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- Benjamin.dResponsable du forum
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Les projets et systèmes de détection d'Ovni en France et dans le monde
Jeu 03 Déc 2009, 18:23
Les projets et systèmes de détection d'ovnis
Dans l'histoire de l'ufologie nous avons assisté à la mise en place de nombreux projets de détection des phénomènes ovni. Il existe sur le Web quelques sites qui traitent des détecteurs d’O.V.N.I. Ces appareils seraient en mesure de détecter la présence d'un O.V.N.I. dans un secteur restreint. De plus en plus perfectionnés ces systèmes peuvent être automatisés.
Jean-Christophe Doré, à Rochefort, avec ses différents modèles de stations automatique de détection d'ovnis, qu'il a créés et mis au point seul (son site)
Les effets Electro-Magnétiques (EM effects) font partie des indices quantitatifs rapportés dans les RR2. Ils incluent les interférences avec le fonctionnement de moteurs d'automobiles, les radios et les phares ; des interférence avec le fonctionnement de postes radio ou TV, des compas, des tachymètres magnétiques, des systèmes d'alimentation ; du magnétisme résiduel dans des objets métalliques, des montres, etc. On a parfois remarqué, par ailleurs, une coïncidence entre l'apparition de phénomènes ovni et les perturbations de champ magnétique, comme lors de la vague 1954 par la station de Chambon-la-Forêt (Loiret)
Projets de détection instrumentée
L'idée de stations automatisées de détection de PANs s'est assez rapidement développée en ufologie, dans les buts d'offrir des données :
* Plus objectives, l'utilisation d'instruments
o évitant l'accusation de témoignages trop subjectifs
o permettant des mesures en temps réel et non plus a posteriori (témoignages, photos, etc.)
* Plus nombreuses
o une détection systématique car automatique (et non plus au hasard d'une observation humaine)
o une plus grande couverture de détection (au niveau national typiquement)
o plus de capteurs, mesurant des données diverses (magnétiques, gravifiques, infrasons, ionisation, spectromètre, météo)
Exemples de projets de détection automatisée:
Le projet Pounce (USAF) en 1952
Au printemps 1952 le colonel Methany (convaincu de la réalité des ovnis et de leur origine interplanétaire) de l'ADC de Kirtland, 34ème Division de Défense Aérienne, propose de modifier les intercepteurs Lockheed F-94C Starfire avec des caméras dans le nez des appareils pour obtenir des photos rapprochées d'ovnis. Ils devraient être placés en alerte 24/7 ("pounce" signifie "attaque") [Carpenter, J.]. Cependant ce projet est annulé avec le motif que, en raison de la guerre de Corée, il n'y avait pas suffisamment d'avions disponibles.
Le projet Pounce est décrit dans le rapport de la Commission Robertson de 1953 comme une enquête sur les ovnis proposée par la base de l'Air Force de Kirtland au début des années 1950s.
Hughes Aircraft construisit le système radar utilisé dans les F-94C. Ce site d'essais Starfire opéré par Hughes montre une installation de triple caméra (flèches) montée dans le compartiment dans le nez du chasseur. Ceci ressemble probablement au package caméra prévu pour les intercepteurs du Projet Pounce. Photographie au télescope d'Adamski, le 5 Mars 1951
MADAR (Blevins & Ridge) en 1960
Le système MADAR
Le système MADAR (vue arrière)
En 1960 Lewis G. Blevins et Francis L. Ridge conçoivent un projet de détection visant à :
1. agir comme système de 1er avertissement pour la présence d'anomalies magnétiques et de 1ère acquisition de cible visuelle anormale (les données sont recueillies via des dispositifs automatiques et opérés manuellement.
2. Corréler les données d'événements avec des observations visuelles signalées dans la region.
Ce système fut par la suite nommé MADAR (Multiple Anomaly Detection & Automated Recording).
"MADAR", NICAP
http://www.nicap.org/madar.htm
RésUFO (Monnerie/LDLN) de 1963 à 1979
Acronyme pour REseau de SUrveillance pho(FO)tographique du ciel, mis en place en 1974 par Michel Monnerie.
En 1963, LDLN installe un réseau de détecteurs magnétiques. En 1969, 430 détecteurs sont exploités dans toute la France. Au cours de 1968 et 1969 près de 3 % des 332 ovnis observés visuellement et considérés comme extraordinaires ont été détectés par les capteurs. Cependant dans 88 % des détections, les ovnis ne sont pas vérifiés visuellement[1]. Dans chacun des événements où une vérification visuelle a pu être faite un ovni se trouvait à moins de 1 km des témoins.
Hardy-Marinello (SVEPS) vers 1970
Societé Varoise d'Etude des Phénomènes Spatiaux, fondée à Toulon par René Hardy.
La SVEPS publie le bulletin Approche.
Elle enquête sur diverses affaires telles que Marliens, Trans-en-Provence.
A une époque, elle envisage la construction d'un site de détection d'ovnis [1]. La station-laboratoire Hardy-Marinello, composée de 2 groupes de capteurs (paramètres physiques et météo) finit cependant par être abandonnée faute de moyens.
Des enquêteurs de la SVEPS ont été Cohin, F. Crebely.
Aeneid (USAF/RAF) de 1970 à 1971
Opération de surveillance secrète menée conjointement de Septembre 1970 à Mars 1971 par :
* la RA
* la Royal Navy
* le Royal Corps of Transports
* le Royal Engineers
* le Royal Corps of Signals
* le Royal Observer Corps
* l'USA
A la suite du nombre considérable d'apparitions d'aéronefs non identifiés au large des côtes Est de l'Angleterre et en Atlantique Nord au cours de la guerre froide.
37 sites d'observations sont choisis en Grande-Bretagne, principalement en zones militaires. Chacun de ces sites est relié aux centres militaires de High Wycombe et de Rudloe Manor (qui serait, selon des sources bien informées le siège d'enquêtes officielles secrètes sur les ovnis), d'où les informations recueillies sont ensuite transférées au QG de l'USAF, la base de Wright-Patterson, à Dayton (Ohio).
Parmi les observations importantes réalisées par les pilotes et le personnel au sol, l'une d'elles qui rappelle l'affaire Mantell a mal tourné le 8 septembre 1970.
Projet Identification (Rutledge) en 1973
Harley D. Rutledge (docteur)
En 1966 Rutledge obtient son doctorat en physique de l'état solide de l'Université du Missouri. Par la suite il devient professeur et président du Département de Physique de l'Université d'Etat du Missouri du sud-Est.
Début 1973, défié d'expliquer des observations de lumières non identifiées et de phénomènes lumineux dans le ciel des collines autour de Piedmont (Missouri), Rutledge décide de soumettre ces rapports à une analyse scientifique au travers du "Projet Identification". Il rassemble une équipe d'observateurs disposant d'une formation niveau lycée en sciences physiques, ainsi que de nombreux instruments : analyseurs de spectre RF, telescopes Questar, détecteurs audio bas-haute fréquence, analyseur de fréquence électromagnétique, appareils photos, et un galvanomètre pour mesurer les variations dans le champ gravitationnel de la terre.
Les sessions d'observations commencent en avril, totalisant plusieurs centaines d'heures. L'observation du ciel nocturne sans nuages révèle souvent des "pseudo étoiles" - des lumières stationnaires camouflées par des constellations familières. Certaines semblent mimer l'apparence d'appareils connus, d'autres violer les lois de la physique. La découverte la plus frappante est qu'en au moins 32 occasions enregistrées, le mouvement des lumières se synchronisait avec les actions des observateurs. Elles semblaient répondre à une lumière alternativement allumée et éteinte, et aux messages verbaux par radio. Comme le dira Rutledge :
La réalité de ces expériences dépassa la simple mesure des propriétés physiques des ovnis effectuées par des observateurs neutres. Une relation, une reconnaissance mutuelle s'instaura entre les ovnis et nous-mêmes. Nous participions à un jeu commun".
Auteur de : Project Identification: The first Scientific Study of UFO Phenomena. Prentice-Hall, 1981, ISBN 0-13-730713-6 Project Identification: Thirteen Years and One-Hundred and Sixty Sightings Later - presenté au symposium du MUFON de 1986.
Eurociel (GEPAN) dans les années 1980s
Projet du GEPAN de réseau de stations au sol équipées de systèmes d'observation grand-angle et d'algorithmes puissants de traitement en temps réel.
Le concept de base était d'implanter 2 ensembles de stations de détection optique grand angle, situées à des dizaines de miles de distance suivant un parallèle de latitude, chaque station devant être équipée avec des caméras de type CCD, avec un minimum de 1 dans le visible et 1 dans l'infrarouge. La sortie de ces caméras alimenterait de données un microordinateur qui déclenche l'enregistrement de données lorsque l'ordinateur détermine qu'un changement est soudainement intervenu. Les données de l'ensemble de ces stations seraient stockées dans une installation centrale pour permettre le calcul de trajectoires. Un tel système pourrait détecter la foudre, des météores, des satellites inconnus et d'autres phénomènes connus ou inconnus.
Au cours de la phase du GEPAN, le projet produisit de nombreux rapports et enquêtes et documents techniques concernant des sujets liés à l'étude d'événements ovnis. Ces rapports furent rendus publics. Ces rapports ne sont plus disséminés, mais une information peut toujours être demandée au CNES.
* Louange, F. et Vélasco, J.-J., "Annexe 1 : Investigations officielles sur les ovnis en France : le Projet GEPAN/SEPRA", Rapport Sturrock/Pocantico, 1997
Le projet Pennine (1986)
Inspirée du projet Hessdalen, étude indépendante des phénomènes de boules de lumière initiée en 1986 par David Clarke et Andy Roberts.
