- VincentUfologue
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nouvelles explications sur le phénomène ovni ?
Jeu 10 Jan 2008, 17:18
Dans l’excellente et ancienne revue " LDLN ", Joël Mesnard déclare :
Certains continueront à ânonner qu’il n’existe pas de preuves scientifiques de la réalité des ovnis. C’est sans doute vrai. Mais pourquoi faire une telle fixation sur la notion de preuve scientifique ? Dans bien des domaines, l’idée ne viendrait à personne, d’attendre qu’un fait soit prouvé scientifiquement, pour en tenir compte. C’est pourquoi, quand on appelle les pompiers, ils arrivent ! Cessons donc de faire, de cette absence de preuve scientifique, un motif de blocage psychologique, et voyons simplement ce que nous apprend l’examen des faits les mieux établis. En outre, il existe des preuves indirectes de la réalité des ovnis. Elles se présentent notamment sous la forme de documents officiels ( ou parfois sous celle de la disparition inexplicable d’archives, comme dans l’affaire de Roswell ). Certaines évidences statistiques, telles que la distribution ( très inhomogène ) du phénomène dans le temps, ou l’extrême rareté des apparitions par temps de pluie, peuvent sans doute être considérées, elles aussi, comme des preuves, au moins des indices forts. J’ai laissé de côté ces évidences administratives ou statistiques, malgré leur indéniable intérêt.
- urlhanEquipe du forum
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Re: nouvelles explications sur le phénomène ovni ?
Jeu 10 Jan 2008, 18:07
Salut!
Merci Veritas pour ce petit texte plein de bon sens
Le "septique aveugle" me fera toujours rire...
a+
Merci Veritas pour ce petit texte plein de bon sens
Le "septique aveugle" me fera toujours rire...
a+
- InvitéInvité
Re: nouvelles explications sur le phénomène ovni ?
Jeu 06 Mar 2008, 18:12
Sur l'excellent site futura-sciences.com, on peut lire actuellement des informations sur des réalisations et des projets humains qui ont certainement été rendus effectifs par des civilisations extraterrestres avancées bien avant nous. Du moins si l'on souscrit à la théorie de la convergence qui infère qu'il était inévitable que les requins qui sont des poissons, les ichtyosaures, des reptiles, et les dauphins, des mammifères, les trois groupes très éloignés dans le phylum de l'évolution mais occupant la même place de super prédateurs marins, aient des formes très ressemblantes, ou qu'il est inévitable que les espèces intelligentes nécessairement de grande taille, aient libéré leurs membres antérieurs de la locomotion pour en faire des préhenseurs multiusages, ou qu'il est inévitable qu'après la découverte de l'outil, du feu, du langage, les mêmes étapes soient franchies par toutes les civilisations (agriculture, écriture, art, religion, science dont progressivement la technologie etc.).
Voici les extraits qui vont dans le sens de ce que j'ai soutenu dans de précédentes contributions :
"Encore de la complexité avec la “connectonomie”, l’une des deux technologies touchant aux neurosciences dans ce Top dix 2008. Le travail de Jeff Lichtman, à Harvard, consiste à cartographier les interactions entre neurones au sein du cerveau des mammifères. Jusqu’ici, les scientifiques ne disposaient pas de diagrammes leur permettant de saisir d’un coup d’œil l’ensemble d’une configuration de plusieurs centaines de neurones."
Les ET ont des modèles informatiques du fonctionnement de notre encéphale. Ils connaissent les centres sur lesquels il faut agir pour nous paralyser, nous terroriser ou au contraire nous décontracter et même nous rendre euphoriques!
"Peut-être un jour Lichtman utilisera-t-il pour ses travaux des “magnétomètres atomiques”, la seconde des technologies sélectionnées cette année ayant un rapport avec les neurosciences. Les capteurs de champs magnétiques sont en effet utilisés pour obtenir des images précises du cerveau grâce à la technique de l’IRM (imagerie à résonance magnétique), mais ils ont bien d’autres usages, notamment en chimie. Problème : pour obtenir des données assez précises, il faut un capteur énorme. Le physicien John Kitching a mis au point des capteurs très précis d’une taille analogue à celle d’un grain de riz. Si sa technologie se généralise, on pourrait donc par exemple concevoir des appareils à IRM beaucoup plus petits, voire portables."
