Page 2 sur 2 • 1, 2
- brunehautAnalyste enquêteur
Age : 49
Nombre de messages : 1940
Inscription : 16/05/2009
Localisation : Soissons
Emploi : ****
Passions : ****
Règlement : Règlement
Points de Participation : 8234
Re: Les Phenomenes Aerospatiaux Non- Identifies et la psychologie de la perception, CNES.
Mer 07 Sep 2011, 13:52
Perspective de mouvement
La notion de perspective de mouvement fut développée par James J. Gibson. C'est le fait qu'un objet en mouvement paraît se déplacer plus lentement lorsqu'il est loin que lorsqu'il est proche.
Ceci se comprend bien en considérant la notion de perspective conique : une longueur donnée apparaît d'autant plus petite qu'elle est loin. La vitesse moyenne étant la distance parcourue divisée par le temps de parcours, on voit que la vitesse apparente diminue proportionnellement à la taille apparente.
Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Perspective_de_mouvement
La notion de perspective de mouvement fut développée par James J. Gibson. C'est le fait qu'un objet en mouvement paraît se déplacer plus lentement lorsqu'il est loin que lorsqu'il est proche.
Ceci se comprend bien en considérant la notion de perspective conique : une longueur donnée apparaît d'autant plus petite qu'elle est loin. La vitesse moyenne étant la distance parcourue divisée par le temps de parcours, on voit que la vitesse apparente diminue proportionnellement à la taille apparente.
Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Perspective_de_mouvement
_______________________________________
brunehaut
- brunehautAnalyste enquêteur
Age : 49
Nombre de messages : 1940
Inscription : 16/05/2009
Localisation : Soissons
Emploi : ****
Passions : ****
Règlement : Règlement
Points de Participation : 8234
Re: Les Phenomenes Aerospatiaux Non- Identifies et la psychologie de la perception, CNES.
Mer 14 Sep 2011, 11:34
_______________________________________
brunehaut
- brunehautAnalyste enquêteur
Age : 49
Nombre de messages : 1940
Inscription : 16/05/2009
Localisation : Soissons
Emploi : ****
Passions : ****
Règlement : Règlement
Points de Participation : 8234
Re: Les Phenomenes Aerospatiaux Non- Identifies et la psychologie de la perception, CNES.
Jeu 16 Fév 2012, 11:31
Un biais cognitif est un schéma de pensée erroné qui apparaît dans un type de situation donnée.
L'étude des biais cognitifs fait l'objet de nombreux travaux en psychologie cognitive, en psychologie sociale et plus généralement dans les sciences cognitives. Le terme biais fait référence à une déviation systématique par rapport à une pensée considérée comme correcte.
Les travaux en psychologie ont identifié de nombreux biais cognitifs propres à l'esprit humain à travers de multiples domaines : perception, statistiques, logique, causalité, relations sociales, etc. Du point de vue leurs effets, on peut distinguer entre autres des erreurs de perception, d'évaluation, d'interprétation logique.
Ces biais cognitifs ne sont généralement pas conscients. Leur caractérisation est importante aussi bien dans les domaines judiciaire que scientifique. La publicité exploite souvent des biais cognitifs pour faire passer ses messages (raisonnement fallacieux, oubli de la fréquence de base).
Certains de ces biais peuvent en fait être efficaces dans un milieu naturel tel que ceux qui ont hébergé l'évolution humaine, permettant une évaluation ou une action plus performante; tandis qu'ils se révèlent inapdatés à un milieu artificiel moderne.
Lire la suite
Ancrage
En psychologie, l’ancrage désigne la difficulté à se départir d'une première impression. Dans le domaine de la décision, Tversky et Kahneman ont décrit l'heuristique ancrage-ajustement et expliquent certaines erreurs comme étant le résultat d'un ajustement insuffisant.
