- Benjamin.dResponsable du forum
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l'île de Groix (Morbihan): un losange reste à la verticale d'un chalutier
Jeu 12 Juin 2008, 23:51
l'île de Groix (Morbihan): un "losange" reste à la verticale d'un chalutier
En mer, à une vingtaine de kilomètres au sud-ouest de l'île de Groix (Morbihan): un losange de lumières reste à la verticale d'un chalutier pendant cinq minutes, puis part à une vitesse foudroyante
Dans son édition du mercredi 7 novembre, le journal La Liberté consacra un article d'une page presqu'entière aux événements du 5 novembre. Cet article signale notamment plusieurs observations très intéressantes dans le Morbihan, la Loire-Atlantique et la Vendée. Dominique Madrignac a approfondi, en 1993, l'une de ces observations. Le témoin est un patron-pêcheur, M. José Bal, qui l'a reçu une première fois le 14 septembre 93, à bord de son chalutier, l'Elvis, dans le port Sainte-Catherine, à Locmiquelic, puis de nouveau le 13 janvier 1994, au même endroit. C'est sur ce bateau que M. José Bal avait fait l'observation, le 5 novembre 90, vers 19 heures.
Mr Bal sur son bateau
Voici le récit que M. Bal a fait à Dominique Madrignac:
« C'était le 5 novembre 90, vers les 19 h, dans le suroit de l'île de Groix, à peu près à 18 milles au sud-sud-ouest de l'île. Il faisait nuit, la mer était calme, le ciel clair et dégagé. J'étais sur la passerelle. Le reste de l'équipage dormait. D'un coup, il y a eu comme une explosion, une lumière rouge intense, rouge pâle si on veut, comme un éclair rouge-orange, qui paraissait bas sur l'horizon. Ça n'était pas très gros, mais tout de même assez important... comme une explosion. C'était assez loin... difficile de préciser la distance. Je me suis dit que c'était peut-étre un avion ou un hélico qui avait explosé, et puis non, vu la façon dont c'est venu ensuite. C'est comme si c'était rentré dans l'atmosphère, et aussitôt après, une lumière rouge: deux feux rouges qui avançaient. Il me semble que c'est celui de gauche qui était le plus haut. Ça avançait droit dans l'axe du bateau, avec un cap au nord-est. On a pu estimer (que ça venait d') entre le 200° et le 220°, à la vitesse d'un avion à hélice, une vitesse régulière, comme un avion qui va atterrir, mais ça ne paraissait pas haut, presqu'à l'horizontale, sur l'horizon. Et puis c'est arrivé à la verticale du bateau, et d'un seul coup, des lumières se sont allumées: beaucoup de lumières blanches. Quand ces feux blancs se sont allumés, on ne voyait plus les feux rouges. les lumières blanches sont passées au-dessus du toit de la passerelle: je ne les voyais plus, alors je suis sorti sur l'arrière du bateau, ce qui m'a demandé quinze secondes. Bon, je les ai vues de l'arrière, et j'ai constaté qu'elles étaient disposées en losange. Je me suis dit: « de l'avant, je verrais mieux », donc je suis passé à l'avant, et là, on le voyait très bien, ce fameux losange.
C'était vraiment au-dessus de nous. Il ne bougeait pas, malgré le sens inverse du bateau en marche, donc il devait reculer un peu, en fait. Un losange complet, bien délimité par des lumières blanches tout autour, comme des guirlandes. Superbe ! C'était assez important, ça paraissait vraiment énorme, même bien 200 à 300 m de côté, beaucoup plus que mon bateau, au moins quatre à cinq fois comme le bateau, comme si on avait eu un plafond au-dessus de nous, qui déborde de chaque côté. On n'avait pas l'impression que c'était haut, parce qu'avec tous ces feux qui étaient vraiment énormes... mais est-ce que ça paraissait grand parce que c'était bas ? Ça n'avait pas l'air d'être haut, vu comme c'est arrivé bas sur l'horizon, peut-être 900 m de haut, par comparaison aux câbles qu'on allonge pour la pêche. On avait l'impression de matière, mais dans le centre, est-ce que c'était une masse ? On ne voyait rien au travers. Ça n'était pas transparent, sinon on aurait vu un petit nuage, une étoile. On ne voyait que du noir, mais plus noir que le ciel. Même dans la nuit, on fait la différence; je ne me souviens pas d'avoir vu des étoiles, mais le ciel était clair, vraiment clair, mer calme, le bateau ne bougeait pas, mais le moteur couvrait tous les autres bruits. C'est resté stable bien cinq minutes au-dessus de nous, à faire du sur-place, comme s'« ils » voulaient nous voir, nous photographier... Je suis resté longtemps à regarder, puis ça a avancé un petit peu, en dépassant le bateau pour arriver au travers de l'arrière, et là, il y a eu les réacteurs (je pense que c'étaient des réacteurs) qui se sont mis en route. Ça s'est allumé en deux fois, mais au début, c'était juste minime, tout doucement, comme un brûleur à gaz avec des flammes blanches, pas (violentes), et progressivement, au fur et à mesure qu' « ils » mettaient la sauce, on voyait les genres de réacteurs qui forçaient.
