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Ovni: Les documents Majestic12 un vaste canular
Lun 30 Nov 2009, 20:28
Les documents Majestic12 un vaste canular
Des documents diagnostiqués faux par le FBI mais aussi par la plupart des ufologues, y compris ceux qui croient tout de même à l'existence d'un groupe équivalent. Etant donné l’état de délabrement total de la recherche ufologique, on peut s’interroger sur la légitimité de débattre de ces documents, contribuant à la décadence de l’Ufologie. Le milieu ufologique a définitivement mieux à faire, par l’exploration d’autres pistes, moins coûteuses, obscures ou malsaines. Le dossier majestic 12 ne peut apporter que du ridicule et du discrédit.
Vers 1984, une série de documents sont remontés à la surface, dont certains ufologues dirent qu'ils prouvaient que le Président Truman avait créé un comité top-secret en 1947, le Majestic-12, pour sécuriser la récupération de l'épave d'ovni de Roswell et de tout autre ovni qui se serait écrasé en vue d'une étude scientifique, et pour examiner tous les corps d'Aliens retrouvés sur de tels sites. La plupart, pour ne pas dire tous ces documents, se sont révélés être des fabrications. Cependant, la controverse persiste. Les " documents " du MJ 12 " sont des faux. Il s'agit d'une mystification. William Moore, lui-même, lors d'un congrès du MUFON, confirmera avoir été manipulé par des officiers de l'AFOSI ( le bureau d'enquêtes spéciales de l'armée de l'air ) et avoir manipulé, à son tour, certains ufologues. Tout cela est très significatif des arcanes de l'ufologie nord-américaine...
http://www.ovni.ch/~farfadet/Majestic12.html
http://rr0.org/science/crypto/ufo/enquete/dossier/MJDocs/index.html
Histoire des documents du MJ12
L'existence du document relatif au Majestic-12 a été révélée par William Moore lors du Symposium de Mufon Ufo Network, en juin 1987 à Washington D.C. A l'origine, cette pièce de huit pages était parvenue sous la forme d'une pellicule photographique dans une enveloppe de papier d'emballage au domicile de Jaime Shandera, producteur d'une station de télévision de Los Angeles, en décembre 1984. Deux ans plus tôt, Jaime Shandera s'était joint à William Moore et au physicien nucléaire Stanton Friedman pour effectuer un travail en équipe basé sur la recherche de documents officiels prouvant l'implication du gouvernement américain dans la dissimulation de la vérité en matière d'Ovnis.
En 1987, William Moore présente des dizaines de pages secrètes dactylographiées révélant l'existence d'un groupe occulte de 12 personnalités appelées MAJESTIC-12 ,créé en 1947 pour maintenir le contrôle et le secret sur les ovnis.
William Moore
Le 15 septembre 1988, la Police Fédérale et de contre-espionnage qui a pour alternatif d'enquêter sur toutes personnes possédant des documents secrets sans avoir l'accréditation adéquate, ouvre une enquête .
Le 30 novembre 1988, le bureau des investigations spéciales de l'US Air Force confirme au FBI que les documents sont des faux... Ces documents ont été envoyés à leur destinataire sur des pellicules photographiques de manière anonyme. Il fut donc impossible d’en analyser le papier ou l’encre d’origine ainsi que l’authenticité des signatures.
Le plus impressionnant des documents fut reçue plus tard en 1994 à destination de l’écrivain scientifique Don Berliner.
Ce manuel d'’opérations Spéciales du Comité Majestic-12 , constitué de 23 pages daté d’avril 1954 porte le sous-titre : " Entités et Matériel Extraterrestres, Récupération et Traitement ".
La totalité des documents transmit de manière anonyme sont considérés après plusieurs analyses comme faux, mais à l'image de la vidéo de roswell certains affirment le contraire.
Cette histoire Américaine a mobilisé de nombreux ufologues persuadés que les documents étaient une preuve indéniable de l'intérêt porté par l'état Américain aux ovnis. Le doute subsiste encore, partagé entre la volonté d'informer ou de manipuler le ou les auteurs de ces envoies restent inconnus.
Partisans et détracteurs analysent encore ces documents sans doute trop beaux mais surtout intrigant non par leur contenu ,mais par cette volontéà vouloir ridiculiser l'ufologie par des documents suspicieux.
Les lettres ummites, les documents MJ 12, le film de l'autopsie de roswell, les vrais fausses vidéos etc. Doivent interroger bon nombre de personnes avec cette question toute simple: Pourquoi et dans quel but?
Qu'elle est cette volonté ?
Discréditer les ovnis ou amener progressivement la population à prendre conscience de la réalité de cette présence. Tous ces documents européen et américain ont un but certainement beaucoup plus subtile qu'il n'y paraît.
50 ans de recherche des milliers de documents toujours envoyés de manière anonyme ou suspicieuse. Chaque document comporte une forme de preuve tout en laissant dans chaque cas une large ouverture au canular facilement démontrable. Ces hommes et femmes qui ont épluché ces documents sont loin d'êtres stupides ou paranos. Il est évident que chaque pièce fournis sur n'importe quel support sera étudié dans tous les détails. Dans chaque cas étudié les analyses ont démontré un avis partagé, tous ces documents sont en fin de compte très important mais ne sont pas considérés comme preuve.
On pourrait tout simplement les appeler des vrai/faux.
Laisser des traces de supercherie amènent un comportement partagé, les uns croiront ouvertement ce qu'ils ont sous les yeux, les autres s'accorderont à dévoiler ouvertement avec fierté le canular découvert, pour en arriver en fin de compte à la dérision de l'ensemble de cette recherche.
Une autre hypothèse envisagé est la volonté derrière ces documents de vouloir familiariser la population à accepter la réalité du phénomène et pourquoi pas la présence d'extra terrestre.
Afin de mieux comprendre le contenu voici une traduction française de Mr Patrick Rouilly que je remercie au passage.
Nom du document : "Le Majestic-12 Group Spécial Opérations Manual»
Nombre de pages : 23 pages
Date : Avril 1954
Reçu par : Don Berliner, 1994
Ce document vise à donner aux équipes d’intervention les instructions nécessaires pour une opération de récupération d’OVNI et ses occupants.
Voici ce qui ressort des différentes analyses :
1) Le document reçu par Don Berliner ne semble pas complet.
2) Ce manuel de terrain n'a aucune raison de contenir un historique des ovnis ou des informations sur leur détection radar .
3) La désignation "Eyes Only" est une procédure de communication, pas une classification de sécurité.
4) Le numéro de contrôle du "Top Secret" ne figure pas sur le document, cela constitue une violation du règlement.
5) La désignation TO 12D1-3-11-1 n’est expliquée nulle part dans le manuel.
D’autre part même si des suspicions aussi flagrantes et facilement détectables peuvent amener à des conclusions de manipulations ou canulars ,il est évident qu'elles pouvaient être facilement évitées ,mais plus subtilement encore ouvertement laissée.
Mais là c'est à vous de juger !
http://photovni.free.fr/html/majestic.htm
Les documents du MJ-12 sont-ils des faux ?
Les documents du MJ12 (Majestic 12) ont séduit de nombreux chercheurs et ufologues, avant d'apparaître comme des faux habiles dépassant les limites du canular ou de l'action individuelle. Ainsi, sur un prétendu mémo adressé par le président Truman au général Twining est reproduite la signature du président, empruntée à un vrai document. Un tel détail ne saute pas immédiatement aux yeux, mais est voué à être découvert tôt ou tard... Le doute est donc jeté. Puisqu'un cachet officiel, un en-tête administratif ou la signature d'un président de l'Etat était devenu une preuve de l'implication des autorités américaines dans le dossier OVNI, il fallait déconsidérer ceux-ci et jeter le trouble en répandant le FAUX.
Ce document se compose de deux éléments totalement différents. Sept pages relatives au "Majestic-12" et un mémorandum d'une page signée par le président Harry Truman adressé à James Forrestal, en date du 24 septembre 1947, relatif à une opération du "Majestic-12". Si la signature du président Truman est authentique, les sept page sont l'oeuvre d'un habile faussaire. Cette fraude visait deux buts, discréditer les affaires de crashes d'Ovnis et ridiculiser l'équipe Moore - Friedman - Shandera.
La présence du Dr Donald Menzel dans la liste des douze membres du "Majestic-12" sur le document pourrait constituer un élément probant pour indiquer que la fabrication vient d'une agence de sécurité. Le Dr Donald Menzel était un astrophysicien de haut niveau, qui eut l'occasion de travailler pour plusieurs agences de sécurités et l'USAF, il travailla pour l'US Navy durant la Deuxième Guerre mondiale en comme cryptographe. Il publia son premier livre "Flying Saucers" en 1953 où il expliquait que les soucoupes volantes était un phénomène optique associé à des mirages. Il fit de fréquent déplacements à Washington D.C. et au Nouveau-Mexique entre 1947 et 1949 pour des missions gouvernementales. Des traces de ses voyages sont dans ses notes de frais, disponibles à la bibliothèque de Harvard College Observatory. Dans les archives nous trouvons des correspondances de Menzel avec des hommes puissants, tel que John Fitzgerald Kennedy. Le Dr Donald Menzel était sans aucun doute un agent au service du gouvernement et il fut impliqué au niveau le plus élevé des secrets d'Etat! Sa présence dans un éventuel groupe secret dévolu aux problèmes des OVNI n'est absolument pas fantaisite et nous comprenons mieux pourquoi le Dr Menzel publia trois livres destinés à banaliser les OVNI.
Lorsque Jaime Shandera prit connaissance du contenu de la pellicule, en décembre 1984, il contacta ses deux associés. Ils décidèrent de commencer une recherche auprès des Archives Nationales à Washington, où sont centralisés les dossiers périmés de l'administraion américaine. En 1985, Bill Moore mit la main sur le mémo Curler datant du 14 juillet 1954, un mémorandum de sécurité limitée d"estiné au général Twining dont le sujet est "Projet d'études spéciales NCS/MJ-12". Dans ce mémo, le président décide d'avancer une réunion du MJ-12. A l'époque, le général Twining était devenu le chef de l'USAF. En 1947, au moment du crash de Roswell (Nouveau-Mexique), il était déjà le patron de l'Air Materiel Command, l'organisme qui dirige tous les services de renseignements de l'USAF.
Analyse linguistique
Longtemps considérés comme des preuves plausibles par les ufologues et les théoriciens de la conspiration, les documents top-secrets qui auraient été écrits par des officiers gouvernementaux et militaires de haut rang, incluant trois présidents US et dévoilés au public au début des années 80, ont été jugés comme étant des faux par une analyse linguistique.
Ces documents, nommés The Majestic Documents par les chercheurs, contiennent des références au crash allégué d’une soucoupe volante près de Roswell au Nouveau Mexique en juillet 1947. Des références à la technologie extraterrestre et aux corps retrouvés y figurent également. Les dates de ces papiers vont de 1942 jusqu’aux années 1990.
Les documents Majectic auraient été écrits par les membres d’un groupe top secrète (MJ-12) mis en place sous la présidence de Truman et dont le but était de s’occupper du crash d’un véhicule extraterrestre près de la ville de Roswell. Les documents incluent des memos écrits par le président Truman, l’amiral Roscoe Hillenkoetter, qui deviendra le premier directeur de la CIA, le Dr. Vanneva Bush, qui présidait le OSRD (Office of Scientific Research and Development) et le général Nathan Twining, à la tête du Air Materiel Command à la base de Wright-Patterson, où les débris ont été transportés. On trouve également des memos qui auraient été écrits par les présidents Eisenhower et Kennedy.
Les documents ont été analysés par le Dr. Carol Chaski, de Georgetown, DE. engagée par le Dr. Michael Heiser, un chercheur étudiant les textes bibliques, avec un intérêt pour le phénomène OVNI. Le Dr. Chaski est un expert en liguistique spécialisé dans la reconnaissance d’auteur, une discipline qui utilise l’informatique pour extraire et définir des modèles de styles d’écriture pour un auteur donné - une “emprunte linguistique”. Le Dr. Chaski a crée son propre logiciel de reconnaissance, ALIAS, utilisé pour ce genre de tests. Elle est aujourd’hui présidente de la société ALIAS Technology LLC. Parmi les modèles de styles detectés par le programme du Dr. Chaski on trouve les structures de phrases, l’ordre des mots et l’utilisation de la ponctuation.
Un total de 17 documents, qui auraient été écrits pas 9 auteurs différents, ont été testés. Le Dr. Heiser a saisi les textes des documents Majestic ainsi qu’une selection de documents de référence dont l’origine est irréfutable. Sur les 17 documents testés, seul un seul a pu être identifié comme ayant effectivement comme auteur celui annoncé.
Selon Heiser : “Il serait illusoire pour quiconque de baser des allégations sur l'existence d’un crash extraterrestre à Roswell sur ces documents; il ne résistent pas aux dernières analyses scientifiques.”
Une copie complète du rapport sur les procédures de tests et les résultats peut être obtenue sur : http://www.mj12documents.com
Récemment nommé parmi les 100 personnes les plus influentes de l’ufologie par le magazine Fate, Michael S. Heiser, Ph. D est diplomé d’un Ph. D de l’université de Wisconsin-Madison et d’un M.A. de l’université de Pennsylvanie. Dr Heiser a enseigné à l’université pendant plus de 12 ans et porte un grand intérêt au phénomène OVNI, au paranormal et à l’occulte. Il est également l’auteur de The Facade.
source : PR Web (via UFO Updates)
MAJ 25/07/2007 : Une remarque intéressante de David Rudiak sur ce message de la liste UFO Updates :
“Ce qui a été démontré c’est que la plupart des documents n’ont pas été écrits par la personne dont la signature figurait en bas du document. Cela ne signifie pas nécessairement que les documents sont frauduleux, car les memos sont souvent préparés par des subordonnés, puis signés par leurs supérieurs.
[...] Ca arrive tout le temps dans le gouvernement ou dans les entreprises, etc. Les dirigeants écrivent rarement leurs propres documents. [...]
Il se pourrait aussi que certains des documents de contrôle “irréfutables” aient aussi été écrits par une autre personne, pour les mêmes raisons, alors que les documents testés ont eux véritablement été écrits par le signataire.”
MAJ 26/07/2007 :
Les voix commencent à s’élever contre les allégations de Heiser. Sur UFOMystic on peut lire ces mots de Ryan Wood :
“Heiser a récemment payé plusieurs milliers de dollars au Dr. Carol Chaski pour l’examen de seulement 11 pages (soit 5000 mots) sur les 3500 pages que comptent les documents du MJ-12 récoltés depuis 1984. Malgré les résultats de Chaski qui montrent qu’au moins une des pages était véritablement écrite par l’auteur présumé, Heiser a donné comme conclusion que tous les documents du MJ-12 étaient frauduleux.
Les allégations de Heiser ont attiré l’attention sur la campagne marketing pour son livre, publié sans grand retentissement en 2004 et relancé aujourd’hui sur Internet au côté de ses “révélations” sur la fraude des documents du MJ-12.”
Ryan Wood, Robert Wood et Stanton Friedman ont publié des recherches approfondies sur les Documents du MJ-12, parmi lesquel certains ont été retrouvés dans les archives nationales (National Archives and Records Administration)
Selon Wood : “Le domaine de l’autentification de documents est très ancien, il focalise la recherche sur plusieurs vecteurs d’autenticité, le type d’encre, de papier, la chronologie (temps et espace), la chirographie, typographie, provenance, contenu et anachronismes. Les résultats promus par Heiser proviennent de la méthode que les experts en autentification jugent comme l’une des moins précises.”
A ce jour, précise Wood “aucune preuve crédible n’est venu remettre en cause l’autenticité du Special Operations Manual: Extraterrestrial Entities Technology Recovery and Disposal d’avril 1954; des documents de briefing d’Eisenhower de novembre 1952; du White Hot Report de septembre 1947; ou du Interplanetary Phenomenon Unit Counter Intelligence Report du 22 juillet 1947
http://photovni.free.fr/majestic12/index.htm
Consulter les documents
Vous trouverez ces documents sur ces pages:
http://photovni.free.fr/document mj12/doc mj12.htm
TRADUCTION :MR PATRICK ROUILLY
BRIEFING DE DOCUMENT : OPÉRATION MAJESTIC 12
PRÉPARÉ POUR LE PRÉSIDENT ELU DWIGHT D. EISENHOWER : (EYES ONLY)
18 novembre, 1952
AVERTISSEMENT Ceci est un document TOP SECRET – EYES ONLY contenant des informations compartimentées essentielles pour la sécurité nationale des Etats-Unis. EYES ONLY ACCESS à ce document est strictement limité à ceux possédant le niveau d’autorisation Majectic-12. La reproduction par quelque forme que ce soit ou la prise d'écrit ou de notes mécaniquement transcrites sont strictement interdites.
EYES ONLY COPY ONE OF ONE
SUJET : OPÉRATION MAJESTIC-12 BRIEFING PRÉLIMINAIRE POUR LE PRÉSIDENT ELU EISENHOWER.
DOCUMENT PRÉPARÉ le 18 NOVEMBRE, 1952.
OFFICIER DE BRIEFING: ADM. ROSCOE H. HILLENKOETTER (MJ-1)
NOTE : Ce document a été préparé seulement comme briefing préliminaire. Il doit être considéré comme une introduction à des opérations complètes de briefing prévues comme suit.
******
OPÉRATION MAJESTIC-12 est une opération TOP SECRET d’Informations et de renseignements responsable directement et seulement auprès du Président des Etats-Unis. La gestion du projet est effectuée sous le contrôle du Majestic-12 (Majic-12), Groupe qui a été créé selon ordre exécutif spécial classifié du Président Truman le 24 septembre, 1947, sous la recommandation du docteur Vannevar Bush et du Secrétaire James Forrestal. (Voir document joint « A ») les Membres du Groupe Majestic-12 sont désignés comme suit :
Adm. Roscoe H. Hillenkoetter
Docteur Vannevar Bush
Secy. James V. Forrestal*
Général Nathan F. Volubile
Général Hoyt S. Vandenberg
Docteur Jerome Hunsaker
M. Sidney W. Souers
M. Gordon Gray
Docteur Donald Menze
Général Robert M. Montague
Docteur Lloyd V. Berkner
La mort de Secrétaire Forrestal le 22 mai, 1949, a créé un poste vacant jusqu’au jusqu'au 01 août, 1950, date à laquelle le général Walter B. Smith a été nommé remplaçant permanent
EYES ONLY COPY ONE OF ONE
Le 24 juin, 1947 un pilote civil volant au-dessus de Cascade Mountains dans l’Etat de Washington a observé neuf engins volant en formation à très haute vitesse, ayant l’aspect de disques. Bien que ce ne soit pas la première observation connue de tels objets, il fût le premier à attirer l'attention dans les médias. Des centaines de rapports d’observations relatifs à des objets semblables ont suivi. Beaucoup d'entre eux vinrent de sources militaires et civiles fortement crédibles. Ces rapports ont abouti à des efforts indépendants de plusieurs sources militaires afin de vérifier la nature et le but de ces objets dans l’intérêt de la défense nationale. Certains témoins ont été entendus et plusieurs tentatives d’interception de ces disques en vol ont échoué. La réaction publique a avoisiné de temps en temps l'hystérie
Malgré ces efforts, peu d’informations furent apprises au sujet de ces objets avant qu'un propriétaire d'un ranch local n'ait annoncé que l’un d’eux s’était crashé dans une région éloignée du Nouveau Mexique située approximativement à soixante-quinze milles au Nord-Ouest de Base aérienne de Roswell (maintenant Walker Field)
Le 07 juillet, 1947, une opération secrète a été entreprise pour assurer la récupération de l'épave de cet objet pour étude scientifique. Durant l’opération, une reconnaissance aérienne à découvert que quatre petits êtres ressemblant à des humains avaient été apparemment éjectés du vaisseau quelques instants avant qu’il n’explose.
Ceux ci étaient tombés à environ deux milles à l'Est du site de l’épave. Tous quatre étaient mort et horriblement décomposés par l'action des prédateurs et l'exposition aux éléments depuis une semaine environ avant leur découverte. Une équipe scientifique spéciale a pris en charge l’enlèvement des corps pour l'étude. (Voir Document Joint "C".); L'épave du vaisseau a aussi été récupérée et dispatchée dans plusieurs emplacements différents. (Voir Document Joint "B".). Les témoins civils et militaires du secteur ont été débriefés et une histoire de couverture a été donnée à la presse concernant un ballon de recherche météorologique.
EYES ONLY COPY ONE OF ONE
Un effort analytique secret organisé par le général Twining et le Dr Bush sous les ordres directs du Président, a abouti à un consensus préliminaire (le 19 septembre, 1947) faisant ressortir que le disque était probablement un vaisseau de reconnaissance de courte action. Cette conclusion était basée en grande partie sur la taille du vaisseau et le manque apparent d’un quelconque ravitaillement identifiable. (Voir Document Joint "D".).Une analyse similaire des quatre occupants morts fût effectuée par le docteur Bronk. Ce fût la conclusion provisoire de ce groupe (30November, 1947) et bien que ces créatures soient d’apparence humaine, les processus biologiques et évolutionnaires responsables de leur développement ont apparemment tout à fait différés de ceux observés ou postulés chez l’homo sapiens. L'équipe de docteur Bronk a suggéré que le terme "Entités Biologiques Extraterrestres" ou "EBEs", soit adopté comme le terme standard de référence pour ces créatures jusqu'à ce qu'une désignation plus définitive soit convenue.
Puisqu'il est pratiquement certain que ce vaisseau ne provient d'aucun pays sur la terre, une supposition importante s'est concentrée autour de ce que pourrait être leur lieu d'origine. La planète Mars était et reste une possibilité, bien que quelques scientifiques, et plus spécialement le docteur Menzel, considère plus probablement que ces êtres viennent d'un autre système solaire.
Les nombreux exemples de ce que semble être une forme d'écriture ont été trouvés dans l'épave. Les efforts de déchiffrage ont en grande partie échoués. (Voir Document Joint "E".)
Ont également échoués les efforts de détermination de la méthode de propulsion ou la nature ou la méthode de transmission de la source d'énergie impliquée. La recherche a été compliquée par l'absence complète d'ailes identifiables, de propulseurs, de réacteurs ou d'autres méthodes conventionnelles de câbles, de tubes à vide ou de composants électroniques reconnaissables. (Voir Document Joint "F".) Il est présumé que l'unité de propulsion a été complètement détruite par l'explosion qui a causé l'accident.
EYES ONLY COPY ONE OF ONE
Un besoin d'un nombre important d'informations complémentaires sont nécessaires au sujet de ces vaisseaux, les caractéristiques de leurs performances et leur but conduisit à la prise du projet connu comme U.S. AIR FORCE Project SIGN en décembre, 1947. Pour préserver la sécurité, la liaison entre SIGN et Majestic-12 a été limitée à deux individus à l'intérieur de Intelligence Division of Air Matériel Command dont le rôle était de faire passer certains types d'information par différents canaux. SIGN évolua en Projet GRUDGE en décembre, 1948. L'opération est actuellement conduite sous le nom de code BLUE BOOK, avec liaison maintenue par l'intermédiaire d'un officier de l'Armée de l'air qui est le chef du projet.
Le 06 décembre, 1950, un deuxième objet, probablement d'origine semblable, se crasha sur la terre à haute vitesse dans le secteur de El-Indio-Guerrero à la frontière entre le Texas et le Mexique après avoir parcouru une longue distance dans l'atmosphère. Pendant ce temps une équipe de recherche arriva, mais ce qui restait de l'objet était presque complètement incinéré. Le matériel qui a pu être récupéré fût transporté dans la base de A.E.C à Sandia, Nouveau Mexique, pour étude.
Les implications pour la Sécurité nationale sont d'une continuelle importance en ce qui concerne les motifs et les intentions finales de ces visiteurs qui restent complètement inconnus. De plus, une augmentation significative de l'activité de surveillance de ces vaisseaux a commencé en mai et a continué jusqu'à l'automne de cette année causant une inquiétude considérable sur de nouveaux événements qui peuvent être imminents. C'est pour ces raisons, aussi bien que des considérations internationales évidentes et technologiques et le besoin final d'éviter une panique générale à tout prix, que le groupe Majestic-12 reste d'un avis unanime, que les mesures de précaution et de sécurité les plus strictes doivent continuer sans interruption dans la nouvelle administration. En même temps, le plan d'éventualité MJ-1949-04P/78 (Top Secret – Eyes Only) doit être maintenu en étant prêt à faire une révélation publique. (Voir Document Joint"G".)
Document majestic 12
Traduction française par MR PATRICK ROUILLY
ENTITÉS EXTRATERRESTRES ET TECHNOLOGIE, RECUPERATION ET ENLEVEMENT
AVERTISSEMENT! Ceci est un document TOP SECRET - MAJIC EYES ONLY contenant des informations essentielles classifiées pour la Sécurité Nationale des Etats-Unis. L'accès aux documentations EYES ONLY est strictement limité au personnel possédant un niveau d'autorisation MAJIC - 12. L'examen ou l'utilisation par du personnel non autorisé est strictement interdit et est punissable selon la loi fédérale.