En PNL
L'ancrage en PNL (Programmation neuro-linguistique) est un processus qui associe inconsciemment et automatiquement une réaction interne à un stimulus extérieur. Nous mémorisons ces liens et créons ainsi ce que l'on appelle des "ancres". Dès qu'une ancre est stimulée, la sensation vécue dans le passé revient instantanément. Les ancres peuvent être visuelles, auditives, kinesthésiques, olfactives ou gustatives.
Biais de confirmation
Le biais de confirmation, également dénommé biais de confirmation d'hypothèse, est la tendance qu'ont les individus à privilégier les informations qui confirment leurs idées préconçues ou leurs hypothèses (sans considération pour la véracité de ces informations) et/ou d'accorder moins de poids aux hypothèses jouant en défaveur de leurs conceptions. En conséquence, ces personnes rassemblent des éléments ou se rappellent les informations mémorisées, de manière sélective, et les interprètent d'une manière biaisée. Les biais apparaissent notamment pour des questions de nature affective et des croyances établies. Par exemple, pour s'informer d'un sujet controversé, celles-ci préfèrent généralement lire des sources qui affirment leur position actuelle. Ils ont aussi tendance à interpréter des preuves équivoques pour appuyer leur position actuelle. Les biais dans la recherche, l'interprétation et le rappel de la mémoire ont été invoqués pour expliquer l'attitude de polarisation (quand un désaccord devient plus extrême, même si les différentes parties sont confrontés à la même preuve), de persévérance de conviction (quand la croyance persiste après que les preuves la soutenant sont démontrées fausses), l'effet de primauté irrationnelle (une plus forte importance pour les premières données rencontrées) et l'illusion de corrélation (par laquelle les personnes perçoivent à tort une association entre deux événements ou situations).
Une série d'expériences dans les années 1960 suggère que les individus sont biaisés en faveur de la confirmation de leurs actuelles croyances. Des travaux ultérieurs ont expliqué ces résultats par une tendance à évaluer les idées d'une manière unilatérale, mettant l'accent sur une possibilité unique et ignorant les alternatives. En combinaison avec d'autres effets, cette stratégie de pensée peut biaiser les conclusions qui sont atteintes. Des explications pour les biais observés incluent le rôle du désir dans la pensée, et les limitations de la capacité humaine au traitement de l'information. Une autre hypothèse est que les individus montrent un biais de confirmation, car d'une manière pragmatique ils évaluent le coût d'être dans l'erreur, plutôt que d'enquêter d'une manière neutre ou scientifique.
Les biais de confirmation contribuent à l'excès de confiance dans les croyances personnelles et peuvent maintenir ou renforcer les croyances face à des preuves contraires. Par conséquent, ils peuvent conduire à des décisions désastreuses, en particulier dans des contextes organisationnels, militaires, politiques ou sociaux.
lire la suite
Illusion des séries
L'illusion des séries (en anglais clustering illusion) est la tendance à percevoir à tort des coïncidences dans des données au hasard. Cela est dû à la sous-estimation systématique par l'esprit humain de la variabilité des données.
Lire la suite
Illusion de savoir
L'illusion de savoir est un biais cognitif (biais de jugement) faisant qu'un individu confronté à une situation en apparence identique à une situation commune, pour lui, réagit de façon habituelle, sans éprouver le besoin de rechercher les informations complémentaires qui auraient mis en évidence une différence par rapport à la situation habituelle. Il peut ainsi faire état d'une mauvaise croyance face à la réalité.
Perception sélective
La perception sélective est définie comme étant "la tendance à interpréter de manière sélective ce que l'on observe selon nos intérêts, notre situation sociale, notre expérience et nos attitudes" 1.
Dissonance cognitive
La dissonance cognitive est un concept de psychologie élaboré par Leon Festinger et présenté dans le livre L'Échec d'une prophétie publié en 1956 en collaboration avec Henry Riecken et Stanley Schachter.
