- brunehautAnalyste enquêteur
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Re: Comment interpréter le comportement (discrétion, luminosité) des OVNI?
Lun 15 Mar 2010, 17:48
Bonjour Jdeuxf,
Je pense que ceci pourrait t'intéresser:
"Une hantise de boule lumineuses" Par Fernand Lagarde
C'est là, dans l'obscurité complète, que, j'ai capté les plus belles formes du silence. Je les ai tenues, elles m'ont passé entre les doigts, je les ai reconnues au toucher.
Blaise Cendrars
Les différentes analyses de la substance constitutive des apparitions .sont contradictoires. Charles Fort affirmait, sardonique, que dans la réai lité intermédiaire (celle, précisément, des apparitions et des événements psi), « l'analyse chimique, malgré son apparence définitive et officielle, n'est pas plus absolue que l'identification d'un gamin ou la description l'un imbécile. Les savants, avec leur rêve d'une science pure, ressemblent aux artistes qui rêvent de l'art pour l'art. »
Selon Gustave Geley, qui étudia longuement les médiums à « ectoplasme », il devait exister une substance organique primordiale, régie par une sorte d'inconscient collectif: les représentations de cet inconscient pouvaient être temporaires et anormales (c'étaient les apparitions d'êtres vivants), ou durables et cohérentes (c'étaient les êtres vivants habituels). Cette théorie spirite —fort naïve — n'explique assurément pas pourquoi certains ectoplasmes prennent la forme d'objets (ne seraient-ce qui, les vêtements de fantômes humanoïdes).
Plus intéressantes sont ses observations de phénomènes lumineux pro duits par différents médiums. Les formes les plus fréquentes sont celles de houles ou de soucoupes qui présentent toutes les caractéristiques des prétendus engins extraterrestes décrits par les soucoupistes : vitesse très variable, déplacement en zigzag, chute en feuille morte, lumière pul sante, escadrille se «fondant» dans un vaisseau-mère, comportement intentionnel, etc.
.1 pparition d'un mandala - où s'inscrivent les Noms divins - devant le philosophe qui inédite (Le Magicien, appellé encore Le docteur Faust. Gravure de Rembrandt, 1652. Bibliothèque Nationale)
Comme tous les autres métapsychistes, Geley constatera que ces lumières se transforment de façon continue en formes organiques, techniques ou abstraites, et que les unes comme les autres ne sont pas nécessairement visibles pour tous les témoins'.
Il existe dans les annales de la métapsychique, des cas de transition entre les lumières organiques et les lumières ectoplasmiques. Le fait suivant, publié par le Light du 25 mars 1922, qui relate des productions lumineuses sur une agonisante ou autour d'elle, rappelle tout à fait ce que nous verrons décrit plus loin, dans les séances médiumniques.
Miss Dorothy Monk, qui nous envoie ce remarquable récit, n'était pas, on le verra, l'unique témoin des étranges incidents relatés. Elle et ses parents, que j'ai vus, s'accordent pour décrire de même les manifestations lumineuses et colorées qui accompagnèrent la mort de Mme Monk. Le cas est d'autant plus intéressant qu'il confirme beaucoup d'autres comptes rendus de phénomènes accompagnant le processus de la mort... (Note du Light).
"Notre mère nous quitta le 2 janvier, d'une manière si étrange que je me demande si vous pourriez nous expliquer ce que nous avons vu. Elle est morte d'un arrêt du coeur, après une longue maladie, aggravée vers la fin par une grippe intestinale. Le docteur lui donna de la morphine le samedi matin, 31 décembre, pour la soulager; elle dormit paisiblement jusqu'au soir, puis elle se réveilla petit à petit, mais sans plus retrouver sa pleine connaissance... Nous vîmes pendant la journée des lumières bleues brillantes, parfois à ses côtés, parfois dans la chambre. Nous ne les voyions que l'espace d'une seconde ou deux, une ou deux d'entre nous seulement à la fois. J'observais très attentivement, je vis quatre fois une de ces lumières auprès de notre mère qui, alors, remua et chercha à parler à trois reprises, mais elle n'en eut pas la force. Au moment du crépuscule, trois de mes soeurs et moi nous vîmes tout à coup, au-dessus d'elle, une pâle vapeur d'un bleu mauve; la malade était alors étendue et parfaitement immobile. Nous vîmes cette vapeur devenir peu à peu violet foncé et si épaisse, qu'elle nous voilait presque entièrement les traits de notre mère et se répandait dans les plis des couvertures comme un brouillard.
1.Se référer, pour plus amples détails, au volume XI de cette collection.
Un globe lumineux au-dessus de la mourante
Notre mère remua faiblement les bras une ou deux fois : cette brume colorée les accompagnait. Cela nous parut merveilleux et nous appelâmes nos autres soeurs pour savoir si elles verraient comme nous. Elles virent la même
mes nos autres soeurs pour savoir si elles verraient comme nous. Elles virent la même chose. Nous vîmes apparaître graduellement sur l'oreiller des taches de lumière jaune brillante; l'une d'elles, à gauche de la tête, était particulièrement brillante, puis s'obscurcissait, pour reprendre de l'éclat. La vieille amie de notre mère était dans la chambre à ce moment, mais elle ne vit ni le brouillard violet autour de la mourante ni les lumières bleues; elle nous dit que nous étions fatiguées de veiller et surexcitées. Nous attirâmes son attention sur la tache brillante qui était sur l'oreiller; elle la vit très bien, mais nous dit que c'était le reflet du Feu ou du gaz. Nous plaçâmes des écrans devant l'une et l'autre lumières; notre amie fit le tour de la chambre, déplaça des cadres et inclina la glace sans que cela modifiât en rien le phénomène. Elle vint enfin étendre les mains au-dessus de cette lumière sans réussir à la voiler; elle s'assit alors sans mot dire...
« Une de nos soeurs vit aussi à ce moment-là une grande lumière bleue en forme de globe, posée sur la tête de notre mère; mais elle fut seule à la voir. Elle nous dit que l'intérieur de ce globe lui avait paru en mou vement; il devint peu à peu violet foncé et s'évanouit.
Les lèvres de notre mère s'entrouvrirent, ce soir-là, vers 7 heures, et à partir de ce moment-là nous vîmes une épaisse vapeur blanche se for mer au-dessus de sa tête et se répandre au-dessus du chevet du lit. Elle sortait du sommet de la tête... C'était comme un nuage de vapeur blan che, si dense parfois, que nous voyions à peine les barreaux du lit, mais son aspect variait continuellement, bien que le mouvement qui l'animait fût à peine perceptible. Mes cinq soeurs et moi étions présentes avec mon frère et un beau-frère; tous le virent parfaitement. Les lumières bleues se voyaient toujours par la chambre et de petits éclairs jaunes, comme des étincelles, se montraient de temps à autre. Pendant ce temps, la mâchoire inférieure de notre mère tombait un peu. Les choses demeuré rent ainsi sans grand changement pendant quelques heures, sauf qu'une auréole de rayons jaunes pâles se montra autour de la tête. Il y en avait
sept. Leur longueur varia de 30 à 50 centimètres. Tout avait disparu à minuit, mais la mort n'eut lieu que le matin du 2 janvier, à 7h 17... Elle s'éteignit si doucement que sa respiration, devenue un peu plus forte aux derniers moments, s'arrêta sans aucun effort.
«Nous lui rendîmes nous-mêmes les derniers devoirs et couvrîmes le corps d'un drap. La vapeur violette que nous avions déjà vue restait suspendue au-dessus. Nous quittâmes alors la chambre.
Dorothy Monk
Qu'il y ait, dans ce récit, une part d'illusion ou de suggestion collective, c'est possible, sinon probable. Mais il serait déraisonnable de tout attribuer systématiquement à l'hallucination.