CHAPITRE 1 OPERATION MAJESTIC 12
Paragraphes
Page
Section . I But du projet et cibles
CHAPITRE 2 INTRODUCTION
Section I Général
section II Définition et données
CHAPITRE 3 OPERATIONS DE RECUPERATION
Section I. sécurité
Section II Récupération de technologie
CHAPITRE 4 RECEPTION ET MANIPULATION
Section I Traitement à réception du matériel
CHAPITRE 5 ENTITES BIOLOGIQUES
EXTRATERRESTRES
Section I Organismes vivants
Section II Organismes non vivants
CHAPITRE 6 GUIDE D’IDENTIFICATION DES OVNI
Section I Ovni Guide
Section II Critère d’identification
Section III Origines possibles
Appendice I Référence
Appendice II
Majic 12 personnel
Appendice III PHOTOGRAPHIES
Section I BUT DU PROJET ET CIBLES
1. Portée
Ce manuel a été préparé spécialement pour les unités Majestic 12. Son but est de présenter tous les aspects du Majestic 12, ainsi le personnel autorisé aura une meilleure compréhension des buts du Groupe et sera capable de traiter du sujet des OVNI, de la technologie extraterrestre et des entités avec plus d’expérience, afin d’augmenter leur efficacité dans des opérations futures
2. Général
Le MJ 12 prend le sujet des OVNI, la technologie extraterrestre et les entités biologiques extraterrestres très au sérieux et considère le sujet global comme une question de sécurité nationale de la plus haute importance. C'est pourquoi tout ce qui touche à ce sujet a été assigné à la classification de sécurité la plus haute. Trois points principaux seront couverts dans cette section
a) L'aspect général du MJ12 pour éclaircir toutes les idées fausses que tout à chacun peut avoir.
b) L'importance de l'opération
c) La nécessité du secret absolu dans toutes les phases des opérations
3. Sécurité Classification
Toute l'information touchant MJ12 a été classifiée MAJIC EYES ONLY et comporte un niveau de sécurité de niveau 2 au-dessus de TOP SECRET. Les raisons de ceci sont les conséquences qui pourraient surgir non seulement de l'impact sur le public de l'existence d’un tel sujet et que celui-ci vienne à la connaissance de tous, mais aussi du danger qu’une technologie avancée récupérée par l’Air Force tombe entre les mains de pouvoirs étrangers inamicaux. Aucune information n’a été révélée à la presse et la position officielle du gouvernement est qu'aucun groupe spécial comme MJ12 n'existe.
Histoire du Groupe
L'opération Majestic12 fût crée selon Ordre Présidentiel Spécial Classifié le 24 septembre 1947 avec la recommandation du Ministre de la Défense nationale James V. Forrestal et du Docteur Vannevar Bush, Président du Conseil de Recherche. Les opérations sont effectuées par un Groupe de Recherche et de Développement Top secret – Groupe de Renseignements directement responsable seulement auprès du Président des Etats-Unis. Les buts du Groupe MJ12 sont les suivants :
a) La récupération pour l'étude scientifique de tous les matériels et dispositifs de fabrication étrangère ou extraterrestre qui peuvent devenir disponibles. Un tel matériel et ces dispositifs seront récupérés par n’importe quels moyens et considérés nécessaire au Groupe.
b) La récupération pour l'étude scientifique de toutes les entités et restes d'entités d'origine non terrestre qui peuvent devenir disponibles au travers d'actions volontaires de ces entités ou par accident ou action militaire.
c) La création et l’administration d'équipes Spéciales pour accomplir les susdites opérations.
d) La création et l’administration d'équipements spéciaux sûrs placés à des emplacements secrets à l’intérieur des frontières continentales des Etats Unis pour la réception, le traitement, l’analyse et l’étude scientifique de n’importe quel matériel et entités classés comme étant origine extraterrestre par le Groupe des Équipes Spéciales.
e) La création et l'administration d'opérations secrètes qui seront effectuées de concert avec la Centrale de Renseignement afin d’effectuer la récupération pour les Etats-Unis de technologie extraterrestre et des entités qui sont susceptibles d’ arriver sur le territoire ou de tomber entre les mains de pouvoirs étrangers.
f) La création et la maintenance du secret absolu concernant toutes les opérations ci-dessus
Situation Actuelle
Il est admis dans la situation actuelle, et avec le peu de renseignements que nous avons, que ces objets et leurs constructeurs ne présentent pas une menace directe à la sécurité des Etats-Unis, malgré l'incertitude de leur motivation à venir sur terre. Il est certain que la technologie possédée par ces êtres surpasse de loin la connaissance de la science moderne, encore que leur présence ici semble bénigne, et qu’ils semblent éviter le contact avec notre espèce, du moins pour le moment. Plusieurs entités mortes ont été récupérées avec une quantité substantielle de matériel provenant de vaisseau crashés, qui sont tous maintenant à l'étude dans des zones diverses. Aucune tentative n'a été faite par des entités extraterrestres ou bien d’entrer en contact avec les autorités ou bien de récupérer leurs homologues mortes en provenance du vaisseau crashé, quand bien même l’un de ces crashs fût le résultat d’une action militaire directe. La menace la plus grande en ce moment résulte de l'acquisition et de l’étude d'une technologie très avancée par des pouvoirs étrangers et inamicaux envers les Etats-Unis. C’est pour cette raison que la récupération et l'étude de ce type de matériel par les Etats-Unis a une si haute priorité .
CHAPITRE 2 INTRODUCTION Section I. GÉNÉRAL
6. Portée
a) Ce manuel d'opérations est publié pour l'information et les conseils aux interressés. Il contient des renseignements sur la résolution, la documentation, le ramassage et la disposition de débris, des dispositifs d’un vaisseau et des occupants définis comme Technologie Extraterrestre ou Entités Biologiques Extraterrestres (EBEs) dans la Section II de ce chapitre.
b) L'annexe I contient une liste de références actuelles, incluant des manuels techniques et d'autres publications disponibles et applicables à ces opérations.
c) L'annexe II contient une liste de personnel que comprend le groupe Majestic 12.
7. Modèles et Rapports
Les modèles utilisés pour un compte rendu d’opération sont listés dans l'annexe I.a.
Section II DÉFINITION ET INFORMATIONS
8. Général
La technologie extraterrestre est définie comme suit :
a) Engin volant non fabriqué aux Etats-Unis ou dans n’importe quel pays étranger, incluant les engins expérimentaux militaires ou civils. Les engins de cette catégorie sont généralement appelés Objet volants non identifiés, ou OVNI ou UFOBS. De tels engins peuvent apparaître sous une ou plusieurs formes et configurations et montrer des caractéristiques de vol extraordinaires.
b) Objets et dispositifs d'origine inconnue ou fonctionnement, fabriqué par processus ou matériels non compatibles avec la technologie ou la connaissance scientifique actuelle.
c) Epave de n'importe quel engin volant supposé être d'origine ou de fabrication extraterrestre. Une telle épave peut être les résultats d'accidents ou d'action militaire.
d) Matériels qui montrent des caractéristiques peu communes ou extraordinaires non compatibles avec technologie ou la connaissance scientifique actuelle.
Les Entités Biologiques Extraterrestres (EBEs) sont décrites comme :
a) Des créatures, à l’aspect humanoïde ou autres, dont les processus évolutifs responsables de leur développement diffèrent de ceux postulés ou observés avec l’homo sapiens.
9. Description du Vaisseau
Les vaisseaux extraterrestres (UFOBs) sont classés dans l’une de quatre catégories suivantes cataloguées sous forme générale:
a) Elliptique, ou en forme de disque. Ce type de vaisseau est d’aspect métallique de couleur aluminium mat. Ils ont l'apparence de deux moules à tarte ou de plats peu profonds assemblés ensemble et peuvent avoir un dôme sur le haut ou sur le bas. Aucune soudure ou joint n’est visible sur la surface, donnant l'impression d’une construction faite d'une seule pièce. Le diamètre des disques est estimé de 50 à
300 pieds et l'épaisseur est approximativement de 15 pour cent par rapport au diamètre, le dôme non inclus, qui est lui de 30 pour cent par rapport au diamètre du disque et le prolonge de 4-6 pieds au-dessus du corps principal. Le dôme peut ou ne peut pas inclure de fenêtres ou orifices mais dans quelques cas des orifices sont présents autour de la jante inférieure du disque. La plupart des vaisseaux en forme de disque sont équipés de lumières sur le sommet et sur le fond ainsi qu’autour de la jante. Ces lumières ne sont pas visibles quand les vaisseaux sont au repos ou ne sont pas en fonctionnement. Il n'y a généralement aucune antenne visible ou saillie. Le mécanisme d'atterrissage consiste en trois pieds extensibles se terminant en bloc d’atterrissage circulaire. Quand il entièrement déployé ce mécanisme d'atterrissage soutient le corps principal à 2 ou 3 pieds au-dessus de la surface du point le plus bas. Une écoutille rectangulaire est placée le long de l'équateur ou sur la surface inférieure du disque.
b) Fuselage ou forme de cigare. Les rapports détaillés pour ce type de vaisseau sont extrêmement rares. Les comptes-rendus radar de l’Air Force indiquent qu'ils sont d’une longueur approximative de 2 mille pieds et de 95 pieds d’épaisseur et qu’apparemment qu’ils n’opèrent pas dans les couches basses de l'atmosphère. Très peu d'informations sont disponibles sur les performances de ce type de vaisseau, mais les comptes rendus radar ont indiqué des vitesses plus de 7000 milles par heure. Il ne semble pas qu’ils s’engagent dans des manœuvres violentes et excentriques associées avec les types de vaisseaux plus petits.
c) Ovoïde ou de forme circulaire. Ce type de vaisseau est décrit comme ayant la forme d’un cône de glace, arrondi vers la base et s'effilant presque comme un point vers le sommet. Leur longueur est approximativement de 30 à 40 pieds et la partie large est d’un diamètre d’environ 20 pour cent par rapport à la longueur. Il y a une lumière extrêmement brillante sur le partie pointue et ce vaisseau évolue habituellement la pointe dirigée vers le bas. Il peut apparaître sous n’importe quelle forme de rond à cylindrique, selon l'angle d'observation. L’observation de ce type de vaisseau paraît elliptique vu sur un angle incliné ou sur le côté.
d) Sustenté ou de forme triangulaire. On croit que ce vaisseau est de nouvelle technologie à cause de la rareté et des récentes observations. Le radar a indiqué un profil de triangle isocèle, le côté le plus long mesurant presque 300 pieds de long. Peu d’informations sont connues au sujet des performance de ce vaisseau dues à la rareté des observations, mais on le croit capable de haute vitesse et de manœuvres brusques semblables aux performances attribuée aux types "a" et "c".
10. Description des Entités Biologiques Extraterrestres (EBEs))
L'examen de restes récupérés d’épave d'UFOBS indiquent que les Entités Biologiques Extraterrestres peuvent être classifiées dans deux catégories distinctes comme suit :
a) Les EBEs Type I. Ces entités sont humanoïdes et pourraient être confondues, vues de loin avec des hommes de race orientale. Ils sont bipèdes, mesurant de 5-5 pieds 4 pouces de hauteur et pèsent de 80 à 100 livres. Proportionnellement ils sont semblables aux humains, bien que le crâne soit quelque peu plus grand et plus arrondi. La peau est de couleur jaune pâle crayeuse, épaisse et d’apparence légèrement grenelée. Les yeux sont petits, en forme d’amande, avec un iris brunâtre-noir et de très grandes pupilles. Le Blanc des yeux n’est pas comme celui des humains, mais d’une couleur de plâtre gris. Les oreilles sont petites et non positionnées en bas du crâne. Le nez est mince et long et la bouche est plus large que celle des humains et presque sans lèvres. Il n'y a aucune pilosité faciale et très peu de poils sur le corps, ceux-ci étant limités au aisselles et au secteur de l’aine. Le corps est mince et sans graisse apparente, mais les muscles sont bien développés. Les mains sont petites, avec quatre longs doigts, mais pas de pouce opposable. Le doigt extérieur est articulé de manière à être presque opposable et il n'y a aucune palmature entre les doigts comme chez les humains. Les jambes sont petites mais sensiblement arquées et les pieds sont quelque peu tournés en dehors et proportionnellement larges.
b. Type II. Ces entités sont de type humanoïde, mais diffèrent du Type 1 à bien des égards. Ils sont bipèdes, de 3 pieds 5 pouces à 4 pieds 2 pouces de hauteur et pèsent de 25 à 50 Livres. Proportionnellement, la tête est beaucoup plus grande que celle d'un humain ou de l'EBEs de Type 1, le crâne est beaucoup plus grand et allongé. Les yeux sont très grands, inclinés et enveloppent presque le côté du crâne. Les yeux sont noirs et sans blanc d'œil. Il n'y a aucune arrête de sourcil et le crâne se termine légèrement en pointe. Le nez consiste en deux petites fentes qui sont positionnées au-dessus de la bouche qui ressemble à une fente. Il n'y a aucune oreille externe. La peau est d’une couleur pâle, bleue grisâtre, un peu plus sombre dans le dos et très lisse. Il n'y a aucune pilosité sur le visage et le corps et ces créatures ne semblent pas être des mammifères. Les bras sont longs en proportion avec les jambes et les mains ont trois longs doigts effilés et un pouce qui est presque aussi long que les doigts. Le deuxième doigt est plus épais que les autres, mais pas autant que l'index. Les pieds sont petits et étroits et quatre orteils sont joints ensemble par une membrane.
On ne sait pas avec certitude d’ou sont originaires ces créatures mais il semble assuré qu’elles ne se sont pas développées sur Terre Il semblerait plutôt évident, bien qu’on en soit pas certain, qu'elles soient originaires de deux planètes différentes.
11. Description de La Technologie extraterrestre
Les informations suivantes proviennent de rapports d'analyse préliminaires concernant des sites de crashes et d’épaves extraterrestres rassemblés entre 1947-1953. Des extraits de ces rapports sont cités mot pour mot pour fournir des conseils comme le type et les caractéristiques du matériel que l'on pourrait être amené à rencontrer dans des opérations de récupérations futures.
a) L'analyse initiale des débris du site du crash semble indiquer que ces débris sont ceux d'un vaisseau extraterrestre qui a explosé et est entré en contact avec la Terre avec un grande violence, le détruisant complètement. Le volume des débris indique que le vaisseau était approximativement de la taille d'un avion moyen, bien que son poids indique que le vaisseau était extrêmement léger pour sa taille.
b) L'analyse métallurgique de la plus grande partie des débris récupérés indique que les échantillons sont composés de matériaux actuellement inconnus à la science Terrestre.
c) Le matériel testé possède une grande solidité ainsi qu’un résistance à la chaleur dans la proportion du poids et de la taille, et est beaucoup plus solide que n'importe quels matériaux employés dans l'aviation militaire ou civile.
d) Un grand nombre de matériaux, ayant l'apparence d’aluminium ou de feuille d'aluminium et magnésium, n’affichent les caractéristiques de l'un ou de l'autre métal, et ne ressemblent qu’à une sorte de plastique inconnu.
e) Des structures solides et de nombreuses poutrelles ayant une similitude en apparence avec un bois très dense sans grain, très légères et extensibles possédaient une force de compression impossible à obtenir par n'importe quel moyen connu dans l'industrie moderne.
f) Aucun des matériaux testés n’a montré des caractéristiques magnétiques ou de radiation résiduelle.
g) Plusieurs échantillons étaient gravés et estampés. Ces marques n'étaient pas aisément identifiables et le déchiffrement de leur signification est actuellement un échec.
h) L'examen de plusieurs dispositifs apparents mécaniques, mécanismes, etc.., n'a révélé peu ou rien de leur usage ou méthodes de fabrication.
CHAPITRE 3 OPÉRATIONS DE RECUPERATION
Section I. SÉCURITÉ
12. Black-out de la Presse
Un grand soin doit être pris pour préserver la sécurité de n'importe quel site où la Technologie Extraterrestre pourrait être récupérée pour l'étude scientifique. Des mesures extrêmes doivent être prises pour protéger et préserver n'importe quel matériel ou vaisseau de la découverte, l'examen ou le déplacement par des agences civiles ou des individus du grand public. Il est donc recommandé qu'un black out total de la presse soit exercé chaque fois que possible. Si cela n’était pas faisable, les histoires de « couverture » suivantes sont suggérées pour la presse. L'officier responsable agira rapidement pour choisir l’histoire la mieux adaptée à la situation.
On doit se rappeler, en choisissant une histoire, que pour la politique officielle, les OVNI n'existent pas.
a) Démenti officiel. La réponse la plus souhaitable serait que « rien n'est arrivé ».
En déclarant que le gouvernement n'a aucune connaissance de l'événement, une enquête complémentaire de la presse pourrait être empêchée.
b) Discrédit des Témoins. Dans la mesure du possible, les témoins seront tenus incommunicado jusqu’à ce que leur témoignage et leur participation soient déterminées. On découragera les témoins de parler de ce qu'ils ont vu et l'intimidation peut être nécessaire afin d'assurer leur coopération. Si les témoins sont déjà entrés en contact avec la presse, il sera nécessaire de discréditer leurs histoires. Cela peut être fait par l'affirmation qu'ils ont où bien mal interprété des événements naturels, ou sont les victimes d'hystérie et d’hallucinations, et sont des propagateurs de mystifications.
c) Fausses Déclarations. Il peut devenir nécessaire de publier des fausses déclarations pour préserver la sécurité du site. Des météores, des retombées de satellites, des ballons météorologiques et d'avion militaire sont toutes des alternatives acceptables, bien que dans le cas de déclaration de crash d'avion militaire un soin particulier doit être exercé pour ne pas suggérer que l'avion puisse être expérimental ou secret, cela pourrait éveiller plus de curiosité, et de la presse américaine et de la presse étrangère. Des déclarations concernant la contamination du secteur dues à des renversements de matières toxiques par des accidents de camions ou citernes de chemin de fer peuvent aussi servir pour tenir le personnel non autorisé ou indésirable loin du secteur.
La suite du dossier est ici
Des documents diagnostiqués faux par le FBI mais aussi par la plupart des ufologues, y compris ceux qui croient tout de même à l'existence d'un groupe équivalent. Etant donné l’état de délabrement total de la recherche ufologique, on peut s’interroger sur la légitimité de débattre de ces documents, contribuant à la décadence de l’Ufologie. Le milieu ufologique a définitivement mieux à faire, par l’exploration d’autres pistes, moins coûteuses, obscures ou malsaines. Le dossier majestic 12 ne peut apporter que du ridicule et du discrédit.
Vers 1984, une série de documents sont remontés à la surface, dont certains ufologues dirent qu'ils prouvaient que le Président Truman avait créé un comité top-secret en 1947, le Majestic-12, pour sécuriser la récupération de l'épave d'ovni de Roswell et de tout autre ovni qui se serait écrasé en vue d'une étude scientifique, et pour examiner tous les corps d'Aliens retrouvés sur de tels sites. La plupart, pour ne pas dire tous ces documents, se sont révélés être des fabrications. Cependant, la controverse persiste. Les " documents " du MJ 12 " sont des faux. Il s'agit d'une mystification. William Moore, lui-même, lors d'un congrès du MUFON, confirmera avoir été manipulé par des officiers de l'AFOSI ( le bureau d'enquêtes spéciales de l'armée de l'air ) et avoir manipulé, à son tour, certains ufologues. Tout cela est très significatif des arcanes de l'ufologie nord-américaine...
http://www.ovni.ch/~farfadet/Majestic12.html
http://rr0.org/science/crypto/ufo/enquete/dossier/MJDocs/index.html
Histoire des documents du MJ12
L'existence du document relatif au Majestic-12 a été révélée par William Moore lors du Symposium de Mufon Ufo Network, en juin 1987 à Washington D.C. A l'origine, cette pièce de huit pages était parvenue sous la forme d'une pellicule photographique dans une enveloppe de papier d'emballage au domicile de Jaime Shandera, producteur d'une station de télévision de Los Angeles, en décembre 1984. Deux ans plus tôt, Jaime Shandera s'était joint à William Moore et au physicien nucléaire Stanton Friedman pour effectuer un travail en équipe basé sur la recherche de documents officiels prouvant l'implication du gouvernement américain dans la dissimulation de la vérité en matière d'Ovnis.
En 1987, William Moore présente des dizaines de pages secrètes dactylographiées révélant l'existence d'un groupe occulte de 12 personnalités appelées MAJESTIC-12 ,créé en 1947 pour maintenir le contrôle et le secret sur les ovnis.
William Moore
Le 15 septembre 1988, la Police Fédérale et de contre-espionnage qui a pour alternatif d'enquêter sur toutes personnes possédant des documents secrets sans avoir l'accréditation adéquate, ouvre une enquête .
Le 30 novembre 1988, le bureau des investigations spéciales de l'US Air Force confirme au FBI que les documents sont des faux... Ces documents ont été envoyés à leur destinataire sur des pellicules photographiques de manière anonyme. Il fut donc impossible d’en analyser le papier ou l’encre d’origine ainsi que l’authenticité des signatures.
Le plus impressionnant des documents fut reçue plus tard en 1994 à destination de l’écrivain scientifique Don Berliner.
Ce manuel d'’opérations Spéciales du Comité Majestic-12 , constitué de 23 pages daté d’avril 1954 porte le sous-titre : " Entités et Matériel Extraterrestres, Récupération et Traitement ".
La totalité des documents transmit de manière anonyme sont considérés après plusieurs analyses comme faux, mais à l'image de la vidéo de roswell certains affirment le contraire.
Cette histoire Américaine a mobilisé de nombreux ufologues persuadés que les documents étaient une preuve indéniable de l'intérêt porté par l'état Américain aux ovnis. Le doute subsiste encore, partagé entre la volonté d'informer ou de manipuler le ou les auteurs de ces envoies restent inconnus.
Partisans et détracteurs analysent encore ces documents sans doute trop beaux mais surtout intrigant non par leur contenu ,mais par cette volontéà vouloir ridiculiser l'ufologie par des documents suspicieux.
Les lettres ummites, les documents MJ 12, le film de l'autopsie de roswell, les vrais fausses vidéos etc. Doivent interroger bon nombre de personnes avec cette question toute simple: Pourquoi et dans quel but?
Qu'elle est cette volonté ?
Discréditer les ovnis ou amener progressivement la population à prendre conscience de la réalité de cette présence. Tous ces documents européen et américain ont un but certainement beaucoup plus subtile qu'il n'y paraît.
50 ans de recherche des milliers de documents toujours envoyés de manière anonyme ou suspicieuse. Chaque document comporte une forme de preuve tout en laissant dans chaque cas une large ouverture au canular facilement démontrable. Ces hommes et femmes qui ont épluché ces documents sont loin d'êtres stupides ou paranos. Il est évident que chaque pièce fournis sur n'importe quel support sera étudié dans tous les détails. Dans chaque cas étudié les analyses ont démontré un avis partagé, tous ces documents sont en fin de compte très important mais ne sont pas considérés comme preuve.
On pourrait tout simplement les appeler des vrai/faux.
Laisser des traces de supercherie amènent un comportement partagé, les uns croiront ouvertement ce qu'ils ont sous les yeux, les autres s'accorderont à dévoiler ouvertement avec fierté le canular découvert, pour en arriver en fin de compte à la dérision de l'ensemble de cette recherche.
Une autre hypothèse envisagé est la volonté derrière ces documents de vouloir familiariser la population à accepter la réalité du phénomène et pourquoi pas la présence d'extra terrestre.
Afin de mieux comprendre le contenu voici une traduction française de Mr Patrick Rouilly que je remercie au passage.
Nom du document : "Le Majestic-12 Group Spécial Opérations Manual»
Nombre de pages : 23 pages
Date : Avril 1954
Reçu par : Don Berliner, 1994
Ce document vise à donner aux équipes d’intervention les instructions nécessaires pour une opération de récupération d’OVNI et ses occupants.
Voici ce qui ressort des différentes analyses :
1) Le document reçu par Don Berliner ne semble pas complet.
2) Ce manuel de terrain n'a aucune raison de contenir un historique des ovnis ou des informations sur leur détection radar .
3) La désignation "Eyes Only" est une procédure de communication, pas une classification de sécurité.
4) Le numéro de contrôle du "Top Secret" ne figure pas sur le document, cela constitue une violation du règlement.
5) La désignation TO 12D1-3-11-1 n’est expliquée nulle part dans le manuel.
D’autre part même si des suspicions aussi flagrantes et facilement détectables peuvent amener à des conclusions de manipulations ou canulars ,il est évident qu'elles pouvaient être facilement évitées ,mais plus subtilement encore ouvertement laissée.
Mais là c'est à vous de juger !
http://photovni.free.fr/html/majestic.htm
Les documents du MJ-12 sont-ils des faux ?
Les documents du MJ12 (Majestic 12) ont séduit de nombreux chercheurs et ufologues, avant d'apparaître comme des faux habiles dépassant les limites du canular ou de l'action individuelle. Ainsi, sur un prétendu mémo adressé par le président Truman au général Twining est reproduite la signature du président, empruntée à un vrai document. Un tel détail ne saute pas immédiatement aux yeux, mais est voué à être découvert tôt ou tard... Le doute est donc jeté. Puisqu'un cachet officiel, un en-tête administratif ou la signature d'un président de l'Etat était devenu une preuve de l'implication des autorités américaines dans le dossier OVNI, il fallait déconsidérer ceux-ci et jeter le trouble en répandant le FAUX.