Selon cette théorie, l'individu en présence de cognitions (« connaissances, opinions ou croyances sur l’environnement, sur soi ou sur son propre comportement » 2) incompatibles entre elles, éprouve un état de tension désagréable : c'est l'état de « dissonance cognitive ». Dès lors, cet individu mettra en œuvre des stratégies inconscientes visant à restaurer un équilibre cognitif. Ces stratégies sont appelées « modes de réduction de la dissonance cognitive ». L'une des stratégies pour réduire la dissonance cognitive consiste à modifier ses croyances, attitudes et connaissance pour les accorder avec la nouvelle cognition ; elle est appelée « processus de rationalisation ». En 2007, ce processus a été mis en évidence chez des singes capucins3,4.
Lire la suite
Cadrage (décision)
En psychologie du raisonnement et de la décision ainsi qu'en psychologie sociale, le cadrage est l'action de présenter un « cadre cognitif » comme approprié pour réfléchir sur un sujet. Ce cadrage peut avoir un effet sur le raisonnement et conduire à des choix différents en fonction de la description du problème.
La notion de cadrage a été explorée notamment par Tversky et Kahneman1. Ils présentent ainsi une expérience durant laquelle des étudiants doivent imaginer qu'une épidémie s'est déclenchée dans leur pays et indiquer quelle politique leur semble la plus raisonnable. Un groupe d'étudiants doit choisir entre sauver 200 personnes sur 600 à coup sûr et une chance sur trois de sauver les 600 personnes. Un autre groupe de participants se voit proposer le même choix mais avec une formulation différente (choisir entre laisser 400 personnes mourir ou deux chances sur trois de voir 600 personnes mourir).
Bien que l'espérance mathématique soit la même dans les quatre cas et que les deux alternatives soient équivalentes, la décision diffère selon la formulation. Quand il s'agit de « sauver » des vies, les participants adoptent une attitude d'aversion au risque et choisissent la première solution (sauver 200 personnes) tandis que s'il s'agit de laisser « mourir » les malades, ils préfèrent prendre le risque de laisser 600 personnes mourir pour avoir une chance sur trois de les sauver toutes2.
Effet Dunning-Kruger
L'effet Dunning-Kruger décrit un phénomène selon lequel les moins compétents dans un domaine surestiment leur compétence alors que les plus compétents auraient tendance à sous-estimer leur niveau de compétence.
Ce phénomène a été démontré au travers d'une série d'expériences dirigées par David Dunning et Justin Kruger. Leurs résultats furent publiés en décembre 19991 dans la revue Journal of Personality and Social Psychology.
Dunning et Kruger ont noté que plusieurs études antérieures tendaient à suggérer que dans des compétences aussi diverses que la compréhension de texte, la conduite d'un véhicule, les échecs ou le tennis, « l'ignorance engendre plus fréquemment la confiance en soi que ne le fait la connaissance » (pour reprendre l'expression de Charles Darwin).
Leur hypothèse fut qu'en observant une compétence présente en chacun à des degrés divers,
la personne incompétente tend à surestimer son niveau de compétence,
la personne incompétente ne parvient pas à reconnaître la compétence dans ceux qui la possèdent véritablement,
la personne incompétente ne parvient pas à se rendre compte de son degré d'incompétence,
si un entraînement de ces personnes mène à une amélioration significative de leur compétence, elles pourront alors reconnaître et accepter leurs lacunes antérieures.
Ces hypothèses ont été testées sur de jeunes étudiants en psychologie de l'université Cornell au travers d'auto-évaluations dans les domaines de la logique et du raisonnement, en grammaire et en humour.
Une fois les tests complétés et les réponses révélées, on demanda aux sujets d'estimer leurs rangs par rapport au nombre total de participants. Il en résulta une estimation correcte de la part des plus compétents et une surévaluation de la part des moins compétents.
Comme le notèrent Dunning et Kruger,
« Au travers de quatre études, les auteurs ont découvert que les participants situés dans le dernier quartile pour les tests d'humour, de grammaire et de logique ont largement surestimé leurs performances. Alors que les scores les placent dans le 12e percentile, ils ont estimé faire partie du 62e. »
En parallèle, les sujets bénéficiant de véritables compétences ont eu tendance à sous-estimer celles-ci.