Des observations au cour de séances médiumniques
Nous allons maintenant donner quelques exemples de phénomènes lumineux ectoplasmiques.
A vrai dire, nous n'avons qu'un embarras : c'est celui du choix. Il n'est pour ainsi dire pas de séance importante de matérialisation qui ne soit accompagnée de dégagements de lumières.
Nous commencerons par exposer le résultat de notre expérience personnelle. Sans doute, cette expérience est encore restreinte; mais elle nous a permis des constatations très précises qui nous serviront à nous orienter dans cette étude.
La médiumnité d'Éva Carrière n'a fourni, au point de vue des phénomènes lumineux, que peu de chose à noter. J'ai vu fréquemment, sur son sarrau noir, des taches ou des ectoplasmes un peu phosphorescents. Cette phosphorescence était sujette à des alternatives d'augmentation et de diminution progressives, grâce auxquelles le phénomène variait constamment de visibilité.
Je n'ai jamais vu, avec ce médium, de véritables lumières.
Par contre avec trois autres médiums : Mme S..., de Rome, M. Franek Kluski et J. Guzik, de Varsovie, j'ai pu obtenir dans toute leur intensité, leur variété et leur beauté, la bioluminescence ectoplasmique.
Une nébuleuse d'où surgit un visage
Voici celles de nos notes qui se rapportent aux phénomènes lumineux de M. F. Kluski :
Séance du 22 avril 1921, à 21 h 30, chez M. F. Kluski. Contrôleurs : professeur Richet, Dr Geley.
Assistants : M. Géo Lange et M. Stanislas de Jelski.
Le contrôle des deux deux mains du médium fut parfait. Ce dernier garda l'immobilité absolue. La porte avait été verrouillée en dedans. Le médium s'était déshabillé entièrement et avait revêtu un pyjama, sans poche, que nous avions examiné avec soin.
... Les visions lumineuses sont d'abord faibles, à peine distinctes. Je ne perçois pas l'odeur d'ozone habituelle. Tout à coup, entre le médium et Geley, à un mètre derrière eux, à une hauteur de 1,50 mètre à 2 mètres, apparut une grosse nébuleuse phosphorescente. Il y a trois parties lumineuses : une partie médiane et supérieure, de la dimension approximative d'un visage et deux parties latérales. J'ai l'impression d'une tête et de deux mains en formation. Le tout augmente et diminue tour à tour de visibilité, se déplace légèrement, s'abaisse, disparaît, repa¬raît. Le phénomène est constitué par un brouillard phosphorescent au milieu duquel s'allument des points très brillants. Il dure assez long temps (environ deux minutes) et se reproduit deux fois... »
Séance du 7 mai 1921, 19 heures (même contrôle).
Les phénomènes lumineux se sont produits avec intensité pendant tout le cours de la séance. Ils n'ont offert aucune particularité nouvelle.
Séance du 24 septembre 1921, à 24 heures.
Présents : Dr Geley, M. du Bourg de Bozas, colonel Okolowicz, Mlle Ludomira Grzeliak.
Je contrôlais la main droite du médium. J'ai noté:
Presque immédiatement, phénomènes lumineux qui dureront jusqu'ià la fin de la séance. Les lumières sont nombreuses, vont, viennent, s'élè vent très haut, s'éloignent de nous, reviennent, décrivent des circuits variés. Elles sont fortes, de dimensions très variables, depuis celle d'une étincelle jusqu'à celle d'un visage humain.
Elles sont constituées par des foyers centraux très lumineux, entourés d'un brouillard moins lumineux.
L'intensité du phénomène est plus forte que dans nos séances de l'hiver dernier à l'Institut...
Séance du 29 septembre 1921, à minuit.
... Phénomènes lumineux moins intenses qu'à la dernière séance. Quelques lumières très vives qui se déplacent rapidement. A diverses reprises, des nuages lumineux se forment derrière le médium. Je sens, très forte, l'odeur d'ozone...
Séance du 30 septembre, à 23 h 30 (même contrôle).
... Dès le début, lueurs, comme d'habitude. Trois lumières apparaissent très haut. Elles s'approchent jusque près de moi : je vois alors une main lumineuse. Elle me touche le front et je sens le contact de cinq doigts. Puis apparaît vaguement lumineux, le visage d'un jeune homme de quinze à dix-sept ans. L'apparition est très éphémère.
Un semis de grains brillants
Séance du 24 avril 1922, à 10 heures du soir.
Kluski n'avait donné aucune séance depuis six mois. Aussi les phénomènes ont été relativement peu intenses. Contrôle absolument parfait.
Le professeur Richet tient la main droite du médium. Geley tient la main gauche. Entre Richet et Geley, est un seul expérimentateur : M. de Jelski; les trois expérimentateurs font la chaîne, d'où contrôle réciproque qui ne laisse rien à désirer. Avant la séance, visite minutieuse de la salle. La porte est verrouillée par Geley. Le médium, voulant nous offrir un contrôle absolu, se met tout nu, malgré nos protestations et en dépit du froid. Obscurité.
Phénomènes : contacts peu importants, sur Richet et Geley. Déplacements bruyants d'objets, derrière Richet et le médium. A chaque phénomène télékinétique, le médium sursaute et gémit, sa main presse convulsivement celles des contrôleurs.
Le phénomène principal consiste en belles lueurs, en arrière et au-dessus du médium.
On perçoit l'odeur caractéristique d'ozone.
Un brouillard, comme une colonne vaguement phosphorescente, s'élève au-dessus de la tête de Kluski. Puis des points brillants s'allument et s'éteignent.
Une vaste traînée lumineuse, comme une nébuleuse en forme de comète, longue de 50 centimètres environ, se forme derrière Kluski, à un mètre au-dessus de sa tête et, semble-t-il, à un mètre derrière lui. Cette nébuleuse est constituée par un semis de grains brillants minuscules, parmi lesquels éclatent quelques points particulièrement lumineux. Cette nébuleuse oscille vivement de droite à gauche et de gauche à droite, s'élève et s'abaisse 1. Elle dure assez longtemps (une minute), disparaît et reparaît à plusieurs reprises.
Après la séance, je constate que, malgré le froid, le médium resté nu pendant une heure, a très chaud. Il transpire par places (sous les aisselles et dans le dos). Il est épuisé.
I. Eugène Osty prouvera expérimentalement, dix ans plus tard, que ces oscillations correspon¬dent à la fréquence respiratoire du médium. Cf le volume XI de la même collection (NdR).
Le moule d'une main phosphorescente
Séance du vendredi 5 mai, à minuit et demi.
Je contrôle la main gauche.
Présents: M. Ossowiecki, Mme A. E., colonel Okolowicz, Dr Gui rard, Mlle Ludomira Grzeliak.
Transe très rapide (quelques minutes); des lumières très diverses et nombreuses se montrent autour des assistants; parfois très haut. Elles sont multiples, polymorphes, de grosseur très variable, d'un pois à une noix. Parfois ce sont des points très lumineux, parfois des nébulosités phosphorescentes avec foyers de condensation; d'autres fois enfin, des chapelets de lumières comprenant quatre à six points lumineux formant girandole. Un brouillard lumineux est vu, à diverses reprises, sur la tête du médium. Il semble s'élever comme une fumée. Je suis fréquemment touché par les lumières et je sens alors le contact de mains ou de doigts.
Tout à coup, nous voyons deux points lumineux flotter environ à 1,50 mètre ou 2 mètres au-dessus du baquet de paraffine. Quand toute l'attention est fixée sur elles, ces lumières descendent lentement dans le haquet. On entend le barbottement dans la paraffine. Les lumières ressortent, flottent un instant au-dessus du baquet; se replongent et barbot lent encore; ressortent, toujours visibles à travers la couche de paraffine, puis finalement viennent déposer un moule chaud sur mes mains. La même scène se renouvelle trois fois.
