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- Benjamin.dResponsable du forum
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(1990) La photo du triangle de Petit Rechain en Belgique
Jeu 29 Mai 2008, 19:59
(1990) La photo du triangle de Petit Rechain en Belgique
Auteur: monsieur P.... M....
Lieu: Petit Rechain, Belgique
Date: 04/04/1990
Description: A la fin de l'année 1989, une véritable vague d'OVNI converge sur les cieux belges, particulièrement au dessus de la Wallonie. Des milliers de personnes rapportent avoir aperçu des engins volants triangulaires dans le ciel, ayant des caractéristiques de vol qui sont totalement impossible pour les appareils volants d'origine humaine. L'un des aspects les plus remarquables de ces milliers de témoignages est que l'OVNI décrit est bien défini et semble être quasiment toujours du même type.
Mon commentaire suite aux aveux de l'auteur: "Voici un canular qui va faire beaucoup de mal à l'ufologie. Le risque d'un amalgame est grand, les gens vont penser que l'ensemble de la vague belge est une supercherie ce qui est archi faux. L'auteur de la photo ne sait pas le mal qu'il fait aux témoins. Des années de sensibilisation au phénomène ovni qui partent en fumée. Cette photo s'est insérée dans l'affaire de la vague belge comme un ver dans une pomme. Il sera difficile d'échapper aux raccourcis faciles "si la photo est fausse tout est faux même les observations". Les faux réalisés au milieu d'une vague d'observation reçoivent toujours une grande attention car ils sont en général spectaculaires. Ce genre de blague de très mauvais goût risque de décourager pas mal de monde dans le milieu. "
Nous vous encourageons vivement à consulter l'ensemble du dossier : https://www.forum-ovni-ufologie.com/f102-la-vague-ovni-belge-1989-1992
Il est possible de témoigner ici (c'est important il n'est jamais trop tard): https://www.forum-ovni-ufologie.com/h32-formulaire-de-temoignage-ovni
Présentation générale
Le 4 avril 1990 vers 22 heures près de Verviers, deux témoins, Mlle S. et son ami Monsieur P.M. ont vu dans le ciel trois feux blancs et ronds, formant un triangle aux bords indistincts dans la nuit, avec un point lumineux au centre du triangle, l'ensemble restant parfaitement immobile.
Sortie comme chaque soir pour emmener son chien faire un besoin naturel, Mlle S. (18 ans, étudiante) a vu la première les étranges lumières, à environ 150 m d'altitude. Surprise, elle court chercher son fiancé resté à la maison.
M. P. (20 ans à l'époque, tourneur-ajusteur dans une entreprise locale) prend alors son appareil photo de qualité (Reflex Praktica BX20, zoom de 55/200 mm) chargé d'un rouleau de diapositives de grain fin et de haute sensibilité (Kodak Ektachrome, 200 ASA), le cale contre un mur, et a pris soigneusement deux clichés, dont un seul s'est révélé réussi, malgré le soin apporté (pause B de 1 seconde, appui sur l'arête d'un mur). La chose n'était pas vraiment silencieuse, émettant un léger et inhabituel sifflement. Sitôt photographié l'ovni est parti, assez lentement, "pointe" en avant. La scène n'a duré que cinq minutes.
Sur les deux diapos une seule, la première, montre quelque chose. Et encore, l'image ne ressemble pas vraiment à ce que le photographe a vu de ses yeux. Par exemple, là où il a vu des lumières blanches de forme ronde, l'image montre des arcs de cercle, des tâches en forme de banane. Quant à la deuxième diapo, elle est toute noire et atterrit dans la poubelle.
Ce cas fameux est décrit et analysé en profondeur dans l'article "Analyse et implications physiques de deux photos de la vague belge" par A. MEESSEN, Professeur à l'U.C.L., paru dans le N°100 de la revue Inforespace en 2000, et publié sur Internet en 2001.
Dans son article le Pr Meessen arrive à ce résultat essentiel : la différence entre ce qui a été enregistré sur la pellicule photographique et ce qui a été perçu visuellement s'explique très bien en admettant qu'il s'agissait de lumière ultraviolette. Il a été démontré expérimentalement que cette lumière a pu traverser l'objectif et être enregistré sur la diapositive. La présence de lumière UV devant ce qui fut décrit comme étant des phares énormes et le fait qu'il y eut une association avec les mouvements de l'ovni ouvre un nouveau champ d'investigation. Il lie la propulsion des ovnis et les faisceaux de « lumière solide » à la physique des plasmas. C'est cela qui importe, en fin de compte, en conjonction avec toute une série d'autres indices, dont le déchiffrement n'est pas immédiat, mais important.
Le 5 mai 1997, la SOBEPS a organisé une " journée d'étude consacrée à la photographie dite de Petit-Rechain ". Elle eut lieu à l'Ecole Royale Militaire, pour donner l'occasion à tous les scientifiques qui avaient étudié cette photo d'en discuter entre eux. Ont participé: Marc Acheroy, Michel Bougard, Léon Brenig, Lucien Clerebaut, Patrick Ferryn, François Louange, Monsieur P. M. qui a pris la photo, Auguste Meessen, Emil Schweicher et Isabelle Stengers.
P. Magain avait été invité par P. Ferryn et il avait accepté d'y présenter son expérience de trucage et ses conclusions, mais juste quelques jours avant le 5 mai, il s'est désisté. Dès que le Pr Meessen en a eu connaissance, il a contacté d'autres membres de l'Institut d'astrophysique de l'Université de Liège, signataires des fameux communiqués de presse, mais personne n'a voulu venir.
