Il y a 500 ans, Léonard de Vinci

[InvitéInvité]

Bonjour

On ne cesse de répéter qu'il faut que les scientifiques s'emparent du phénomène ovni.

D'abord, des scientifiques  le font depuis quasi le début où les organismes de défense des pays se sont intéressés aux Objets Volant Non Identifiés

Mais moi,  je veux parler de ces visionnaires  tout aussi qualifiés pour étudier le phénomène que nos chercheurs contemporains de haut niveau qui manipulent l'outil scientifique en virtuose.

Un exemple  en citant le Larousse >ICI
"Léonard ne deviendra jamais un savant du type de Copernic ou de Newton, de ceux qui renouvellent la science par leurs découvertes ou leurs hypothèses. Sa terminologie physique reste imprécise et contradictoire. En fait, tout en célébrant « la suprême certitude des mathématiques », il est avant tout un « visuel », pour qui l'œil, « fenêtre de l'âme, est la principale voie par laquelle notre intellect peut apprécier pleinement l'œuvre infinie de la nature ». Sa curiosité universelle refuse nos distinctions entre science pure et science appliquée, entre beaux-arts et arts mécaniques."

et pourtant ce fut l'un des plus grands précurseurs de notre monde  matérialistes où la recherche fondamentale semble de plus en plus bridée par les sciences appliquées dont l'impératif de résultat est le but premier et quasi unique.

Des Léonard de Vinci il y en aura toujours parmi les milliards de membres que représentent notre  communauté humaine

Et puis,
je crois que certains commencent à se dire qu'on pourrait tirer profit des Ovnis.

Bon dimanche

Loreline

[Jean-FrancisEquipe du forum]

Loreline : Et puis, je crois que certains commencent à se dire qu'on pourrait tirer profit des Ovnis.


Totalement d’accord Loreline avec cette option. L’homme procède de cette façon depuis ses origines en observant puis imitant la nature : biomimétisme. Il ferait bien d’ailleurs d’y consacrer un effort de recherche plus important car en agissant ainsi, il fabriquerait des produits efficaces et non polluants. Le kevlar par exemple, est une fibre certes très résistante mais archi polluante comme déchet. Or la nature sait faire la même chose avec le fil de soie d’araignée. Des recherches ont lieu sur cette fibre et sa production.

Admettre l’existence des ovnis c’est constater que ces « machines » possèdent des caractéristiques hors normes par rapport à ce que notre science et techno peuvent produire. Creuser le « comment ça marche » devient alors une voie de recherche très prometteuse lorsqu’on reconnait leur existence.

Au passage, la science depuis l’origine tente de répondre à la question « comment ça marche » et pas au « pourquoi » ce qui est du ressort d’autres disciplines plus spéculatives.

Bien sûr, là où ça coince pour les scientifiques, c’est « admettre le phénomène » pour envisager s’y consacrer. Je ne doute pas que certains au fond de leurs labos se sentent enclins à y aller voir de plus près. Mais quel chemin emprunter lorsqu’on ne sait pas sous quelle discipline aborder le phénomène ? La physique bien sûr car elle est l’archétype des sciences exactes dites aussi dures. Elle sera épaulée par d’autres sciences de la nature comme la biologie, la chimie, parce que n’en doutons pas, le phénomène ovni déclenche des réflexions dans ces domaines.

Mais critiques et taquins comme je vous connais, vous aller me dire : « JF, tu parles d’utiliser les sciences de la nature alors que ces ovnis ne sont peut-être pas des phénomènes naturels » Et bien vous avez raison et…tord à la fois. Etudier avec ces outils pourrait déboucher sur :

-          La découverte de phénomènes naturels qui nous étaient jusqu’alors inconnus, ou,

-          La preuve que le phénomène n’entre pas dans le registre des phénomènes naturels ce qui nous obligerait à refonder notre pensée en matière de "vérités" scientifiques.


Nous sommes gagnants de savoir dans les deux cas.

Quelques laboratoires dans le monde ont peut-être déjà dépassé le tabou et ont résolument entrepris des travaux en cherchant par mimétisme à reproduire les caractéristiques ovnis.

Si tel est le cas, aurons-nous le plaisir de voir surgir un jour dans Nature l’article qui apportera un début d’explication à un concept résolument nouveau et révolutionnaire ?

[InvitéInvité]

@Jean-FrancisSi tel est le cas, aurons-nous le plaisir de voir surgir un jour dans Nature l’article qui apportera un début d’explication à un concept résolument nouveau et révolutionnaire ?[i

Il ne faut pas désespérer car selon les nouvelles qui nous arrivent de l'Est, on se rend compte que l'Homme est toujours resté  à l'état d'animal sauvage (un animal sauvage peut-être très gentil souvent) et donc qu'il n'a pas changé de mentalité.

On peut donc se  dire que ceux qui ont maitrisé le feu ont eu les mêmes ennuis que ceux qui cherchent à comprendre les ovnis.

en effet,  en partant d'Homo habilis on sait que l'être humain est sur notre planète depuis  2,5 à 1,5 millions d'années or le feu a été domestiqué selon les dernières recherches il y a 800 000 ans ce qui fait que l'Homme a prospéré au minimum 700 000 sans feu et il s'en portait fort bien puisqu'il a survécu .

Il y a donc fort à parier que les premiers qui ont essayé de domestiquer le feu se sont fait traiter de fadas par leur communauté, voir de gêneurs ou même de profanateurs  et on peut même envisager qu'il y sont arrivés en se cachant

et maintenant on a le feu à  domicile sans beaucoup se fatiguer du moins encore

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