- Benjamin.dResponsable du forum
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Linas (Essonne): deux brusques changements de cap à angle droit
Jeu 12 Juin 2008, 23:55
Linas (Essonne): deux brusques changements de cap
Nous trouvons, à une bonne vingtaine de kilomètres au sud de Paris, un autre cas de survol à la verticale des témoins, agrémenté d'un bref instant d'immobilité, d'un premier changement de trajectoire, à angle droit, et quelques instants plus tard, d'un second changement de cap.
Voici tout d'abord de larges extraits d'une lettre adressée à LDLN le 14 novembre 1993 par M. Lionel Le Peltier:
« (...) Donc je désire porter témoignage de ce que j'ai observé en commun avec trois autres personnes avec qui je courais ce soir du 5 novembre à 18 h 57 environ. Mes amis et moi-même courons chaque lundi soir à partir de 18 h 30. Le parcours est très souvent le même, et ce jour-là, nous étions quatre à le faire. Les évènements se sont déroulés lorsque nous étions sur la piste cyclable qui longe la Francilienne entre Linas et le lac de Brétigny-sur-Orge. J'ai aperçu le premier un faisceau de lumière blanche et violente qui éclairait le sol d'un champ. Quelques secondes après, et pour peu de temps, un second cône de lumière verte est apparu, mais ses rayons ne touchaient pas le sol, ce qui m'étonna et suffit à exclure un hélicoptère. Les deux faisceaux éteints, l'engin représenté par une masse noire sembla s'avancer vers nous, éclairé par quelques lumières rouges ne permettant pas de distinguer la coque, qui d'ailleurs ne réverbérait pas la lumière (même du ciel et des réverbères).
La vitesse était très, très faible pour un engin de cette taille. Aucun bruit n'était perceptible, et sa hauteur de vol était quasi-impossible pour un engin volant. Nous l'avons suivi (des yeux, NDLR) sur plusieurs centaines de mètres sans constater de changement sur les manifestations signalées. Il a exécuté une accélération évaluée à 1 000 ou 2 000 mètres (sic) sans bruit ni phénomènes remarquables, sauf une luminosité différente du globe arrière, qui a semblé "palpiter" à ce moment. Deuxième accélération avec une trajectoire modifiée. En un temps très court il a disparu au-dessus de l'horizon et des nuages. Seul un trait de lumière le laissa voir.
Temps d'observation, calculé à partir de la distance parcourue par nous : 1 à 2 minutes.
Météo : temps froid et relativement sec; nuages abondants et hauts.
Conditions acoustiques : trafic intense et rapide sur la voie rapide à 10 m de nous; bruit de nos K-Way qui crissent quand on court.
Objet : dimensions très grandes, comparables à celles d'un bâtiment de 4 étages ou à un car ferry.
Hauteur de vol : compte tenu de la taille de l'engin, soit un pylone électrique (30 m ou 50 m), soit plus, si l'engin est plus grand; en tout cas, sensation d'écrasement par la taille.
Lumières : deux faisceaux : un cône blanc; un tronc de cône vert; une cloche rouge; des lumières vertes et rouges; et un globe immense, vert jade, qui pulse.
Coque : métal non réverbérant; pas d'inscriptions; pas de liaisons apparentes; pas de contour définissable, par manque de recul.
Il n'est pas toujours facile de relater une expérience de ce genre, et tous les comptes-rendus ne sont pas aussi clairs les uns que les autres. Il faut bien admettre que celui-ci ne reflète pas au mieux l'aventure vécue par les trois coureurs. Heureusement, une rencontre avec M. Le Peltier, le 25 février 1996, sur les lieux de l'incident, a permis de clarifier un certain nombre de points qui restaient obscurs. Tout d'abord, la rencontre avec le phénomène a eu lieu entre l'intersection de la N 104 avec la N 20 et le carrefour aménagé qui se trouve à la sortie nord-ouest de Brétigny, à la limite sud de Saint-Michel-sur-Orge. (Le nom de cette commune remplacerait avantageusement celui de Ste-Geneviève-des-Bois, sur le plan). Les témoins couraient d'ouest en est, de Linas vers Brétigny. Le phénomène est donc tout d'abord apparu (sous la forme du projecteur blanc) à leur droite. Il arrivait du sud, de la direction d'Orléans, et très vite il s'est immobilisé un bref instant au-dessus des coureurs, avant d'effectuer un bond rapide vers l'est, perpendiculairement à sa trajectoire initiale. Ce second segment de la trajectoire mesurait probablement plus que les 600 m indiqués sur le croquis. Le récit initial parle, d'ailleurs, de « 1 000 à 2 000 m » pour décrire cette phase de l'incident. La dernière estimation est probablement excessive, et on peut retenir 1 km, comme longueur du trajet ouest-est parcouru par le phénomène. Ce que la lettre omet encore de dire, c'est que cette distance a été parcourue en un temps très bref, de l'ordre de une, deux ou trois secondes seulement. Sur la vue de derrière du phénomène, les feux latéraux, de couleur rouge, sont portés par des « barres noires ». Quant aux « nervures » du globe lumineux vert jade, il ne s'agit pas d'éléments d'une structure régulière, d'aspect manufacturé, mais plutôt de quelque chose qui ressemble aux veines d'une pierre translucide, placée devant une source lumineuse. Les quatre coureurs ne se sont pas arrêtés. Il faut dire que M. Le Peltier est probablement le seul qui ait réellement prêté attention au spectacle qui s'offrait à eux. Deux de ses amis, probablement trop absorbés par leur entraînement, n'ont guère prêté attention au phénomène, et lors des conversations qui ont suivi, ils ont exprimé un certain manque d'intérêt pour l'incident.
Le point capital de ce témoignage réside, bien évidemment, dans les deux brisures nettes de la trajectoire, incompatibles avec toute explication à base de rentrée atmosphérique: une rentrée suit une trajectoire dont la projection au sol, observée sur quelques kilomètres ou dizaines de kilomètres, est une droite. Rappelons que nous avons déjà exposé deux observations du 5 novembre présentant, elles aussi, des brisures nettes de la trajectoire: il s'agit de Gretz-Armainvilliers (LDLN 306, pp. 16 à 18) et de l'Isle-Adam (LDLN 318, pp. 1, 27 et 28). Rappelons aussi que le même soir, à la même heure, deux observations ont été faites très près de là: à Brétigny-sur-Orge (rue de l'Orge) et à Vert-le-Grand (on en trouve le récit dans LDLN 303). Les trajectoires ne concordent pas, comme le montre le schéma ci-dessous:
Et les descriptions ne concordent pas davantage. A la rigueur, on pourrait se contenter de ces trois exemples pour apprécier ce que vaut l'idée d'un phénomène unique observé ce soir du 5 novembre. Cette situation, avec des observations proches les unes des autres, mais portant sur des phénomènes différents, n'est pas particulière à la région de Brétigny-sur-Orge: nous venons déjà d'en voir un exemple au large des côtes du Morbihan, et on la retrouve ailleurs, par exemple dans la proche banlieue ouest de Paris, dans la région de Reims, celle de Melun, celle de Soissons. Voyons d'abord les observations proches de Reims.
http://home.nordnet.fr/~phuleux/5novembr2.htm
Nous trouvons, à une bonne vingtaine de kilomètres au sud de Paris, un autre cas de survol à la verticale des témoins, agrémenté d'un bref instant d'immobilité, d'un premier changement de trajectoire, à angle droit, et quelques instants plus tard, d'un second changement de cap.
Voici tout d'abord de larges extraits d'une lettre adressée à LDLN le 14 novembre 1993 par M. Lionel Le Peltier:
« (...) Donc je désire porter témoignage de ce que j'ai observé en commun avec trois autres personnes avec qui je courais ce soir du 5 novembre à 18 h 57 environ. Mes amis et moi-même courons chaque lundi soir à partir de 18 h 30. Le parcours est très souvent le même, et ce jour-là, nous étions quatre à le faire. Les évènements se sont déroulés lorsque nous étions sur la piste cyclable qui longe la Francilienne entre Linas et le lac de Brétigny-sur-Orge. J'ai aperçu le premier un faisceau de lumière blanche et violente qui éclairait le sol d'un champ. Quelques secondes après, et pour peu de temps, un second cône de lumière verte est apparu, mais ses rayons ne touchaient pas le sol, ce qui m'étonna et suffit à exclure un hélicoptère. Les deux faisceaux éteints, l'engin représenté par une masse noire sembla s'avancer vers nous, éclairé par quelques lumières rouges ne permettant pas de distinguer la coque, qui d'ailleurs ne réverbérait pas la lumière (même du ciel et des réverbères).
La vitesse était très, très faible pour un engin de cette taille. Aucun bruit n'était perceptible, et sa hauteur de vol était quasi-impossible pour un engin volant. Nous l'avons suivi (des yeux, NDLR) sur plusieurs centaines de mètres sans constater de changement sur les manifestations signalées. Il a exécuté une accélération évaluée à 1 000 ou 2 000 mètres (sic) sans bruit ni phénomènes remarquables, sauf une luminosité différente du globe arrière, qui a semblé "palpiter" à ce moment. Deuxième accélération avec une trajectoire modifiée. En un temps très court il a disparu au-dessus de l'horizon et des nuages. Seul un trait de lumière le laissa voir.
Temps d'observation, calculé à partir de la distance parcourue par nous : 1 à 2 minutes.
Météo : temps froid et relativement sec; nuages abondants et hauts.