(Or, après la séance, nous trouvons trois moules de mains entrelacées).
Un moment après, magnifique phénomène lumineux : une main se promène devant les assistants, lentement. Elle tient dans la paume, par la demi-flexion du pouce et des doigts, un corps lumineux, comme un morceau de glace lumineuse. Toute la main apparaît éclairée et transparente. On voit la couleur chair. Trois fois le phénomène se reproduit.
Les observations de G. Delanne et W. Crookes
Nous allons, maintenant, passer en revue les principales observations classiques des séances de matérialisation. Nous verrons que, partout et toujours, les choses se passent de la même manière.
M. Delanne, dans son beau livre les Apparitions matérialisées, résume ainsi les faits :
Il y aurait toute une étude spéciale à faire sur les manifestations lumineuses qui se produisent pendant les séances obscures. Tantôt elles se présentent sous la forme d'étoiles, d'éclairs, de taches plus ou moins brillantes, de couleur bleu verdâtre, qui apparaissent dans l'espace; tantôt ce sont des sortes de brouillards amorphes, lumineux, qui flottent autour du médium ou des assistants, affectant aussi des formes ovoïdes ou annulaires, ou présentant l'aspect de simples taches.
Dans d'autres circonstances, c'est l'apparition elle-même qui possède un éclat particulier qui la rend visible; il semble que la lumière est émise par toutes les parties de son être et qu'il émane des vêtements une sorte de phosphorescence assez vive, mais qui n'éclaire pas les objets environnants.
Enfin, on connaît des cas où la lumière rayonne : soit des mains de l'apparition et sert à l'éclairer, soit d'un corps solide, dur, qui peut affecter les formes les plus diverses. En général, ces luminaires ont une couleur et un éclat spécial qu'il est assez difficile de définir exactement; leur aspect se rapproche des lueurs qu'on observe dans les tubes à vides, mais sans que cette analogie soit très approchée.
Parmi les observations extrêmement nombreuses de biophotogenèse métapsychique, nous nous contenterons de citer celles qui ont été relatées par des savants.
Voici d'abord le résumé synthétique du physicien Crookes:
Sous les conditions du contrôle le plus rigoureux, j'ai vu un corps solide, lumineux par lui-même, à peu près de la grosseur et de la forme d'un oeuf de dinde, flotter sans bruit à travers la chambre, s'élever plus ha ut que n'aurait pu le l'aire aucun des assistants, en se tenant sur la pointe des pieds, et ensuite descendre doucement sur le parquet. Cet objet fut visible pendant plus de dix minutes, et avant de s'évanouir, il frappa trois fois la table avec un bruit semblable à celui d'un corps dur et solide. Pendant ce temps le médium était étendu sur une chaise longue et paraissait tout à fait insensible...
J'ai vu plus d'une fois, d'abord un objet se mouvoir, puis un nuage lumineux qui semblait se former autour de lui, et enfin le nuage se condenser, prendre une forme et se changer en une main parfaitement faite. Cette main n'est pas toujours une simple forme; quelquefois elle semble animée et très gracieuse; les doigts se meuvent et la chair semble être aussi humaine que celle de toutes les personnes présentes. Au poi gnet ou au bras, elle devient vaporeuse et se perd dans un nuage lumineux.
Frédéric Myers et le médium, Moses
Myers, dans son étude de la médiumnité de Stainton Moses, cite de très nombreuses observations de phénomènes lumineux ' :
Pendant une manifestation imposante d'« Imperator », le guide du médium, tous les assistants (ils étaient trois), voyaient de temps à autre une vapeur lumineuse, allant et venant autour des pilastres de la table. Dans d'autres cas, c'étaient de petits globes lumineux qui brillaient d'un éclat continu et tournaient autour de la chambre. Ces lueurs ne rayon naient pas, c'est-à-dire qu'elles n'éclairaient pas l'espace environnant.
Nous retrouvons dans la description de la séance du 11 août ce même dêtail caractéristique que les lumières sont entourées de voiles. « Mentor », un des guides, fit sentir au Dr Speer une draperie lumineuse et présenta deux Ibis devant sa figure une lumière très large et très brillante du volume d'un globe de lampe.
Dans une autre circonstance, c'est une vapeur lumineuse qui entoure une bague placée au milieu de la table. Mme Speer ayant approché sa main, la retira toute lumineuse.
1. Résumé de M. Delanne dans Les Apparitions matérialisées, Leymarie, Paris, 1911.
Disques volants et rayons solides de lumière
Les expérimentateurs d'Eusapia ont observé des phénomènes analogues, quoique moins intenses (le médium était spécialement entraîné pour la télékinésie). Voici le résumé de M. Delanne :
Apparitions de points phosphorescents de très courte durée (une fraction de seconde) et de lueurs, notamment de disques qui souvent se dédoublaient, d'une durée également très courte.
A Rome'. — On signale de petits globes phosphorescents qui voltigeaient au-dessus de la tête des assistants, lesquels voyaient tous le phénomène au même instant et de la même manière.
A Varsovie Z. — Les lueurs ont revêtu les formes les plus diverses étincelles dorées, gerbes de 2 à 3 centimètres. Le général Starzinsky a observé un « rond » faiblement luisant, grand comme un oeil d'homme; la lumière avait la forme d'une spirale plate.
A Carqueiranne 3. — Le professeur Lodge a vu, avec les autres assistants, des lumières traverser la salle, comme des lucioles.
A Paris. — Pendant les séances de la Société française d'études des phénomènes psychiques, je fus, à plusieurs reprises, témoin de la production de ces étoiles lumineuses d'une couleur bleuâtre qui ressemblaient à ces points lumineux qui retombent en gerbe après que l'on a tiré une fusée. Ces lumières prenaient naissance aux environs du médium.
A Montfort-l'Amaury 4. — M. de Fontenay signale à la deuxième séance, dans le cabinet, une lueur linéaire, verticale, blanche, qui s'alluma et s'éteignit plusieurs fois. Au cours de la troisième séance, ce fut dans la salle, au plafond, que se produisit une lumière de forme rectangulaire, ou plutôt d'ellipse allongée, comme celle que donnerait la section droite d'un faisceau lumineux partant du cabinet.
Un fantôme qui projette des éclairs
Dans toutes les observations qui précèdent, les lumières sont plus ou moins directement liées à des organes matérialisés ou tout au moins à des matérialisations ébauchées. Il s'agit, dans ces cas, d'un pur phénomène de biologie métapsychique. Chez quelques médiums, plus rare, la manifestation biologique prend l'apparence d'un phénomène physique. Enfin, la manifestation peut être mixte, affecter l'allure d'une décharge électrique tout en restant liée au processus de matérialisation.
Mme Silber, de Graz, émet des éclairs sortant de ses doigts, ou du tronc. Ces éclairs permettent parfois de voir les formes ectoplasmiques. lesquelles peuvent aussi émettre des éclairs analogues à ceux du médium.
Voici la très intéressante observation du Dr de Schrenck-Nortzing '.
Le 15 décembre 1921 nous voyons apparaître un fantôme complet dans la porte de la chambre à coucher, il projette des éclairs qui l'illumi nent. Ceci se renouvelle environ dix fois. La dématérialisation a pu s'observer de même à cette lumière. Le fantôme se rapetissa, diminua, se fondit. Auer vit par instants, au travers du fantôme, des objets qui se trouvaient derrière lui, à la lueur de ces éclairs. Pendant une autre apparition du fantôme les éclairs venaient alternativement de Mme S... (ils sortaient de son aisselle) et du fantôme. Les éclairs étaient vifs, tirant sur le bleu, ils duraient de deux à trois secondes. L'intervalle entre cha cun était d'environ deux à cinq secondes. Les éclairs continuèrent même après l'affaissement du fantôme. On ne voyait à la fin qu'une petite image informe sur le sol, près de Mme S... d'où sortaient encore quelques éclairs.