Le matériel des ET est certainement nanométrique. Il peut être implanté sous la peau et envoyer des informations assez loin pour que les ET connaissent une partie non négligeable des pensées de ceux qu'ils ont "équipés" comme nous fixons des balises argos ou des colliers émetteurs sur des animaux sauvages dont nous voulons étudier le comportement! Leurs machines sont capables dans l'autre sens d'influencer le psychisme des humains-cobayes pouvant donner l'illusion de la télépathie (qui rappelons-le ne peut pas exister sous forme embryonnaire à l'état naturel, non seulement parce qu'aucune physique ne saurait expliquer le fonctionnement de l'organe, mais aussi parce que la sélection naturelle l'aurait privilégiée dès son apparition!)
L'implant corporel n'est plus de la fiction lointaine :
"Dans la série small is beautiful, Technology Review a également placé dans sa sélection des nanoradio”, basées sur un unique nanotube. Ces radios sont si petites qu’il pourrait un jour devenir possible de les implanter directement dans le corps : elles seraient alors en mesure d’envoyer des informations sur la santé de leur porteur à un détecteur situé à l’extérieur."
Pas de problème pour traiter rapidement les scans de paysages entiers ou de notre cerveau de 100 milliards de neurones:
"On a vu que le processeur probabiliste était un moyen de contourner la loi de Moore. Une autre possibilité serait de remplacer le silicium par le graphène, un cristal de carbone des plus communs, puisqu’à l’origine du graphite de nos crayons noirs (mais également des nanotubes et des fullerènes). Selon Walter de Heer, du Georgia Institute of Technology, ce nouveau matériau pourrait multiplier la vitesse des ordinateurs de demain : « Il existe une limite physique à la vitesse obtenue avec le silicium, un point au-delà duquel vous ne pouvez plus accélérer ses performances. Nous sommes actuellement bloqués au niveau du gigahertz. Mais avec le graphène, je crois qu’on pourrait monter jusqu’au térahertz – mille fois un gigahertz… » "
Avec mille milliards d'opérations par seconde et des milliards de microprocesseurs de quelques nanomètres, le "cerveau" d'un robot ET pourrait être beaucoup moins gros que la tête d'un "Petit Gris", dont le volume excessif par rapport à un cou et un corps "normaux" ne serait dû qu'à un blindage contre les forts champs magnétiques nécessaires à la production de gravité artificielle.
Certains ET pourraient être des cyborgs,ayant une partie du cerveau restée "biologique" (par exemple pour mieux nous comprendre, nous qui sommes encore biologiques) associée à un sur-super-ordinateur le tout placé dans un "corps" de robot :
"Presse spécialisée oblige, Computer World se concentre surtout sur les projets liés à la technologie informatique. Ce n'est pourtant qu'une seule des activités de la Darpa qui, depuis quelques temps, s'intéresse de près aux neurosciences, qu'elle finance largement. Souvent, les deux domaines se touchent, comme dans le cas de la cognition augmentée, une nouvelle discipline chère à l'Agence, qui se propose de créer une “symbiose” humain-ordinateur afin d'optimiser le fonctionnement du cerveau lorsqu'il se trouve sous l'effet du stress ou d'une surcharge d'information. La cognition augmentée n'est pas à confondre avec la science de l'interface cerveau/ordinateur, qui permet de piloter une machine par la pensée. Ici, il s'agit plutôt de permettre à l'ordinateur de reconnaître, via divers signes physiologiques, l'état d'esprit de son utilisateur et d'adapter la présentation des informations à celui-ci, afin de permettre plus facilement leur assimilation et accélérer la prise de décision."
Voici les extraits qui vont dans le sens de ce que j'ai soutenu dans de précédentes contributions :
"Encore de la complexité avec la “connectonomie”, l’une des deux technologies touchant aux neurosciences dans ce Top dix 2008. Le travail de Jeff Lichtman, à Harvard, consiste à cartographier les interactions entre neurones au sein du cerveau des mammifères. Jusqu’ici, les scientifiques ne disposaient pas de diagrammes leur permettant de saisir d’un coup d’œil l’ensemble d’une configuration de plusieurs centaines de neurones."
Les ET ont des modèles informatiques du fonctionnement de notre encéphale. Ils connaissent les centres sur lesquels il faut agir pour nous paralyser, nous terroriser ou au contraire nous décontracter et même nous rendre euphoriques!
"Peut-être un jour Lichtman utilisera-t-il pour ses travaux des “magnétomètres atomiques”, la seconde des technologies sélectionnées cette année ayant un rapport avec les neurosciences. Les capteurs de champs magnétiques sont en effet utilisés pour obtenir des images précises du cerveau grâce à la technique de l’IRM (imagerie à résonance magnétique), mais ils ont bien d’autres usages, notamment en chimie. Problème : pour obtenir des données assez précises, il faut un capteur énorme. Le physicien John Kitching a mis au point des capteurs très précis d’une taille analogue à celle d’un grain de riz. Si sa technologie se généralise, on pourrait donc par exemple concevoir des appareils à IRM beaucoup plus petits, voire portables."
