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Les exoplanètes celles qui ont le plus de chances de porter la vie
Mar 02 Déc 2008, 13:47
Les exoplanètes celles qui ont le plus de chances de porter la vie
Comment caractériser, parmi les exoplanètes qui sont découvertes, celles qui ont le plus de chances de porter la vie ? Ou plutôt, y a-t-il un moyen de rechercher celles-là en priorité ? Daily Galaxy s’intéresse aujourd’hui à la taille de l’étoile observée, et au rayon de l’orbite planétaire.
“C’est la taille de l’étoile qui détermine la Zone Habitable.” Si on s’intéresse à des étoiles plus petites que notre Soleil, il ne faut pas s’attendre à ce que leurs planètes aient été longtemps habitables.
C’est le constat d’une étude conduite par Rory Barnes, qui travaille au ‘Lunar & Planetary Laboratory’ de l’Université d’Arizona.
Ces planètes subiraient un échauffement, dû aux forces de marée, qui se produirait dès le premier milliard d’années.
Il s’agit de l’accélération gravitationnelle qui comprime les objets dans certaines directions et les dilate dans d’autres.
Rory Barnes ajoute : “Une étoile dont la taille se situerait entre un quart et un dixième de notre Soleil serait aussi moins chaude. Par conséquent la “zone habitable” pour ses planètes - où l’eau est à l’état liquide - serait plus rapprochée.
C’est cette proximité qui favorise l’accélération gravitationnelle. L’effet des marées est alors si puissant que l’orbite de la planète semblable à la Terre se trouve déformée. La distorsion des orbites peut être si importante qu’en moins d’un milliard d’années la planète sera contrainte de quitter la limite intérieure de la zone habitable, et l’ensemble de sa masse d’eau sera vaporisée par la chaleur.“
Si des planètes habitables situées autour d’étoiles de faible masse sont assez grandes, et que leurs orbites sont plus circulaires (moins excentrées), leur durée de vie pourrait être d’au moins 4.5 milliards d’années - comme la Terre - avant que les forces de marée de l’étoile les contraigne à se rapprocher et que la chaleur les détruisent.
Toujours selon Rory Barnes : “Les chasseurs d’exoplanètes pourraient détecter des planètes qui sont actuellement dans des zones habitables, mais qui se trouvent condamnées à devenir inhabitables par la suite. Ils pourraient aussi découvrir aujourd’hui des planètes où la vie pourrait s’être développée dans le passé, mais aurait été balayée par le processus d’échauffement des marées.”
Barnes, Brian Jackson et le Professeur Richard Greenberg, de l’Université d’Arizona, ainsi que Sean Raymond, à l’Université du Colorado, ont publié leurs recherches en juin dernier dans le magazine Astrobiology.
L’une des conclusions de leurs travaux est que les premières planètes semblables à la Terre qui seront découvertes auront certainement une intense activité volcanique et devraient être très chaudes.
Rory Barnes a depuis rejoint le VPL (Virtual Planet Laboratory), financé par la NASA depuis 2001 : une équipe de 21 scientifiques utilisent des ordinateurs très puissants pour réaliser des simulations. Ils cherchent à préciser à quelle distance des étoiles on a le plus de chances de découvrir des planètes de taille comparable à la Terre.
Ces simulations du VPL doivent orienter les prochaines missions spatiales, qui seront lancées pour rechercher des planètes habitables autour d’autres étoiles, en leur permettant de distinguer parmi ces planètes celles qui portent la vie.
http://ovnis-usa.com/
Comment caractériser, parmi les exoplanètes qui sont découvertes, celles qui ont le plus de chances de porter la vie ? Ou plutôt, y a-t-il un moyen de rechercher celles-là en priorité ? Daily Galaxy s’intéresse aujourd’hui à la taille de l’étoile observée, et au rayon de l’orbite planétaire.
“C’est la taille de l’étoile qui détermine la Zone Habitable.” Si on s’intéresse à des étoiles plus petites que notre Soleil, il ne faut pas s’attendre à ce que leurs planètes aient été longtemps habitables.
C’est le constat d’une étude conduite par Rory Barnes, qui travaille au ‘Lunar & Planetary Laboratory’ de l’Université d’Arizona.
Ces planètes subiraient un échauffement, dû aux forces de marée, qui se produirait dès le premier milliard d’années.
Il s’agit de l’accélération gravitationnelle qui comprime les objets dans certaines directions et les dilate dans d’autres.
Rory Barnes ajoute : “Une étoile dont la taille se situerait entre un quart et un dixième de notre Soleil serait aussi moins chaude. Par conséquent la “zone habitable” pour ses planètes - où l’eau est à l’état liquide - serait plus rapprochée.
C’est cette proximité qui favorise l’accélération gravitationnelle. L’effet des marées est alors si puissant que l’orbite de la planète semblable à la Terre se trouve déformée. La distorsion des orbites peut être si importante qu’en moins d’un milliard d’années la planète sera contrainte de quitter la limite intérieure de la zone habitable, et l’ensemble de sa masse d’eau sera vaporisée par la chaleur.“
Si des planètes habitables situées autour d’étoiles de faible masse sont assez grandes, et que leurs orbites sont plus circulaires (moins excentrées), leur durée de vie pourrait être d’au moins 4.5 milliards d’années - comme la Terre - avant que les forces de marée de l’étoile les contraigne à se rapprocher et que la chaleur les détruisent.
Toujours selon Rory Barnes : “Les chasseurs d’exoplanètes pourraient détecter des planètes qui sont actuellement dans des zones habitables, mais qui se trouvent condamnées à devenir inhabitables par la suite. Ils pourraient aussi découvrir aujourd’hui des planètes où la vie pourrait s’être développée dans le passé, mais aurait été balayée par le processus d’échauffement des marées.”
Barnes, Brian Jackson et le Professeur Richard Greenberg, de l’Université d’Arizona, ainsi que Sean Raymond, à l’Université du Colorado, ont publié leurs recherches en juin dernier dans le magazine Astrobiology.
L’une des conclusions de leurs travaux est que les premières planètes semblables à la Terre qui seront découvertes auront certainement une intense activité volcanique et devraient être très chaudes.
Rory Barnes a depuis rejoint le VPL (Virtual Planet Laboratory), financé par la NASA depuis 2001 : une équipe de 21 scientifiques utilisent des ordinateurs très puissants pour réaliser des simulations. Ils cherchent à préciser à quelle distance des étoiles on a le plus de chances de découvrir des planètes de taille comparable à la Terre.
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