Les expertises
Cette photo a par ailleurs été longuement étudiée par des experts photographes et scientifiques, qui tous concluent à son étrangeté et à son caractère inexplicable :
P. Ferryn, expert en analyse photo de la SOBEPS en 1990
le Pr Marc Acheroy de l'Ecole Royale Militaire, Bruxelles, a effectué une analyse par ordinateur très poussée en 1990 (in VOB.1. p. 416-418 et VOB.2. p. 234-240)
Richard F. Haines, (Palo Alto, Californie) spécialiste américain de la psychologie de la perception en 1993
D. Soumeryn-Schmit, chef du service photographique de l'Institut Royal du Patrimoine Artistique à Bruxelles en 1993
François Louange (Fleximage, Arcueil) a effectué une analyse par ordinateur en 1993
A. Marion (CNRS, Institut d'Optique d'Orsay) a effectué une contre-analyse par ordinateur en 2002.
Cette dernière analyse fut présentée le 1er octobre 2003 au Dr François Louange au siège de Fleximage à Arcueil. En voici le contenu, tiré du VSD hors série N°6 nov 2003, page 37-39, et qui confirme les résultats des études précédentes :
La célèbre diapositive de Petit-Rechain a été analysée dans les années 1990 par plusieurs spécialistes de l'imagerie scientifique,en particulier Marc Acheroy (Ecole royale militaire, Bruxelles),François Louange (société Fleximage, Paris) et Richard F.Haines (Los Altos, Californie); le 15 octobre 2001, Patrick Ferryn, de la SOBEPS (Société belge d'étude des phénomènes spatiaux), nous confia cette diapositive afin que nous l'analysions à notre tour à l'aide des dernières techniques de traitement numérique des images utilisées à l'Institut d'optique théorique et appliquée d'Orsay. Le but de sa démarche était de comparer nos résultats avec ceux de nos prédécesseurs, de mettre éventuellement en évidence des informations supplémentaires et, si possible, de tirer des conclusions quant à l'authenticité du document et à la nature de l'objet photographié.
Voir les photos (haute qualité 800 KO)
Observation d'ensemble de la diapositive
Dans une première étape, nous avons procédé à l'observation visuelle du film, après l'avoir extrait de son cache, puis à sa numérisation par transparence à l'aide d'un scanner à plat Agfa Duoscan T1200. Nos constatations recoupent celles de nos prédécesseurs :
- Le cadre de la photo est parfaitement net et sans dédoublement, même si on l'observe avec un contraste fortement augmenté; ceci exclut une manipulation du type double ou multiple exposition lors de la prise de vue.
- Il paraît difficile d'envisager un trucage fait à l'aide d'une maquette ou de tout autre dispositif analogue. Cela sera confirmé par les traitements numériques (voir plus loin).
- On ne peut davantage imaginer un montage vidéo ou l'utilisation d'images de synthèse : les caractéristiques propres à de telles images n'apparaissent pas sur la diapositive, même en augmentant considérablement les contrastes.
Bien qu'il ne faille rien exclure, il semble donc très probable que la photo analysée soit bien celle d'un objet matériel vu sur un fond de ciel, objet ou engin d'origine néanmoins non identifiée jusqu'à ce jour.
Numérisation du cliché
Dans une seconde étape, nous avons effectué une numérisation précise de la diapositive à l'aide d'un scanner de films 35 mm Canon offrant une résolution optique de 2 720 points/pouce, ce qui équivaut à une taille de pixel de moins de 10 micromètres. Cette dimension est bien supérieure à celle du grain du film (de l'ordre du micromètre), mais largement inférieure à celle des plus petits détails significatifs contenus dans l'image, lesquels ne sont jamais inférieurs à 20 micromètres.
En dehors des quatre taches très lumineuses, l'image est presque noire et très peu contrastée. Il était donc indispensable d'avoir, dès la numérisation, un rapport signal à bruit aussi bon que possible afin de saisir les plus faibles nuances, même dans les parties les plus sombres du cliché. Dans ce ,but, nous avons utilisé une technique consistant à faire la moyenne entre de multiples numérisations successives :
En numérisant n fois la diapositive dans les mêmes conditions, on diminue la partie du bruit d'image due à l'électronique de mesure par le facteur (1/sqrt(n)?) .
En numérisant la diapositive en position normale, puis tournée de 90°,180° et 270°, il est possible de moyenner le bruit fixe dû à la structure du CCD (non uniformité de réponse des photosites de la barrette). Pour cela, il faut évidemment recaler les images au pixel près à l'aide d'un logiciel approprié afin qu'elles se superposent parfaitement.
On peut également diminuer de façon sensible l'influence du bruit de quantification (les pixels sont codés sur 8 bits, c'est-à-dire 256 niveaux, par couleur) en faisant la moyenne des numérisations du film en mode film positif et en mode film négatif (après complémentation des valeurs à 255), car les courbes de réponse du scanner ne sont pas les mêmes dans les deux modes.
Ayant ainsi obtenu une image moyenne finale avec ses trois composantes rouge, verte et bleue, nous n'avons conservé qu'une zone carrée d'environ 2 centimètres de côté entourant l'objet, ce carré comportant 2 430 x 2 430 pixels. Enfin, compte tenu de la taille des plus petits détails visibles (environ 20 micromètres, ainsi qu'il a été dit plus haut), nous avons dimensionné cette zone sur 1 024 x 1 024 pixels en interpolant entre les pixels (fig. 1), ceci afin de ne pas manipuler de trop grandes images et ne pas augmenter inutilement les temps de calcul.
Résultats des traitements numériques
1. Une accentuation des contrastes permet de faire apparaître le contour de l'objet (fig. 2), en particulier sur la composante bleue (fig. 3). Ce contour a la forme d'un triangle isocèle ABC quasiment rectangle en A, complété du côté de sa base par un quadrilatère BCED très proche d'un rectangle. Compte tenu de l'angle de prise de vue, il est probable que les angles A, D et E soient des angles droits et que l'objet soit horizontal. Sur l'objet, très sombre, se détachent quatre taches fortement lumineuses que, pour simplifier, nous appellerons « feux ». Trois de ces feux sont proches des extrémités A, D et E de l'objet, tandis que le quatrième est situé à peu près au milieu de la hauteur AH abaissée du sommet A sur la base DE (fig. 4). En l'absence de repère, il n'est pas possible d'estimer la taille de l'engin ni sa distance.