Le matériel des ET est certainement nanométrique. Il peut être implanté sous la peau et envoyer des informations assez loin pour que les ET connaissent une partie non négligeable des pensées de ceux qu'ils ont "équipés" comme nous fixons des balises argos ou des colliers émetteurs sur des animaux sauvages dont nous voulons étudier le comportement! Leurs machines sont capables dans l'autre sens d'influencer le psychisme des humains-cobayes pouvant donner l'illusion de la télépathie (qui rappelons-le ne peut pas exister sous forme embryonnaire à l'état naturel, non seulement parce qu'aucune physique ne saurait expliquer le fonctionnement de l'organe, mais aussi parce que la sélection naturelle l'aurait privilégiée dès son apparition!)
L'implant corporel n'est plus de la fiction lointaine :
"Dans la série small is beautiful, Technology Review a également placé dans sa sélection des nanoradio”, basées sur un unique nanotube. Ces radios sont si petites qu’il pourrait un jour devenir possible de les implanter directement dans le corps : elles seraient alors en mesure d’envoyer des informations sur la santé de leur porteur à un détecteur situé à l’extérieur."
Pas de problème pour traiter rapidement les scans de paysages entiers ou de notre cerveau de 100 milliards de neurones:
"On a vu que le processeur probabiliste était un moyen de contourner la loi de Moore. Une autre possibilité serait de remplacer le silicium par le graphène, un cristal de carbone des plus communs, puisqu’à l’origine du graphite de nos crayons noirs (mais également des nanotubes et des fullerènes). Selon Walter de Heer, du Georgia Institute of Technology, ce nouveau matériau pourrait multiplier la vitesse des ordinateurs de demain : « Il existe une limite physique à la vitesse obtenue avec le silicium, un point au-delà duquel vous ne pouvez plus accélérer ses performances. Nous sommes actuellement bloqués au niveau du gigahertz. Mais avec le graphène, je crois qu’on pourrait monter jusqu’au térahertz – mille fois un gigahertz… » "
Avec mille milliards d'opérations par seconde et des milliards de microprocesseurs de quelques nanomètres, le "cerveau" d'un robot ET pourrait être beaucoup moins gros que la tête d'un "Petit Gris", dont le volume excessif par rapport à un cou et un corps "normaux" ne serait dû qu'à un blindage contre les forts champs magnétiques nécessaires à la production de gravité artificielle.
Certains ET pourraient être des cyborgs,ayant une partie du cerveau restée "biologique" (par exemple pour mieux nous comprendre, nous qui sommes encore biologiques) associée à un sur-super-ordinateur le tout placé dans un "corps" de robot :
"Presse spécialisée oblige, Computer World se concentre surtout sur les projets liés à la technologie informatique. Ce n'est pourtant qu'une seule des activités de la Darpa qui, depuis quelques temps, s'intéresse de près aux neurosciences, qu'elle finance largement. Souvent, les deux domaines se touchent, comme dans le cas de la cognition augmentée, une nouvelle discipline chère à l'Agence, qui se propose de créer une “symbiose” humain-ordinateur afin d'optimiser le fonctionnement du cerveau lorsqu'il se trouve sous l'effet du stress ou d'une surcharge d'information. La cognition augmentée n'est pas à confondre avec la science de l'interface cerveau/ordinateur, qui permet de piloter une machine par la pensée. Ici, il s'agit plutôt de permettre à l'ordinateur de reconnaître, via divers signes physiologiques, l'état d'esprit de son utilisateur et d'adapter la présentation des informations à celui-ci, afin de permettre plus facilement leur assimilation et accélérer la prise de décision."
- InvitéInvité
Re: nouvelles explications sur le phénomène ovni ?
Ven 07 Mar 2008, 11:59
Avec la découverte de la RMN, résonance magnétique nucléaire, et le déchiffrage des résultats par ordinateur, nous sommes entrés dans une aire nouvelle pour l'exploration du cerveau. La précision de l'image dépend de la puissance du champ magnétique appliqué qui aligne plus ou moins les moments magnétiques des atomes d'hydrogène. Soyons assurés que cette technique est connue et utilisée par les ET pour contrôler les cerveaux biologiques des humains et des animaux pouvant présenter un danger pour eux (chiens de garde) en stimulant à distance des zones précises.