Dans le cadre de ce projet, la vallée de Longdendale (à 30 mn du centre de Manchester et Sheffield) - et en particulier Bleaklow - dans le district du Pic du Derbyshire est identifiée comme l'une des "zones fenêtres" (window areas) les plus active du nord de l'Angleterre.
Autres projets:
* Magnet (Canada) de 1950 à 1954
* Second Story (Canada) en 1952
* PSI (Stanford) en 1964
* Prairie (Université) de 1968 à 1969
* Hessdalen (Norvège, CISU) à partir de 1983
http://rr0.org/science/crypto/ufo/observation/projet/Instrument.html
Ufocatch, poursuite vidéo d’Ovni automatisée
A Rochefort, Jean-Christophe Doré, 40 ans, informaticien, continue, seul et sans bénéficier d'un environnement technique, comme Geffray du reste, à mettre au point des stations automatiques de détection d'ovnis, utilisant des réseaux de diffraction. Au premier plan, le système de détection panoramique, avec une caméra qui se déclenche automatiquement au moindre mouvement d'une source lumineuse, et qui peut enregistrer son spectre. L’UfoCatch est un système de détection d’objet volant ou de phénomène aérien, ou aérospatial, non identifié. Il permet de déterminer la trajectoire et le point de contact-sol. Il est développé pour l’association Ufo-Science.
Il se présente sous la forme de deux composants. L’un est une caméra de surveillance, disposée en position verticale, pointant vers le ciel et équipée d’un objectif à grand champs assurant ainsi une surveillance du ciel.
Cette caméra est couplée à un ordinateur qui ne réagit que si un élément du décor nocturne, voire diurne, présente un déplacement angulaire, ou une fluctuation de luminosité. Le système est paramétrable de différentes façons ( seuil de magnitude, seuil de période et d’amplitude de fluctuations, etc ).
Si ces variations sont constatées, l’image globale est enregistrée et l’ordinateur calcule en temps réel l’azimut et le site de la source considérée. Il transmet ces données à un second système motorisé, portant deux caméras, qui sont aussitôt pointées dans la direction où le phénomène a été détecté. Le second système est asservi, de manière à opérer un centrage et un zoom automatique sur la source détectée par la première caméra. L’objectif de la seconde caméra etant équipé d’un filtre à réseau, le spectre de la source est également enregistré. Le système peut également être équipé d’une série de filtres, sur équipage mobile motorisé, télécommandable.
La détection peut être assortie d’un signal sonore avec avertissement vocal, transmis à distance, donnant les paramètres du signal : localisation, magnitude, vitesse angulaire, période de fluctuation de luminosité, etc.
Deux ou plusieurs systèmes de ce genre permettent l’enregistrement de la trajectoire 3D de la source et, si elle entre en contact avec le sol, du lieu où l’évènement se produit. Le système pourra être doté d’une banque de données spectrales et programmé de manière à opérer une identification en temps réel de la nature de la source, le premier but étant de tenter d’opérer une discrimination vis à vis d’un phénomène naturel. La surveillance d’un territoire peut être assurée, modulo une maille de 50 miles, les unités étant reliées par radio à un enregistreur central.
http://dorejc.free.fr/?p=694
http://www.ufo-science.com/fr/telechargements/pdf/ufocatch.pdf
La détection magnétique des OVNI
Écrit par Thot Samedi, 30 Septembre 2006 serppe.fr
Cette étude vous propose la réalisation d'un détecteur de champs magnétiques pouvant se raccorder à un PC portable et permettre ainsi enregistrements et analyses des signaux
Quel intérêt ?
Dès le début des années 1960, de nombreux ufologues ont montré que certains OVNI généraient un fort champ électromagnétique.
Les effets produits sur l'environnement par un champ magnétique puissant dépendent des caractéristiques de ce dernier :
- Lorsque le champ est continu, les métaux magnétisables pouvant être situés à proximité de l'OVNI sont susceptibles de conserver un magnétisme rémanent. Un tel champ peut expliquer l'arrêt brutal des montres de certains témoins.
- De plus un champ d'intensité variable induira un courant de FOUCAULT dans tous les objets métalliques situés à proximité. Un tel courant va provoquer un échauffement pouvant aller jusqu'à la fusion de l'objet.
- Lorsque le champ est alternatif et de très basse fréquence, jusqu'à quelques centaines de Hertz, certains objets métalliques peuvent entrer en résonance et se mettre à vibrer.
Un détecteur de champ magnétique peut donc être utilisé pour des enquêtes sur des atterrissages, à conditions de pouvoir intervenir très rapidement sur le terrain.
Un autre usage particulièrement intéressant de ce type de détecteur est de pouvoir se tenir informé de toute modification importante du champ magnétique. Cette dernière pouvant être produite par un OVNI. Il faut dans ce cas précis limiter la sensibilité du détecteur de façon à s'affranchir de tout déclenchement intempestif dû à de trop nombreux parasites industriels. Ce type de détecteur était à la mode il y a quelques années puis, sans qu'on sache vraiment pourquoi, cette surveillance est tombée en désuétude bien que de très nombreuses observations aient pu être effectuées suite à des appels de détecteurs.
Grandeurs à mesurer
Un petit rappel de physique va nous permettre de connaître les grandeurs de ce que l'on doit mesurer.
Les unités employées sont le Gauss (G, système EMCGS), le Tesla (T, système SI) et le gamma. Ces unités servent à mesurer la densité de flux magnétique.
1 Tesla = 10.000 Gauss (104 G) = 109 gammas
Le Tesla étant une unité beaucoup trop grande, on utilise souvent le nano Tesla : 1 nT = 1 gamma.
Le champ magnétique terrestre varie de 70.000 nT aux pôles à 25.000 nT à l'équateur.
Il faut savoir que dans nos villes, le niveau de parasites industriels peut couramment atteindre 100 nT voire beaucoup plus. Dans certaines zones trop polluées, il sera impossible de faire fonctionner un détecteur sensible.
Nous pouvons considérer qu'une sensibilité comprise entre 100 et 1000 nT est correcte. Au-dessus de 1000 nT l'appareil ne servira pas à grand chose. Le mieux est donc un appareil dont on peut régler la sensibilité.
Attention, en agglomération, le rayonnement 50 Hertz du secteur est tel, qu'il faut soit limiter de façon importante la sensibilité des détecteurs, soit filtrer cette fréquence et ses principales harmoniques.
Les différentes familles de détecteurs
Il existe de très nombreux types de détecteurs de champs magnétiques, mais nous pouvons les classer en deux grandes familles :
- Ceux fonctionnant avec un capteur mécanique, il s'agit des détecteurs à aiguille ou bien des détecteurs fonctionnant avec un ILS (interrupteur à lame souple). Ceux-ci pouvant être plus ou moins sensibles selon le mode de saisie de l'information.
Détecteurs à aiguille par contact : 2 plots de contact de part et d'autre de l'aiguille. Il faut un effort important pour que le contact se fasse - faible sensibilité.
Détecteurs à aiguille avec cellule photoélectrique: le faisceau lumineux de la cellule est caché par l'aiguille. La moindre déviation entraînera l'alarme - meilleure sensibilité.
Détecteur à aiguille aimantée
Autre système mécanique
Exemple de réalisation
- Ceux fonctionnant avec un capteur électronique, il peut s'agir de bobines comportant plusieurs milliers de spires ou de capteurs magnétiques intégrés (KPY 12 par exemple).
Il existe même maintenant des circuits permettant de déterminer la direction de la variation du champ magnétique, ce sont des modules utilisés dans les compas électroniques.
ci-dessus 2 schémas simplifiés de réalisations
Avantages et inconvénients des différents types d'appareils
Détecteurs à aiguille par contact :
Avantages :
- prix de revient quasiment nul sauf dans le cas d'utilisation d'aiguille de grande dimension
- insensibilité aux variations de températures
- réalisation à la portée de tous
Inconvénients :
- très mauvaise sensibilité >1000 nT
- fiabilité très mauvaise
- trop forte sensibilité aux vibrations
- inutilisable en extérieur
Détecteurs à aiguille et cellule photoélectrique :
Avantages :
- insensibilité aux variations de températures
- réalisation relativement simple
- sensibilité bonne < 500 nT
Inconvénients :
- fiabilité mauvaise
- encore plus sensible aux vibrations
- inutilisable en extérieur
Détecteurs à I.L.S. (interrupteur à lame souple) :
Avantages :
- relativement économique
- réalisation assez simple
- faible encombrement (détecteur de poche)
- très bonne sensibilité < 100 nT
Inconvénients :
- fiabilité médiocre
- instabilité due aux variations de températures
Détecteurs à bobine ou autre capteur électronique :
Avantages :
- très bonne sensibilité < 10 nT
- excellente fiabilité
- bonne tenue aux variations de températures
Inconvénients :
- réalisation difficile
- ne détecte que des champs alternatifs (dans le cas d'un capteur à bobine)
Réalisation d'un détecteur
Cahier des charges :
- sensibilité importante
- autonomie et portabilité (il faut pouvoir aller sur le terrain)
- coût de réalisation relativement faible
- universalité d'emploi (détection des nuisances électromagnétiques en géobiologie par exemple)
- sortie externe pour raccordement à un système d'alarme, d'enregistrement ou d'analyse.
Notre détecteur :
Des maquettes basées sur différents types de schémas ont été réalisées. Elles avaient toutes des avantages mais surtout beaucoup trop d'inconvénients.
Quelques modèles du commerce ont été testés mais le coût semble proportionnel à la sensibilité et devient vite prohibitif.
Nous avons fini par trouver l'oiseau rare dans un ancien numéro de la revue ELEKTOR de janvier 1997 (n°223).