Il est probable qu'on aura l'occasion de constater d'autres modalités de la photogenèse métapsychique.
Ce qu'il importe de retenir de cette étude, c'est que ce phénomène est l'un des plus fréquents, des plus remarquables et des plus instructifs des séances d'ectoplasmie.
Gustave Geley
1. De Rochas : L'Extériorisation de la motricité, p. 133, Chamuel, Paris, 1896.
2. De Rochas : ouvrage cité, pp. 158-159.
3. De Rochas : ouvrage cité, p. 174.
4. G. de Fontenay : Les Séances de Montfort-l'Amayry, pp. 80 et 111.
Source: "Les apparition mystérieuses"- collection Les pouvoirs inconnus de l'homme, éd Tchou/Laffont, Chapitre 3.
Je pense que ceci pourrait t'intéresser:
"Une hantise de boule lumineuses" Par Fernand Lagarde
Est ce que des phénomènes semblables existent dans le domaine psy?
Chapitre III
Des nébuleuses
en laboratoire
Des nébuleuses
en laboratoire
C'est là, dans l'obscurité complète, que, j'ai capté les plus belles formes du silence. Je les ai tenues, elles m'ont passé entre les doigts, je les ai reconnues au toucher.
Blaise Cendrars
Les différentes analyses de la substance constitutive des apparitions .sont contradictoires. Charles Fort affirmait, sardonique, que dans la réai lité intermédiaire (celle, précisément, des apparitions et des événements psi), « l'analyse chimique, malgré son apparence définitive et officielle, n'est pas plus absolue que l'identification d'un gamin ou la description l'un imbécile. Les savants, avec leur rêve d'une science pure, ressemblent aux artistes qui rêvent de l'art pour l'art. »
Selon Gustave Geley, qui étudia longuement les médiums à « ectoplasme », il devait exister une substance organique primordiale, régie par une sorte d'inconscient collectif: les représentations de cet inconscient pouvaient être temporaires et anormales (c'étaient les apparitions d'êtres vivants), ou durables et cohérentes (c'étaient les êtres vivants habituels). Cette théorie spirite —fort naïve — n'explique assurément pas pourquoi certains ectoplasmes prennent la forme d'objets (ne seraient-ce qui, les vêtements de fantômes humanoïdes).
Plus intéressantes sont ses observations de phénomènes lumineux pro duits par différents médiums. Les formes les plus fréquentes sont celles de houles ou de soucoupes qui présentent toutes les caractéristiques des prétendus engins extraterrestes décrits par les soucoupistes : vitesse très variable, déplacement en zigzag, chute en feuille morte, lumière pul sante, escadrille se «fondant» dans un vaisseau-mère, comportement intentionnel, etc.
.1 pparition d'un mandala - où s'inscrivent les Noms divins - devant le philosophe qui inédite (Le Magicien, appellé encore Le docteur Faust. Gravure de Rembrandt, 1652. Bibliothèque Nationale)
Comme tous les autres métapsychistes, Geley constatera que ces lumières se transforment de façon continue en formes organiques, techniques ou abstraites, et que les unes comme les autres ne sont pas nécessairement visibles pour tous les témoins'.
Il existe dans les annales de la métapsychique, des cas de transition entre les lumières organiques et les lumières ectoplasmiques. Le fait suivant, publié par le Light du 25 mars 1922, qui relate des productions lumineuses sur une agonisante ou autour d'elle, rappelle tout à fait ce que nous verrons décrit plus loin, dans les séances médiumniques.
Miss Dorothy Monk, qui nous envoie ce remarquable récit, n'était pas, on le verra, l'unique témoin des étranges incidents relatés. Elle et ses parents, que j'ai vus, s'accordent pour décrire de même les manifestations lumineuses et colorées qui accompagnèrent la mort de Mme Monk. Le cas est d'autant plus intéressant qu'il confirme beaucoup d'autres comptes rendus de phénomènes accompagnant le processus de la mort... (Note du Light).
"Notre mère nous quitta le 2 janvier, d'une manière si étrange que je me demande si vous pourriez nous expliquer ce que nous avons vu. Elle est morte d'un arrêt du coeur, après une longue maladie, aggravée vers la fin par une grippe intestinale. Le docteur lui donna de la morphine le samedi matin, 31 décembre, pour la soulager; elle dormit paisiblement jusqu'au soir, puis elle se réveilla petit à petit, mais sans plus retrouver sa pleine connaissance... Nous vîmes pendant la journée des lumières bleues brillantes, parfois à ses côtés, parfois dans la chambre. Nous ne les voyions que l'espace d'une seconde ou deux, une ou deux d'entre nous seulement à la fois. J'observais très attentivement, je vis quatre fois une de ces lumières auprès de notre mère qui, alors, remua et chercha à parler à trois reprises, mais elle n'en eut pas la force. Au moment du crépuscule, trois de mes soeurs et moi nous vîmes tout à coup, au-dessus d'elle, une pâle vapeur d'un bleu mauve; la malade était alors étendue et parfaitement immobile. Nous vîmes cette vapeur devenir peu à peu violet foncé et si épaisse, qu'elle nous voilait presque entièrement les traits de notre mère et se répandait dans les plis des couvertures comme un brouillard.
1.Se référer, pour plus amples détails, au volume XI de cette collection.
Un globe lumineux au-dessus de la mourante
Notre mère remua faiblement les bras une ou deux fois : cette brume colorée les accompagnait. Cela nous parut merveilleux et nous appelâmes nos autres soeurs pour savoir si elles verraient comme nous. Elles virent la même
mes nos autres soeurs pour savoir si elles verraient comme nous. Elles virent la même chose. Nous vîmes apparaître graduellement sur l'oreiller des taches de lumière jaune brillante; l'une d'elles, à gauche de la tête, était particulièrement brillante, puis s'obscurcissait, pour reprendre de l'éclat. La vieille amie de notre mère était dans la chambre à ce moment, mais elle ne vit ni le brouillard violet autour de la mourante ni les lumières bleues; elle nous dit que nous étions fatiguées de veiller et surexcitées. Nous attirâmes son attention sur la tache brillante qui était sur l'oreiller; elle la vit très bien, mais nous dit que c'était le reflet du Feu ou du gaz. Nous plaçâmes des écrans devant l'une et l'autre lumières; notre amie fit le tour de la chambre, déplaça des cadres et inclina la glace sans que cela modifiât en rien le phénomène. Elle vint enfin étendre les mains au-dessus de cette lumière sans réussir à la voiler; elle s'assit alors sans mot dire...
« Une de nos soeurs vit aussi à ce moment-là une grande lumière bleue en forme de globe, posée sur la tête de notre mère; mais elle fut seule à la voir. Elle nous dit que l'intérieur de ce globe lui avait paru en mou vement; il devint peu à peu violet foncé et s'évanouit.
