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Série d'été avec le Geipan sur la Dépêche .fr
Mar 23 Aoû 2022, 00:53
Bonsoir
Après Ouest France c'est la Dépêche.fr qui consacre quelques articles aux ovnis
Je mets les articles qui sont accessibles sans être abonné :
SÉRIE D'ÉTÉ (1/6). Phénomènes mystérieux dans le ciel : les étranges paquebots volants
Profitant de leur récente retraite, Patrick et Martine* cherchent un petit gîte pour passer quelques jours au bord de la mer. Leur choix se porte finalement sur Vence, dans les Alpes-Maritimes.
La nuit du 9 octobre 2016, alors que le couple profite de la quiétude de leur jardin, l’œil de Patrick est attiré par des drôles de lumières. Il est 0 h 13 exactement. "Au-dessus de l’horizon, bien au-dessus du niveau de la mer, deux formes allongées très lumineuses et assez grandes semblaient flotter dans le ciel". Médusé, Patrick interpelle sa compagne.
Martine lève les yeux à son tour. « Ce doit être sûrement des bateaux », répond-elle instinctivement. « Des bateaux ? Tu vois bien qu’ils sont au-dessus de la haie qui cache d’habitude la mer », poursuit Patrick. voir la suite ►ICI
SÉRIE D'ÉTÉ (6/6). Phénomènes mystérieux dans le ciel : observation étrange près d'une base militaire déjà relaté dans la série du journal Ouest-France consacrée aux ovnis mais seulement la partie accessible aux non abonnés
Le 13 janvier 2020, Cyril*, un militaire à la retraite reconverti dans le transport de personnes, démarre sa journée de travail. Sur le pied de guerre alors que le soleil n’est toujours pas levé, il doit faire, comme à son habitude, le tour des hameaux isolés de la presqu’île de Crozon pour récupérer les enfants et les amener à l’école.
"C’est la Bretagne profonde avec son paysage de Landes. Nous sommes à la fois en bord de mer et à la campagne", décrit Antoine Cousyn, 52 ans, enquêteur au GEIPAN, installé à Pont-Aven dans le Finistère.
Pluie, vent et... rectangles de lumière
Il est environ 7h40 du matin quand Cyril met le contact de son fourgon. C’est la nuit noire, le vent souffle particulièrement fort, le ciel couvert de nuages bien gris déverse des trombes d’eau sur la presqu’île. Mais il en faut plus pour décourager cet ancien militaire, habitué à la météo capricieuse bretonne.
"Il était seul sur la route, il n’y avait aucun marquage au sol ni de lampadaire", poursuit l’enquêteur. À un moment, sur un chemin vicinal qui tournait légèrement à droite, Cyril aperçoit sur sa gauche, derrière des bosquets de pins assez haut, "deux rectangles horizontaux rouge vif, très grands , lumineux et immobiles".
Un troisième objet
Étonné face à ce spectacle pour le moins inattendu, le chauffeur ralentit mais continue de rouler, tout en surveillant du coin de l'œil les deux rectangles rouges. "En avançant, il se rend compte qu’un troisième rectangle était masqué par la cime des arbres", se rappelle Antoine Cousyn.
Ne sachant comment réagir, Cyril poursuit son chemin mais l’inquiétude commence à le gagner. Quelques dizaines de mètres plus tard, la route forme une sorte de T. L’ancien militaire s’avance d'une allure lente vers le croisement et remarque que les phénomènes se déplacent en même temps que lui. La distance qui le sépare d’eux tend à diminuer également. Et alors que son véhicule était secoué par le vent, les objets lumineux semblent eux insensibles aux conditions climatiques.
De taille imposante
"Quand il arrive au niveau du 'cédez-le passage', les trois phénomènes se trouvent en hauteur, face à lui et occupent toute la largeur de son pare-brise", raconte l’enquêteur. Selon les calculs réalisés, les objets devaient être imposants.
"Il est compliqué de donner un chiffre exact. La longueur d'un objet peut être difficilement estimée surtout de nuit et s'il est de nature inconnue. Physiologiquement ça ne peut pas se faire. Et comme les estimations de taille se basent sur les estimations de distance, l’exercice peut s’avérer très délicat. C’est pour ça qu’on réalise plusieurs estimations afin d'avoir une idée de la grandeur du phénomène", tient à rappeler Antoine Cousyn.
Résultat, si le phénomène, pris dans son ensemble, se trouvait à 30 m de distance, il devait faire 16 m de long, à 50 m de distance, il faisait 27 m de longueur…
Deux minutes de spectacle
À l’intersection, le spectacle dure une trentaine de secondes. Une éternité pour Cyril qui, obnubilé par cette étrange apparition, n’a eu à aucun moment la présence d’esprit de se saisir de son téléphone, pourtant posé à côté de lui sur le siège passager, afin d’immortaliser la scène.
"Soudain, les phénomènes s'éloignent, face à lui, en diminuant de taille et en 'ricochant', comme s'ils suivaient les collines du paysage vallonné de Crozon. Ils finissent par disparaître, un peu plus loin, au niveau du sémaphore militaire de Morgat", détaille l’enquêteur. Au total, l’observation a duré près de deux minutes
Pendant six mois, l’ancien militaire garde ce qu’il a vu pour lui. De peur qu’on se moque de lui ou qu’on remette en doute son témoignage, même sa famille n’est pas mise dans la confidence. Ce n’est qu’en regardant un documentaire à la télévision où le GEIPAN est évoqué, que Cyril décide enfin de se libérer de son lourd secret.
Un témoignage crédible
Sans photos, ni autre témoin, l’enquêteur en charge du dossier n’a donc que les informations de Cyril pour démarrer ses investigations. Il est donc impératif de vérifier la crédibilité du témoignage.
"Nous sommes régulièrement formés pour mener des entretiens cognitifs. Nos méthodes sont basées sur celles des auditions judiciaires. Nous suivons un mode opératoire très précis qui nous permet entre autres de faire ressortir les souvenirs des témoins et de détecter les faux témoignages. Et ça marche très bien", précise Antoine Cousyn.
Hasard du calendrier, l’enquête tombe pendant le premier confinement. Épaulé par une seconde enquêtrice, qui a décidé de garder son anonymat, "nous avons donc fait un mixte : une enquête présentielle avec moi sur place et une seconde à distance avec ma collègue en visioconférence".
Plusieurs bases militaires
Les recherches ont été particulièrement délicates, compte tenu de la nature sensible secteur. "Crozon est un environnement très militarisé, avec notamment la base de l’île longue qui abrite des sous-marins nucléaires, celle de Lanvéoc-Poulmic et le sémaphore de Morgat", complète-t-il.
Après avoir lu le rapport d’enquête, Vincent Coste, le responsable du GEIPAN, a préconisé un passage en commission d’expertise. "C'est un panel d’une quinzaine d’experts qui se réunit régulièrement pour examiner les cas les plus complexes", note l'enquêteur. En général, les futurs cas classés D. C’est-à-dire, les phénomènes inexpliqués dans l’état actuel de nos connaissances avec une forte étrangeté.
Deux ans et demi après cette étrange rencontre, le dossier est en passe d’être clos. "Malgré notre enquête très poussée dont une démarche auprès de la base d'Aéronautique Navale de Lanvéoc-Poulmic, nous ne sommes pas en mesure d’expliquer le phénomène ", conclut Antoine Cousyn.
Ce cas devrait dons prochainement être classé D, "le phénomène reste inexpliqué , mais pas forcément inexplicable". Des futures avancées techniques ou scientifiques pourront peut-être apporter un début de réponse d’ici quelques années… ou pas.
**********************************************************************************
Il est inquiétant que ce dossier ne trouve pas d'explication car sur la presqu'il de Crozon se trouve l'île Longue qui est la base opérationnelle de la Force océanique stratégique française. Elle compte deux installations nucléaires de base secrètes.
Or, l'ile longue se trouve à 15 kms (à vol d'oiseau) seulement du sémaphore militaire de Morgat où ces phénomènes ont disparu
C'est là que l'on peut comprendre clairement la nécessité de ne pas attendre lorsqu'on observe un phénomène insolite et donc de respecter ceux qui ont le courage de témoigner
Peut-être est-ce là le plus grand intérêt des révélation du Pentagone en juin 2021 et de ce qui s'en suit : délivrer la parole des militaires
Bien cordialement
Loreline
Après Ouest France c'est la Dépêche.fr qui consacre quelques articles aux ovnis
Je mets les articles qui sont accessibles sans être abonné :
SÉRIE D'ÉTÉ (1/6). Phénomènes mystérieux dans le ciel : les étranges paquebots volants
Profitant de leur récente retraite, Patrick et Martine* cherchent un petit gîte pour passer quelques jours au bord de la mer. Leur choix se porte finalement sur Vence, dans les Alpes-Maritimes.
