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Dans les années 60, au Sahara, pendant une opération de récupération
Lun 09 Juin 2008, 11:03
Lors d’une émission télévisée diffusée sur la chaîne française «France 2» en 1998 le journaliste Jean-Pierre Chapel a évoqué un cas d’apparition d’ovni qu’il me parait particulièrement intéressant de présenter ici.
"Dans les années 60, au Sahara, pendant une opération de récupération d’une tête de la fusée Diamant, des militaires français ont filmé de 7 ou 8 km de distance un objet semi-circulaire d'apparence métallique réfléchissant la lumière du Soleil sur sa moitié supérieure. Le dessous de l'objet paraissait noir. Il est resté suspendu à environ 600 m au-dessus du sol. Quelques temps après, il est parti subitement vers le haut en passant d'une vitesse de 0 à 8000 km/h en moins de 2 secondes ! Tout ceci fut filmé par un cinéthéodolite, ce qui permit d'estimer la vitesse. Malheureusement, le film fût -officiellement- perdu durant un déménagement à Agadir."
La réalité de cet événement a été confirmé par un ingénieur du nom de Jack Kozan qui m’a autorisé à reproduire ici un e-mail de sa main paru sur la liste Ovni-Sciences en 1998 :
« Cet événement n'a pas été beaucoup relaté dans la presse à l'époque. Il est resté ignoré du grand public. Pourtant, le phénomène a été observé par quelques dizaines de personnes, soit militaires soit scientifiques. Officiellement il a été totalement ignoré, donc aucun débat n'a été possible.
J'ai travaillé dans le même service que les techniciens qui étaient sur place. Ils m'ont donc raconté ce qui s'est passé ce jour là. Ce sont eux qui sont partis en observation ce matin-là. Mes collègues étaient sur place pour préparer les équipements de test qui accompagnaient la fusée Diamant.
Non seulement l'objet était bien là, mais il se déplaçait au fur et à mesure des mouvements ou des activités au sol. comme s'il cherchait à tout moment le meilleur angle d'observation. L'événement a duré toute la fin de matinée (plus d'une heure).
Mes amis avaient remarqué le caractère extraordinaire de l'observation, mais sans s'inquiéter en se disant: Tiens, une puissance étrangère nous surveille! (c'était avant le départ de l'objet). Au bout de quelques minutes, constatant que la position de l'objet correspondait toujours à leur activité au sol, les techniciens se sont arrêtés de travailler, non pas par souci de confidentialité, mais parce qu'ils étaient agacés par ce truc qui leur tournait autour.
Et puis l'objet est parti. Le travail a repris et plus personne n'en a parlé. Sauf à quelques collègues de temps en temps.
Remarque personnelle : cet événement n'a pas été souligné davantage car c'est l'exemple d'un événement ingérable. On ne sait pas où le ranger, à qui en parler, quel type de rapport utiliser. Tout simplement. Rien ne s'est donc passé puisqu'il n'y a pas de rapport. Mais il suffit de parler aux témoins qui racontent tout simplement ce qu'ils ont vu et ce qu'ils ont ressenti.»
Jack Kozan a été par ailleurs témoin direct d’un phénomène encore plus surprenant. Il m’a aimablement autorisé à reproduire ici les extraits d’un e-mail qu’il m’a adressé peu après le précédent et qui ne concerne plus la biosphère proche mais bien le vide spatial dans lequel évoluent les satellites artificiels :
(Précision pour les lecteurs hors de France : les initiales CNES signifient Centre National d’Etudes Spatiales. Les initiales GEPA signifient Groupe d’Etude des Phénomènes Aériens)
«(...) A l'époque, j'ai reçu des mains de Michel Troublé, responsable de l'exploitation des télécommunications avec le satellite, un paquet de chiffres à traduire sous forme de sinusoïde dont une partie correspondait à l'ensoleillement, la partie suivante à l'obscurité, etc... Au début de la deuxième partie de l'ensoleillement, il y avait une zone "de nuit" qui a duré quelques dizaines de minutes. Je me souviens bien de l'étonnement de Michel Troublé et de son chef de service Michel Taillade, responsable de toutes les transmissions "satellites" au CNES. Ils ont pris conscience du phénomène en découvrant le schéma que je venais de terminer. Nous avons fait toutes les vérifications possibles et la conclusion fut...Il y a quelqu'un qui fait de l'ombre!.