C'est devenu assez vif comme une traînée de lumière blanche, et d'un seul coup, c'est parti, d'un mouvement terrible, cap nord-est, à une vitesse incroyable. J'ai regardé, mais je n'ai plus rien vu. L'équipage dormait. Je n'ai pas pris le temps de prévenir (les autres). Voilà ce que j'ai vu, moi, mais le patron du Guillemot, qui était à un ou deux milles de nous, lui, il a vu les lumières blanches, mais il n'a pas fait attention. Moi, ça m'intéressait, alors j'ai continué à regarder. Je suis rentré. Le lendemain, j'ai appelé le journaliste de La Liberté que je connais, à Port-Louis. Il est venu me voir, le matin du lendemain ou du surlendemain, et a fait l'article. J'en ai parlé à ma famille et aux collègues de travail, mais ils m'ont dit: « Tu vois des rats bleus !». Pour moi c'était un événement, de voir un truc comme ça. Et après, j'ai su qu'il y avait eu tous les événements au-dessus de la France, en Loire-Atlantique, en Alsace, vers la même heure. Ce n'était pas un avion ! un avion, on voit les clignotants. Je ne peux pas expliquer. Je n'avais jamais vu ça avant... »
(Ce récit est la transcription, presque mot-pour-mot, du récit de M. José Bal. Il n'en diffère que par quelques retouches destinées à le rendre plus compréhensible). A Dominique Madrignac, M. Bal a dit que l'observation avait duré, au total, entre 10 et quinze minutes, dont 5 minutes entre l'explosion initiale et l'arrivée des lumières blanches au-dessus de l'Elvis, et 5 autres de stationnement du losange au-dessus du bateau. Dans l'article du journal, cette durée (stationnement du losange) n'était que de « 3 à 4 minutes ». A trente-quatre mois d'intervalle, cette légère distorsion n'a rien de choquant, et ne change rien au problème. L'apparition du phénomène (explosion initiale) a été située par le témoin (en septembre 93) à l'azimut 220° (celui du sud-ouest étant 225°), et seulement 2 ou 3 degrés au-dessus de l'horizon. Plus intéressant: le témoin a indiqué, comme azimut de la disparition du phénomène: « 25 à 30° ». Cet azimut n'est pas celui de Bitche (près de 80°), mais plutôt
celui de Southampton.
Il est évident, en outre, que l'objet qui a stationné au-dessus du bateau de M. Bal n'est pas le seul qui ait survolé les parages à cette heure-là. Ainsi, dans le même article de La Liberté, on trouve un autre témoignage, celui d'un journaliste nommé Jean-Marie Biette, qui se trouvait à bord de la vedette Elf Aquitaine, venue prendre en remorque le trimaran de Jean Maurel. La vedette se trouvait à trois milles (un peu plus de 5 km) dans le nord-est du Palais. Or, Jean-Marie Biette et ses compagnons décrivent un engin passant au-dessus d'Hoedic, d'ouest en est. Il est impossible que ces témoins-là aient observé le même objet qu'a vu M. Bal: ils lui tournaient complètement le dos, comme le montre la carte ci-dessous:
On le voit, la thèse de la rentrée atmosphérique sur une trajectoire allant de Royan à Bitche (au nord-ouest de Strasbourg) n'est nullement compatible avec ce que décrivent de nombreux témoins. C'était déjà parfaitement évident dès les jours qui ont suivi le 5 novembre, et nous avons exposé ce fait dans le numéro 303 de LDLN (sorti fin novembre), avec sept cas qui ne laissaient planer aucun doute. La réalité de la situation a alors été étouffée. Essayons donc de la rétablir, et pour cela, poursuivons l'examen des témoignages.
http://home.nordnet.fr/~phuleux/5novembr.htm
En mer, à une vingtaine de kilomètres au sud-ouest de l'île de Groix (Morbihan): un losange de lumières reste à la verticale d'un chalutier pendant cinq minutes, puis part à une vitesse foudroyante
Dans son édition du mercredi 7 novembre, le journal La Liberté consacra un article d'une page presqu'entière aux événements du 5 novembre. Cet article signale notamment plusieurs observations très intéressantes dans le Morbihan, la Loire-Atlantique et la Vendée. Dominique Madrignac a approfondi, en 1993, l'une de ces observations. Le témoin est un patron-pêcheur, M. José Bal, qui l'a reçu une première fois le 14 septembre 93, à bord de son chalutier, l'Elvis, dans le port Sainte-Catherine, à Locmiquelic, puis de nouveau le 13 janvier 1994, au même endroit. C'est sur ce bateau que M. José Bal avait fait l'observation, le 5 novembre 90, vers 19 heures.
Mr Bal sur son bateau
Voici le récit que M. Bal a fait à Dominique Madrignac:
« C'était le 5 novembre 90, vers les 19 h, dans le suroit de l'île de Groix, à peu près à 18 milles au sud-sud-ouest de l'île. Il faisait nuit, la mer était calme, le ciel clair et dégagé. J'étais sur la passerelle. Le reste de l'équipage dormait. D'un coup, il y a eu comme une explosion, une lumière rouge intense, rouge pâle si on veut, comme un éclair rouge-orange, qui paraissait bas sur l'horizon. Ça n'était pas très gros, mais tout de même assez important... comme une explosion. C'était assez loin... difficile de préciser la distance. Je me suis dit que c'était peut-étre un avion ou un hélico qui avait explosé, et puis non, vu la façon dont c'est venu ensuite. C'est comme si c'était rentré dans l'atmosphère, et aussitôt après, une lumière rouge: deux feux rouges qui avançaient. Il me semble que c'est celui de gauche qui était le plus haut. Ça avançait droit dans l'axe du bateau, avec un cap au nord-est. On a pu estimer (que ça venait d') entre le 200° et le 220°, à la vitesse d'un avion à hélice, une vitesse régulière, comme un avion qui va atterrir, mais ça ne paraissait pas haut, presqu'à l'horizontale, sur l'horizon. Et puis c'est arrivé à la verticale du bateau, et d'un seul coup, des lumières se sont allumées: beaucoup de lumières blanches. Quand ces feux blancs se sont allumés, on ne voyait plus les feux rouges. les lumières blanches sont passées au-dessus du toit de la passerelle: je ne les voyais plus, alors je suis sorti sur l'arrière du bateau, ce qui m'a demandé quinze secondes. Bon, je les ai vues de l'arrière, et j'ai constaté qu'elles étaient disposées en losange. Je me suis dit: « de l'avant, je verrais mieux », donc je suis passé à l'avant, et là, on le voyait très bien, ce fameux losange.
C'était vraiment au-dessus de nous. Il ne bougeait pas, malgré le sens inverse du bateau en marche, donc il devait reculer un peu, en fait. Un losange complet, bien délimité par des lumières blanches tout autour, comme des guirlandes. Superbe ! C'était assez important, ça paraissait vraiment énorme, même bien 200 à 300 m de côté, beaucoup plus que mon bateau, au moins quatre à cinq fois comme le bateau, comme si on avait eu un plafond au-dessus de nous, qui déborde de chaque côté. On n'avait pas l'impression que c'était haut, parce qu'avec tous ces feux qui étaient vraiment énormes... mais est-ce que ça paraissait grand parce que c'était bas ? Ça n'avait pas l'air d'être haut, vu comme c'est arrivé bas sur l'horizon, peut-être 900 m de haut, par comparaison aux câbles qu'on allonge pour la pêche. On avait l'impression de matière, mais dans le centre, est-ce que c'était une masse ? On ne voyait rien au travers. Ça n'était pas transparent, sinon on aurait vu un petit nuage, une étoile. On ne voyait que du noir, mais plus noir que le ciel. Même dans la nuit, on fait la différence; je ne me souviens pas d'avoir vu des étoiles, mais le ciel était clair, vraiment clair, mer calme, le bateau ne bougeait pas, mais le moteur couvrait tous les autres bruits. C'est resté stable bien cinq minutes au-dessus de nous, à faire du sur-place, comme s'« ils » voulaient nous voir, nous photographier... Je suis resté longtemps à regarder, puis ça a avancé un petit peu, en dépassant le bateau pour arriver au travers de l'arrière, et là, il y a eu les réacteurs (je pense que c'étaient des réacteurs) qui se sont mis en route. Ça s'est allumé en deux fois, mais au début, c'était juste minime, tout doucement, comme un brûleur à gaz avec des flammes blanches, pas (violentes), et progressivement, au fur et à mesure qu' « ils » mettaient la sauce, on voyait les genres de réacteurs qui forçaient.
