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- InvitéInvité
Réplication avec succès par la NASA d'expériences de Claude Poher
Dim 03 Nov 2013, 21:31
La NASA annonce le succès de la réplication d'une partie des expériences de Claude Poher (théorie des universons).
Claude Poher développe depuis des dizaines d'années une théorie concernant masse, gravitation, forces d'inertie appelée théorie des universons.
Voir : http://www.universons.com
La mise à disposition de matériaux supraconducteurs "haute température" lui a permis de mettre en oeuvre des séries d'expériences permettant de conforter, d'affiner la théorie d'origine. Les matéraux supraconducteurs permettent l'accélération des électrons libres sans les contraintes liées aux matériaux conducteurs dits résistifs.
Bien évidemment cette théorie des universons "enfonce" une bonne partie des convictions des physiciens de notre époque qui n'apportent aucun soutien à Claude Poher. Ce dernier a donc dû construire chez lui un laboratoire privé avec les moyens du bord.
Une première tentative de publication dans la revue Française de physique appliquée EPJ-AP a d'abord été acceptée avant d'être retirée au bout de quelques jours sous la pression de personnages influents préférant agir cachés.
Une deuxième tentative de publication a été acceptée par la revue referees Applied Physics Journal (APJ) éditée au Canada.
A part pour critiquer vertement, nos brillants scientifiques et industriels français, européens n'ont jamais donné le moindre signe de vie mais les américains de la NASA, eux, ont immédiatement capté l'intérêt des recherches de Claude Poher. Ils n'ont rien à faire des blablateurs et des pipeauteurs de la physique de salon, il n'y a que le résultat qui les intéresse même si la théorie globale peut présenter quelques lacunes restant à définir.
En super raccourci les "amplificateurs" conçus permettent la création d'une poussée directement à partir d'énergie électrique (on en rêvait depuis longtemps, surtout après avoir vu des soucoupes volantes passer devant nos fenêtres ...).
Les moyens utilisés par Claude Poher ne permettront peut-être pas de construire des soucoupes volantes opérationnelles dans un proche avenir mais par contre ils peuvent permettre la fabrication des "thrusters" équipant nos satellites. La durée de vie d'un satellite dépend essentiellement de la quantité de carburant/comburant qu'il emporte pour alimenter ses "thrusters". La station spatiale internationale a constamment besoin de recharger ses réservoirs pour maintenir altitude et attitude.
Le satellite a constamment besoin de maintenir son orbite et son attitude, dans le cas des géostationnaires il doit également garder en réserve la quantité nécessaire de carburant/comburant pour gagner une orbite "poubelle" en fin de vie.
La mise au point de "thrusters" fonctionnant avec les principes de Claude Poher permettrait un gain considérable de charge utile et de durée de vie des satellites.
Il est quand même dommage de constater qu'une fois encore une découverte bien française et de grande ampleur va surtout profiter à d'autres et leur permettre de concurrencer nos propres industries spatiales.
...
Claude Poher développe depuis des dizaines d'années une théorie concernant masse, gravitation, forces d'inertie appelée théorie des universons.
Voir : http://www.universons.com
La mise à disposition de matériaux supraconducteurs "haute température" lui a permis de mettre en oeuvre des séries d'expériences permettant de conforter, d'affiner la théorie d'origine. Les matéraux supraconducteurs permettent l'accélération des électrons libres sans les contraintes liées aux matériaux conducteurs dits résistifs.
Bien évidemment cette théorie des universons "enfonce" une bonne partie des convictions des physiciens de notre époque qui n'apportent aucun soutien à Claude Poher. Ce dernier a donc dû construire chez lui un laboratoire privé avec les moyens du bord.
Une première tentative de publication dans la revue Française de physique appliquée EPJ-AP a d'abord été acceptée avant d'être retirée au bout de quelques jours sous la pression de personnages influents préférant agir cachés.
Une deuxième tentative de publication a été acceptée par la revue referees Applied Physics Journal (APJ) éditée au Canada.
A part pour critiquer vertement, nos brillants scientifiques et industriels français, européens n'ont jamais donné le moindre signe de vie mais les américains de la NASA, eux, ont immédiatement capté l'intérêt des recherches de Claude Poher. Ils n'ont rien à faire des blablateurs et des pipeauteurs de la physique de salon, il n'y a que le résultat qui les intéresse même si la théorie globale peut présenter quelques lacunes restant à définir.
En super raccourci les "amplificateurs" conçus permettent la création d'une poussée directement à partir d'énergie électrique (on en rêvait depuis longtemps, surtout après avoir vu des soucoupes volantes passer devant nos fenêtres ...).
Les moyens utilisés par Claude Poher ne permettront peut-être pas de construire des soucoupes volantes opérationnelles dans un proche avenir mais par contre ils peuvent permettre la fabrication des "thrusters" équipant nos satellites. La durée de vie d'un satellite dépend essentiellement de la quantité de carburant/comburant qu'il emporte pour alimenter ses "thrusters". La station spatiale internationale a constamment besoin de recharger ses réservoirs pour maintenir altitude et attitude.
Le satellite a constamment besoin de maintenir son orbite et son attitude, dans le cas des géostationnaires il doit également garder en réserve la quantité nécessaire de carburant/comburant pour gagner une orbite "poubelle" en fin de vie.
La mise au point de "thrusters" fonctionnant avec les principes de Claude Poher permettrait un gain considérable de charge utile et de durée de vie des satellites.
Il est quand même dommage de constater qu'une fois encore une découverte bien française et de grande ampleur va surtout profiter à d'autres et leur permettre de concurrencer nos propres industries spatiales.
...
- arno.m50Equipe du forum
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Re: Réplication avec succès par la NASA d'expériences de Claude Poher
Dim 03 Nov 2013, 22:40
Comme le dit le dicton "en France on a pas de pétrole, mais on a des idées".
Ce qui est dommage, c'est que la France ne sait pas quoi en faire .
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- Henri KonnouEquipe du forum
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Re: Réplication avec succès par la NASA d'expériences de Claude Poher
Dim 03 Nov 2013, 23:34
Tu as autre chose que le site Poher comme source ? JP Petit dit sa théorie est du n'importenawak.wacapou a écrit:La NASA annonce le succès de la réplication d'une partie des expériences de Claude Poher (théorie des universons).
Voir : http://www.universons.com
_______________________________________
"Et ne vous dites pas : "Inutile de penser par moi-même, Jean-Pierre Petit s'en chargera pour moi"." JP Petit
- InvitéInvité
Re: Réplication avec succès par la NASA d'expériences de Claude Poher
Lun 04 Nov 2013, 09:56
Bonjour Henri Konnou
JP.Petit est quelqu'un de très ouvert et de très compétent, malheureusement cela ne lui ouvre pas forcément grandes ouvertes les portes de la Vérité.
Il faut reconnaître que la fréquentation de Claude Poher n'est pas toujours facile à vivre et il y a un contentieux assez sévère entre lui et JP.Petit. Claude Poher aurait affirmé à un journaleux que JP.Petit aurait maquillé un accident de parapente en un accident du travail pour toucher une pension ... Pas très joli comme comportement ...
Résultat : JP.Petit a décrété que les effets observés par Claude Poher n'étaient dus qu'à des phénomènes piézoélectriques. Manque de chance pour lui les amplificateurs fabriqués n'entrent pas dans la "bonne" catégorie, ils sont supraconducteurs au lieu d'être des isolants. Par "retournement" du sens de circulation des électrons libres il a été facile à Claude Poher de démontrer que le phénomène n'avait rien à voir avec la piézoélectricité.
Pour ma part je suis comme les américains de la NASA, la théorie de Claude Poher sur les universons est peut-être du n'importe quoi mais manque de bol pour ses détracteurs ... elle fonctionne ...
En 1940 on ne comprenait pas grand-chose à la fission mais en 1945 les USA expédiaient deux bombes nucléaires sur le Japon pour mettre fin à la deuxième guerre mondiale.
Pourquoi ce "succès" ?
Parce qu'il y avait un vrai Chef à la tête du projet Manhattan qui savait choisir ses équipes et envoyer les baffes nécessaires pour faire cesser les chamailleries entre scientifiques débordés par leur ego.
Pendant ce temps les scientifiques allemands, pourtant bien plus avancés théoriquement au début passaient leur temps à se disputer entre eux sur des âneries ... avec le résultat nul que l'on connaît.
Vous n'êtes pas obligé de croire tout ce que Claude Poher a imaginé, par contre la publication dans la revue scientifique canadienne à comité de lecture est entièrement "bétonnée" :
http://www.ccsenet.org/journal/index.php/apr/article/view/10455
Je crois d'autant plus volontiers aux résultats obtenus par Claude Poher que ses expériences recoupent les très étranges résultats observés par Podkletnov en Finlande et Tajmar en Autriche (ces dernières expériences financées par l'US Air Force et l'ESA).
Il vous suffit de lancer des recherches sur Internet avec les mots clés fournis ci-dessus pour en apprendre beaucoup plus.
Détail : tous les essais concernant la gravitation n'ont pu avoir lieu que grâce aux développements sur les matériaux supraconducteurs dits à "haute température" libérant ainsi des électrons de leur carcan atomique.
Bonne journée.
...
JP.Petit est quelqu'un de très ouvert et de très compétent, malheureusement cela ne lui ouvre pas forcément grandes ouvertes les portes de la Vérité.
Il faut reconnaître que la fréquentation de Claude Poher n'est pas toujours facile à vivre et il y a un contentieux assez sévère entre lui et JP.Petit. Claude Poher aurait affirmé à un journaleux que JP.Petit aurait maquillé un accident de parapente en un accident du travail pour toucher une pension ... Pas très joli comme comportement ...
Résultat : JP.Petit a décrété que les effets observés par Claude Poher n'étaient dus qu'à des phénomènes piézoélectriques. Manque de chance pour lui les amplificateurs fabriqués n'entrent pas dans la "bonne" catégorie, ils sont supraconducteurs au lieu d'être des isolants. Par "retournement" du sens de circulation des électrons libres il a été facile à Claude Poher de démontrer que le phénomène n'avait rien à voir avec la piézoélectricité.
Pour ma part je suis comme les américains de la NASA, la théorie de Claude Poher sur les universons est peut-être du n'importe quoi mais manque de bol pour ses détracteurs ... elle fonctionne ...
En 1940 on ne comprenait pas grand-chose à la fission mais en 1945 les USA expédiaient deux bombes nucléaires sur le Japon pour mettre fin à la deuxième guerre mondiale.
Pourquoi ce "succès" ?
Parce qu'il y avait un vrai Chef à la tête du projet Manhattan qui savait choisir ses équipes et envoyer les baffes nécessaires pour faire cesser les chamailleries entre scientifiques débordés par leur ego.
Pendant ce temps les scientifiques allemands, pourtant bien plus avancés théoriquement au début passaient leur temps à se disputer entre eux sur des âneries ... avec le résultat nul que l'on connaît.
Vous n'êtes pas obligé de croire tout ce que Claude Poher a imaginé, par contre la publication dans la revue scientifique canadienne à comité de lecture est entièrement "bétonnée" :
http://www.ccsenet.org/journal/index.php/apr/article/view/10455
Je crois d'autant plus volontiers aux résultats obtenus par Claude Poher que ses expériences recoupent les très étranges résultats observés par Podkletnov en Finlande et Tajmar en Autriche (ces dernières expériences financées par l'US Air Force et l'ESA).
Il vous suffit de lancer des recherches sur Internet avec les mots clés fournis ci-dessus pour en apprendre beaucoup plus.
Détail : tous les essais concernant la gravitation n'ont pu avoir lieu que grâce aux développements sur les matériaux supraconducteurs dits à "haute température" libérant ainsi des électrons de leur carcan atomique.
Bonne journée.
...
- Henri KonnouEquipe du forum
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Re: Réplication avec succès par la NASA d'expériences de Claude Poher
Mar 05 Nov 2013, 04:10
Bonjour Wacapou,
Votre réponse est longue, mais elle ne répond pas à ma question: avez-vous un lien internet pour la NASA et Poher ? Le site de Poher demande une inscription. Et comme je ne suis pas physicien, en quoi les travaux de Poher pourraient avoir un lien avec les OVNIS ? Quel est le lien avec son article canadien et les OVNIS ?
Votre réponse est longue, mais elle ne répond pas à ma question: avez-vous un lien internet pour la NASA et Poher ? Le site de Poher demande une inscription. Et comme je ne suis pas physicien, en quoi les travaux de Poher pourraient avoir un lien avec les OVNIS ? Quel est le lien avec son article canadien et les OVNIS ?
- InvitéInvité
Re: Réplication avec succès par la NASA d'expériences de Claude Poher
Mar 05 Nov 2013, 10:38
Je vois votre problème ...Henri Konnou a écrit:... Et comme je ne suis pas physicien, en quoi les travaux de Poher pourraient avoir un lien avec les OVNIS ? Quel est le lien avec son article canadien et les OVNIS ? ...
Vous avez un immense trou à combler ...
Avec les moyens dont vous disposez (Internet surtout ...) commencez à vous poser les questions suivantes :
1 - Qui est Claude Poher ? Qu'a-t-il fait dans sa vie ?
2 - Quel est le "lien" entre Claude Poher et les OVNIs ?
3 - Quel est le lien entre l'article de la revue scientifique canadienne (propulsion), Claude Poher, les OVNIs
Après avoir répondu à toutes ces questions, vous verrez que vous comprendrez mieux ...
Remarque : l'inscription obligatoire sur le site de Claude Poher vise à empêcher tous les salo..pards du net de lui pourrir son site (comme de bien entendu, il a de nombreux ennemis dans ses collègues physiciens). Cette inscription est entièrement gratuite et elle vous permet l'accès à une énorme quantité de documents relatant ses travaux, vous en avez pour des semaines et des semaines à digérer le tout ... Il y a même le récit complet des incidents survenus sur la base de missiles stratégiques de Minot en Dakota du nord ...
Bonne journée.
...
- Jean CurnonixCulture Scientifique
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Re: Réplication avec succès par la NASA d'expériences de Claude Poher
Mar 05 Nov 2013, 11:13
Bonjour wacapou,
Au-delà de toute polémique (qui ne m’intéresse pas), il faut savoir que la "théorie des universons" de Claude Poher comporte une erreur dans son fondement : l’utilisation de la loi d’addition des vitesses de la mécanique classique au lieu de celle de la mécanique relativiste.
En mécanique classique – vitesses faibles vis-à-vis de la vitesse de la lumière – la loi d'addition des vitesses s'écrit :
V = v1 + v2
Exemple : vous êtes dans un train qui se déplace à v1 = 180 km/h = 50 m/s par rapport à un observateur extérieur et vous lancez une balle longitudinalement dans le couloir du wagon à la vitesse v2 = 36 km/h = 10 m/s par rapport à vous dans le train :
- si vous lancez la balle dans le sens du déplacement du train, pour l’observateur extérieur la vitesse V de la balle au moment où vous la lâchez est de :
V = 50 + 10 = 60 m/s = 216 km/h
- si vous lancez la balle dans le sens inverse du déplacement du train, pour l’observateur extérieur la vitesse V de la balle au moment où vous la lâchez est de :
V = 50 - 10 = 40 m/s = 144 km/h
En mécanique relativiste – relativité restreinte (RR), lorsque les vitesses ne sont plus négligeables par rapport à la vitesse de la lumière – la loi d'addition des vitesses s'écrit :
V = (v1 + v2) / [1 + (v1 x v2) / c²]
Toujours dans ce train qui se déplace par rapport à un observateur extérieur à la vitesse v1 = 180 km/h = 50 m/s, remplaçons la balle par l’un des photons émis par une lampe torche que vous tenez à la main. La vitesse v2 de celui-ci à l’émission par la lampe est de 300 000 km/s = 300 000 000 m/s.
Pour l’observateur extérieur, la vitesse V du photon est de :
- si vous orientez la lampe dans le sens du déplacement du train :
V = (50 + 300 000 000 ) / (1 + (50 x 300 000 000) / (300 000 000)²) = 300 000 000 m/s
- si vous orientez la lampe dans le sens inverse du déplacement du train :
V = (50 - 300 000 000 ) / (1 + (50 x (-300 000 000)) / (-300 000 000)²) = -300 000 000 m/s
La vitesse est la même – au signe prés pour tenir compte du sens de déplacement – et la vitesse du train ni ne s’ajoute, ni ne se retranche à celle du photon dans notre exemple.
L'addition de deux vitesses dont l’une (ou les deux) proche(s) de celle de la lumière (même si l'une ou les deux sont égales à c) ne donnera jamais une grandeur supérieure à c.
Passons maintenant à la "théorie des universons" dont il est préférable de posséder au moins des rudiments, outre la nécessité d’avoir un certain bagage en Sciences physiques et Physique mathématique, pour que mon explication apparaisse claire.
Lorsque l’on examine attentivement les calculs de Claude Poher dans la démonstration de son "théorème des universons", on s’aperçoit que la loi d’addition des vitesses utilisée est celle qui s’applique en mécanique classique, lui permettant d’obtenir une direction du mouvement de l’universon modifiée lors d'une capture passagère par une particule matérielle.
Or en appliquant la loi d’addition des vitesses de la mécanique relativiste, notamment pour une incidence longitudinale par rapport à la direction de la force appliquée, il n’y a pas de déviation de l’universon après une capture passagère, même lorsque l’on regarde ce qui se passe depuis la particule matérielle.
Le "théorème des universons" proposé par Claude Poher, sur lequel repose toute sa théorie, est indubitablement faux, parce que les universons, dans sa théorie, se déplacent à des vitesses relativistes.
Donc il est certain que la "théorie des universons" est mathématiquement incorrecte.
Dans le cadre de l’HET, à laquelle j’adhère, il est attribué une origine extraterrestre à ceux des ovnis dont l’origine résiste à toutes explications naturelles ou artificielles de facture humaine. Ces ovnis là utiliseraient très probablement la supraconductivité et il faudrait considérer une supraconductivité au minimum à température ordinaire. Est-ce possible ? Pour répondre à cette question, il faut savoir que la supraconductivité résulte de la formation possible de "paires d’électrons".
Bien que deux électrons se repoussent, ils peuvent être liés l’un à l’autre, en raison d’une force d’interaction qui résulte de l’échange de particules, semblables aux photons. Chaque électron a un spin 1/2, mais en opposant ceux-ci, on forme une particule de spin 0, dont le comportement est très différent. Ce n’est plus un fermion, soumis au principe d’exclusion de Fermi, mais un boson, permettant la "condensation de Bose-Einstein". Celle-ci autorise de mettre autant de paires d’électrons qu’on veut dans le même état d’énergie qui sera toujours le plus bas possible et ceci implique que, même quand les "porteurs de charge" sont en mouvement et produisent un courant électrique, ils ne seront pas délogés de cet état par des collisions avec d’autres particules. Il n’y a plus de résistance électrique !
Pour la supraconductivité ordinaire, découverte en 1911 par le physicien néerlandais Heike Kamerlingh Onnes et son équipe, les particules virtuelles sont des phonons. Ce sont des quanta d’ondes de vibration du réseau, mais l’énergie de ceux-ci est très faible. Il en résulte que les paires d’électrons se brisent dès qu’on fournit une énergie trop grande. Celle-ci pouvant être d’origine thermique, ce type de supraconductivité est seulement possible à très basse température. On peut aussi fournir de l’énergie sous forme magnétique ou optique. Pour cette raison, il faudrait que le champ magnétique appliqué dans les ovnis extraterrestres ne soit pas trop intense et que sa fréquence d’oscillation ne soit pas trop élevée.
Dès lors, ces ovnis exploiteraient un autre type de supraconductivité, théoriquement possible, en tenant compte du fait qu’il suffit de créer cet état supraconducteur à la surface de l’ovni et cela dans une couche très mince.
On peut considérer en effet un nouveau type de supraconductivité avec des paires d’électrons formées par un échange de plasmons de surface. Ce sont des quanta d’ondes de plasma de surface, tout comme les photons sont des quanta d’ondes électromagnétiques et les phonons des quanta d’ondes acoustiques. Chacune de ces particules est caractérisée par une relation spécifique qui détermine les énergies possibles en fonction des quantités de mouvement possibles. Pour un métal, les "ondes de plasma" résultent du fait que la densité moyenne des électrons de conduction (quasi-libres) peut osciller par rapport à leur densité moyenne, c’est-à-dire celle qui assure partout la neutralité électrique. Ces oscillations peuvent se produire assez facilement près de la surface, tout comme des groupes de molécules d’eau peuvent bouger fortement à la surface d’un lac, par exemple, et bouger également à l’intérieur de l’eau, mais de moins en moins fortement quand on y pénètre de plus en plus profondément.
L’énergie des plasmons de surface est environ 100 fois plus grande que celle des phonons et la "bande d’énergie interdite", qui sépare l’état supraconducteur de l’état normal, augmente alors dans les mêmes proportions. Au lieu d’une "température critique" de l’ordre de 10 °K, au-delà de laquelle l’état supraconducteur s’évanouit, on obtiendrait une température critique de l’ordre 1000 °K (soit de l’ordre de 700 °C) et l’intensité du champ magnétique critique (pour l’effet Silsbee) est également très relevée. Aujourd’hui, la recherche de matériaux qui seraient supraconducteurs à température ordinaire et au-delà ("haute température"), est poursuivie activement dans différents laboratoires, car les enjeux technologiques et financiers sont considérables.
Cordialement,
Jean
-------------------------------
Ma présentation se trouve ici
.
Il serait intéressant de connaître la source de l’"information" dont vous faites part, et mieux encore, d’avoir une référence, un lien au sujet des travaux de la NASA concernant "la réplication d'une partie des expériences de Claude Poher (théorie des universons)."wacapou a écrit:La NASA annonce le succès de la réplication d'une partie des expériences de Claude Poher (théorie des universons).
Au-delà de toute polémique (qui ne m’intéresse pas), il faut savoir que la "théorie des universons" de Claude Poher comporte une erreur dans son fondement : l’utilisation de la loi d’addition des vitesses de la mécanique classique au lieu de celle de la mécanique relativiste.
En mécanique classique – vitesses faibles vis-à-vis de la vitesse de la lumière – la loi d'addition des vitesses s'écrit :
V = v1 + v2
Exemple : vous êtes dans un train qui se déplace à v1 = 180 km/h = 50 m/s par rapport à un observateur extérieur et vous lancez une balle longitudinalement dans le couloir du wagon à la vitesse v2 = 36 km/h = 10 m/s par rapport à vous dans le train :
- si vous lancez la balle dans le sens du déplacement du train, pour l’observateur extérieur la vitesse V de la balle au moment où vous la lâchez est de :
V = 50 + 10 = 60 m/s = 216 km/h
- si vous lancez la balle dans le sens inverse du déplacement du train, pour l’observateur extérieur la vitesse V de la balle au moment où vous la lâchez est de :
V = 50 - 10 = 40 m/s = 144 km/h
En mécanique relativiste – relativité restreinte (RR), lorsque les vitesses ne sont plus négligeables par rapport à la vitesse de la lumière – la loi d'addition des vitesses s'écrit :
V = (v1 + v2) / [1 + (v1 x v2) / c²]
Toujours dans ce train qui se déplace par rapport à un observateur extérieur à la vitesse v1 = 180 km/h = 50 m/s, remplaçons la balle par l’un des photons émis par une lampe torche que vous tenez à la main. La vitesse v2 de celui-ci à l’émission par la lampe est de 300 000 km/s = 300 000 000 m/s.
Pour l’observateur extérieur, la vitesse V du photon est de :
- si vous orientez la lampe dans le sens du déplacement du train :
V = (50 + 300 000 000 ) / (1 + (50 x 300 000 000) / (300 000 000)²) = 300 000 000 m/s
- si vous orientez la lampe dans le sens inverse du déplacement du train :
V = (50 - 300 000 000 ) / (1 + (50 x (-300 000 000)) / (-300 000 000)²) = -300 000 000 m/s
La vitesse est la même – au signe prés pour tenir compte du sens de déplacement – et la vitesse du train ni ne s’ajoute, ni ne se retranche à celle du photon dans notre exemple.
L'addition de deux vitesses dont l’une (ou les deux) proche(s) de celle de la lumière (même si l'une ou les deux sont égales à c) ne donnera jamais une grandeur supérieure à c.
Passons maintenant à la "théorie des universons" dont il est préférable de posséder au moins des rudiments, outre la nécessité d’avoir un certain bagage en Sciences physiques et Physique mathématique, pour que mon explication apparaisse claire.
Lorsque l’on examine attentivement les calculs de Claude Poher dans la démonstration de son "théorème des universons", on s’aperçoit que la loi d’addition des vitesses utilisée est celle qui s’applique en mécanique classique, lui permettant d’obtenir une direction du mouvement de l’universon modifiée lors d'une capture passagère par une particule matérielle.
Or en appliquant la loi d’addition des vitesses de la mécanique relativiste, notamment pour une incidence longitudinale par rapport à la direction de la force appliquée, il n’y a pas de déviation de l’universon après une capture passagère, même lorsque l’on regarde ce qui se passe depuis la particule matérielle.
Le "théorème des universons" proposé par Claude Poher, sur lequel repose toute sa théorie, est indubitablement faux, parce que les universons, dans sa théorie, se déplacent à des vitesses relativistes.
Donc il est certain que la "théorie des universons" est mathématiquement incorrecte.
Il est ici nécessaire de posséder des connaissances en Physique quantique.wacapou a écrit:Détail : tous les essais concernant la gravitation n'ont pu avoir lieu que grâce aux développements sur les matériaux supraconducteurs dits à "haute température" libérant ainsi des électrons de leur carcan atomique.
Dans le cadre de l’HET, à laquelle j’adhère, il est attribué une origine extraterrestre à ceux des ovnis dont l’origine résiste à toutes explications naturelles ou artificielles de facture humaine. Ces ovnis là utiliseraient très probablement la supraconductivité et il faudrait considérer une supraconductivité au minimum à température ordinaire. Est-ce possible ? Pour répondre à cette question, il faut savoir que la supraconductivité résulte de la formation possible de "paires d’électrons".
Bien que deux électrons se repoussent, ils peuvent être liés l’un à l’autre, en raison d’une force d’interaction qui résulte de l’échange de particules, semblables aux photons. Chaque électron a un spin 1/2, mais en opposant ceux-ci, on forme une particule de spin 0, dont le comportement est très différent. Ce n’est plus un fermion, soumis au principe d’exclusion de Fermi, mais un boson, permettant la "condensation de Bose-Einstein". Celle-ci autorise de mettre autant de paires d’électrons qu’on veut dans le même état d’énergie qui sera toujours le plus bas possible et ceci implique que, même quand les "porteurs de charge" sont en mouvement et produisent un courant électrique, ils ne seront pas délogés de cet état par des collisions avec d’autres particules. Il n’y a plus de résistance électrique !
Pour la supraconductivité ordinaire, découverte en 1911 par le physicien néerlandais Heike Kamerlingh Onnes et son équipe, les particules virtuelles sont des phonons. Ce sont des quanta d’ondes de vibration du réseau, mais l’énergie de ceux-ci est très faible. Il en résulte que les paires d’électrons se brisent dès qu’on fournit une énergie trop grande. Celle-ci pouvant être d’origine thermique, ce type de supraconductivité est seulement possible à très basse température. On peut aussi fournir de l’énergie sous forme magnétique ou optique. Pour cette raison, il faudrait que le champ magnétique appliqué dans les ovnis extraterrestres ne soit pas trop intense et que sa fréquence d’oscillation ne soit pas trop élevée.
Dès lors, ces ovnis exploiteraient un autre type de supraconductivité, théoriquement possible, en tenant compte du fait qu’il suffit de créer cet état supraconducteur à la surface de l’ovni et cela dans une couche très mince.
On peut considérer en effet un nouveau type de supraconductivité avec des paires d’électrons formées par un échange de plasmons de surface. Ce sont des quanta d’ondes de plasma de surface, tout comme les photons sont des quanta d’ondes électromagnétiques et les phonons des quanta d’ondes acoustiques. Chacune de ces particules est caractérisée par une relation spécifique qui détermine les énergies possibles en fonction des quantités de mouvement possibles. Pour un métal, les "ondes de plasma" résultent du fait que la densité moyenne des électrons de conduction (quasi-libres) peut osciller par rapport à leur densité moyenne, c’est-à-dire celle qui assure partout la neutralité électrique. Ces oscillations peuvent se produire assez facilement près de la surface, tout comme des groupes de molécules d’eau peuvent bouger fortement à la surface d’un lac, par exemple, et bouger également à l’intérieur de l’eau, mais de moins en moins fortement quand on y pénètre de plus en plus profondément.
L’énergie des plasmons de surface est environ 100 fois plus grande que celle des phonons et la "bande d’énergie interdite", qui sépare l’état supraconducteur de l’état normal, augmente alors dans les mêmes proportions. Au lieu d’une "température critique" de l’ordre de 10 °K, au-delà de laquelle l’état supraconducteur s’évanouit, on obtiendrait une température critique de l’ordre 1000 °K (soit de l’ordre de 700 °C) et l’intensité du champ magnétique critique (pour l’effet Silsbee) est également très relevée. Aujourd’hui, la recherche de matériaux qui seraient supraconducteurs à température ordinaire et au-delà ("haute température"), est poursuivie activement dans différents laboratoires, car les enjeux technologiques et financiers sont considérables.
Cordialement,
Jean
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Re: Réplication avec succès par la NASA d'expériences de Claude Poher
Mar 05 Nov 2013, 11:37
Woaw ! J'ai rien compris (enfin presque rien) mais c'est à cause de postes comme ceci que j'aime venir sur ce forum.
Continuons comme cela.
Cordialement
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- L'intelligence a été inventée il y a très longtemps par un type vachement malin. La connerie, c'est autre chose, c'est une création collective.
Mon observation:
https://www.forum-ovni-ufologie.com/t5037-1976-juillet-aout-a-00h30-observation-a-braine-l-alleud-belgique
- InvitéInvité
Re: Réplication avec succès par la NASA d'expériences de Claude Poher
Mar 05 Nov 2013, 13:18
"Aujourd’hui, la recherche de matériaux qui seraient supraconducteurs à température ordinaire et au-delà ("haute température"), est poursuivie activement dans différents laboratoires, car les enjeux technologiques et financiers sont considérables."
le mercure rouge est excellent candidat , pour le mécanisme de diffusion il faut penser à certaines cathédrales.. mais chuuut
le mercure rouge est excellent candidat , pour le mécanisme de diffusion il faut penser à certaines cathédrales.. mais chuuut
- InvitéInvité
Re: Réplication avec succès par la NASA d'expériences de Claude Poher
Mar 05 Nov 2013, 13:23
au delà la vitesse relativiste n'est pas nécessairement constante
jetez un oeil ici ca date de 2006 et tous le monde fait comme si cela n'existait pas..
http://www.rochester.edu/news/show.php?id=2544
bon sur ce tschüuuss
jetez un oeil ici ca date de 2006 et tous le monde fait comme si cela n'existait pas..
http://www.rochester.edu/news/show.php?id=2544
bon sur ce tschüuuss
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