- Benjamin.dResponsable du forum
Age : 46
Nombre de messages : 12825
Inscription : 11/03/2007
Localisation : France
Emploi : Privé
Passions : Ufologie, Histoire, lecture
Règlement : Règlement
Points de Participation : 21504
En 1975, le 26/06/: UNE FORME HUMAINE LUMINEUSE QUI RASAIT LE SOL...
Ven 15 Fév 2008, 23:57
UNE FORME HUMAINE LUMINEUSE QUI RASAIT LE SOL...
Procès-verbal d'enquête préliminaire, l'an 1975, le 10 julllet, brigade de Laguiole dans "A voyrou. Le mercredi 2 juillet 1975, à 17 heures, au bureau de notre brigade se présente G ... Emile, demeurant à Alcom, commune de Laguiole dans l'Aveyron qui nous relate verbalement les faits suivants:
Le jeudi 26 juin 1975, vers 20 heures, sa voisine, M"· M ... Maria a vu dans sa cour l'occupant d'un objet volant non identifié. Il s'agissait d'une forme humaine, très mince, pouvant mesurer 1,50 mètre de haut, vêtue d'une combinaison aux couleurs vives, jaune et rouge, ressemblant à la couleur des flammes.
Cette forme humaine a jailli au-dessus du mur de la cour, a traversé celle-ci large de 4,50 mètres sans apparemment toucher terre, et a disparu dans le chemin menant à la ferme M ... Quelques secondes plus tard, Mll. M ... a revu le personnage sauter d'un pré, à 120 mètres d'elle environ. Mll M ... ne peut pas fournir d'autres détails supplémentaires sur cette forme humaine. Elle n'a vu ni la tête ni les membres. Mais elle est sûre qu'il ne s'agit pas d'une véritable personne humaine. Le Iendemain matin, 3 juillet 1975, nous nous rendons sur place.
LES RAPPORTS DES GENDARMES 141
Mil. M ... Maria nous confirme le récit qu'elle avait fait à M. G ... Elle est la seule personne d'Alcorn à avoir vu ce phénomène. Par contre, le lendemain soir, sa voisine, M"'. T .... avisée des faits, a constaté que l'herbe était couchée à l'endroit précis où le personnage avait sauté du pré. Ces deux femmes ont également constaté que l'herbe était couchée dans le pré de Mn" M ... et jusqu'au pied du mur d'où a émergé la forme.
Enquête
Le hameau d'Alcorn, commune de Laguiole dans l'Aveyron est situé à 2 kilomètres à l'ouest de Laguiole. Il est en bordure et au nord du chemin départemental 138 reliant Laguiole à Huparlac. Le hameau est composé d'une dizaine d'habitations, certaines sont groupées en bordure du chemin départemental 138, d'autres sont plus isolées au nord, dont celle de Mil. M ... Maria. La fenne
M , légèrement isolée, sc trouve en fin du chemin vicinal
n. qui la dessert. En bordure de ce chemin est édifiée
l'étable. Celle-ci est accolée à la maison d'habitation. Un portail en bois à doubles battants permet d'accéder dans la cour, puis dans la maison d'habitation. La cour, de forme rectangulaire, est devant la façade principale de la maison et sur toute la longueur de la bâtisse. La porte d'entrée est située sensiblement au centre de cette façade principale. La cour est séparée (côté opposé à la maison) d'un pré en contrebas, par un mur de pierre de 2 mètres de hauteur. C'est par-dessus ce mur, venant du pré, qu'a émergé la forme humaine.
Constatations
Accompagnés de MU. M ... Maria, nous parcourons l'itinéraire suivi par le personnage, mais nous ne découvrons aucune trace ou indice quelconque. L'herbe qui a été vue couchée le lendemain, est actuellement tout à fait normale. Nous recherchons des traces, plus spécialement sur le mur où le personnage a été vu, dans la cour qu'il a traversée, dans le pré dans lequel il a sauté. Nos recherches sont vaines. Entre le jour où ce phénomène s'est produit et celui de nos constatations, la pluie est tombée. Il est certain qu'une trace éventuelle aurait pu disparaître. MI" M ... et M'" T ... qui, toutes deux, ont observé les lieux le lendemain des faits, n'ont pas découvert d'indices si ce n'est une trace de passage dans l'herbe des deux prés. A noter que cette trace, même si elle avait été constatée par nous-mêmes, n'aurait certainement pas apporté d'éléments intéressants à l'enquête puisqu'il ne s'agissait en fait que d'herbe couchée selon les dires des personnes intéressées. Et la constatation d'une telle trace ne fournit pas forcément l'identité de celui qui l'a faite.