A l'époque, Michel Troublé était l'un des animateurs du GEPA. Il était prévu qu’il relaterait l'événement au cours d'une réunion publique. Je suis allé à cette réunion et j'attendais beaucoup d'informations de sa part . J'ai été déçu car sa position affichée en réunion publique ne reflétait pas sa réaction personnelle et celle de ses collègues. Michel Troublé a bien présenté les faits, sans les déformer, mais sans appuyer sur le fait qu’ils étaient théoriquement sans explication scientifique. Il fut ensuite chef du Projet du satellite Eole. J'ai quitté le CNES un peu plus tard, sans chercher à savoir si l'énigme avait été résolue (...).»
Un rapport intitulé "How to Build a $125 Million UFO detector" est récemment paru aux Etats-Unis, signé par un ingénieur de la compagnie Aerojet ElectroSystems. Cet ingénieur, du nom de Ron Regehr, affirme que des objets inconnus sont détectés par les satellites du système de défense des Etats-Unis. La compagnie qui l’emploie fabrique les détecteurs à infrarouge utilisés par ces satellites.
http://cendrars.club.fr/enigma2/ovni7.htm
"Dans les années 60, au Sahara, pendant une opération de récupération d’une tête de la fusée Diamant, des militaires français ont filmé de 7 ou 8 km de distance un objet semi-circulaire d'apparence métallique réfléchissant la lumière du Soleil sur sa moitié supérieure. Le dessous de l'objet paraissait noir. Il est resté suspendu à environ 600 m au-dessus du sol. Quelques temps après, il est parti subitement vers le haut en passant d'une vitesse de 0 à 8000 km/h en moins de 2 secondes ! Tout ceci fut filmé par un cinéthéodolite, ce qui permit d'estimer la vitesse. Malheureusement, le film fût -officiellement- perdu durant un déménagement à Agadir."
La réalité de cet événement a été confirmé par un ingénieur du nom de Jack Kozan qui m’a autorisé à reproduire ici un e-mail de sa main paru sur la liste Ovni-Sciences en 1998 :
« Cet événement n'a pas été beaucoup relaté dans la presse à l'époque. Il est resté ignoré du grand public. Pourtant, le phénomène a été observé par quelques dizaines de personnes, soit militaires soit scientifiques. Officiellement il a été totalement ignoré, donc aucun débat n'a été possible.
J'ai travaillé dans le même service que les techniciens qui étaient sur place. Ils m'ont donc raconté ce qui s'est passé ce jour là. Ce sont eux qui sont partis en observation ce matin-là. Mes collègues étaient sur place pour préparer les équipements de test qui accompagnaient la fusée Diamant.
Non seulement l'objet était bien là, mais il se déplaçait au fur et à mesure des mouvements ou des activités au sol. comme s'il cherchait à tout moment le meilleur angle d'observation. L'événement a duré toute la fin de matinée (plus d'une heure).
Mes amis avaient remarqué le caractère extraordinaire de l'observation, mais sans s'inquiéter en se disant: Tiens, une puissance étrangère nous surveille! (c'était avant le départ de l'objet). Au bout de quelques minutes, constatant que la position de l'objet correspondait toujours à leur activité au sol, les techniciens se sont arrêtés de travailler, non pas par souci de confidentialité, mais parce qu'ils étaient agacés par ce truc qui leur tournait autour.
Et puis l'objet est parti. Le travail a repris et plus personne n'en a parlé. Sauf à quelques collègues de temps en temps.