Les lèvres de notre mère s'entrouvrirent, ce soir-là, vers 7 heures, et à partir de ce moment-là nous vîmes une épaisse vapeur blanche se for mer au-dessus de sa tête et se répandre au-dessus du chevet du lit. Elle sortait du sommet de la tête... C'était comme un nuage de vapeur blan che, si dense parfois, que nous voyions à peine les barreaux du lit, mais son aspect variait continuellement, bien que le mouvement qui l'animait fût à peine perceptible. Mes cinq soeurs et moi étions présentes avec mon frère et un beau-frère; tous le virent parfaitement. Les lumières bleues se voyaient toujours par la chambre et de petits éclairs jaunes, comme des étincelles, se montraient de temps à autre. Pendant ce temps, la mâchoire inférieure de notre mère tombait un peu. Les choses demeuré rent ainsi sans grand changement pendant quelques heures, sauf qu'une auréole de rayons jaunes pâles se montra autour de la tête. Il y en avait
sept. Leur longueur varia de 30 à 50 centimètres. Tout avait disparu à minuit, mais la mort n'eut lieu que le matin du 2 janvier, à 7h 17... Elle s'éteignit si doucement que sa respiration, devenue un peu plus forte aux derniers moments, s'arrêta sans aucun effort.
«Nous lui rendîmes nous-mêmes les derniers devoirs et couvrîmes le corps d'un drap. La vapeur violette que nous avions déjà vue restait suspendue au-dessus. Nous quittâmes alors la chambre.
Dorothy Monk
Qu'il y ait, dans ce récit, une part d'illusion ou de suggestion collective, c'est possible, sinon probable. Mais il serait déraisonnable de tout attribuer systématiquement à l'hallucination.
Des observations au cour de séances médiumniques
Nous allons maintenant donner quelques exemples de phénomènes lumineux ectoplasmiques.
A vrai dire, nous n'avons qu'un embarras : c'est celui du choix. Il n'est pour ainsi dire pas de séance importante de matérialisation qui ne soit accompagnée de dégagements de lumières.
Nous commencerons par exposer le résultat de notre expérience personnelle. Sans doute, cette expérience est encore restreinte; mais elle nous a permis des constatations très précises qui nous serviront à nous orienter dans cette étude.
La médiumnité d'Éva Carrière n'a fourni, au point de vue des phénomènes lumineux, que peu de chose à noter. J'ai vu fréquemment, sur son sarrau noir, des taches ou des ectoplasmes un peu phosphorescents. Cette phosphorescence était sujette à des alternatives d'augmentation et de diminution progressives, grâce auxquelles le phénomène variait constamment de visibilité.
Je n'ai jamais vu, avec ce médium, de véritables lumières.
Par contre avec trois autres médiums : Mme S..., de Rome, M. Franek Kluski et J. Guzik, de Varsovie, j'ai pu obtenir dans toute leur intensité, leur variété et leur beauté, la bioluminescence ectoplasmique.
Une nébuleuse d'où surgit un visage
Voici celles de nos notes qui se rapportent aux phénomènes lumineux de M. F. Kluski :
Séance du 22 avril 1921, à 21 h 30, chez M. F. Kluski. Contrôleurs : professeur Richet, Dr Geley.
Assistants : M. Géo Lange et M. Stanislas de Jelski.
Le contrôle des deux deux mains du médium fut parfait. Ce dernier garda l'immobilité absolue. La porte avait été verrouillée en dedans. Le médium s'était déshabillé entièrement et avait revêtu un pyjama, sans poche, que nous avions examiné avec soin.
... Les visions lumineuses sont d'abord faibles, à peine distinctes. Je ne perçois pas l'odeur d'ozone habituelle. Tout à coup, entre le médium et Geley, à un mètre derrière eux, à une hauteur de 1,50 mètre à 2 mètres, apparut une grosse nébuleuse phosphorescente. Il y a trois parties lumineuses : une partie médiane et supérieure, de la dimension approximative d'un visage et deux parties latérales. J'ai l'impression d'une tête et de deux mains en formation. Le tout augmente et diminue tour à tour de visibilité, se déplace légèrement, s'abaisse, disparaît, repa¬raît. Le phénomène est constitué par un brouillard phosphorescent au milieu duquel s'allument des points très brillants. Il dure assez long temps (environ deux minutes) et se reproduit deux fois... »
Séance du 7 mai 1921, 19 heures (même contrôle).
Les phénomènes lumineux se sont produits avec intensité pendant tout le cours de la séance. Ils n'ont offert aucune particularité nouvelle.
Séance du 24 septembre 1921, à 24 heures.
Présents : Dr Geley, M. du Bourg de Bozas, colonel Okolowicz, Mlle Ludomira Grzeliak.
Je contrôlais la main droite du médium. J'ai noté:
Presque immédiatement, phénomènes lumineux qui dureront jusqu'ià la fin de la séance. Les lumières sont nombreuses, vont, viennent, s'élè vent très haut, s'éloignent de nous, reviennent, décrivent des circuits variés. Elles sont fortes, de dimensions très variables, depuis celle d'une étincelle jusqu'à celle d'un visage humain.
Elles sont constituées par des foyers centraux très lumineux, entourés d'un brouillard moins lumineux.
L'intensité du phénomène est plus forte que dans nos séances de l'hiver dernier à l'Institut...
Séance du 29 septembre 1921, à minuit.
... Phénomènes lumineux moins intenses qu'à la dernière séance. Quelques lumières très vives qui se déplacent rapidement. A diverses reprises, des nuages lumineux se forment derrière le médium. Je sens, très forte, l'odeur d'ozone...
Séance du 30 septembre, à 23 h 30 (même contrôle).
... Dès le début, lueurs, comme d'habitude. Trois lumières apparaissent très haut. Elles s'approchent jusque près de moi : je vois alors une main lumineuse. Elle me touche le front et je sens le contact de cinq doigts. Puis apparaît vaguement lumineux, le visage d'un jeune homme de quinze à dix-sept ans. L'apparition est très éphémère.
Un semis de grains brillants
Séance du 24 avril 1922, à 10 heures du soir.
Kluski n'avait donné aucune séance depuis six mois. Aussi les phénomènes ont été relativement peu intenses. Contrôle absolument parfait.
Le professeur Richet tient la main droite du médium. Geley tient la main gauche. Entre Richet et Geley, est un seul expérimentateur : M. de Jelski; les trois expérimentateurs font la chaîne, d'où contrôle réciproque qui ne laisse rien à désirer. Avant la séance, visite minutieuse de la salle. La porte est verrouillée par Geley. Le médium, voulant nous offrir un contrôle absolu, se met tout nu, malgré nos protestations et en dépit du froid. Obscurité.
Phénomènes : contacts peu importants, sur Richet et Geley. Déplacements bruyants d'objets, derrière Richet et le médium. A chaque phénomène télékinétique, le médium sursaute et gémit, sa main presse convulsivement celles des contrôleurs.
Le phénomène principal consiste en belles lueurs, en arrière et au-dessus du médium.
On perçoit l'odeur caractéristique d'ozone.
Un brouillard, comme une colonne vaguement phosphorescente, s'élève au-dessus de la tête de Kluski. Puis des points brillants s'allument et s'éteignent.
Une vaste traînée lumineuse, comme une nébuleuse en forme de comète, longue de 50 centimètres environ, se forme derrière Kluski, à un mètre au-dessus de sa tête et, semble-t-il, à un mètre derrière lui. Cette nébuleuse est constituée par un semis de grains brillants minuscules, parmi lesquels éclatent quelques points particulièrement lumineux. Cette nébuleuse oscille vivement de droite à gauche et de gauche à droite, s'élève et s'abaisse 1. Elle dure assez longtemps (une minute), disparaît et reparaît à plusieurs reprises.
Après la séance, je constate que, malgré le froid, le médium resté nu pendant une heure, a très chaud. Il transpire par places (sous les aisselles et dans le dos). Il est épuisé.
I. Eugène Osty prouvera expérimentalement, dix ans plus tard, que ces oscillations correspon¬dent à la fréquence respiratoire du médium. Cf le volume XI de la même collection (NdR).
Le moule d'une main phosphorescente
Séance du vendredi 5 mai, à minuit et demi.
Je contrôle la main gauche.