Cet appareil est sensé détecter " l'electrosmog ", mais les essais réalisés montrent qu'il est parfaitement adapté à notre usage.
Il est très sensible (100nT), facilement reproductible et de faible coût. Son seul petit problème est qu'il détecte très bien le secteur 50Hz et ses harmoniques (mais cela peut être un avantage pour d'autres utilisations : géobiologie par exemple).
Schéma du détecteur
Ce schéma est la propriété du magazine ELEKTOR et nous ne pouvons que vous encourager à vous procurer le numéro 223 dans lequel vous aurez toutes les explications pour la réalisation du circuit ainsi que pour la bobine de détection.
Photos de notre maquette : (cliquez sur les photos)
Raccordement du détecteur sur PC portable :
Le monde des radioamateurs nous fournit des logiciels particulièrement intéressants pour notre application.
Des programmes tels que SPECTRAN ou SPECTRUM LAB permettent une acquisition des signaux de notre détecteur par l'intermédiaire de l'entrée micro du PC portable.
Quel est l'intérêt de ces logiciels ?
SPECTRAN analyse les signaux issus du détecteur, il permet de déterminer la fréquence du champ magnétique pour ne pas se faire " piéger " par du rayonnement 50Hz (lignes électriques par exemple).
Il dispose d'une autre fonction particulièrement intéressante : il peut enregistrer le signal dans un fichier que l'on peut analyser par la suite.
Vue de SPECTRAN
http://www.weaksignals.com/
SPECLAB fait tout ce que fait SPECTRAN mais il est beaucoup plus complexe d'utilisation.
Il dispose de nombreux filtres pour le traitement des signaux et permet même dans une certaine limite de déterminer la direction du champ magnétique. Il suffit pour cela de 2 détecteurs disposés à angle droit, chacun branché sur une voie de l'entrée micro du PC. Cela permet d'obtenir une certaine directivité (NORD <=> SUD ou EST <=> OUEST).
Vue de SPECLAB
http://www.qsl.net/dl4yhf/spectra1.html
Les deux logiciels cités ci-dessus fonctionnent sur PC et sont libres d'utilisation (freeware).
Il existe d'autres logiciels que nous n'avons pas testé et qui sont probablement tout aussi fonctionnels que ceux cités ci-dessus.
Une option intéressante serait de trouver le même type de logiciel fonctionnant sous PocketPC, cela permettrait de diminuer l'équipement nécessaire lors des sorties ou autres veillées d'observations.
Un appel est lancé aux développeurs intéressés......
Vue du système détecteur + PC portable :
L'essai ci-dessus montre le rayonnement 50Hz d'un transformateur, on voit aussi les harmoniques générées par ce transformateur.
Dans la partie basse de l'écran (analyse spectrale) la couleur est proportionnelle au niveau du signal.
Attention à ne pas faire comme dans cet exemple et mettre le détecteur trop près du portable si vous ne voulez pas voir s'enregistrer tous les accès du disque dur de l'ordinateur...
http://www.serppe.fr/articles-sur-les-ovni/la-detection-des-ovni.html
Les détecteurs électroniques
Responsables des détections : Serge Lachapelle
Technologie de recherche : P. Plouffe (électronitien)
"Sciences de l'Étrange & Phénomènes Inexpliqués"
Les appareils de détection...
Plusieurs appareils peuvent être utilisés dans la recherche et la détection de l'activité OVNI, cela inclut des détecteurs d'émissions de micro-ondes comme les radio-télescopes, des détecteurs de variations de champ magnétique terrestre, les capteurs d'anti-gravité sans oublier les détecteurs de variation de champ statique. Nous continuons la recherche dans le développement de nouveaux appareils et l'amélioration des appareils existants. Vous aussi pouvez participer à ces recherches si le sujet vous intéresse. Voici les informations nécessaires afin de constituer votre propre station de détection informatisée. Quelques connaissances de base en électronique sont requises ainsi que quelques talents de bricoleurs pour mettre en oeuvre votre station, nous ne donnons pas de cours sur ce sujet ni ne vendons de "kits" de détection, alors si vos connaissances sont insufisantes pour assembler ou comprendre les plans qui suivent, il ne devrait pas être difficile de trouver quelqu'un qui pourra vous aider. Les plans sont tout de même assez simples et faciles à réaliser.
La base de plusieurs appareils...
Le plus répandu des appareils est le détecteur de variation de champ magnétique et gravitationnel. Le circuit électronique est très simple, il s'agit d'un petit circuit qui mesure un déplacement mécanique, lorsqu'un objet (ça peut même être votre doigt) s'approche ou s'éloigne du circuit, il se produit une variation du voltage de sortie. C'est cette variation que l'on mesure et qui peut être enregistrée avec un simple voltmètre, ou d'une façon beaucoup plus constante par un ordinateur qui peut alors surveiller 24/24 heures et même vous alerter s'il se produit une variation importante.
Schéma illustrant le fonctionnement du module de détection.
Le circuit de base...
Voici le circuit très simple qui constitue la base des appareils de détection. Il ne s'agit que de quatre (oui oui seulement 4) pièces connues et très faciles à trouver (Addisson, Add-Tronique, Radio Shack, etc). Il n'y a pas de numéros de pièces indiqués pour la diode électroluminescente et le photo transistor car plusieurs personnes ont effectué ce montage avec des pièces de récupération. Bref, le type de pièces utilisées n'est pas critique dans ce montage et plusieurs pièces provenant de différents fabricants peuvent être utilisées. Vous pouvez également utiliser des diodes de couleurs au lieu de l'infra-rouge sans constater de différence dans la performance du circuit. Attention, ce circuit ne fonctionnera de façon satisfaisante que s'il se trouve à l'abri de la lumière ambiante, autrement dit, dans l'obscurité sous une boîte serait l'idéal. Une fois le montage terminé, vous pouvez tester votre circuit en reliant un voltmètre à sa sortie et si le voltage varie lorsque vous approchez ou éloignez un objet du phototransistor, votre appareil fonctionne. Ce circuit doit être alimenté par un voltage de 5 volts, si vous ne possédez pas de source régularisée de 5 volts, vous pouvez sans rique utiliser 3 piles de 1.5 volts en série.
Schéma du circuit
Maintenant que vous avez un circuit fonctionnel...
Une fois le circuit terminé, testé et fonctionnel, vous pouvez le relier à un ordinateur de type P.C. Le schéma qui suit est en fonction de l'utilisation d'un ordinateur compatible IBM muni d'un port de manette de jeux, habituellement incluse sur les cartes de son, mais aussi disponible via certaines interfaces. N'importe quel ordinateur fera l'affaire, mais pour utiliser notre logiciel vous devrez vous assurer de la compatibilité de son système d'exploitation avec le système "DOS". Plusieurs persones utilisent de vieux PC récupérés ou achetés à très bon marché (même un 80286 fera l'affaire) qu'il laisse fonctionner en tout temps comme appareil de détection. Il est également possible d'utiliser d'autres ordinateurs en modifiant les connections en fonction du modèle et en se reférant au manuel. Une de nos stations utilise même un Commodore 64 qui fait très bien l'affaire. Veuillez noter que nous ne sommes aucunement responsables des dommages causés à votre ordinateur. Vous faites ces connections à vos propres risques. Si vous n'êtes pas certain de ce que vous faites, demandez l'aide d'une personne compétente.
Comment connecter votre détecteur à une prise DB-15 pour port de manette de jeu d'un P.C.
Section bricolage...
Une fois le circuit terminé, il s'agit maintenant de construire l'appareil qui servira au type de détection désiré. Le schéma suivant utilise un aimant qui agira comme l'aiguille d'une boussole et qui réagira à une perturbation du champ magnétique naturel de la Terre. La partie mobile s'alignera naturellement avec le champ magnétique terrestre, il faudra donc placer et calibrer l'appareil en le tournant sur lui-même de façon à avoir une lecture d'à peu près 2.5 volts au voltmètre ou de 127 sur l'échelle du programme de détection (disponible au bas de la page précédente). Le niveau enregistré par le logiciel se situe entre 0 et 255 et comme la partie mobile peut aussi bien s'éloigner que se rapprocher du circuit, un bon calibrage le placera au centre de son échelle (C'est sûrement la partie la plus difficile de tout le montage de votre station). Cet appareil est sensible aux vibrations, veillez à le placer dans un endroit stable et à l'abri de la lumière, il peut même être placé juste sous la surface de la terre.
Modèle suggéré de détecteur de perturbation de champ magnétique terrestre
Autres modèles de détecteurs...
Voici deux autres schémas d'appareils de détection. Ceux-ci servent à la détection de variations de champ gravitationnel. Il est préférable de réaliser ces montages en n'utilisant que des matériaux non magnétiques, tels que bois, plastique ou aluminium. Très faciles à fabriquer ils sont stables et fiables.
Important...
Tous ces montages possèdent quelques défauts, ils ont une certaine sensibilité aux vibrations et leur stabilité peut être influencée par la température ambiante. Ceci est particulièrement vrai en ce qui concerne les détecteurs placés à l'extérieur. Nos détecteurs sont installés depuis assez longtemps, ce qui nous a permis de développer une certaine expertise en ce qui concerne l'interprétation des résultats. Si vous installez un de ces détecteurs, nous vous serions reconaissants de nous en informer, et n'hésitez pas à nous faire parvenir vos fichiers produits par le logiciel de détection, nous vous aiderons à les interpréter...
(C) 2002,2003,2004,2005 ASEPI
http://www.asepiinc.org/detecteurs.html
http://www.asepiinc.org/de_plan2_en.html
http://arspo.ifrance.com/arspo/
DEPARTEMENT RECHERCHE C.R.U/ VIGIE OVNI 29.
