Re: Survols de centrales nucléaires: ovni ou drones?

Mar 25 Nov 2014, 19:06

Bonsoir Gg,

Pas forcément, l'opérateur peut toujours déconnecter le système pour reprendre le contrôle en plein vol, à l'instar d'un pilote automatique.
Attention, nous sommes là dans une technologie de pointe, ce n'est pas des drones tout public dont nous parlons ni de drones militaire.
Voici des exemples de fabricants de drones avec leurs spécificités:

http://www.workfly.fr/
http://www.deltadrone.com/accueil/
http://www.vision-du-ciel.com/drones-professionnels/
http://www.frenchidrone.com/
http://helipse.com/
http://www.flyingeye.fr/produits-services/drones/
http://www.dronesys.com/c-5-multirotors.html

La liste est longue, de plus il est possible de faire fabriquer ou de fabriquer un drone avec ses propres spécificités.
Aucune limites ne semble impossible tant que l'on en a les moyens.
Une fois cela bien intégré, je vous laisse envisager la suite ...

Cdt, Didier

Mar 25 Nov 2014, 19:36

Je trouve que cette affaire dure dans le temps et je pense que ça devient de moins en moins sérieux, oui, la sécurité dans des installations très sensibles ne doivent pas êtres menacées continuellement sans qu’on ne trouve pas la raison ou au moins des indices ou une partie des indices qui nous mènent à lever une partie cachée de cette affaire .

Oui, ce n’est pas sérieux que des drones (publics) passent et repassent librement aux dessus des installations interdites de survol sans qu’on ne puisse rien y faire pour arrêter ce manège.

Dans les installations sensibles, centrales nucléaires, raffinerie de pétrole ou de gaz et d’autres usines ou ça nécessite une grande sécurité, on forme le personnel de ces usines pour la sécurité de ces installations en cas d’un danger qui les menace et pour cela il y a des exercices de formation de sécurité, et en cas de danger chaque membre de ce personnel de l’usine rejoint son poste pour lequel il est formé et il participe à la sécurité de l’installation suivant les consignes de sécurité qu’il a apprise et pour cela en utilise inopinément des fausse alarme générale , pour entrainer le personnel à faire face à toute menace d’où qu’elle vienne .

Dans ces installations il existe des exercices d’alertes par des alarmes, de sirènes qui peuvent être signalées par différents coups de sirènes ça voulait dire par là un début d’une intervention d’urgence et chacun rejoint son poste ,différents appel de sirène ça indique le début ou la fin d’intervention ou évacuation d’urgence de l’installation , la date et le déclenchement de l’exercice d’alarme de l’usine n’est connue que par le responsable d’usine et le chef de la sécurité , on évalue le « taux » de cette opération de mobilisation du personnel par des rapports à une commission de sécurité autour du responsable de l’usine , on évalue les points forts et faibles de l’opération d’alarme dans l’usine .

On donne à ces opérations de mobilisation d’alarme générale du personnel de l’usine parfois un titre par exemple « alerte drones survolant l’installation »

J’ai pensé à cette affaire qui elle me paressait aussi un exercice d’alarme et elle a passée à une longue histoire sans fin, les drones sont normalement des choses connus par l’Etat , leurs caractéristiques de vol , de la durée de leurs vols ,leur plafond ou attitude maximum en vol normalement ça ne pose pas problème technologique pour le pays , même s’il existe différent types de drones

Surement ces machines ne font pas des vitesses supersonique pour qu’on les perdre de vue, si leur bruit est enregistré au sol alors ils volent à très basse altitude, là , je ne crois pas que les russes ou les chinois risqueront des machines volantes à très basse altitude survolant des installations d’un autre pays à de milliers de km de leurs bases , ça n’avance à rien d’y aller chercher très bas des histoires chez un autre pays connu pour son avance technologique .

Pour la majorité des pays dans le monde il ne leur et pas interdit de monter des centrales nucléaires chez eux, il suffit de payer la facture et on viendra les monter cher eux, je crois qu’on a bien monté une usine d’un type d’avion Airbus en Chine.

Quant à ces ingénieurs ou personnel de ces usines qui elles sont très sensibles, ce personnel doit respecter le règlement intérieur de ne pas divulguer les affaires internes concernant l’installation et la marche de l’usine , même pour cette affaire sur laquelle nous discutons et qui n’est peut être qu’un exercice de fausse alarme .