Enqnète
L'audition de Mlle M ... Maria, témoin des faits, est enregistrée le 3 juillet 1975. Cette femme n'a aucun doute sur ce qu'elle a vu. Il ne s'agit pas d'un véritable être humain, car ce dernier ne pouvait en aucun cas se déplacer aussi vite. De plus, le témoin ajoute qu'elle aurait certainement remarqué un détail quelconque, physique ou vestimentaire. Ce personnage a traversé la cour comme un éclair, dit-elle.
Mlle T ... Joséphine, qui n'a pas vu le personnage en cause, a été avisée des faits le lendemain par Mn. M ... Toutes les deux ont cherché en vain des traces dans la cour. Elles ont remarqué une trace de passage dans l'herbe du pré de M ... Maria. Cette trace se terminait au pied du mur haut de 2 mètres, juste à l'endroit où la forme humaine a été vue pour la première fois. Mlle T ... s'est rendue seule dans son pré, où avait sauté la forme humaine. Elle a constaté une trace de passage dans l'herbe. Celle-ci était couchée. Le début et la fin de la trace correspondaient au tralet indiqué par le témoin M ... Mm. T ... ne met pas en doute les dires de sa voisine et pense que quelque chose d'extraordinaire s'est passé à Alcorn, dans la soirée du 26 juin 1975.
M. G ... , qui est venu nous alerter n'a rien constaté de particulier. Il a entendu le récit fait par Mlle M ... Il connaît très bien cette femme, et il ne met pas en doute ses paroles. De plus, en analysant le récit, il pense aussi qu'il ne peut pas s'agir d'un être humain.
A Alcorn, l'ensemble de la population est entendue verbalement. Aucun témoin des faits n'est découvert. La majorité des personnes pensent que Mn. M ... est de bonne foi et sincère. Son récit n'est pas mis en doute et on y croit.
Comme il a déjà été dit plus haut, aucune constatation n'a été faite par nous. Néanmoins, en tenant compte des lieux et des dires de Ml!' M ... , il paraît permis d'écarter l'hypothèse de la présence d'un véritable être humain (rôdeur, cambrioleur éventuel, etc.) pour les raisons suivantes: 1) aucun individu suspect, ni véhicule n'a été aperçu ce jour-là et à l'heure indiquée dans le hameau d'Alcorn; 2) il n'y a pas de maisons isolées, inhabitées, qui pourraient éventuellement être visitées par un malfaiteur; 3) l'itinéraire suivi par le personnage paraît invraisemblable pour un véritable être humain en tenant compte évidemment des dires du témoin. En effet, la personne aurait traversé un pré où l'herbe est haute alors qu'elle pouvait s'en dispenser et approcher la ferme M ... quand même. Elle aurait escaladé un mur de deux mètres de hauteur et à la verticale sans point d'appui, alors que ce mur pouvait être facilement escaladé à quelques mètres de là; 4) En traversant la cour, la personne devait poser pied à terre, car la cour mesure 4,50 mètres de largeur. A l'endroit traversé la terre est remuée, car des fleurs y sont plantées, or aucune trace de pas n'est visible; 5) le passage dans le pré de Mlle T ... d'une longueur de 30 mètres environ pour sauter à un endroit où le talus fait 2 mètres de hauteur et au pied duquel se trouve un abreuvoir, paraîtrait surprenant pour un être humain. En fait, la personne aurait donc quitté le chemin goudronné, monté dans le pré en escaladant un mur, le pré est en surplomb du chemin, parcouru 30 mètres dans le pré en longeant le chemin, puis sauté à nouveau dans le chemin d'une hauteur de 2 mètres. Il paraît peu vraisemblable qu'un véritable être humain ait sauté à cet endroit-là, particulièrement difficile, en raison de la présence de l'abreuvoir. Il aurait été aisé de descendre du pré près de l'abreuvoir, endroit où le mur et le talus ne sont pas à la verticale. De plus, un fil de fer barbelé clôture le pré. Les faits se sont passés en plein jour et un seul chemin permet d'accéder à la ferme M ... , chemin emprunté en partie par le personnage aux couleurs vives; 6) enfin, et toujours en tenant compte des dires du témoin, quelques secondes seulement se sont écoulées entre les deux moments où elle a vu le personnage. Un véritable être humain n'aurait pas pu parcourir cette distance (120 mètres environ) dont une partie en montée, avec escalade dans le pré, en si peu de temps. Si le temps était à l'orage ce soir-là,
il n'y avait pas d'éclairs au moment des constatations.
Le témoin a été entendu à nouveau et verbalement le 8 juillet 1975. Il n'existe pas de contradictions entre ses différents récits qui contiennent toujours les mêmes termes. Jusqu'à ce jour, aucun phénomène de ce genre n'avait été porté à la connaissance de la brigade.