Nous autres, humains devons encore percer la boite crânienne pour glisser des aiguilles vers la zone repérée comme intéressante, avec les risques anesthésiques ou infectieux que cela représente, et la possibilité de léser sur le parcours des neurones vitaux. Car, hélas, les zones à traiter sont situées en profondeur. En effet, suivant le schéma d'évolution par récapitulation addition qui prévaut, notre cerveau contient toujours à sa base et en son centre, les "dispositifs" qui assuraient la survie de nos ancêtres reptiles et qui sont: interpréter les signaux de douleurs, manger, fuir les prédateurs, se reproduire. Au-dessus et autour est venu se greffer à l'ère tertiaire, les neurones qui ont donné la capacité d'émotion et d'attachement aux mammifères. Au-dessus est apparu au quaternaire, le néo-cortex propre à l'homme, apparemment. Il apportait la capacité à mieux assimiler la nouveauté de ses propres créations en particulier un langage évolutif.
Avec le paradigme de la convergence qui fait que le nombre de "bonnes" solutions à un problème qui se pose universellement est forcément très limité, il est possible, sinon probable, que cette évolution ait eu lieu partout dans l'univers où a émergé l'intelligence à la suite de la vie "complexe", pluricellulaire.
Les ancêtres des aliens auraient ainsi eu comme nous un cerveau purement biologique. On peut envisager pour les humains dans l'avenir une sorte de "quatrième couche", qu'ont sans doute déjà nos visiteurs, une assistance à la pensée avec un dispositif non-biologique les dispensant de longs apprentissages (plus besoin d'apprendre les langues des terriens: "un programme" communiquant directement à leur "conscience" ce dont ils ont besoin et gérant leurs "télécommunications" dont en particulier la commande des véhicules (déjà fortement cybernétiques) et la "pseudo-télépathie". l'étape suivante pourrait être la disparition complète du biologique. Les ET, du moins certains d'entre eux pourraient n'être que des "robots" extrêmement évolués, chacun ayant la capacité de mémoire et de "raisonnement" de milliers de nos super-ordinateurs. Et n'ayant "rien d'autre à faire", ayant déjà fait le tour de la physique-chimie que d'étudier les systèmes biologiques et en particulier les intelligences biologiques incapables de les empêcher d'opérer, comme nous pour l'instant, "afin de passer le temps". Nous serions d'autant plus intéressants que la situation que nos connaissons actuellement ne va pas durer encore deux siècles: nous aurons disparu avant en tant qu'espèce ou nous aurons alors les moyens des les empêcher de nous traiter comme des souris de laboratoire.
D'une façon générale,pour mieux analyser le phénomène ovni, l'ufologie se doit d'intégrer la futurologie. En illustration de cela et de mes propos précédents, voici la reproduction d'un article en ligne d'aujourd'hui du grand quotidien régional Ouest-France (les majuscules sont de moi):
"DES ÉLECTRODES POUR SOIGNER LE CERVEAU
Le docteur Jérôme Yelnik est un spécialiste de l'anatomie du cerveau. : Ouest-France
Connue pour ses résultats spectaculaires sur la maladie de Parkinson, la stimulation cérébrale profonde peut traiter d'autres troubles psychiques.
Il a la taille d'un haricot et l'épaisseur d'une lentille. Profondément enfoui dans chaque hémisphère du cerveau, le noyau subthalamique n'est pas toujours bien visible sur les IRM. Il est pourtant la cible des délicates opérations de stimulation cérébrale profonde.
« Le principe est d'implanter deux fines électrodes dans le cerveau, sans provoquer de lésion, jusqu'à atteindre ce noyau. Les électrodes sont reliées à deux fils qui rejoignent un boîtier placé sous la clavicule, comme un appareil de stimulation cardiaque. EN ENVOYANT DU COURANT À HAUTE FRÉQUENCE, ON PEUT INACTIVER LA RÉGION VISÉE, explique le docteur Jérôme Yelnik, chercheur de l'unité Inserm Neurologie et pathologie expérimentale à la Pitié-Salpétrière (Paris). L'UN DES INTÉRÊTS DE LA TECHNIQUE EST QU'ELLE EST RÉVERSIBLE. ON NE DÉTRUIT RIEN. »
Opération relativement fréquente
Ces lourdes opérations, maîtrisées par une dizaine d'équipes de neurochirurgie en France, ont été mises au point à la fin des années 1980, au CHU de Grenoble. Pour l'heure, leur principale application est le traitement de la maladie de Parkinson. Avec une amélioration souvent spectaculaire des tremblements ou de la rigidité excessive des muscles des patients : « C'est devenu une opération relativement fréquente. Cinq cents patients ont été traités à Grenoble, deux cents ici... »
UN ATLAS DU CERVEAU EN 3D
Une autre application est testée avec succès depuis 1999, pour des syndromes de Gilles de la Tourette, une maladie caractérisée par des tics moteurs et vocaux (répétition, grossièretés...) très invalidants. Plus récemment, plusieurs équipes ont obtenu d'étonnants résultats sur des troubles obsessionnels compulsifs. Et un protocole de recherche pour le traitement de dépressions très sévères devrait bientôt démarrer, en partenariat avec le professeur Bernard Millet (Rennes).