Remarque personnelle : cet événement n'a pas été souligné davantage car c'est l'exemple d'un événement ingérable. On ne sait pas où le ranger, à qui en parler, quel type de rapport utiliser. Tout simplement. Rien ne s'est donc passé puisqu'il n'y a pas de rapport. Mais il suffit de parler aux témoins qui racontent tout simplement ce qu'ils ont vu et ce qu'ils ont ressenti.»
Jack Kozan a été par ailleurs témoin direct d’un phénomène encore plus surprenant. Il m’a aimablement autorisé à reproduire ici les extraits d’un e-mail qu’il m’a adressé peu après le précédent et qui ne concerne plus la biosphère proche mais bien le vide spatial dans lequel évoluent les satellites artificiels :
(Précision pour les lecteurs hors de France : les initiales CNES signifient Centre National d’Etudes Spatiales. Les initiales GEPA signifient Groupe d’Etude des Phénomènes Aériens)
«(...) A l'époque, j'ai reçu des mains de Michel Troublé, responsable de l'exploitation des télécommunications avec le satellite, un paquet de chiffres à traduire sous forme de sinusoïde dont une partie correspondait à l'ensoleillement, la partie suivante à l'obscurité, etc... Au début de la deuxième partie de l'ensoleillement, il y avait une zone "de nuit" qui a duré quelques dizaines de minutes. Je me souviens bien de l'étonnement de Michel Troublé et de son chef de service Michel Taillade, responsable de toutes les transmissions "satellites" au CNES. Ils ont pris conscience du phénomène en découvrant le schéma que je venais de terminer. Nous avons fait toutes les vérifications possibles et la conclusion fut...Il y a quelqu'un qui fait de l'ombre!.
A l'époque, Michel Troublé était l'un des animateurs du GEPA. Il était prévu qu’il relaterait l'événement au cours d'une réunion publique. Je suis allé à cette réunion et j'attendais beaucoup d'informations de sa part . J'ai été déçu car sa position affichée en réunion publique ne reflétait pas sa réaction personnelle et celle de ses collègues. Michel Troublé a bien présenté les faits, sans les déformer, mais sans appuyer sur le fait qu’ils étaient théoriquement sans explication scientifique. Il fut ensuite chef du Projet du satellite Eole. J'ai quitté le CNES un peu plus tard, sans chercher à savoir si l'énigme avait été résolue (...).»
Un rapport intitulé "How to Build a $125 Million UFO detector" est récemment paru aux Etats-Unis, signé par un ingénieur de la compagnie Aerojet ElectroSystems. Cet ingénieur, du nom de Ron Regehr, affirme que des objets inconnus sont détectés par les satellites du système de défense des Etats-Unis. La compagnie qui l’emploie fabrique les détecteurs à infrarouge utilisés par ces satellites.
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- InvitéInvité
Re: Dans les années 60, au Sahara, pendant une opération de récu
Lun 09 Juin 2008, 13:24
Vu le sérieux de la source et la clarté de l'exposé, il n'y pas grand chose à commenter: pour la première observation il ne peut s'agir que d'un vaisseau ET surveillant la conquête de l'espace par la France et pour l'ombre sur le satellite de télécom, le VET est l'explication la plus vraisemblable.
- Benjamin.dResponsable du forum
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Re: Dans les années 60, au Sahara, pendant une opération de récu
Mar 10 Juin 2008, 11:47
EXCLUSIF: JEAN-PIERRE CHAPEL TÉMOIGNE
Jean-Pierre Chapet, tous les Français le connaissent. Spécialiste des questions spatiales à la télévision, il a maintenant une activité plus terre à terre: les autos et les motos.
A la fin de l'année 1975, par hasard, je demandais à Jean-Pierre Chapet s'il avait étudié le dossier OVNI :
- Mais tu sais que j'ai été témoin!
- Tu plaisantes.