Source
_______________________________________
brunehaut
- brunehautAnalyste enquêteur
Age : 49
Nombre de messages : 1940
Inscription : 16/05/2009
Localisation : Soissons
Emploi : ****
Passions : ****
Règlement : Règlement
Points de Participation : 8234
Re: Les Phenomenes Aerospatiaux Non- Identifies et la psychologie de la perception, CNES.
Mar 17 Juil 2012, 14:25
J. Larguier des Bancels. Stern Sur la psychologie du témoignage. Recherches expérimentales sur la fidélité du souvenir, L'année psychologique, 1902, vol. 9, n° 1, pp. 331-338.
url : http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/psy_0003-5033_1902_num_9_1_3476
url : http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/psy_0003-5033_1902_num_9_1_3476
VII
IDEATION. - ASSOCIATION. - MÉMOIRE
STERN (L.-W.). —Zur Psychologie der Aussage. Experimentalle Untersuchungen über Erinnerungstreue (Sur la psychologie du témoignage. Recherches expérimentales sur la fidélité du souvenir). —
. In-8° ; iv, 56 p. et 3 planches. Berlin, J. Gottentag, 1902.
Le travail de Siéra apporte une contribution remarquable à l'un des chapitres les plus importants de la psychologie individuelle. L'auteur auquel nous devons un mémoire étendu1 sur l'objet et les méthodes de cette science a porté ses investigations sur la fidélité du souvenir. Une telle étude présente un intérêt considérable. On imagine sans peine les renseignements précieux qu'elle est susceptible de donner sur les processus généraux de la mémoire, et l'on pressent les applications immédiates qu'elle comporte. Le pédagogue, le jugé surprennent une inexactitude dans les dires d'un enfant, dans la déposition d'un témoin : ils concluent, l'un et Paulre, au mensonge et supposent, pour l'expliquer, la méchanceté ou la folie. L'alternative est simple, sans doute; mais elle n'est pas adéquate à la réalité complexe. La santé physique ou morale d'un narrateur ne fournit pas la garantie suffisante de sa véracité. Les individus les plus normaux sont exposés à soutenir de bonne foi les assertions les plus fausses, victimes d'une sorte de falsification des souvenirs qu'il est nécessaire de ne jamais perdre de vue et dont la connaissance met le criliquc à l'abri des condamnations injustes aussi bien que d'une confiance aveugle. C'est ce procédé de falsification naturelle, sa nature, ses fondements, l'étendue de son action que l'auteur s'est efforcé de mettre en lumière. Et c'est du point de vue surtout pratique, que je viens de signaler, qu'il envisage les faits dans le présent exposé2.
1. Ueber Psychologie der individuellen Differenzen, in-8° ; vi, 146 p. Leipzig, J.-A. Barth, 1900. L'auteur traite, dans une première partie, de l'objet, en général, et des méthodes de la psychologie individuelle. Il passe ensuite en revue, dans la seconde partie, les principaux domaines de cette science. Il examine ainsi la sensibilité, les images (types moteurs, visuels, etc.), la mémoire, la perception (types intellectuels, etc.), l'attention, l'imagination, le jugement, les réactions (type sensoriel, type moteur, etc.), les sentiments, l'activité psychique, l'aptitude au travail mental (expériences de Kraepelin, etc.). La troisième partie est constituée par une bonne bibliographie, bien classée, de 190 numéros.
2. Le travail de Stern a paru d'abord dans une revue juridique, la Zeilschrift für die gesammte Strûfrechtswissenschaft, 13d XXII. •
_______________________________________
brunehaut
- brunehautAnalyste enquêteur
Age : 49
Nombre de messages : 1940
Inscription : 16/05/2009
Localisation : Soissons
Emploi : ****
Passions : ****
Règlement : Règlement
Points de Participation : 8234
Re: Les Phenomenes Aerospatiaux Non- Identifies et la psychologie de la perception, CNES.
Mar 17 Juil 2012, 14:28
LA FRAGILITE DU TEMOIGNAGE
Par Régis POUGET
L’histoire de la jurisprudence révèle que des condamnations ont été prononcées sur la
foi de témoignages faux ou erronés sur l’identité de l’inculpé ou de l’accusé. La variation de
la perception de faits, les soubresauts de la mémoire et ses trahisons ne doivent jamais être
oubliés quand on soupèse un témoignage.
L’étude psychologique d’un témoignage est forcément complexe. Pour apprécier
convenablement la valeur d’un témoignage, il faudrait reconstituer toutes les réactions qui ont
été celles du témoin, depuis le moment où en tant qu’homme ordinaire, il a assisté à un
événement ou un incident qui d’abord lu a paru banal, alors qu’il était inquiet, préoccupé
anxieux, ou simplement distrait, jusqu’au moment, où, pourvu du rôle de témoin officiel, il
fait appel à sa mémoire pour restituer, à sa façon, ce même événement reconstitué par sa
mémoire.
Lire la suite ICI
Par Régis POUGET
L’histoire de la jurisprudence révèle que des condamnations ont été prononcées sur la
foi de témoignages faux ou erronés sur l’identité de l’inculpé ou de l’accusé. La variation de
la perception de faits, les soubresauts de la mémoire et ses trahisons ne doivent jamais être
oubliés quand on soupèse un témoignage.
L’étude psychologique d’un témoignage est forcément complexe. Pour apprécier
convenablement la valeur d’un témoignage, il faudrait reconstituer toutes les réactions qui ont
été celles du témoin, depuis le moment où en tant qu’homme ordinaire, il a assisté à un
événement ou un incident qui d’abord lu a paru banal, alors qu’il était inquiet, préoccupé
anxieux, ou simplement distrait, jusqu’au moment, où, pourvu du rôle de témoin officiel, il
fait appel à sa mémoire pour restituer, à sa façon, ce même événement reconstitué par sa
mémoire.
Lire la suite ICI
_______________________________________
brunehaut
- VerveineUfologue/enquêteur
Age : 67
Nombre de messages : 2182
Inscription : 01/07/2011
Localisation : Bouches du Rhône
Emploi : Artisan
Passions : Plongée
Règlement : Règlement
Points de Participation : 7889
Re: Les Phenomenes Aerospatiaux Non- Identifies et la psychologie de la perception, CNES.
Mar 17 Juil 2012, 15:23
Bonjour Brunehaut,
S'il n'y avait qu'un seul fil à garder ... je crois que c'est celui là que j'emporterai.
Dommage que les images du post du Centre Canadien de Détection n'apparaissent plus !
Amitiés
S'il n'y avait qu'un seul fil à garder ... je crois que c'est celui là que j'emporterai.
Dommage que les images du post du Centre Canadien de Détection n'apparaissent plus !
Amitiés
_______________________________________
Pour ceux qui cherchent midi à quatorze heures, la minute de vérité sera longue à venir . Pierre Dac
Le contraire de l'Erreur n'est pas la Vérité mais le Doute. Lucien Jerphagnon
Dites le avec des fleurs . Dryas
- Contenu sponsorisé
Page 2 sur 2 • 1, 2
- CAIPAN 2014 - Workshop du CNES/GEIPAN - Collecte et Analyse des informations sur les Phénomènes Aérospatiaux Non-Identifiés
- Phénomènes Aérospatiaux Non identifiés ou Ovnis?
- Résumé conférence du GEIPAN "Les phénomènes aérospatiaux non-identifiés. Histoire et activités du GEIPAN"[SUJET UNIQUE]
- (André Koeckelenbergh) Phénomènes aériens non-identifiés?
- Chronologie des observations antiques de phénomènes non identifiés
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum