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Etoiles à luminosité variable
Jeu 26 Juin 2008, 13:00
Les étoiles à luminosité variable
Une étoile variable est une étoile dont la luminosité varie.
Alors que la plupart des étoiles sont de luminosité presque constante, comme notre Soleil qui ne possède pratiquement pas de variation mesurable (environ 0,1% sur un cycle de 11 ans), la luminosité de certaines étoiles varie de façon perceptible sur des périodes de temps beaucoup plus courtes.
Historique
Cette variation de luminosité fut découverte au XVIe siècle lors de l'apparition de la supernova de 1572 par Tycho Brahé et l'observation de l'augmentation et la diminution régulière de l'éclat de l'étoile Mira (o Ceti) en 1596. On découvrit de plus en plus d'étoiles variables au fur et à mesure de l'amélioration des instruments d'observation ; actuellement, les catalogues, dont le plus important est le General Catalogue of Variable Stars, contiennent plus de 40 000 étoiles variables ou suspectées de l'être.
À l'origine, la luminosité des étoiles était déterminée visuellement en comparant une étoile avec ses voisines. Plus tard, le développement de la photographie permit de comparer ces luminosités sur une plaque photographique. Actuellement, elles sont mesurées précisément à l'aide d'un détecteur photoélectrique ou à l'aide de caméra CCD.
Ces luminosités sont tracées sur un graphe nommé courbe de lumière qui représente la magnitude en fonction du temps. Ce graphe permet de déterminer l'amplitude des variations et leur période. L'enregistrement de ces courbes de lumière est un des seuls domaines de l'astronomie où les amateurs peuvent réellement aider les professionnels, voire effectuer du vrai travail de recherche.
Classification
Strictement parlant, toutes les étoiles sont variables car leur structure et leur luminosité changent avec leur évolution, mais en général ces changements sont très lents. Toutefois, pour certaines phases évolutives, les variations peuvent être extrêmement rapides ou être périodiques, comme la pulsation de la couche externe de certaines étoiles. D'autres petites variations de luminosité peuvent être causées par des taches froides ou chaudes à la surface de l'étoile qui apparaissent et disparaissent avec la rotation de l'étoile sur elle même. Pour cette raison, notre Soleil est une étoile très faiblement variable à cause des tâches solaires et il est fort probable que la plupart des étoiles possèdent des taches similaires.
Les étoiles variables sont classées en deux grands groupes, eux-mêmes subdivisés en une multitude de sous-groupes portant généralement le nom d'une étoile qui les caractérise :
Diagramme H-R permettant de situer les principaux groupes de variables
range]18]Étoiles variables intrinsèques
[/size]
Ce sont des étoiles dont les variations de luminosité sont provoquées par des changements de la structure même de l'étoile. Une étoile variable intrinsèque peut-être rattachée à différents types suivant son comportement :
Variables pulsantes
Les étoiles pulsantes renferment la plus grande partie des variables. Ces étoiles présentent une variation périodique de leur volume, ce qui se traduit par une modification de leur luminosité :
Variables par rotation
Les étoiles variables par rotation voient leur luminosité varier par la présence de tâches sombres ou claires à leur surface. Ainsi, lorsque l'étoile tourne sur elle-même, plus ou moins de lumière arrive jusqu'à nous.
Variables éruptives (anciennement appelées variables irrégulières)
Une étoile variable éruptive connaît une activité soutenue dans sa chromosphère ou sa couronne qui provoque des variations de luminosité impossibles à prévoir et qui peuvent s'accompagner d'un fort vent stellaire ou d'éjections de matière. Les principaux types de variables éruptives sont :
nge]e=18] Étoiles variables extrinsèques [/size]
La variation de luminosité des étoiles variables extrinsèques, telle qu'observée par un observateur terrestre, est due à une cause externe à l'étoile et non pas à une modification de ses propriétés.
nge]e=18] Variable optique (ou à éclipses) [/size]
La cause principale de variabilité extrinsèque est la présence d'une autre étoile autour de l'étoile principale, formant à elles deux une étoile double. Vue sous un certain angle, une de ces deux étoiles peut à intervalles réguliers éclipser l'autre, provoquant ainsi une diminution de la luminosité totale.
Variables cataclysmiques (anciennement appelées variables éruptives)
Une étoile variable cataclysmique voit sa luminosité évoluer brusquement, généralement sur plusieurs magnitudes, par la suite de phénomènes physiques extrêmement violents.
Dans certains systèmes binaires, les deux étoiles sont si proches l'une de l'autre que la force de gravitation de l'étoile la plus massive arrache une partie de la matière de sa compagne. Dans de nombreux cas, cette masse forme un disque d'accrétion. Ces systèmes sont appelés système binaire en interaction. La distance en-deçà de laquelle cette situation peut arriver correspond au « Lobe de Roche » de l'étoile, d'après Édouard Roche, l'astronome ayant créé la théorie de ce genre de système.
Sur l'étoile la plus massive, l'arrivée de cette masse supplémentaire et de composition différente peut, par le déclenchement de réactions nucléaires, provoquer divers phénomènes, parfois cataclysmiques. Les novae classiques, dites aussi récurrentes, sont une des formes les plus spectaculaires de ce phénomène qui se manifeste par d'intenses variations de luminosité. Les novae naines sont une autre catégorie de variables cataclysmiques dont les variations de luminosité, moins spectaculaires, seraient provoquées par une variation de taux d'accrétion dans le disque.
Les variations de luminosité peuvent aussi se produire dans d'autre partie du spectre électromagnétique que le visible, notamment dans le domaines des rayons X. Dans les systèmes nommés binaires X qui seraient constitués d'une étoile normale ou en fin de vie, appelée étoile secondaire et d'une étoile compacte, tel qu'une naine blanche, une étoile à neutrons, voire un trou noir, appelée étoile primaire ; l'interaction de la matière provenant de l'étoile secondaire et de l'intense champ gravitationnel de l'étoile primaire produit une énorme quantité d'énergie dont une partie nous parvient sous forme de rayons X.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Étoile_variable
Une étoile variable est une étoile dont la luminosité varie.
Alors que la plupart des étoiles sont de luminosité presque constante, comme notre Soleil qui ne possède pratiquement pas de variation mesurable (environ 0,1% sur un cycle de 11 ans), la luminosité de certaines étoiles varie de façon perceptible sur des périodes de temps beaucoup plus courtes.
Historique
Cette variation de luminosité fut découverte au XVIe siècle lors de l'apparition de la supernova de 1572 par Tycho Brahé et l'observation de l'augmentation et la diminution régulière de l'éclat de l'étoile Mira (o Ceti) en 1596. On découvrit de plus en plus d'étoiles variables au fur et à mesure de l'amélioration des instruments d'observation ; actuellement, les catalogues, dont le plus important est le General Catalogue of Variable Stars, contiennent plus de 40 000 étoiles variables ou suspectées de l'être.
À l'origine, la luminosité des étoiles était déterminée visuellement en comparant une étoile avec ses voisines. Plus tard, le développement de la photographie permit de comparer ces luminosités sur une plaque photographique. Actuellement, elles sont mesurées précisément à l'aide d'un détecteur photoélectrique ou à l'aide de caméra CCD.
Ces luminosités sont tracées sur un graphe nommé courbe de lumière qui représente la magnitude en fonction du temps. Ce graphe permet de déterminer l'amplitude des variations et leur période. L'enregistrement de ces courbes de lumière est un des seuls domaines de l'astronomie où les amateurs peuvent réellement aider les professionnels, voire effectuer du vrai travail de recherche.
