- Benjamin.dResponsable du forum
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Montignac (Dordogne): cinquante centimètres à bout de bras
Ven 13 Juin 2008, 11:37
Montignac (Dordogne): cinquante centimètres à bout de bras
Pierre Détraves, dont le décès l'été dernier a été pour LDLN une perte cruelle, avait interrogé un témoin du 5 novembre. En fait, la date n'est pas absolument certaine: c'était « vraisemblablement en novembre 1990 ». Mais comme le même rapport précise que « le lendemain et les jours suivants, la presse a mentionné de nombreuses observations faites dans toute la France, du sud au nord », il n'y a aucun doute à avoir sur la date. L'incident s'est produit au lieu-dit « La Roumagère », à environ 2 km au nord de Montignac. L'heure est «18 h 30 environ », mais on sait qu'il faisait nuit, et on imagine que le témoin, qui n'a pas retenu la date, n'a pas non plus noté l'heure précise. Il y a deux témoins: M. Laurent Mathieu (qui n'avait pas 30 ans à l'époque), cultivateur, et sa mère.
M. Mathieu était dans son champ, face à l'ouest, en train de parler à sa mère. Son tracteur stationnait près d'eux, moteur en marche. Soudain, M. Mathieu vit vers l'ouest, dans le ciel, des lueurs blanches progressant lentement vers lui. Sa mère se retourna, et observa le phénomène avec lui. L'ovni poursuivant sa progression passa exactement à la verticale des deux témoins. (Ce point est particulièrement intéressant, car si la chose observée avait été la rentrée de l'engin soviétique, sa hauteur sur l'horizon n'aurait pas dû excéder 45°.) Pour tenter de détecter un bruit, M. Mathieu arrêta le moteur de son tracteur. L'engin volant était parfaitement silencieux. M. Mathieu le décrit comme une gigantesque masse sombre de forme rectangulaire, portant en-dessous et vers l'avant quatre lumières disposées aux sommets d'un losange. Il s'agissait de lumières blanches non éblouissantes, plutôt fluorescentes. Vers l'arrière de l'engin, il y avait un certain nombre - peut-être une dizaine - de lumières blanches plus petites, apparemment disposées sans ordre. L'engin semblait à basse altitude. M. Mathieu évalue sa longueur apparente à environ 50 cm à bout de bras. Continuant lentement sa route silencieuse et rectiligne, l'engin disparut en direction de l'est, derrière une colline. M. Mathieu estime que l'observation a duré environ 3 minutes. Il a, peu après, raconté par téléphone son aventure à la gendarmerie de Montignac, mais la gendarmerie n'enregistre pas les témoignages par téléphone. M. Mathieu n'a fait état de son observation auprès d'aucun organe de presse, ni sur le moment, ni plus tard.
Ce témoignage est évidemment à rapprocher des deux témoignages de Périgueux, qu'on peut lire dans notre précédent numéro, pp.6 et 7. On peut imaginer la trajectoire d'un objet unique, passant à la verticale de Périgueux et à celle de la Roumagère. Dans ce cas, non seulement la trajectoire se serait située très au sud de la trajectoire de rentrée, mais elle s'en serait aussi distinguée par une orientation différente, à un cap de l'ordre de 105 ou 110°. Notons que c'est très exactement le cap que M. Hameau, 4 km au nord de Bayonne, attribue à l'immense triangle qu'il voit couper l'autoroute devant lui. Bien sûr, il est difficile d'apprécier avec une bonne précision le cap d'un mobile qu'on voit passer dans le ciel. Mais M. Mathieu connaît parfaitement les lieux, et on imagine mal qu'il ait pu commettre une erreur d'une soixantaine de degrés dans l'appréciation du cap.
http://home.nordnet.fr/~phuleux/5novembr6.htm
Pierre Détraves, dont le décès l'été dernier a été pour LDLN une perte cruelle, avait interrogé un témoin du 5 novembre. En fait, la date n'est pas absolument certaine: c'était « vraisemblablement en novembre 1990 ». Mais comme le même rapport précise que « le lendemain et les jours suivants, la presse a mentionné de nombreuses observations faites dans toute la France, du sud au nord », il n'y a aucun doute à avoir sur la date. L'incident s'est produit au lieu-dit « La Roumagère », à environ 2 km au nord de Montignac. L'heure est «18 h 30 environ », mais on sait qu'il faisait nuit, et on imagine que le témoin, qui n'a pas retenu la date, n'a pas non plus noté l'heure précise. Il y a deux témoins: M. Laurent Mathieu (qui n'avait pas 30 ans à l'époque), cultivateur, et sa mère.
M. Mathieu était dans son champ, face à l'ouest, en train de parler à sa mère. Son tracteur stationnait près d'eux, moteur en marche. Soudain, M. Mathieu vit vers l'ouest, dans le ciel, des lueurs blanches progressant lentement vers lui. Sa mère se retourna, et observa le phénomène avec lui. L'ovni poursuivant sa progression passa exactement à la verticale des deux témoins. (Ce point est particulièrement intéressant, car si la chose observée avait été la rentrée de l'engin soviétique, sa hauteur sur l'horizon n'aurait pas dû excéder 45°.) Pour tenter de détecter un bruit, M. Mathieu arrêta le moteur de son tracteur. L'engin volant était parfaitement silencieux. M. Mathieu le décrit comme une gigantesque masse sombre de forme rectangulaire, portant en-dessous et vers l'avant quatre lumières disposées aux sommets d'un losange. Il s'agissait de lumières blanches non éblouissantes, plutôt fluorescentes. Vers l'arrière de l'engin, il y avait un certain nombre - peut-être une dizaine - de lumières blanches plus petites, apparemment disposées sans ordre. L'engin semblait à basse altitude. M. Mathieu évalue sa longueur apparente à environ 50 cm à bout de bras. Continuant lentement sa route silencieuse et rectiligne, l'engin disparut en direction de l'est, derrière une colline. M. Mathieu estime que l'observation a duré environ 3 minutes. Il a, peu après, raconté par téléphone son aventure à la gendarmerie de Montignac, mais la gendarmerie n'enregistre pas les témoignages par téléphone. M. Mathieu n'a fait état de son observation auprès d'aucun organe de presse, ni sur le moment, ni plus tard.
Ce témoignage est évidemment à rapprocher des deux témoignages de Périgueux, qu'on peut lire dans notre précédent numéro, pp.6 et 7. On peut imaginer la trajectoire d'un objet unique, passant à la verticale de Périgueux et à celle de la Roumagère. Dans ce cas, non seulement la trajectoire se serait située très au sud de la trajectoire de rentrée, mais elle s'en serait aussi distinguée par une orientation différente, à un cap de l'ordre de 105 ou 110°. Notons que c'est très exactement le cap que M. Hameau, 4 km au nord de Bayonne, attribue à l'immense triangle qu'il voit couper l'autoroute devant lui. Bien sûr, il est difficile d'apprécier avec une bonne précision le cap d'un mobile qu'on voit passer dans le ciel. Mais M. Mathieu connaît parfaitement les lieux, et on imagine mal qu'il ait pu commettre une erreur d'une soixantaine de degrés dans l'appréciation du cap.
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