Voila ce que nous désirons installer sur le site de Brest.
Une station d'observation fonctionnant 24 heures sur 24, permettant de détecter les mouvement d'ovnis au dessus de la rade de Brest.
PHOTOS EUROPEAN UFO SURVEY.
LES PROPRES RECHERCHES VIGIE OVNI 29/ C.R.U:
- Marque EcoLine ( sécurity-center [ groupe ABUS ] )
- Modèle TV 7050
- Capteur d’image ¼ ‘’SONY SUPER HAD CCD
- Lignes TV / pixels 470 lignes TV / 438.000 pixels
- Éclairement minimum 0.95 lux à F 1.6 ( IRE30 )
- Rapport signal/bruit } 48 dB
- Réglage électronique de l’obturateur 1/50 s – 1/10.000 s
- Objectif Zoom 22X / 3,9 ~ 85,8mm / F1.6 ~ 3.7
- Zoom numérique 10 X ( agrandissement maximal zoom optique inclus : 220 X )
- Angle horizontal 47° ( panorama ) ~ 3° ( télé )
- Sortie vidéo 1 Vss / 75 ohms / prise BNC
- Alimentation 12 VDC ( 9V-15VDC )
- Consommation 4,2 W
- Norme Vidéo PAL
- Dimensions / Poids H : 60 x L : 60.4 x P : 103 mm / 345 gr.
- Température de fonctionnement - 10°C à + 50°C
- Humidité maxi 80% sans condensation
Elle sera pilotée à distance par une palette de télécommande filaire ( option actuellement en
commande ).
La pose d’un objectif ( téléobjectif ) complémentaire est possible par le biais d’un filetage .
Cette caméra est montée dans un boîtier aluminium de même marque , étanche , ( indice de
protection IP66 ) incorporant un chauffage .
Nous avons testé avec Thierry la pose d’un filtre IR ( filtre d’astronomie ) afin de rendre cette
caméra plus sélective .
Le résultat semble concluant !
L’ensemble est posé sur un assemblage de rotor d’antenne ( pose verticale et horizontale )
- Angles de rotation 360° ( orientation & inclinaison )
- Vitesse de rotation 70 secondes pour 360°
- Couple de rotation 21.5 Nm
PASCAL COMBOT PRESIDENT ET TECHNICIEN de l'association Vigie ovni 29, qui travaille actuellement sur la mise au point du système détection.
http://oani.ifrance.com/NEWS.htm
Dans l'histoire de l'ufologie nous avons assisté à la mise en place de nombreux projets de détection des phénomènes ovni. Il existe sur le Web quelques sites qui traitent des détecteurs d’O.V.N.I. Ces appareils seraient en mesure de détecter la présence d'un O.V.N.I. dans un secteur restreint. De plus en plus perfectionnés ces systèmes peuvent être automatisés.
Jean-Christophe Doré, à Rochefort, avec ses différents modèles de stations automatique de détection d'ovnis, qu'il a créés et mis au point seul (son site)
Les effets Electro-Magnétiques (EM effects) font partie des indices quantitatifs rapportés dans les RR2. Ils incluent les interférences avec le fonctionnement de moteurs d'automobiles, les radios et les phares ; des interférence avec le fonctionnement de postes radio ou TV, des compas, des tachymètres magnétiques, des systèmes d'alimentation ; du magnétisme résiduel dans des objets métalliques, des montres, etc. On a parfois remarqué, par ailleurs, une coïncidence entre l'apparition de phénomènes ovni et les perturbations de champ magnétique, comme lors de la vague 1954 par la station de Chambon-la-Forêt (Loiret)
Projets de détection instrumentée
L'idée de stations automatisées de détection de PANs s'est assez rapidement développée en ufologie, dans les buts d'offrir des données :
* Plus objectives, l'utilisation d'instruments
o évitant l'accusation de témoignages trop subjectifs
o permettant des mesures en temps réel et non plus a posteriori (témoignages, photos, etc.)
* Plus nombreuses
o une détection systématique car automatique (et non plus au hasard d'une observation humaine)
o une plus grande couverture de détection (au niveau national typiquement)
o plus de capteurs, mesurant des données diverses (magnétiques, gravifiques, infrasons, ionisation, spectromètre, météo)
Exemples de projets de détection automatisée:
Le projet Pounce (USAF) en 1952
Au printemps 1952 le colonel Methany (convaincu de la réalité des ovnis et de leur origine interplanétaire) de l'ADC de Kirtland, 34ème Division de Défense Aérienne, propose de modifier les intercepteurs Lockheed F-94C Starfire avec des caméras dans le nez des appareils pour obtenir des photos rapprochées d'ovnis. Ils devraient être placés en alerte 24/7 ("pounce" signifie "attaque") [Carpenter, J.]. Cependant ce projet est annulé avec le motif que, en raison de la guerre de Corée, il n'y avait pas suffisamment d'avions disponibles.
Le projet Pounce est décrit dans le rapport de la Commission Robertson de 1953 comme une enquête sur les ovnis proposée par la base de l'Air Force de Kirtland au début des années 1950s.
Hughes Aircraft construisit le système radar utilisé dans les F-94C. Ce site d'essais Starfire opéré par Hughes montre une installation de triple caméra (flèches) montée dans le compartiment dans le nez du chasseur. Ceci ressemble probablement au package caméra prévu pour les intercepteurs du Projet Pounce. Photographie au télescope d'Adamski, le 5 Mars 1951
MADAR (Blevins & Ridge) en 1960
Le système MADAR
Le système MADAR (vue arrière)
En 1960 Lewis G. Blevins et Francis L. Ridge conçoivent un projet de détection visant à :
1. agir comme système de 1er avertissement pour la présence d'anomalies magnétiques et de 1ère acquisition de cible visuelle anormale (les données sont recueillies via des dispositifs automatiques et opérés manuellement.
2. Corréler les données d'événements avec des observations visuelles signalées dans la region.
Ce système fut par la suite nommé MADAR (Multiple Anomaly Detection & Automated Recording).
"MADAR", NICAP
http://www.nicap.org/madar.htm
RésUFO (Monnerie/LDLN) de 1963 à 1979
Acronyme pour REseau de SUrveillance pho(FO)tographique du ciel, mis en place en 1974 par Michel Monnerie.
En 1963, LDLN installe un réseau de détecteurs magnétiques. En 1969, 430 détecteurs sont exploités dans toute la France. Au cours de 1968 et 1969 près de 3 % des 332 ovnis observés visuellement et considérés comme extraordinaires ont été détectés par les capteurs. Cependant dans 88 % des détections, les ovnis ne sont pas vérifiés visuellement[1]. Dans chacun des événements où une vérification visuelle a pu être faite un ovni se trouvait à moins de 1 km des témoins.
Hardy-Marinello (SVEPS) vers 1970
Societé Varoise d'Etude des Phénomènes Spatiaux, fondée à Toulon par René Hardy.
La SVEPS publie le bulletin Approche.
Elle enquête sur diverses affaires telles que Marliens, Trans-en-Provence.
A une époque, elle envisage la construction d'un site de détection d'ovnis [1]. La station-laboratoire Hardy-Marinello, composée de 2 groupes de capteurs (paramètres physiques et météo) finit cependant par être abandonnée faute de moyens.
Des enquêteurs de la SVEPS ont été Cohin, F. Crebely.
Aeneid (USAF/RAF) de 1970 à 1971
Opération de surveillance secrète menée conjointement de Septembre 1970 à Mars 1971 par :
* la RA
* la Royal Navy
* le Royal Corps of Transports
* le Royal Engineers
* le Royal Corps of Signals
* le Royal Observer Corps
* l'USA
A la suite du nombre considérable d'apparitions d'aéronefs non identifiés au large des côtes Est de l'Angleterre et en Atlantique Nord au cours de la guerre froide.
37 sites d'observations sont choisis en Grande-Bretagne, principalement en zones militaires. Chacun de ces sites est relié aux centres militaires de High Wycombe et de Rudloe Manor (qui serait, selon des sources bien informées le siège d'enquêtes officielles secrètes sur les ovnis), d'où les informations recueillies sont ensuite transférées au QG de l'USAF, la base de Wright-Patterson, à Dayton (Ohio).
Parmi les observations importantes réalisées par les pilotes et le personnel au sol, l'une d'elles qui rappelle l'affaire Mantell a mal tourné le 8 septembre 1970.
Projet Identification (Rutledge) en 1973
Harley D. Rutledge (docteur)
En 1966 Rutledge obtient son doctorat en physique de l'état solide de l'Université du Missouri. Par la suite il devient professeur et président du Département de Physique de l'Université d'Etat du Missouri du sud-Est.
Début 1973, défié d'expliquer des observations de lumières non identifiées et de phénomènes lumineux dans le ciel des collines autour de Piedmont (Missouri), Rutledge décide de soumettre ces rapports à une analyse scientifique au travers du "Projet Identification". Il rassemble une équipe d'observateurs disposant d'une formation niveau lycée en sciences physiques, ainsi que de nombreux instruments : analyseurs de spectre RF, telescopes Questar, détecteurs audio bas-haute fréquence, analyseur de fréquence électromagnétique, appareils photos, et un galvanomètre pour mesurer les variations dans le champ gravitationnel de la terre.