Présents: M. Ossowiecki, Mme A. E., colonel Okolowicz, Dr Gui rard, Mlle Ludomira Grzeliak.
Transe très rapide (quelques minutes); des lumières très diverses et nombreuses se montrent autour des assistants; parfois très haut. Elles sont multiples, polymorphes, de grosseur très variable, d'un pois à une noix. Parfois ce sont des points très lumineux, parfois des nébulosités phosphorescentes avec foyers de condensation; d'autres fois enfin, des chapelets de lumières comprenant quatre à six points lumineux formant girandole. Un brouillard lumineux est vu, à diverses reprises, sur la tête du médium. Il semble s'élever comme une fumée. Je suis fréquemment touché par les lumières et je sens alors le contact de mains ou de doigts.
Tout à coup, nous voyons deux points lumineux flotter environ à 1,50 mètre ou 2 mètres au-dessus du baquet de paraffine. Quand toute l'attention est fixée sur elles, ces lumières descendent lentement dans le haquet. On entend le barbottement dans la paraffine. Les lumières ressortent, flottent un instant au-dessus du baquet; se replongent et barbot lent encore; ressortent, toujours visibles à travers la couche de paraffine, puis finalement viennent déposer un moule chaud sur mes mains. La même scène se renouvelle trois fois.
(Or, après la séance, nous trouvons trois moules de mains entrelacées).
Un moment après, magnifique phénomène lumineux : une main se promène devant les assistants, lentement. Elle tient dans la paume, par la demi-flexion du pouce et des doigts, un corps lumineux, comme un morceau de glace lumineuse. Toute la main apparaît éclairée et transparente. On voit la couleur chair. Trois fois le phénomène se reproduit.
Les observations de G. Delanne et W. Crookes
Nous allons, maintenant, passer en revue les principales observations classiques des séances de matérialisation. Nous verrons que, partout et toujours, les choses se passent de la même manière.
M. Delanne, dans son beau livre les Apparitions matérialisées, résume ainsi les faits :
Il y aurait toute une étude spéciale à faire sur les manifestations lumineuses qui se produisent pendant les séances obscures. Tantôt elles se présentent sous la forme d'étoiles, d'éclairs, de taches plus ou moins brillantes, de couleur bleu verdâtre, qui apparaissent dans l'espace; tantôt ce sont des sortes de brouillards amorphes, lumineux, qui flottent autour du médium ou des assistants, affectant aussi des formes ovoïdes ou annulaires, ou présentant l'aspect de simples taches.
Dans d'autres circonstances, c'est l'apparition elle-même qui possède un éclat particulier qui la rend visible; il semble que la lumière est émise par toutes les parties de son être et qu'il émane des vêtements une sorte de phosphorescence assez vive, mais qui n'éclaire pas les objets environnants.
Enfin, on connaît des cas où la lumière rayonne : soit des mains de l'apparition et sert à l'éclairer, soit d'un corps solide, dur, qui peut affecter les formes les plus diverses. En général, ces luminaires ont une couleur et un éclat spécial qu'il est assez difficile de définir exactement; leur aspect se rapproche des lueurs qu'on observe dans les tubes à vides, mais sans que cette analogie soit très approchée.
Parmi les observations extrêmement nombreuses de biophotogenèse métapsychique, nous nous contenterons de citer celles qui ont été relatées par des savants.
Voici d'abord le résumé synthétique du physicien Crookes:
Sous les conditions du contrôle le plus rigoureux, j'ai vu un corps solide, lumineux par lui-même, à peu près de la grosseur et de la forme d'un oeuf de dinde, flotter sans bruit à travers la chambre, s'élever plus ha ut que n'aurait pu le l'aire aucun des assistants, en se tenant sur la pointe des pieds, et ensuite descendre doucement sur le parquet. Cet objet fut visible pendant plus de dix minutes, et avant de s'évanouir, il frappa trois fois la table avec un bruit semblable à celui d'un corps dur et solide. Pendant ce temps le médium était étendu sur une chaise longue et paraissait tout à fait insensible...
J'ai vu plus d'une fois, d'abord un objet se mouvoir, puis un nuage lumineux qui semblait se former autour de lui, et enfin le nuage se condenser, prendre une forme et se changer en une main parfaitement faite. Cette main n'est pas toujours une simple forme; quelquefois elle semble animée et très gracieuse; les doigts se meuvent et la chair semble être aussi humaine que celle de toutes les personnes présentes. Au poi gnet ou au bras, elle devient vaporeuse et se perd dans un nuage lumineux.
Frédéric Myers et le médium, Moses
Myers, dans son étude de la médiumnité de Stainton Moses, cite de très nombreuses observations de phénomènes lumineux ' :
Pendant une manifestation imposante d'« Imperator », le guide du médium, tous les assistants (ils étaient trois), voyaient de temps à autre une vapeur lumineuse, allant et venant autour des pilastres de la table. Dans d'autres cas, c'étaient de petits globes lumineux qui brillaient d'un éclat continu et tournaient autour de la chambre. Ces lueurs ne rayon naient pas, c'est-à-dire qu'elles n'éclairaient pas l'espace environnant.
Nous retrouvons dans la description de la séance du 11 août ce même dêtail caractéristique que les lumières sont entourées de voiles. « Mentor », un des guides, fit sentir au Dr Speer une draperie lumineuse et présenta deux Ibis devant sa figure une lumière très large et très brillante du volume d'un globe de lampe.
Dans une autre circonstance, c'est une vapeur lumineuse qui entoure une bague placée au milieu de la table. Mme Speer ayant approché sa main, la retira toute lumineuse.
1. Résumé de M. Delanne dans Les Apparitions matérialisées, Leymarie, Paris, 1911.
Disques volants et rayons solides de lumière
Les expérimentateurs d'Eusapia ont observé des phénomènes analogues, quoique moins intenses (le médium était spécialement entraîné pour la télékinésie). Voici le résumé de M. Delanne :
Apparitions de points phosphorescents de très courte durée (une fraction de seconde) et de lueurs, notamment de disques qui souvent se dédoublaient, d'une durée également très courte.
A Rome'. — On signale de petits globes phosphorescents qui voltigeaient au-dessus de la tête des assistants, lesquels voyaient tous le phénomène au même instant et de la même manière.
A Varsovie Z. — Les lueurs ont revêtu les formes les plus diverses étincelles dorées, gerbes de 2 à 3 centimètres. Le général Starzinsky a observé un « rond » faiblement luisant, grand comme un oeil d'homme; la lumière avait la forme d'une spirale plate.
A Carqueiranne 3. — Le professeur Lodge a vu, avec les autres assistants, des lumières traverser la salle, comme des lucioles.
A Paris. — Pendant les séances de la Société française d'études des phénomènes psychiques, je fus, à plusieurs reprises, témoin de la production de ces étoiles lumineuses d'une couleur bleuâtre qui ressemblaient à ces points lumineux qui retombent en gerbe après que l'on a tiré une fusée. Ces lumières prenaient naissance aux environs du médium.
A Montfort-l'Amaury 4. — M. de Fontenay signale à la deuxième séance, dans le cabinet, une lueur linéaire, verticale, blanche, qui s'alluma et s'éteignit plusieurs fois. Au cours de la troisième séance, ce fut dans la salle, au plafond, que se produisit une lumière de forme rectangulaire, ou plutôt d'ellipse allongée, comme celle que donnerait la section droite d'un faisceau lumineux partant du cabinet.
Un fantôme qui projette des éclairs
Dans toutes les observations qui précèdent, les lumières sont plus ou moins directement liées à des organes matérialisés ou tout au moins à des matérialisations ébauchées. Il s'agit, dans ces cas, d'un pur phénomène de biologie métapsychique. Chez quelques médiums, plus rare, la manifestation biologique prend l'apparence d'un phénomène physique. Enfin, la manifestation peut être mixte, affecter l'allure d'une décharge électrique tout en restant liée au processus de matérialisation.