Pour affiner la technique, LE DOCTEUR YELNIK ET ERIC BARDINET, UN CHERCHEUR DE L'INRIA (INFORMATIQUE), ONT MIS AU POINT UN NOUVEL ATLAS DU CERVEAU, QUI PERMET D'OBTENIR UNE IMAGE EN TROIS DIMENSIONS DE L'ENCÉPHALE DU PATIENT, À PARTIR DE SON IRM. « C'est particulièrement utile quand le noyau subthalamique est visé, » souligne le docteur Yelnik.
Lors d'une recherche récemment publiée, il a montré que CE TOUT PETIT NOYAU EST GLOBALEMENT DIVISÉ EN TROIS ZONES QUI CONTRÔLENT DES INFORMATIONS TRÈS DIFFÉRENTES : MOTRICES, ÉMOTIONNELLES, COGNITIVES. « Pour Parkinson, il faut viser la partie motrice; pour les troubles obsessionnels, la partie cognitive. » Un mauvais positionnement de l'électrode peut expliquer pourquoi certains patients traités pour la maladie de Parkinson connaissent un changement notable de leur humeur.
Le champ d'application de la stimulation cérébrale profonde pourrait s'élargir à l'avenir (douleurs des « membres fantômes » des amputés...). Dans l'immédiat, le docteur Yelnik aimerait que des électrodes encore plus fines soient mises au point. Et, pourquoi pas, à plus long terme, DES NANOÉLECRODES QUI SERAIENT COMMANDÉES DE L'EXTÉRIEUR ET STIMULERAIENT UNE ZONE DU CERVEAU EXTRÊMEMENT PRÉCISE.
« On peut s'effrayer des changements qui peuvent être induits par une simple électrode, prévient le docteur Yelnik. Mais ces recherches et ces interventions sont très encadrées. C'est nécessaire. Il ne faudrait surtout pas que ces techniques puissent être imposées contre l'avis d'un patient, dans le but de modifier son comportement. »"
Il est clair hélas, que les ET, eux, se passent de notre consentement, même si le paradigme de la convergence nous incite à penser qu'ils ne sont pas totalement étrangers, "bios", "robots" ou "cyborgs", à tout sens moral. Lequel, en premier édicte le respect de la conscience d'autrui...
Nous autres, humains devons encore percer la boite crânienne pour glisser des aiguilles vers la zone repérée comme intéressante, avec les risques anesthésiques ou infectieux que cela représente, et la possibilité de léser sur le parcours des neurones vitaux. Car, hélas, les zones à traiter sont situées en profondeur. En effet, suivant le schéma d'évolution par récapitulation addition qui prévaut, notre cerveau contient toujours à sa base et en son centre, les "dispositifs" qui assuraient la survie de nos ancêtres reptiles et qui sont: interpréter les signaux de douleurs, manger, fuir les prédateurs, se reproduire. Au-dessus et autour est venu se greffer à l'ère tertiaire, les neurones qui ont donné la capacité d'émotion et d'attachement aux mammifères. Au-dessus est apparu au quaternaire, le néo-cortex propre à l'homme, apparemment. Il apportait la capacité à mieux assimiler la nouveauté de ses propres créations en particulier un langage évolutif.
Avec le paradigme de la convergence qui fait que le nombre de "bonnes" solutions à un problème qui se pose universellement est forcément très limité, il est possible, sinon probable, que cette évolution ait eu lieu partout dans l'univers où a émergé l'intelligence à la suite de la vie "complexe", pluricellulaire.
Les ancêtres des aliens auraient ainsi eu comme nous un cerveau purement biologique. On peut envisager pour les humains dans l'avenir une sorte de "quatrième couche", qu'ont sans doute déjà nos visiteurs, une assistance à la pensée avec un dispositif non-biologique les dispensant de longs apprentissages (plus besoin d'apprendre les langues des terriens: "un programme" communiquant directement à leur "conscience" ce dont ils ont besoin et gérant leurs "télécommunications" dont en particulier la commande des véhicules (déjà fortement cybernétiques) et la "pseudo-télépathie". l'étape suivante pourrait être la disparition complète du biologique. Les ET, du moins certains d'entre eux pourraient n'être que des "robots" extrêmement évolués, chacun ayant la capacité de mémoire et de "raisonnement" de milliers de nos super-ordinateurs. Et n'ayant "rien d'autre à faire", ayant déjà fait le tour de la physique-chimie que d'étudier les systèmes biologiques et en particulier les intelligences biologiques incapables de les empêcher d'opérer, comme nous pour l'instant, "afin de passer le temps". Nous serions d'autant plus intéressants que la situation que nos connaissons actuellement ne va pas durer encore deux siècles: nous aurons disparu avant en tant qu'espèce ou nous aurons alors les moyens des les empêcher de nous traiter comme des souris de laboratoire.
D'une façon générale,pour mieux analyser le phénomène ovni, l'ufologie se doit d'intégrer la futurologie. En illustration de cela et de mes propos précédents, voici la reproduction d'un article en ligne d'aujourd'hui du grand quotidien régional Ouest-France (les majuscules sont de moi):
"DES ÉLECTRODES POUR SOIGNER LE CERVEAU
Le docteur Jérôme Yelnik est un spécialiste de l'anatomie du cerveau. : Ouest-France
Connue pour ses résultats spectaculaires sur la maladie de Parkinson, la stimulation cérébrale profonde peut traiter d'autres troubles psychiques.
Il a la taille d'un haricot et l'épaisseur d'une lentille. Profondément enfoui dans chaque hémisphère du cerveau, le noyau subthalamique n'est pas toujours bien visible sur les IRM. Il est pourtant la cible des délicates opérations de stimulation cérébrale profonde.
« Le principe est d'implanter deux fines électrodes dans le cerveau, sans provoquer de lésion, jusqu'à atteindre ce noyau. Les électrodes sont reliées à deux fils qui rejoignent un boîtier placé sous la clavicule, comme un appareil de stimulation cardiaque. EN ENVOYANT DU COURANT À HAUTE FRÉQUENCE, ON PEUT INACTIVER LA RÉGION VISÉE, explique le docteur Jérôme Yelnik, chercheur de l'unité Inserm Neurologie et pathologie expérimentale à la Pitié-Salpétrière (Paris). L'UN DES INTÉRÊTS DE LA TECHNIQUE EST QU'ELLE EST RÉVERSIBLE. ON NE DÉTRUIT RIEN. »
Opération relativement fréquente
Ces lourdes opérations, maîtrisées par une dizaine d'équipes de neurochirurgie en France, ont été mises au point à la fin des années 1980, au CHU de Grenoble. Pour l'heure, leur principale application est le traitement de la maladie de Parkinson. Avec une amélioration souvent spectaculaire des tremblements ou de la rigidité excessive des muscles des patients : « C'est devenu une opération relativement fréquente. Cinq cents patients ont été traités à Grenoble, deux cents ici... »
UN ATLAS DU CERVEAU EN 3D
Une autre application est testée avec succès depuis 1999, pour des syndromes de Gilles de la Tourette, une maladie caractérisée par des tics moteurs et vocaux (répétition, grossièretés...) très invalidants. Plus récemment, plusieurs équipes ont obtenu d'étonnants résultats sur des troubles obsessionnels compulsifs. Et un protocole de recherche pour le traitement de dépressions très sévères devrait bientôt démarrer, en partenariat avec le professeur Bernard Millet (Rennes).
Pour affiner la technique, LE DOCTEUR YELNIK ET ERIC BARDINET, UN CHERCHEUR DE L'INRIA (INFORMATIQUE), ONT MIS AU POINT UN NOUVEL ATLAS DU CERVEAU, QUI PERMET D'OBTENIR UNE IMAGE EN TROIS DIMENSIONS DE L'ENCÉPHALE DU PATIENT, À PARTIR DE SON IRM. « C'est particulièrement utile quand le noyau subthalamique est visé, » souligne le docteur Yelnik.
Lors d'une recherche récemment publiée, il a montré que CE TOUT PETIT NOYAU EST GLOBALEMENT DIVISÉ EN TROIS ZONES QUI CONTRÔLENT DES INFORMATIONS TRÈS DIFFÉRENTES : MOTRICES, ÉMOTIONNELLES, COGNITIVES. « Pour Parkinson, il faut viser la partie motrice; pour les troubles obsessionnels, la partie cognitive. » Un mauvais positionnement de l'électrode peut expliquer pourquoi certains patients traités pour la maladie de Parkinson connaissent un changement notable de leur humeur.
Le champ d'application de la stimulation cérébrale profonde pourrait s'élargir à l'avenir (douleurs des « membres fantômes » des amputés...). Dans l'immédiat, le docteur Yelnik aimerait que des électrodes encore plus fines soient mises au point. Et, pourquoi pas, à plus long terme, DES NANOÉLECRODES QUI SERAIENT COMMANDÉES DE L'EXTÉRIEUR ET STIMULERAIENT UNE ZONE DU CERVEAU EXTRÊMEMENT PRÉCISE.
« On peut s'effrayer des changements qui peuvent être induits par une simple électrode, prévient le docteur Yelnik. Mais ces recherches et ces interventions sont très encadrées. C'est nécessaire. Il ne faudrait surtout pas que ces techniques puissent être imposées contre l'avis d'un patient, dans le but de modifier son comportement. »"
Il est clair hélas, que les ET, eux, se passent de notre consentement, même si le paradigme de la convergence nous incite à penser qu'ils ne sont pas totalement étrangers, "bios", "robots" ou "cyborgs", à tout sens moral. Lequel, en premier édicte le respect de la conscience d'autrui...
- Lucas1Equipe du forum
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Re: nouvelles explications sur le phénomène ovni ?
Mer 02 Avr 2008, 15:45
Je n'avais jamais pensait au fait que les OVNIs étaient rarement apreçus par temps de pluie,et pour info,on ne dit pas inhomogéne mais hétérogéne.
- InvitéInvité
Re: nouvelles explications sur le phénomène ovni ?
Mer 02 Avr 2008, 16:24
Inhomogène, avec un accent grave, ne se trouve pas dans le "Petit Larousse en couleurs" mais figure dans le "Dictionnaire des Mots Croisés" du même éditeur.
Il est plutôt d'origine scientifique à la différence de "hétérogène" qui est du langage courant et il a un sens moins fort que ce dernier quant à la variété des éléments qui composent l'ensemble que l'on qualifie ainsi.
Il est plutôt d'origine scientifique à la différence de "hétérogène" qui est du langage courant et il a un sens moins fort que ce dernier quant à la variété des éléments qui composent l'ensemble que l'on qualifie ainsi.
- InvitéInvité
Re: nouvelles explications sur le phénomène ovni ?
Mar 08 Avr 2008, 19:17
Pour avoir une idée des techniques extraterrestres, qui n'ont rien de "magique", il faut connaître les avancées de nos propres techniques.
Je lis dans Futura Sciences pour avril:
"Une équipe de chercheurs du Rensselaer Polytechnic Institute a réussi à associer les avantages des nanotubes en carbone et ceux des nanofils en métal. L'établissement de jonctions entre les deux matériaux doit permettre de surmonter les obstacles concernant l'emploi des nanotubes pour construire des puces et des capteurs électroniques en nanotechnologie."
Avec cette précision:
"... les filaments en or ont, eux aussi, d'intéressantes propriétés optiques et électriques et comme ils sont compatibles avec des systèmes biologiques, on imagine facilement les possibilités ainsi ouvertes, des interfaces circuits électroniques / neurones biologiques par exemple." (C'est moi qui souligne.)
Même si les ET qui nous visitent ne sont pas de purs "robots" (ce qui serait pourtant le plus sûr pour les "bios"), les bios seraient stupides de ne pas prolonger leurs sens par des capteurs directement connectés à leurs "neurones".
Ainsi, plutôt que notre œil, qui n'a de vision nette que sur une zone étroite et qui est limité pour la capture des rayonnements (la lumière visible ne représente qu'une toute petite partie des longueurs d'ondes électromagnétiques), ils pourraient s'être équipés d'une ou deux surfaces courbes constituées d'une myriade de micro-cônes accolés, recouverts d'une surface hypersensible (permettant la vision dans la quasi-obscurité) réagissant à des rayonnements allant des rayons gamma (produits par la radio activité) aux infrarouges lointains (émis par un corps d'animal à sang chaud), capables de repérer la polarisation et distinguant la lumière incohérente de celle d'un laser. Ces capteurs peuvent "copier" l'apparence en plus grand des yeux d'insectes, notamment en étant allongé sur le côté pour capter des images latérales. (Rien n'empêchant une petite surface placée derrière la "tête" de permettre à l'ET de voir derrière son dos.)
Nous aurions alors les "yeux" noirs et brillants mais sans pupilles qu'ont décrits une soixantaine d'enfants de cette école primaire du Zimbabwe, dont malheureusement on ne peut plus voir la version doublée en français sur le net . L'un d'eux a dessiné cependant une sorte d'anneau blanc allongé au milieu de cet ovale noir: il est possible qu'une image puisse aussi s'afficher sur ce capteur pour mimer, de loin un œil terrestre. Mais la sensation d'être sondés jusqu'à l'âme qu'ont décrite les enfants était due au "scanner" capable de capter à distance l'activité de leurs neurones dont les ET ne peuvent pas ne pas être équipés.
Un tel capteur pourrait être dissimulé dans le "front" des MIB. Les yeux de "type humain" seraient complètement factices et les lunettes noires auraient pour effet de dissimuler leur caractère artificiel et l'incapacité pour les ET de leur donner une "expression humaine". Ce qui fait dire aux témoins qu'ils font songer à des "yeux de poisson".
Je lis dans Futura Sciences pour avril:
"Une équipe de chercheurs du Rensselaer Polytechnic Institute a réussi à associer les avantages des nanotubes en carbone et ceux des nanofils en métal. L'établissement de jonctions entre les deux matériaux doit permettre de surmonter les obstacles concernant l'emploi des nanotubes pour construire des puces et des capteurs électroniques en nanotechnologie."
Avec cette précision:
"... les filaments en or ont, eux aussi, d'intéressantes propriétés optiques et électriques et comme ils sont compatibles avec des systèmes biologiques, on imagine facilement les possibilités ainsi ouvertes, des interfaces circuits électroniques / neurones biologiques par exemple." (C'est moi qui souligne.)
Même si les ET qui nous visitent ne sont pas de purs "robots" (ce qui serait pourtant le plus sûr pour les "bios"), les bios seraient stupides de ne pas prolonger leurs sens par des capteurs directement connectés à leurs "neurones".
Ainsi, plutôt que notre œil, qui n'a de vision nette que sur une zone étroite et qui est limité pour la capture des rayonnements (la lumière visible ne représente qu'une toute petite partie des longueurs d'ondes électromagnétiques), ils pourraient s'être équipés d'une ou deux surfaces courbes constituées d'une myriade de micro-cônes accolés, recouverts d'une surface hypersensible (permettant la vision dans la quasi-obscurité) réagissant à des rayonnements allant des rayons gamma (produits par la radio activité) aux infrarouges lointains (émis par un corps d'animal à sang chaud), capables de repérer la polarisation et distinguant la lumière incohérente de celle d'un laser. Ces capteurs peuvent "copier" l'apparence en plus grand des yeux d'insectes, notamment en étant allongé sur le côté pour capter des images latérales. (Rien n'empêchant une petite surface placée derrière la "tête" de permettre à l'ET de voir derrière son dos.)
Nous aurions alors les "yeux" noirs et brillants mais sans pupilles qu'ont décrits une soixantaine d'enfants de cette école primaire du Zimbabwe, dont malheureusement on ne peut plus voir la version doublée en français sur le net . L'un d'eux a dessiné cependant une sorte d'anneau blanc allongé au milieu de cet ovale noir: il est possible qu'une image puisse aussi s'afficher sur ce capteur pour mimer, de loin un œil terrestre. Mais la sensation d'être sondés jusqu'à l'âme qu'ont décrite les enfants était due au "scanner" capable de capter à distance l'activité de leurs neurones dont les ET ne peuvent pas ne pas être équipés.
Un tel capteur pourrait être dissimulé dans le "front" des MIB. Les yeux de "type humain" seraient complètement factices et les lunettes noires auraient pour effet de dissimuler leur caractère artificiel et l'incapacité pour les ET de leur donner une "expression humaine". Ce qui fait dire aux témoins qu'ils font songer à des "yeux de poisson".
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Re: nouvelles explications sur le phénomène ovni ?
Mar 08 Avr 2008, 21:30
J'aime bien cette recherche. En effet, nous savons que les ET sont vraissemblablement parmi nous, ou qu'ils nous visitent. Reste à savoir leurs origines, et à essayer de comprendre une partie de leurs technologies. Cependant,concernant les entités, je pencherais plutôt sur une création de "clones" par des ET scientifiques à partir de l'ADN avec des améliorations "bioniques" et pourquoi pas "bio végétales" car à priori, certains ET craindraient la lumière et seraient plutôt attirés par l'humidité.(probabilité d'évolution en milieu souterrain ou sous marin d'après plusieurs témoignages) Ceci expliquerait cela... Quant aux MIB, j'ai du mal à situer leurs intérêts. Je ne sais que dire à ce sujet, serait-ce une expérience rapprochée visant à sonder les êtres humains dans leur environnement proche ? de les manipuler ? aucunes idées...
Nous pouvons imaginer beaucoup de choses, vue leur maîtrise sur la matière. A ce stade, ils sont capables de tout faire et de tout associer, le synthétique et le biologique.
Nous pouvons imaginer beaucoup de choses, vue leur maîtrise sur la matière. A ce stade, ils sont capables de tout faire et de tout associer, le synthétique et le biologique.
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