Ce document se compose de deux éléments totalement différents. Sept pages relatives au "Majestic-12" et un mémorandum d'une page signée par le président Harry Truman adressé à James Forrestal, en date du 24 septembre 1947, relatif à une opération du "Majestic-12". Si la signature du président Truman est authentique, les sept page sont l'oeuvre d'un habile faussaire. Cette fraude visait deux buts, discréditer les affaires de crashes d'Ovnis et ridiculiser l'équipe Moore - Friedman - Shandera.
La présence du Dr Donald Menzel dans la liste des douze membres du "Majestic-12" sur le document pourrait constituer un élément probant pour indiquer que la fabrication vient d'une agence de sécurité. Le Dr Donald Menzel était un astrophysicien de haut niveau, qui eut l'occasion de travailler pour plusieurs agences de sécurités et l'USAF, il travailla pour l'US Navy durant la Deuxième Guerre mondiale en comme cryptographe. Il publia son premier livre "Flying Saucers" en 1953 où il expliquait que les soucoupes volantes était un phénomène optique associé à des mirages. Il fit de fréquent déplacements à Washington D.C. et au Nouveau-Mexique entre 1947 et 1949 pour des missions gouvernementales. Des traces de ses voyages sont dans ses notes de frais, disponibles à la bibliothèque de Harvard College Observatory. Dans les archives nous trouvons des correspondances de Menzel avec des hommes puissants, tel que John Fitzgerald Kennedy. Le Dr Donald Menzel était sans aucun doute un agent au service du gouvernement et il fut impliqué au niveau le plus élevé des secrets d'Etat! Sa présence dans un éventuel groupe secret dévolu aux problèmes des OVNI n'est absolument pas fantaisite et nous comprenons mieux pourquoi le Dr Menzel publia trois livres destinés à banaliser les OVNI.
Lorsque Jaime Shandera prit connaissance du contenu de la pellicule, en décembre 1984, il contacta ses deux associés. Ils décidèrent de commencer une recherche auprès des Archives Nationales à Washington, où sont centralisés les dossiers périmés de l'administraion américaine. En 1985, Bill Moore mit la main sur le mémo Curler datant du 14 juillet 1954, un mémorandum de sécurité limitée d"estiné au général Twining dont le sujet est "Projet d'études spéciales NCS/MJ-12". Dans ce mémo, le président décide d'avancer une réunion du MJ-12. A l'époque, le général Twining était devenu le chef de l'USAF. En 1947, au moment du crash de Roswell (Nouveau-Mexique), il était déjà le patron de l'Air Materiel Command, l'organisme qui dirige tous les services de renseignements de l'USAF.
Analyse linguistique
Longtemps considérés comme des preuves plausibles par les ufologues et les théoriciens de la conspiration, les documents top-secrets qui auraient été écrits par des officiers gouvernementaux et militaires de haut rang, incluant trois présidents US et dévoilés au public au début des années 80, ont été jugés comme étant des faux par une analyse linguistique.
Ces documents, nommés The Majestic Documents par les chercheurs, contiennent des références au crash allégué d’une soucoupe volante près de Roswell au Nouveau Mexique en juillet 1947. Des références à la technologie extraterrestre et aux corps retrouvés y figurent également. Les dates de ces papiers vont de 1942 jusqu’aux années 1990.
Les documents Majectic auraient été écrits par les membres d’un groupe top secrète (MJ-12) mis en place sous la présidence de Truman et dont le but était de s’occupper du crash d’un véhicule extraterrestre près de la ville de Roswell. Les documents incluent des memos écrits par le président Truman, l’amiral Roscoe Hillenkoetter, qui deviendra le premier directeur de la CIA, le Dr. Vanneva Bush, qui présidait le OSRD (Office of Scientific Research and Development) et le général Nathan Twining, à la tête du Air Materiel Command à la base de Wright-Patterson, où les débris ont été transportés. On trouve également des memos qui auraient été écrits par les présidents Eisenhower et Kennedy.
Les documents ont été analysés par le Dr. Carol Chaski, de Georgetown, DE. engagée par le Dr. Michael Heiser, un chercheur étudiant les textes bibliques, avec un intérêt pour le phénomène OVNI. Le Dr. Chaski est un expert en liguistique spécialisé dans la reconnaissance d’auteur, une discipline qui utilise l’informatique pour extraire et définir des modèles de styles d’écriture pour un auteur donné - une “emprunte linguistique”. Le Dr. Chaski a crée son propre logiciel de reconnaissance, ALIAS, utilisé pour ce genre de tests. Elle est aujourd’hui présidente de la société ALIAS Technology LLC. Parmi les modèles de styles detectés par le programme du Dr. Chaski on trouve les structures de phrases, l’ordre des mots et l’utilisation de la ponctuation.
Un total de 17 documents, qui auraient été écrits pas 9 auteurs différents, ont été testés. Le Dr. Heiser a saisi les textes des documents Majestic ainsi qu’une selection de documents de référence dont l’origine est irréfutable. Sur les 17 documents testés, seul un seul a pu être identifié comme ayant effectivement comme auteur celui annoncé.
Selon Heiser : “Il serait illusoire pour quiconque de baser des allégations sur l'existence d’un crash extraterrestre à Roswell sur ces documents; il ne résistent pas aux dernières analyses scientifiques.”
Une copie complète du rapport sur les procédures de tests et les résultats peut être obtenue sur : http://www.mj12documents.com
Récemment nommé parmi les 100 personnes les plus influentes de l’ufologie par le magazine Fate, Michael S. Heiser, Ph. D est diplomé d’un Ph. D de l’université de Wisconsin-Madison et d’un M.A. de l’université de Pennsylvanie. Dr Heiser a enseigné à l’université pendant plus de 12 ans et porte un grand intérêt au phénomène OVNI, au paranormal et à l’occulte. Il est également l’auteur de The Facade.
source : PR Web (via UFO Updates)
MAJ 25/07/2007 : Une remarque intéressante de David Rudiak sur ce message de la liste UFO Updates :
“Ce qui a été démontré c’est que la plupart des documents n’ont pas été écrits par la personne dont la signature figurait en bas du document. Cela ne signifie pas nécessairement que les documents sont frauduleux, car les memos sont souvent préparés par des subordonnés, puis signés par leurs supérieurs.
[...] Ca arrive tout le temps dans le gouvernement ou dans les entreprises, etc. Les dirigeants écrivent rarement leurs propres documents. [...]
Il se pourrait aussi que certains des documents de contrôle “irréfutables” aient aussi été écrits par une autre personne, pour les mêmes raisons, alors que les documents testés ont eux véritablement été écrits par le signataire.”
MAJ 26/07/2007 :
Les voix commencent à s’élever contre les allégations de Heiser. Sur UFOMystic on peut lire ces mots de Ryan Wood :
“Heiser a récemment payé plusieurs milliers de dollars au Dr. Carol Chaski pour l’examen de seulement 11 pages (soit 5000 mots) sur les 3500 pages que comptent les documents du MJ-12 récoltés depuis 1984. Malgré les résultats de Chaski qui montrent qu’au moins une des pages était véritablement écrite par l’auteur présumé, Heiser a donné comme conclusion que tous les documents du MJ-12 étaient frauduleux.
Les allégations de Heiser ont attiré l’attention sur la campagne marketing pour son livre, publié sans grand retentissement en 2004 et relancé aujourd’hui sur Internet au côté de ses “révélations” sur la fraude des documents du MJ-12.”
Ryan Wood, Robert Wood et Stanton Friedman ont publié des recherches approfondies sur les Documents du MJ-12, parmi lesquel certains ont été retrouvés dans les archives nationales (National Archives and Records Administration)
Selon Wood : “Le domaine de l’autentification de documents est très ancien, il focalise la recherche sur plusieurs vecteurs d’autenticité, le type d’encre, de papier, la chronologie (temps et espace), la chirographie, typographie, provenance, contenu et anachronismes. Les résultats promus par Heiser proviennent de la méthode que les experts en autentification jugent comme l’une des moins précises.”
A ce jour, précise Wood “aucune preuve crédible n’est venu remettre en cause l’autenticité du Special Operations Manual: Extraterrestrial Entities Technology Recovery and Disposal d’avril 1954; des documents de briefing d’Eisenhower de novembre 1952; du White Hot Report de septembre 1947; ou du Interplanetary Phenomenon Unit Counter Intelligence Report du 22 juillet 1947
http://photovni.free.fr/majestic12/index.htm
Consulter les documents
Vous trouverez ces documents sur ces pages:
http://photovni.free.fr/document mj12/doc mj12.htm
TRADUCTION :MR PATRICK ROUILLY
BRIEFING DE DOCUMENT : OPÉRATION MAJESTIC 12
PRÉPARÉ POUR LE PRÉSIDENT ELU DWIGHT D. EISENHOWER : (EYES ONLY)
18 novembre, 1952
AVERTISSEMENT Ceci est un document TOP SECRET – EYES ONLY contenant des informations compartimentées essentielles pour la sécurité nationale des Etats-Unis. EYES ONLY ACCESS à ce document est strictement limité à ceux possédant le niveau d’autorisation Majectic-12. La reproduction par quelque forme que ce soit ou la prise d'écrit ou de notes mécaniquement transcrites sont strictement interdites.
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SUJET : OPÉRATION MAJESTIC-12 BRIEFING PRÉLIMINAIRE POUR LE PRÉSIDENT ELU EISENHOWER.
DOCUMENT PRÉPARÉ le 18 NOVEMBRE, 1952.
OFFICIER DE BRIEFING: ADM. ROSCOE H. HILLENKOETTER (MJ-1)
NOTE : Ce document a été préparé seulement comme briefing préliminaire. Il doit être considéré comme une introduction à des opérations complètes de briefing prévues comme suit.
******
OPÉRATION MAJESTIC-12 est une opération TOP SECRET d’Informations et de renseignements responsable directement et seulement auprès du Président des Etats-Unis. La gestion du projet est effectuée sous le contrôle du Majestic-12 (Majic-12), Groupe qui a été créé selon ordre exécutif spécial classifié du Président Truman le 24 septembre, 1947, sous la recommandation du docteur Vannevar Bush et du Secrétaire James Forrestal. (Voir document joint « A ») les Membres du Groupe Majestic-12 sont désignés comme suit :
Adm. Roscoe H. Hillenkoetter
Docteur Vannevar Bush
Secy. James V. Forrestal*
Général Nathan F. Volubile
Général Hoyt S. Vandenberg
Docteur Jerome Hunsaker
M. Sidney W. Souers
M. Gordon Gray
Docteur Donald Menze
Général Robert M. Montague
Docteur Lloyd V. Berkner
La mort de Secrétaire Forrestal le 22 mai, 1949, a créé un poste vacant jusqu’au jusqu'au 01 août, 1950, date à laquelle le général Walter B. Smith a été nommé remplaçant permanent
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Le 24 juin, 1947 un pilote civil volant au-dessus de Cascade Mountains dans l’Etat de Washington a observé neuf engins volant en formation à très haute vitesse, ayant l’aspect de disques. Bien que ce ne soit pas la première observation connue de tels objets, il fût le premier à attirer l'attention dans les médias. Des centaines de rapports d’observations relatifs à des objets semblables ont suivi. Beaucoup d'entre eux vinrent de sources militaires et civiles fortement crédibles. Ces rapports ont abouti à des efforts indépendants de plusieurs sources militaires afin de vérifier la nature et le but de ces objets dans l’intérêt de la défense nationale. Certains témoins ont été entendus et plusieurs tentatives d’interception de ces disques en vol ont échoué. La réaction publique a avoisiné de temps en temps l'hystérie
Malgré ces efforts, peu d’informations furent apprises au sujet de ces objets avant qu'un propriétaire d'un ranch local n'ait annoncé que l’un d’eux s’était crashé dans une région éloignée du Nouveau Mexique située approximativement à soixante-quinze milles au Nord-Ouest de Base aérienne de Roswell (maintenant Walker Field)
Le 07 juillet, 1947, une opération secrète a été entreprise pour assurer la récupération de l'épave de cet objet pour étude scientifique. Durant l’opération, une reconnaissance aérienne à découvert que quatre petits êtres ressemblant à des humains avaient été apparemment éjectés du vaisseau quelques instants avant qu’il n’explose.
Ceux ci étaient tombés à environ deux milles à l'Est du site de l’épave. Tous quatre étaient mort et horriblement décomposés par l'action des prédateurs et l'exposition aux éléments depuis une semaine environ avant leur découverte. Une équipe scientifique spéciale a pris en charge l’enlèvement des corps pour l'étude. (Voir Document Joint "C".); L'épave du vaisseau a aussi été récupérée et dispatchée dans plusieurs emplacements différents. (Voir Document Joint "B".). Les témoins civils et militaires du secteur ont été débriefés et une histoire de couverture a été donnée à la presse concernant un ballon de recherche météorologique.
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Un effort analytique secret organisé par le général Twining et le Dr Bush sous les ordres directs du Président, a abouti à un consensus préliminaire (le 19 septembre, 1947) faisant ressortir que le disque était probablement un vaisseau de reconnaissance de courte action. Cette conclusion était basée en grande partie sur la taille du vaisseau et le manque apparent d’un quelconque ravitaillement identifiable. (Voir Document Joint "D".).Une analyse similaire des quatre occupants morts fût effectuée par le docteur Bronk. Ce fût la conclusion provisoire de ce groupe (30November, 1947) et bien que ces créatures soient d’apparence humaine, les processus biologiques et évolutionnaires responsables de leur développement ont apparemment tout à fait différés de ceux observés ou postulés chez l’homo sapiens. L'équipe de docteur Bronk a suggéré que le terme "Entités Biologiques Extraterrestres" ou "EBEs", soit adopté comme le terme standard de référence pour ces créatures jusqu'à ce qu'une désignation plus définitive soit convenue.
Puisqu'il est pratiquement certain que ce vaisseau ne provient d'aucun pays sur la terre, une supposition importante s'est concentrée autour de ce que pourrait être leur lieu d'origine. La planète Mars était et reste une possibilité, bien que quelques scientifiques, et plus spécialement le docteur Menzel, considère plus probablement que ces êtres viennent d'un autre système solaire.
Les nombreux exemples de ce que semble être une forme d'écriture ont été trouvés dans l'épave. Les efforts de déchiffrage ont en grande partie échoués. (Voir Document Joint "E".)
Ont également échoués les efforts de détermination de la méthode de propulsion ou la nature ou la méthode de transmission de la source d'énergie impliquée. La recherche a été compliquée par l'absence complète d'ailes identifiables, de propulseurs, de réacteurs ou d'autres méthodes conventionnelles de câbles, de tubes à vide ou de composants électroniques reconnaissables. (Voir Document Joint "F".) Il est présumé que l'unité de propulsion a été complètement détruite par l'explosion qui a causé l'accident.
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Un besoin d'un nombre important d'informations complémentaires sont nécessaires au sujet de ces vaisseaux, les caractéristiques de leurs performances et leur but conduisit à la prise du projet connu comme U.S. AIR FORCE Project SIGN en décembre, 1947. Pour préserver la sécurité, la liaison entre SIGN et Majestic-12 a été limitée à deux individus à l'intérieur de Intelligence Division of Air Matériel Command dont le rôle était de faire passer certains types d'information par différents canaux. SIGN évolua en Projet GRUDGE en décembre, 1948. L'opération est actuellement conduite sous le nom de code BLUE BOOK, avec liaison maintenue par l'intermédiaire d'un officier de l'Armée de l'air qui est le chef du projet.
Le 06 décembre, 1950, un deuxième objet, probablement d'origine semblable, se crasha sur la terre à haute vitesse dans le secteur de El-Indio-Guerrero à la frontière entre le Texas et le Mexique après avoir parcouru une longue distance dans l'atmosphère. Pendant ce temps une équipe de recherche arriva, mais ce qui restait de l'objet était presque complètement incinéré. Le matériel qui a pu être récupéré fût transporté dans la base de A.E.C à Sandia, Nouveau Mexique, pour étude.
Les implications pour la Sécurité nationale sont d'une continuelle importance en ce qui concerne les motifs et les intentions finales de ces visiteurs qui restent complètement inconnus. De plus, une augmentation significative de l'activité de surveillance de ces vaisseaux a commencé en mai et a continué jusqu'à l'automne de cette année causant une inquiétude considérable sur de nouveaux événements qui peuvent être imminents. C'est pour ces raisons, aussi bien que des considérations internationales évidentes et technologiques et le besoin final d'éviter une panique générale à tout prix, que le groupe Majestic-12 reste d'un avis unanime, que les mesures de précaution et de sécurité les plus strictes doivent continuer sans interruption dans la nouvelle administration. En même temps, le plan d'éventualité MJ-1949-04P/78 (Top Secret – Eyes Only) doit être maintenu en étant prêt à faire une révélation publique. (Voir Document Joint"G".)
Document majestic 12
Traduction française par MR PATRICK ROUILLY
ENTITÉS EXTRATERRESTRES ET TECHNOLOGIE, RECUPERATION ET ENLEVEMENT
AVERTISSEMENT! Ceci est un document TOP SECRET - MAJIC EYES ONLY contenant des informations essentielles classifiées pour la Sécurité Nationale des Etats-Unis. L'accès aux documentations EYES ONLY est strictement limité au personnel possédant un niveau d'autorisation MAJIC - 12. L'examen ou l'utilisation par du personnel non autorisé est strictement interdit et est punissable selon la loi fédérale.
CHAPITRE 1 OPERATION MAJESTIC 12
Paragraphes
Page
Section . I But du projet et cibles
CHAPITRE 2 INTRODUCTION
Section I Général
section II Définition et données
CHAPITRE 3 OPERATIONS DE RECUPERATION
Section I. sécurité
Section II Récupération de technologie
CHAPITRE 4 RECEPTION ET MANIPULATION
Section I Traitement à réception du matériel
CHAPITRE 5 ENTITES BIOLOGIQUES
EXTRATERRESTRES
Section I Organismes vivants
Section II Organismes non vivants
CHAPITRE 6 GUIDE D’IDENTIFICATION DES OVNI
Section I Ovni Guide
Section II Critère d’identification
Section III Origines possibles
Appendice I Référence
Appendice II
Majic 12 personnel
Appendice III PHOTOGRAPHIES
Section I BUT DU PROJET ET CIBLES
1. Portée
Ce manuel a été préparé spécialement pour les unités Majestic 12. Son but est de présenter tous les aspects du Majestic 12, ainsi le personnel autorisé aura une meilleure compréhension des buts du Groupe et sera capable de traiter du sujet des OVNI, de la technologie extraterrestre et des entités avec plus d’expérience, afin d’augmenter leur efficacité dans des opérations futures
2. Général
Le MJ 12 prend le sujet des OVNI, la technologie extraterrestre et les entités biologiques extraterrestres très au sérieux et considère le sujet global comme une question de sécurité nationale de la plus haute importance. C'est pourquoi tout ce qui touche à ce sujet a été assigné à la classification de sécurité la plus haute. Trois points principaux seront couverts dans cette section
a) L'aspect général du MJ12 pour éclaircir toutes les idées fausses que tout à chacun peut avoir.
b) L'importance de l'opération
c) La nécessité du secret absolu dans toutes les phases des opérations
3. Sécurité Classification
Toute l'information touchant MJ12 a été classifiée MAJIC EYES ONLY et comporte un niveau de sécurité de niveau 2 au-dessus de TOP SECRET. Les raisons de ceci sont les conséquences qui pourraient surgir non seulement de l'impact sur le public de l'existence d’un tel sujet et que celui-ci vienne à la connaissance de tous, mais aussi du danger qu’une technologie avancée récupérée par l’Air Force tombe entre les mains de pouvoirs étrangers inamicaux. Aucune information n’a été révélée à la presse et la position officielle du gouvernement est qu'aucun groupe spécial comme MJ12 n'existe.
Histoire du Groupe
L'opération Majestic12 fût crée selon Ordre Présidentiel Spécial Classifié le 24 septembre 1947 avec la recommandation du Ministre de la Défense nationale James V. Forrestal et du Docteur Vannevar Bush, Président du Conseil de Recherche. Les opérations sont effectuées par un Groupe de Recherche et de Développement Top secret – Groupe de Renseignements directement responsable seulement auprès du Président des Etats-Unis. Les buts du Groupe MJ12 sont les suivants :
a) La récupération pour l'étude scientifique de tous les matériels et dispositifs de fabrication étrangère ou extraterrestre qui peuvent devenir disponibles. Un tel matériel et ces dispositifs seront récupérés par n’importe quels moyens et considérés nécessaire au Groupe.
b) La récupération pour l'étude scientifique de toutes les entités et restes d'entités d'origine non terrestre qui peuvent devenir disponibles au travers d'actions volontaires de ces entités ou par accident ou action militaire.
c) La création et l’administration d'équipes Spéciales pour accomplir les susdites opérations.
d) La création et l’administration d'équipements spéciaux sûrs placés à des emplacements secrets à l’intérieur des frontières continentales des Etats Unis pour la réception, le traitement, l’analyse et l’étude scientifique de n’importe quel matériel et entités classés comme étant origine extraterrestre par le Groupe des Équipes Spéciales.
e) La création et l'administration d'opérations secrètes qui seront effectuées de concert avec la Centrale de Renseignement afin d’effectuer la récupération pour les Etats-Unis de technologie extraterrestre et des entités qui sont susceptibles d’ arriver sur le territoire ou de tomber entre les mains de pouvoirs étrangers.
f) La création et la maintenance du secret absolu concernant toutes les opérations ci-dessus
Situation Actuelle
Il est admis dans la situation actuelle, et avec le peu de renseignements que nous avons, que ces objets et leurs constructeurs ne présentent pas une menace directe à la sécurité des Etats-Unis, malgré l'incertitude de leur motivation à venir sur terre. Il est certain que la technologie possédée par ces êtres surpasse de loin la connaissance de la science moderne, encore que leur présence ici semble bénigne, et qu’ils semblent éviter le contact avec notre espèce, du moins pour le moment. Plusieurs entités mortes ont été récupérées avec une quantité substantielle de matériel provenant de vaisseau crashés, qui sont tous maintenant à l'étude dans des zones diverses. Aucune tentative n'a été faite par des entités extraterrestres ou bien d’entrer en contact avec les autorités ou bien de récupérer leurs homologues mortes en provenance du vaisseau crashé, quand bien même l’un de ces crashs fût le résultat d’une action militaire directe. La menace la plus grande en ce moment résulte de l'acquisition et de l’étude d'une technologie très avancée par des pouvoirs étrangers et inamicaux envers les Etats-Unis. C’est pour cette raison que la récupération et l'étude de ce type de matériel par les Etats-Unis a une si haute priorité .
CHAPITRE 2 INTRODUCTION Section I. GÉNÉRAL
6. Portée
a) Ce manuel d'opérations est publié pour l'information et les conseils aux interressés. Il contient des renseignements sur la résolution, la documentation, le ramassage et la disposition de débris, des dispositifs d’un vaisseau et des occupants définis comme Technologie Extraterrestre ou Entités Biologiques Extraterrestres (EBEs) dans la Section II de ce chapitre.
b) L'annexe I contient une liste de références actuelles, incluant des manuels techniques et d'autres publications disponibles et applicables à ces opérations.
c) L'annexe II contient une liste de personnel que comprend le groupe Majestic 12.
7. Modèles et Rapports
Les modèles utilisés pour un compte rendu d’opération sont listés dans l'annexe I.a.
Section II DÉFINITION ET INFORMATIONS
8. Général
La technologie extraterrestre est définie comme suit :
a) Engin volant non fabriqué aux Etats-Unis ou dans n’importe quel pays étranger, incluant les engins expérimentaux militaires ou civils. Les engins de cette catégorie sont généralement appelés Objet volants non identifiés, ou OVNI ou UFOBS. De tels engins peuvent apparaître sous une ou plusieurs formes et configurations et montrer des caractéristiques de vol extraordinaires.
b) Objets et dispositifs d'origine inconnue ou fonctionnement, fabriqué par processus ou matériels non compatibles avec la technologie ou la connaissance scientifique actuelle.
c) Epave de n'importe quel engin volant supposé être d'origine ou de fabrication extraterrestre. Une telle épave peut être les résultats d'accidents ou d'action militaire.
d) Matériels qui montrent des caractéristiques peu communes ou extraordinaires non compatibles avec technologie ou la connaissance scientifique actuelle.
Les Entités Biologiques Extraterrestres (EBEs) sont décrites comme :
a) Des créatures, à l’aspect humanoïde ou autres, dont les processus évolutifs responsables de leur développement diffèrent de ceux postulés ou observés avec l’homo sapiens.
9. Description du Vaisseau
Les vaisseaux extraterrestres (UFOBs) sont classés dans l’une de quatre catégories suivantes cataloguées sous forme générale:
a) Elliptique, ou en forme de disque. Ce type de vaisseau est d’aspect métallique de couleur aluminium mat. Ils ont l'apparence de deux moules à tarte ou de plats peu profonds assemblés ensemble et peuvent avoir un dôme sur le haut ou sur le bas. Aucune soudure ou joint n’est visible sur la surface, donnant l'impression d’une construction faite d'une seule pièce. Le diamètre des disques est estimé de 50 à
300 pieds et l'épaisseur est approximativement de 15 pour cent par rapport au diamètre, le dôme non inclus, qui est lui de 30 pour cent par rapport au diamètre du disque et le prolonge de 4-6 pieds au-dessus du corps principal. Le dôme peut ou ne peut pas inclure de fenêtres ou orifices mais dans quelques cas des orifices sont présents autour de la jante inférieure du disque. La plupart des vaisseaux en forme de disque sont équipés de lumières sur le sommet et sur le fond ainsi qu’autour de la jante. Ces lumières ne sont pas visibles quand les vaisseaux sont au repos ou ne sont pas en fonctionnement. Il n'y a généralement aucune antenne visible ou saillie. Le mécanisme d'atterrissage consiste en trois pieds extensibles se terminant en bloc d’atterrissage circulaire. Quand il entièrement déployé ce mécanisme d'atterrissage soutient le corps principal à 2 ou 3 pieds au-dessus de la surface du point le plus bas. Une écoutille rectangulaire est placée le long de l'équateur ou sur la surface inférieure du disque.
b) Fuselage ou forme de cigare. Les rapports détaillés pour ce type de vaisseau sont extrêmement rares. Les comptes-rendus radar de l’Air Force indiquent qu'ils sont d’une longueur approximative de 2 mille pieds et de 95 pieds d’épaisseur et qu’apparemment qu’ils n’opèrent pas dans les couches basses de l'atmosphère. Très peu d'informations sont disponibles sur les performances de ce type de vaisseau, mais les comptes rendus radar ont indiqué des vitesses plus de 7000 milles par heure. Il ne semble pas qu’ils s’engagent dans des manœuvres violentes et excentriques associées avec les types de vaisseaux plus petits.
c) Ovoïde ou de forme circulaire. Ce type de vaisseau est décrit comme ayant la forme d’un cône de glace, arrondi vers la base et s'effilant presque comme un point vers le sommet. Leur longueur est approximativement de 30 à 40 pieds et la partie large est d’un diamètre d’environ 20 pour cent par rapport à la longueur. Il y a une lumière extrêmement brillante sur le partie pointue et ce vaisseau évolue habituellement la pointe dirigée vers le bas. Il peut apparaître sous n’importe quelle forme de rond à cylindrique, selon l'angle d'observation. L’observation de ce type de vaisseau paraît elliptique vu sur un angle incliné ou sur le côté.
d) Sustenté ou de forme triangulaire. On croit que ce vaisseau est de nouvelle technologie à cause de la rareté et des récentes observations. Le radar a indiqué un profil de triangle isocèle, le côté le plus long mesurant presque 300 pieds de long. Peu d’informations sont connues au sujet des performance de ce vaisseau dues à la rareté des observations, mais on le croit capable de haute vitesse et de manœuvres brusques semblables aux performances attribuée aux types "a" et "c".
10. Description des Entités Biologiques Extraterrestres (EBEs))
L'examen de restes récupérés d’épave d'UFOBS indiquent que les Entités Biologiques Extraterrestres peuvent être classifiées dans deux catégories distinctes comme suit :
a) Les EBEs Type I. Ces entités sont humanoïdes et pourraient être confondues, vues de loin avec des hommes de race orientale. Ils sont bipèdes, mesurant de 5-5 pieds 4 pouces de hauteur et pèsent de 80 à 100 livres. Proportionnellement ils sont semblables aux humains, bien que le crâne soit quelque peu plus grand et plus arrondi. La peau est de couleur jaune pâle crayeuse, épaisse et d’apparence légèrement grenelée. Les yeux sont petits, en forme d’amande, avec un iris brunâtre-noir et de très grandes pupilles. Le Blanc des yeux n’est pas comme celui des humains, mais d’une couleur de plâtre gris. Les oreilles sont petites et non positionnées en bas du crâne. Le nez est mince et long et la bouche est plus large que celle des humains et presque sans lèvres. Il n'y a aucune pilosité faciale et très peu de poils sur le corps, ceux-ci étant limités au aisselles et au secteur de l’aine. Le corps est mince et sans graisse apparente, mais les muscles sont bien développés. Les mains sont petites, avec quatre longs doigts, mais pas de pouce opposable. Le doigt extérieur est articulé de manière à être presque opposable et il n'y a aucune palmature entre les doigts comme chez les humains. Les jambes sont petites mais sensiblement arquées et les pieds sont quelque peu tournés en dehors et proportionnellement larges.
b. Type II. Ces entités sont de type humanoïde, mais diffèrent du Type 1 à bien des égards. Ils sont bipèdes, de 3 pieds 5 pouces à 4 pieds 2 pouces de hauteur et pèsent de 25 à 50 Livres. Proportionnellement, la tête est beaucoup plus grande que celle d'un humain ou de l'EBEs de Type 1, le crâne est beaucoup plus grand et allongé. Les yeux sont très grands, inclinés et enveloppent presque le côté du crâne. Les yeux sont noirs et sans blanc d'œil. Il n'y a aucune arrête de sourcil et le crâne se termine légèrement en pointe. Le nez consiste en deux petites fentes qui sont positionnées au-dessus de la bouche qui ressemble à une fente. Il n'y a aucune oreille externe. La peau est d’une couleur pâle, bleue grisâtre, un peu plus sombre dans le dos et très lisse. Il n'y a aucune pilosité sur le visage et le corps et ces créatures ne semblent pas être des mammifères. Les bras sont longs en proportion avec les jambes et les mains ont trois longs doigts effilés et un pouce qui est presque aussi long que les doigts. Le deuxième doigt est plus épais que les autres, mais pas autant que l'index. Les pieds sont petits et étroits et quatre orteils sont joints ensemble par une membrane.
On ne sait pas avec certitude d’ou sont originaires ces créatures mais il semble assuré qu’elles ne se sont pas développées sur Terre Il semblerait plutôt évident, bien qu’on en soit pas certain, qu'elles soient originaires de deux planètes différentes.
11. Description de La Technologie extraterrestre
Les informations suivantes proviennent de rapports d'analyse préliminaires concernant des sites de crashes et d’épaves extraterrestres rassemblés entre 1947-1953. Des extraits de ces rapports sont cités mot pour mot pour fournir des conseils comme le type et les caractéristiques du matériel que l'on pourrait être amené à rencontrer dans des opérations de récupérations futures.
a) L'analyse initiale des débris du site du crash semble indiquer que ces débris sont ceux d'un vaisseau extraterrestre qui a explosé et est entré en contact avec la Terre avec un grande violence, le détruisant complètement. Le volume des débris indique que le vaisseau était approximativement de la taille d'un avion moyen, bien que son poids indique que le vaisseau était extrêmement léger pour sa taille.
b) L'analyse métallurgique de la plus grande partie des débris récupérés indique que les échantillons sont composés de matériaux actuellement inconnus à la science Terrestre.
c) Le matériel testé possède une grande solidité ainsi qu’un résistance à la chaleur dans la proportion du poids et de la taille, et est beaucoup plus solide que n'importe quels matériaux employés dans l'aviation militaire ou civile.
d) Un grand nombre de matériaux, ayant l'apparence d’aluminium ou de feuille d'aluminium et magnésium, n’affichent les caractéristiques de l'un ou de l'autre métal, et ne ressemblent qu’à une sorte de plastique inconnu.
e) Des structures solides et de nombreuses poutrelles ayant une similitude en apparence avec un bois très dense sans grain, très légères et extensibles possédaient une force de compression impossible à obtenir par n'importe quel moyen connu dans l'industrie moderne.
f) Aucun des matériaux testés n’a montré des caractéristiques magnétiques ou de radiation résiduelle.
g) Plusieurs échantillons étaient gravés et estampés. Ces marques n'étaient pas aisément identifiables et le déchiffrement de leur signification est actuellement un échec.
h) L'examen de plusieurs dispositifs apparents mécaniques, mécanismes, etc.., n'a révélé peu ou rien de leur usage ou méthodes de fabrication.
CHAPITRE 3 OPÉRATIONS DE RECUPERATION
Section I. SÉCURITÉ
12. Black-out de la Presse
Un grand soin doit être pris pour préserver la sécurité de n'importe quel site où la Technologie Extraterrestre pourrait être récupérée pour l'étude scientifique. Des mesures extrêmes doivent être prises pour protéger et préserver n'importe quel matériel ou vaisseau de la découverte, l'examen ou le déplacement par des agences civiles ou des individus du grand public. Il est donc recommandé qu'un black out total de la presse soit exercé chaque fois que possible. Si cela n’était pas faisable, les histoires de « couverture » suivantes sont suggérées pour la presse. L'officier responsable agira rapidement pour choisir l’histoire la mieux adaptée à la situation.
On doit se rappeler, en choisissant une histoire, que pour la politique officielle, les OVNI n'existent pas.
a) Démenti officiel. La réponse la plus souhaitable serait que « rien n'est arrivé ».
En déclarant que le gouvernement n'a aucune connaissance de l'événement, une enquête complémentaire de la presse pourrait être empêchée.
b) Discrédit des Témoins. Dans la mesure du possible, les témoins seront tenus incommunicado jusqu’à ce que leur témoignage et leur participation soient déterminées. On découragera les témoins de parler de ce qu'ils ont vu et l'intimidation peut être nécessaire afin d'assurer leur coopération. Si les témoins sont déjà entrés en contact avec la presse, il sera nécessaire de discréditer leurs histoires. Cela peut être fait par l'affirmation qu'ils ont où bien mal interprété des événements naturels, ou sont les victimes d'hystérie et d’hallucinations, et sont des propagateurs de mystifications.
c) Fausses Déclarations. Il peut devenir nécessaire de publier des fausses déclarations pour préserver la sécurité du site. Des météores, des retombées de satellites, des ballons météorologiques et d'avion militaire sont toutes des alternatives acceptables, bien que dans le cas de déclaration de crash d'avion militaire un soin particulier doit être exercé pour ne pas suggérer que l'avion puisse être expérimental ou secret, cela pourrait éveiller plus de curiosité, et de la presse américaine et de la presse étrangère. Des déclarations concernant la contamination du secteur dues à des renversements de matières toxiques par des accidents de camions ou citernes de chemin de fer peuvent aussi servir pour tenir le personnel non autorisé ou indésirable loin du secteur.
La suite du dossier est ici
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Re: Ovni: Les documents Majestic12 un vaste canular
Lun 30 Nov 2009, 20:29
13. Sécuriser le Secteur
Le secteur doit être sécurisé aussi rapidement que possible afin d'empêcher le personnel non autorisé d'infiltrer le site. L'officier responsable créera un périmètre de sécurité et établira un poste de commandement à l'intérieur du périmètre. Le personnel autorisé sur le site sera tenu informé du minimum absolu nécessaire afin de préparer le vaisseau ou les débris pour le transport et se constituera en Équipes de Sécurité Militaire.
On peut contraindre les autorités locales à assurer le maintient de l’ordre, comme la circulation, ou le contrôle de la foule. En aucun cas les autorités locales ne pourront accéder à l'intérieur du périmètre et toutes les précautions nécessaires seront prises afin qu’elles n’interfèrent pas avec l'opération.
a) Périmètre. Il est souhaitable qu’un personnel militaire suffisant soit utilisé pour installer un périmètre assez grand autour site, afin que les personnes non autorisées et le personnel du périmètre puisse observer le site. Une fois le site sécurisé, des patrouilles régulières se déploieront le long du périmètre afin d’assurer une sécurité complète, et une surveillance électronique sera installée afin d’augmenter le nombre de patrouilles. Le personnel du périmètre sera équipé de moyens de communications portables et d’ armes automatiques avec des munitions réelles. Le personnel travaillant sur le site sera armé. Aucun personnel non autorisé n’aura la permission d’accéder à la zone sécurisée.
b) Poste de commandement. Idéalement, le poste de commandement doit être aussi près que possible du site afin de coordonner efficacement les opérations. Aussitôt que le poste de commandement est opérationnel, contacter le Groupe Majestic12 avec lequel seront établies des communications sécurisées.
c) Zone du Secteur. Les périmètres du site et du secteur seront dégagés de tout le personnel non autorisé. Les témoins seront débriefés et détenus pour un autre débriefing par le MJ12. En aucun cas les témoins devront être relâchés avant que leurs témoignages n'aient été entendus par le MJ12 et qu’ils soient complètement débriefés.
d) Évaluation de Situation. Une évaluation préliminaire de la situation sera établie et un rapport préliminaire préparé. Le Groupe MJ12 sera alors informé de la situation le plus tôt possible. Le Groupe MJ12 déterminera alors si une équipe du MJ12 ou OPNAC doit être déployée sur le secteur.
Section II. RECUPERATION DE LA TECHNOLOGIE
14. Enlèvement et Transport
Aussitôt que la communication est établie, l’enlèvement et le transport de tout le matériel commencera sous les ordres du MJ12.
a) Documentation. Si la situation le permet, un soin doit être pris pour documenter le secteur avec des photographies avant que tout ne soit enlevé. Le secteur sera contrôlé pour déterminer s’il y a des radiations ou agents toxiques. Si le secteur ne peut pas être sécurisé pendant une période prolongée, tout le matériel doit être empaqueté et transporté aussi rapidement que possible à la base militaire la plus proche. Le transport s’effectuera par camions bâchés en empruntant des routes secondaires aussi souvent que possible.
b) Vaisseaux Complets ou Fonctionnels. Les vaisseaux doivent être approchés avec extrême prudence s’ ils apparaissent fonctionnels ; de sérieuses blessures peuvent résulter de l'exposition aux radiations et aux chocs électriques. Si le vaisseau fonctionne, mais semble être abandonné, il ne peut être approché que par le MJ12 RED TEAM, personnel spécialement entraîné et portant des vêtements protecteurs. N'importe quel vaisseau qui semble fonctionner doit aussi être laissé à la disposition MJ12 RED TEAM. Le vaisseau complet et les parties de vaisseau trop grandes pour être transportés par transport bâché seront démontés si cela peut être accompli facilement et rapidement. Si la totalité des matériaux doit être emporté sur des transports avec plate-formes ouvertes, ils seront recouverts afin de camoufler leur forme.
c) Entités Biologiques Extraterrestres. Les EBEs doivent être transportées dans une base de haute sécurité le plus rapidement possible. Le plus grand soin doit être pris pour empêcher une contamination possible par des agents étrangers biologiques. Les EBEs mortes doivent être empaquetées dans de la glace à la première occasion, pour préserver les tissus. Si des EBEs vivantes sont rencontrées, elles devront être mises sous bonne garde et transportées dans une base de haute sécurité par ambulance. Tous les efforts doit être faits pour assurer la survie des EBEs. Le contact du personnel avec des EBEs vivantes ou mortes doit être réduit au minimum absolu. (Voir le chapitre 5 pour des instructions plus détaillées sur les relations avec les EBEs).
15. Nettoyage du Secteur
Une fois que tout le matériel a été enlevé du secteur central, la zone périphérique sera inspectée de fond en comble pour s'assurer que toutes les traces de Technologie Extraterrestre ont été enlevées. Dans le cas d'accident, le secteur périphérique sera examiné minutieusement plusieurs fois pour assurer que rien n'a été oublié. Le zone de recherches impliquée peut varier selon les conditions locales, à la discrétion de l'officier responsable. Quand l’officier responsable est assuré qu'aucune nouvelle preuve de l'événement ne reste sur le site, celui-ci peut être évacué.
16. Circonstances Spéciales ou Spécifiques
Une possibilité existe que le vaisseau extraterrestre atterrisse ou se crash dans des zones très peuplées, où la sécurité ne peut pas être maintenue efficacement. Le plan d'Éventualité MJ-1949-04P/78 (TOP SECRET * EYES ONLY) doit être exécuté afin d’être fin prêt à faire une divulgation publique si nécessaire.
17. La technologie Extraterrestre (voir la Table à la page suivante)
Figure 2 MJ Form I-007
18. Emballage et Consignes d'Emballage
a) Expédition intérieure. Les échantillons individuels sont étiquetés et enveloppés de manière à être à l’épreuve de l’humidité et des moisissures et sont hermétiquement scellés Ils sont placés dans une boîte en fibres ondulées. Les parties vides de la boîte sont remplies minutieusement avec un ouatage de cellulose neutre pour empêcher le mouvement des échantillons. La boîte est scellée avec de la bande adhésive de type Kraft . Le document MJ Forms I-007 est inséré dans une enveloppe Manila scellée, marquée "MAJIC12 ACCES ONLY" et est fermement collée avec du ruban adhésif sur la partie supérieure de la boîte. Celle-ci est alors rembourrée à chaque coin, en haut et dans le fond et est placé dans une grande boîte en fibres ondulées. La boîte extérieure est entièrement scellée avec de la bande adhésive de type Kraft. Une étiquette est fixée à la boîte extérieure portant les inscriptions suivantes : destination, code de l’expéditeur et l'avertissement, "MAJIC12 ACCES ONLY".
b) Expédition De l’Etranger. Les échantillons sont empaquetés comme décrit ci-dessus sauf qu'un dessicatif et un indicateur d'humidité seront inclus dans la boîte intérieure en fibres ondulées. Ensuite, la boîte est enveloppée de manière à être à l’épreuve de l’humidité et des moisissures et scellé hermétiquement. Les échantillons sont alors empaquetés dans un deuxième carton imperméable fermé hermétiquement avec du ruban adhésif imperméable. Ce second carton est marqué "MAJIC 12 ACCES ONLY" sur tous les côtés et est placé à l’intérieur d’un double containeur de transport en bois. Le carton est sellé hermétiquement par de la bande adhésive imperméable et le container en bois est fermé par des vis. Le containeur de transport est renforcé en clouant deux clous de ¾ de pouces à environ 8 pouces de chaque extrémité. Le document d’expédition est alors marqué au poncif sur le containeur en bois.
Note. L'emballage et la procédure d'emballage détaillée ci-dessus s’appliquent seulement à des échantillons non organiques. Des informations pour le transport, l'emballage, et le chargement des échantillons organiques et des entitées non vivantes sont fournies dans le Chapitre 5, Section II de ce manuel.
CHAPITRE 4 RÉCEPTION ET TRAITEMENT
Section I. TRAITEMENT À RÉCEPTION DU MATÉRIEL
20. Désempaquetage, Déballage et Vérification
Note Le désempaquetage, le déballage et la procédure de vérification des conteneurs marqués "MAJIC 12 ACCES ONLY" seront effectués par du personnel ayant l’autorisation MJ12. Les conteneurs marqués de cette manière seront stockés dans un secteur de haute sécurité jusqu'au moment où un personnel autorisé sera disponible pour ces procédures.
a) Soyez très prudent quant au désempaquetage et au déballage du matériel. Évitez d’introduire de force des outils à l'intérieur du conteneur de chargement. N'endommagez pas plus que nécessaires les matériaux d'emballage quand vous enlèverez les échantillons ; ces matériaux peuvent encore servir pour un emballage ultérieur. Stockez les matériaux intérieur d'emballage dans le conteneur de chargement. Quand vous désempaquetez et déballez les échantillons, suivez la procédure décrite ci-dessous (1) à (11) :
(1) Déballez les échantillons dans un secteur de haute sécurité pour empêcher l'accès au personnel non autorisé.
(2) Coupez les fils de métal avec un outil approprié coupant, ou tordez-les avec des tenailles avant que les courroies ne durcissent et cassent.
(3) Enlevez les vis du haut du conteneur de chargement avec un tournevis.
(4) Coupez les bandes et les cachets du double emballage de sorte que le papier imperméable soit endommagé aussi peu que possible.
(5) Soulevez les échantillons empaquetés du conteneur en bois.
(6) Coupez la bande qui scelle les volets supérieurs des cartons extérieurs, prenez soin de ne pas endommager les cartons.
(7) Coupez la bande le long du scellement supérieur et enlevez soigneusement le carton intérieur.
(8) Enlevez l'enveloppe Manila du haut du carton intérieur.
(9) Ouvrez le carton intérieur et enlevez les inserts en fibre, le dessicatif et l'indicateur d'humidité.
(10) Soulevez l'emballage scellé contenant les échantillons; arrangez-les d’ une manière ordonnée pour inspection.
(11) Placez tout le matériel d'emballage dans le conteneur de chargement pour utilisation d’un remballage futur.
DIAGRAMMES DECRIVANT LA PROCEDURE D’EMBALLAGE D’ECHANTILLONS EXTRA-TERRESTRES NON ORGANIQUES
b) Vérifiez minutieusement tous les échantillons repris plus haut par rapport au documents de transport. Vérifier soigneusement tous les échantillons des dégâts possibles survenus pendant le chargement ou la manipulation. Trier les échantillons selon le numéro de classification pour préparer leur transfert dans un Laboratoire désigné ou le ministère. Le personnel du Laboratoire ou du ministère est responsable du transport des échantillons aux secteurs désignés. Ceci sera accompli aussi rapidement que possible par transport secret escorté par du personnel de sécurité.
CHAPITRE 5 ENTITÉS BIOLOGIQUES EXTRATERRESTRES
Section I. ORGANISMES VIVANTS
21. Portée
a) Cette section traite des rencontres avec des Entités Biologiques Extraterrestres (EBEs) vivantes. De telles rencontres tombent sous la juridiction de MJ12 OPNAC BBS-D1 et seront traitées exclusivement par cette unité spéciale. Ce chapitre détaille les responsabilités des personnes ou unités participant au contact initial.
22 Général
Tout contact avec des entités reconnues pour être d'origine extraterrestre doit être considéré comme un sujet concernant la sécurité nationale et doit donc être classifié comme TOP SECRET. Dans tous les cas le grand public ou la presse ne doivent apprendre l'existence de ces entités. La politique officielle du gouvernement est que de telles créatures n'existent pas et qu'aucune agence du gouvernement fédéral n'est engagée à l’heure actuelle dans une étude sur les extraterrestres ou leurs artefacts. Toute déviance à cette politique est absolument interdite.
23. Contacts
Les contacts avec des EBEs peuvent être classés selon une des catégories suivantes :
a) Contacts initiés par les EBEs.Un contact possible peut avoir lieu suite à des ouvertures faites par les entités elles-mêmes. Dans ce cas il est prévu que ces contacts aient lieu dans des installations militaires ou d'autres emplacements secrets choisis selon un accord mutuel. Une telle rencontre aurait l'avantage de limiter le personnel doté des autorisations appropriées, loin des regards du public. Bien que cela ne soit pas considéré comme très probable, il existe aussi la possibilité que des EBEs atterrissent dans des zones publiques sans avis préalable. Dans ce cas l'Équipe OPNAC élaborera des histoires de couverture pour la presse et préparera des briefings pour le Président et le Chef d’Etat Major.
b) Contacts résultant du crash d’un vaisseau. Le contact avec les survivants d'accidents ou du crash d’un vaisseau par des événements naturels ou par une action militaire peut arriver sans avertissement. Dans ce cas, il est important que le contact initial soit limité à du personnel militaire pour préserver la sécurité. Les témoins civils au secteur seront arrêtés et débriefes par le MJ12. Le contact avec des EBEs par du personnel militaire n’ayant pas une autorisation MJ12 ou OPNAC doit être strictement limité à assurer la disponibilité des l'EBEs pour étude par l'Équipe OPNAC.
24. Isolement et Garde
a) Les EBEs seront retenues par n'importe quels moyens et emmenées dans un endroit sécurisé aussitôt que possible. Des précautions seront prises par le personnel prenant contact avec EBEs afin de réduire au minimum le risque de maladies suite à une contamination par des organismes inconnus. Si les entités portent des combinaisons spatiales ou des appareils respiratoires de quelque sorte, un soin particulier doit être pris afin de ne pas les endommager. Tout doit être fait pour assurer le bien-être des EBEs, elles doivent être isolées de tout contact avec du personnel non autorisé. Bien qu’il ne soit pas clair de quels dispositions ou agréments pourraient être exigés par des entités non humaines, elles doivent pouvoir être satisfaites si possible. L'officier responsable de l'opération déterminera ces besoins, puisque aucune directive n'existe actuellement à ce sujet.
b) Les entités blessées seront traitées par le personnel médical assigné à l'Équipe OPNAC. Si l'équipe du personnel médical n'est pas immédiatement disponible, Les premiers soins seront administrés par le personnel du Corps Médical du site initial. Bien que l’on connaisse peu de fonctions biologiques au sujet des EBEs, l'aide sera limitée l'arrêt du saignement, le bandage de blessures et la pose d’attelles aux membres cassés. Aucun médicament de quelque sorte ne doit être administré, car l’effet de médicament sur des systèmes biologiques non humains est impossible à prédire. Aussitôt que les blessures seront considérées comme stabilisées, les EBEs seront transportées par l'ambulance fermée ou par autre moyen de transport approprié à un endroit sûr.
c) En traitant avec n'importe quelle Entité Biologique Extraterrestre vivante, il faut savoir que la sécurité a une importance primordiale. Toutes les autres considérations sont secondaires. Bien qu'il soit préférable de maintenir le bien-être physique de n'importe quelle entité, la perte d’une EBE est considérée comme acceptable si les conditions ou les retards pour préserver cette vie par n'importe quelle moyen compromettent la sécurité des opérations.
d) Une fois que l'Équipe OPNAC a pris en charge les EBEs, leur surveillance et leur transport aux endroits désignés deviennent la responsabilité du personnel OPNAC. La coopération de chacune des équipes sera prolongée dans l'exécution de ses devoirs. la PRIORITÉ ABSOLUE sera donnée à tout moment au personnel de l’Equipe OPNAC indépendamment de leur grade ou de leur statut. Personne n'a autorité pour interférer avec l'Équipe OPNAC dans l'exécution de ses missions par ordre spécial du Président des Etats-Unis.
Section II. ORGANISMES NON VIVANTS
25. Portée
Idéalement, la récupération pour l'étude scientifique de cadavres et d'autre échantillons biologiques, sera effectuée par le personnel médical habitué à ce type de procédure. A cause des considérations de sécurité, une telle récupération peut être faite par du personnel non-médical. Cette section fournira des conseils pour la récupération, la conservation et le déplacement de cadavres et d’échantillons dans ce domaine.
26. Récupération et Conservation
a) Le degré de décomposition des échantillons organiques variera selon le temps qu’ils sont restés à l’air libre sans protection, et peut être accéléré par des conditions météorologiques locales et l'action des prédateurs. Les spécimens biologiques seront donc enlevés du site du crash aussi rapidement que possible afin de préserver ce qu’il en reste dans des conditions aussi bonnes que possible. Un enregistrement photographique sera fait de tout les échantillons organiques avant qu'ils ne soient enlevés du site.
b) Le personnel impliqué dans ce type d'opération prendra toutes les précautions raisonnables pour réduire au minimum le contact physique avec les cadavres ou les restes découverts. Des gants chirurgicaux doivent être portés ou, s'ils ne sont pas disponibles, des gants de laine ou de cuir peuvent être portés pourvu qu'ils soient rassemblés pour la décontamination immédiatement après l'utilisation. Les pelles et des outils de tranchée peuvent être employés pour manipuler les restes pourvu qu’une attention soit exercée afin d’être certain qu'aucun dommage ne soit fait aux restes. Les échantillons seront manipulés à mains nues si seulement aucun autre moyen de les déplacer n’a pu être trouvé. Tout le personnel et l'équipement impliqué dans des opérations de récupération subiront des procédures de décontamination immédiatement après que ces opérations aient été achevées.
c) Les restes seront préservés contre une décomposition future si l'équipement et les conditions le permettent. Les cadavres et restes seront mis en sac ou enveloppé solidement dans des couvertures imperméables. Des toiles goudronnées ou des bâches peuvent être employées à cette fin si nécessaire. Les restes seront réfrigérés ou empaqueté avec de la glace si disponible. Tous les restes seront étiquetés, avec l’heure et la date. Les restes enveloppés seront placé sur des civières ou dans des conteneurs scellés pour un déplacement immédiat dans une zone sécurisée.
d) Les petites pièces isolées et le matériel gratté de surfaces solides seront mis dans des fioles ou d'autres petits conteneurs si disponible. Les conteneurs seront clairement marqués quant à leur contenu avec l’heure et la date enregistrée. Les conteneurs seront réfrigérés ou empaquetés avec de la glace aussitôt que possible et déménagés dans zone sécurisée.
DIAGRAMMES DES DIFFERENTS TYPE DE VAISSEAUX
ANNEXE I
RÉFÉRENCES
http://photovni.free.fr/majestic12/
MAJESTIC 12 : LE RETOUR DU GROTESQUE
Par Fabrice Bonvin
"D’ici deux ans, Washington admettra l’existence des OVNIs.
D’ici cinq ans, on interagira avec ces créatures…»
Stanton Friedman, dans une interview publiée
le 6 Mai 1967 dans le Akron Beacon Journal (Ohio)
INTRODUCTION – RAPPEL
Le Majestic-12 s’est offert une nouvelle cure de jouvence et la possibilité de redorer son blason : de nouvelles "preuves" font surface. Une manière d’oublier – momentanément – que les documents originaux reçus par l’équipe Moore-Shandera- Friedman sont des faux.
Permettez-moi un bref rappel historique et contextuel de cette affaire nécessaire à un meilleur éclairage de l’actualité :
Tout débute en juin 1987 quand l’existence de documents relatifs à un groupe appelé Majestic-12 est révélée par William Moore lors du Symposium du MUFON UFO Network à Washington DC. A l’origine, cette pièce de huit pages était parvenue sous la forme d’une pellicule photographique dans une enveloppe au domicile de Jaime Shandera, producteur d’une station de télévision de Los Angeles, en décembre 1984. Deux ans plus tôt, Jaime Shandera s’était joint à Moore et à Stanton Friedman pour effectuer un travail en équipe basé sur la recherche de documents officiels prouvant l’implication du gouvernement américain dans la dissimulation de la vérité sur les OVNIs (1).
Le document se compose de deux éléments totalement différents :
1. sept pages relatives à un groupe de sécurité national appelé «Majestic-12» constitué de douze hautes personnalités civiles et militaires, censé coordonner les recherches et maintenir un secret absolu sur les problème des OVNIs. Cette pellicule d’un modèle 35 mm contient un document datant du 18 novembre 1952, adressé au Président Eisenhower. Le document est censé être rédigé par l’Amiral Roscoe H. Hillenkoetter (MJ-1). Il indique qu’un groupe de sécurité nationale top-secret nommé MAJESTIC-12 fut créé à l’initiative de Truman le 24 septembre, sur recommandation du Dr Vannevar Bush et du Secrétaire d’Etat à la Défense, James Forrestal. La raison de cette action fut la découverte d’un OVNI accidenté et des dépouilles mortelles de ses quatre occupants, le 7 juillet 1947 à Roswell.
2. un mémorandum d’une page signée du Président Harry Truman adressé à James Forrestal, en date du 24 septembre 1947, relatif à une «Opération Majestic-12».
Le groupe MAJESTIC-12 était donc composé de 12 membres occupant de très hautes fonctions à cette époque-là. En effet, le Secrétaire de la Défense, les trois premiers directeurs de la CIA, un Général de l’USAF, un autre de l’Armée et une brochette de scientifiques de très hauts niveaux figuraient sur la liste des membres.
Il s’agissait de :
Am. Roscoe H. Hillenkoetter
Dr. Vannevar Bush Secy.
James V. Forrestal
Gén. Nathan F. Twining
Gén. Hoyt S. Vandenberg
Dr. Detlev Bronk
Dr. Jerome Hunsaker
Mr. Sidney W. Souers
Mr. Gordon Gray
Dr. Donald Menzel
Gen. Robert M. Montague
Dr. Lloyd V. Berkner
James Forrestal
Note : le "décès" de James Forrestal le 22 Mai 1949. Remplacé le 1er août 1950 par Walter B. Smith, comme membre permanent.
Suite à la réception de ces documents, de nombreux experts et Ufologues se sont lancés dans un débat technique et une reconstruction historique visant à les authentifier.
Il fut notamment établi que le caractère utilisé dans les documents est de type pica, très courant à l’époque, et que le document fut tapé sur une machine de marque Underwood, voire Remington. On remarqua aussi que la personne ayant dactylographié ces huit pages tapait avec deux doigts seulement, ceci étant visible au niveau des quelques fautes de frappe n’ayant pas été corrigées (le mot «liaison» a été tapé deux fois de suite «liason»). Cette faute de frappe est caractéristique chez les personnes tapant avec deux doigts (2).
Le chercheur Jean Sider a montré que l’auteur des documents avait copié le style de datation de William Moore peut-être dans le but de porter atteinte à la crédibilité de l’équipe Moore-Shandera-Friedman pour torpiller définitivement le crash de Roswell.
Puis vint le coup fatal : il fut prouvé que le mémo Truman du 24 septembre 1947 est un trucage effectué à partir d’une vraie signature du Président et d’un faux mémorandum. Même si les auteurs de la fraude restaient à identifier, ces preuves accablantes enterraient définitivement le folklorique MJ-12.
LE RETOUR
Tel le mort-vivant, il resurgit en 1993, croyant pouvoir encore nous effrayer – et nous intéresser - avec ces histoires d’Aliens frigorifiés et de complots planétaires. S’agit-il d’une version revue et corrigée du MJ-12, expurgée de ces grossières erreurs ?
Ce ne sont ni le N.Y. Times ni le Washington Post qui reçurent ces nouveaux documents explosifs, mais Timothy Cooper. Un journaliste influent ? Un Ufologue de renommée mondiale ? Non, un Monsieur-tout-le-monde s’intéressant un peu aux OVNIs. C’est donc lui qui reçut les premiers documents en 1992 dans sa boîte aux lettres. D’autres individus, dont l’Ufologue Don Berliner, reçurent les cadeaux de ce Père Noël d’un type particulier. Selon Cooper, il s’agirait d’un agent des services de renseignement répondant au pseudonyme de Thomas Cantwheel.
Tim Cooper
Le Dr. Robert Wood et son fils, Ryan Wood se sont chargés d’investiguer (d’en faire la promotion, selon Philip Klass) ces documents et de les authentifier. Le Dr. Wood est un ingénieur à la retraite. Il travailla pour McDonnell-Douglas jusqu’en 1993. Ryan devint consultant après avoir travaillé pour Intel Corp., Compaq et Toshiba.
Pour les Wood, les documents originaux du MJ-12 rendus public par Moore, Shandera et Friedman sont authentiques. Au vu de ce qui a été exposé dans mon introduction, il est évident que cette position est difficilement défendable. Mais, bon, pourquoi ne pas jouer à l’avocat du diable ? Et vous vous en doutez, les nouveaux documents sont également authentiques à leurs yeux. C’est plus simple et logique comme ça, non ?
Sommés d’expliquer les nombreuses incohérences, erreurs des documents originaux du MJ-12, les Woods ont répondu que leurs inconsistances font justement la force de ces documents. En effet, selon eux, il n’y a pas de style "type" dans le traitement bureaucratique des documents gouvernementaux ou militaires.
Par contre, il reconnaissent qu’il y a bien des tendances et des procédures idéales.
Aussi, pour expliquer la "fraude" du document Truman du 24 septembre 1947, Bob présenta une machine nommée "pentagraphe» permettant au Président de signer plusieurs documents en même temps, d’où les signatures identiques !
Concernant les nouveaux documents, l’analyse par les Wood ne vient que de commencer. Ils ont étudié 15 documents ou 96 pages sur les 2'100 pages reçues (3). Cependant, l’utilisation d’une machine de type Underwood Portable de 1939 ne fait aucun doute pour eux.
Bien évidemment, ces documents appellent à la suspicion. Et ceci pour ces deux principales raisons : Primo, il a été prouvé que les documents MJ-12 de 1987 sont des faux. Conscient de cet acquis, comment attribuer, maintenant, une quelconque crédibilité à ces nouveaux documents ? Secundo, l’expéditeur des documents est anonyme, comme lors de l’affaire des documents originaux de 1987, ce qui ne pousse pas à un avis favorable sur l’authenticité des documents.
Néanmoins, quelques courageux Ufologues et spécialistes en tout genre ont commencé à jeter un regard critique sur ces documents.
Je vais maintenant rendre compte de l’analyse de certains nouveaux documents du MJ-12. Vous trouverez, en annexe, des extraits de ces documents :
LES ANALYSES
Document #1
Nom du document : "Le Majestic-12 Group Special Operations Manual»
Nombre de pages : 23 pages
Date : Avril 1954
Reçu par : Don Berliner, 1994
Analysé par : Jan Aldrich et Collaborateurs membres du FUFOR
Le Special Operations Manual vise à donner aux équipes d’intervention les instructions et outils nécessaires à une opération de récupération d’un OVNI et de ses occupants. A noter que ce document reçu par Don Berliner ne semble pas complet.
Voici, en condensé, les principales critiques adressées au document, invalidant sérieusement l’hypothèse du document authentique :
Le contenu du manuel ne répond pas aux buts qu’il se propose. Un manuel de terrain dont le but est de maîtriser une situation de récupération d’OVNI crashé n’a aucun raison d’inclure les informations suivantes : histoire des OVNIs – typologie des OVNIs – diverses informations sur la détection des OVNIs par radar – etc…
La désignation TO 12D1-3-11-1 n’est expliquée nulle part dans le manuel. La désignation utilisée par l’Armée aurait été TM (Technical Manual) suivi d’une série de numéros. La désignation de l’Air Force est TO (Technical Order) suivie de chiffres, comme c’est le cas dans le manuel. Il s’agirait maintenant d’aller voir dans l’index des Air Forces Technical Orders.
"Eyes Only» n’est pas une classification de sécurité. Toutefois, il est quelquefois utilisé comme une procédure de communication.
Comme il s’agit d’un manuel, il devrait figurer sur la couverture un "copie numéro X de X copies».
Il manque le numéro de contrôle du "Top Secret". Cela constitue une violation du règlement. Comme le SM 1-01 n’est pas un document archivé, cela signifie qu’il est encore actif. Donc, l’erreur n’a pas été corrigée durant 40 ans. Extrêmement suspect.
Les security warning sont incomplets. La plupart des manuels énumèrent les sanctions en cas de violation de sécurité.
Les pages ne sont pas numérotées. La plupart des manuels de l’époque possédaient des pages numérotées pour vérifier l’intégrité du manuel.
Paragraphe 12 c, chapitre 3. Le manuel évoque le scénario du "satellite qui s’écrase sur Terre» comme cover story d’un crash d’OVNI pour éloigner la presse. Or, en 1954, le crash d’un satellite aurait fait sensation dans la presse et les effets d’une telle déclaration aurait été contraire au but recherché.
Document #2
Nom du document : "Relationships with Inhabitants of Celestrial Bodies»
Nombre de pages : 6 pages
Date : Juin 1947
Reçu par : ? ? ?
Analysé par : Bruce Maccabee
Ce document, qui est un brouillon, traite des relations à venir entre les humains et les EBEs en cas de contacts. Il aurait été rédigé par Albert Einstein et J.Robert Oppenheimer. Excusez du peu. En 1947, Princeton abritaient ces deux sommités.
Oppenheimer dirigea, dès 1943, le Laboratoire de Los Alamos, qui devait développer la bombe atomique. Il décéda le 18 février d’un cancer de la gorge.
Comme ce document traite essentiellement de lois internationales et de colonisation, on peut se demander pourquoi Einstein et Oppenheimer pour la rédaction sur un tel sujet. Cela ne semble pas crédible du tout.
Le papier n’est pas cohérent dans la structure de l’exposé du problème. La première partie traite des lois internationales appliquées aux EBEs venant sur Terre. Puis, la deuxième partie passe aux commentaires sur les humains colonisants des corps célestes. Finalement on aboutit aux menaces militaires, ne provenant pas des EBEs mais des Russes.
La construction syntaxique, le raisonnement et l’exposé de la problématique sont dignes d’une composition de Forrest Gump ou d’un mauvais roman de SF.
De plus, les fautes d’orthographes et de frappes sont légions.
L’étude du style de J. Robert Oppenheimer montre qu’il n’a pas dicté ou écrit ce papier, car son style est plutôt sophistiqué.
Document #3
Nom du document : "Intelligence Assessment – IPU Summary»
Nombre de pages : 7 pages
Date : 1947
Reçu par : ? ? ?
Il ne s’agit pas, pour ce document, de l’analyser mais de vous rendre attentif au fait qu’il propose un résumé des activités et du rayon d’action de l’IPU, organisme, semble-t-il, réel mais très peu connu.
Il semblerait qu’en 1947, l’IPU fut instaurée, peut-être à la suite du crash de Roswell. L’IPU dépendait de l’U.S. Army et elle a été désactivée à la fin des années 1950.
John R. Frick, de Melbourne, Floride, prétendit que l’IPU fut instaurée en avril 1945. Cette initiative aurait été prise par le fameux Général McArthur à la suite d’une rencontre avec un étranger à la Terre, qu’il aurait faite lui-même. Frick affirme que les archives de l’IPU représentent la «plus grande accumulation de preuves documentées sur la présence de forces étrangère à la Terre jamais réunies par une seule source». Les dossiers de l’IPU contiendraient plus de 2'000 rapports.
Quant à Timothy Good, il prétend que le Général Marshall fut le père de l’IPU en 1947.
CONCLUSIONS
Ces nouveaux documents ont remis à l’ordre du jour une affaire qui s’est avérée extrêmement coûteuse pour la communauté ufologie en termes de crédibilité, de temps et d’argent. Et voilà que ces nouveaux documents font leurs apparitions ! De nouveau, l’expéditeur de ces documents a préféré rester dans l’ombre, ce qui est fort regrettable. Loin d’être convaincants, ils tendent à confirmer la supercherie des documents originaux de 1987.
Etant donné l’état de délabrement total de la recherche ufologique, on peut s’interroger sur la légitimité de débattre de ces nouveaux documents, contribuant à la décadence de l’Ufologie. Le milieu ufologique a définitivement mieux à faire, par l’exploration d’autres pistes, moins coûteuses, obscures ou malsaines.
Comme la plupart de nos confrères d’Outre-Atlantique semblent raffoler de ce genre de polémiques inutiles, l’affaire continue : ainsi, Tim Cooper a accepté de se soumettre à un détecteur de mensonge.
Comme pour les documents de 1987, on constate que certains documents ont été censurés. Dans les documents originaux, c’était Moore qui les avait caviardés lui-même, par peur de représailles du gouvernement, avait-il avoué.
Ou était-ce pour leur donner une apparence plus mystérieuse, plus gouvernementale ? En tout cas, la question se pose de savoir qui est l’auteur de la censure des nouveaux documents, Tim Cooper ?
Adresses utiles :
DR ROBERT & RYAN WOOD
Majestic Documents
PO Box 2272,
Redwood City CA 94064
Internet : http://www.majesticdocuments.com
SOURCES
1. Sider, Jean, Ultra Top Secret, Axis Mundi, 1990
2. Sider, Jean, ,Super-magouille ou scoop du siècle ?, OVNI Présence, numéro 40, août 1988
3. Wood Ryan, Majestic UFO Documents Arrive This Summer, Sightings, 13 octobre 1999
4. Greenwood, Barry, MAJESTIC-12 FOLLIES RETURNS, U.F.O HISTORICAL REVUE, numéro 3, Janvier 1999
http://www.ovni.ch/~farfadet/Majestic12.html
Le secteur doit être sécurisé aussi rapidement que possible afin d'empêcher le personnel non autorisé d'infiltrer le site. L'officier responsable créera un périmètre de sécurité et établira un poste de commandement à l'intérieur du périmètre. Le personnel autorisé sur le site sera tenu informé du minimum absolu nécessaire afin de préparer le vaisseau ou les débris pour le transport et se constituera en Équipes de Sécurité Militaire.
On peut contraindre les autorités locales à assurer le maintient de l’ordre, comme la circulation, ou le contrôle de la foule. En aucun cas les autorités locales ne pourront accéder à l'intérieur du périmètre et toutes les précautions nécessaires seront prises afin qu’elles n’interfèrent pas avec l'opération.
a) Périmètre. Il est souhaitable qu’un personnel militaire suffisant soit utilisé pour installer un périmètre assez grand autour site, afin que les personnes non autorisées et le personnel du périmètre puisse observer le site. Une fois le site sécurisé, des patrouilles régulières se déploieront le long du périmètre afin d’assurer une sécurité complète, et une surveillance électronique sera installée afin d’augmenter le nombre de patrouilles. Le personnel du périmètre sera équipé de moyens de communications portables et d’ armes automatiques avec des munitions réelles. Le personnel travaillant sur le site sera armé. Aucun personnel non autorisé n’aura la permission d’accéder à la zone sécurisée.
b) Poste de commandement. Idéalement, le poste de commandement doit être aussi près que possible du site afin de coordonner efficacement les opérations. Aussitôt que le poste de commandement est opérationnel, contacter le Groupe Majestic12 avec lequel seront établies des communications sécurisées.
c) Zone du Secteur. Les périmètres du site et du secteur seront dégagés de tout le personnel non autorisé. Les témoins seront débriefés et détenus pour un autre débriefing par le MJ12. En aucun cas les témoins devront être relâchés avant que leurs témoignages n'aient été entendus par le MJ12 et qu’ils soient complètement débriefés.
d) Évaluation de Situation. Une évaluation préliminaire de la situation sera établie et un rapport préliminaire préparé. Le Groupe MJ12 sera alors informé de la situation le plus tôt possible. Le Groupe MJ12 déterminera alors si une équipe du MJ12 ou OPNAC doit être déployée sur le secteur.
Section II. RECUPERATION DE LA TECHNOLOGIE
14. Enlèvement et Transport
Aussitôt que la communication est établie, l’enlèvement et le transport de tout le matériel commencera sous les ordres du MJ12.
a) Documentation. Si la situation le permet, un soin doit être pris pour documenter le secteur avec des photographies avant que tout ne soit enlevé. Le secteur sera contrôlé pour déterminer s’il y a des radiations ou agents toxiques. Si le secteur ne peut pas être sécurisé pendant une période prolongée, tout le matériel doit être empaqueté et transporté aussi rapidement que possible à la base militaire la plus proche. Le transport s’effectuera par camions bâchés en empruntant des routes secondaires aussi souvent que possible.
b) Vaisseaux Complets ou Fonctionnels. Les vaisseaux doivent être approchés avec extrême prudence s’ ils apparaissent fonctionnels ; de sérieuses blessures peuvent résulter de l'exposition aux radiations et aux chocs électriques. Si le vaisseau fonctionne, mais semble être abandonné, il ne peut être approché que par le MJ12 RED TEAM, personnel spécialement entraîné et portant des vêtements protecteurs. N'importe quel vaisseau qui semble fonctionner doit aussi être laissé à la disposition MJ12 RED TEAM. Le vaisseau complet et les parties de vaisseau trop grandes pour être transportés par transport bâché seront démontés si cela peut être accompli facilement et rapidement. Si la totalité des matériaux doit être emporté sur des transports avec plate-formes ouvertes, ils seront recouverts afin de camoufler leur forme.
c) Entités Biologiques Extraterrestres. Les EBEs doivent être transportées dans une base de haute sécurité le plus rapidement possible. Le plus grand soin doit être pris pour empêcher une contamination possible par des agents étrangers biologiques. Les EBEs mortes doivent être empaquetées dans de la glace à la première occasion, pour préserver les tissus. Si des EBEs vivantes sont rencontrées, elles devront être mises sous bonne garde et transportées dans une base de haute sécurité par ambulance. Tous les efforts doit être faits pour assurer la survie des EBEs. Le contact du personnel avec des EBEs vivantes ou mortes doit être réduit au minimum absolu. (Voir le chapitre 5 pour des instructions plus détaillées sur les relations avec les EBEs).
15. Nettoyage du Secteur
Une fois que tout le matériel a été enlevé du secteur central, la zone périphérique sera inspectée de fond en comble pour s'assurer que toutes les traces de Technologie Extraterrestre ont été enlevées. Dans le cas d'accident, le secteur périphérique sera examiné minutieusement plusieurs fois pour assurer que rien n'a été oublié. Le zone de recherches impliquée peut varier selon les conditions locales, à la discrétion de l'officier responsable. Quand l’officier responsable est assuré qu'aucune nouvelle preuve de l'événement ne reste sur le site, celui-ci peut être évacué.
16. Circonstances Spéciales ou Spécifiques
Une possibilité existe que le vaisseau extraterrestre atterrisse ou se crash dans des zones très peuplées, où la sécurité ne peut pas être maintenue efficacement. Le plan d'Éventualité MJ-1949-04P/78 (TOP SECRET * EYES ONLY) doit être exécuté afin d’être fin prêt à faire une divulgation publique si nécessaire.
17. La technologie Extraterrestre (voir la Table à la page suivante)
Figure 2 MJ Form I-007
18. Emballage et Consignes d'Emballage
a) Expédition intérieure. Les échantillons individuels sont étiquetés et enveloppés de manière à être à l’épreuve de l’humidité et des moisissures et sont hermétiquement scellés Ils sont placés dans une boîte en fibres ondulées. Les parties vides de la boîte sont remplies minutieusement avec un ouatage de cellulose neutre pour empêcher le mouvement des échantillons. La boîte est scellée avec de la bande adhésive de type Kraft . Le document MJ Forms I-007 est inséré dans une enveloppe Manila scellée, marquée "MAJIC12 ACCES ONLY" et est fermement collée avec du ruban adhésif sur la partie supérieure de la boîte. Celle-ci est alors rembourrée à chaque coin, en haut et dans le fond et est placé dans une grande boîte en fibres ondulées. La boîte extérieure est entièrement scellée avec de la bande adhésive de type Kraft. Une étiquette est fixée à la boîte extérieure portant les inscriptions suivantes : destination, code de l’expéditeur et l'avertissement, "MAJIC12 ACCES ONLY".
b) Expédition De l’Etranger. Les échantillons sont empaquetés comme décrit ci-dessus sauf qu'un dessicatif et un indicateur d'humidité seront inclus dans la boîte intérieure en fibres ondulées. Ensuite, la boîte est enveloppée de manière à être à l’épreuve de l’humidité et des moisissures et scellé hermétiquement. Les échantillons sont alors empaquetés dans un deuxième carton imperméable fermé hermétiquement avec du ruban adhésif imperméable. Ce second carton est marqué "MAJIC 12 ACCES ONLY" sur tous les côtés et est placé à l’intérieur d’un double containeur de transport en bois. Le carton est sellé hermétiquement par de la bande adhésive imperméable et le container en bois est fermé par des vis. Le containeur de transport est renforcé en clouant deux clous de ¾ de pouces à environ 8 pouces de chaque extrémité. Le document d’expédition est alors marqué au poncif sur le containeur en bois.
Note. L'emballage et la procédure d'emballage détaillée ci-dessus s’appliquent seulement à des échantillons non organiques. Des informations pour le transport, l'emballage, et le chargement des échantillons organiques et des entitées non vivantes sont fournies dans le Chapitre 5, Section II de ce manuel.