Conditions acoustiques : trafic intense et rapide sur la voie rapide à 10 m de nous; bruit de nos K-Way qui crissent quand on court.
Objet : dimensions très grandes, comparables à celles d'un bâtiment de 4 étages ou à un car ferry.
Hauteur de vol : compte tenu de la taille de l'engin, soit un pylone électrique (30 m ou 50 m), soit plus, si l'engin est plus grand; en tout cas, sensation d'écrasement par la taille.
Lumières : deux faisceaux : un cône blanc; un tronc de cône vert; une cloche rouge; des lumières vertes et rouges; et un globe immense, vert jade, qui pulse.
Coque : métal non réverbérant; pas d'inscriptions; pas de liaisons apparentes; pas de contour définissable, par manque de recul.
Il n'est pas toujours facile de relater une expérience de ce genre, et tous les comptes-rendus ne sont pas aussi clairs les uns que les autres. Il faut bien admettre que celui-ci ne reflète pas au mieux l'aventure vécue par les trois coureurs. Heureusement, une rencontre avec M. Le Peltier, le 25 février 1996, sur les lieux de l'incident, a permis de clarifier un certain nombre de points qui restaient obscurs. Tout d'abord, la rencontre avec le phénomène a eu lieu entre l'intersection de la N 104 avec la N 20 et le carrefour aménagé qui se trouve à la sortie nord-ouest de Brétigny, à la limite sud de Saint-Michel-sur-Orge. (Le nom de cette commune remplacerait avantageusement celui de Ste-Geneviève-des-Bois, sur le plan). Les témoins couraient d'ouest en est, de Linas vers Brétigny. Le phénomène est donc tout d'abord apparu (sous la forme du projecteur blanc) à leur droite. Il arrivait du sud, de la direction d'Orléans, et très vite il s'est immobilisé un bref instant au-dessus des coureurs, avant d'effectuer un bond rapide vers l'est, perpendiculairement à sa trajectoire initiale. Ce second segment de la trajectoire mesurait probablement plus que les 600 m indiqués sur le croquis. Le récit initial parle, d'ailleurs, de « 1 000 à 2 000 m » pour décrire cette phase de l'incident. La dernière estimation est probablement excessive, et on peut retenir 1 km, comme longueur du trajet ouest-est parcouru par le phénomène. Ce que la lettre omet encore de dire, c'est que cette distance a été parcourue en un temps très bref, de l'ordre de une, deux ou trois secondes seulement. Sur la vue de derrière du phénomène, les feux latéraux, de couleur rouge, sont portés par des « barres noires ». Quant aux « nervures » du globe lumineux vert jade, il ne s'agit pas d'éléments d'une structure régulière, d'aspect manufacturé, mais plutôt de quelque chose qui ressemble aux veines d'une pierre translucide, placée devant une source lumineuse. Les quatre coureurs ne se sont pas arrêtés. Il faut dire que M. Le Peltier est probablement le seul qui ait réellement prêté attention au spectacle qui s'offrait à eux. Deux de ses amis, probablement trop absorbés par leur entraînement, n'ont guère prêté attention au phénomène, et lors des conversations qui ont suivi, ils ont exprimé un certain manque d'intérêt pour l'incident.
Le point capital de ce témoignage réside, bien évidemment, dans les deux brisures nettes de la trajectoire, incompatibles avec toute explication à base de rentrée atmosphérique: une rentrée suit une trajectoire dont la projection au sol, observée sur quelques kilomètres ou dizaines de kilomètres, est une droite. Rappelons que nous avons déjà exposé deux observations du 5 novembre présentant, elles aussi, des brisures nettes de la trajectoire: il s'agit de Gretz-Armainvilliers (LDLN 306, pp. 16 à 18) et de l'Isle-Adam (LDLN 318, pp. 1, 27 et 28). Rappelons aussi que le même soir, à la même heure, deux observations ont été faites très près de là: à Brétigny-sur-Orge (rue de l'Orge) et à Vert-le-Grand (on en trouve le récit dans LDLN 303). Les trajectoires ne concordent pas, comme le montre le schéma ci-dessous:
Et les descriptions ne concordent pas davantage. A la rigueur, on pourrait se contenter de ces trois exemples pour apprécier ce que vaut l'idée d'un phénomène unique observé ce soir du 5 novembre. Cette situation, avec des observations proches les unes des autres, mais portant sur des phénomènes différents, n'est pas particulière à la région de Brétigny-sur-Orge: nous venons déjà d'en voir un exemple au large des côtes du Morbihan, et on la retrouve ailleurs, par exemple dans la proche banlieue ouest de Paris, dans la région de Reims, celle de Melun, celle de Soissons. Voyons d'abord les observations proches de Reims.
http://home.nordnet.fr/~phuleux/5novembr2.htm
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