Classification
Strictement parlant, toutes les étoiles sont variables car leur structure et leur luminosité changent avec leur évolution, mais en général ces changements sont très lents. Toutefois, pour certaines phases évolutives, les variations peuvent être extrêmement rapides ou être périodiques, comme la pulsation de la couche externe de certaines étoiles. D'autres petites variations de luminosité peuvent être causées par des taches froides ou chaudes à la surface de l'étoile qui apparaissent et disparaissent avec la rotation de l'étoile sur elle même. Pour cette raison, notre Soleil est une étoile très faiblement variable à cause des tâches solaires et il est fort probable que la plupart des étoiles possèdent des taches similaires.
Les étoiles variables sont classées en deux grands groupes, eux-mêmes subdivisés en une multitude de sous-groupes portant généralement le nom d'une étoile qui les caractérise :
Diagramme H-R permettant de situer les principaux groupes de variables
range]18]Étoiles variables intrinsèques
[/size]
Ce sont des étoiles dont les variations de luminosité sont provoquées par des changements de la structure même de l'étoile. Une étoile variable intrinsèque peut-être rattachée à différents types suivant son comportement :
Variables pulsantes
Les étoiles pulsantes renferment la plus grande partie des variables. Ces étoiles présentent une variation périodique de leur volume, ce qui se traduit par une modification de leur luminosité :
Céphéide | 1 à 70 jours | Relation étroite entre la période et la luminosité | |
W Virginis | 1 à 70 jours | Similaires aux céphéides, mais concernant des étoiles de population II | |
Mira | 80 à 1 000 jours | 2,5 à 11 | Période et variation extrêmement précises |
RR Lyrae | 0,05 à 1,2 jours | 0,3 à 2 | |
α Cygni | 5 à 10 jours | < 0,1 | Pulsations non-radiales |
δ Scuti | 0,25 à 5 heures | 0,003 à 0,9 | |
β Cephei | 3,5 à 6 heures | 0,1 à 0,3 | |
RV Tauri | 30 à 150 jours | Présente deux minima successifs distincts | |
Variable semi-régulière | 20 à 2 000 jours | variable | Géantes ou supergéantes dont les variations de luminosité, sans être erratiques, sont peu prévisibles |
Variables par rotation
Les étoiles variables par rotation voient leur luminosité varier par la présence de tâches sombres ou claires à leur surface. Ainsi, lorsque l'étoile tourne sur elle-même, plus ou moins de lumière arrive jusqu'à nous.
α2 Canum Venaticorum | 0,5 à 160 jours | 0,01 à 0,1 | Étoiles possédant un fort champ magnétique |
[url=http://fr.wikipedia.org/wiki/Variable_de_type_BY_Draconis]BY Draconis | 1 heure à 120 jours | 0,01 à 0,5 | Parfois éruptives |
Variable ellipsoidale | < 0,2 | Étoiles binaires tellement proches qu'elles sont déformées | |
FK Comae Berenices | quelques jours | 0,01 à 0,1 | Étoiles géantes à rotation rapide |
SX Arietis | 0,1 | Étoiles chaudes possédant un fort champ magnétique et un déséquilibre en hélium |
Variables éruptives (anciennement appelées variables irrégulières)
Une étoile variable éruptive connaît une activité soutenue dans sa chromosphère ou sa couronne qui provoque des variations de luminosité impossibles à prévoir et qui peuvent s'accompagner d'un fort vent stellaire ou d'éjections de matière. Les principaux types de variables éruptives sont :
FU Orionis | Éjections de matière, variations graduelles de plusieurs magnitudes sur plusieurs mois |
γ Cassiopeiae | Rotation rapide, éjections d'anneaux ou de coquilles de matière |
γ Orionis | |
R Coronae Borealis | Supergéantes, diminution de luminosité causée par l'éjection de matière carbonée |
RS Canum Venaticorum | |
S Doradus | Supergéantes bleues très lumineuses |
T Tauri | Étoiles très jeunes, presque en formation |
UV Ceti | Étoiles orange ou jaunes, variations de plusieurs magnitudes sur quelques secondes |
Étoile Wolf-Rayet | Étoiles chaudes et massives à un stade d'évolution avancé |
YY Orionis |
nge]e=18] Étoiles variables extrinsèques [/size]
La variation de luminosité des étoiles variables extrinsèques, telle qu'observée par un observateur terrestre, est due à une cause externe à l'étoile et non pas à une modification de ses propriétés.
nge]e=18] Variable optique (ou à éclipses) [/size]
La cause principale de variabilité extrinsèque est la présence d'une autre étoile autour de l'étoile principale, formant à elles deux une étoile double. Vue sous un certain angle, une de ces deux étoiles peut à intervalles réguliers éclipser l'autre, provoquant ainsi une diminution de la luminosité totale.