C'est devenu assez vif comme une traînée de lumière blanche, et d'un seul coup, c'est parti, d'un mouvement terrible, cap nord-est, à une vitesse incroyable. J'ai regardé, mais je n'ai plus rien vu. L'équipage dormait. Je n'ai pas pris le temps de prévenir (les autres). Voilà ce que j'ai vu, moi, mais le patron du Guillemot, qui était à un ou deux milles de nous, lui, il a vu les lumières blanches, mais il n'a pas fait attention. Moi, ça m'intéressait, alors j'ai continué à regarder. Je suis rentré. Le lendemain, j'ai appelé le journaliste de La Liberté que je connais, à Port-Louis. Il est venu me voir, le matin du lendemain ou du surlendemain, et a fait l'article. J'en ai parlé à ma famille et aux collègues de travail, mais ils m'ont dit: « Tu vois des rats bleus !». Pour moi c'était un événement, de voir un truc comme ça. Et après, j'ai su qu'il y avait eu tous les événements au-dessus de la France, en Loire-Atlantique, en Alsace, vers la même heure. Ce n'était pas un avion ! un avion, on voit les clignotants. Je ne peux pas expliquer. Je n'avais jamais vu ça avant... »
(Ce récit est la transcription, presque mot-pour-mot, du récit de M. José Bal. Il n'en diffère que par quelques retouches destinées à le rendre plus compréhensible). A Dominique Madrignac, M. Bal a dit que l'observation avait duré, au total, entre 10 et quinze minutes, dont 5 minutes entre l'explosion initiale et l'arrivée des lumières blanches au-dessus de l'Elvis, et 5 autres de stationnement du losange au-dessus du bateau. Dans l'article du journal, cette durée (stationnement du losange) n'était que de « 3 à 4 minutes ». A trente-quatre mois d'intervalle, cette légère distorsion n'a rien de choquant, et ne change rien au problème. L'apparition du phénomène (explosion initiale) a été située par le témoin (en septembre 93) à l'azimut 220° (celui du sud-ouest étant 225°), et seulement 2 ou 3 degrés au-dessus de l'horizon. Plus intéressant: le témoin a indiqué, comme azimut de la disparition du phénomène: « 25 à 30° ». Cet azimut n'est pas celui de Bitche (près de 80°), mais plutôt
celui de Southampton.
Il est évident, en outre, que l'objet qui a stationné au-dessus du bateau de M. Bal n'est pas le seul qui ait survolé les parages à cette heure-là. Ainsi, dans le même article de La Liberté, on trouve un autre témoignage, celui d'un journaliste nommé Jean-Marie Biette, qui se trouvait à bord de la vedette Elf Aquitaine, venue prendre en remorque le trimaran de Jean Maurel. La vedette se trouvait à trois milles (un peu plus de 5 km) dans le nord-est du Palais. Or, Jean-Marie Biette et ses compagnons décrivent un engin passant au-dessus d'Hoedic, d'ouest en est. Il est impossible que ces témoins-là aient observé le même objet qu'a vu M. Bal: ils lui tournaient complètement le dos, comme le montre la carte ci-dessous:
On le voit, la thèse de la rentrée atmosphérique sur une trajectoire allant de Royan à Bitche (au nord-ouest de Strasbourg) n'est nullement compatible avec ce que décrivent de nombreux témoins. C'était déjà parfaitement évident dès les jours qui ont suivi le 5 novembre, et nous avons exposé ce fait dans le numéro 303 de LDLN (sorti fin novembre), avec sept cas qui ne laissaient planer aucun doute. La réalité de la situation a alors été étouffée. Essayons donc de la rétablir, et pour cela, poursuivons l'examen des témoignages.
http://home.nordnet.fr/~phuleux/5novembr.htm
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