La nuit du 9 octobre 2016, alors que le couple profite de la quiétude de leur jardin, l’œil de Patrick est attiré par des drôles de lumières. Il est 0 h 13 exactement. "Au-dessus de l’horizon, bien au-dessus du niveau de la mer, deux formes allongées très lumineuses et assez grandes semblaient flotter dans le ciel". Médusé, Patrick interpelle sa compagne.
Martine lève les yeux à son tour. « Ce doit être sûrement des bateaux », répond-elle instinctivement. « Des bateaux ? Tu vois bien qu’ils sont au-dessus de la haie qui cache d’habitude la mer », poursuit Patrick. voir la suite ►ICI
SÉRIE D'ÉTÉ (6/6). Phénomènes mystérieux dans le ciel : observation étrange près d'une base militaire déjà relaté dans la série du journal Ouest-France consacrée aux ovnis mais seulement la partie accessible aux non abonnés
Le 13 janvier 2020, Cyril*, un militaire à la retraite reconverti dans le transport de personnes, démarre sa journée de travail. Sur le pied de guerre alors que le soleil n’est toujours pas levé, il doit faire, comme à son habitude, le tour des hameaux isolés de la presqu’île de Crozon pour récupérer les enfants et les amener à l’école.
"C’est la Bretagne profonde avec son paysage de Landes. Nous sommes à la fois en bord de mer et à la campagne", décrit Antoine Cousyn, 52 ans, enquêteur au GEIPAN, installé à Pont-Aven dans le Finistère.
Pluie, vent et... rectangles de lumière
Il est environ 7h40 du matin quand Cyril met le contact de son fourgon. C’est la nuit noire, le vent souffle particulièrement fort, le ciel couvert de nuages bien gris déverse des trombes d’eau sur la presqu’île. Mais il en faut plus pour décourager cet ancien militaire, habitué à la météo capricieuse bretonne.
"Il était seul sur la route, il n’y avait aucun marquage au sol ni de lampadaire", poursuit l’enquêteur. À un moment, sur un chemin vicinal qui tournait légèrement à droite, Cyril aperçoit sur sa gauche, derrière des bosquets de pins assez haut, "deux rectangles horizontaux rouge vif, très grands , lumineux et immobiles".
Un troisième objet
Étonné face à ce spectacle pour le moins inattendu, le chauffeur ralentit mais continue de rouler, tout en surveillant du coin de l'œil les deux rectangles rouges. "En avançant, il se rend compte qu’un troisième rectangle était masqué par la cime des arbres", se rappelle Antoine Cousyn.
Ne sachant comment réagir, Cyril poursuit son chemin mais l’inquiétude commence à le gagner. Quelques dizaines de mètres plus tard, la route forme une sorte de T. L’ancien militaire s’avance d'une allure lente vers le croisement et remarque que les phénomènes se déplacent en même temps que lui. La distance qui le sépare d’eux tend à diminuer également. Et alors que son véhicule était secoué par le vent, les objets lumineux semblent eux insensibles aux conditions climatiques.
De taille imposante
"Quand il arrive au niveau du 'cédez-le passage', les trois phénomènes se trouvent en hauteur, face à lui et occupent toute la largeur de son pare-brise", raconte l’enquêteur. Selon les calculs réalisés, les objets devaient être imposants.
"Il est compliqué de donner un chiffre exact. La longueur d'un objet peut être difficilement estimée surtout de nuit et s'il est de nature inconnue. Physiologiquement ça ne peut pas se faire. Et comme les estimations de taille se basent sur les estimations de distance, l’exercice peut s’avérer très délicat. C’est pour ça qu’on réalise plusieurs estimations afin d'avoir une idée de la grandeur du phénomène", tient à rappeler Antoine Cousyn.
Résultat, si le phénomène, pris dans son ensemble, se trouvait à 30 m de distance, il devait faire 16 m de long, à 50 m de distance, il faisait 27 m de longueur…
Deux minutes de spectacle
À l’intersection, le spectacle dure une trentaine de secondes. Une éternité pour Cyril qui, obnubilé par cette étrange apparition, n’a eu à aucun moment la présence d’esprit de se saisir de son téléphone, pourtant posé à côté de lui sur le siège passager, afin d’immortaliser la scène.
"Soudain, les phénomènes s'éloignent, face à lui, en diminuant de taille et en 'ricochant', comme s'ils suivaient les collines du paysage vallonné de Crozon. Ils finissent par disparaître, un peu plus loin, au niveau du sémaphore militaire de Morgat", détaille l’enquêteur. Au total, l’observation a duré près de deux minutes
Pendant six mois, l’ancien militaire garde ce qu’il a vu pour lui. De peur qu’on se moque de lui ou qu’on remette en doute son témoignage, même sa famille n’est pas mise dans la confidence. Ce n’est qu’en regardant un documentaire à la télévision où le GEIPAN est évoqué, que Cyril décide enfin de se libérer de son lourd secret.
Un témoignage crédible
Sans photos, ni autre témoin, l’enquêteur en charge du dossier n’a donc que les informations de Cyril pour démarrer ses investigations. Il est donc impératif de vérifier la crédibilité du témoignage.
"Nous sommes régulièrement formés pour mener des entretiens cognitifs. Nos méthodes sont basées sur celles des auditions judiciaires. Nous suivons un mode opératoire très précis qui nous permet entre autres de faire ressortir les souvenirs des témoins et de détecter les faux témoignages. Et ça marche très bien", précise Antoine Cousyn.
Hasard du calendrier, l’enquête tombe pendant le premier confinement. Épaulé par une seconde enquêtrice, qui a décidé de garder son anonymat, "nous avons donc fait un mixte : une enquête présentielle avec moi sur place et une seconde à distance avec ma collègue en visioconférence".
Plusieurs bases militaires
Les recherches ont été particulièrement délicates, compte tenu de la nature sensible secteur. "Crozon est un environnement très militarisé, avec notamment la base de l’île longue qui abrite des sous-marins nucléaires, celle de Lanvéoc-Poulmic et le sémaphore de Morgat", complète-t-il.
Après avoir lu le rapport d’enquête, Vincent Coste, le responsable du GEIPAN, a préconisé un passage en commission d’expertise. "C'est un panel d’une quinzaine d’experts qui se réunit régulièrement pour examiner les cas les plus complexes", note l'enquêteur. En général, les futurs cas classés D. C’est-à-dire, les phénomènes inexpliqués dans l’état actuel de nos connaissances avec une forte étrangeté.
Deux ans et demi après cette étrange rencontre, le dossier est en passe d’être clos. "Malgré notre enquête très poussée dont une démarche auprès de la base d'Aéronautique Navale de Lanvéoc-Poulmic, nous ne sommes pas en mesure d’expliquer le phénomène ", conclut Antoine Cousyn.
Ce cas devrait dons prochainement être classé D, "le phénomène reste inexpliqué , mais pas forcément inexplicable". Des futures avancées techniques ou scientifiques pourront peut-être apporter un début de réponse d’ici quelques années… ou pas.
**********************************************************************************
Il est inquiétant que ce dossier ne trouve pas d'explication car sur la presqu'il de Crozon se trouve l'île Longue qui est la base opérationnelle de la Force océanique stratégique française. Elle compte deux installations nucléaires de base secrètes.
Or, l'ile longue se trouve à 15 kms (à vol d'oiseau) seulement du sémaphore militaire de Morgat où ces phénomènes ont disparu
C'est là que l'on peut comprendre clairement la nécessité de ne pas attendre lorsqu'on observe un phénomène insolite et donc de respecter ceux qui ont le courage de témoigner
Peut-être est-ce là le plus grand intérêt des révélation du Pentagone en juin 2021 et de ce qui s'en suit : délivrer la parole des militaires
Bien cordialement
Loreline
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Série d'été avec le Geipan sur la Dépêche .fr
Mer 24 Aoû 2022, 00:21
Superbe l'observation des ''paquebots volants'', déçu par la conclusion...
Dans Indépendance Day 2, le vaisseau mère faisait 1000kms de diamètre.
Il y a des civilisations qui se déplacent dans l'Univers dans des vaisseaux gigantesques, ce sont des scientifiques qui le disent...
GEIPAN poil à gratter...
Dans Indépendance Day 2, le vaisseau mère faisait 1000kms de diamètre.
Il y a des civilisations qui se déplacent dans l'Univers dans des vaisseaux gigantesques, ce sont des scientifiques qui le disent...
GEIPAN poil à gratter...
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