Procès-verbal d'enquête préliminaire, l'an 1975, le 10 julllet, brigade de Laguiole dans "A voyrou. Le mercredi 2 juillet 1975, à 17 heures, au bureau de notre brigade se présente G ... Emile, demeurant à Alcom, commune de Laguiole dans l'Aveyron qui nous relate verbalement les faits suivants:
Le jeudi 26 juin 1975, vers 20 heures, sa voisine, M"· M ... Maria a vu dans sa cour l'occupant d'un objet volant non identifié. Il s'agissait d'une forme humaine, très mince, pouvant mesurer 1,50 mètre de haut, vêtue d'une combinaison aux couleurs vives, jaune et rouge, ressemblant à la couleur des flammes.
Cette forme humaine a jailli au-dessus du mur de la cour, a traversé celle-ci large de 4,50 mètres sans apparemment toucher terre, et a disparu dans le chemin menant à la ferme M ... Quelques secondes plus tard, Mll. M ... a revu le personnage sauter d'un pré, à 120 mètres d'elle environ. Mll M ... ne peut pas fournir d'autres détails supplémentaires sur cette forme humaine. Elle n'a vu ni la tête ni les membres. Mais elle est sûre qu'il ne s'agit pas d'une véritable personne humaine. Le Iendemain matin, 3 juillet 1975, nous nous rendons sur place.
LES RAPPORTS DES GENDARMES 141
Mil. M ... Maria nous confirme le récit qu'elle avait fait à M. G ... Elle est la seule personne d'Alcorn à avoir vu ce phénomène. Par contre, le lendemain soir, sa voisine, M"'. T .... avisée des faits, a constaté que l'herbe était couchée à l'endroit précis où le personnage avait sauté du pré. Ces deux femmes ont également constaté que l'herbe était couchée dans le pré de Mn" M ... et jusqu'au pied du mur d'où a émergé la forme.
Enquête
Le hameau d'Alcorn, commune de Laguiole dans l'Aveyron est situé à 2 kilomètres à l'ouest de Laguiole. Il est en bordure et au nord du chemin départemental 138 reliant Laguiole à Huparlac. Le hameau est composé d'une dizaine d'habitations, certaines sont groupées en bordure du chemin départemental 138, d'autres sont plus isolées au nord, dont celle de Mil. M ... Maria. La fenne
M , légèrement isolée, sc trouve en fin du chemin vicinal
n. qui la dessert. En bordure de ce chemin est édifiée
l'étable. Celle-ci est accolée à la maison d'habitation. Un portail en bois à doubles battants permet d'accéder dans la cour, puis dans la maison d'habitation. La cour, de forme rectangulaire, est devant la façade principale de la maison et sur toute la longueur de la bâtisse. La porte d'entrée est située sensiblement au centre de cette façade principale. La cour est séparée (côté opposé à la maison) d'un pré en contrebas, par un mur de pierre de 2 mètres de hauteur. C'est par-dessus ce mur, venant du pré, qu'a émergé la forme humaine.
Constatations
Accompagnés de MU. M ... Maria, nous parcourons l'itinéraire suivi par le personnage, mais nous ne découvrons aucune trace ou indice quelconque. L'herbe qui a été vue couchée le lendemain, est actuellement tout à fait normale. Nous recherchons des traces, plus spécialement sur le mur où le personnage a été vu, dans la cour qu'il a traversée, dans le pré dans lequel il a sauté. Nos recherches sont vaines. Entre le jour où ce phénomène s'est produit et celui de nos constatations, la pluie est tombée. Il est certain qu'une trace éventuelle aurait pu disparaître. MI" M ... et M'" T ... qui, toutes deux, ont observé les lieux le lendemain des faits, n'ont pas découvert d'indices si ce n'est une trace de passage dans l'herbe des deux prés. A noter que cette trace, même si elle avait été constatée par nous-mêmes, n'aurait certainement pas apporté d'éléments intéressants à l'enquête puisqu'il ne s'agissait en fait que d'herbe couchée selon les dires des personnes intéressées. Et la constatation d'une telle trace ne fournit pas forcément l'identité de celui qui l'a faite.
Enqnète
L'audition de Mlle M ... Maria, témoin des faits, est enregistrée le 3 juillet 1975. Cette femme n'a aucun doute sur ce qu'elle a vu. Il ne s'agit pas d'un véritable être humain, car ce dernier ne pouvait en aucun cas se déplacer aussi vite. De plus, le témoin ajoute qu'elle aurait certainement remarqué un détail quelconque, physique ou vestimentaire. Ce personnage a traversé la cour comme un éclair, dit-elle.
Mlle T ... Joséphine, qui n'a pas vu le personnage en cause, a été avisée des faits le lendemain par Mn. M ... Toutes les deux ont cherché en vain des traces dans la cour. Elles ont remarqué une trace de passage dans l'herbe du pré de M ... Maria. Cette trace se terminait au pied du mur haut de 2 mètres, juste à l'endroit où la forme humaine a été vue pour la première fois. Mlle T ... s'est rendue seule dans son pré, où avait sauté la forme humaine. Elle a constaté une trace de passage dans l'herbe. Celle-ci était couchée. Le début et la fin de la trace correspondaient au tralet indiqué par le témoin M ... Mm. T ... ne met pas en doute les dires de sa voisine et pense que quelque chose d'extraordinaire s'est passé à Alcorn, dans la soirée du 26 juin 1975.
M. G ... , qui est venu nous alerter n'a rien constaté de particulier. Il a entendu le récit fait par Mlle M ... Il connaît très bien cette femme, et il ne met pas en doute ses paroles. De plus, en analysant le récit, il pense aussi qu'il ne peut pas s'agir d'un être humain.
A Alcorn, l'ensemble de la population est entendue verbalement. Aucun témoin des faits n'est découvert. La majorité des personnes pensent que Mn. M ... est de bonne foi et sincère. Son récit n'est pas mis en doute et on y croit.
Comme il a déjà été dit plus haut, aucune constatation n'a été faite par nous. Néanmoins, en tenant compte des lieux et des dires de Ml!' M ... , il paraît permis d'écarter l'hypothèse de la présence d'un véritable être humain (rôdeur, cambrioleur éventuel, etc.) pour les raisons suivantes: 1) aucun individu suspect, ni véhicule n'a été aperçu ce jour-là et à l'heure indiquée dans le hameau d'Alcorn; 2) il n'y a pas de maisons isolées, inhabitées, qui pourraient éventuellement être visitées par un malfaiteur; 3) l'itinéraire suivi par le personnage paraît invraisemblable pour un véritable être humain en tenant compte évidemment des dires du témoin. En effet, la personne aurait traversé un pré où l'herbe est haute alors qu'elle pouvait s'en dispenser et approcher la ferme M ... quand même. Elle aurait escaladé un mur de deux mètres de hauteur et à la verticale sans point d'appui, alors que ce mur pouvait être facilement escaladé à quelques mètres de là; 4) En traversant la cour, la personne devait poser pied à terre, car la cour mesure 4,50 mètres de largeur. A l'endroit traversé la terre est remuée, car des fleurs y sont plantées, or aucune trace de pas n'est visible; 5) le passage dans le pré de Mlle T ... d'une longueur de 30 mètres environ pour sauter à un endroit où le talus fait 2 mètres de hauteur et au pied duquel se trouve un abreuvoir, paraîtrait surprenant pour un être humain. En fait, la personne aurait donc quitté le chemin goudronné, monté dans le pré en escaladant un mur, le pré est en surplomb du chemin, parcouru 30 mètres dans le pré en longeant le chemin, puis sauté à nouveau dans le chemin d'une hauteur de 2 mètres. Il paraît peu vraisemblable qu'un véritable être humain ait sauté à cet endroit-là, particulièrement difficile, en raison de la présence de l'abreuvoir. Il aurait été aisé de descendre du pré près de l'abreuvoir, endroit où le mur et le talus ne sont pas à la verticale. De plus, un fil de fer barbelé clôture le pré. Les faits se sont passés en plein jour et un seul chemin permet d'accéder à la ferme M ... , chemin emprunté en partie par le personnage aux couleurs vives; 6) enfin, et toujours en tenant compte des dires du témoin, quelques secondes seulement se sont écoulées entre les deux moments où elle a vu le personnage. Un véritable être humain n'aurait pas pu parcourir cette distance (120 mètres environ) dont une partie en montée, avec escalade dans le pré, en si peu de temps. Si le temps était à l'orage ce soir-là,
il n'y avait pas d'éclairs au moment des constatations.
Le témoin a été entendu à nouveau et verbalement le 8 juillet 1975. Il n'existe pas de contradictions entre ses différents récits qui contiennent toujours les mêmes termes. Jusqu'à ce jour, aucun phénomène de ce genre n'avait été porté à la connaissance de la brigade.
_______________________________________
Veuillez svp respecter le forum en postant des messages sérieux et constructifs sans SMS. Merci à l'avance et bonne lecture.
Rendez-vous sur le blog Ovni et vie extraterrestre :http://ovni-extraterrestre.com/ Poster votre témoignage: Cliquer ici Perte de mot de passe: cliquer ici
- En 1975, le 09/06 à Saint-Tudec une boule lumineuse
- forme lumineuse 16 novembre
- En 1975, le 24/07 Ovni en forme de cigare lumineux (Saint-Pierre-Ville)
- 2011: le 04/03/ à 3h30 - forme ronde lumineuse - les bordes (36)
- 1975: le 15/07 à 21h30 - Aile volante en forme de boomerang - Ovnis à St Sulpice de Royan - Charente-Maritime (dép.17)
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum