseurs talentueux et audacieux, de venir participer à une des aventures humaines, scientifiques et technologiques, les plus importants depuis l’apparition de l’homme sur Terre.
Je suis une personne publique dans le cadre de mes activités professionnelles actuelles. Je suis aussi connu par mes activités professionnelles antérieures. Je ne cache rien et n’ai jamais rien eu à cacher.
PP est un projet qui peut et doit être critiqué et ce, de la façon la plus ouverte possible.
Il doit faire l’objet de réflexions et d’échanges de la part de tous ceux qui le veulent. Cependant, il est souvent très étonnant de lire dans divers forums sur le net principalement, des échanges et réflexions sur celui-ci par des personnes qui se disent « spécialistes » du dossier et qui en fait, ne font que critiquer pour critiquer, n’ayant aucun but concret si ce n’est de vouloir « démolir » sans rien apporter de positif. Pratiquement 100 % des personnes présentes sur les forums le sont d’une manière anonyme, se cachant obstinément derrière un pseudo. De fait, il est si facile de juger rapidement et négativement, sans rien proposer en contrepartie, en sachant que rien ne pourra jamais arriver suite à des propos souvent diffamatoires ou la limite de la diffamation. A mon niveau, je n’ai rien caché, je me suis livré totalement dès l’ouverture du site officiel du site PP, avec coordonnées et CV complet. Il est vraiment dommage que les forums soient et restent anonymes. Les échanges auraient tout à y gagner en honnêteté et professionnalisme, si les personnes s’inscrivaient sous leurs vraies identités avec accès pour tous à leurs CV complets. Je participe très rarement aux discussions sur les forums, seulement lorsque l’on me pose une question sur PP. Là, je réponds avec la plus grande sincérité, précision, honnêteté et courtoisie, ce qui n’est malheureusement pas toujours le cas de certains sur certains forums de discussions traitant du dossier.
Une fois de plus, les moyens nécessaires pour ouvrir et faire fonctionner le PP sont à la hauteur de la difficulté de la tâche.
Il est impossible de réaliser, monter, organiser, structurer, ne serait-ce qu’une seule mission sur le terrain, sans avoir les moyens minimums pour espérer aboutir dans les objectifs fixés.
La réussite d’une telle tache est assujettie à pratiquement une seule donnée : La qualité et l’expertise des hommes et femmes participant à l’aventure.
Et la qualité, l’expertise, cela se payent !
Si PP vient à ouvrir ses portes, tout sera transparent, financièrement parlant et aussi dans ses découvertes et résultats potentiels, en accord avec l’ensemble des partenaires impliqués dans le projet.
Donc, je ne suis pas une entité invisible, mon adresse et profession sont publiques, ainsi que mes projets et objectifs, et l’on peut venir me rencontrer le plus facilement du monde.
Si je suis la seule personne ressource physique actuelle du PP, il n’en reste pas moins qu’un nombre important d’autres bonnes volontés sont là, soutenant le PP, prêtes à venir le rejoindre dès l’instant où celui-ci aura trouvé son financement. Je suis seul pour le moment, sans l’être totalement !
Alors, Phenix Project et Serge Tinland, ni secte, ni escroquerie, seulement un projet sortant des sentiers battus de « l’ufologie » traditionnelle ainsi que de la recherche officielle académique !
Vous expliquez que vos découvertes possibles peuvent engendrer des progrès immenses pour l’humanité en terme, entre autres, de technologie, de médecine et d’énergie.
_______________________________________
"On peut tromper tout le monde pendant un certain temps,certains pour toujours.
Mais on ne peut tromper tout le monde éternellement".
Abraham Lincoln.
'Toute vérité franchit trois étapes. D'abord elle est ridiculisée. Ensuite, elle subit une forte opposition. Puis, elle est considérée comme ayant toujours été une évidence.'
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Re: Interview de Serge Tinland du projet Phenix.
Mer 16 Sep 2009, 21:53
Pourtant dans les exemples d’artefacts d’origine inconnue que vous citez, il y a des fossiles représentant des animaux, une hache, un mortier, des pierres gravées, etc. Tout cela ressemble plutôt à des créations d’êtres primitifs non ?
PP à deux démarches :
Une recherche sur le terrain de possibles traces de présences potentielles d’existence passée ou présente, de civilisations hautement évoluées, d’origines non humaines, ayant eu ou ayant encore des interactions avec nos civilisations terrestres.
De par ce premier objectif si il s’avère positif, il en découle automatiquement un deuxième, celui d’essayer de répondre à la question d‘un possible lien avec le dossier UFO, de la nature physique ou non des UFOs, et si réalité physique est réellement démontrée, l’origine et le calendrier de ceux-ci.
Les quelques exemples donnés dans le dossier général de présentation du PP sont là pour montrer une piste potentielle de recherche dans le cadre des « découvertes impossibles ».
Bon nombre de cas très troublants prennent la poussière au sein de divers musées ou laboratoires, sans que la science officielle ne vienne se questionner objectivement sur leurs présences anachroniques.
Le cas de certains fossiles présentés dans le dossier PP sont là pour rappeler aux lecteurs et investisseurs potentiels, combien il est urgent et important de pouvoir dès maintenant ouvrir une structure de recherche indépendante ayant les moyens de ses ambitions, pour étudier et répondre définitivement aux questions que posent bon nombre de ces artefacts anachroniques.
L’étude objective et scientifique de certains de ces fossiles peut nous mener sur les traces d’autres artefacts aux potentiels insoupçonnés, comme :
La découverte d’une civilisation très ancienne, humaine, mais à ce jour totalement inconnue, pouvant apporter à l’humanité une nouvelle vision de son passé, donc de son présent et par là même, de son futur.
La découverte d’une civilisation très ancienne, humaine, mais ayant eu et reçu visiblement une aide extérieure. Cette découverte entraînerait PP à s’interroger sur cette aide potentielle, son origine et les objectifs de celles-ci. Là, l’humanité, à ce stade, se verrait redéfinir sa vison du monde, de son réel passé, et de fait, aurait entre les mains une nouvelle façon d’appréhender son futur.
La découverte d’artefacts pouvant remettre en cause notre vision du passé de l’humanité ; comme la découverte par exemple d’une bibliothèque, des écrits, des gravures, autre…, recelant une partie de la mémoire de l’humanité. Une telle découverte bouleverserait notre existence, en permettant à l’humanité de s’interroger sur son présent et surtout sur son devenir.
La découverte d’artefacts technologiques, scientifiques, relevant d’un passé si lointain, qu’impossible à envisager en l’état actuel de nos connaissances, sans passer par l’intervention d’une aide extérieure. Ces artefacts pourraient détenir en leurs seins des données pouvant permettre à l’humanité de faire un bond important, lui faisant emprunter un nouveau chemin, une nouvelle voie de son évolution, pour le bien et le bien-être de celle-ci.
La découverte d’une civilisation réelle et active, présente, là, à côté de nous, sous les glaces, au fond des océans ou enfouie au plus profond des montagnes. Civilisation bien humaine, mais ayant vécu une évolution en marge de nos sociétés humaines et terrestres. Cette découverte bouleverserait toutes nos croyances actuelles et modifierait profondément nos civilisations, pour une nouvelle destinée de l’humanité.
La découverte par le biais de ces possibles artefacts ci-dessus, de l’origine et nature de certains des phénomènes UFOs présents depuis des siècles tout autour de nous. La réponse à certaines de nos questions concernant l’origine et la nature de certains UFOs serait une avancée majeure dans la compréhension du monde qui nous entoure. Cette découverte permettrait à l’humanité, en fonction de la nature et origine des ceux-ci, de mettre le doigt par exemple sur :
Tout nouveau système d’énergie et de propulsion. Une telle découverte et divulgation au monde signifierait que l’on puisse se passer du pétrole, du gaz, du charbon, et autres moyens conventionnels - et du coup, on verrait la fin de l’économie et de la géopolitique basées sur les ressources pétrolières. La divulgation complète de telles découvertes potentielles permettrait à l’humanité d’établir une civilisation viable sans qu’elle ait à subir, par exemple, le réchauffement climatique, en se passant totalement du pétrole et ses dérivés, ou encore, permettre une maîtrise totale alimentaire, tant sur les aliments de base que sur l’eau, élément indispensable à toutes sources de vies sur cette planète. Une nouvelle ère pour l’humanité empruntant un nouveau chemin, une nouvelle voie de son évolution, pour le bien-être de tous les êtres vivants de notre monde : La planète Terre.