Certaines régions du contour sont quasiment nettes alors que d'autres sont floues, indiquant un déplacement relatif de l'objet et du film. L'explication qui paraît la plus vraisemblable est que l'objet a effectué un mouvement pendant le temps d'exposition, l'appareil photo étant resté fixe, mais on ne peut exclure un léger bougé de l'appareil. Les deux positions extrêmes sont représentées sur la figure 5.
La forme du flou observé peut s'expliquer par une rotation de l'objet dans l'espace autour d'un axe passant par un point 0 situé pratiquement sur la droite BC et tel que BO = 0,25 BC (fig. 5). L'angle de la rotation est de 5° environ. Nous avons pu reconstituer cet effet de flou par simulation (fig. 6).
La même rotation permet également de retrouver le mouvement d'ensemble subi par les quatre feux, supposés circulaires sur la simulation. Toutefois, les trois feux extérieurs présentent des structures colorées complexes et des déformations que cette rotation globale n'explique pas: les images obtenues impliquent nécessairement des mouvements indépendants pour chacun de ces feux par rapport à l'engin.
2. Divers traitements colorés permettent de faire ressortir un halo lumineux autour de l'objet ainsi que des traînées lumineuses entre les feux, particulièrement entre le feu central et ceux des extrémités (fig. 7). Mais ces traitements, en vraies comme en fausses couleurs, ne permettent pas de tirer de conclusion quant à la nature du halo ni de préciser ce que sont les feux: systèmes d'éclairage et/ou de signalisation ou dispositifs de sustentation et/ou de propulsion de l'engin ?
3. La décomposition de l'image en luminance, teinte et saturation fait apparaître des informations plus riches, particulièrement sur la composante de saturation. Ces informations sont notablement améliorées par des filtrages de fréquences et des compositions colorées. Les traitements nous ont permis de mettre en évidence des directions privilégiées, surtout dans le halo qui entoure l'objet (fig. 8, 9, 10, 11). Ces directions correspondent aux orientations de petits grains lumineux qui, sur l'image, forment une sorte de mouvement tournant autour de l'engin, un peu à la manière de flocons de neige pris dans un vent tourbillonnant. On peut aussi faire l'analogie avec des grains de limaille de fer qui s'orientent selon les lignes du champ magnétique d'un aimant. S'agit-il de Perturbations électro-magnétiques, d'un processus d'ionisation de l'air ? En l'absence d'autres éléments, la nature de ce phénomène est difficile à préciser, d'autant plus qu'il n'est pratiquement pas décelable sur les composantes rouge, verte et bleue de l'image. Ces nouvelles observations sont d'autant plus intéressantes qu'elles semblent susceptibles de conforter certaines théories, comme celle des ondes de plasma ioniques, thèse avancée par Auguste Meessen, professeur émérite à l'université de Louvain, et concernant le système de propulsion de l'engin (propulsion de type magnétoplasmadynamique ).
Quoi qu'il en soit, l'existence de ces «lignes de force » est un argument de poids contre la thèse d'un trucage, lequel serait particulièrement perfectionné. De plus, on ne voit pas très bien pour quelle raison un faussaire se serait donné la peine d'imaginer et de réaliser un phénomène aussi complexe, d'autant plus qu'il n'est pas perceptible sans un traitement sophistiqué du cliché.
Ces photos ont subit un traitement informatique par le professeur M.Acheroy de l'école royale militaire
sur base du cliché original pris par mr P;M à Petit Rechain (province de Liège) au début du mois d'avril 1990 .Copyright G.Mossay/Sobeps/sofam.
Le meilleur format que l'on puisse trouver
Auteur: monsieur P.... M....
Lieu: Petit Rechain, Belgique
Date: 04/04/1990
Description: A la fin de l'année 1989, une véritable vague d'OVNI converge sur les cieux belges, particulièrement au dessus de la Wallonie. Des milliers de personnes rapportent avoir aperçu des engins volants triangulaires dans le ciel, ayant des caractéristiques de vol qui sont totalement impossible pour les appareils volants d'origine humaine. L'un des aspects les plus remarquables de ces milliers de témoignages est que l'OVNI décrit est bien défini et semble être quasiment toujours du même type.
Mon commentaire suite aux aveux de l'auteur: "Voici un canular qui va faire beaucoup de mal à l'ufologie. Le risque d'un amalgame est grand, les gens vont penser que l'ensemble de la vague belge est une supercherie ce qui est archi faux. L'auteur de la photo ne sait pas le mal qu'il fait aux témoins. Des années de sensibilisation au phénomène ovni qui partent en fumée. Cette photo s'est insérée dans l'affaire de la vague belge comme un ver dans une pomme. Il sera difficile d'échapper aux raccourcis faciles "si la photo est fausse tout est faux même les observations". Les faux réalisés au milieu d'une vague d'observation reçoivent toujours une grande attention car ils sont en général spectaculaires. Ce genre de blague de très mauvais goût risque de décourager pas mal de monde dans le milieu. "
Nous vous encourageons vivement à consulter l'ensemble du dossier : https://www.forum-ovni-ufologie.com/f102-la-vague-ovni-belge-1989-1992
Il est possible de témoigner ici (c'est important il n'est jamais trop tard): https://www.forum-ovni-ufologie.com/h32-formulaire-de-temoignage-ovni
Présentation générale
Le 4 avril 1990 vers 22 heures près de Verviers, deux témoins, Mlle S. et son ami Monsieur P.M. ont vu dans le ciel trois feux blancs et ronds, formant un triangle aux bords indistincts dans la nuit, avec un point lumineux au centre du triangle, l'ensemble restant parfaitement immobile.