Les sessions d'observations commencent en avril, totalisant plusieurs centaines d'heures. L'observation du ciel nocturne sans nuages révèle souvent des "pseudo étoiles" - des lumières stationnaires camouflées par des constellations familières. Certaines semblent mimer l'apparence d'appareils connus, d'autres violer les lois de la physique. La découverte la plus frappante est qu'en au moins 32 occasions enregistrées, le mouvement des lumières se synchronisait avec les actions des observateurs. Elles semblaient répondre à une lumière alternativement allumée et éteinte, et aux messages verbaux par radio. Comme le dira Rutledge :
La réalité de ces expériences dépassa la simple mesure des propriétés physiques des ovnis effectuées par des observateurs neutres. Une relation, une reconnaissance mutuelle s'instaura entre les ovnis et nous-mêmes. Nous participions à un jeu commun".
Auteur de : Project Identification: The first Scientific Study of UFO Phenomena. Prentice-Hall, 1981, ISBN 0-13-730713-6 Project Identification: Thirteen Years and One-Hundred and Sixty Sightings Later - presenté au symposium du MUFON de 1986.
Eurociel (GEPAN) dans les années 1980s
Projet du GEPAN de réseau de stations au sol équipées de systèmes d'observation grand-angle et d'algorithmes puissants de traitement en temps réel.
Le concept de base était d'implanter 2 ensembles de stations de détection optique grand angle, situées à des dizaines de miles de distance suivant un parallèle de latitude, chaque station devant être équipée avec des caméras de type CCD, avec un minimum de 1 dans le visible et 1 dans l'infrarouge. La sortie de ces caméras alimenterait de données un microordinateur qui déclenche l'enregistrement de données lorsque l'ordinateur détermine qu'un changement est soudainement intervenu. Les données de l'ensemble de ces stations seraient stockées dans une installation centrale pour permettre le calcul de trajectoires. Un tel système pourrait détecter la foudre, des météores, des satellites inconnus et d'autres phénomènes connus ou inconnus.
Au cours de la phase du GEPAN, le projet produisit de nombreux rapports et enquêtes et documents techniques concernant des sujets liés à l'étude d'événements ovnis. Ces rapports furent rendus publics. Ces rapports ne sont plus disséminés, mais une information peut toujours être demandée au CNES.
* Louange, F. et Vélasco, J.-J., "Annexe 1 : Investigations officielles sur les ovnis en France : le Projet GEPAN/SEPRA", Rapport Sturrock/Pocantico, 1997
Le projet Pennine (1986)
Inspirée du projet Hessdalen, étude indépendante des phénomènes de boules de lumière initiée en 1986 par David Clarke et Andy Roberts.
Dans le cadre de ce projet, la vallée de Longdendale (à 30 mn du centre de Manchester et Sheffield) - et en particulier Bleaklow - dans le district du Pic du Derbyshire est identifiée comme l'une des "zones fenêtres" (window areas) les plus active du nord de l'Angleterre.
Autres projets:
* Magnet (Canada) de 1950 à 1954
* Second Story (Canada) en 1952
* PSI (Stanford) en 1964
* Prairie (Université) de 1968 à 1969
* Hessdalen (Norvège, CISU) à partir de 1983
http://rr0.org/science/crypto/ufo/observation/projet/Instrument.html
Ufocatch, poursuite vidéo d’Ovni automatisée
A Rochefort, Jean-Christophe Doré, 40 ans, informaticien, continue, seul et sans bénéficier d'un environnement technique, comme Geffray du reste, à mettre au point des stations automatiques de détection d'ovnis, utilisant des réseaux de diffraction. Au premier plan, le système de détection panoramique, avec une caméra qui se déclenche automatiquement au moindre mouvement d'une source lumineuse, et qui peut enregistrer son spectre. L’UfoCatch est un système de détection d’objet volant ou de phénomène aérien, ou aérospatial, non identifié. Il permet de déterminer la trajectoire et le point de contact-sol. Il est développé pour l’association Ufo-Science.
Il se présente sous la forme de deux composants. L’un est une caméra de surveillance, disposée en position verticale, pointant vers le ciel et équipée d’un objectif à grand champs assurant ainsi une surveillance du ciel.
Cette caméra est couplée à un ordinateur qui ne réagit que si un élément du décor nocturne, voire diurne, présente un déplacement angulaire, ou une fluctuation de luminosité. Le système est paramétrable de différentes façons ( seuil de magnitude, seuil de période et d’amplitude de fluctuations, etc ).
Si ces variations sont constatées, l’image globale est enregistrée et l’ordinateur calcule en temps réel l’azimut et le site de la source considérée. Il transmet ces données à un second système motorisé, portant deux caméras, qui sont aussitôt pointées dans la direction où le phénomène a été détecté. Le second système est asservi, de manière à opérer un centrage et un zoom automatique sur la source détectée par la première caméra. L’objectif de la seconde caméra etant équipé d’un filtre à réseau, le spectre de la source est également enregistré. Le système peut également être équipé d’une série de filtres, sur équipage mobile motorisé, télécommandable.
La détection peut être assortie d’un signal sonore avec avertissement vocal, transmis à distance, donnant les paramètres du signal : localisation, magnitude, vitesse angulaire, période de fluctuation de luminosité, etc.
Deux ou plusieurs systèmes de ce genre permettent l’enregistrement de la trajectoire 3D de la source et, si elle entre en contact avec le sol, du lieu où l’évènement se produit. Le système pourra être doté d’une banque de données spectrales et programmé de manière à opérer une identification en temps réel de la nature de la source, le premier but étant de tenter d’opérer une discrimination vis à vis d’un phénomène naturel. La surveillance d’un territoire peut être assurée, modulo une maille de 50 miles, les unités étant reliées par radio à un enregistreur central.
http://dorejc.free.fr/?p=694
http://www.ufo-science.com/fr/telechargements/pdf/ufocatch.pdf
La détection magnétique des OVNI
Écrit par Thot Samedi, 30 Septembre 2006 serppe.fr
Cette étude vous propose la réalisation d'un détecteur de champs magnétiques pouvant se raccorder à un PC portable et permettre ainsi enregistrements et analyses des signaux
Quel intérêt ?
Dès le début des années 1960, de nombreux ufologues ont montré que certains OVNI généraient un fort champ électromagnétique.
Les effets produits sur l'environnement par un champ magnétique puissant dépendent des caractéristiques de ce dernier :
- Lorsque le champ est continu, les métaux magnétisables pouvant être situés à proximité de l'OVNI sont susceptibles de conserver un magnétisme rémanent. Un tel champ peut expliquer l'arrêt brutal des montres de certains témoins.
- De plus un champ d'intensité variable induira un courant de FOUCAULT dans tous les objets métalliques situés à proximité. Un tel courant va provoquer un échauffement pouvant aller jusqu'à la fusion de l'objet.
- Lorsque le champ est alternatif et de très basse fréquence, jusqu'à quelques centaines de Hertz, certains objets métalliques peuvent entrer en résonance et se mettre à vibrer.
Un détecteur de champ magnétique peut donc être utilisé pour des enquêtes sur des atterrissages, à conditions de pouvoir intervenir très rapidement sur le terrain.
Un autre usage particulièrement intéressant de ce type de détecteur est de pouvoir se tenir informé de toute modification importante du champ magnétique. Cette dernière pouvant être produite par un OVNI. Il faut dans ce cas précis limiter la sensibilité du détecteur de façon à s'affranchir de tout déclenchement intempestif dû à de trop nombreux parasites industriels. Ce type de détecteur était à la mode il y a quelques années puis, sans qu'on sache vraiment pourquoi, cette surveillance est tombée en désuétude bien que de très nombreuses observations aient pu être effectuées suite à des appels de détecteurs.
Grandeurs à mesurer
Un petit rappel de physique va nous permettre de connaître les grandeurs de ce que l'on doit mesurer.
Les unités employées sont le Gauss (G, système EMCGS), le Tesla (T, système SI) et le gamma. Ces unités servent à mesurer la densité de flux magnétique.
1 Tesla = 10.000 Gauss (104 G) = 109 gammas
Le Tesla étant une unité beaucoup trop grande, on utilise souvent le nano Tesla : 1 nT = 1 gamma.
Le champ magnétique terrestre varie de 70.000 nT aux pôles à 25.000 nT à l'équateur.
Il faut savoir que dans nos villes, le niveau de parasites industriels peut couramment atteindre 100 nT voire beaucoup plus. Dans certaines zones trop polluées, il sera impossible de faire fonctionner un détecteur sensible.
Nous pouvons considérer qu'une sensibilité comprise entre 100 et 1000 nT est correcte. Au-dessus de 1000 nT l'appareil ne servira pas à grand chose. Le mieux est donc un appareil dont on peut régler la sensibilité.
Attention, en agglomération, le rayonnement 50 Hertz du secteur est tel, qu'il faut soit limiter de façon importante la sensibilité des détecteurs, soit filtrer cette fréquence et ses principales harmoniques.
Les différentes familles de détecteurs
Il existe de très nombreux types de détecteurs de champs magnétiques, mais nous pouvons les classer en deux grandes familles :
- Ceux fonctionnant avec un capteur mécanique, il s'agit des détecteurs à aiguille ou bien des détecteurs fonctionnant avec un ILS (interrupteur à lame souple). Ceux-ci pouvant être plus ou moins sensibles selon le mode de saisie de l'information.
Détecteurs à aiguille par contact : 2 plots de contact de part et d'autre de l'aiguille. Il faut un effort important pour que le contact se fasse - faible sensibilité.
Détecteurs à aiguille avec cellule photoélectrique: le faisceau lumineux de la cellule est caché par l'aiguille. La moindre déviation entraînera l'alarme - meilleure sensibilité.
Détecteur à aiguille aimantée
Autre système mécanique
Exemple de réalisation
- Ceux fonctionnant avec un capteur électronique, il peut s'agir de bobines comportant plusieurs milliers de spires ou de capteurs magnétiques intégrés (KPY 12 par exemple).