Mme Silber, de Graz, émet des éclairs sortant de ses doigts, ou du tronc. Ces éclairs permettent parfois de voir les formes ectoplasmiques. lesquelles peuvent aussi émettre des éclairs analogues à ceux du médium.
Voici la très intéressante observation du Dr de Schrenck-Nortzing '.
Le 15 décembre 1921 nous voyons apparaître un fantôme complet dans la porte de la chambre à coucher, il projette des éclairs qui l'illumi nent. Ceci se renouvelle environ dix fois. La dématérialisation a pu s'observer de même à cette lumière. Le fantôme se rapetissa, diminua, se fondit. Auer vit par instants, au travers du fantôme, des objets qui se trouvaient derrière lui, à la lueur de ces éclairs. Pendant une autre apparition du fantôme les éclairs venaient alternativement de Mme S... (ils sortaient de son aisselle) et du fantôme. Les éclairs étaient vifs, tirant sur le bleu, ils duraient de deux à trois secondes. L'intervalle entre cha cun était d'environ deux à cinq secondes. Les éclairs continuèrent même après l'affaissement du fantôme. On ne voyait à la fin qu'une petite image informe sur le sol, près de Mme S... d'où sortaient encore quelques éclairs.
Il est probable qu'on aura l'occasion de constater d'autres modalités de la photogenèse métapsychique.
Ce qu'il importe de retenir de cette étude, c'est que ce phénomène est l'un des plus fréquents, des plus remarquables et des plus instructifs des séances d'ectoplasmie.
Gustave Geley
1. De Rochas : L'Extériorisation de la motricité, p. 133, Chamuel, Paris, 1896.
2. De Rochas : ouvrage cité, pp. 158-159.
3. De Rochas : ouvrage cité, p. 174.
4. G. de Fontenay : Les Séances de Montfort-l'Amayry, pp. 80 et 111.
Source: "Les apparition mystérieuses"- collection Les pouvoirs inconnus de l'homme, éd Tchou/Laffont, Chapitre 3.
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brunehaut
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Re: Comment interpréter le comportement (discrétion, luminosité) des OVNI?
Lun 15 Mar 2010, 17:51
Gustave Geley
Médecin diplômé de la faculté de médecine de Lyon. Directeur de l’IMI de 1919 à 1924.
Gustave Geley a exercé sa profession à Annecy jusqu’en 1918. C’est au cours de sa pratique qu’il a été attiré par des phénomènes de lucidité, de prémonition, de somnambulisme. Cela l’a amené à entamer une recherche dont il publiera les résultats en 1897. Au cours de la première guerre mondiale, il a rencontré le professeur Santoliquido médecin hygiéniste installé à Paris. De leurs échanges naquit l’idée d’un laboratoire de recherche sur les phénomènes qui les passionnaient. Ils eurent la chance de rencontrer un troisième homme, Jean Meyer, à la fois passionné de métapsychique, riche, et prêt à financer leur projet. C’est ainsi que naquit l’IMI, dont Geley fut le premier directeur. Entre 1916 et 1918, il a mené des expériences avec une médium, Eva C., et a abandonné son cabinet de médecin pour assumer son poste de responsabilité jusqu’à sa mort accidentelle en 1924.
Etant particulièrement intéressé par l’étude des productions matérielles (ectoplasmes par exemple), il fit venir dés son installation à l’IMI le médium polonais, Franek Kluski, avec lequel il obtint des moules de membres « matérialisés » au cours d’expériences médiumniques célèbres.
Pendant 30 séances en 1922 et de 50 séances en 1923, il dirigea un autre médium polonais Jean Guzik, capable de productions inexplicables : empreintes, contacts, manifestations lumineuses. Le tout sous le regard d’une nombreuse assistance, dont des membres de l’Académie des Sciences et de l’Académie française. Ceux qui avaient suivi régulièrement et avec attention ces expériences signèrent en 1923 le Manifeste des 34 dans lequel ils déclarèrent leur conviction quant à la réalité des manifestations ectoplasmiques et/ou lumineuses ainsi que des manifestations psychokinétiques.
Parallèlement à cet intérêt pour les PK sous ses différentes formes, Gustave Geley organisa des expériences de cryptomnésie, avec un autre médium, Stéphane Ossowiecki.
Ce qui lui permit de tenter une théorie de la métapsychique, au terme de la quelle les phénomènes paranormaux ne sont plus à considérer comme des artefacts ou des aberrations, mais comme s’intégrant harmonieusement dans le cours des choses de la vie.
« La constitution des mondes et des individus n’est ainsi que la réalisation progressive de la conscience éternelle par la multiplicité progressive de créations temporaires et objectives ».
Ses conceptions de la vie, de l’être humain, et d’expérimentateur de la métapsychique, le faisait rejoindre, comme l’écrit Robert Tocquet, « les grandes religions hindoues, les doctrines de Pythagore, de Platon, d’Averroès ou de Schopenhauer.
Ouvrages :
Essai de Revue générale et d’interprétation du spiritisme (1897)
L’Etre subconscient (1899)
La Physiologie dite paranormale et les phénomènes d’idéoplastie (1918)
De l’Inconscient au Conscient (1919)
L’Ectoplasmie et la clairvoyance (1924)
http://www.metapsychique.org/Gustave-Geley.html
Médecin diplômé de la faculté de médecine de Lyon. Directeur de l’IMI de 1919 à 1924.
Gustave Geley a exercé sa profession à Annecy jusqu’en 1918. C’est au cours de sa pratique qu’il a été attiré par des phénomènes de lucidité, de prémonition, de somnambulisme. Cela l’a amené à entamer une recherche dont il publiera les résultats en 1897. Au cours de la première guerre mondiale, il a rencontré le professeur Santoliquido médecin hygiéniste installé à Paris. De leurs échanges naquit l’idée d’un laboratoire de recherche sur les phénomènes qui les passionnaient. Ils eurent la chance de rencontrer un troisième homme, Jean Meyer, à la fois passionné de métapsychique, riche, et prêt à financer leur projet. C’est ainsi que naquit l’IMI, dont Geley fut le premier directeur. Entre 1916 et 1918, il a mené des expériences avec une médium, Eva C., et a abandonné son cabinet de médecin pour assumer son poste de responsabilité jusqu’à sa mort accidentelle en 1924.
Etant particulièrement intéressé par l’étude des productions matérielles (ectoplasmes par exemple), il fit venir dés son installation à l’IMI le médium polonais, Franek Kluski, avec lequel il obtint des moules de membres « matérialisés » au cours d’expériences médiumniques célèbres.
Pendant 30 séances en 1922 et de 50 séances en 1923, il dirigea un autre médium polonais Jean Guzik, capable de productions inexplicables : empreintes, contacts, manifestations lumineuses. Le tout sous le regard d’une nombreuse assistance, dont des membres de l’Académie des Sciences et de l’Académie française. Ceux qui avaient suivi régulièrement et avec attention ces expériences signèrent en 1923 le Manifeste des 34 dans lequel ils déclarèrent leur conviction quant à la réalité des manifestations ectoplasmiques et/ou lumineuses ainsi que des manifestations psychokinétiques.
Parallèlement à cet intérêt pour les PK sous ses différentes formes, Gustave Geley organisa des expériences de cryptomnésie, avec un autre médium, Stéphane Ossowiecki.
Ce qui lui permit de tenter une théorie de la métapsychique, au terme de la quelle les phénomènes paranormaux ne sont plus à considérer comme des artefacts ou des aberrations, mais comme s’intégrant harmonieusement dans le cours des choses de la vie.
« La constitution des mondes et des individus n’est ainsi que la réalisation progressive de la conscience éternelle par la multiplicité progressive de créations temporaires et objectives ».
Ses conceptions de la vie, de l’être humain, et d’expérimentateur de la métapsychique, le faisait rejoindre, comme l’écrit Robert Tocquet, « les grandes religions hindoues, les doctrines de Pythagore, de Platon, d’Averroès ou de Schopenhauer.
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- Bruno ThyarionPassionné
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Re: Comment interpréter le comportement (discrétion, luminosité) des OVNI?
Mar 30 Mar 2010, 21:11
Bonjour,
J"ai vécu cela.
Ce que j'ai vu, je l"ai vu, et c'était bien une sphère lumineuse orangée qui m'a poursuivie pendant une heure sur une route en pleine nuit.
Pas un phare de moto, pas un reflet ni une illusion d"optique...
Cela fait plusieurs années que je recherche une une explication rationnelle, mais rien. Et j'ai cherché partout.
J"ai vécu cela.
Ce que j'ai vu, je l"ai vu, et c'était bien une sphère lumineuse orangée qui m'a poursuivie pendant une heure sur une route en pleine nuit.
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- Léon.DEquipe du forum
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Re: Comment interpréter le comportement (discrétion, luminosité) des OVNI?
Mar 30 Mar 2010, 21:25
Bruno une sphére est en général un engin qui apparement se ressource en énergie .
- TaverneEquipe du forum
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Re: Comment interpréter le comportement (discrétion, luminosité) des OVNI?
Mar 30 Mar 2010, 21:55
Qu'est ce qui te fait dire cela Léon ?
- Léon.DEquipe du forum
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Re: Comment interpréter le comportement (discrétion, luminosité) des OVNI?
Mar 30 Mar 2010, 21:59
D'apres ce que nous avons vu ce sont nos conclusions .Lire le compte rendu sur la vague belge et essayer de participer autant que possible quand il y a des émissions sur la vague belge ou venir sur le tchat du forum .Bonne soirée .
- TaverneEquipe du forum
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Re: Comment interpréter le comportement (discrétion, luminosité) des OVNI?
Mar 30 Mar 2010, 22:16
Eh bien avec Léon il n'y a pas de ratrappage, tant pis c'est comme ça...
Si tout le monde est censé avoir participé à ces Tchats (qui présentent pour mois une difficulté technique nécessitant pour la franchir plus de patience que j'en ai d'habitude) et connaître développement et conclusion, alors était-il bien utile de faire une redite ?
Sur ce, bonne soirée, moi aussi j'ai besoin d'aller me recharger en NRJ.
Si tout le monde est censé avoir participé à ces Tchats (qui présentent pour mois une difficulté technique nécessitant pour la franchir plus de patience que j'en ai d'habitude) et connaître développement et conclusion, alors était-il bien utile de faire une redite ?
Sur ce, bonne soirée, moi aussi j'ai besoin d'aller me recharger en NRJ.
- Léon.DEquipe du forum
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Re: Comment interpréter le comportement (discrétion, luminosité) des OVNI?
Mer 31 Mar 2010, 14:42
Il suffit d'écouter mon intervieuw qui est en ligne Taverne peut etre ne l'as tu pas vu et de lire la vague belge tout y est .Si tu s'avais combien de personnes j'ai éclairé Taverne avec preuves et photos contrairement a certains je pense que tu ne réagirais pas de cette façon mais laissez moi un peut de recules ,je n'ai plus 30ans hélas .
- DanielEquipe du forum
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Re: Comment interpréter le comportement (discrétion, luminosité) des OVNI?
Mer 31 Mar 2010, 15:50
Bonjour Taverne
Je suis un peu énervé face à vos posts, Leon est un homme très sympa et ne rechigne pas à répondre ainsi qu'informer le plus qu'il peux, soit par interview ,via forum et tchat !! comprenez bien deux choses ,Leon n'es déja plus tout jeune de plus il es présent tout les soirs sur le tchat ,donc en concéquence ,je vous invite à vous rendre soit sur le tchat ,soit lire attentivement la rubrique très complete "vague belge" sachez également que si leon doit à chaques fois recommencer tout depuis le début pour chaque membres qui le souhaite il ne s'en sortirais pas ,encore un petit mot pour clore ce post ,tachez à l'avenir d'etre plus compréhensif et surtout plus fairplay dans vos posts...merci
Pour info l'inscription sur le tchat ne prend que quelques petites secondes ...
Daniel
Je suis un peu énervé face à vos posts, Leon est un homme très sympa et ne rechigne pas à répondre ainsi qu'informer le plus qu'il peux, soit par interview ,via forum et tchat !! comprenez bien deux choses ,Leon n'es déja plus tout jeune de plus il es présent tout les soirs sur le tchat ,donc en concéquence ,je vous invite à vous rendre soit sur le tchat ,soit lire attentivement la rubrique très complete "vague belge" sachez également que si leon doit à chaques fois recommencer tout depuis le début pour chaque membres qui le souhaite il ne s'en sortirais pas ,encore un petit mot pour clore ce post ,tachez à l'avenir d'etre plus compréhensif et surtout plus fairplay dans vos posts...merci
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- TaverneEquipe du forum
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Re: Comment interpréter le comportement (discrétion, luminosité) des OVNI?
Mer 31 Mar 2010, 17:15
D'accord Léon est Sympa (c'est vrai en plus il à l'air plutôt sympa dans l'interview) et il n'est plus tout jeune.
Il n'en reste pas moins que je passe déjà un certain temps sur ce forum, et que malgré cela des éléments m'échappent concernant "l'aventure de Léon". Je ne That pas (encore) mais cela doit-il être une raison pour ne pas avoir quelques précisions ?
Vous êtes en train de faire un petit groupe "d'élites" ou "d'informés" sur ce forum qui discutent entre eux sans prendre en considérations les intervenant moins assidus.
Petite question Daniel : si tu as bien suivi l'affaire, alors pourquoi ne pas tenter quelques explications plutot que de me faire part de ton énervement. La mission des modo n'est-elle pas de favoriser le dialogue, d'être constructif plutôt que de faire part de ses états d'âme. A se demander si on aurait pas oublié de te briefer sur l'importance de l'objectivité d'un modo.
Certes je n'ai pas 2000 messages à mon actif, mais est-ce que je ne mérite pas au moins une ligne de véritable réponse.
Pour la petite information cela fait 4 fois que j'interpelle Léon avec le plus d'intérêt et de courtoisie, à chaque fois il me renvoi à l'interview ou la vague belge...Je n'y ai pas trouvé de réponse...
Il n'en reste pas moins que je passe déjà un certain temps sur ce forum, et que malgré cela des éléments m'échappent concernant "l'aventure de Léon". Je ne That pas (encore) mais cela doit-il être une raison pour ne pas avoir quelques précisions ?
Vous êtes en train de faire un petit groupe "d'élites" ou "d'informés" sur ce forum qui discutent entre eux sans prendre en considérations les intervenant moins assidus.
Petite question Daniel : si tu as bien suivi l'affaire, alors pourquoi ne pas tenter quelques explications plutot que de me faire part de ton énervement. La mission des modo n'est-elle pas de favoriser le dialogue, d'être constructif plutôt que de faire part de ses états d'âme. A se demander si on aurait pas oublié de te briefer sur l'importance de l'objectivité d'un modo.
Certes je n'ai pas 2000 messages à mon actif, mais est-ce que je ne mérite pas au moins une ligne de véritable réponse.
Pour la petite information cela fait 4 fois que j'interpelle Léon avec le plus d'intérêt et de courtoisie, à chaque fois il me renvoi à l'interview ou la vague belge...Je n'y ai pas trouvé de réponse...
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