Algol | Composants sphériques |
β Lyrae | Composants proches déformés par les forces de marée |
W Ursae Majoris | Composants presque en contact |
Variables cataclysmiques (anciennement appelées variables éruptives)
Une étoile variable cataclysmique voit sa luminosité évoluer brusquement, généralement sur plusieurs magnitudes, par la suite de phénomènes physiques extrêmement violents.
Dans certains systèmes binaires, les deux étoiles sont si proches l'une de l'autre que la force de gravitation de l'étoile la plus massive arrache une partie de la matière de sa compagne. Dans de nombreux cas, cette masse forme un disque d'accrétion. Ces systèmes sont appelés système binaire en interaction. La distance en-deçà de laquelle cette situation peut arriver correspond au « Lobe de Roche » de l'étoile, d'après Édouard Roche, l'astronome ayant créé la théorie de ce genre de système.
Sur l'étoile la plus massive, l'arrivée de cette masse supplémentaire et de composition différente peut, par le déclenchement de réactions nucléaires, provoquer divers phénomènes, parfois cataclysmiques. Les novae classiques, dites aussi récurrentes, sont une des formes les plus spectaculaires de ce phénomène qui se manifeste par d'intenses variations de luminosité. Les novae naines sont une autre catégorie de variables cataclysmiques dont les variations de luminosité, moins spectaculaires, seraient provoquées par une variation de taux d'accrétion dans le disque.
Les variations de luminosité peuvent aussi se produire dans d'autre partie du spectre électromagnétique que le visible, notamment dans le domaines des rayons X. Dans les systèmes nommés binaires X qui seraient constitués d'une étoile normale ou en fin de vie, appelée étoile secondaire et d'une étoile compacte, tel qu'une naine blanche, une étoile à neutrons, voire un trou noir, appelée étoile primaire ; l'interaction de la matière provenant de l'étoile secondaire et de l'intense champ gravitationnel de l'étoile primaire produit une énorme quantité d'énergie dont une partie nous parvient sous forme de rayons X.
Nova | Explosion suite à la fusion de l'hydrogène à la surface d'une naine blanche |
Nova récurrente | Étoile ayant manifesté au moins deux explosions de type nova |
Variable cataclysmique magnétique | Système binaire où une naine blanche possède une fort champ magnétique |
Étoile symbiotique | Système binaire présentant un transfert de matière de l'une des composantes à l'autre, par vent stellaire ou éjection coronale |
AM Herculis | Variable cataclysmique magnétique où le champ magnétique de la naine blanche synchronise sa rotation avec sa période orbitale et crée un « couloir » d'accrétion provenant de son compagnon |
DQ Herculis | Similaire à une variable de type AM Herculis, sans synchronisation |
U Geminorum | Système binaire où l'une des étoiles dépasse son lobe de Roche |
SS Cygni | Sous-catégorie de U Geminorum |
SU Ursae Majoris | Sous-catégorie de U Geminorum présentant en plus des flashes de très forte intensité |
Z Camelopardalis | Sous-catégorie de U Geminorum où la luminosité de l'étoile peut demeurer constante longtemps après un flash |
Z Andromedae | Étoile symbiotique où l'une des composantes, très chaude, ionise une partie de l'enveloppe de gaz de l'autre |
Binaire X | Étoile double théorique formée d'un trou noir et d'une étoile à neutrons |
Supernova | Fin de vie violente d'une étoile massive à la suite de explosion de celle-ci. Classée dans les variables cataclysmiques, il ne s'agit pas d'une variation extrinsèque. |
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Re: Etoiles à luminosité variable
Jeu 26 Juin 2008, 13:10
Observations Pratiques
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Commencez par vous familiariser avec les repères indispensables en astronomie: les mesures qui vous permettront de vous repérer sur un ciel étoilé: les secondes et minutes d'arc:
Lors des observations au foyer d'un instrument il peut être intéressant de suivre nuit par nuit l'évolution de la magnitude d'une variable afin de comparer la courbe obtenue avec les courbes "officielles". Pour cela une méthode qu'il est intéressant de citer a été mise au point il y a quelques années par un astrophysicien.
La méthode dite d'Argelander est simple:
Dans le champ de vision sélectionnez, à vue, deux étoiles différentes de la variable: l'une dont la magnitude est plus forte que celle de cette dernière que l'on nommera étoile A; une autre de magnitude plus faible que celle de la variable (nommée v) que l'on nommera B.
Maintenant il reste à estimer la différence de luminosité entre A et v et entre B en v.
Degré zéro A(0)v ou A=v | Lors de l'observation, aucune différence n'est distinguable entre A et v même après un examen approfondi. |
Degré un A(1)v | Pas de différence au premier coup d'oeil, mais existence d'un très faible écart après examen approfondi. |
Degré deux A(2)v | Peu de différence au premier coup d'oeil, mais existence d'un faible écart. |
Degré trois A(3)v | Différence au premier coup d'oeil. |
Degré quatre A(4)v | Nette différence au premier coup d'oeil. |
Degré six A(5)v | Grande différence au premier au premier coup d'oeil. |
Vous arrivez donc par exemple à un résultat du type: A4v2B.
En répétant cette méthode durant une soirée on obtient:
Delta Céphei |
3 janvier: A5v3B |
7 janvier: A4v3B |
10 janvier:A3v4B |
20 janvier: A2v5B |
Il ne vous reste plus qu'à rechercher dans un bon atlas les magnitudes de A et B. Puis appliquez la formule:
par exemple:
A2v5B
A= 2.5 Magnitudes B= 5.5
Formule littérale:
mV=((mB-mA)*x)/(x+y))+mA
Avec mV: magnitude de la variable, mA: la magnitude de A, mB: magnitude de B, x: le degré de l'étoile A (dans notre exemple:2) et y: le degré de l'étoile B (dans notre exemple 5)
Donc ici: mV=(((5.5-2.5)*2)/(2+5))+2.5
mV = 3.35
http://www.ac-versailles.fr/etabliss/jlmhautil/eleves/astro_2002/Obserpra.htm
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Re: Etoiles à luminosité variable
Ven 27 Juin 2008, 14:53
Bonjour,
Les étoiles variables ne me semblent pas avoir leur place dans un chapitre méprises ufologiques. Les variations sont trop lentes et elles sont trop discrètes pour attirer l'attention d'une personne non avertie hors milieu astronomique.
Il pourrait y avoir des cas de Novae ou Supernovae très brillantes mais celà reste une étoile, qui ne bouge pas, et si l'éclat est tellement exceptionnel que celà crée une confusion je pense qu'il suffira de mettre en marche sa radio pour avoir le fin mot de l'énigme, avec en prime la possibilité de vérifier de visu le phénomène les jours suivants.
Cordialement,
Claude
Les étoiles variables ne me semblent pas avoir leur place dans un chapitre méprises ufologiques. Les variations sont trop lentes et elles sont trop discrètes pour attirer l'attention d'une personne non avertie hors milieu astronomique.
Il pourrait y avoir des cas de Novae ou Supernovae très brillantes mais celà reste une étoile, qui ne bouge pas, et si l'éclat est tellement exceptionnel que celà crée une confusion je pense qu'il suffira de mettre en marche sa radio pour avoir le fin mot de l'énigme, avec en prime la possibilité de vérifier de visu le phénomène les jours suivants.
Cordialement,
Claude
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