Il existe même maintenant des circuits permettant de déterminer la direction de la variation du champ magnétique, ce sont des modules utilisés dans les compas électroniques.
ci-dessus 2 schémas simplifiés de réalisations
Avantages et inconvénients des différents types d'appareils
Détecteurs à aiguille par contact :
Avantages :
- prix de revient quasiment nul sauf dans le cas d'utilisation d'aiguille de grande dimension
- insensibilité aux variations de températures
- réalisation à la portée de tous
Inconvénients :
- très mauvaise sensibilité >1000 nT
- fiabilité très mauvaise
- trop forte sensibilité aux vibrations
- inutilisable en extérieur
Détecteurs à aiguille et cellule photoélectrique :
Avantages :
- insensibilité aux variations de températures
- réalisation relativement simple
- sensibilité bonne < 500 nT
Inconvénients :
- fiabilité mauvaise
- encore plus sensible aux vibrations
- inutilisable en extérieur
Détecteurs à I.L.S. (interrupteur à lame souple) :
Avantages :
- relativement économique
- réalisation assez simple
- faible encombrement (détecteur de poche)
- très bonne sensibilité < 100 nT
Inconvénients :
- fiabilité médiocre
- instabilité due aux variations de températures
Détecteurs à bobine ou autre capteur électronique :
Avantages :
- très bonne sensibilité < 10 nT
- excellente fiabilité
- bonne tenue aux variations de températures
Inconvénients :
- réalisation difficile
- ne détecte que des champs alternatifs (dans le cas d'un capteur à bobine)
Réalisation d'un détecteur
Cahier des charges :
- sensibilité importante
- autonomie et portabilité (il faut pouvoir aller sur le terrain)
- coût de réalisation relativement faible
- universalité d'emploi (détection des nuisances électromagnétiques en géobiologie par exemple)
- sortie externe pour raccordement à un système d'alarme, d'enregistrement ou d'analyse.
Notre détecteur :
Des maquettes basées sur différents types de schémas ont été réalisées. Elles avaient toutes des avantages mais surtout beaucoup trop d'inconvénients.
Quelques modèles du commerce ont été testés mais le coût semble proportionnel à la sensibilité et devient vite prohibitif.
Nous avons fini par trouver l'oiseau rare dans un ancien numéro de la revue ELEKTOR de janvier 1997 (n°223).
Cet appareil est sensé détecter " l'electrosmog ", mais les essais réalisés montrent qu'il est parfaitement adapté à notre usage.
Il est très sensible (100nT), facilement reproductible et de faible coût. Son seul petit problème est qu'il détecte très bien le secteur 50Hz et ses harmoniques (mais cela peut être un avantage pour d'autres utilisations : géobiologie par exemple).
Schéma du détecteur
Ce schéma est la propriété du magazine ELEKTOR et nous ne pouvons que vous encourager à vous procurer le numéro 223 dans lequel vous aurez toutes les explications pour la réalisation du circuit ainsi que pour la bobine de détection.
Photos de notre maquette : (cliquez sur les photos)
Le monde des radioamateurs nous fournit des logiciels particulièrement intéressants pour notre application.
Des programmes tels que SPECTRAN ou SPECTRUM LAB permettent une acquisition des signaux de notre détecteur par l'intermédiaire de l'entrée micro du PC portable.
Quel est l'intérêt de ces logiciels ?
SPECTRAN analyse les signaux issus du détecteur, il permet de déterminer la fréquence du champ magnétique pour ne pas se faire " piéger " par du rayonnement 50Hz (lignes électriques par exemple).
Il dispose d'une autre fonction particulièrement intéressante : il peut enregistrer le signal dans un fichier que l'on peut analyser par la suite.
Vue de SPECTRAN
http://www.weaksignals.com/
SPECLAB fait tout ce que fait SPECTRAN mais il est beaucoup plus complexe d'utilisation.
Il dispose de nombreux filtres pour le traitement des signaux et permet même dans une certaine limite de déterminer la direction du champ magnétique. Il suffit pour cela de 2 détecteurs disposés à angle droit, chacun branché sur une voie de l'entrée micro du PC. Cela permet d'obtenir une certaine directivité (NORD <=> SUD ou EST <=> OUEST).
Vue de SPECLAB
http://www.qsl.net/dl4yhf/spectra1.html
Les deux logiciels cités ci-dessus fonctionnent sur PC et sont libres d'utilisation (freeware).
Il existe d'autres logiciels que nous n'avons pas testé et qui sont probablement tout aussi fonctionnels que ceux cités ci-dessus.
Une option intéressante serait de trouver le même type de logiciel fonctionnant sous PocketPC, cela permettrait de diminuer l'équipement nécessaire lors des sorties ou autres veillées d'observations.
Un appel est lancé aux développeurs intéressés......
Vue du système détecteur + PC portable :
L'essai ci-dessus montre le rayonnement 50Hz d'un transformateur, on voit aussi les harmoniques générées par ce transformateur.
Dans la partie basse de l'écran (analyse spectrale) la couleur est proportionnelle au niveau du signal.
Attention à ne pas faire comme dans cet exemple et mettre le détecteur trop près du portable si vous ne voulez pas voir s'enregistrer tous les accès du disque dur de l'ordinateur...
http://www.serppe.fr/articles-sur-les-ovni/la-detection-des-ovni.html
Les détecteurs électroniques
Responsables des détections : Serge Lachapelle
Technologie de recherche : P. Plouffe (électronitien)
"Sciences de l'Étrange & Phénomènes Inexpliqués"
Les appareils de détection...
Plusieurs appareils peuvent être utilisés dans la recherche et la détection de l'activité OVNI, cela inclut des détecteurs d'émissions de micro-ondes comme les radio-télescopes, des détecteurs de variations de champ magnétique terrestre, les capteurs d'anti-gravité sans oublier les détecteurs de variation de champ statique. Nous continuons la recherche dans le développement de nouveaux appareils et l'amélioration des appareils existants. Vous aussi pouvez participer à ces recherches si le sujet vous intéresse. Voici les informations nécessaires afin de constituer votre propre station de détection informatisée. Quelques connaissances de base en électronique sont requises ainsi que quelques talents de bricoleurs pour mettre en oeuvre votre station, nous ne donnons pas de cours sur ce sujet ni ne vendons de "kits" de détection, alors si vos connaissances sont insufisantes pour assembler ou comprendre les plans qui suivent, il ne devrait pas être difficile de trouver quelqu'un qui pourra vous aider. Les plans sont tout de même assez simples et faciles à réaliser.
La base de plusieurs appareils...
Le plus répandu des appareils est le détecteur de variation de champ magnétique et gravitationnel. Le circuit électronique est très simple, il s'agit d'un petit circuit qui mesure un déplacement mécanique, lorsqu'un objet (ça peut même être votre doigt) s'approche ou s'éloigne du circuit, il se produit une variation du voltage de sortie. C'est cette variation que l'on mesure et qui peut être enregistrée avec un simple voltmètre, ou d'une façon beaucoup plus constante par un ordinateur qui peut alors surveiller 24/24 heures et même vous alerter s'il se produit une variation importante.
Schéma illustrant le fonctionnement du module de détection.
Le circuit de base...
Voici le circuit très simple qui constitue la base des appareils de détection. Il ne s'agit que de quatre (oui oui seulement 4) pièces connues et très faciles à trouver (Addisson, Add-Tronique, Radio Shack, etc). Il n'y a pas de numéros de pièces indiqués pour la diode électroluminescente et le photo transistor car plusieurs personnes ont effectué ce montage avec des pièces de récupération. Bref, le type de pièces utilisées n'est pas critique dans ce montage et plusieurs pièces provenant de différents fabricants peuvent être utilisées. Vous pouvez également utiliser des diodes de couleurs au lieu de l'infra-rouge sans constater de différence dans la performance du circuit. Attention, ce circuit ne fonctionnera de façon satisfaisante que s'il se trouve à l'abri de la lumière ambiante, autrement dit, dans l'obscurité sous une boîte serait l'idéal. Une fois le montage terminé, vous pouvez tester votre circuit en reliant un voltmètre à sa sortie et si le voltage varie lorsque vous approchez ou éloignez un objet du phototransistor, votre appareil fonctionne. Ce circuit doit être alimenté par un voltage de 5 volts, si vous ne possédez pas de source régularisée de 5 volts, vous pouvez sans rique utiliser 3 piles de 1.5 volts en série.
Schéma du circuit
Maintenant que vous avez un circuit fonctionnel...
Une fois le circuit terminé, testé et fonctionnel, vous pouvez le relier à un ordinateur de type P.C. Le schéma qui suit est en fonction de l'utilisation d'un ordinateur compatible IBM muni d'un port de manette de jeux, habituellement incluse sur les cartes de son, mais aussi disponible via certaines interfaces. N'importe quel ordinateur fera l'affaire, mais pour utiliser notre logiciel vous devrez vous assurer de la compatibilité de son système d'exploitation avec le système "DOS". Plusieurs persones utilisent de vieux PC récupérés ou achetés à très bon marché (même un 80286 fera l'affaire) qu'il laisse fonctionner en tout temps comme appareil de détection. Il est également possible d'utiliser d'autres ordinateurs en modifiant les connections en fonction du modèle et en se reférant au manuel. Une de nos stations utilise même un Commodore 64 qui fait très bien l'affaire. Veuillez noter que nous ne sommes aucunement responsables des dommages causés à votre ordinateur. Vous faites ces connections à vos propres risques. Si vous n'êtes pas certain de ce que vous faites, demandez l'aide d'une personne compétente.
Comment connecter votre détecteur à une prise DB-15 pour port de manette de jeu d'un P.C.
Section bricolage...
Une fois le circuit terminé, il s'agit maintenant de construire l'appareil qui servira au type de détection désiré. Le schéma suivant utilise un aimant qui agira comme l'aiguille d'une boussole et qui réagira à une perturbation du champ magnétique naturel de la Terre. La partie mobile s'alignera naturellement avec le champ magnétique terrestre, il faudra donc placer et calibrer l'appareil en le tournant sur lui-même de façon à avoir une lecture d'à peu près 2.5 volts au voltmètre ou de 127 sur l'échelle du programme de détection (disponible au bas de la page précédente). Le niveau enregistré par le logiciel se situe entre 0 et 255 et comme la partie mobile peut aussi bien s'éloigner que se rapprocher du circuit, un bon calibrage le placera au centre de son échelle (C'est sûrement la partie la plus difficile de tout le montage de votre station). Cet appareil est sensible aux vibrations, veillez à le placer dans un endroit stable et à l'abri de la lumière, il peut même être placé juste sous la surface de la terre.
Modèle suggéré de détecteur de perturbation de champ magnétique terrestre
Autres modèles de détecteurs...
Voici deux autres schémas d'appareils de détection. Ceux-ci servent à la détection de variations de champ gravitationnel. Il est préférable de réaliser ces montages en n'utilisant que des matériaux non magnétiques, tels que bois, plastique ou aluminium. Très faciles à fabriquer ils sont stables et fiables.
Important...
Tous ces montages possèdent quelques défauts, ils ont une certaine sensibilité aux vibrations et leur stabilité peut être influencée par la température ambiante. Ceci est particulièrement vrai en ce qui concerne les détecteurs placés à l'extérieur. Nos détecteurs sont installés depuis assez longtemps, ce qui nous a permis de développer une certaine expertise en ce qui concerne l'interprétation des résultats. Si vous installez un de ces détecteurs, nous vous serions reconaissants de nous en informer, et n'hésitez pas à nous faire parvenir vos fichiers produits par le logiciel de détection, nous vous aiderons à les interpréter...
(C) 2002,2003,2004,2005 ASEPI
http://www.asepiinc.org/detecteurs.html
http://www.asepiinc.org/de_plan2_en.html
http://arspo.ifrance.com/arspo/
DEPARTEMENT RECHERCHE C.R.U/ VIGIE OVNI 29.
Voila ce que nous désirons installer sur le site de Brest.
Une station d'observation fonctionnant 24 heures sur 24, permettant de détecter les mouvement d'ovnis au dessus de la rade de Brest.
PHOTOS EUROPEAN UFO SURVEY.
LES PROPRES RECHERCHES VIGIE OVNI 29/ C.R.U:
- Marque EcoLine ( sécurity-center [ groupe ABUS ] )
- Modèle TV 7050
- Capteur d’image ¼ ‘’SONY SUPER HAD CCD
- Lignes TV / pixels 470 lignes TV / 438.000 pixels
- Éclairement minimum 0.95 lux à F 1.6 ( IRE30 )
- Rapport signal/bruit } 48 dB
- Réglage électronique de l’obturateur 1/50 s – 1/10.000 s
- Objectif Zoom 22X / 3,9 ~ 85,8mm / F1.6 ~ 3.7
- Zoom numérique 10 X ( agrandissement maximal zoom optique inclus : 220 X )
- Angle horizontal 47° ( panorama ) ~ 3° ( télé )
- Sortie vidéo 1 Vss / 75 ohms / prise BNC
- Alimentation 12 VDC ( 9V-15VDC )
- Consommation 4,2 W
- Norme Vidéo PAL
- Dimensions / Poids H : 60 x L : 60.4 x P : 103 mm / 345 gr.
- Température de fonctionnement - 10°C à + 50°C
- Humidité maxi 80% sans condensation
Elle sera pilotée à distance par une palette de télécommande filaire ( option actuellement en
commande ).
La pose d’un objectif ( téléobjectif ) complémentaire est possible par le biais d’un filetage .
Cette caméra est montée dans un boîtier aluminium de même marque , étanche , ( indice de
protection IP66 ) incorporant un chauffage .
Nous avons testé avec Thierry la pose d’un filtre IR ( filtre d’astronomie ) afin de rendre cette
caméra plus sélective .
Le résultat semble concluant !
L’ensemble est posé sur un assemblage de rotor d’antenne ( pose verticale et horizontale )
- Angles de rotation 360° ( orientation & inclinaison )
- Vitesse de rotation 70 secondes pour 360°
- Couple de rotation 21.5 Nm
PASCAL COMBOT PRESIDENT ET TECHNICIEN de l'association Vigie ovni 29, qui travaille actuellement sur la mise au point du système détection.
http://oani.ifrance.com/NEWS.htm
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Re: Les projets et systèmes de détection d'Ovni en France et dans le monde
Mar 05 Juil 2011, 16:46
pas mal du tout , tout ces systèmes de détection
j'aimerai aussi avoir une camera de détection automatiquie avec suivi de l'objet en mouvement
j'aimerai aussi avoir une camera de détection automatiquie avec suivi de l'objet en mouvement
- Robert04Equipe du forum
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Re: Les projets et systèmes de détection d'Ovni en France et dans le monde
Mar 05 Juil 2011, 21:20
Bonsoir
Il y en à surement ici qui peuvent t'aider,si tu est intéressé
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- theseb67Participation exceptionnelle
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Re: Les projets et systèmes de détection d'Ovni en France et dans le monde
Mar 05 Juil 2011, 21:28
merci et c'est noter mais si je m'en fais un je voudrais quand même une bonne camera ou autre pour avoir une belle image ,parce que chez moi en Alsace je vois souvent des objets lumineux traverser le ciel (sat et autres) donc se serait cool de pouvoir filmer tout ça ,et de faire des comparaisons
- rextyx57Equipe du forum
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Re: Les projets et systèmes de détection d'Ovni en France et dans le monde
Mer 14 Déc 2011, 10:05
A propos de l'invisibilité des ovnis :
Il ya eu une recherche de faite par des scientifiques :
Camoufle nanotubes de carbone forestiers objets 3-D
IMAGES: Numérisation d'images au microscope électronique montrent un réservoir gravé sur du silicium, avec et sans revêtement de nanotubes de carbone (rangée du haut). Lorsque les mêmes structures sont vus sous une lumière blanche ...
Les nanotubes de carbone, composé de minuscules cylindres de carbone d'un treillis atome d'épaisseur, ont acquis une renommée en tant que l'un des meilleurs matériaux connus de la science. Maintenant un groupe de chercheurs de l'Université du Michigan, c'est profiter d'une autre l'une des propriétés des nanotubes de carbone unique, le faible indice de réfraction de la faible densité des nanotubes alignés, pour démontrer une nouvelle application: faire en 3-D des objets apparaissent comme rien de plus que un appartement, une feuille noire.
L'indice de réfraction d'un matériau est une mesure de combien ce matériau ralentit la lumière, et de nanotubes de carbone "forêts" ont un faible indice de réfraction très proche de celle de l'air. Depuis les deux matériaux affectent le passage de la lumière de façon similaire, il ya peu de réflexion et de diffusion de la lumière lorsqu'elle passe de l'air dans une couche de nanotubes.
L'équipe du Michigan ont réalisé qu'ils pouvaient utiliser cette propriété pour cacher visuellement la structure des objets. Comme décrit dans les lettres de l'AIP revue Applied Physics, les chercheurs ont fabriqué une image 3-D d'un réservoir de silicium. Lorsque l'image a été illuminée par une lumière blanche, des réflexions ont révélé les contours du réservoir, mais après les chercheurs a progressé d'une forêt de nanotubes de carbone sur le dessus du réservoir, la lumière a été absorbée par revêtement de la cuve, révélant rien de plus qu'une feuille noire.
En absorbant lieu de diffusion de la lumière, les revêtements de nanotubes de carbone pourraient masquer un objet sur un fond noir, comme celle de l'espace profond, les chercheurs notent. Dans de tels cas de la forêt de nanotubes de carbone "agit comme un tissu magique noir parfait qui peut dissimuler complètement la structure 3-D de l'objet», écrivent les chercheurs.
# # #
Article: «Faible densité de carbone des forêts de nanotubes comme un indice appariés et à proximité de revêtement d'absorption parfait» est accepté pour publication dans Applied Physics Letters.
Auteurs: Shi Haofei (1), G. Jong Ok (2), Hyoung Won BAAC, (1) et L. Jay Guo (1).
(1) Département de génie électrique et informatique, Université du Michigan
(2) Département de génie mécanique, Université du Michigan
http://www.eurekalert.org/pub_releases/2011-11/aiop-3nf112111.php
Il ya eu une recherche de faite par des scientifiques :
Camoufle nanotubes de carbone forestiers objets 3-D
IMAGES: Numérisation d'images au microscope électronique montrent un réservoir gravé sur du silicium, avec et sans revêtement de nanotubes de carbone (rangée du haut). Lorsque les mêmes structures sont vus sous une lumière blanche ...
Les nanotubes de carbone, composé de minuscules cylindres de carbone d'un treillis atome d'épaisseur, ont acquis une renommée en tant que l'un des meilleurs matériaux connus de la science. Maintenant un groupe de chercheurs de l'Université du Michigan, c'est profiter d'une autre l'une des propriétés des nanotubes de carbone unique, le faible indice de réfraction de la faible densité des nanotubes alignés, pour démontrer une nouvelle application: faire en 3-D des objets apparaissent comme rien de plus que un appartement, une feuille noire.
