- Derek3DEquipe du forum
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Pilote: Propos de Jean Kisling
Dim 07 Sep 2008, 00:07
Propos du pilote Jean Kisling
L’ex-commandant de bord à Air France a été auditionné en 1998 par deux membres du COMETA, mais son récit ne figure pas dans le compte rendu final.
Le témoignage de l’ancien pilote de chasse Jean Kisling concerne une tentative d’nterception d’Ovnis en 1945 aux Etats-Unis. Il a été recueilli le 30 juin 2008 par Alain Boudier, président de la commission 3AF - PAN de l’AAAF (Association Aéronautique et Astronomique de France). Jean Kisling est aujourd’hui agé de 86 ans.
Durant la seconde guerre mondiale, Jean Kisling s’est retrouvé dans un premier temps en Tunisie, puis au Maroc d’où il embarque à destination des Etats-Unis. Ses aptitudes lui valent d’être distingué puis promu pilote instructeur dans l’US Air Force, sur la base de Selfridge dans le Michigan.
Pendant l’été 1945, à la demande du commandant de la base, il accepte de faire une tentative d’interception de “ballons d’observation” qui étaient régulièrement signalés à cette époque au-dessus de cette région.
Il pilote alors un P47, le plus puissant avion de chasse, capable d’atteindre des altitudes supérieures à 10.000 mètres. Voici donc son témoignage :
“A cette époque, le ciel de l’Etat de Michigan est régulièrement traversé par des ‘ballons’ d’origine inconnue. Le traumatisme de Pearl Harbour étant encore très vivace dans les esprits yankees, ils sont considérés par beaucoup comme des engins d’observation et d’espionnage venus du Japon. A la demande du commandant de la base de Selfridge et en l’absence d’autres candidats, compte tenu des issues tragiques de certaines tentatives récentes, je me porte volontaire pour intercepter les ‘ballons’, et décolle en urgence. A bord de mon P47 j’ai beau monter pour atteindre mon objectif, de façon surprenante, entre mon appareil et ces ballons la distance demeure inchangée ! Arrivé à près de 55.000 pieds, malgré les difficultés de pilotage - le froid et l’altitude - je réussis à lâcher une longue rafale de mes 8 mitrailleuses calibre 12,7 mm en direction des ballons. A ma grande surprise, ces ballons se transforment alors en soucoupes volantes, s’éloignent et disparaissent à une vitesse exceptionnelle, laissant derrière elles des traces semblables à celle d’avions à réaction à haute altitude.
Au sol, le ‘combat aérien’ a été suivi avec attention par plus de 1.000 témoins oculaires, à l’aide de jumelles à fort grossissement, de télescopes (ou de ce qui à l’époque en tenait lieu) pour certains, et des traînées laissées dans le ciel par les protagonistes. Les militaires de la base de Selfridge ont pu ainsi constater qu’il ne s’agissait aucunement de simples ballons d’observation.
A mon retour sur terre, je suis fêté comme un héros par le Colonel commandant de la base. Le rapport de débriefing est envoyé au Pentagone. Il n’y aura de la part des autorités aucun retour concernant cet ‘incident’."
Peu après la fin des hostilités en 1947, Jean KISLING entre à Air France où il officie comme jeune copilote sur les avions de ligne de type « Constellation ». Il nous raconte.
« En 1952 ou 1953, lors d’une escale à New-York/Ildlewild, nous sommes informéspar le Directeur de l’aéroport que notre Superconstellation va faire l’objet d’une attention toute particulière de la part d’une escorte de gardes armés déployés sur le tarmac. Il nous explique que nous allons prendre en charge une délégation d’une dizaine de personnes en bordure de piste qui seront les seuls passagers à bord. Et de fait, je remarque que l’escorte surveille soigneusement l’embarquement en veillant à ce qu’aucun regard indiscret ne puisse épier le groupe en partance.
Le vol à cette époque étant long (environ 12 heures), je vais me détendre à un moment donné à l’arrière de l’appareil réservé à la délégation et me retrouve assis à côté d’une personne d’une soixantaine d’années. La conversation s’engageant curieusement sur la question des UFOs8, je relate ce que j’ai vécu dans le Michigan.
Mon interlocuteur m’indique alors que la délégation qu’il conduit, une fois arrivée à Orly, doit prendre la correspondance en direction de l’Europe de l’Est pour discuter – entre autres choses – de cette sulfureuse question avec ses homologues soviétiques.
Il m’affirme en plus qu’ils – les Américains – savent parfaitement qui je suis. La CIA déjà… Il mentionne dans la foulée qu’il existe au Pentagone un bureau dédié à l’étude des « Flying discs » et révèle qu’ils ont récupéré quelques années auparavant une soucoupe volante, qui s’est écrasée du côté de El Paso (Texas) et dont tous les occupants étaient décédés [Roswell).A ma question : « Pourquoi n’en informez-vous pas les citoyens américains ? », il me répond qu’il leur est impossible de révéler la vérité, car cela entrainerait une panique généralisée sur toute la planète !Plus tard, dans les années 60, j’ai eu à nouveau l’occasion d’être confronté au phénomène OVNI en Argentine où l’observation de tels phénomènes aériens n’était pas rare. »
Plus de 63 ans après ces événements, quel est le sentiment de Jean KISLING sur cette énigme ? Voici sa réponse.
« Pour moi, il n’existe pas le moindre doute, les soucoupes volantes existent et viennent d’un autre système solaire. Je suis extrêmement étonné que de soidisant grands scientifiques refusent encore obstinément à l’heure actuelle d’accepter l’idée de l’existence d’une vie E.T.9 intelligente à travers le cosmos et par là-même d’extra-terrestres. Face à ce défi posé à notre humanité, j’estime que nous sommes encore à l’époque de Galilée !... »
ANALYSE DE SON TÉMOIGNAGE
Compte tenu de la personnalité et de la carrière de Jean KISLING, il paraît difficile de mettre en doute la sincérité et l’authenticité du témoignage de Jean KISLING concernant un événement également observé par un millier de témoins oculaires.
Ce témoignage, exceptionnel à plus d’un titre, soulève un certain nombre de questions concernant la position officielle des autorités américaines face au phénomène OVNI d’une part, et leurs actions officieuses dans ce domaine d’autre part :
1. Le survol du territoire américain par des objets non identifiés durant l’été 45 n’était pas une réelle surprise pour les autorités américaines : des opérations de défense aérienne avaient été engagées, justifiées par la situation de guerre avec le Japon et le traumatisme de Pearl Harbor et un certain nombre d’avions perdus pour des causes non entièrement élucidées ;
2. Contrairement à la position officielle classique des autorités consistant à affirmer la non existence du phénomène OVNI, les autorités américaines avaient parfaitement identifié Jean KISLING entant qu’ancien pilote de chasse aux USA et copilote à Air France [voir le reste ds révélations dans l'interview PDF);
3. Ils ne pouvaient donc pas ignorer sonengagement aérien face aux « ballons » du Michigan. Le fait qu’aucun RETEX10 n’ait été renvoyé du Pentagone au Colonel dirigeant la base de Selfridge pose une véritable question. Il peut auss iconstituer une vraie réponse en soi… ;
4. Il est étonnant que le chef de la délégation ait lié conversation aussi facilement avec Jean KISLING. Il mentionque les autorités américaines ont récupéré un objet matériel avec des EBEs (Entités Biologiques Extraterrestres) décédées; dans quel but ? Il mentionne également – toujours dans quel but ? –comme objet du déplacement de la délégation, des discussions entre autorités russes et américaines sur la question OVNI, ce qui témoignerait d’une certaine entente tacite dès cette époque entreles deux superpuissances.
Toute l'interview avec les événements après la guerre:
http://www.aaafasso.fr/DOSSIERSAAAF/DOSS.ACCES_LIBRE/PJ_CT/Com.PAN/PAN-Interview-J.Kisling_juin08.pdf
PS: ce pdf est largement dans le numéro de Nexus de septembre et octobre 2008 n]58 pages 80 à 82
Qui est Jean KISLING?
Engagé volontaire à Salon-de-Provence le 19.03.1941, affecté au Groupe de Bombardement 1/25 à El-Aouina (Tunisie), jusqu'en novembre 1942, puis Blida, Alger, Rabat, Marrakech.
- 3 Septembre 1943, départ pour Casablanca, au CFPNA.
- Embarquement pour les USA le 15.10.1943 sur l' "Empress of Scotland", avec le 5ème détachement du CFPNA. Départ le 16.
- Craig Field à Selma, Advanced School. Gradué Pilote le 23.05.1944 avec 244 heures de vol . (Brevet N° 30 457).
- Arrivé à Oscoda Air Base dans le Michigan le 20.07.1944 pour entrainement sur P.47 Thunderbolt. Après la qualification sur cet appareil, désigné comme instructeur jusqu'en janvier 1946 (575 heures de vol sur P-47).
PRESENTATION GENERALE DE LA 3AF
L'Association Aéronautique et Astronautique de France est la Société Savante française, carrefour potentiel des compétences qui a la mission de :
o Rassembler des personnes physiques et morales concernées par les sciences et techniques de l'Aéronautique et de l'Astronautique,
pour des raisons professionnelles ou pour des raisons personnelles de curiosité, de culture, de passion
o Distinguer parmi ses membres les meilleurs spécialistes au niveau international
o Favoriser des contacts fréquents avec d'autres membres, dans sa spécialité ou hors de sa spécialité, tout particulièrement pour les plus jeunes ;
o Développer une importante source d'informations spécialisées
o Constituer une tribune qui permette à ses membres de faire connaître leur point de vue et leurs travaux.
o Représenter l'ensemble de ses membres auprès d'autres sociétés scientifiques et techniques françaises ou étrangères, auprès des fédérations aérospatiales.
Son activité est en grande partie liée à celle de l'industrie et de la recherche, c'est-à-dire en France à celle des industries aéronautiques, spatiales et des hautes technologies associées. L'AAAF est aussi en relation étroite avec les services et organismes d'Etat.
Cependant, elle offre pour la genèse et la diffusion des idées une voie distincte de l'industrie et des instances gouvernementales, celle d'une société savante.
Par les moyens d'expression offerts à ses membres, qu'ils soient ingénieurs, techniciens , chercheurs ou étudiants, l'AAAF leur permet de faire connaître leurs travaux, leurs points de vue, leurs productions ou leurs aspirations.
Editorial du Président Michel SCHELLER de l'Association 3AF dans son numéro de mai/juin 2008:
Dans le monde entier, les communications sur des phénomènes aériens non identifiés se multiplient : points lumineux dans la nuit, se déplaçant seuls ou en groupe, objets volants en forme de soucoupes ou de cigares, capables d’accélérations de très loin supérieures à celles des avions actuels… En témoignent le nombre impressionnant des vidéos d’amateurs qui fleurissent sur l’Internet, avec leur lot de vidéos sans
doute truquées et de canulars, mais aussi – et c’est nouveau – de films réalisés par des services officiels, notamment ceux des armées de l’air.
Ces phénomènes ne sont pourtant pas nouveaux : des manifestations ont été régulièrement rapportées dans la presse, durant et surtout depuis la fin de la seconde guerre mondiale. Les gouvernements de tous les pays ont toujours été extrêmement discrets sur ces manifestations
et bon nombre d’événements et de témoignages ont été ignorés ou classifiés sous le sceau de la protection « Secret Défense ».
Depuis une dizaine d’années, des citoyens de tous les pays commencent à réclamer la déclassification de ces dossiers et la reconnaissance officielle de ces phénomènes, prélude indispensable à leur étude scientifique et à la diffusion d’une information objective auprès du public.
La France est le seul pays où l’étude scientifique et la collecte des Phénomènes Aériens Non identifiés (PAN) a été confiée, dès 1977, à un organisme officiel et civil, le Cnes, à travers un Groupe d’Etudes, le GEPAN. Les sources d’information et d’observation du GEPAN proviennent principalement de protocoles d’accord entre le Cnes, la Gendarmerie, l’Aviation civile, l’Armée de l’air et Météo-France.
En 2005, le GEPAN ajoute à ses missions une composante informationnelle essentielle en devenant le GEIPAN, le Groupe d’Etudes et d’Information des Phénomènes Aérospatiaux Non-identifiés.
En dehors des associations ufologiques regroupant des personnes de tous horizons, les dossiers du GEIPAN sont néanmoins peu connus, particulièrement du grand public et aussi, paradoxalement, des milieux scientifiques.
Au contraire du grand public qui se partage entre crédules ouverts à toutes les manipulations et sceptiques fermés à toutes les évidences, les scientifiques refusent en général de se prononcer en public sur le sujet tout en avouant souvent en privé être demandeurs d’informations
fiables et de qualité, à partir desquelles ils pourraient, en exerçant leur esprit critique, effectuer leur propre analyse et leur propre synthèse.
Ces informations fiables et de qualité existent mais leur mise à disposition nécessite encore un travail important d’analyse, de recoupement et de synthèse que les journalistes des medias classiques ne sont pas encore prêts d’accomplir, qui traitent encore ces phénomènes de façon ponctuelle, souvent avec ironie ou comme de simples sujets de divertissement.
La 3AF, en tant que société savante des domaines aéronautique, spatial et de défense, se sent tout particulièrement concernée par les phénomènes aériens non identifiés ; elle entend répondre de la manière la plus rigoureuse et objective possible à ce manque d'information
.
C’est dans cet esprit que nous avons décidé de créer la Commission 3AF-PAN, dédiée à cette question.
Autour d’Alain BOUDIER s’est constituée une équipe multidisciplinaire composée de Pierre BESCOND, Jean-François CLERVOY, Khoa DANG-TRAN, Paul KUENTZMANN et Xavier PASCO, qui accueillera d’autres membres au fil de ses investigations.
Le travail de cette commission se fera en toute transparence en recherchant la meilleure articulation avec les organismes officiels existants. Son activité se concrétisera par la publication d’articles dans la Lettre 3AF, consacrés à des témoignages, des analyses de documents officiels, des lectures critiques de livres, des synthèses de sources Internet…
Nous avons la conviction, du moins nous en formulons le souhait, que la qualité des travaux de cette commission lui permettra, de susciter non seulement votre intérêt, chers adhérents, mais également celui du grand public, et aussi de constituer un relais critique d’opinion pour la diffusion des informations en provenance des services officiels.
Source: http://www.aaafasso.fr/DOSSIERSAAAF/DOSS.ACCES_LIBRE/Extraits_de_La_Lettre/Edito_Lettre_3AF_n_5-08.pdf
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L’ex-commandant de bord à Air France a été auditionné en 1998 par deux membres du COMETA, mais son récit ne figure pas dans le compte rendu final.
Le témoignage de l’ancien pilote de chasse Jean Kisling concerne une tentative d’nterception d’Ovnis en 1945 aux Etats-Unis. Il a été recueilli le 30 juin 2008 par Alain Boudier, président de la commission 3AF - PAN de l’AAAF (Association Aéronautique et Astronomique de France). Jean Kisling est aujourd’hui agé de 86 ans.
Durant la seconde guerre mondiale, Jean Kisling s’est retrouvé dans un premier temps en Tunisie, puis au Maroc d’où il embarque à destination des Etats-Unis. Ses aptitudes lui valent d’être distingué puis promu pilote instructeur dans l’US Air Force, sur la base de Selfridge dans le Michigan.
Pendant l’été 1945, à la demande du commandant de la base, il accepte de faire une tentative d’interception de “ballons d’observation” qui étaient régulièrement signalés à cette époque au-dessus de cette région.
Il pilote alors un P47, le plus puissant avion de chasse, capable d’atteindre des altitudes supérieures à 10.000 mètres. Voici donc son témoignage :
“A cette époque, le ciel de l’Etat de Michigan est régulièrement traversé par des ‘ballons’ d’origine inconnue. Le traumatisme de Pearl Harbour étant encore très vivace dans les esprits yankees, ils sont considérés par beaucoup comme des engins d’observation et d’espionnage venus du Japon. A la demande du commandant de la base de Selfridge et en l’absence d’autres candidats, compte tenu des issues tragiques de certaines tentatives récentes, je me porte volontaire pour intercepter les ‘ballons’, et décolle en urgence. A bord de mon P47 j’ai beau monter pour atteindre mon objectif, de façon surprenante, entre mon appareil et ces ballons la distance demeure inchangée ! Arrivé à près de 55.000 pieds, malgré les difficultés de pilotage - le froid et l’altitude - je réussis à lâcher une longue rafale de mes 8 mitrailleuses calibre 12,7 mm en direction des ballons. A ma grande surprise, ces ballons se transforment alors en soucoupes volantes, s’éloignent et disparaissent à une vitesse exceptionnelle, laissant derrière elles des traces semblables à celle d’avions à réaction à haute altitude.
Au sol, le ‘combat aérien’ a été suivi avec attention par plus de 1.000 témoins oculaires, à l’aide de jumelles à fort grossissement, de télescopes (ou de ce qui à l’époque en tenait lieu) pour certains, et des traînées laissées dans le ciel par les protagonistes. Les militaires de la base de Selfridge ont pu ainsi constater qu’il ne s’agissait aucunement de simples ballons d’observation.
A mon retour sur terre, je suis fêté comme un héros par le Colonel commandant de la base. Le rapport de débriefing est envoyé au Pentagone. Il n’y aura de la part des autorités aucun retour concernant cet ‘incident’."
Peu après la fin des hostilités en 1947, Jean KISLING entre à Air France où il officie comme jeune copilote sur les avions de ligne de type « Constellation ». Il nous raconte.
« En 1952 ou 1953, lors d’une escale à New-York/Ildlewild, nous sommes informéspar le Directeur de l’aéroport que notre Superconstellation va faire l’objet d’une attention toute particulière de la part d’une escorte de gardes armés déployés sur le tarmac. Il nous explique que nous allons prendre en charge une délégation d’une dizaine de personnes en bordure de piste qui seront les seuls passagers à bord. Et de fait, je remarque que l’escorte surveille soigneusement l’embarquement en veillant à ce qu’aucun regard indiscret ne puisse épier le groupe en partance.
Le vol à cette époque étant long (environ 12 heures), je vais me détendre à un moment donné à l’arrière de l’appareil réservé à la délégation et me retrouve assis à côté d’une personne d’une soixantaine d’années. La conversation s’engageant curieusement sur la question des UFOs8, je relate ce que j’ai vécu dans le Michigan.
Mon interlocuteur m’indique alors que la délégation qu’il conduit, une fois arrivée à Orly, doit prendre la correspondance en direction de l’Europe de l’Est pour discuter – entre autres choses – de cette sulfureuse question avec ses homologues soviétiques.
Il m’affirme en plus qu’ils – les Américains – savent parfaitement qui je suis. La CIA déjà… Il mentionne dans la foulée qu’il existe au Pentagone un bureau dédié à l’étude des « Flying discs » et révèle qu’ils ont récupéré quelques années auparavant une soucoupe volante, qui s’est écrasée du côté de El Paso (Texas) et dont tous les occupants étaient décédés [Roswell).A ma question : « Pourquoi n’en informez-vous pas les citoyens américains ? », il me répond qu’il leur est impossible de révéler la vérité, car cela entrainerait une panique généralisée sur toute la planète !Plus tard, dans les années 60, j’ai eu à nouveau l’occasion d’être confronté au phénomène OVNI en Argentine où l’observation de tels phénomènes aériens n’était pas rare. »
Plus de 63 ans après ces événements, quel est le sentiment de Jean KISLING sur cette énigme ? Voici sa réponse.
« Pour moi, il n’existe pas le moindre doute, les soucoupes volantes existent et viennent d’un autre système solaire. Je suis extrêmement étonné que de soidisant grands scientifiques refusent encore obstinément à l’heure actuelle d’accepter l’idée de l’existence d’une vie E.T.9 intelligente à travers le cosmos et par là-même d’extra-terrestres. Face à ce défi posé à notre humanité, j’estime que nous sommes encore à l’époque de Galilée !... »
ANALYSE DE SON TÉMOIGNAGE
Compte tenu de la personnalité et de la carrière de Jean KISLING, il paraît difficile de mettre en doute la sincérité et l’authenticité du témoignage de Jean KISLING concernant un événement également observé par un millier de témoins oculaires.
Ce témoignage, exceptionnel à plus d’un titre, soulève un certain nombre de questions concernant la position officielle des autorités américaines face au phénomène OVNI d’une part, et leurs actions officieuses dans ce domaine d’autre part :
1. Le survol du territoire américain par des objets non identifiés durant l’été 45 n’était pas une réelle surprise pour les autorités américaines : des opérations de défense aérienne avaient été engagées, justifiées par la situation de guerre avec le Japon et le traumatisme de Pearl Harbor et un certain nombre d’avions perdus pour des causes non entièrement élucidées ;
2. Contrairement à la position officielle classique des autorités consistant à affirmer la non existence du phénomène OVNI, les autorités américaines avaient parfaitement identifié Jean KISLING entant qu’ancien pilote de chasse aux USA et copilote à Air France [voir le reste ds révélations dans l'interview PDF);
3. Ils ne pouvaient donc pas ignorer sonengagement aérien face aux « ballons » du Michigan. Le fait qu’aucun RETEX10 n’ait été renvoyé du Pentagone au Colonel dirigeant la base de Selfridge pose une véritable question. Il peut auss iconstituer une vraie réponse en soi… ;
4. Il est étonnant que le chef de la délégation ait lié conversation aussi facilement avec Jean KISLING. Il mentionque les autorités américaines ont récupéré un objet matériel avec des EBEs (Entités Biologiques Extraterrestres) décédées; dans quel but ? Il mentionne également – toujours dans quel but ? –comme objet du déplacement de la délégation, des discussions entre autorités russes et américaines sur la question OVNI, ce qui témoignerait d’une certaine entente tacite dès cette époque entreles deux superpuissances.
Toute l'interview avec les événements après la guerre:
http://www.aaafasso.fr/DOSSIERSAAAF/DOSS.ACCES_LIBRE/PJ_CT/Com.PAN/PAN-Interview-J.Kisling_juin08.pdf
PS: ce pdf est largement dans le numéro de Nexus de septembre et octobre 2008 n]58 pages 80 à 82
Qui est Jean KISLING?
Engagé volontaire à Salon-de-Provence le 19.03.1941, affecté au Groupe de Bombardement 1/25 à El-Aouina (Tunisie), jusqu'en novembre 1942, puis Blida, Alger, Rabat, Marrakech.
- 3 Septembre 1943, départ pour Casablanca, au CFPNA.
- Embarquement pour les USA le 15.10.1943 sur l' "Empress of Scotland", avec le 5ème détachement du CFPNA. Départ le 16.
- Craig Field à Selma, Advanced School. Gradué Pilote le 23.05.1944 avec 244 heures de vol . (Brevet N° 30 457).
- Arrivé à Oscoda Air Base dans le Michigan le 20.07.1944 pour entrainement sur P.47 Thunderbolt. Après la qualification sur cet appareil, désigné comme instructeur jusqu'en janvier 1946 (575 heures de vol sur P-47).
PRESENTATION GENERALE DE LA 3AF
L'Association Aéronautique et Astronautique de France est la Société Savante française, carrefour potentiel des compétences qui a la mission de :
o Rassembler des personnes physiques et morales concernées par les sciences et techniques de l'Aéronautique et de l'Astronautique,
pour des raisons professionnelles ou pour des raisons personnelles de curiosité, de culture, de passion
o Distinguer parmi ses membres les meilleurs spécialistes au niveau international
o Favoriser des contacts fréquents avec d'autres membres, dans sa spécialité ou hors de sa spécialité, tout particulièrement pour les plus jeunes ;
o Développer une importante source d'informations spécialisées
o Constituer une tribune qui permette à ses membres de faire connaître leur point de vue et leurs travaux.
o Représenter l'ensemble de ses membres auprès d'autres sociétés scientifiques et techniques françaises ou étrangères, auprès des fédérations aérospatiales.
Son activité est en grande partie liée à celle de l'industrie et de la recherche, c'est-à-dire en France à celle des industries aéronautiques, spatiales et des hautes technologies associées. L'AAAF est aussi en relation étroite avec les services et organismes d'Etat.
Cependant, elle offre pour la genèse et la diffusion des idées une voie distincte de l'industrie et des instances gouvernementales, celle d'une société savante.
Par les moyens d'expression offerts à ses membres, qu'ils soient ingénieurs, techniciens , chercheurs ou étudiants, l'AAAF leur permet de faire connaître leurs travaux, leurs points de vue, leurs productions ou leurs aspirations.
Editorial du Président Michel SCHELLER de l'Association 3AF dans son numéro de mai/juin 2008:
Dans le monde entier, les communications sur des phénomènes aériens non identifiés se multiplient : points lumineux dans la nuit, se déplaçant seuls ou en groupe, objets volants en forme de soucoupes ou de cigares, capables d’accélérations de très loin supérieures à celles des avions actuels… En témoignent le nombre impressionnant des vidéos d’amateurs qui fleurissent sur l’Internet, avec leur lot de vidéos sans
doute truquées et de canulars, mais aussi – et c’est nouveau – de films réalisés par des services officiels, notamment ceux des armées de l’air.
Ces phénomènes ne sont pourtant pas nouveaux : des manifestations ont été régulièrement rapportées dans la presse, durant et surtout depuis la fin de la seconde guerre mondiale. Les gouvernements de tous les pays ont toujours été extrêmement discrets sur ces manifestations
et bon nombre d’événements et de témoignages ont été ignorés ou classifiés sous le sceau de la protection « Secret Défense ».
Depuis une dizaine d’années, des citoyens de tous les pays commencent à réclamer la déclassification de ces dossiers et la reconnaissance officielle de ces phénomènes, prélude indispensable à leur étude scientifique et à la diffusion d’une information objective auprès du public.
La France est le seul pays où l’étude scientifique et la collecte des Phénomènes Aériens Non identifiés (PAN) a été confiée, dès 1977, à un organisme officiel et civil, le Cnes, à travers un Groupe d’Etudes, le GEPAN. Les sources d’information et d’observation du GEPAN proviennent principalement de protocoles d’accord entre le Cnes, la Gendarmerie, l’Aviation civile, l’Armée de l’air et Météo-France.
En 2005, le GEPAN ajoute à ses missions une composante informationnelle essentielle en devenant le GEIPAN, le Groupe d’Etudes et d’Information des Phénomènes Aérospatiaux Non-identifiés.
En dehors des associations ufologiques regroupant des personnes de tous horizons, les dossiers du GEIPAN sont néanmoins peu connus, particulièrement du grand public et aussi, paradoxalement, des milieux scientifiques.
Au contraire du grand public qui se partage entre crédules ouverts à toutes les manipulations et sceptiques fermés à toutes les évidences, les scientifiques refusent en général de se prononcer en public sur le sujet tout en avouant souvent en privé être demandeurs d’informations
fiables et de qualité, à partir desquelles ils pourraient, en exerçant leur esprit critique, effectuer leur propre analyse et leur propre synthèse.
Ces informations fiables et de qualité existent mais leur mise à disposition nécessite encore un travail important d’analyse, de recoupement et de synthèse que les journalistes des medias classiques ne sont pas encore prêts d’accomplir, qui traitent encore ces phénomènes de façon ponctuelle, souvent avec ironie ou comme de simples sujets de divertissement.
La 3AF, en tant que société savante des domaines aéronautique, spatial et de défense, se sent tout particulièrement concernée par les phénomènes aériens non identifiés ; elle entend répondre de la manière la plus rigoureuse et objective possible à ce manque d'information
.
C’est dans cet esprit que nous avons décidé de créer la Commission 3AF-PAN, dédiée à cette question.
Autour d’Alain BOUDIER s’est constituée une équipe multidisciplinaire composée de Pierre BESCOND, Jean-François CLERVOY, Khoa DANG-TRAN, Paul KUENTZMANN et Xavier PASCO, qui accueillera d’autres membres au fil de ses investigations.
Le travail de cette commission se fera en toute transparence en recherchant la meilleure articulation avec les organismes officiels existants. Son activité se concrétisera par la publication d’articles dans la Lettre 3AF, consacrés à des témoignages, des analyses de documents officiels, des lectures critiques de livres, des synthèses de sources Internet…
Nous avons la conviction, du moins nous en formulons le souhait, que la qualité des travaux de cette commission lui permettra, de susciter non seulement votre intérêt, chers adhérents, mais également celui du grand public, et aussi de constituer un relais critique d’opinion pour la diffusion des informations en provenance des services officiels.
Source: http://www.aaafasso.fr/DOSSIERSAAAF/DOSS.ACCES_LIBRE/Extraits_de_La_Lettre/Edito_Lettre_3AF_n_5-08.pdf
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- Rémy.FModérateur
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Re: Pilote: Propos de Jean Kisling
Dim 07 Sep 2008, 11:16
Très bon témoignage de pilote sur les milliers de cas !
Ce sont les preuves les plus convaincantes de l'existence des ovnis.
Ce sont les preuves les plus convaincantes de l'existence des ovnis.
_______________________________________
Pourquoi ignorer ce qui est vrai ?
- Lucas.CEquipe du forum
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Re: Pilote: Propos de Jean Kisling
Lun 08 Sep 2008, 17:51
Merci Derek3D pour ce fabuleux témoignage. Une fois de plus, un pilote nous confie ce qu'il a vécu et cette fois avec une multitude de témoins dont les yeux étaient tous fixés sur son appareil.
Ce qui est surprenant, c'est que sur ces 1000 personnes témoins de ce phénomène, aucunes d'entre elles n'aura révélé quoi que ce soit durant toutes ces années. Quelle pression !!!
Je comprend mieux cet acharnement de la part des militaires à nous faire croire systématiquement qu'il s'agit de ballons lorsqu'un témoin relate une observation d'ovni.
Ils sera plus facile pour eux, le jour ou la vérité éclatera au grand jour, de nous "prouver" qu'ils étaient de bonne foi !
Pour eux s'agissant de ballons, il n'y avait aucune raison de mener une enquête plus approfondie.
1945 ? Tiens...
Moi qui suit très fort en calcul , je peux vous affirmer que c'est 2 ans avant 1947.
1947 ? Tiens...
On aurait pas retrouvé un ballon quelque part aux USA cette année là ?
Dommage parce que là, le ballon se transforme en soucoupe...
Ce qui n'est pas courant en météorologie.
cordialement
Ce qui est surprenant, c'est que sur ces 1000 personnes témoins de ce phénomène, aucunes d'entre elles n'aura révélé quoi que ce soit durant toutes ces années. Quelle pression !!!
Je comprend mieux cet acharnement de la part des militaires à nous faire croire systématiquement qu'il s'agit de ballons lorsqu'un témoin relate une observation d'ovni.
Ils sera plus facile pour eux, le jour ou la vérité éclatera au grand jour, de nous "prouver" qu'ils étaient de bonne foi !
Pour eux s'agissant de ballons, il n'y avait aucune raison de mener une enquête plus approfondie.
1945 ? Tiens...
Moi qui suit très fort en calcul , je peux vous affirmer que c'est 2 ans avant 1947.
1947 ? Tiens...
On aurait pas retrouvé un ballon quelque part aux USA cette année là ?
Dommage parce que là, le ballon se transforme en soucoupe...
Ce qui n'est pas courant en météorologie.
cordialement
- Pilote: Jean-Gabriel Greslé (1990)
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