Sortie comme chaque soir pour emmener son chien faire un besoin naturel, Mlle S. (18 ans, étudiante) a vu la première les étranges lumières, à environ 150 m d'altitude. Surprise, elle court chercher son fiancé resté à la maison.
M. P. (20 ans à l'époque, tourneur-ajusteur dans une entreprise locale) prend alors son appareil photo de qualité (Reflex Praktica BX20, zoom de 55/200 mm) chargé d'un rouleau de diapositives de grain fin et de haute sensibilité (Kodak Ektachrome, 200 ASA), le cale contre un mur, et a pris soigneusement deux clichés, dont un seul s'est révélé réussi, malgré le soin apporté (pause B de 1 seconde, appui sur l'arête d'un mur). La chose n'était pas vraiment silencieuse, émettant un léger et inhabituel sifflement. Sitôt photographié l'ovni est parti, assez lentement, "pointe" en avant. La scène n'a duré que cinq minutes.
Sur les deux diapos une seule, la première, montre quelque chose. Et encore, l'image ne ressemble pas vraiment à ce que le photographe a vu de ses yeux. Par exemple, là où il a vu des lumières blanches de forme ronde, l'image montre des arcs de cercle, des tâches en forme de banane. Quant à la deuxième diapo, elle est toute noire et atterrit dans la poubelle.
Ce cas fameux est décrit et analysé en profondeur dans l'article "Analyse et implications physiques de deux photos de la vague belge" par A. MEESSEN, Professeur à l'U.C.L., paru dans le N°100 de la revue Inforespace en 2000, et publié sur Internet en 2001.
Dans son article le Pr Meessen arrive à ce résultat essentiel : la différence entre ce qui a été enregistré sur la pellicule photographique et ce qui a été perçu visuellement s'explique très bien en admettant qu'il s'agissait de lumière ultraviolette. Il a été démontré expérimentalement que cette lumière a pu traverser l'objectif et être enregistré sur la diapositive. La présence de lumière UV devant ce qui fut décrit comme étant des phares énormes et le fait qu'il y eut une association avec les mouvements de l'ovni ouvre un nouveau champ d'investigation. Il lie la propulsion des ovnis et les faisceaux de « lumière solide » à la physique des plasmas. C'est cela qui importe, en fin de compte, en conjonction avec toute une série d'autres indices, dont le déchiffrement n'est pas immédiat, mais important.
Le 5 mai 1997, la SOBEPS a organisé une " journée d'étude consacrée à la photographie dite de Petit-Rechain ". Elle eut lieu à l'Ecole Royale Militaire, pour donner l'occasion à tous les scientifiques qui avaient étudié cette photo d'en discuter entre eux. Ont participé: Marc Acheroy, Michel Bougard, Léon Brenig, Lucien Clerebaut, Patrick Ferryn, François Louange, Monsieur P. M. qui a pris la photo, Auguste Meessen, Emil Schweicher et Isabelle Stengers.
P. Magain avait été invité par P. Ferryn et il avait accepté d'y présenter son expérience de trucage et ses conclusions, mais juste quelques jours avant le 5 mai, il s'est désisté. Dès que le Pr Meessen en a eu connaissance, il a contacté d'autres membres de l'Institut d'astrophysique de l'Université de Liège, signataires des fameux communiqués de presse, mais personne n'a voulu venir.
Les expertises
Cette photo a par ailleurs été longuement étudiée par des experts photographes et scientifiques, qui tous concluent à son étrangeté et à son caractère inexplicable :
P. Ferryn, expert en analyse photo de la SOBEPS en 1990
le Pr Marc Acheroy de l'Ecole Royale Militaire, Bruxelles, a effectué une analyse par ordinateur très poussée en 1990 (in VOB.1. p. 416-418 et VOB.2. p. 234-240)
Richard F. Haines, (Palo Alto, Californie) spécialiste américain de la psychologie de la perception en 1993
D. Soumeryn-Schmit, chef du service photographique de l'Institut Royal du Patrimoine Artistique à Bruxelles en 1993
François Louange (Fleximage, Arcueil) a effectué une analyse par ordinateur en 1993
A. Marion (CNRS, Institut d'Optique d'Orsay) a effectué une contre-analyse par ordinateur en 2002.
Cette dernière analyse fut présentée le 1er octobre 2003 au Dr François Louange au siège de Fleximage à Arcueil. En voici le contenu, tiré du VSD hors série N°6 nov 2003, page 37-39, et qui confirme les résultats des études précédentes :
La célèbre diapositive de Petit-Rechain a été analysée dans les années 1990 par plusieurs spécialistes de l'imagerie scientifique,en particulier Marc Acheroy (Ecole royale militaire, Bruxelles),François Louange (société Fleximage, Paris) et Richard F.Haines (Los Altos, Californie); le 15 octobre 2001, Patrick Ferryn, de la SOBEPS (Société belge d'étude des phénomènes spatiaux), nous confia cette diapositive afin que nous l'analysions à notre tour à l'aide des dernières techniques de traitement numérique des images utilisées à l'Institut d'optique théorique et appliquée d'Orsay. Le but de sa démarche était de comparer nos résultats avec ceux de nos prédécesseurs, de mettre éventuellement en évidence des informations supplémentaires et, si possible, de tirer des conclusions quant à l'authenticité du document et à la nature de l'objet photographié.
Voir les photos (haute qualité 800 KO)
Observation d'ensemble de la diapositive
Dans une première étape, nous avons procédé à l'observation visuelle du film, après l'avoir extrait de son cache, puis à sa numérisation par transparence à l'aide d'un scanner à plat Agfa Duoscan T1200. Nos constatations recoupent celles de nos prédécesseurs :
- Le cadre de la photo est parfaitement net et sans dédoublement, même si on l'observe avec un contraste fortement augmenté; ceci exclut une manipulation du type double ou multiple exposition lors de la prise de vue.
- Il paraît difficile d'envisager un trucage fait à l'aide d'une maquette ou de tout autre dispositif analogue. Cela sera confirmé par les traitements numériques (voir plus loin).
- On ne peut davantage imaginer un montage vidéo ou l'utilisation d'images de synthèse : les caractéristiques propres à de telles images n'apparaissent pas sur la diapositive, même en augmentant considérablement les contrastes.
Bien qu'il ne faille rien exclure, il semble donc très probable que la photo analysée soit bien celle d'un objet matériel vu sur un fond de ciel, objet ou engin d'origine néanmoins non identifiée jusqu'à ce jour.
Numérisation du cliché
Dans une seconde étape, nous avons effectué une numérisation précise de la diapositive à l'aide d'un scanner de films 35 mm Canon offrant une résolution optique de 2 720 points/pouce, ce qui équivaut à une taille de pixel de moins de 10 micromètres. Cette dimension est bien supérieure à celle du grain du film (de l'ordre du micromètre), mais largement inférieure à celle des plus petits détails significatifs contenus dans l'image, lesquels ne sont jamais inférieurs à 20 micromètres.
En dehors des quatre taches très lumineuses, l'image est presque noire et très peu contrastée. Il était donc indispensable d'avoir, dès la numérisation, un rapport signal à bruit aussi bon que possible afin de saisir les plus faibles nuances, même dans les parties les plus sombres du cliché. Dans ce ,but, nous avons utilisé une technique consistant à faire la moyenne entre de multiples numérisations successives :
En numérisant n fois la diapositive dans les mêmes conditions, on diminue la partie du bruit d'image due à l'électronique de mesure par le facteur (1/sqrt(n)?) .
En numérisant la diapositive en position normale, puis tournée de 90°,180° et 270°, il est possible de moyenner le bruit fixe dû à la structure du CCD (non uniformité de réponse des photosites de la barrette). Pour cela, il faut évidemment recaler les images au pixel près à l'aide d'un logiciel approprié afin qu'elles se superposent parfaitement.
On peut également diminuer de façon sensible l'influence du bruit de quantification (les pixels sont codés sur 8 bits, c'est-à-dire 256 niveaux, par couleur) en faisant la moyenne des numérisations du film en mode film positif et en mode film négatif (après complémentation des valeurs à 255), car les courbes de réponse du scanner ne sont pas les mêmes dans les deux modes.
Ayant ainsi obtenu une image moyenne finale avec ses trois composantes rouge, verte et bleue, nous n'avons conservé qu'une zone carrée d'environ 2 centimètres de côté entourant l'objet, ce carré comportant 2 430 x 2 430 pixels. Enfin, compte tenu de la taille des plus petits détails visibles (environ 20 micromètres, ainsi qu'il a été dit plus haut), nous avons dimensionné cette zone sur 1 024 x 1 024 pixels en interpolant entre les pixels (fig. 1), ceci afin de ne pas manipuler de trop grandes images et ne pas augmenter inutilement les temps de calcul.
Résultats des traitements numériques
1. Une accentuation des contrastes permet de faire apparaître le contour de l'objet (fig. 2), en particulier sur la composante bleue (fig. 3). Ce contour a la forme d'un triangle isocèle ABC quasiment rectangle en A, complété du côté de sa base par un quadrilatère BCED très proche d'un rectangle. Compte tenu de l'angle de prise de vue, il est probable que les angles A, D et E soient des angles droits et que l'objet soit horizontal. Sur l'objet, très sombre, se détachent quatre taches fortement lumineuses que, pour simplifier, nous appellerons « feux ». Trois de ces feux sont proches des extrémités A, D et E de l'objet, tandis que le quatrième est situé à peu près au milieu de la hauteur AH abaissée du sommet A sur la base DE (fig. 4). En l'absence de repère, il n'est pas possible d'estimer la taille de l'engin ni sa distance.
Certaines régions du contour sont quasiment nettes alors que d'autres sont floues, indiquant un déplacement relatif de l'objet et du film. L'explication qui paraît la plus vraisemblable est que l'objet a effectué un mouvement pendant le temps d'exposition, l'appareil photo étant resté fixe, mais on ne peut exclure un léger bougé de l'appareil. Les deux positions extrêmes sont représentées sur la figure 5.
La forme du flou observé peut s'expliquer par une rotation de l'objet dans l'espace autour d'un axe passant par un point 0 situé pratiquement sur la droite BC et tel que BO = 0,25 BC (fig. 5). L'angle de la rotation est de 5° environ. Nous avons pu reconstituer cet effet de flou par simulation (fig. 6).
La même rotation permet également de retrouver le mouvement d'ensemble subi par les quatre feux, supposés circulaires sur la simulation. Toutefois, les trois feux extérieurs présentent des structures colorées complexes et des déformations que cette rotation globale n'explique pas: les images obtenues impliquent nécessairement des mouvements indépendants pour chacun de ces feux par rapport à l'engin.
2. Divers traitements colorés permettent de faire ressortir un halo lumineux autour de l'objet ainsi que des traînées lumineuses entre les feux, particulièrement entre le feu central et ceux des extrémités (fig. 7). Mais ces traitements, en vraies comme en fausses couleurs, ne permettent pas de tirer de conclusion quant à la nature du halo ni de préciser ce que sont les feux: systèmes d'éclairage et/ou de signalisation ou dispositifs de sustentation et/ou de propulsion de l'engin ?
3. La décomposition de l'image en luminance, teinte et saturation fait apparaître des informations plus riches, particulièrement sur la composante de saturation. Ces informations sont notablement améliorées par des filtrages de fréquences et des compositions colorées. Les traitements nous ont permis de mettre en évidence des directions privilégiées, surtout dans le halo qui entoure l'objet (fig. 8, 9, 10, 11). Ces directions correspondent aux orientations de petits grains lumineux qui, sur l'image, forment une sorte de mouvement tournant autour de l'engin, un peu à la manière de flocons de neige pris dans un vent tourbillonnant. On peut aussi faire l'analogie avec des grains de limaille de fer qui s'orientent selon les lignes du champ magnétique d'un aimant. S'agit-il de Perturbations électro-magnétiques, d'un processus d'ionisation de l'air ? En l'absence d'autres éléments, la nature de ce phénomène est difficile à préciser, d'autant plus qu'il n'est pratiquement pas décelable sur les composantes rouge, verte et bleue de l'image. Ces nouvelles observations sont d'autant plus intéressantes qu'elles semblent susceptibles de conforter certaines théories, comme celle des ondes de plasma ioniques, thèse avancée par Auguste Meessen, professeur émérite à l'université de Louvain, et concernant le système de propulsion de l'engin (propulsion de type magnétoplasmadynamique ).
Quoi qu'il en soit, l'existence de ces «lignes de force » est un argument de poids contre la thèse d'un trucage, lequel serait particulièrement perfectionné. De plus, on ne voit pas très bien pour quelle raison un faussaire se serait donné la peine d'imaginer et de réaliser un phénomène aussi complexe, d'autant plus qu'il n'est pas perceptible sans un traitement sophistiqué du cliché.
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- InvitéInvité
Re: (1990) La photo du triangle de Petit Rechain en Belgique
Dim 22 Juin 2008, 02:05
Et qui est l'auteur de la première photo exactement? Cette personne a-t-elle témoigné ou été interviewé de quelconque manière?
En tout cas les photos sont vraiment impressionantes si elles sont belles bien non truquée!
En tout cas les photos sont vraiment impressionantes si elles sont belles bien non truquée!
- Léon.DEquipe du forum
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Re: (1990) La photo du triangle de Petit Rechain en Belgique
Dim 22 Juin 2008, 11:35
Les amis ,cette photo est un traitement informatique réalisé par le professeur M.acheroy de l'école royal militaire sur base du cliché original pris par monsieur PM. à Petit Rechain (province de Liège) au début du moi d'avril 1990.
- Astrid77Ufologue/enquêteur
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Re: (1990) La photo du triangle de Petit Rechain en Belgique
Dim 22 Juin 2008, 14:35
Je me pose toujours la même question : comment volent les triangles ?
MPD ?
Stabilisateurs pour feux périphériques, propulseur feu central ?
Quelque chose me perturbe, car, dans mon observation, il n'y avait pas de feu central, que les feux périphériques et l'objet était stationnaire.
Amitiées.
MPD ?
Stabilisateurs pour feux périphériques, propulseur feu central ?
Quelque chose me perturbe, car, dans mon observation, il n'y avait pas de feu central, que les feux périphériques et l'objet était stationnaire.
Amitiées.
- Matthieu44Membre Confirmé
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Re: (1990) La photo du triangle de Petit Rechain en Belgique
Mar 26 Juil 2011, 22:40
- InvitéInvité
Re: (1990) La photo du triangle de Petit Rechain en Belgique
Mer 27 Juil 2011, 17:01
Comment ça un mythe s'effondre ? Que veux tu dire par mythe ?
- christian.B17Légende du forum
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Re: (1990) La photo du triangle de Petit Rechain en Belgique
Mer 27 Juil 2011, 17:05
Apparement il y a peu de doute que cette photo soit un faux, le faussaire devrait en créer d'autres dans les mêmes conditions pour finir par nous convaincre....
Si cela se confirme (peu de doute...) il faudra saisir l'occasion unique de comprendre comment tout ceux qui ont affirmé (et ils sont nombreux) que cette photo était inexplicable et qu'elle pouvait conforter l'HET...se sont fourvoyés..
ils peuvent encore s'en tirer en disant que le faussaire est un menteur, il n'a rien faussé...bon..compliqué mais pourquoi pas..
simplement il va être facile de reproduire la photo avec ses indications...si c'est lui le faussaire..ça sera facile et clouera le bec à tous !
ce point je pense est capital...capital de comprendre pour en tirer un retour d'expérience.
comment pour tout sujet et en particulier celui ci, arrivons nous à une conclusion (pour certains)
c'est un processus que nous faisons tous les jours pour un tas de sujets..et assez souvent nous nous trompons...(et certaines fois nous avons raison)
mais analysons nous notre manière de penser/analyser quand nous nous trompons ?
c'est je pense comme ça que nous pourrons plus efficacement accepter ou rejeter des "preuves " du phénoméne..
loin de moi de penser que cette annonce invalide tous les cas et toutes les photos..mais je vais revoir plus strictement les éléments qui m'ont fait penser que cette photo (on peut appliquer ça à un témoignage...) était un document fort et crédible...
appuyés par des personnes qui semblaient super compétentes...
Notre raison et capacité d'analyse de ce phénomène 'les Ovni) est au coeur de tout....pour l'invalider ou le renforcer.
quand je fais un parralléle avec un affaire judiciaire c'est plus clair...un juge avec souvent une rigueur un peu au dessus de la moyenne..avec des moyens, du temps arrive a avoir une conviction et pour lui des preuves....il est persuadé de tenir le coupable !
et quelque fois l'avenir lui donne tord..c'est une sacrée leçon de modestie et une superbe occasion de réviser nos moyens d'analyse...
comment se forge une conviction
exemples: l'affaire Outreau, Patrick Dils...etc...
donc profitons de cette annonce pour nous demander qu'est qui me fait conclure que l'HET est la réponse..par exemple
est ce que les Ovni sont d'une autre nature..est ce que beaucoup de cas sont vrais...comment me suis-je persuadé ?
donc ma question est
comment cette annonce va t'elle s'accorder avec votre analyse..allez vous remettre en question certaines choses, être plus critique....?
A suivre...
Si cela se confirme (peu de doute...) il faudra saisir l'occasion unique de comprendre comment tout ceux qui ont affirmé (et ils sont nombreux) que cette photo était inexplicable et qu'elle pouvait conforter l'HET...se sont fourvoyés..
ils peuvent encore s'en tirer en disant que le faussaire est un menteur, il n'a rien faussé...bon..compliqué mais pourquoi pas..
simplement il va être facile de reproduire la photo avec ses indications...si c'est lui le faussaire..ça sera facile et clouera le bec à tous !
ce point je pense est capital...capital de comprendre pour en tirer un retour d'expérience.
comment pour tout sujet et en particulier celui ci, arrivons nous à une conclusion (pour certains)
c'est un processus que nous faisons tous les jours pour un tas de sujets..et assez souvent nous nous trompons...(et certaines fois nous avons raison)
mais analysons nous notre manière de penser/analyser quand nous nous trompons ?
c'est je pense comme ça que nous pourrons plus efficacement accepter ou rejeter des "preuves " du phénoméne..
loin de moi de penser que cette annonce invalide tous les cas et toutes les photos..mais je vais revoir plus strictement les éléments qui m'ont fait penser que cette photo (on peut appliquer ça à un témoignage...) était un document fort et crédible...
appuyés par des personnes qui semblaient super compétentes...
Notre raison et capacité d'analyse de ce phénomène 'les Ovni) est au coeur de tout....pour l'invalider ou le renforcer.
quand je fais un parralléle avec un affaire judiciaire c'est plus clair...un juge avec souvent une rigueur un peu au dessus de la moyenne..avec des moyens, du temps arrive a avoir une conviction et pour lui des preuves....il est persuadé de tenir le coupable !
et quelque fois l'avenir lui donne tord..c'est une sacrée leçon de modestie et une superbe occasion de réviser nos moyens d'analyse...
comment se forge une conviction
exemples: l'affaire Outreau, Patrick Dils...etc...
donc profitons de cette annonce pour nous demander qu'est qui me fait conclure que l'HET est la réponse..par exemple
est ce que les Ovni sont d'une autre nature..est ce que beaucoup de cas sont vrais...comment me suis-je persuadé ?
donc ma question est
comment cette annonce va t'elle s'accorder avec votre analyse..allez vous remettre en question certaines choses, être plus critique....?
A suivre...
- InvitéInvité
Re: (1990) La photo du triangle de Petit Rechain en Belgique
Lun 09 Jan 2012, 13:22
ça me fait penser à l'affaire Roswell et la fausse autopsie , où comment faire du faux pour discréditer le vrai , ce n'est biensur que mon ressenti
- InvitéInvité
Re: (1990) La photo du triangle de Petit Rechain en Belgique
Lun 09 Jan 2012, 23:38
puisque le topic est ouvert
"comment cette annonce va t'elle s'accorder avec votre analyse..allez vous remettre en question certaines choses, être plus critique....?"
ma vision est que le fake est sorti a un moment clef en 2011 et que ce n'est pas un hasard, il s'agit peut etre d'un fake mais ce n'est tjs pas prouvé d'une part, par contre le faker son profil pose probleme ne fut ce que parce qu'il etait voisin avec un ancien ministre des technologies nouvelles , ce qui a nouveau n'est pas un hasard
par ailleurs il a laissé patiemment ce fake se développer sans jamais intervenir et donc cela etait problablement le but , d'autant qu'une fois connu il ne s'est jamais vraiment excusé notamment vers ces gens qu'il a trompé longtemps
bien entendu la critique aurait du etre plus grande a l'époque se dirait on mais a vrai dire si la volonté etait de tromper et de vendre puisque ce cliché a ete vendu et a fait l'objet de droits d'auteurs, cela a bien fonctionné
cependant la volonté de nuire initiale a mené a une analyse de l'ecole royale militaire , c'est à ce moment que le fake aurait du etre dénoncé, ne le faisant pas le faker a choisi la voie de la destruction car une fois analysé et c'etait connu dans tous les medias de l'epoque et donc du faker lui meme qui ne pouvait ignorer cette analyse
pour autant les lecons a tirer de cela est qu'il existe des fakes en ufologie a chaque epoque et a chaque vague mais que aucun fake ne peut remettre en cause la vague
ici cette image ne correspond donc pas a ce qui a ete vu car il serait extraordinaire que ce soit le cas par simple coincidence ou clairvoyance du faker
et en effet les cas decrivent plusieurs types d'engins , en particulier l'ovni de petit rechain ne porte pas de bord lumineux
sur le faker cela pointe du doigt que des individus et/ou des groupes ont une volonté claire de detruire le sujet , ces individus et groupes sont toujorus actifs, c'est ce qu'on pourrait appeler une contre initiation
ils sont parfois organises ou pas
ce qu'il faut en retenir donc c'est qu'en cas de nouvelle vague il faut capter le maximum de cas en dehors de toute structure car ces structures sont systematiquement tot ou tard noyautees ou "fakees"
cela conforte aussi sur le fait de ne pas temoigner vers une seule source puisque dans le cas de la sobeps les cas desormais ne sont accessibles
la publication web n'existait pas en 89
la solution est donc l'essaimage immediat des informations de peur de leur gommage ou recuperation
il ya donc bien des choses a apprendre de cette misere, pour le faker c'est a la vierge de banneux non loin de la de savoir quoi faire, je ne suis pas certain qu'elle aime la salamandre que ce faker a dans son salon , elle trone sur une de ses photos et certains symboles ne m"echappent pas, guerrier de la lumiere oblige
sur wiki on peut lire "la salamandre, baffie ou lebraude est un reptile légendaire qui était réputé vivre dans le feu et s'y baigner"
que le ciel fasse donc ce qu'il veule , ce n'est pas mon role et j'ai d'autres missions mais le mal fait est bien réel pour l'ufologie mondiale
il a instillé de facto le doute sur les clichés et en cas de nouvelle vague il sera plus complexe de dissocier vrai et fake, ce qui compliquera encore plus les analyses
le mal fait est donc large , sur une longue période et se prolongera, ce mal n'a pas reçu d'excuse pour dire mais un commentaire moqueur dans les medias, aah aha je vous ai bien eut... plus de 20 apres... sic
"allez vous remettre en question certaines choses, être plus critique....?""
donc non ce n'est pas une question de se remettre en cause ou d'etre plus ou moins critique mais de constater que les fakers ne sont pas identifiables et que donc seule une analyse large des cas permet d'identifier les cas sortant de la moyenne, alors la oui les fakes sont indicables, certains d'ailleurs avaient deja des doutes en 89
le faker est juste une exception anticipable et contournable et ce n'est pas tres neuf, ce qui est choquant ici c'est la reelle volonte de nuire qui a ete deployee
"comment cette annonce va t'elle s'accorder avec votre analyse..allez vous remettre en question certaines choses, être plus critique....?"
ma vision est que le fake est sorti a un moment clef en 2011 et que ce n'est pas un hasard, il s'agit peut etre d'un fake mais ce n'est tjs pas prouvé d'une part, par contre le faker son profil pose probleme ne fut ce que parce qu'il etait voisin avec un ancien ministre des technologies nouvelles , ce qui a nouveau n'est pas un hasard
par ailleurs il a laissé patiemment ce fake se développer sans jamais intervenir et donc cela etait problablement le but , d'autant qu'une fois connu il ne s'est jamais vraiment excusé notamment vers ces gens qu'il a trompé longtemps
bien entendu la critique aurait du etre plus grande a l'époque se dirait on mais a vrai dire si la volonté etait de tromper et de vendre puisque ce cliché a ete vendu et a fait l'objet de droits d'auteurs, cela a bien fonctionné
cependant la volonté de nuire initiale a mené a une analyse de l'ecole royale militaire , c'est à ce moment que le fake aurait du etre dénoncé, ne le faisant pas le faker a choisi la voie de la destruction car une fois analysé et c'etait connu dans tous les medias de l'epoque et donc du faker lui meme qui ne pouvait ignorer cette analyse
pour autant les lecons a tirer de cela est qu'il existe des fakes en ufologie a chaque epoque et a chaque vague mais que aucun fake ne peut remettre en cause la vague
ici cette image ne correspond donc pas a ce qui a ete vu car il serait extraordinaire que ce soit le cas par simple coincidence ou clairvoyance du faker
et en effet les cas decrivent plusieurs types d'engins , en particulier l'ovni de petit rechain ne porte pas de bord lumineux
sur le faker cela pointe du doigt que des individus et/ou des groupes ont une volonté claire de detruire le sujet , ces individus et groupes sont toujorus actifs, c'est ce qu'on pourrait appeler une contre initiation
ils sont parfois organises ou pas
ce qu'il faut en retenir donc c'est qu'en cas de nouvelle vague il faut capter le maximum de cas en dehors de toute structure car ces structures sont systematiquement tot ou tard noyautees ou "fakees"
cela conforte aussi sur le fait de ne pas temoigner vers une seule source puisque dans le cas de la sobeps les cas desormais ne sont accessibles
la publication web n'existait pas en 89
la solution est donc l'essaimage immediat des informations de peur de leur gommage ou recuperation
il ya donc bien des choses a apprendre de cette misere, pour le faker c'est a la vierge de banneux non loin de la de savoir quoi faire, je ne suis pas certain qu'elle aime la salamandre que ce faker a dans son salon , elle trone sur une de ses photos et certains symboles ne m"echappent pas, guerrier de la lumiere oblige
sur wiki on peut lire "la salamandre, baffie ou lebraude est un reptile légendaire qui était réputé vivre dans le feu et s'y baigner"
que le ciel fasse donc ce qu'il veule , ce n'est pas mon role et j'ai d'autres missions mais le mal fait est bien réel pour l'ufologie mondiale
il a instillé de facto le doute sur les clichés et en cas de nouvelle vague il sera plus complexe de dissocier vrai et fake, ce qui compliquera encore plus les analyses
le mal fait est donc large , sur une longue période et se prolongera, ce mal n'a pas reçu d'excuse pour dire mais un commentaire moqueur dans les medias, aah aha je vous ai bien eut... plus de 20 apres... sic
"allez vous remettre en question certaines choses, être plus critique....?""
donc non ce n'est pas une question de se remettre en cause ou d'etre plus ou moins critique mais de constater que les fakers ne sont pas identifiables et que donc seule une analyse large des cas permet d'identifier les cas sortant de la moyenne, alors la oui les fakes sont indicables, certains d'ailleurs avaient deja des doutes en 89
le faker est juste une exception anticipable et contournable et ce n'est pas tres neuf, ce qui est choquant ici c'est la reelle volonte de nuire qui a ete deployee
- amilaugAnalyste enquêteur
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Re: (1990) La photo du triangle de Petit Rechain en Belgique
Lun 09 Jan 2012, 23:56
Bonsoir à toutes et tous, je comprend l'émoi suscité par cette affaire, mais gardons notre sang froid, depuis quelques années, la thèse d'une vie extra-terrestre et donc de possible voyages extra-terrestre sont sérieusement débattus en présence de témoins directs et des scientifiques qui prennent cette hypothèse au sérieux se penchent sur le sujet, ce ne sont pas quelques remous fâcheux qui vont ébranler nos recherches et nos études de cas!
Il serait étonnant que face à une telle énigme scientifique, sociologique et technologique, des esprits chagrins ne fassent pas tout pour décridibiliser cette recherche, on parle du truc le plus énorme que l'homme est en passe de découvrir!
Bonne soirée à toutes et tous!
Il serait étonnant que face à une telle énigme scientifique, sociologique et technologique, des esprits chagrins ne fassent pas tout pour décridibiliser cette recherche, on parle du truc le plus énorme que l'homme est en passe de découvrir!
Bonne soirée à toutes et tous!
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