Une étude de traces dites « primitives » peut venir nous réserver de bien belles et étranges surprises !
Cf.: http://www.unsolved-mysteries.info/rundgang2frz/rg2f.htm
Dans la rubrique « Presse » de votre site, il y a des photos des « drones californiens ».
Pourquoi avoir choisi ces images ? Il semble quasi avéré qu’il s’agit de créations numériques. Cela ne risque-t-il pas de créer la confusion chez vos lecteurs ?
Le choix précis de certaines photos des « drones californiens » n’est pas anodin dans le cadre des objectifs du PP.
En effet, l’un de ceux-ci étant de recouvrir de possibles artefacts technologiques pouvant venir démontrer l’importance d’une recherche SETAV (Search for Extra-Terrestrial Artefact and Visitation ou Recherche d’Artefacts et de Sondes Extraterrestres).
C’est pour cela que le dossier « drones californiens » m’interpelle d’un point de vue de la réflexion intellectuelle et que ces photos sont nécessaires sur le site PP.
Le dossier « drones californiens » n’est pas encore finalisé, loin de là !
Rien ne peut en l’état actuel de l’enquête menée par les « 7 » de la DRT (Drone Research Team) confirmer ou infirmer la véracité de l’affaire. Celle-ci a débuté en mai 2006 (Birmingham, Alabama), pour se stabiliser le 26 juin 2007 avec le rapport « CARET ».
Les derniers éléments en ma possession (juin 2009) transmis par un des membres de la DRT semblent orienter le dossier vers une affaire bien plus complexe qu’il n’y paraît !
Donc, pour le moment, par de «faux», pas de « créations numériques » à l’horizon ! Pas de réalité non plus ! Il faut attendre la suite des premières conclusions de la DRT afin de voir qu’elle sera l’orientation à donner à cette affaire :
Vous avez déjà médiatisé votre projet dans la presse locale et sur d’autres sites internet.
Comptez vous organiser une médiatisation plus large de votre projet en France ou à l’international ?
Oui, c’est envisagé depuis longtemps. Une démarche de communication à plus grande échelle sera entreprise bientôt.
Cependant, il n’est déjà pas facile de faire accepter des articles sur le sujet dans son propre pays, alors à l’international !
Il faudrait à PP un relais de poids pour faire accepter des articles au sein de revues, magazines spécialisés ou grand public. Un article sur PP sera bientôt proposé au MUFON US et à UFO Magazine.
Il sera beaucoup plus facile pour Phenix Project de communiquer aussitôt que celui-ci aura trouvé son financement de départ.
J’espère que cela sera pour bientôt…j’y travaille avec force et conviction !
Cependant, il se pourrait qu’une certaine forme de divulgation du dossier puisse voir le jour prochainement. Des indicateurs tendent à montrer une possibilité en ce sens ; Paradigm Research Group, le mouvement exopolitique international, le processus de déclassification engagé par l’administration Obama, le nombre croissant d’articles de plus en plus engagés dans la presse américaine et internationale, etc.…
Si la divulgation venait à arriver concernant le dossier avant l’ouverture du PP, ce qui est possible dans l’absolue et j’en serais le premier totalement ravi, PP n’aurait plus lieu d’être et clôturerait naturellement et officiellement sa démarche.
Si je suis intéressé par votre aventure, puis-je rejoindre l’équipe ?
C’est une question qui revient très souvent sur le mail du Phenix Project.
La réponse est Oui, à partir du moment où votre expertise entre dans les domaines d’investigations des missions du PP.
Que faut-il pour pouvoir rejoindre l’équipe officielle du PP ?
Le profil :
Au final, les futurs collaborateurs du PP ne devront jamais oublier que ce sont les rêves qui ont permis à l’humanité de grandir et ce sont ces mêmes rêves qui lui permettront d’emprunter de nouvelles voies, de nouveaux chemins de son évolution, et ces rêves c’est ici et maintenant, grâce à l’esprit d’entreprise, l’innovation, l’originalité, la technicité, au même titre que l’inspiration, la passion, la créativité, l’enthousiasme et la profonde détermination à aboutir.
Oui, le Phenix Project est ouvert à tous ceux qui ont ce profil ou partie de ce profil. Une intégration à une équipe comme celle du PP n’est pas figée dans le marbre, bien au contraire. Une personne peut ne pas avoir certains des éléments cités ci-dessus et totalement convenir. Tout cela se détermine lors du recrutement en amont de l’ouverture officielle des UMR.
Si PP arrive au stade du recrutement officiel des collaborateurs, cela voudra dire que celui-ci aura enfin réussi à passer la phase la plus critique : celle de la levée de fonds !
Et là, nous nous ferons une joie de recevoir celles et ceux qui auront fait parvenir une demande et CV à PP.
M. Tinland, un grand merci d’avoir pris le temps de répondre à ces questions.
Pouvez-vous rappeler à nos lecteurs ce qu’ils peuvent faire pour en savoir plus et éventuellement soutenir votre projet ?
C’est moi qui tiens à remercier Ufofu d’avoir ouvert ses colonnes au Phenix Project.
Pour en savoir plus sur la suite de l’aventure du PP, il faut aller régulièrement visiter le site officiel, afin de voir si l’item « news » contient des nouveautés :
Vous pouvez aussi me faire parvenir un mail à l’adresse du mail du PP afin de me poser toutes les questions pour plus de précisions :
Vous pouvez aussi me rencontrer pour un échange direct. Je peux me déplacer en fonction de l’importance de la demande. L’ensemble de mes coordonnées se trouve ici.
A ce jour, je suis toujours à la recherche du complément financier pour ouvrir le « survey » de la mission « Équateur 2009 / 2010 : Sur les traces de nos origines (.pdf) », et toujours sur la levée de fonds pour l’ouverture officielle des premiers UMR.
De nouvelles prises de contact avec d’importantes fortunes industrielles françaises sont en cours…
Toutes les aides pour lancer les UMR et donc les premières missions sont les bienvenues, de quelques natures quelles soient.
La première des aides possibles étant de pouvoir parler autour de vous du Phenix Project et ainsi faire connaître sont existence au plus grand nombre.
Un nouvel item «Pour faire un Don» vient d’être ajouté à la section accueil et financement ; cela pour activer et motiver de « possibles » donations et aides diverses :
Un état régulier des comptes des dons à Phenix Project et leurs affectations sera mis à la disposition de tous sur simple demande.
Merci à vous tous pour votre écoute et soutien au Phenix Project.
PP à deux démarches :
Une recherche sur le terrain de possibles traces de présences potentielles d’existence passée ou présente, de civilisations hautement évoluées, d’origines non humaines, ayant eu ou ayant encore des interactions avec nos civilisations terrestres.
De par ce premier objectif si il s’avère positif, il en découle automatiquement un deuxième, celui d’essayer de répondre à la question d‘un possible lien avec le dossier UFO, de la nature physique ou non des UFOs, et si réalité physique est réellement démontrée, l’origine et le calendrier de ceux-ci.
Les quelques exemples donnés dans le dossier général de présentation du PP sont là pour montrer une piste potentielle de recherche dans le cadre des « découvertes impossibles ».
Bon nombre de cas très troublants prennent la poussière au sein de divers musées ou laboratoires, sans que la science officielle ne vienne se questionner objectivement sur leurs présences anachroniques.
Le cas de certains fossiles présentés dans le dossier PP sont là pour rappeler aux lecteurs et investisseurs potentiels, combien il est urgent et important de pouvoir dès maintenant ouvrir une structure de recherche indépendante ayant les moyens de ses ambitions, pour étudier et répondre définitivement aux questions que posent bon nombre de ces artefacts anachroniques.
L’étude objective et scientifique de certains de ces fossiles peut nous mener sur les traces d’autres artefacts aux potentiels insoupçonnés, comme :
La découverte d’une civilisation très ancienne, humaine, mais à ce jour totalement inconnue, pouvant apporter à l’humanité une nouvelle vision de son passé, donc de son présent et par là même, de son futur.
La découverte d’une civilisation très ancienne, humaine, mais ayant eu et reçu visiblement une aide extérieure. Cette découverte entraînerait PP à s’interroger sur cette aide potentielle, son origine et les objectifs de celles-ci. Là, l’humanité, à ce stade, se verrait redéfinir sa vison du monde, de son réel passé, et de fait, aurait entre les mains une nouvelle façon d’appréhender son futur.
La découverte d’artefacts pouvant remettre en cause notre vision du passé de l’humanité ; comme la découverte par exemple d’une bibliothèque, des écrits, des gravures, autre…, recelant une partie de la mémoire de l’humanité. Une telle découverte bouleverserait notre existence, en permettant à l’humanité de s’interroger sur son présent et surtout sur son devenir.
La découverte d’artefacts technologiques, scientifiques, relevant d’un passé si lointain, qu’impossible à envisager en l’état actuel de nos connaissances, sans passer par l’intervention d’une aide extérieure. Ces artefacts pourraient détenir en leurs seins des données pouvant permettre à l’humanité de faire un bond important, lui faisant emprunter un nouveau chemin, une nouvelle voie de son évolution, pour le bien et le bien-être de celle-ci.
La découverte d’une civilisation réelle et active, présente, là, à côté de nous, sous les glaces, au fond des océans ou enfouie au plus profond des montagnes. Civilisation bien humaine, mais ayant vécu une évolution en marge de nos sociétés humaines et terrestres. Cette découverte bouleverserait toutes nos croyances actuelles et modifierait profondément nos civilisations, pour une nouvelle destinée de l’humanité.
La découverte par le biais de ces possibles artefacts ci-dessus, de l’origine et nature de certains des phénomènes UFOs présents depuis des siècles tout autour de nous. La réponse à certaines de nos questions concernant l’origine et la nature de certains UFOs serait une avancée majeure dans la compréhension du monde qui nous entoure. Cette découverte permettrait à l’humanité, en fonction de la nature et origine des ceux-ci, de mettre le doigt par exemple sur :
Tout nouveau système d’énergie et de propulsion. Une telle découverte et divulgation au monde signifierait que l’on puisse se passer du pétrole, du gaz, du charbon, et autres moyens conventionnels - et du coup, on verrait la fin de l’économie et de la géopolitique basées sur les ressources pétrolières. La divulgation complète de telles découvertes potentielles permettrait à l’humanité d’établir une civilisation viable sans qu’elle ait à subir, par exemple, le réchauffement climatique, en se passant totalement du pétrole et ses dérivés, ou encore, permettre une maîtrise totale alimentaire, tant sur les aliments de base que sur l’eau, élément indispensable à toutes sources de vies sur cette planète. Une nouvelle ère pour l’humanité empruntant un nouveau chemin, une nouvelle voie de son évolution, pour le bien-être de tous les êtres vivants de notre monde : La planète Terre.
Une étude de traces dites « primitives » peut venir nous réserver de bien belles et étranges surprises !
Cf.: http://www.unsolved-mysteries.info/rundgang2frz/rg2f.htm
Dans la rubrique « Presse » de votre site, il y a des photos des « drones californiens ».
Pourquoi avoir choisi ces images ? Il semble quasi avéré qu’il s’agit de créations numériques. Cela ne risque-t-il pas de créer la confusion chez vos lecteurs ?
Le choix précis de certaines photos des « drones californiens » n’est pas anodin dans le cadre des objectifs du PP.
En effet, l’un de ceux-ci étant de recouvrir de possibles artefacts technologiques pouvant venir démontrer l’importance d’une recherche SETAV (Search for Extra-Terrestrial Artefact and Visitation ou Recherche d’Artefacts et de Sondes Extraterrestres).
C’est pour cela que le dossier « drones californiens » m’interpelle d’un point de vue de la réflexion intellectuelle et que ces photos sont nécessaires sur le site PP.
Le dossier « drones californiens » n’est pas encore finalisé, loin de là !
Rien ne peut en l’état actuel de l’enquête menée par les « 7 » de la DRT (Drone Research Team) confirmer ou infirmer la véracité de l’affaire. Celle-ci a débuté en mai 2006 (Birmingham, Alabama), pour se stabiliser le 26 juin 2007 avec le rapport « CARET ».
Les derniers éléments en ma possession (juin 2009) transmis par un des membres de la DRT semblent orienter le dossier vers une affaire bien plus complexe qu’il n’y paraît !
Donc, pour le moment, par de «faux», pas de « créations numériques » à l’horizon ! Pas de réalité non plus ! Il faut attendre la suite des premières conclusions de la DRT afin de voir qu’elle sera l’orientation à donner à cette affaire :
Vous avez déjà médiatisé votre projet dans la presse locale et sur d’autres sites internet.
Comptez vous organiser une médiatisation plus large de votre projet en France ou à l’international ?
Oui, c’est envisagé depuis longtemps. Une démarche de communication à plus grande échelle sera entreprise bientôt.
Cependant, il n’est déjà pas facile de faire accepter des articles sur le sujet dans son propre pays, alors à l’international !
Il faudrait à PP un relais de poids pour faire accepter des articles au sein de revues, magazines spécialisés ou grand public. Un article sur PP sera bientôt proposé au MUFON US et à UFO Magazine.
Il sera beaucoup plus facile pour Phenix Project de communiquer aussitôt que celui-ci aura trouvé son financement de départ.
J’espère que cela sera pour bientôt…j’y travaille avec force et conviction !
Cependant, il se pourrait qu’une certaine forme de divulgation du dossier puisse voir le jour prochainement. Des indicateurs tendent à montrer une possibilité en ce sens ; Paradigm Research Group, le mouvement exopolitique international, le processus de déclassification engagé par l’administration Obama, le nombre croissant d’articles de plus en plus engagés dans la presse américaine et internationale, etc.…
Si la divulgation venait à arriver concernant le dossier avant l’ouverture du PP, ce qui est possible dans l’absolue et j’en serais le premier totalement ravi, PP n’aurait plus lieu d’être et clôturerait naturellement et officiellement sa démarche.
Si je suis intéressé par votre aventure, puis-je rejoindre l’équipe ?
C’est une question qui revient très souvent sur le mail du Phenix Project.
La réponse est Oui, à partir du moment où votre expertise entre dans les domaines d’investigations des missions du PP.
Que faut-il pour pouvoir rejoindre l’équipe officielle du PP ?
Le profil :
- Homme ou femme,
- Avoir 18 ans minimum et 99 ans maximum, dès l’instant où l’esprit et le corps sont toujours alertes,
- toutes nationalités et religions,
- Etre scientifique titré, ingénieur, technicien ou administratif dans un des domaines cités en fin de dossier « Équateur 2009 / 2010 : Sur les traces de nos origines (.pdf) »,
- Avoir cinq années minimum d’expérience dans son domaine et être reconnu dans celui-ci comme une personne sérieuse, intègre et véritablement professionnelle,
- Être tout jeune diplômé n’est pas un problème dès l’instant où ce qui suit est acquis,
- Avoir ou non un intérêt pour le dossier importe peu. Des objectifs sont donnés pour chaque mission et c’est l’expertise qui va compter et non l’intérêt avoué ou non pour le dossier,
- Avoir l’esprit critique, être objectif et impartial,
- Avoir l’esprit d’aventure et l’esprit d’entreprendre,
- Avoir l’esprit ouvert avec la capacité à se remettre en cause, en question, et ce en permanence,
- Avoir l’esprit d’équipe et la capacité de travailler hors des sentiers battus,
- pour les enquêteurs, ne pas avoir peur de vivre dans les endroits les plus reculés de la planète,
- Être très disponible pour ceux qui feraient partie des équipes d’enquêteurs sur le terrain (missions de 15 à 90 jours sur le terrain),
- pour les enquêteurs, parler plusieurs langues et au minimum l’anglais pour tous les autres collaborateurs,
- Pour les enquêteurs, avoir le sens de l’autonomie et de la « débrouille » sur le terrain,
Au final, les futurs collaborateurs du PP ne devront jamais oublier que ce sont les rêves qui ont permis à l’humanité de grandir et ce sont ces mêmes rêves qui lui permettront d’emprunter de nouvelles voies, de nouveaux chemins de son évolution, et ces rêves c’est ici et maintenant, grâce à l’esprit d’entreprise, l’innovation, l’originalité, la technicité, au même titre que l’inspiration, la passion, la créativité, l’enthousiasme et la profonde détermination à aboutir.
Oui, le Phenix Project est ouvert à tous ceux qui ont ce profil ou partie de ce profil. Une intégration à une équipe comme celle du PP n’est pas figée dans le marbre, bien au contraire. Une personne peut ne pas avoir certains des éléments cités ci-dessus et totalement convenir. Tout cela se détermine lors du recrutement en amont de l’ouverture officielle des UMR.
Si PP arrive au stade du recrutement officiel des collaborateurs, cela voudra dire que celui-ci aura enfin réussi à passer la phase la plus critique : celle de la levée de fonds !
Et là, nous nous ferons une joie de recevoir celles et ceux qui auront fait parvenir une demande et CV à PP.
M. Tinland, un grand merci d’avoir pris le temps de répondre à ces questions.
Pouvez-vous rappeler à nos lecteurs ce qu’ils peuvent faire pour en savoir plus et éventuellement soutenir votre projet ?
C’est moi qui tiens à remercier Ufofu d’avoir ouvert ses colonnes au Phenix Project.
Pour en savoir plus sur la suite de l’aventure du PP, il faut aller régulièrement visiter le site officiel, afin de voir si l’item « news » contient des nouveautés :
Vous pouvez aussi me faire parvenir un mail à l’adresse du mail du PP afin de me poser toutes les questions pour plus de précisions :
Vous pouvez aussi me rencontrer pour un échange direct. Je peux me déplacer en fonction de l’importance de la demande. L’ensemble de mes coordonnées se trouve ici.
A ce jour, je suis toujours à la recherche du complément financier pour ouvrir le « survey » de la mission « Équateur 2009 / 2010 : Sur les traces de nos origines (.pdf) », et toujours sur la levée de fonds pour l’ouverture officielle des premiers UMR.
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Merci à vous tous pour votre écoute et soutien au Phenix Project.
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Mais on ne peut tromper tout le monde éternellement".
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Re: Interview de Serge Tinland du projet Phenix.
Ven 30 Mar 2012, 13:23
Pourquoi Serge Tinland ne dit t'il pas quelle sont les déclarations étonnante de ces responsables militaires de la base 943 , ces déclaration ont t'elle un lien avec mon observation du 12/07/1998 ? à mon avis oui .
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Re: Interview de Serge Tinland du projet Phenix.
Ven 30 Mar 2012, 13:40
Cet été je part observer une semaine au sommet de la montagne Sud de la station de ski Vauplane parce-qu'il faut que je refasse des photos du triangle et si le triangle repasse la base 943 aura à rendre des comptes tout comme le gouvernement qui nous cache tout ceci avec la base 943 .
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