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Du pseudo-Scepticisme par Marcello Truzzi
Sam 29 Jan 2011, 17:24
Marcello Truzzi est professeur de sociologie à l'Université du Michigan Ouest. Cet article est réimprimé, sans autorisation, et traduit sans autorisation, depuis le "Zetetic Scholar," Numéros 12-13, de 1987. Dans son opinion cette critique du pseudo-scepticisme se réclamant de l'autorité de la science, mais empêchant en fait la progrès de la science, n'a jamais été aussi à propos.
Marcello Truzzi est un Co-Président et un des fondateurs de CSICOP, le centre pour la recherche scientifique sur les affirmations du Paranormal.
En tant qu'ufologue auto-proclamé (personne qui parle des OVNIS), mon seul souhait est que chaque scientifique et non scientifique comprenne cet essai et se mette enfin à l'appliquer à la lettre quand il s'agit d'OVNIS.
Ma seule question à Marcello Truzzi serait: " quand vous dites 'plus les affirmations sont extraordinaires, plus solide doivent être les preuves', quelle est donc la limite maximale de la solidité des preuves que l'on est en droit d'exiger, pour, au moins, admettre qu'un certain problème ne soit pas à ignorer totalement?"
Patrick Gross
DU PSEUDO-SCEPTICISME:
"Du Pseudo-Scepticisme"
par Marcello Truzzi
Co-directeur et fondateur de CSICOP
Au cours des années, j'ai critiqué l'abus du terme "sceptique" quand on l'utilise pour se rapporter à toutes les critiques des affirmations du paranormal. Hélas, l'étiquette a été de fait très mal appliquée par les partisans et les opposants du paranormal. Parfois les utilisateurs du mot "sceptique" ont voulu distingué un prétendu scepticisme "doux" d'un prétendu scepticisme "durs", et j'ai en partie rétabli le terme "Zététique" en raison de l'abus du terme "sceptique." Mais je pense maintenant que les problèmes créés dépassent la seule terminologie et il faut y mettre bon ordre. Puisque le "scepticisme" se rapporte justement au doute plutôt qu'a la négation - à l'incrédulité plutôt qu'à la croyance - les critiques qui choisissent la dénégation plutôt qu'une position d'incrédulité mais se qualifient quand même de "sceptiques" en réalité des pseudo-sceptiques et ont, je le crois, gagné en usurpant cette étiquette un avantage usurpé.
En science, le fardeau de la preuve incombe à celui qui fait un postulat; et plus son postulat est extraordinaire, plus le fardeau de la preuve exigé est lourd. Le vrai sceptique prend une position agnostique, celle qui consiste à dire que le postulat n'est pas prouvé, plutôt qu'à dire qu'il est réfuté. Il affirme que le postulant n'a pas réussi à apporter la preuve et que la science doit continuer à construire son modèle cognitif de la réalité sans incorporer ses affirmations extraordinaires comme s'il s'agissait de "faits" nouveaux. Puisque le sceptique vrai ne propose pas de postulat, il n'a aucun devoir de prouver quoi que ce soit. Il continue simplement à employer les théories établies de la "science conventionnelle" comme à son habitude. Mais si un critique affirme qu'il y a des preuves que l'affirmation du postulant est fausse, s'il dit qu'il a une hypothèse contraire - disant, par exemple, qu'un résultat d'une expérience psi s'explique par une certaine raison conventionnelle - il fait un postulat et il donc doit également prouver son postulat, il a le fardeau de sa preuve à sa charge. Parfois, de telles affirmations de dénégations par les critiques sont également des affirmations tout à fait extraordinaires - par exemple, qu'un OVNI aurait en fait été un plasma géant, ou que quelqu'un dans une expérience psi a été avantagé par une capacité auditive qui dépasse d'un cran celle des oreilles normales. Dans ces cas-ci le postulant négationniste peut également devoir apporter un preuve d'une solidité au-delà d'une preuve que l'on demanderait pour un affirmation peu extraordinaire.
Les critiques qui émettent des affirmations pour nier, mais qui se qualifient de manière erronée de "sceptiques," agissent souvent comme s'ils n'ont aucunement le devoir d'apporter la preuve de leurs dénégation, alors qu'une telle façon d'agir soit seulement appropriée pour le sceptique agnostique ou "vrai sceptique." Un résultat de ceci est que de nombreux critiques semblent croire qu'il leur est seulement nécessaire de présenter un argument pour leurs contre-affirmation basé sur la plausibilité plutôt que sur des preuves empirique. Ainsi, si dans une expérience psi on peut montrer qu'un sujet a eu une possibilité de tricher, beaucoup de critiques semblent supposer non pas simplement qu'il a probablement triché, mais qu'il doit avoir triché, indépendamment de l'absence complète de preuves qu'il a effectivement triché et parfois en ignorant les preuves de la réputation d'honnêteté du sujet. De même, on propose que parfois des procédures inexactes de randomization sont la cause des bons scores d'un sujet dans une expérience psi en dépit de ce qui ait été établi est la possibilité qu'une telle erreur pourrait avoir causé les bons résultats. Bien entendu, la valeur de l'expérience est considérablement réduite si l'on découvre une faille de sa conception qui permettrait à un artifice de fausser les résultats. Découvrir une possibilité d'erreur devrait rendre de telles expériences moins fondées et plus aisément réfutables. De telles failles réfutent en pratique l'affirmation que l'expérience était conçue pour "totalement éviter" toute erreur ou triche, mais elle ne réfute pas le postulat de l'anomalie.
Montrer que des preuves sont réfutables n'est pas une raisons pour écarter complètement ce qui a été affirmé. Si un critique affirme que le résultat était dû à un effet X, ce critique alors a le fardeau de prouver que l'effet X peut produire et a probablement produit de tels résultats dans de telles circonstances. Évidemment, dans certains cas l'appel à la seule plausibilité qu'un effet X a produit le résultat peut être si évident que presque tous accepterait l'argumentation; par exemple, quand nous apprenons que quelqu'un connu pour avoir triché dans le passé a eu une occasion de tricher dans une expérience, nous pourrions raisonnablement conclure qu'il a probablement triché cette fois également. Mais dans bien trop d'exemples, le critique qui fait un argument simplement plausible pour un effet X ferme la porte à toute future recherche alors que la science véritable exige que son hypothèse d'un effet X soit également évaluée. Hélas, la plupart des critiques semblent heureux de se reposer dans leurs fauteuils à produire des dénégations fabriquées à posteriori. Quel que soit le camp qui détient la vraie explication, la science progresse mieux par des investigations du type examen en laboratoire.
Par ailleurs, les partisans d'une affirmation d'une anomalie qui identifient l'erreur ci-dessus peuvent aller trop loin dans l'autre direction. Certains argumentent, comme Lombroso quand il a défendu la mediumnité de Palladino, que la présence d'une perruques n'empêche pas l'existence de vrais cheveux. Nous devons tous nous rappeler que la science peut nous indiquer ce qui est empiriquement peu probable mais pas ce qui est empiriquement impossible. La preuve, en science, est toujours une question de degré et est rarement toujours absolument concluante. Quelques partisans d'anomalies, comme certains critiques, sont peu disposés à considérer les preuves en des termes probabilistes, s'accrochant à la fin n'importe quel infime indice comme si le critique doit réfuter toute preuve qui sera jamais proposée pour une affirmation particulière. Les critiques et les partisans doivent apprendre à penser au compromis en science comme on le voit se pratiquer dans les palais de justice, imparfaits, et confrontés à des degrés variables de preuve et d'indices. La vérité absolue, comme la justice absolue, ne peu que rarement être atteinte. Nous pouvons seulement faire de notre mieux pour les approcher.
Source : ufologie.net
Marcello Truzzi est un Co-Président et un des fondateurs de CSICOP, le centre pour la recherche scientifique sur les affirmations du Paranormal.
En tant qu'ufologue auto-proclamé (personne qui parle des OVNIS), mon seul souhait est que chaque scientifique et non scientifique comprenne cet essai et se mette enfin à l'appliquer à la lettre quand il s'agit d'OVNIS.
Ma seule question à Marcello Truzzi serait: " quand vous dites 'plus les affirmations sont extraordinaires, plus solide doivent être les preuves', quelle est donc la limite maximale de la solidité des preuves que l'on est en droit d'exiger, pour, au moins, admettre qu'un certain problème ne soit pas à ignorer totalement?"
Patrick Gross
DU PSEUDO-SCEPTICISME:
"Du Pseudo-Scepticisme"
par Marcello Truzzi
Co-directeur et fondateur de CSICOP
Au cours des années, j'ai critiqué l'abus du terme "sceptique" quand on l'utilise pour se rapporter à toutes les critiques des affirmations du paranormal. Hélas, l'étiquette a été de fait très mal appliquée par les partisans et les opposants du paranormal. Parfois les utilisateurs du mot "sceptique" ont voulu distingué un prétendu scepticisme "doux" d'un prétendu scepticisme "durs", et j'ai en partie rétabli le terme "Zététique" en raison de l'abus du terme "sceptique." Mais je pense maintenant que les problèmes créés dépassent la seule terminologie et il faut y mettre bon ordre. Puisque le "scepticisme" se rapporte justement au doute plutôt qu'a la négation - à l'incrédulité plutôt qu'à la croyance - les critiques qui choisissent la dénégation plutôt qu'une position d'incrédulité mais se qualifient quand même de "sceptiques" en réalité des pseudo-sceptiques et ont, je le crois, gagné en usurpant cette étiquette un avantage usurpé.
En science, le fardeau de la preuve incombe à celui qui fait un postulat; et plus son postulat est extraordinaire, plus le fardeau de la preuve exigé est lourd. Le vrai sceptique prend une position agnostique, celle qui consiste à dire que le postulat n'est pas prouvé, plutôt qu'à dire qu'il est réfuté. Il affirme que le postulant n'a pas réussi à apporter la preuve et que la science doit continuer à construire son modèle cognitif de la réalité sans incorporer ses affirmations extraordinaires comme s'il s'agissait de "faits" nouveaux. Puisque le sceptique vrai ne propose pas de postulat, il n'a aucun devoir de prouver quoi que ce soit. Il continue simplement à employer les théories établies de la "science conventionnelle" comme à son habitude. Mais si un critique affirme qu'il y a des preuves que l'affirmation du postulant est fausse, s'il dit qu'il a une hypothèse contraire - disant, par exemple, qu'un résultat d'une expérience psi s'explique par une certaine raison conventionnelle - il fait un postulat et il donc doit également prouver son postulat, il a le fardeau de sa preuve à sa charge. Parfois, de telles affirmations de dénégations par les critiques sont également des affirmations tout à fait extraordinaires - par exemple, qu'un OVNI aurait en fait été un plasma géant, ou que quelqu'un dans une expérience psi a été avantagé par une capacité auditive qui dépasse d'un cran celle des oreilles normales. Dans ces cas-ci le postulant négationniste peut également devoir apporter un preuve d'une solidité au-delà d'une preuve que l'on demanderait pour un affirmation peu extraordinaire.
Les critiques qui émettent des affirmations pour nier, mais qui se qualifient de manière erronée de "sceptiques," agissent souvent comme s'ils n'ont aucunement le devoir d'apporter la preuve de leurs dénégation, alors qu'une telle façon d'agir soit seulement appropriée pour le sceptique agnostique ou "vrai sceptique." Un résultat de ceci est que de nombreux critiques semblent croire qu'il leur est seulement nécessaire de présenter un argument pour leurs contre-affirmation basé sur la plausibilité plutôt que sur des preuves empirique. Ainsi, si dans une expérience psi on peut montrer qu'un sujet a eu une possibilité de tricher, beaucoup de critiques semblent supposer non pas simplement qu'il a probablement triché, mais qu'il doit avoir triché, indépendamment de l'absence complète de preuves qu'il a effectivement triché et parfois en ignorant les preuves de la réputation d'honnêteté du sujet. De même, on propose que parfois des procédures inexactes de randomization sont la cause des bons scores d'un sujet dans une expérience psi en dépit de ce qui ait été établi est la possibilité qu'une telle erreur pourrait avoir causé les bons résultats. Bien entendu, la valeur de l'expérience est considérablement réduite si l'on découvre une faille de sa conception qui permettrait à un artifice de fausser les résultats. Découvrir une possibilité d'erreur devrait rendre de telles expériences moins fondées et plus aisément réfutables. De telles failles réfutent en pratique l'affirmation que l'expérience était conçue pour "totalement éviter" toute erreur ou triche, mais elle ne réfute pas le postulat de l'anomalie.
Montrer que des preuves sont réfutables n'est pas une raisons pour écarter complètement ce qui a été affirmé. Si un critique affirme que le résultat était dû à un effet X, ce critique alors a le fardeau de prouver que l'effet X peut produire et a probablement produit de tels résultats dans de telles circonstances. Évidemment, dans certains cas l'appel à la seule plausibilité qu'un effet X a produit le résultat peut être si évident que presque tous accepterait l'argumentation; par exemple, quand nous apprenons que quelqu'un connu pour avoir triché dans le passé a eu une occasion de tricher dans une expérience, nous pourrions raisonnablement conclure qu'il a probablement triché cette fois également. Mais dans bien trop d'exemples, le critique qui fait un argument simplement plausible pour un effet X ferme la porte à toute future recherche alors que la science véritable exige que son hypothèse d'un effet X soit également évaluée. Hélas, la plupart des critiques semblent heureux de se reposer dans leurs fauteuils à produire des dénégations fabriquées à posteriori. Quel que soit le camp qui détient la vraie explication, la science progresse mieux par des investigations du type examen en laboratoire.
Par ailleurs, les partisans d'une affirmation d'une anomalie qui identifient l'erreur ci-dessus peuvent aller trop loin dans l'autre direction. Certains argumentent, comme Lombroso quand il a défendu la mediumnité de Palladino, que la présence d'une perruques n'empêche pas l'existence de vrais cheveux. Nous devons tous nous rappeler que la science peut nous indiquer ce qui est empiriquement peu probable mais pas ce qui est empiriquement impossible. La preuve, en science, est toujours une question de degré et est rarement toujours absolument concluante. Quelques partisans d'anomalies, comme certains critiques, sont peu disposés à considérer les preuves en des termes probabilistes, s'accrochant à la fin n'importe quel infime indice comme si le critique doit réfuter toute preuve qui sera jamais proposée pour une affirmation particulière. Les critiques et les partisans doivent apprendre à penser au compromis en science comme on le voit se pratiquer dans les palais de justice, imparfaits, et confrontés à des degrés variables de preuve et d'indices. La vérité absolue, comme la justice absolue, ne peu que rarement être atteinte. Nous pouvons seulement faire de notre mieux pour les approcher.
Source : ufologie.net
- Dam468Equipe du forum
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Re: Du pseudo-Scepticisme par Marcello Truzzi
Sam 29 Jan 2011, 21:41
Excellent Nathanaël.. , alors quand un sceptique nous dit qu'untel s'est probablement mépris,
et qu'il n'a pas reconnu la lune ou un hélico, il doit le prouver..
et pourtant dans de nombreux cas prétendument débunkés, la preuve n'a jamais été apportée, tel celui de Cussac en 1967
que nos chers objecteurs ont "résolu" par la confusion ou la non-identification d'un vulgaire hélicoptère par les jeunes témoins,
de plus il aurait fallu qu'ils soient les seuls à l'avoir vu et entendu, car comme chacun le sait, un hélico c'est 'achement discret,
c'est bien beau d'avancer des hypothèses triviales.. mais j'attends toujours la preuve, l'identification de l'hélico, le nom des
pilotes, et tout le toutim...
et qu'il n'a pas reconnu la lune ou un hélico, il doit le prouver..
et pourtant dans de nombreux cas prétendument débunkés, la preuve n'a jamais été apportée, tel celui de Cussac en 1967
que nos chers objecteurs ont "résolu" par la confusion ou la non-identification d'un vulgaire hélicoptère par les jeunes témoins,
de plus il aurait fallu qu'ils soient les seuls à l'avoir vu et entendu, car comme chacun le sait, un hélico c'est 'achement discret,
c'est bien beau d'avancer des hypothèses triviales.. mais j'attends toujours la preuve, l'identification de l'hélico, le nom des
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- Durrmeyer ChristianAnalyste enquêteur
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Re: Du pseudo-Scepticisme par Marcello Truzzi
Dim 30 Jan 2011, 00:24
Bonsoir,le professeur Marcello Truzzi avait fondé puis rompu avec le CSICOP.Il représentait un scepticisme raisonné.
http://rr0.org/personne/t/TruzziMarcello/index.html
http://rr0.org/science/crypto/ufo/analyse/Scepticisme.html
J'espère que les liens marchent(courent?)
Cordialement.
http://rr0.org/personne/t/TruzziMarcello/index.html
http://rr0.org/science/crypto/ufo/analyse/Scepticisme.html
J'espère que les liens marchent(courent?)
Cordialement.
- OvniNantesLégende du forum
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Re: Du pseudo-Scepticisme par Marcello Truzzi
Jeu 08 Nov 2012, 04:13
Le Sceptique c'est celui qui ne croit pas.
Ici nous avons à faire à une présence d'être venus d'ailleurs pour expliquer et qui permettrait très facilement de comprendre les grands témoignages.
J'appelle grand témoignage comme il y a les grands électeurs. Le respect s'impose quand à la qualité des aventures vécues par ces "grands" témoins.
Il ne va pas aimer mon expression «grands» témoins, le sceptique. Çà va lui donner de l’urticaire.
Or un sceptique qui étudie les observations d'OVNI, est déjà dans une position de mensonge, de tromperie, au moins par rapport à lui-même, puisque forcément sa seule motivation sera d'inventer des arguments pour confondre la justesse des témoignages dont il ne veut rien savoir puisqu’il n’y croit pas et qu’il sait que çà n’existe pas. Il se trompe d’abords lui-même, alors ayons pitié de lui.
On appelle cela la politique de l'autruche.
En cela les sceptiques sont des autruchiens de première catégorie.
Vous aurez compris mon invention : «autruchien».
Et puisque il l'est par postulat et fier de l'etre, le sceptique dans sa "grande" certitude, s’aveuglera grâce à ses propres arguments, occultant complètement les aspects rationnels des témoignages, pour finir par croire à son manque de lucidité prise pour force de l'esprit.
Par manque de lucidité, on peut y mettre de nombreux défaut comme manque d’écoute évident, de clarté, d’intelligence, de clairvoyance, de rationalité (et oui), de logique et j’en passe.
J'ai souvent remarqué que les sceptiques ont et de loin des propositions complètement irrationnelles qui ne tiennent pas à l'analyse.
Un exemple: Trans en Provence.
C'est des traces de pneus et pour eux c'est prouvé.
Un gendarme a dit: comme des traces de pneu.
Quand je dis à ma grand-mère tu es belle comme un camion, évidemment, ma grand-mère est un camion !
Je voudrais dire à ces grands sceptiques comme il y a des grands électeurs, ha ha ha, un peu d'humour, mon DIEU !
Je voudrais leurs dire que si c'est comme des traces de pneu c'est que justement que ce ne sont pas des traces de pneu.
Sinon, ces gendarmes n'auraient pas dire comme des ripages de pneumatique mais auraient dit: c'était des ripages de pneumatique...
Le « comme » élimine par le fait de comparaison la chose elle-même (il me semble ou je ne m’abuse ?)
Si ils ont dit «comme», c’était pour donner une idée très, trop, approximative par rapport à l’évidence qui était devant leurs yeux dont ils manquaient de comparaison plus précises. Et voilà comment, d’une chose approximative, par son manque de lucidité prise pour force de l’esprit, le sceptique en fait une grande VÉRITÉ comme il y a des grands électeurs ! (J’aime l’humour de répétition).
Et oui, ma grand-mère n'est pas un camion et d'ailleurs, elle a éclaté de rire !!!
Ben (Bien), vous aussi, avec Trans en Provence, si vous vous étiez laissé berner, maintenant avec mes explications rationnelles, vous allez éclater de rire comme ma grand-mère !
On voit bien que le scepticisme est une absurdité autruchienne.
Voici un postulat (tout relatif) :
Un sceptique ne peut comprendre l’humour car il prend tout au pied de la lettre…
Bon, allez rigole un peu, c’est de l’humour !
Quoique…
Ici nous avons à faire à une présence d'être venus d'ailleurs pour expliquer et qui permettrait très facilement de comprendre les grands témoignages.
J'appelle grand témoignage comme il y a les grands électeurs. Le respect s'impose quand à la qualité des aventures vécues par ces "grands" témoins.
Il ne va pas aimer mon expression «grands» témoins, le sceptique. Çà va lui donner de l’urticaire.
Or un sceptique qui étudie les observations d'OVNI, est déjà dans une position de mensonge, de tromperie, au moins par rapport à lui-même, puisque forcément sa seule motivation sera d'inventer des arguments pour confondre la justesse des témoignages dont il ne veut rien savoir puisqu’il n’y croit pas et qu’il sait que çà n’existe pas. Il se trompe d’abords lui-même, alors ayons pitié de lui.
On appelle cela la politique de l'autruche.
En cela les sceptiques sont des autruchiens de première catégorie.
Vous aurez compris mon invention : «autruchien».
Et puisque il l'est par postulat et fier de l'etre, le sceptique dans sa "grande" certitude, s’aveuglera grâce à ses propres arguments, occultant complètement les aspects rationnels des témoignages, pour finir par croire à son manque de lucidité prise pour force de l'esprit.
Par manque de lucidité, on peut y mettre de nombreux défaut comme manque d’écoute évident, de clarté, d’intelligence, de clairvoyance, de rationalité (et oui), de logique et j’en passe.
J'ai souvent remarqué que les sceptiques ont et de loin des propositions complètement irrationnelles qui ne tiennent pas à l'analyse.
Un exemple: Trans en Provence.
C'est des traces de pneus et pour eux c'est prouvé.
Un gendarme a dit: comme des traces de pneu.
Quand je dis à ma grand-mère tu es belle comme un camion, évidemment, ma grand-mère est un camion !
Je voudrais dire à ces grands sceptiques comme il y a des grands électeurs, ha ha ha, un peu d'humour, mon DIEU !
Je voudrais leurs dire que si c'est comme des traces de pneu c'est que justement que ce ne sont pas des traces de pneu.
Sinon, ces gendarmes n'auraient pas dire comme des ripages de pneumatique mais auraient dit: c'était des ripages de pneumatique...
Le « comme » élimine par le fait de comparaison la chose elle-même (il me semble ou je ne m’abuse ?)
Si ils ont dit «comme», c’était pour donner une idée très, trop, approximative par rapport à l’évidence qui était devant leurs yeux dont ils manquaient de comparaison plus précises. Et voilà comment, d’une chose approximative, par son manque de lucidité prise pour force de l’esprit, le sceptique en fait une grande VÉRITÉ comme il y a des grands électeurs ! (J’aime l’humour de répétition).
Et oui, ma grand-mère n'est pas un camion et d'ailleurs, elle a éclaté de rire !!!
Ben (Bien), vous aussi, avec Trans en Provence, si vous vous étiez laissé berner, maintenant avec mes explications rationnelles, vous allez éclater de rire comme ma grand-mère !
On voit bien que le scepticisme est une absurdité autruchienne.
Voici un postulat (tout relatif) :
Un sceptique ne peut comprendre l’humour car il prend tout au pied de la lettre…
Bon, allez rigole un peu, c’est de l’humour !
Quoique…
- InvitéInvité
Re: Du pseudo-Scepticisme par Marcello Truzzi
Jeu 08 Nov 2012, 13:50
J'aime bien le terme autrucherie :-) Les sceptiques sont comme les grands mères, elles parlent d'expérience mais en fait n'en ont pas beaucoup,justement parce qu'elles sont sceptiques.
Plus sérieusement, il faut rappeler que le mouvement sceptique a pris son essort après la fin de blue book, pas tous de suite d'ailleurs mais 2 trois années après. Et depuis le ébut des années 70 donc , ces gens sont devenus plus nombreux jusqu'à ce que, dans les années 80, ils occuppent une grande partie du champs. La vague belge a changé la done à cette époque précise et depuis, ils râlent :-)
C'est aussi la raison de leur polarisation sur cette vague car il faut à tout prix revenir à la pensée unique des années 80 sur le sujet..mais pendant qu'ils passent leur temps sur la vague belge , ils perdent à nouveau la connaissance sur les années 2000 et 2010.. je trouve cela plutôt fun et c'est bien la chose que je trouve fun avec ces gens là.
Leur technique actuelle est de se faire passer pour des loups dans des peaux de moutons..ils sont clean, pas méchants, de vrais pseudo sceptiques.; de sgens qui donc taquinent mais qui laissent soit disant les portes ouvertes tandis que le sceptique les ferme directement, ooo le méchant..pas bien, pas bien...
Le pseudo sceptique il est vrai ne ferme pas la porte mais a perdu la clef ... :-)
Plus sérieusement, il faut rappeler que le mouvement sceptique a pris son essort après la fin de blue book, pas tous de suite d'ailleurs mais 2 trois années après. Et depuis le ébut des années 70 donc , ces gens sont devenus plus nombreux jusqu'à ce que, dans les années 80, ils occuppent une grande partie du champs. La vague belge a changé la done à cette époque précise et depuis, ils râlent :-)
C'est aussi la raison de leur polarisation sur cette vague car il faut à tout prix revenir à la pensée unique des années 80 sur le sujet..mais pendant qu'ils passent leur temps sur la vague belge , ils perdent à nouveau la connaissance sur les années 2000 et 2010.. je trouve cela plutôt fun et c'est bien la chose que je trouve fun avec ces gens là.
Leur technique actuelle est de se faire passer pour des loups dans des peaux de moutons..ils sont clean, pas méchants, de vrais pseudo sceptiques.; de sgens qui donc taquinent mais qui laissent soit disant les portes ouvertes tandis que le sceptique les ferme directement, ooo le méchant..pas bien, pas bien...
Le pseudo sceptique il est vrai ne ferme pas la porte mais a perdu la clef ... :-)
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