L'indice de réfraction d'un matériau est une mesure de combien ce matériau ralentit la lumière, et de nanotubes de carbone "forêts" ont un faible indice de réfraction très proche de celle de l'air. Depuis les deux matériaux affectent le passage de la lumière de façon similaire, il ya peu de réflexion et de diffusion de la lumière lorsqu'elle passe de l'air dans une couche de nanotubes.
L'équipe du Michigan ont réalisé qu'ils pouvaient utiliser cette propriété pour cacher visuellement la structure des objets. Comme décrit dans les lettres de l'AIP revue Applied Physics, les chercheurs ont fabriqué une image 3-D d'un réservoir de silicium. Lorsque l'image a été illuminée par une lumière blanche, des réflexions ont révélé les contours du réservoir, mais après les chercheurs a progressé d'une forêt de nanotubes de carbone sur le dessus du réservoir, la lumière a été absorbée par revêtement de la cuve, révélant rien de plus qu'une feuille noire.
En absorbant lieu de diffusion de la lumière, les revêtements de nanotubes de carbone pourraient masquer un objet sur un fond noir, comme celle de l'espace profond, les chercheurs notent. Dans de tels cas de la forêt de nanotubes de carbone "agit comme un tissu magique noir parfait qui peut dissimuler complètement la structure 3-D de l'objet», écrivent les chercheurs.
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Article: «Faible densité de carbone des forêts de nanotubes comme un indice appariés et à proximité de revêtement d'absorption parfait» est accepté pour publication dans Applied Physics Letters.
Auteurs: Shi Haofei (1), G. Jong Ok (2), Hyoung Won BAAC, (1) et L. Jay Guo (1).
(1) Département de génie électrique et informatique, Université du Michigan
(2) Département de génie mécanique, Université du Michigan
http://www.eurekalert.org/pub_releases/2011-11/aiop-3nf112111.php
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Re: Les projets et systèmes de détection d'Ovni en France et dans le monde
Jeu 14 Fév 2013, 19:05
Les applications possibles et diverses utilisant toujours le même type de systéme infrarouge ont l'air sympa et ludique à fabriquer.
Je me demande si il n'y aurrait pas moyen de récupérer une souris optique d'ordi pour en faire ? Surtout que le plus souvent lorsqu'elle tombe en panne l'optique n'y est pour rien, le plus souvent c'est le clic ou la prise qui déconne.
En démontant une souris j'ai remarqué qu'il y avait 5 fils (entrée ou sortie reste à établir) tous ces fils sont utilisés dans le circuits électroniques ... Je ne m'y connais pas trop en électronique, je me dit que l'idéal serait que ça fonctionnes un peu comme les vieilles manettes de jeu vidéo, c'est à dire du courant dans ce fils-ci pour dire "à droite" dans tel autre pour dire "à gauche" etc mais vue le nombre de fils et le nombre d'ordre que peu donner une souris il semble évident qu'il doit y avoir des signaux différent sur les même fils pour donner des info différente ... Aprés je ne sait pas !
Pour l'alimentation les souris sans fil marche avec 2 LR6, donc j'imagine que c'est au moins suffisant pour faire marcher le système optique !?
Y aurait il quelqu'un qui si connaisse dans le coin et qui puisse nous dire s'il ya moyen de récupérer nos vieilles souris optique pour les transformer facilement en détecteur infrarouge (surtout que l'info droite/gauche/haut/bas pourrait peut'être prise comme une seule info "mouvement", ça serait suffisant pour l'utilisation que l'on veut en faire !) ?
Je me demande si il n'y aurrait pas moyen de récupérer une souris optique d'ordi pour en faire ? Surtout que le plus souvent lorsqu'elle tombe en panne l'optique n'y est pour rien, le plus souvent c'est le clic ou la prise qui déconne.
En démontant une souris j'ai remarqué qu'il y avait 5 fils (entrée ou sortie reste à établir) tous ces fils sont utilisés dans le circuits électroniques ... Je ne m'y connais pas trop en électronique, je me dit que l'idéal serait que ça fonctionnes un peu comme les vieilles manettes de jeu vidéo, c'est à dire du courant dans ce fils-ci pour dire "à droite" dans tel autre pour dire "à gauche" etc mais vue le nombre de fils et le nombre d'ordre que peu donner une souris il semble évident qu'il doit y avoir des signaux différent sur les même fils pour donner des info différente ... Aprés je ne sait pas !
Pour l'alimentation les souris sans fil marche avec 2 LR6, donc j'imagine que c'est au moins suffisant pour faire marcher le système optique !?
Y aurait il quelqu'un qui si connaisse dans le coin et qui puisse nous dire s'il ya moyen de récupérer nos vieilles souris optique pour les transformer facilement en détecteur infrarouge (surtout que l'info droite/gauche/haut/bas pourrait peut'être prise comme une seule info "mouvement", ça serait suffisant pour l'utilisation que l'on veut en faire !) ?
- InvitéInvité
Re: Les projets et systèmes de détection d'Ovni en France et dans le monde
Mar 22 Jan 2019, 14:27
La détection passe aussi par des satellites de nouvelle génération...
"Détection et caractérisation d'objets aériens anormaux à l'aide d'images de données satellitaires"
Présentation de M. Philippe Ailleris, contrôleur de projet, Agence Spatiale Européenne (ESA) / SCU
Compte tenu des difficultés que pose l’étude scientifique d’un phénomène sporadique et imprévisible et de l’absence de données scientifiques recueillies à partir d’instruments fiables, les progrès en matière d’apprentissage des objets aériens anormaux (AAO) sont au point mort. Il est évident que pour progresser, comme dans d'autres domaines scientifiques, les études AAO nécessitent de nouvelles méthodes de recherche et des outils innovants. L’arrivée d’observations de la Terre complètes, libres et ouvertes, de données haute résolution, la quantité sans cesse croissante d’images disponibles, ainsi que les capacités et avantages uniques des satellites de télédétection, tels que l’observation sur une vaste zone et les capacités de mesure rapide, offrent: une capacité unique de collecte de données objectives sur les AAO et représente donc une nouvelle ligne prometteuse de recherche instrumentale sur les AAO. Nous nous concentrerons sur une application potentielle des satellites Sentinelles-2 du programme européen Copernicus, qui fournit des données optiques optiques en haute visibilité (5 jours à l'équateur), une résolution spatiale fine de 10 mètres et une résolution très fine. Large couverture (bande de 290 km). La présentation présentera le changement de paradigme actuel pour les observations de la Terre dans l’Espace, montrera que certaines caractéristiques de l’AAA pourraient être utilisées pour la recherche d’AAO dans les bases de données d’images Sentinel-2 et décrira des méthodologies spatiales et temporelles visant à combiner directement les informations des citoyens avec des données satellites.
Plus d'infos sur les satellites Sentinels-2
Cette présentation fait l'objet d'un cycle de conférences organisées par la "Scientific Coalition for Ufology" (SCU) durant les 15 et 16 mars 2019 au "Huntsville Marriott at the Space & Rocket Center", Alabama.
@+
"Détection et caractérisation d'objets aériens anormaux à l'aide d'images de données satellitaires"
Présentation de M. Philippe Ailleris, contrôleur de projet, Agence Spatiale Européenne (ESA) / SCU
Compte tenu des difficultés que pose l’étude scientifique d’un phénomène sporadique et imprévisible et de l’absence de données scientifiques recueillies à partir d’instruments fiables, les progrès en matière d’apprentissage des objets aériens anormaux (AAO) sont au point mort. Il est évident que pour progresser, comme dans d'autres domaines scientifiques, les études AAO nécessitent de nouvelles méthodes de recherche et des outils innovants. L’arrivée d’observations de la Terre complètes, libres et ouvertes, de données haute résolution, la quantité sans cesse croissante d’images disponibles, ainsi que les capacités et avantages uniques des satellites de télédétection, tels que l’observation sur une vaste zone et les capacités de mesure rapide, offrent: une capacité unique de collecte de données objectives sur les AAO et représente donc une nouvelle ligne prometteuse de recherche instrumentale sur les AAO. Nous nous concentrerons sur une application potentielle des satellites Sentinelles-2 du programme européen Copernicus, qui fournit des données optiques optiques en haute visibilité (5 jours à l'équateur), une résolution spatiale fine de 10 mètres et une résolution très fine. Large couverture (bande de 290 km). La présentation présentera le changement de paradigme actuel pour les observations de la Terre dans l’Espace, montrera que certaines caractéristiques de l’AAA pourraient être utilisées pour la recherche d’AAO dans les bases de données d’images Sentinel-2 et décrira des méthodologies spatiales et temporelles visant à combiner directement les informations des citoyens avec des données satellites.
Plus d'infos sur les satellites Sentinels-2
Cette présentation fait l'objet d'un cycle de conférences organisées par la "Scientific Coalition for Ufology" (SCU) durant les 15 et 16 mars 2019 au "Huntsville Marriott at the Space & Rocket Center", Alabama.
@+
- InvitéInvité
Re: Les projets et systèmes de détection d'Ovni en France et dans le monde
Jeu 04 Avr 2019, 12:00
Je n'ai pas encore écouté le live BTLV d'hier soir, mais cela rejoint notre thématique...
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- InvitéInvité
Re: Les projets et systèmes de détection d'Ovni en France et dans le monde
Sam 31 Aoû 2019, 11:09
- InvitéInvité
Re: Les projets et systèmes de détection d'Ovni en France et dans le monde
Mar 15 Oct 2019, 16:04
Le MADAR France dispose d'une page Facebook
En chiffres Romains, le III signifie qu'ils utilisent un appareil de troisième génération.
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En chiffres Romains, le III signifie qu'ils utilisent un appareil de troisième génération.
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