- Pas du tout, j'ai vu un OVNI, et dans des conditions exceptionnelles. Raconte!
Eh bien, cela s'est passé en avril 1963 au Sahara, près de la base d'Hammagir. J'étais journaliste
à Europe 1 à l'époque et je m'occupais déjà des questions spatiales. Je participais avec une équipe de techniciens et de militaires à un exercice de récupération de têtes de fusées. Nous étions partis en petit convoi, en tout une trentaine de personnes.
« Un avion devait nous ravitailler en vol, un Junker 52 si mes souvenirs sont exacts. Ven 14 heures, un technicien désigne un point noir dans le ciel en criant: « Voilà l'avion ». Bon, nous avons tous continué à discuter sans prêter autrement attention à la tache. Mais au bout de dix minutes, la tache était toujours à la même place.
_ A quelle altitude?
_ 3 000 mètres et à 4 kilomètres de notre position. - Et alors?
_ Le capitaine qui dirigeait le convoi a fait brancher un cinéthéodolite.
- Un mot d'explication ...
_ Oui, un cinéthéodolite, c'est tout simplement une caméra avec un très puissant téléobjectif de 2 000 mm (grossissement cent fois environ) et un chronomètre au dixième de seconde.
_ Vous avez filmé la tache?
_ Oui, et je l'ai vue dans le viseur. Cela avait la forme d'un engin métallique usiné, parfaitement symétrique.
_ Forme de soucoupe classique? - Si tu veux.
- Et le film?
_ Eh bien nous avons filmé pendant cinq minutes cet objet immobile et soudain il a disparu à une vitesse fantastique que nous avons pu mesurer, l'accélération atteignait 62 G par seconde.
- Ce qui veut dire?
_ Tout simplement que n'importe quel insecte aurait été tué instantanément sans parler d'êtres humains. Les mouches sont tuées avec une accélération de 32 G et les mouches sont les insectes qui ont l'une des plus grandes résistances aux accélérations brutales. J'ajoute que sur le plan technique, en 1976, les engins les plus rapides, les missiles antimissiles américains Spartan ou Nikex atteignent Mach 4 en cinq secondes. Des véritables tortues par rapport à l'accélération de cet engin.
_ En kilomètres /heure qu'est-ce que ça donne?
_ Environ de 0 à 6 000 km/heure en moins de trois secondes!
- Bon Jean-Pierre, tu étais dans le désert, donc le lieu idéal pour les mirages ...
- Nous y avons pensé, mais l'accélération de cet engin était et est toujours infiniment supérieure à nos possibilités techniques. Donc mirage ou pas, cet engin n'avait pas été fabriqué par l'homme.
- Tu es sûr que ce ne pouvait être un engin terrestre, une fusée par exemple puisque tu étais près de la base d'Harnmagir.
- Je suis formel car nous avons envisagé toutes les hypothèses. D'abord une fusée ça ne reste pas en sustentation silencieuse et immobile à 3000 mètres. Ensuite, je te répète que l'accélération de l'engin est impossible à réaliser même en 1976.
- Un phénomène naturel alors?
- Non, j'ai présente à la mémoire cette image, c'était manifestement une construction. - Son diamètre?
- Vingt mètres environ.
- Tu penses que c'était un engin piloté?
- Je n'en sais rien évidemment. Mais c'était la manifestation d'une intelligence, que cette intelligence ait été à l'intérieur de l'engin ou qu'il ait été téléguidé. Et le film tourné pour les militaires?
- Quand j'ai voulu visionner le film personne ne savait où il était. Ça ne veut pas dire qu'on rait caché et que la sécurité militaire ait mis la main dessus. Mais enfin, je n'ai pu le voir, c'est tout. »
Voici un témoignage exceptionnel par la compétence professionnelle de son auteur. Jean-Pierre Chapel n'était pas seul, trente techniciens et militaires ont vu la même chose que lui. Ce fameux film n'a pas été perdu. Il est quelque part dans les archives de l'année. Fait curieux, j'avais appris son existence par un technicien militaire en retraite et j'avais cherché à le localiser. En vain, malgré quelques indications. Je ne me doutais pas que Jean-Pierre Chapel avait assisté personnellement à l'événement.