Pour ce qui est des ovnis ,Je ne crois pas qu’ils sont tombés si bas si maintenant ils utilisent des machines avec un bruit de moteur , depuis un peu plus de cinquante ans , je crois que les ovnis n’ont jamais fait un quelconque bruit de moteur ou autre chose en circulant dans les airs , les ovnis sont un monde du silence .

Mar 25 Nov 2014, 20:02

Bonne initiative stagef, le résultat est ce qu'il est mais ça secoue un peut le cocotier...

Mar 25 Nov 2014, 20:30

Je pense qu'il y a un point au moins qui - à mes yeux - est une certitude : c'est que les engins qui font ces survols ne peuvent pas être abattus ou neutralisés. Vous souvenez-vous de la fable de La Fontaine du "renard et des raisins"? Comme les raisins étaient hors d'atteinte du renard, celui-ci les délaissa en invoquant les meilleures raisons : "ils sont trop verts et bons pour des goujats". Visiblement c'est le cas ici aussi : les "drones" ne représentent pas un danger significatif pour les centrales. Traduction qu'il faut comprendre : "Nous ne sommes pas capables de les neutraliser" ou bien, "les neutraliser représenterait un risque très élevé", mais pour qui ou pour quoi ?
A mon avis toutes les hypothèses sur les drones se heurtent à cette question primordiale.

cliquer ici · Mar 25 Nov 2014, 20:38

Oui je suis bien d'accord avec vous Bergie.

Mar 25 Nov 2014, 20:47

Soyons logiques. Si malgré tous les survols constatés aucun drone n'a été abattu c'est que :

- il n'y a pas eu d'ordre de les abattre
- il est impossible de les abattre
- ils étaient déjà loin quand zorro est arrivé iloç_u

Mar 25 Nov 2014, 20:58

Bon point de vue Bergies fhd

Mar 25 Nov 2014, 21:06

bergies26 a écrit:c'est que les engins qui font ces survols ne peuvent pas être abattus ou neutralisés

Apparemment ils ont essayé de les neutraliser en "brouillant" les ondes radio susceptibles de télécommander les "drones" en question et ils ne sont parvenus qu'à provoquer des dysfonctionnements du contrôle commande des centrales à protéger.
Résultat : arrêt des "brouillages".

...

Mar 25 Nov 2014, 21:07

Sébastien. a écrit:Soyons logiques. Si malgré tous les survols constatés aucun drone n'a été abattu c'est que :

- il n'y a pas eu d'ordre de les abattre
- il est impossible de les abattre
- ils étaient déjà loin quand zorro est arrivé

Bonsoir,
D'après le journal l'express (3 novembre) ils ont eu ordre de les abattre, donc seules les dernières hypothèses sont valables à mon avis.

Extrait de l'article :

Des pelotons de gendarmerie spécialisés

La protection des sites est financée par EDF mais assurée depuis 2009 par la protection de sécurité de la gendarmerie nationale. Dans chacune des 19 centrales nucléaires en activité, une unité spéciale, formée par le GIGN aux risques toxiques et nucléaires, est chargée de lutter contre "les intrusions et les actes de malveillance". "Ils ont pour instruction, quel que soit le contexte, d'abattre toute menace, qu'elle vienne de la terre ou des airs", explique-t-on à Matignon. Chaque peloton, composé d'une trentaine de militaires, est basé à l'intérieur des implantations et dotés d'importants moyens matériels (caméras, détecteurs de mouvements...). hg,r ht'

Mar 25 Nov 2014, 21:28

mimi630 a écrit:
Bonsoir,
D'après le journal l'express (3 novembre) ils ont eu ordre de les abattre, donc seules les dernières hypothèses sont valables à mon avis.

Extrait de l'article :

Des pelotons de gendarmerie spécialisés

La protection des sites est financée par EDF mais assurée depuis 2009 par la protection de sécurité de la gendarmerie nationale. Dans chacune des 19 centrales nucléaires en activité, une unité spéciale, formée par le GIGN aux risques toxiques et nucléaires, est chargée de lutter contre "les intrusions et les actes de malveillance". "Ils ont pour instruction, quel que soit le contexte, d'abattre toute menace, qu'elle vienne de la terre ou des airs", explique-t-on à Matignon. Chaque peloton, composé d'une trentaine de militaires, est basé à l'intérieur des implantations et dotés d'importants moyens matériels (caméras, détecteurs de mouvements...).

J'ai lu sur un post que tout engin volant a plus d'un mêtre du sol était considéré comme aéronef,et qu'ils n'avaient( les gendarmes) pas l'autorisation de l'abattre ! il y a contradiction !.........