CHAPITRE 4 RÉCEPTION ET TRAITEMENT
Section I. TRAITEMENT À RÉCEPTION DU MATÉRIEL
20. Désempaquetage, Déballage et Vérification
Note Le désempaquetage, le déballage et la procédure de vérification des conteneurs marqués "MAJIC 12 ACCES ONLY" seront effectués par du personnel ayant l’autorisation MJ12. Les conteneurs marqués de cette manière seront stockés dans un secteur de haute sécurité jusqu'au moment où un personnel autorisé sera disponible pour ces procédures.
a) Soyez très prudent quant au désempaquetage et au déballage du matériel. Évitez d’introduire de force des outils à l'intérieur du conteneur de chargement. N'endommagez pas plus que nécessaires les matériaux d'emballage quand vous enlèverez les échantillons ; ces matériaux peuvent encore servir pour un emballage ultérieur. Stockez les matériaux intérieur d'emballage dans le conteneur de chargement. Quand vous désempaquetez et déballez les échantillons, suivez la procédure décrite ci-dessous (1) à (11) :
(1) Déballez les échantillons dans un secteur de haute sécurité pour empêcher l'accès au personnel non autorisé.
(2) Coupez les fils de métal avec un outil approprié coupant, ou tordez-les avec des tenailles avant que les courroies ne durcissent et cassent.
(3) Enlevez les vis du haut du conteneur de chargement avec un tournevis.
(4) Coupez les bandes et les cachets du double emballage de sorte que le papier imperméable soit endommagé aussi peu que possible.
(5) Soulevez les échantillons empaquetés du conteneur en bois.
(6) Coupez la bande qui scelle les volets supérieurs des cartons extérieurs, prenez soin de ne pas endommager les cartons.
(7) Coupez la bande le long du scellement supérieur et enlevez soigneusement le carton intérieur.
(8) Enlevez l'enveloppe Manila du haut du carton intérieur.
(9) Ouvrez le carton intérieur et enlevez les inserts en fibre, le dessicatif et l'indicateur d'humidité.
(10) Soulevez l'emballage scellé contenant les échantillons; arrangez-les d’ une manière ordonnée pour inspection.
(11) Placez tout le matériel d'emballage dans le conteneur de chargement pour utilisation d’un remballage futur.
DIAGRAMMES DECRIVANT LA PROCEDURE D’EMBALLAGE D’ECHANTILLONS EXTRA-TERRESTRES NON ORGANIQUES
b) Vérifiez minutieusement tous les échantillons repris plus haut par rapport au documents de transport. Vérifier soigneusement tous les échantillons des dégâts possibles survenus pendant le chargement ou la manipulation. Trier les échantillons selon le numéro de classification pour préparer leur transfert dans un Laboratoire désigné ou le ministère. Le personnel du Laboratoire ou du ministère est responsable du transport des échantillons aux secteurs désignés. Ceci sera accompli aussi rapidement que possible par transport secret escorté par du personnel de sécurité.
CHAPITRE 5 ENTITÉS BIOLOGIQUES EXTRATERRESTRES
Section I. ORGANISMES VIVANTS
21. Portée
a) Cette section traite des rencontres avec des Entités Biologiques Extraterrestres (EBEs) vivantes. De telles rencontres tombent sous la juridiction de MJ12 OPNAC BBS-D1 et seront traitées exclusivement par cette unité spéciale. Ce chapitre détaille les responsabilités des personnes ou unités participant au contact initial.
22 Général
Tout contact avec des entités reconnues pour être d'origine extraterrestre doit être considéré comme un sujet concernant la sécurité nationale et doit donc être classifié comme TOP SECRET. Dans tous les cas le grand public ou la presse ne doivent apprendre l'existence de ces entités. La politique officielle du gouvernement est que de telles créatures n'existent pas et qu'aucune agence du gouvernement fédéral n'est engagée à l’heure actuelle dans une étude sur les extraterrestres ou leurs artefacts. Toute déviance à cette politique est absolument interdite.
23. Contacts
Les contacts avec des EBEs peuvent être classés selon une des catégories suivantes :
a) Contacts initiés par les EBEs.Un contact possible peut avoir lieu suite à des ouvertures faites par les entités elles-mêmes. Dans ce cas il est prévu que ces contacts aient lieu dans des installations militaires ou d'autres emplacements secrets choisis selon un accord mutuel. Une telle rencontre aurait l'avantage de limiter le personnel doté des autorisations appropriées, loin des regards du public. Bien que cela ne soit pas considéré comme très probable, il existe aussi la possibilité que des EBEs atterrissent dans des zones publiques sans avis préalable. Dans ce cas l'Équipe OPNAC élaborera des histoires de couverture pour la presse et préparera des briefings pour le Président et le Chef d’Etat Major.
b) Contacts résultant du crash d’un vaisseau. Le contact avec les survivants d'accidents ou du crash d’un vaisseau par des événements naturels ou par une action militaire peut arriver sans avertissement. Dans ce cas, il est important que le contact initial soit limité à du personnel militaire pour préserver la sécurité. Les témoins civils au secteur seront arrêtés et débriefes par le MJ12. Le contact avec des EBEs par du personnel militaire n’ayant pas une autorisation MJ12 ou OPNAC doit être strictement limité à assurer la disponibilité des l'EBEs pour étude par l'Équipe OPNAC.
24. Isolement et Garde
a) Les EBEs seront retenues par n'importe quels moyens et emmenées dans un endroit sécurisé aussitôt que possible. Des précautions seront prises par le personnel prenant contact avec EBEs afin de réduire au minimum le risque de maladies suite à une contamination par des organismes inconnus. Si les entités portent des combinaisons spatiales ou des appareils respiratoires de quelque sorte, un soin particulier doit être pris afin de ne pas les endommager. Tout doit être fait pour assurer le bien-être des EBEs, elles doivent être isolées de tout contact avec du personnel non autorisé. Bien qu’il ne soit pas clair de quels dispositions ou agréments pourraient être exigés par des entités non humaines, elles doivent pouvoir être satisfaites si possible. L'officier responsable de l'opération déterminera ces besoins, puisque aucune directive n'existe actuellement à ce sujet.
b) Les entités blessées seront traitées par le personnel médical assigné à l'Équipe OPNAC. Si l'équipe du personnel médical n'est pas immédiatement disponible, Les premiers soins seront administrés par le personnel du Corps Médical du site initial. Bien que l’on connaisse peu de fonctions biologiques au sujet des EBEs, l'aide sera limitée l'arrêt du saignement, le bandage de blessures et la pose d’attelles aux membres cassés. Aucun médicament de quelque sorte ne doit être administré, car l’effet de médicament sur des systèmes biologiques non humains est impossible à prédire. Aussitôt que les blessures seront considérées comme stabilisées, les EBEs seront transportées par l'ambulance fermée ou par autre moyen de transport approprié à un endroit sûr.
c) En traitant avec n'importe quelle Entité Biologique Extraterrestre vivante, il faut savoir que la sécurité a une importance primordiale. Toutes les autres considérations sont secondaires. Bien qu'il soit préférable de maintenir le bien-être physique de n'importe quelle entité, la perte d’une EBE est considérée comme acceptable si les conditions ou les retards pour préserver cette vie par n'importe quelle moyen compromettent la sécurité des opérations.
d) Une fois que l'Équipe OPNAC a pris en charge les EBEs, leur surveillance et leur transport aux endroits désignés deviennent la responsabilité du personnel OPNAC. La coopération de chacune des équipes sera prolongée dans l'exécution de ses devoirs. la PRIORITÉ ABSOLUE sera donnée à tout moment au personnel de l’Equipe OPNAC indépendamment de leur grade ou de leur statut. Personne n'a autorité pour interférer avec l'Équipe OPNAC dans l'exécution de ses missions par ordre spécial du Président des Etats-Unis.
Section II. ORGANISMES NON VIVANTS
25. Portée
Idéalement, la récupération pour l'étude scientifique de cadavres et d'autre échantillons biologiques, sera effectuée par le personnel médical habitué à ce type de procédure. A cause des considérations de sécurité, une telle récupération peut être faite par du personnel non-médical. Cette section fournira des conseils pour la récupération, la conservation et le déplacement de cadavres et d’échantillons dans ce domaine.
26. Récupération et Conservation
a) Le degré de décomposition des échantillons organiques variera selon le temps qu’ils sont restés à l’air libre sans protection, et peut être accéléré par des conditions météorologiques locales et l'action des prédateurs. Les spécimens biologiques seront donc enlevés du site du crash aussi rapidement que possible afin de préserver ce qu’il en reste dans des conditions aussi bonnes que possible. Un enregistrement photographique sera fait de tout les échantillons organiques avant qu'ils ne soient enlevés du site.
b) Le personnel impliqué dans ce type d'opération prendra toutes les précautions raisonnables pour réduire au minimum le contact physique avec les cadavres ou les restes découverts. Des gants chirurgicaux doivent être portés ou, s'ils ne sont pas disponibles, des gants de laine ou de cuir peuvent être portés pourvu qu'ils soient rassemblés pour la décontamination immédiatement après l'utilisation. Les pelles et des outils de tranchée peuvent être employés pour manipuler les restes pourvu qu’une attention soit exercée afin d’être certain qu'aucun dommage ne soit fait aux restes. Les échantillons seront manipulés à mains nues si seulement aucun autre moyen de les déplacer n’a pu être trouvé. Tout le personnel et l'équipement impliqué dans des opérations de récupération subiront des procédures de décontamination immédiatement après que ces opérations aient été achevées.
c) Les restes seront préservés contre une décomposition future si l'équipement et les conditions le permettent. Les cadavres et restes seront mis en sac ou enveloppé solidement dans des couvertures imperméables. Des toiles goudronnées ou des bâches peuvent être employées à cette fin si nécessaire. Les restes seront réfrigérés ou empaqueté avec de la glace si disponible. Tous les restes seront étiquetés, avec l’heure et la date. Les restes enveloppés seront placé sur des civières ou dans des conteneurs scellés pour un déplacement immédiat dans une zone sécurisée.
d) Les petites pièces isolées et le matériel gratté de surfaces solides seront mis dans des fioles ou d'autres petits conteneurs si disponible. Les conteneurs seront clairement marqués quant à leur contenu avec l’heure et la date enregistrée. Les conteneurs seront réfrigérés ou empaquetés avec de la glace aussitôt que possible et déménagés dans zone sécurisée.
DIAGRAMMES DES DIFFERENTS TYPE DE VAISSEAUX
ANNEXE I
RÉFÉRENCES
http://photovni.free.fr/majestic12/
MAJESTIC 12 : LE RETOUR DU GROTESQUE
Par Fabrice Bonvin
"D’ici deux ans, Washington admettra l’existence des OVNIs.
D’ici cinq ans, on interagira avec ces créatures…»
Stanton Friedman, dans une interview publiée
le 6 Mai 1967 dans le Akron Beacon Journal (Ohio)
INTRODUCTION – RAPPEL
Le Majestic-12 s’est offert une nouvelle cure de jouvence et la possibilité de redorer son blason : de nouvelles "preuves" font surface. Une manière d’oublier – momentanément – que les documents originaux reçus par l’équipe Moore-Shandera- Friedman sont des faux.
Permettez-moi un bref rappel historique et contextuel de cette affaire nécessaire à un meilleur éclairage de l’actualité :
Tout débute en juin 1987 quand l’existence de documents relatifs à un groupe appelé Majestic-12 est révélée par William Moore lors du Symposium du MUFON UFO Network à Washington DC. A l’origine, cette pièce de huit pages était parvenue sous la forme d’une pellicule photographique dans une enveloppe au domicile de Jaime Shandera, producteur d’une station de télévision de Los Angeles, en décembre 1984. Deux ans plus tôt, Jaime Shandera s’était joint à Moore et à Stanton Friedman pour effectuer un travail en équipe basé sur la recherche de documents officiels prouvant l’implication du gouvernement américain dans la dissimulation de la vérité sur les OVNIs (1).
Le document se compose de deux éléments totalement différents :
1. sept pages relatives à un groupe de sécurité national appelé «Majestic-12» constitué de douze hautes personnalités civiles et militaires, censé coordonner les recherches et maintenir un secret absolu sur les problème des OVNIs. Cette pellicule d’un modèle 35 mm contient un document datant du 18 novembre 1952, adressé au Président Eisenhower. Le document est censé être rédigé par l’Amiral Roscoe H. Hillenkoetter (MJ-1). Il indique qu’un groupe de sécurité nationale top-secret nommé MAJESTIC-12 fut créé à l’initiative de Truman le 24 septembre, sur recommandation du Dr Vannevar Bush et du Secrétaire d’Etat à la Défense, James Forrestal. La raison de cette action fut la découverte d’un OVNI accidenté et des dépouilles mortelles de ses quatre occupants, le 7 juillet 1947 à Roswell.
2. un mémorandum d’une page signée du Président Harry Truman adressé à James Forrestal, en date du 24 septembre 1947, relatif à une «Opération Majestic-12».
Le groupe MAJESTIC-12 était donc composé de 12 membres occupant de très hautes fonctions à cette époque-là. En effet, le Secrétaire de la Défense, les trois premiers directeurs de la CIA, un Général de l’USAF, un autre de l’Armée et une brochette de scientifiques de très hauts niveaux figuraient sur la liste des membres.
Il s’agissait de :
Am. Roscoe H. Hillenkoetter
Dr. Vannevar Bush Secy.
James V. Forrestal
Gén. Nathan F. Twining
Gén. Hoyt S. Vandenberg
Dr. Detlev Bronk
Dr. Jerome Hunsaker
Mr. Sidney W. Souers
Mr. Gordon Gray
Dr. Donald Menzel
Gen. Robert M. Montague
Dr. Lloyd V. Berkner
James Forrestal
Note : le "décès" de James Forrestal le 22 Mai 1949. Remplacé le 1er août 1950 par Walter B. Smith, comme membre permanent.
Suite à la réception de ces documents, de nombreux experts et Ufologues se sont lancés dans un débat technique et une reconstruction historique visant à les authentifier.
Il fut notamment établi que le caractère utilisé dans les documents est de type pica, très courant à l’époque, et que le document fut tapé sur une machine de marque Underwood, voire Remington. On remarqua aussi que la personne ayant dactylographié ces huit pages tapait avec deux doigts seulement, ceci étant visible au niveau des quelques fautes de frappe n’ayant pas été corrigées (le mot «liaison» a été tapé deux fois de suite «liason»). Cette faute de frappe est caractéristique chez les personnes tapant avec deux doigts (2).
Le chercheur Jean Sider a montré que l’auteur des documents avait copié le style de datation de William Moore peut-être dans le but de porter atteinte à la crédibilité de l’équipe Moore-Shandera-Friedman pour torpiller définitivement le crash de Roswell.
Puis vint le coup fatal : il fut prouvé que le mémo Truman du 24 septembre 1947 est un trucage effectué à partir d’une vraie signature du Président et d’un faux mémorandum. Même si les auteurs de la fraude restaient à identifier, ces preuves accablantes enterraient définitivement le folklorique MJ-12.
le mémo Truman du 24 septembre 1947 est un trucage
LE RETOUR
Tel le mort-vivant, il resurgit en 1993, croyant pouvoir encore nous effrayer – et nous intéresser - avec ces histoires d’Aliens frigorifiés et de complots planétaires. S’agit-il d’une version revue et corrigée du MJ-12, expurgée de ces grossières erreurs ?
Ce ne sont ni le N.Y. Times ni le Washington Post qui reçurent ces nouveaux documents explosifs, mais Timothy Cooper. Un journaliste influent ? Un Ufologue de renommée mondiale ? Non, un Monsieur-tout-le-monde s’intéressant un peu aux OVNIs. C’est donc lui qui reçut les premiers documents en 1992 dans sa boîte aux lettres. D’autres individus, dont l’Ufologue Don Berliner, reçurent les cadeaux de ce Père Noël d’un type particulier. Selon Cooper, il s’agirait d’un agent des services de renseignement répondant au pseudonyme de Thomas Cantwheel.
Tim Cooper
Le Dr. Robert Wood et son fils, Ryan Wood se sont chargés d’investiguer (d’en faire la promotion, selon Philip Klass) ces documents et de les authentifier. Le Dr. Wood est un ingénieur à la retraite. Il travailla pour McDonnell-Douglas jusqu’en 1993. Ryan devint consultant après avoir travaillé pour Intel Corp., Compaq et Toshiba.
Pour les Wood, les documents originaux du MJ-12 rendus public par Moore, Shandera et Friedman sont authentiques. Au vu de ce qui a été exposé dans mon introduction, il est évident que cette position est difficilement défendable. Mais, bon, pourquoi ne pas jouer à l’avocat du diable ? Et vous vous en doutez, les nouveaux documents sont également authentiques à leurs yeux. C’est plus simple et logique comme ça, non ?
Sommés d’expliquer les nombreuses incohérences, erreurs des documents originaux du MJ-12, les Woods ont répondu que leurs inconsistances font justement la force de ces documents. En effet, selon eux, il n’y a pas de style "type" dans le traitement bureaucratique des documents gouvernementaux ou militaires.
Par contre, il reconnaissent qu’il y a bien des tendances et des procédures idéales.
Aussi, pour expliquer la "fraude" du document Truman du 24 septembre 1947, Bob présenta une machine nommée "pentagraphe» permettant au Président de signer plusieurs documents en même temps, d’où les signatures identiques !
Concernant les nouveaux documents, l’analyse par les Wood ne vient que de commencer. Ils ont étudié 15 documents ou 96 pages sur les 2'100 pages reçues (3). Cependant, l’utilisation d’une machine de type Underwood Portable de 1939 ne fait aucun doute pour eux.
Bien évidemment, ces documents appellent à la suspicion. Et ceci pour ces deux principales raisons : Primo, il a été prouvé que les documents MJ-12 de 1987 sont des faux. Conscient de cet acquis, comment attribuer, maintenant, une quelconque crédibilité à ces nouveaux documents ? Secundo, l’expéditeur des documents est anonyme, comme lors de l’affaire des documents originaux de 1987, ce qui ne pousse pas à un avis favorable sur l’authenticité des documents.
Néanmoins, quelques courageux Ufologues et spécialistes en tout genre ont commencé à jeter un regard critique sur ces documents.
Je vais maintenant rendre compte de l’analyse de certains nouveaux documents du MJ-12. Vous trouverez, en annexe, des extraits de ces documents :
LES ANALYSES
Document #1
Nom du document : "Le Majestic-12 Group Special Operations Manual»
Nombre de pages : 23 pages
Date : Avril 1954
Reçu par : Don Berliner, 1994
Analysé par : Jan Aldrich et Collaborateurs membres du FUFOR
Le Special Operations Manual vise à donner aux équipes d’intervention les instructions et outils nécessaires à une opération de récupération d’un OVNI et de ses occupants. A noter que ce document reçu par Don Berliner ne semble pas complet.
Voici, en condensé, les principales critiques adressées au document, invalidant sérieusement l’hypothèse du document authentique :
Le contenu du manuel ne répond pas aux buts qu’il se propose. Un manuel de terrain dont le but est de maîtriser une situation de récupération d’OVNI crashé n’a aucun raison d’inclure les informations suivantes : histoire des OVNIs – typologie des OVNIs – diverses informations sur la détection des OVNIs par radar – etc…
La désignation TO 12D1-3-11-1 n’est expliquée nulle part dans le manuel. La désignation utilisée par l’Armée aurait été TM (Technical Manual) suivi d’une série de numéros. La désignation de l’Air Force est TO (Technical Order) suivie de chiffres, comme c’est le cas dans le manuel. Il s’agirait maintenant d’aller voir dans l’index des Air Forces Technical Orders.
"Eyes Only» n’est pas une classification de sécurité. Toutefois, il est quelquefois utilisé comme une procédure de communication.
Comme il s’agit d’un manuel, il devrait figurer sur la couverture un "copie numéro X de X copies».
Il manque le numéro de contrôle du "Top Secret". Cela constitue une violation du règlement. Comme le SM 1-01 n’est pas un document archivé, cela signifie qu’il est encore actif. Donc, l’erreur n’a pas été corrigée durant 40 ans. Extrêmement suspect.
Les security warning sont incomplets. La plupart des manuels énumèrent les sanctions en cas de violation de sécurité.
Les pages ne sont pas numérotées. La plupart des manuels de l’époque possédaient des pages numérotées pour vérifier l’intégrité du manuel.
Paragraphe 12 c, chapitre 3. Le manuel évoque le scénario du "satellite qui s’écrase sur Terre» comme cover story d’un crash d’OVNI pour éloigner la presse. Or, en 1954, le crash d’un satellite aurait fait sensation dans la presse et les effets d’une telle déclaration aurait été contraire au but recherché.
Document #2
Nom du document : "Relationships with Inhabitants of Celestrial Bodies»
Nombre de pages : 6 pages
Date : Juin 1947
Reçu par : ? ? ?
Analysé par : Bruce Maccabee
Ce document, qui est un brouillon, traite des relations à venir entre les humains et les EBEs en cas de contacts. Il aurait été rédigé par Albert Einstein et J.Robert Oppenheimer. Excusez du peu. En 1947, Princeton abritaient ces deux sommités.
Oppenheimer dirigea, dès 1943, le Laboratoire de Los Alamos, qui devait développer la bombe atomique. Il décéda le 18 février d’un cancer de la gorge.
Comme ce document traite essentiellement de lois internationales et de colonisation, on peut se demander pourquoi Einstein et Oppenheimer pour la rédaction sur un tel sujet. Cela ne semble pas crédible du tout.
Le papier n’est pas cohérent dans la structure de l’exposé du problème. La première partie traite des lois internationales appliquées aux EBEs venant sur Terre. Puis, la deuxième partie passe aux commentaires sur les humains colonisants des corps célestes. Finalement on aboutit aux menaces militaires, ne provenant pas des EBEs mais des Russes.
La construction syntaxique, le raisonnement et l’exposé de la problématique sont dignes d’une composition de Forrest Gump ou d’un mauvais roman de SF.
De plus, les fautes d’orthographes et de frappes sont légions.
L’étude du style de J. Robert Oppenheimer montre qu’il n’a pas dicté ou écrit ce papier, car son style est plutôt sophistiqué.
Document #3
Nom du document : "Intelligence Assessment – IPU Summary»
Nombre de pages : 7 pages
Date : 1947
Reçu par : ? ? ?
Il ne s’agit pas, pour ce document, de l’analyser mais de vous rendre attentif au fait qu’il propose un résumé des activités et du rayon d’action de l’IPU, organisme, semble-t-il, réel mais très peu connu.
Il semblerait qu’en 1947, l’IPU fut instaurée, peut-être à la suite du crash de Roswell. L’IPU dépendait de l’U.S. Army et elle a été désactivée à la fin des années 1950.
John R. Frick, de Melbourne, Floride, prétendit que l’IPU fut instaurée en avril 1945. Cette initiative aurait été prise par le fameux Général McArthur à la suite d’une rencontre avec un étranger à la Terre, qu’il aurait faite lui-même. Frick affirme que les archives de l’IPU représentent la «plus grande accumulation de preuves documentées sur la présence de forces étrangère à la Terre jamais réunies par une seule source». Les dossiers de l’IPU contiendraient plus de 2'000 rapports.
Quant à Timothy Good, il prétend que le Général Marshall fut le père de l’IPU en 1947.
CONCLUSIONS
Ces nouveaux documents ont remis à l’ordre du jour une affaire qui s’est avérée extrêmement coûteuse pour la communauté ufologie en termes de crédibilité, de temps et d’argent. Et voilà que ces nouveaux documents font leurs apparitions ! De nouveau, l’expéditeur de ces documents a préféré rester dans l’ombre, ce qui est fort regrettable. Loin d’être convaincants, ils tendent à confirmer la supercherie des documents originaux de 1987.
Etant donné l’état de délabrement total de la recherche ufologique, on peut s’interroger sur la légitimité de débattre de ces nouveaux documents, contribuant à la décadence de l’Ufologie. Le milieu ufologique a définitivement mieux à faire, par l’exploration d’autres pistes, moins coûteuses, obscures ou malsaines.
Comme la plupart de nos confrères d’Outre-Atlantique semblent raffoler de ce genre de polémiques inutiles, l’affaire continue : ainsi, Tim Cooper a accepté de se soumettre à un détecteur de mensonge.
Comme pour les documents de 1987, on constate que certains documents ont été censurés. Dans les documents originaux, c’était Moore qui les avait caviardés lui-même, par peur de représailles du gouvernement, avait-il avoué.
Ou était-ce pour leur donner une apparence plus mystérieuse, plus gouvernementale ? En tout cas, la question se pose de savoir qui est l’auteur de la censure des nouveaux documents, Tim Cooper ?
Adresses utiles :
DR ROBERT & RYAN WOOD
Majestic Documents
PO Box 2272,
Redwood City CA 94064
Internet : http://www.majesticdocuments.com
SOURCES
1. Sider, Jean, Ultra Top Secret, Axis Mundi, 1990
2. Sider, Jean, ,Super-magouille ou scoop du siècle ?, OVNI Présence, numéro 40, août 1988
3. Wood Ryan, Majestic UFO Documents Arrive This Summer, Sightings, 13 octobre 1999
4. Greenwood, Barry, MAJESTIC-12 FOLLIES RETURNS, U.F.O HISTORICAL REVUE, numéro 3, Janvier 1999
http://www.ovni.ch/~farfadet/Majestic12.html
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Re: Ovni: Les documents Majestic12 un vaste canular
Mer 28 Mar 2012, 14:58
Les membres du comité majestic 12
Sidney W. Souers
L' amiral Sidney William Souers (30 mars 1892 - 14 janvier 1973) fut le premier Director of Central Intelligence nommé par Harry S. Truman entre le 23 janvier et le 6 juin 1946. Il sera remplacé par le général Hoyt S. Vandenberg. En 1947, il est secrétaire exécutif du National Security Council. En 1950, Souers quitte la Marine et le service du gouvernement tout en restant conseiller du président en matière de sécurité. Les mémoires du président Truman nous éclairent sur la nature véritable du départ de Sidney Souers.
« L’amiral Souers souhaitait retourner à la vie civile et je lui avais promis de le laisser libre de le faire dès que l’armée de terre, la Marine et le Département d’Etat se seraient mis d’accord pour lui trouver un remplaçant. Environ six mois plus tard, le général Hoyt Vandenberg fut unanimement recommandé et je le nommai directeur permanent. Je fus heureux cependant que l’amiral Souers accepte de rester consultant de Vandenberg ».
Le 18 septembre 1947, le Central Intelligence Group devenait la CIA dont la tâche essentielle était de compiler les différentes informations en provenance des différents services secrets militaires et civils afin d’en dresser une synthèse pour le compte du NSC.
Vannevar Bush
Vannevar Bush est un ingénieur Américain, conseiller scientifique du président Roosevelt et chercheur au MIT. Il est surtout connu comme étant l'un des pionniers d'Internet, à travers notamment son article « As We May Think » (1945) dans lequel il anticipe l'invention de l'hypertexte et qui a depuis accédé à la notoriété. Dans cet article, paru dans la revue Atlantic Monthly, il décrit un système, appelé Memex, sorte d'extension de la mémoire de l'homme. Ce texte jetait les bases de ce qu'il faut bien appeler un ordinateur et un réseau. Il s'agissait de pouvoir y stocker des livres, des notes personnelles, des idées et de pouvoir les associer entre elles pour les retrouver facilement. Il évoquait déjà les notions de liens et de parcours en prenant pour modèle le fonctionnement par association du cerveau humain et proposait de mettre en œuvre un mécanisme similaire pour la gestion des documents de son système. Il est également l'inventeur d'un analyseur différentiel.
Biographie
Né le 11 mars 1890 à Everett (Massachusetts), il soutient sa maîtrise en 1913. Chargé des inspections du matériel de la Marine US entre 1914 et 1915, il obtient un doctorat au MIT (Massachussetts Institute Technology) et à Harvard entre 1916 et 1917. En 1919, il intègre le département d’Ingénierie Electrique du MIT auquel il appartiendra vingt-cinq ans durant. En 1927, il est le co-inventeur de l’ « analyseur différentiel », ordinateur résolvant des équations simples et se consacre dès lors aux appareils optiques ainsi qu’au traitement automatisé des microfilms. En 1932, le Dr. Bush est nommé doyen de l’Institut, puis président du Carnegie Institute of Technology, (maintenant Carnegie Mellon University, cf. Andrew Carnegie) et titulaire d’une chaire au NACA (National Advisory Committee for Aeronautics, comité consultatif national sur l’aéronautique et ancêtre de la NASA) en 1938. C’est à cette époque que l’Etat américain fait appel à lui pour réorganiser différentes officines gouvernementales. En 1940, il est notamment chargé de l’organisation de la nouvelle NDRC (National Defense Research Committee) voulue par le Conseil de Défense Nationale et le président Franklin D. Roosevelt. Le but du NDRC était principalement la conception de nouvelles armes technologiques. D’éminents scientifiques y furent employés comme Nikola Tesla et le Dr. Edward Condon, qui sera chargé de faire taire les rumeurs et de conclure scientifiquement à la non-viabilité de l’étude du phénomène OVNI. Il sera fait mention plus avant de ces deux personnages qui sont étroitement associés à l’ufologie. En 1947 le NDRC sera dissous en même temps que l’OSRD (Office of Scientific Research and Development), dont il était partie intégrante depuis juin 1940 par ordre exécutif. En 1941, le Dr. Bush prend la tête de la même OSRD et devient le maître d’œuvre de la recherche scientifique de l’Amérique en guerre, avec des effectifs conséquents, environ 6000 scientifiques. Il sera une des têtes pensantes du « projet Manhattan » qui conférera l’arme atomique aux États-Unis.
Au mois de juillet 1946, Bush est nommé directeur des JRDB (Joint Research and Development Board) des départements de la guerre et de la marine. Cette organisation dépendait du Department of Defense et s’efforçait de coordonner les travaux de recherche et de développement des différentes armes. C’est au sein de cette organisation qu’il aurait rencontré Lloyd Viel Berkner, et lui aurait proposé d’intégrer le groupe MJ-12. De septembre 1947 à octobre 1948, il dirige le Development Board of the National Military Establishment avant d’être nommé en 1948 à la tête de la firme AT&T, puis de Merck & Co. Directeur dès 1950 de la NSF (National Science Foundation), qui se proposait de « promouvoir l’avancement de la science ; faire évoluer la santé, la prospérité et le bien-être national ; et sécuriser la Défense nationale » et dont il restera membre jusqu’en 1955, il est président de la MIT Corporation de 1957 à 1959 puis président honoraire jusqu’en 1971. Vannevar Bush décède en 1974.
Hoyt S. Vandenberg
Hoyt S. VandenbergOriginaire de Milwaukee, le général Hoyt Sanford Vanderberg, né en 1899, est le neveu du sénateur Arthur Vanderberg. En 1923, diplômé de l’Académie militaire des États-Unis, il est affecté dans l’armée de l’Air. Durant la Seconde Guerre mondiale, il est chef du renseignement militaire puis succède en 1946 à l’amiral Sidney W. Souers au poste de Director of Central Intelligence. Le DCI était directeur de la CIA, chef de l’ « Intelligence Community », et principal conseiller du président en matière de renseignement.
Directeur de l’OEP (« Office of Emergency Planning », Bureau des plans d’urgence), le DCI siégeait de fait à la National Intelligence Authority, composée de représentants du président, de secrétaires d’Etat, du secrétaire à la Défense et de la « Navy », par un ordre exécutif. Au sein de la Central Intelligence Group, ex-OSS et qui allait devenir la CIA, Vanderberg s’emploie à donner à ce service son importance et ses caractéristiques modernes. En Avril 1947, il
Donald Howard Menzel
Donald Howard Menzel (11 avril 1901 – 14 décembre 1976) était un astronome américain.
Il étudia à l'université de Denver et obtint son doctorat à Princeton. Il alla ensuite au l'observatoire Lick mais le quitta en 1932 pour un poste à Harvard.
Il fit des recherches sur le soleil dans un premier temps, avant de se concentrer sur l'étude des nébuleuses gazeuses.
Il écrivit "A Field Guide to the Stars and Planets", une partie des "Peterson Field Guides".
La personnalité du Dr. Donald Howard Menzel est encore plus liée au fait ovni qu’aucune autre, puisque professeur d’Astrophysique à Harvard, ancien directeur du Harvard Collège Observatory et membre du Smithonian Astrophysical Observatory, Menzel fut un des plus farouches négateurs du fait ovni.
Théorie du complot anti Ovni
Dès 1947, il avance des thèses, certaines plus ou moins judicieuses pour expliquer les observations de Kenneth Arnold, des reflets de cristaux de glace sur les formations nuageuses jusqu’à des gouttes d’eau sur le pare-brise de l’avion d’Arnold. Le physicien nucléaire et ufologue Stanton Friedman qui investigua sur les documents MJ, consulta les archives Menzel et Forrestal à Harvard et Princeton et découvrit que le Dr. Menzel possédait une habilitation « Ultra Top secret » et qu’il fut conseiller du gouvernement fédéral tout en continuant son métier de professeur d’université . Il fut un des touts premiers et des plus actifs « débunkers » que compta le débat autour du fait ovni. Donald Menzel fut indiscutablement une source d'autorité auprès de la communauté scientifique pour affirmer que le fait ovni se résumait à hallucinations et erreurs d’interprétation, et tacha de convaincre le public.L’astrophysicien Pierre Guérin, dans le livre qu’il consacre aux mécanismes sociologiques et scientifiques en œuvre dans la dénégation systématique et infondée du fait ovni, « Ovni, les mécanismes d’une désinformation », ne manque pas d’épingler l’attitude consciente de Menzel dans sa volonté manifeste d’occulter ces faits.
Detlev Bronk
Le Dr. Detlev Wulf Bronk, né à New York en 1897, a été President de l'académie des sciences américaines (NAS) de 1950 à 1962.
Il sert dans l’aviation américaine durant la Première Guerre mondiale avant de décrocher en 1926 à l’université du Michigan, un doctorat en physique et physiologie. Jusqu’en 1946, il occupe d’importantes fonctions dans le milieu médical, principalement en matière de neurologie. En 1946, Bronk est nommé président du United States National Research Council (NRC), organisation créée par la NAS.
Sa carrière se poursuivit en 1953 où il préside l’Institut Rockfeller pour la recherche médicale (aujourd’hui université Rockfeller) et en 1954 où il préside le NRC. En 1962, il quitte la présidence du NAS et du NRC. Il décède le 17 novembre 1975.
Robert M. Montague
Le général Robert M. Montague fut le commandant de la base de Sandia à Albuquerque, laquelle abritait l’Atomic Energy Commission, dont Montague était le chef des projets « Armements spéciaux ».
L’AEC avait été créée en 1946 par le Congrès américain pour diriger la conception et le développement d’armes nucléaires ainsi que de modes de propulsion, pour la Marine notamment.
Nathan F. Twining
Nathan F. TwiningNathan Farragut Twining (1897-1982) est un général américain. Il fut chef d'État-major de l'US Air Force de 1953 à 1957, avant d'être le premier général de l'Air Force a être nommé Chef d'État-Major des armées de 1957 à 1960.
Twining est issu d'une grande lignée militaire. Ses ancêtres servaient déjà dans l'armée de terre et la marine américaine depuis les guerres indiennes. Lorsqu'éclate la Première Guerre mondiale, il s'engage dans l'armée et rentre à West Point. Comme la formation est accélérée pour permettre de former plus d'officiers et les envoyer au front, il n'y passe que deux ans, et obtient son diplôme en 1919. Il rejoint alors l'infanterie où il reste trois années, avant d'être transféré au service de l'air, en 1922.
Il passe les quinze années suivantes à voler sur des chasseurs au Texas, en Louisiane et à Hawaii, tout en suivant les formations de l'école tactique de l'air (Air Corps Tactical School) et du collège de l'État-major (Command and General Staff College).
Lorsqu'éclate la Seconde Guerre mondiale, il occupe un poste à la division des opérations du service de l'air. En 1942, il est envoyé dans le Pacifique sud où il devient chef des forces aériennes alliées du secteur. En janvier 1943, il prend le commandement de la 13th USAAF, avant d'être envoyé en Europe pour prendre la tête de la 15th USAAF en novembre, en remplacement de James H. Doolittle.
A la capitulation de l'Allemagne nazie, le Général Arnold le renvoie dans le Pacifique où il dirige les B-29 de la 20th USAAF. Cependant, il y reste peu de temps, le Japon capitulant en septembre 1945.
Il retourne aux États-Unis où il est nommé chef du matériel de l'air (Air Materiel Command), avant de prendre, en 1947, la direction de la région aérienne de l'Alaska (Alaskan Air Command).
Après trois ans à ce poste, il est sur le point de prendre sa retraite avec son grade de Lieutenant Général, lorsque Muir Fairchild, l'adjoint du chef d'État-major, meurt subitement d'une crise cardiaque. Twining est alors promu Général et le remplace, en 1950. Au milieu de l'année 1953, Hoyt Vandenberg prend sa retraite, et Twining devient chef d'État-major de l'US Air Force, poste qu'il occupe jusqu'en 1957, avant d'être le premier général de l'Air Force a être nommé Chef d'État-Major des armées de 1957 à 1960.
Nathan Farragut Twining meurt en 1982.
Sidney W. Souers
L' amiral Sidney William Souers (30 mars 1892 - 14 janvier 1973) fut le premier Director of Central Intelligence nommé par Harry S. Truman entre le 23 janvier et le 6 juin 1946. Il sera remplacé par le général Hoyt S. Vandenberg. En 1947, il est secrétaire exécutif du National Security Council. En 1950, Souers quitte la Marine et le service du gouvernement tout en restant conseiller du président en matière de sécurité. Les mémoires du président Truman nous éclairent sur la nature véritable du départ de Sidney Souers.
« L’amiral Souers souhaitait retourner à la vie civile et je lui avais promis de le laisser libre de le faire dès que l’armée de terre, la Marine et le Département d’Etat se seraient mis d’accord pour lui trouver un remplaçant. Environ six mois plus tard, le général Hoyt Vandenberg fut unanimement recommandé et je le nommai directeur permanent. Je fus heureux cependant que l’amiral Souers accepte de rester consultant de Vandenberg ».
Le 18 septembre 1947, le Central Intelligence Group devenait la CIA dont la tâche essentielle était de compiler les différentes informations en provenance des différents services secrets militaires et civils afin d’en dresser une synthèse pour le compte du NSC.
Vannevar Bush
Vannevar Bush est un ingénieur Américain, conseiller scientifique du président Roosevelt et chercheur au MIT. Il est surtout connu comme étant l'un des pionniers d'Internet, à travers notamment son article « As We May Think » (1945) dans lequel il anticipe l'invention de l'hypertexte et qui a depuis accédé à la notoriété. Dans cet article, paru dans la revue Atlantic Monthly, il décrit un système, appelé Memex, sorte d'extension de la mémoire de l'homme. Ce texte jetait les bases de ce qu'il faut bien appeler un ordinateur et un réseau. Il s'agissait de pouvoir y stocker des livres, des notes personnelles, des idées et de pouvoir les associer entre elles pour les retrouver facilement. Il évoquait déjà les notions de liens et de parcours en prenant pour modèle le fonctionnement par association du cerveau humain et proposait de mettre en œuvre un mécanisme similaire pour la gestion des documents de son système. Il est également l'inventeur d'un analyseur différentiel.
Biographie
Né le 11 mars 1890 à Everett (Massachusetts), il soutient sa maîtrise en 1913. Chargé des inspections du matériel de la Marine US entre 1914 et 1915, il obtient un doctorat au MIT (Massachussetts Institute Technology) et à Harvard entre 1916 et 1917. En 1919, il intègre le département d’Ingénierie Electrique du MIT auquel il appartiendra vingt-cinq ans durant. En 1927, il est le co-inventeur de l’ « analyseur différentiel », ordinateur résolvant des équations simples et se consacre dès lors aux appareils optiques ainsi qu’au traitement automatisé des microfilms. En 1932, le Dr. Bush est nommé doyen de l’Institut, puis président du Carnegie Institute of Technology, (maintenant Carnegie Mellon University, cf. Andrew Carnegie) et titulaire d’une chaire au NACA (National Advisory Committee for Aeronautics, comité consultatif national sur l’aéronautique et ancêtre de la NASA) en 1938. C’est à cette époque que l’Etat américain fait appel à lui pour réorganiser différentes officines gouvernementales. En 1940, il est notamment chargé de l’organisation de la nouvelle NDRC (National Defense Research Committee) voulue par le Conseil de Défense Nationale et le président Franklin D. Roosevelt. Le but du NDRC était principalement la conception de nouvelles armes technologiques. D’éminents scientifiques y furent employés comme Nikola Tesla et le Dr. Edward Condon, qui sera chargé de faire taire les rumeurs et de conclure scientifiquement à la non-viabilité de l’étude du phénomène OVNI. Il sera fait mention plus avant de ces deux personnages qui sont étroitement associés à l’ufologie. En 1947 le NDRC sera dissous en même temps que l’OSRD (Office of Scientific Research and Development), dont il était partie intégrante depuis juin 1940 par ordre exécutif. En 1941, le Dr. Bush prend la tête de la même OSRD et devient le maître d’œuvre de la recherche scientifique de l’Amérique en guerre, avec des effectifs conséquents, environ 6000 scientifiques. Il sera une des têtes pensantes du « projet Manhattan » qui conférera l’arme atomique aux États-Unis.
Au mois de juillet 1946, Bush est nommé directeur des JRDB (Joint Research and Development Board) des départements de la guerre et de la marine. Cette organisation dépendait du Department of Defense et s’efforçait de coordonner les travaux de recherche et de développement des différentes armes. C’est au sein de cette organisation qu’il aurait rencontré Lloyd Viel Berkner, et lui aurait proposé d’intégrer le groupe MJ-12. De septembre 1947 à octobre 1948, il dirige le Development Board of the National Military Establishment avant d’être nommé en 1948 à la tête de la firme AT&T, puis de Merck & Co. Directeur dès 1950 de la NSF (National Science Foundation), qui se proposait de « promouvoir l’avancement de la science ; faire évoluer la santé, la prospérité et le bien-être national ; et sécuriser la Défense nationale » et dont il restera membre jusqu’en 1955, il est président de la MIT Corporation de 1957 à 1959 puis président honoraire jusqu’en 1971. Vannevar Bush décède en 1974.
Hoyt S. Vandenberg
Hoyt S. VandenbergOriginaire de Milwaukee, le général Hoyt Sanford Vanderberg, né en 1899, est le neveu du sénateur Arthur Vanderberg. En 1923, diplômé de l’Académie militaire des États-Unis, il est affecté dans l’armée de l’Air. Durant la Seconde Guerre mondiale, il est chef du renseignement militaire puis succède en 1946 à l’amiral Sidney W. Souers au poste de Director of Central Intelligence. Le DCI était directeur de la CIA, chef de l’ « Intelligence Community », et principal conseiller du président en matière de renseignement.
Directeur de l’OEP (« Office of Emergency Planning », Bureau des plans d’urgence), le DCI siégeait de fait à la National Intelligence Authority, composée de représentants du président, de secrétaires d’Etat, du secrétaire à la Défense et de la « Navy », par un ordre exécutif. Au sein de la Central Intelligence Group, ex-OSS et qui allait devenir la CIA, Vanderberg s’emploie à donner à ce service son importance et ses caractéristiques modernes. En Avril 1947, il
Donald Howard Menzel
Donald Howard Menzel (11 avril 1901 – 14 décembre 1976) était un astronome américain.
Il étudia à l'université de Denver et obtint son doctorat à Princeton. Il alla ensuite au l'observatoire Lick mais le quitta en 1932 pour un poste à Harvard.
Il fit des recherches sur le soleil dans un premier temps, avant de se concentrer sur l'étude des nébuleuses gazeuses.
Il écrivit "A Field Guide to the Stars and Planets", une partie des "Peterson Field Guides".
La personnalité du Dr. Donald Howard Menzel est encore plus liée au fait ovni qu’aucune autre, puisque professeur d’Astrophysique à Harvard, ancien directeur du Harvard Collège Observatory et membre du Smithonian Astrophysical Observatory, Menzel fut un des plus farouches négateurs du fait ovni.
Théorie du complot anti Ovni
Dès 1947, il avance des thèses, certaines plus ou moins judicieuses pour expliquer les observations de Kenneth Arnold, des reflets de cristaux de glace sur les formations nuageuses jusqu’à des gouttes d’eau sur le pare-brise de l’avion d’Arnold. Le physicien nucléaire et ufologue Stanton Friedman qui investigua sur les documents MJ, consulta les archives Menzel et Forrestal à Harvard et Princeton et découvrit que le Dr. Menzel possédait une habilitation « Ultra Top secret » et qu’il fut conseiller du gouvernement fédéral tout en continuant son métier de professeur d’université . Il fut un des touts premiers et des plus actifs « débunkers » que compta le débat autour du fait ovni. Donald Menzel fut indiscutablement une source d'autorité auprès de la communauté scientifique pour affirmer que le fait ovni se résumait à hallucinations et erreurs d’interprétation, et tacha de convaincre le public.L’astrophysicien Pierre Guérin, dans le livre qu’il consacre aux mécanismes sociologiques et scientifiques en œuvre dans la dénégation systématique et infondée du fait ovni, « Ovni, les mécanismes d’une désinformation », ne manque pas d’épingler l’attitude consciente de Menzel dans sa volonté manifeste d’occulter ces faits.
Detlev Bronk
Le Dr. Detlev Wulf Bronk, né à New York en 1897, a été President de l'académie des sciences américaines (NAS) de 1950 à 1962.
Il sert dans l’aviation américaine durant la Première Guerre mondiale avant de décrocher en 1926 à l’université du Michigan, un doctorat en physique et physiologie. Jusqu’en 1946, il occupe d’importantes fonctions dans le milieu médical, principalement en matière de neurologie. En 1946, Bronk est nommé président du United States National Research Council (NRC), organisation créée par la NAS.
Sa carrière se poursuivit en 1953 où il préside l’Institut Rockfeller pour la recherche médicale (aujourd’hui université Rockfeller) et en 1954 où il préside le NRC. En 1962, il quitte la présidence du NAS et du NRC. Il décède le 17 novembre 1975.
Robert M. Montague
Le général Robert M. Montague fut le commandant de la base de Sandia à Albuquerque, laquelle abritait l’Atomic Energy Commission, dont Montague était le chef des projets « Armements spéciaux ».
L’AEC avait été créée en 1946 par le Congrès américain pour diriger la conception et le développement d’armes nucléaires ainsi que de modes de propulsion, pour la Marine notamment.
Nathan F. Twining
Nathan F. TwiningNathan Farragut Twining (1897-1982) est un général américain. Il fut chef d'État-major de l'US Air Force de 1953 à 1957, avant d'être le premier général de l'Air Force a être nommé Chef d'État-Major des armées de 1957 à 1960.
Twining est issu d'une grande lignée militaire. Ses ancêtres servaient déjà dans l'armée de terre et la marine américaine depuis les guerres indiennes. Lorsqu'éclate la Première Guerre mondiale, il s'engage dans l'armée et rentre à West Point. Comme la formation est accélérée pour permettre de former plus d'officiers et les envoyer au front, il n'y passe que deux ans, et obtient son diplôme en 1919. Il rejoint alors l'infanterie où il reste trois années, avant d'être transféré au service de l'air, en 1922.
Il passe les quinze années suivantes à voler sur des chasseurs au Texas, en Louisiane et à Hawaii, tout en suivant les formations de l'école tactique de l'air (Air Corps Tactical School) et du collège de l'État-major (Command and General Staff College).
Lorsqu'éclate la Seconde Guerre mondiale, il occupe un poste à la division des opérations du service de l'air. En 1942, il est envoyé dans le Pacifique sud où il devient chef des forces aériennes alliées du secteur. En janvier 1943, il prend le commandement de la 13th USAAF, avant d'être envoyé en Europe pour prendre la tête de la 15th USAAF en novembre, en remplacement de James H. Doolittle.
A la capitulation de l'Allemagne nazie, le Général Arnold le renvoie dans le Pacifique où il dirige les B-29 de la 20th USAAF. Cependant, il y reste peu de temps, le Japon capitulant en septembre 1945.
Il retourne aux États-Unis où il est nommé chef du matériel de l'air (Air Materiel Command), avant de prendre, en 1947, la direction de la région aérienne de l'Alaska (Alaskan Air Command).
Après trois ans à ce poste, il est sur le point de prendre sa retraite avec son grade de Lieutenant Général, lorsque Muir Fairchild, l'adjoint du chef d'État-major, meurt subitement d'une crise cardiaque. Twining est alors promu Général et le remplace, en 1950. Au milieu de l'année 1953, Hoyt Vandenberg prend sa retraite, et Twining devient chef d'État-major de l'US Air Force, poste qu'il occupe jusqu'en 1957, avant d'être le premier général de l'Air Force a être nommé Chef d'État-Major des armées de 1957 à 1960.
Nathan Farragut Twining meurt en 1982.
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Re: Ovni: Les documents Majestic12 un vaste canular
Mer 28 Mar 2012, 14:58
Gordon Gray
Le Dr. Gordon Gray (30 mai 1909, 26 novembre 1982) fut ministre-adjoint à l’Armée de Terre, puis conseiller en matière de Défense et directeur du conseil stratégique de la CIA.
Élu à plusieurs reprises sénateur de Caroline du Nord, cette éminence grise du Pentagone fut directeur du PSB et auteur d’un célèbre rapport sur la Garde nationale des États-Unis.
Sous la présidence de J.F. Kennedy à Gerald R. Ford, Gray est membre du PFIAB (President’s Foreign Intelligence Advisory Board), organe consultatif des présidents américains en matière de renseignements, chargé plus particulièrement d’apprécier la teneur des différentes productions des services secrets ainsi que l’adéquation de leurs actions.
Jerome Hunsaker
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Le Dr. Jérome C. Hunsaker fut un ingénieur aéronautique de tout premier plan, directeur du National Advisory Committee for Aeronautics
Né en 1886, il enseigne en 1913 l’ingénierie aéronautique dans le département d’Architecture Navale du Massachusetts Institute of Technology. Le 9 décembre 1915, il est le co-auteur avec E.B. Wilson du MIT, pour le NACA, d’un rapport sur « Le comportement des aéroplanes par mauvais temps ». Le 15 novembre 1917, Hunsaker intègre la Navy en tant qu’ ingénieur, au sein d’un comité sur les alliages légers, chargé de concevoir de nouveaux matériaux pour l’aéronautique. De 1939 à 1947, Hunsaker est à la tête du département d’Ingénierie Mécanique au MIT, auquel il appartiendra encore jusqu’en 1951.
Il décède le 10 septembre 1984.
Lloyd V. Berkner
Né en 1905, le Dr. Lloyd Viel Berkner est un ingénieur en physique et électronique. Jusqu’au début de la Seconde Guerre mondiale, il est physicien dans le groupe de recherche sur le magnétisme terrestre à l’Institut Carnegie de Washington. Durant le conflit mondial, il est chef de la section radar du bureau d’Aéronautique de la marine américaine puis occupe après la guerre le poste de secrétaire exécutif du JRDB (Joint Research and Development Board, organes militaires).
A la fin de l’année 1946, le secrétaire à la Défense James Forrestal le mandate en tant qu’expert en matière de physique et d’électronique au sein de l’opération « High Jump », d’exploration et de vérification quant à l’éventualité de l’établissement de bases américaines dans l’Antarctique, aux cotés de l’Amiral Byrd.
Géophysicien et spécialiste du magnétisme terrestre il fonde l’année géophysique internationale entre 1957 et 1958.
Il décède en 1967. A mi-chemin entre le monde scientifique et l'armée dont il sera toujours un loyal serviteur, le Dr. Berkner connaîtra une carrière rarissime pour un réserviste, puisqu’il atteindra le grade de vice-amiral.
Roscoe Henry Hillenkoetter
Roscoe Henry Hillenkoetter naquit en 1897 à Saint Louis. Après de nombreuses missions en France, il avait été officier responsable du Renseignement, sous les ordres du commandant en chef de la zone de l’océan Pacifique, l’amiral Nimitz. Contre-amiral en novembre 1946, Harry Truman en fait le premier directeur de la CIA en avril 1947. Etrange point d’orgue d’une carrière exemplaire, le contre-amiral quittera la US Navy en 1957, pour devenir un membre actif du NICAP, la célèbre association ufologique initiée par d’anciens officiers tels que le major Keyhoe, et dont il sera membre du conseil d’administration. Il n’est pas à exclure cependant que la tâche de l’amiral à la retraite fut essentiellement d’être l’informateur du pouvoir concernant les éventuelles investigations gênantes des enquêteurs-ufologues, comme l’affirme Pierre Guérin.[1]
Hillenkoetter mourut le 18 juin 1982.
Notes
↑ Pierre GUÉRIN, « Ovni, les mécanismes d’une désinformation », Albin michel, Paris, 2000, p.219.
Il semble qu’Hillenkoetter veilla principalement à discréditer dans l’esprit de Keyhoe les cas d’atterrissages et de crashs d’ovnis, mais il encouragea en revanche la collecte des informations d’ovnis en vol. Puis il ne put faire autrement que de démissionner lorsque Keyhoe le pressa de cautionner une conférence de presse au cours de laquelle il était prévu que des pilotes militaires présentent publiquement les détails probants d’observations d’ovnis qu’ils avaient faites en plein vol, ce qu’il refusa. Mais, avant cette démission, on imagine le nombre d’observations enquêtées à la source par le NICAP, qui purent arriver le plus facilement du monde à la connaissance des services de renseignements américains avant même que d’être rendues publiques !
forestal james
http://www.gnosticliberationfront.com/who_killed_james_forrestal.htm
TRADUCTION :MR PATRICK ROUILLY ©
EYES ONLY COPY ONE OF ONE
BRIEFING DE DOCUMENT : OPÉRATION MAJESTIC 12
PRÉPARÉ POUR LE PRÉSIDENT ELU DWIGHT D. EISENHOWER : (EYES ONLY)
18 novembre, 1952
AVERTISSEMENT Ceci est un document TOP SECRET – EYES ONLY contenant des informations compartimentées essentielles pour la sécurité nationale des Etats-Unis. EYES ONLY ACCESS à ce document est strictement limité à ceux possédant le niveau d’autorisation Majectic-12. La reproduction par quelque forme que ce soit ou la prise d'écrit ou de notes mécaniquement transcrites sont strictement interdites.
EYES ONLY COPY ONE OF ONE
SUJET : OPÉRATION MAJESTIC-12 BRIEFING PRÉLIMINAIRE POUR LE PRÉSIDENT ELU EISENHOWER.
DOCUMENT PRÉPARÉ le 18 NOVEMBRE, 1952.
OFFICIER DE BRIEFING: ADM. ROSCOE H. HILLENKOETTER (MJ-1)
NOTE : Ce document a été préparé seulement comme briefing préliminaire. Il doit être considéré comme une introduction à des opérations complètes de briefing prévues comme suit.
******
OPÉRATION MAJESTIC-12 est une opération TOP SECRET d’Informations et de renseignements responsable directement et seulement auprès du Président des Etats-Unis. La gestion du projet est effectuée sous le contrôle du Majestic-12 (Majic-12), Groupe qui a été créé selon ordre exécutif spécial classifié du Président Truman le 24 septembre, 1947, sous la recommandation du docteur Vannevar Bush et du Secrétaire James Forrestal. (Voir document joint « A ») les Membres du Groupe Majestic-12 sont désignés comme suit :
Adm. Roscoe H. Hillenkoetter
Docteur Vannevar Bush
Secy. James V. Forrestal*
Général Nathan F. Volubile
Général Hoyt S. Vandenberg
Docteur Jerome Hunsaker
M. Sidney W. Souers
M. Gordon Gray
Docteur Donald Menze
Général Robert M. Montague
Docteur Lloyd V. Berkner
La mort de Secrétaire Forrestal le 22 mai, 1949, a créé un poste vacant jusqu’au jusqu'au 01 août, 1950, date à laquelle le général Walter B. Smith a été nommé remplaçant permanent
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Le 24 juin, 1947 un pilote civil volant au-dessus de Cascade Mountains dans l’Etat de Washington a observé neuf engins volant en formation à très haute vitesse, ayant l’aspect de disques. Bien que ce ne soit pas la première observation connue de tels objets, il fût le premier à attirer l'attention dans les médias. Des centaines de rapports d’observations relatifs à des objets semblables ont suivi. Beaucoup d'entre eux vinrent de sources militaires et civiles fortement crédibles. Ces rapports ont abouti à des efforts indépendants de plusieurs sources militaires afin de vérifier la nature et le but de ces objets dans l’intérêt de la défense nationale. Certains témoins ont été entendus et plusieurs tentatives d’interception de ces disques en vol ont échoué. La réaction publique a avoisiné de temps en temps l'hystérie
Malgré ces efforts, peu d’informations furent apprises au sujet de ces objets avant qu'un propriétaire d'un ranch local n'ait annoncé que l’un d’eux s’était crashé dans une région éloignée du Nouveau Mexique située approximativement à soixante-quinze milles au Nord-Ouest de Base aérienne de Roswell (maintenant Walker Field)
Le 07 juillet, 1947, une opération secrète a été entreprise pour assurer la récupération de l'épave de cet objet pour étude scientifique. Durant l’opération, une reconnaissance aérienne à découvert que quatre petits êtres ressemblant à des humains avaient été apparemment éjectés du vaisseau quelques instants avant qu’il n’explose.
Ceux ci étaient tombés à environ deux milles à l'Est du site de l’épave. Tous quatre étaient mort et horriblement décomposés par l'action des prédateurs et l'exposition aux éléments depuis une semaine environ avant leur découverte. Une équipe scientifique spéciale a pris en charge l’enlèvement des corps pour l'étude. (Voir Document Joint "C".); L'épave du vaisseau a aussi été récupérée et dispatchée dans plusieurs emplacements différents. (Voir Document Joint "B".). Les témoins civils et militaires du secteur ont été débriefés et une histoire de couverture a été donnée à la presse concernant un ballon de recherche météorologique.
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Un effort analytique secret organisé par le général Twining et le Dr Bush sous les ordres directs du Président, a abouti à un consensus préliminaire (le 19 septembre, 1947) faisant ressortir que le disque était probablement un vaisseau de reconnaissance de courte action. Cette conclusion était basée en grande partie sur la taille du vaisseau et le manque apparent d’un quelconque ravitaillement identifiable. (Voir Document Joint "D".).Une analyse similaire des quatre occupants morts fût effectuée par le docteur Bronk. Ce fût la conclusion provisoire de ce groupe (30November, 1947) et bien que ces créatures soient d’apparence humaine, les processus biologiques et évolutionnaires responsables de leur développement ont apparemment tout à fait différés de ceux observés ou postulés chez l’homo sapiens. L'équipe de docteur Bronk a suggéré que le terme "Entités Biologiques Extraterrestres" ou "EBEs", soit adopté comme le terme standard de référence pour ces créatures jusqu'à ce qu'une désignation plus définitive soit convenue.
Puisqu'il est pratiquement certain que ce vaisseau ne provient d'aucun pays sur la terre, une supposition importante s'est concentrée autour de ce que pourrait être leur lieu d'origine. La planète Mars était et reste une possibilité, bien que quelques scientifiques, et plus spécialement le docteur Menzel, considère plus probablement que ces êtres viennent d'un autre système solaire.
Les nombreux exemples de ce que semble être une forme d'écriture ont été trouvés dans l'épave. Les efforts de déchiffrage ont en grande partie échoués. (Voir Document Joint "E".)
Ont également échoués les efforts de détermination de la méthode de propulsion ou la nature ou la méthode de transmission de la source d'énergie impliquée. La recherche a été compliquée par l'absence complète d'ailes identifiables, de propulseurs, de réacteurs ou d'autres méthodes conventionnelles de câbles, de tubes à vide ou de composants électroniques reconnaissables. (Voir Document Joint "F".) Il est présumé que l'unité de propulsion a été complètement détruite par l'explosion qui a causé l'accident.
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Un besoin d'un nombre important d'informations complémentaires sont nécessaires au sujet de ces vaisseaux, les caractéristiques de leurs performances et leur but conduisit à la prise du projet connu comme U.S. AIR FORCE Project SIGN en décembre, 1947. Pour préserver la sécurité, la liaison entre SIGN et Majestic-12 a été limitée à deux individus à l'intérieur de Intelligence Division of Air Matériel Command dont le rôle était de faire passer certains types d'information par différents canaux. SIGN évolua en Projet GRUDGE en décembre, 1948. L'opération est actuellement conduite sous le nom de code BLUE BOOK, avec liaison maintenue par l'intermédiaire d'un officier de l'Armée de l'air qui est le chef du projet.
Le 06 décembre, 1950, un deuxième objet, probablement d'origine semblable, se crasha sur la terre à haute vitesse dans le secteur de El-Indio-Guerrero à la frontière entre le Texas et le Mexique après avoir parcouru une longue distance dans l'atmosphère. Pendant ce temps une équipe de recherche arriva, mais ce qui restait de l'objet était presque complètement incinéré. Le matériel qui a pu être récupéré fût transporté dans la base de A.E.C à Sandia, Nouveau Mexique, pour étude.
Les implications pour la Sécurité nationale sont d'une continuelle importance en ce qui concerne les motifs et les intentions finales de ces visiteurs qui restent complètement inconnus. De plus, une augmentation significative de l'activité de surveillance de ces vaisseaux a commencé en mai et a continué jusqu'à l'automne de cette année causant une inquiétude considérable sur de nouveaux événements qui peuvent être imminents. C'est pour ces raisons, aussi bien que des considérations internationales évidentes et technologiques et le besoin final d'éviter une panique générale à tout prix, que le groupe Majestic-12 reste d'un avis unanime, que les mesures de précaution et de sécurité les plus strictes doivent continuer sans interruption dans la nouvelle administration. En même temps, le plan d'éventualité MJ-1949-04P/78 (Top Secret – Eyes Only) doit être maintenu en étant prêt à faire une révélation publique. (Voir Document Joint"G".)
retour accueilhttp://photovni.free.fr/document%20mj12/doc%20mj12.htm
liens:http://www.ufocasebook.com/documents.html
http://reguite.free.fr/Extraterrestres/majestic_12.html
http://www.chez.com/brunojls/OVNIs/Majestic%2012.htm
http://fr.wikipedia.org/wiki/Majestic_12
Le Dr. Gordon Gray (30 mai 1909, 26 novembre 1982) fut ministre-adjoint à l’Armée de Terre, puis conseiller en matière de Défense et directeur du conseil stratégique de la CIA.
Élu à plusieurs reprises sénateur de Caroline du Nord, cette éminence grise du Pentagone fut directeur du PSB et auteur d’un célèbre rapport sur la Garde nationale des États-Unis.
Sous la présidence de J.F. Kennedy à Gerald R. Ford, Gray est membre du PFIAB (President’s Foreign Intelligence Advisory Board), organe consultatif des présidents américains en matière de renseignements, chargé plus particulièrement d’apprécier la teneur des différentes productions des services secrets ainsi que l’adéquation de leurs actions.
Jerome Hunsaker
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
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Le Dr. Jérome C. Hunsaker fut un ingénieur aéronautique de tout premier plan, directeur du National Advisory Committee for Aeronautics
Né en 1886, il enseigne en 1913 l’ingénierie aéronautique dans le département d’Architecture Navale du Massachusetts Institute of Technology. Le 9 décembre 1915, il est le co-auteur avec E.B. Wilson du MIT, pour le NACA, d’un rapport sur « Le comportement des aéroplanes par mauvais temps ». Le 15 novembre 1917, Hunsaker intègre la Navy en tant qu’ ingénieur, au sein d’un comité sur les alliages légers, chargé de concevoir de nouveaux matériaux pour l’aéronautique. De 1939 à 1947, Hunsaker est à la tête du département d’Ingénierie Mécanique au MIT, auquel il appartiendra encore jusqu’en 1951.
Il décède le 10 septembre 1984.
Lloyd V. Berkner
Né en 1905, le Dr. Lloyd Viel Berkner est un ingénieur en physique et électronique. Jusqu’au début de la Seconde Guerre mondiale, il est physicien dans le groupe de recherche sur le magnétisme terrestre à l’Institut Carnegie de Washington. Durant le conflit mondial, il est chef de la section radar du bureau d’Aéronautique de la marine américaine puis occupe après la guerre le poste de secrétaire exécutif du JRDB (Joint Research and Development Board, organes militaires).
A la fin de l’année 1946, le secrétaire à la Défense James Forrestal le mandate en tant qu’expert en matière de physique et d’électronique au sein de l’opération « High Jump », d’exploration et de vérification quant à l’éventualité de l’établissement de bases américaines dans l’Antarctique, aux cotés de l’Amiral Byrd.
Géophysicien et spécialiste du magnétisme terrestre il fonde l’année géophysique internationale entre 1957 et 1958.
Il décède en 1967. A mi-chemin entre le monde scientifique et l'armée dont il sera toujours un loyal serviteur, le Dr. Berkner connaîtra une carrière rarissime pour un réserviste, puisqu’il atteindra le grade de vice-amiral.
Roscoe Henry Hillenkoetter
Roscoe Henry Hillenkoetter naquit en 1897 à Saint Louis. Après de nombreuses missions en France, il avait été officier responsable du Renseignement, sous les ordres du commandant en chef de la zone de l’océan Pacifique, l’amiral Nimitz. Contre-amiral en novembre 1946, Harry Truman en fait le premier directeur de la CIA en avril 1947. Etrange point d’orgue d’une carrière exemplaire, le contre-amiral quittera la US Navy en 1957, pour devenir un membre actif du NICAP, la célèbre association ufologique initiée par d’anciens officiers tels que le major Keyhoe, et dont il sera membre du conseil d’administration. Il n’est pas à exclure cependant que la tâche de l’amiral à la retraite fut essentiellement d’être l’informateur du pouvoir concernant les éventuelles investigations gênantes des enquêteurs-ufologues, comme l’affirme Pierre Guérin.[1]
Hillenkoetter mourut le 18 juin 1982.
Notes
↑ Pierre GUÉRIN, « Ovni, les mécanismes d’une désinformation », Albin michel, Paris, 2000, p.219.
Il semble qu’Hillenkoetter veilla principalement à discréditer dans l’esprit de Keyhoe les cas d’atterrissages et de crashs d’ovnis, mais il encouragea en revanche la collecte des informations d’ovnis en vol. Puis il ne put faire autrement que de démissionner lorsque Keyhoe le pressa de cautionner une conférence de presse au cours de laquelle il était prévu que des pilotes militaires présentent publiquement les détails probants d’observations d’ovnis qu’ils avaient faites en plein vol, ce qu’il refusa. Mais, avant cette démission, on imagine le nombre d’observations enquêtées à la source par le NICAP, qui purent arriver le plus facilement du monde à la connaissance des services de renseignements américains avant même que d’être rendues publiques !
forestal james
http://www.gnosticliberationfront.com/who_killed_james_forrestal.htm
TRADUCTION :MR PATRICK ROUILLY ©
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BRIEFING DE DOCUMENT : OPÉRATION MAJESTIC 12
PRÉPARÉ POUR LE PRÉSIDENT ELU DWIGHT D. EISENHOWER : (EYES ONLY)
18 novembre, 1952
AVERTISSEMENT Ceci est un document TOP SECRET – EYES ONLY contenant des informations compartimentées essentielles pour la sécurité nationale des Etats-Unis. EYES ONLY ACCESS à ce document est strictement limité à ceux possédant le niveau d’autorisation Majectic-12. La reproduction par quelque forme que ce soit ou la prise d'écrit ou de notes mécaniquement transcrites sont strictement interdites.
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SUJET : OPÉRATION MAJESTIC-12 BRIEFING PRÉLIMINAIRE POUR LE PRÉSIDENT ELU EISENHOWER.
DOCUMENT PRÉPARÉ le 18 NOVEMBRE, 1952.
OFFICIER DE BRIEFING: ADM. ROSCOE H. HILLENKOETTER (MJ-1)
NOTE : Ce document a été préparé seulement comme briefing préliminaire. Il doit être considéré comme une introduction à des opérations complètes de briefing prévues comme suit.
******
OPÉRATION MAJESTIC-12 est une opération TOP SECRET d’Informations et de renseignements responsable directement et seulement auprès du Président des Etats-Unis. La gestion du projet est effectuée sous le contrôle du Majestic-12 (Majic-12), Groupe qui a été créé selon ordre exécutif spécial classifié du Président Truman le 24 septembre, 1947, sous la recommandation du docteur Vannevar Bush et du Secrétaire James Forrestal. (Voir document joint « A ») les Membres du Groupe Majestic-12 sont désignés comme suit :
Adm. Roscoe H. Hillenkoetter
Docteur Vannevar Bush
Secy. James V. Forrestal*
Général Nathan F. Volubile
Général Hoyt S. Vandenberg
Docteur Jerome Hunsaker
M. Sidney W. Souers
M. Gordon Gray
Docteur Donald Menze
Général Robert M. Montague
Docteur Lloyd V. Berkner
La mort de Secrétaire Forrestal le 22 mai, 1949, a créé un poste vacant jusqu’au jusqu'au 01 août, 1950, date à laquelle le général Walter B. Smith a été nommé remplaçant permanent
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Le 24 juin, 1947 un pilote civil volant au-dessus de Cascade Mountains dans l’Etat de Washington a observé neuf engins volant en formation à très haute vitesse, ayant l’aspect de disques. Bien que ce ne soit pas la première observation connue de tels objets, il fût le premier à attirer l'attention dans les médias. Des centaines de rapports d’observations relatifs à des objets semblables ont suivi. Beaucoup d'entre eux vinrent de sources militaires et civiles fortement crédibles. Ces rapports ont abouti à des efforts indépendants de plusieurs sources militaires afin de vérifier la nature et le but de ces objets dans l’intérêt de la défense nationale. Certains témoins ont été entendus et plusieurs tentatives d’interception de ces disques en vol ont échoué. La réaction publique a avoisiné de temps en temps l'hystérie
Malgré ces efforts, peu d’informations furent apprises au sujet de ces objets avant qu'un propriétaire d'un ranch local n'ait annoncé que l’un d’eux s’était crashé dans une région éloignée du Nouveau Mexique située approximativement à soixante-quinze milles au Nord-Ouest de Base aérienne de Roswell (maintenant Walker Field)
Le 07 juillet, 1947, une opération secrète a été entreprise pour assurer la récupération de l'épave de cet objet pour étude scientifique. Durant l’opération, une reconnaissance aérienne à découvert que quatre petits êtres ressemblant à des humains avaient été apparemment éjectés du vaisseau quelques instants avant qu’il n’explose.
Ceux ci étaient tombés à environ deux milles à l'Est du site de l’épave. Tous quatre étaient mort et horriblement décomposés par l'action des prédateurs et l'exposition aux éléments depuis une semaine environ avant leur découverte. Une équipe scientifique spéciale a pris en charge l’enlèvement des corps pour l'étude. (Voir Document Joint "C".); L'épave du vaisseau a aussi été récupérée et dispatchée dans plusieurs emplacements différents. (Voir Document Joint "B".). Les témoins civils et militaires du secteur ont été débriefés et une histoire de couverture a été donnée à la presse concernant un ballon de recherche météorologique.
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Un effort analytique secret organisé par le général Twining et le Dr Bush sous les ordres directs du Président, a abouti à un consensus préliminaire (le 19 septembre, 1947) faisant ressortir que le disque était probablement un vaisseau de reconnaissance de courte action. Cette conclusion était basée en grande partie sur la taille du vaisseau et le manque apparent d’un quelconque ravitaillement identifiable. (Voir Document Joint "D".).Une analyse similaire des quatre occupants morts fût effectuée par le docteur Bronk. Ce fût la conclusion provisoire de ce groupe (30November, 1947) et bien que ces créatures soient d’apparence humaine, les processus biologiques et évolutionnaires responsables de leur développement ont apparemment tout à fait différés de ceux observés ou postulés chez l’homo sapiens. L'équipe de docteur Bronk a suggéré que le terme "Entités Biologiques Extraterrestres" ou "EBEs", soit adopté comme le terme standard de référence pour ces créatures jusqu'à ce qu'une désignation plus définitive soit convenue.
Puisqu'il est pratiquement certain que ce vaisseau ne provient d'aucun pays sur la terre, une supposition importante s'est concentrée autour de ce que pourrait être leur lieu d'origine. La planète Mars était et reste une possibilité, bien que quelques scientifiques, et plus spécialement le docteur Menzel, considère plus probablement que ces êtres viennent d'un autre système solaire.
Les nombreux exemples de ce que semble être une forme d'écriture ont été trouvés dans l'épave. Les efforts de déchiffrage ont en grande partie échoués. (Voir Document Joint "E".)
Ont également échoués les efforts de détermination de la méthode de propulsion ou la nature ou la méthode de transmission de la source d'énergie impliquée. La recherche a été compliquée par l'absence complète d'ailes identifiables, de propulseurs, de réacteurs ou d'autres méthodes conventionnelles de câbles, de tubes à vide ou de composants électroniques reconnaissables. (Voir Document Joint "F".) Il est présumé que l'unité de propulsion a été complètement détruite par l'explosion qui a causé l'accident.
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Un besoin d'un nombre important d'informations complémentaires sont nécessaires au sujet de ces vaisseaux, les caractéristiques de leurs performances et leur but conduisit à la prise du projet connu comme U.S. AIR FORCE Project SIGN en décembre, 1947. Pour préserver la sécurité, la liaison entre SIGN et Majestic-12 a été limitée à deux individus à l'intérieur de Intelligence Division of Air Matériel Command dont le rôle était de faire passer certains types d'information par différents canaux. SIGN évolua en Projet GRUDGE en décembre, 1948. L'opération est actuellement conduite sous le nom de code BLUE BOOK, avec liaison maintenue par l'intermédiaire d'un officier de l'Armée de l'air qui est le chef du projet.
Le 06 décembre, 1950, un deuxième objet, probablement d'origine semblable, se crasha sur la terre à haute vitesse dans le secteur de El-Indio-Guerrero à la frontière entre le Texas et le Mexique après avoir parcouru une longue distance dans l'atmosphère. Pendant ce temps une équipe de recherche arriva, mais ce qui restait de l'objet était presque complètement incinéré. Le matériel qui a pu être récupéré fût transporté dans la base de A.E.C à Sandia, Nouveau Mexique, pour étude.
Les implications pour la Sécurité nationale sont d'une continuelle importance en ce qui concerne les motifs et les intentions finales de ces visiteurs qui restent complètement inconnus. De plus, une augmentation significative de l'activité de surveillance de ces vaisseaux a commencé en mai et a continué jusqu'à l'automne de cette année causant une inquiétude considérable sur de nouveaux événements qui peuvent être imminents. C'est pour ces raisons, aussi bien que des considérations internationales évidentes et technologiques et le besoin final d'éviter une panique générale à tout prix, que le groupe Majestic-12 reste d'un avis unanime, que les mesures de précaution et de sécurité les plus strictes doivent continuer sans interruption dans la nouvelle administration. En même temps, le plan d'éventualité MJ-1949-04P/78 (Top Secret – Eyes Only) doit être maintenu en étant prêt à faire une révélation publique. (Voir Document Joint"G".)
retour accueilhttp://photovni.free.fr/document%20mj12/doc%20mj12.htm
liens:http://www.ufocasebook.com/documents.html
http://reguite.free.fr/Extraterrestres/majestic_12.html
http://www.chez.com/brunojls/OVNIs/Majestic%2012.htm
http://fr.wikipedia.org/wiki/Majestic_12
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