Scanné par benzemas «Le nouveau Defi des ovnis »
Jean-Pierre Chapet, tous les Français le connaissent. Spécialiste des questions spatiales à la télévision, il a maintenant une activité plus terre à terre: les autos et les motos.
A la fin de l'année 1975, par hasard, je demandais à Jean-Pierre Chapet s'il avait étudié le dossier OVNI :
- Mais tu sais que j'ai été témoin!
- Tu plaisantes.
- Pas du tout, j'ai vu un OVNI, et dans des conditions exceptionnelles. Raconte!
Eh bien, cela s'est passé en avril 1963 au Sahara, près de la base d'Hammagir. J'étais journaliste
à Europe 1 à l'époque et je m'occupais déjà des questions spatiales. Je participais avec une équipe de techniciens et de militaires à un exercice de récupération de têtes de fusées. Nous étions partis en petit convoi, en tout une trentaine de personnes.
« Un avion devait nous ravitailler en vol, un Junker 52 si mes souvenirs sont exacts. Ven 14 heures, un technicien désigne un point noir dans le ciel en criant: « Voilà l'avion ». Bon, nous avons tous continué à discuter sans prêter autrement attention à la tache. Mais au bout de dix minutes, la tache était toujours à la même place.
_ A quelle altitude?
_ 3 000 mètres et à 4 kilomètres de notre position. - Et alors?
_ Le capitaine qui dirigeait le convoi a fait brancher un cinéthéodolite.
- Un mot d'explication ...
_ Oui, un cinéthéodolite, c'est tout simplement une caméra avec un très puissant téléobjectif de 2 000 mm (grossissement cent fois environ) et un chronomètre au dixième de seconde.
_ Vous avez filmé la tache?
_ Oui, et je l'ai vue dans le viseur. Cela avait la forme d'un engin métallique usiné, parfaitement symétrique.
_ Forme de soucoupe classique? - Si tu veux.
- Et le film?
_ Eh bien nous avons filmé pendant cinq minutes cet objet immobile et soudain il a disparu à une vitesse fantastique que nous avons pu mesurer, l'accélération atteignait 62 G par seconde.
- Ce qui veut dire?
_ Tout simplement que n'importe quel insecte aurait été tué instantanément sans parler d'êtres humains. Les mouches sont tuées avec une accélération de 32 G et les mouches sont les insectes qui ont l'une des plus grandes résistances aux accélérations brutales. J'ajoute que sur le plan technique, en 1976, les engins les plus rapides, les missiles antimissiles américains Spartan ou Nikex atteignent Mach 4 en cinq secondes. Des véritables tortues par rapport à l'accélération de cet engin.
_ En kilomètres /heure qu'est-ce que ça donne?
_ Environ de 0 à 6 000 km/heure en moins de trois secondes!
- Bon Jean-Pierre, tu étais dans le désert, donc le lieu idéal pour les mirages ...
- Nous y avons pensé, mais l'accélération de cet engin était et est toujours infiniment supérieure à nos possibilités techniques. Donc mirage ou pas, cet engin n'avait pas été fabriqué par l'homme.
- Tu es sûr que ce ne pouvait être un engin terrestre, une fusée par exemple puisque tu étais près de la base d'Harnmagir.
- Je suis formel car nous avons envisagé toutes les hypothèses. D'abord une fusée ça ne reste pas en sustentation silencieuse et immobile à 3000 mètres. Ensuite, je te répète que l'accélération de l'engin est impossible à réaliser même en 1976.
- Un phénomène naturel alors?
- Non, j'ai présente à la mémoire cette image, c'était manifestement une construction. - Son diamètre?
- Vingt mètres environ.
- Tu penses que c'était un engin piloté?
- Je n'en sais rien évidemment. Mais c'était la manifestation d'une intelligence, que cette intelligence ait été à l'intérieur de l'engin ou qu'il ait été téléguidé. Et le film tourné pour les militaires?
- Quand j'ai voulu visionner le film personne ne savait où il était. Ça ne veut pas dire qu'on rait caché et que la sécurité militaire ait mis la main dessus. Mais enfin, je n'ai pu le voir, c'est tout. »
Voici un témoignage exceptionnel par la compétence professionnelle de son auteur. Jean-Pierre Chapel n'était pas seul, trente techniciens et militaires ont vu la même chose que lui. Ce fameux film n'a pas été perdu. Il est quelque part dans les archives de l'année. Fait curieux, j'avais appris son existence par un technicien militaire en retraite et j'avais cherché à le localiser. En vain, malgré quelques indications. Je ne me doutais pas que Jean-Pierre Chapel avait assisté personnellement à l'événement.
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- majestic54Légende du forum
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Re: Dans les années 60, au Sahara, pendant une opération de récu
Lun 16 Juin 2008, 15:55
tres interressant comme sujet mais dans le sahara cela etait encore plus frequent que vous le pensez jai eu des temoignages d'ex général et je peux vous dire qu'on cache des choses surtout dans ces années la ou on tester notre arsenal nucléaire
- InvitéInvité
Re: Dans les années 60, au Sahara, pendant une opération de récu
Lun 16 Juin 2008, 17:58
Ecrivez-nous ça en détail majestic54!
- majestic54Légende du forum
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Re: Dans les années 60, au Sahara, pendant une opération de récu
Mar 17 Juin 2008, 14:05
je ne peux pas tout devrait etre anonyme mais en gros il ya eu de nombreuses apparitions et contact avec des ovni durant els essais nucleaire français notament dans le sahara
- SolsticeModérateur
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Re: Dans les années 60, au Sahara, pendant une opération de récu
Dim 20 Juil 2008, 03:11
Très intéressant le récit de Jean-Pierre Chapel. Ce que je retiens le plus de ce témoignage, c'est qu'encore une fois on nous cache les preuves; ( le film tourné avec un cinéthéodolite ) matérielles évidentes d'un engin qui n,est tout simplement pas fabriqué par l'homme.
Il est indiscutable que le cas rapporté ici par Jean Pierre Chapel nous prouve l'existence des ovnis, et ce qui le renforcis d'avantage c'est la disparution du film, ( probablement caché par des militaires sous ordres de haut gradés.
Il est indiscutable que le cas rapporté ici par Jean Pierre Chapel nous prouve l'existence des ovnis, et ce qui le renforcis d'avantage c'est la disparution du film, ( probablement caché par des militaires sous ordres de haut gradés.
- HocineEquipe du forum
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Re: Dans les années 60, au Sahara, pendant une opération de récu
Mar 22 Juil 2008, 17:17
Mais la surveillance ne s’est jamais arrêté par ces engins mystérieux après le survol des sites des essais atomiques français au Sahara, ces engins continuent leur surveillance dans un autre endroit à, prés de 1700 km voir a quelques 1200 km à vol d’oiseau plus au Nord de cette base d’essais du Sahara, c’est vrai l’installation de ces essais n’est plus aujourd’hui, mais ces engins continu leur manège dans une autre région ils ne sont jamais arrêté.
Ces surveillances existaient à peu prés 50 ans, depuis 1958, 1962, 1978, 2002 ,2008 , sûrement ils ont une raison à ça, ils surveillent et sûrement ils ont une autre raison qui les attire .
Ces surveillances existaient à peu prés 50 ans, depuis 1958, 1962, 1978, 2002 ,2008 , sûrement ils ont une raison à ça, ils surveillent et sûrement ils ont une autre raison qui les attire .
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