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- Benjamin.dResponsable du forum
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Des découvertes archéologiques "Improbables" pour l'époque?
Ven 10 Oct 2008, 23:36
Des nanotubes de carbone découverts dans une épée de Damas
LE MONDE | 20.11.06 | 15h16 * Mis à jour le 20.11.06 | 15h16
Selon la légende, les épées de Damas pouvaient couper en deux un mouchoir de soie flottant dans le vent. Une prouesse qui a fait la réputation de ces armes dont l'acier, et surtout le tranchant, étaient redouté des croisés dans leur combat contre les musulmans. Leur secret tiendrait de la répartition dans la lame d'un carbure de fer - la cémentite - qui dessinait à leur surface de magnifiques reflets moirés.
Une équipe de scientifiques allemands de l'université technique de Dresde, conduite par Peter Paufler, professeur de cristallographie, pense avoir retrouvé les secrets de fabrication de ces lames. Elle en révèle une partie dans la revue Nature du 16 novembre.
En observant au microscope électronique un fragment d'acier prélevé sur un sabre de Damas élaboré par le fameux maître forgeron persan Assad Allah au XVIe siècle, elle émet l'hypothèse que ces armes réputées devaient leurs caractéristiques exceptionnelles à la présence de minuscules tubes - nanotubes - de carbone. Une forme cristalline du carbone dont l'existence n'a été mise en évidence qu'en 1991.
Ces nanotubes sont devenus apparents sur l'échantillon fourni par le Musée historique de Berne (Suisse) après sa dissolution dans de l'acide chlorhydrique. Cette opération a permis également de mettre en évidence "des nanofibres de cémentite, qui auraient été encapsulées et protégées par les nanotubes de carbone", précisent les chercheurs dans leur communication.
Pour réaliser ces armes, les forgerons utilisaient un acier spécial inventé en Inde et importé de ce continent sous forme de lingots - le wootz - contenant, outre le fer, de 1,2 % à 1,8 % de carbone, et des traces de silicium, de manganèse, de phosphore et de soufre (Pour la science, août 2001). Ces lames étaient ensuite façonnées au cours d'opérations répétées de chauffage et de martelage, suivant une technique inégalée.
Le carbone a une influence sur le point de fusion et la dureté de l'acier. "Mais c'est la première fois, à ma connaissance, que l'on met en évidence la présence de nanotubes de carbone dans du fer ancien", explique Vincent Serneels, professeur à l'Institut de minéralogie et de pétrographie de l'université de Fribourg (Suisse). "Malheureusement, l'article de Nature ne dit pas en quoi cela change les propriétés du métal", regrette le scientifique.
Pour Max Schvoerer, professeur de physique à l'université de Bordeaux et spécialiste des archéomatériaux, il "s'agit d'une très belle et intéressante observation". Mais le chercheur regrette qu'elle n'ait été réalisée que sur un seul échantillon. Pour que cette analyse soit probante, il faudrait, dit-il, répéter l'opération sur d'autres épées.
Quoi qu'il en soit, les épées de Damas n'ont pas encore livré tous leurs mystères. Sans doute parce qu'il s'agit d'un sujet complexe. "L'acier de Damas a été produit pendant mille ans. C'est plus une famille qu'un produit homogène", fait remarquer Vincent Serneels. D'autant que la composition de l'acier utilisé a pu varier selon les lieux et les époques. A cet acier de Damas travaillé par les mulsumans, s'en est ajouté un autre, pendant la période médiévale, produit par les Européens selon une technique différente.
Les forgerons gaulois, romains et mérovingiens soudaient en effet des couches alternées d'acier à haute et à basse concentration de carbone, qu'ils repliaient ensuite sur elles-mêmes à plusieurs reprises. Mais la structure interne de ces lames est différente de celles qui sont forgées avec le wootz, même si leur aspect est similaire. Ce Damas "d'assemblage" est revenu en force aux XVIIe et XVIIIe siècles, période durant laquelle les armuriers ont conçu des canons de fusil et de pistolet en acier de Damas. En France, de nos jours, les forgerons de la société Laguiole, dont les couteaux sont renommés, réalisent des lames en acier de Damas.
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3244,36-836403,0.html
LE MONDE | 20.11.06 | 15h16 * Mis à jour le 20.11.06 | 15h16
Selon la légende, les épées de Damas pouvaient couper en deux un mouchoir de soie flottant dans le vent. Une prouesse qui a fait la réputation de ces armes dont l'acier, et surtout le tranchant, étaient redouté des croisés dans leur combat contre les musulmans. Leur secret tiendrait de la répartition dans la lame d'un carbure de fer - la cémentite - qui dessinait à leur surface de magnifiques reflets moirés.
Une équipe de scientifiques allemands de l'université technique de Dresde, conduite par Peter Paufler, professeur de cristallographie, pense avoir retrouvé les secrets de fabrication de ces lames. Elle en révèle une partie dans la revue Nature du 16 novembre.
En observant au microscope électronique un fragment d'acier prélevé sur un sabre de Damas élaboré par le fameux maître forgeron persan Assad Allah au XVIe siècle, elle émet l'hypothèse que ces armes réputées devaient leurs caractéristiques exceptionnelles à la présence de minuscules tubes - nanotubes - de carbone. Une forme cristalline du carbone dont l'existence n'a été mise en évidence qu'en 1991.
Ces nanotubes sont devenus apparents sur l'échantillon fourni par le Musée historique de Berne (Suisse) après sa dissolution dans de l'acide chlorhydrique. Cette opération a permis également de mettre en évidence "des nanofibres de cémentite, qui auraient été encapsulées et protégées par les nanotubes de carbone", précisent les chercheurs dans leur communication.
Pour réaliser ces armes, les forgerons utilisaient un acier spécial inventé en Inde et importé de ce continent sous forme de lingots - le wootz - contenant, outre le fer, de 1,2 % à 1,8 % de carbone, et des traces de silicium, de manganèse, de phosphore et de soufre (Pour la science, août 2001). Ces lames étaient ensuite façonnées au cours d'opérations répétées de chauffage et de martelage, suivant une technique inégalée.
Le carbone a une influence sur le point de fusion et la dureté de l'acier. "Mais c'est la première fois, à ma connaissance, que l'on met en évidence la présence de nanotubes de carbone dans du fer ancien", explique Vincent Serneels, professeur à l'Institut de minéralogie et de pétrographie de l'université de Fribourg (Suisse). "Malheureusement, l'article de Nature ne dit pas en quoi cela change les propriétés du métal", regrette le scientifique.
Pour Max Schvoerer, professeur de physique à l'université de Bordeaux et spécialiste des archéomatériaux, il "s'agit d'une très belle et intéressante observation". Mais le chercheur regrette qu'elle n'ait été réalisée que sur un seul échantillon. Pour que cette analyse soit probante, il faudrait, dit-il, répéter l'opération sur d'autres épées.
Quoi qu'il en soit, les épées de Damas n'ont pas encore livré tous leurs mystères. Sans doute parce qu'il s'agit d'un sujet complexe. "L'acier de Damas a été produit pendant mille ans. C'est plus une famille qu'un produit homogène", fait remarquer Vincent Serneels. D'autant que la composition de l'acier utilisé a pu varier selon les lieux et les époques. A cet acier de Damas travaillé par les mulsumans, s'en est ajouté un autre, pendant la période médiévale, produit par les Européens selon une technique différente.
Les forgerons gaulois, romains et mérovingiens soudaient en effet des couches alternées d'acier à haute et à basse concentration de carbone, qu'ils repliaient ensuite sur elles-mêmes à plusieurs reprises. Mais la structure interne de ces lames est différente de celles qui sont forgées avec le wootz, même si leur aspect est similaire. Ce Damas "d'assemblage" est revenu en force aux XVIIe et XVIIIe siècles, période durant laquelle les armuriers ont conçu des canons de fusil et de pistolet en acier de Damas. En France, de nos jours, les forgerons de la société Laguiole, dont les couteaux sont renommés, réalisent des lames en acier de Damas.
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- theflyEquipe du forum
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Re: Des découvertes archéologiques "Improbables" pour l'époque?
Sam 11 Oct 2008, 12:06
Après les "Piles de Bagdad", la Machine "d'Anticythere" , voici l'epee de Damas issue de la nanotechnologie , deux solutions s'offrent a nous :
- Nos ancetres etaient plus intelligent que nous (ce qui pourrait confirmer le theorie de la dévolution)
- Nos ancetres ont profités d'une technologie supérieure inconnue (E.T ou autres)
A vous de faire votre choix, ou de proposer une autre solution, moi je suis dans le flou artistique !!!
cordialement.
- Nos ancetres etaient plus intelligent que nous (ce qui pourrait confirmer le theorie de la dévolution)
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- exodusUfologue
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Re: Des découvertes archéologiques "Improbables" pour l'époque?
Dim 14 Déc 2008, 20:58
et ici on ne parle pas des Katana.
on serai surpris des résultats des études du matériau.
on serai surpris des résultats des études du matériau.
- Marc.FEquipe du forum
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Re: Des découvertes archéologiques "Improbables" pour l'époque?
Dim 14 Déc 2008, 23:15
Nos ancetres etaient plus intelligent que nous
Ou :
Nos ancêtres étaient aussi intelligents que nous.
Cordialement
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Re: Des découvertes archéologiques "Improbables" pour l'époque?
Lun 15 Déc 2008, 13:35
Très intéressant !
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Re: Des découvertes archéologiques "Improbables" pour l'époque?
Dim 08 Mar 2009, 15:46
Les observations ne prouvent pas la présence de soi-disant nanotubes dans l’épée initiale en wootz. L’article de référence clôture trois études sur l’échantillon. Ce sont, en particulier, des observations en microscopie électronique à haute résolution, des expériences très délicates pour un échantillon magnétique. Ces études ont été faites par une équipe de cristallographes confirmés à Dresde et été publiées dans des revues de cristallographie et la dernière dans Nature. Les observations cristallographiques sont intéressantes mais les interprétations métallurgiques sont contestables sur plusieurs aspects. Seul l’aspect en liaison avec l’article cité sera évoqué. Les « nanotubes » observés ne sont pas des tubes puisque ces derniers sont creux par définition, mais l’appellation « fibres » ou « bâtonnets » n’aurait pas eu un impact médiatique aussi fort. L’observation essentielle est la présence d’une couche de carbone entourant les carbures, les atomes de carbone étant disposés de la même façon que dans les véritables nanotubes (creux). Des hypothèses pour la formation a posteriori de la couche de carbone n’ont pas été envisagées ; hypothèses compatibles avec les observations.
1- l’observation a été faite sur des précipités extraits chimiquement par dissolution de la matrice. La couche de carbone à la surface de la microfibre de carbure peut être simplement un artéfact dû à l’attaque chimique.
2- cet échantillon a plusieurs siècles. Or ni les carbures, ni la matrice ne sont des phases en complet équilibre thermodynamique. Une lente évolution est possible, un vieillissement qui provoquerait la formation d’une fine couche de carbone à l’interface entre le carbure et la matrice. La diffusion du carbone est très faible à la température ambiante mais elle n’est pas nulle, elle opère sur une distance de quelques nanomètres et peut ainsi induire la transformation sur une très courte distance de l’ordre de quelques rangées atomiques.
1- l’observation a été faite sur des précipités extraits chimiquement par dissolution de la matrice. La couche de carbone à la surface de la microfibre de carbure peut être simplement un artéfact dû à l’attaque chimique.
2- cet échantillon a plusieurs siècles. Or ni les carbures, ni la matrice ne sont des phases en complet équilibre thermodynamique. Une lente évolution est possible, un vieillissement qui provoquerait la formation d’une fine couche de carbone à l’interface entre le carbure et la matrice. La diffusion du carbone est très faible à la température ambiante mais elle n’est pas nulle, elle opère sur une distance de quelques nanomètres et peut ainsi induire la transformation sur une très courte distance de l’ordre de quelques rangées atomiques.
- theflyEquipe du forum
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Re: Des découvertes archéologiques "Improbables" pour l'époque?
Dim 08 Mar 2009, 16:06
Merci, pour toutes ces précisions
D'autant plus que l'archéométalurgie semble etre votre domaine de predilection
cordialement
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cordialement
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"Croire ou ne pas croire, cela n'a aucune importance. Ce qui est intéressant, c'est de poser de plus en plus de questions." (Bernard Werber)
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Des découvertes archéologiques "Improbables" pour l'époque?
Mar 28 Déc 2010, 17:10
Des découvertes archéologiques "Improbables" pour l'époque?
Les archéologues ont mis au jour de nombreux objets qui nous ont tant appris sur les anciennes civilisations, que cela en fait certainement l'une des professions qui fait le plus rêver.
Ils font revivre le passé, et nous apprennent que la civilisation débuta à Sumer il y a environ 5000 ans.
Dès lors nous constatons une certaine continuité historique avec une progression quasi linéaire des sciences et techniques.
Tout irait bien dans le meilleur des mondes s'il n'y avait pas ces découvertes impossibles... Incompatibles avec le niveau de développement supposé à leur époque.
Ces "artefacts historiquement incongrus" soulèvent de nombreuses questions qui ne reçoivent malheureusement pas de réponses satisfaisantes.
En effet, quand ils ne sont pas simplement ignorés, on leur attribue le titre d'objets cultuels ; fourre-tout bien pratique qui permet d'éluder les problèmes.
Métallurgie impossible
Yeux de platine
Tout autour du globe ont émergé des impossibilités d'ordre métallurgique. Elles ne sont pas forcément magiques, mais souvent très en avance sur leur temps, quoique quelques-unes de ces découvertes résistent encore et toujours à "l'analyse rationnelle". Sont-elles le fait d'alchimistes inspirés, d'orfèvres exceptionnels, ou bien d'une technologie mystérieuse issue d'une connaissance gardée secrète par des Initiés ???
En tout cas, cela devrait inciter les préhistoriens à revoir la chronologie de leurs fameux âges du bronze, du cuivre etc.
* En Egypte :
o De nombreux objets, découverts notamment en 1850 par M. Mariette près du sphinx, ( vases et bijoux dorés à l'or ), font penser à l'usage de la galvanoplastie, car les couches sont parfaitement uniformes, sans traces de soudure ou de travail manuel.
* Au Moyen Orient :
o On a retrouvé des vases en cuivre plaqué argent dans un site Sumérien vieux d'au moins 2500 ans av. J.C.
A noter que les tubes en cuivre des piles de Bagdad portent une patine bleue caractéristique de la galvanoplastie à l'argent.
* En Arménie :
o Le Dr Korioun Meguertchian a mis à jour le plus ancien complexe métallurgique à Medzamor ( quasi similaire à celui rapporté par Erich Von Däniken à El Fuerte en Bolivie ).
On a en effet retrouvé de nombreux objets métalliques dans ce complexe vieux de plus de 5000 ans, où l'on traitait entre autre, le cuivre, le bronze ( 14 variétés! ), le plomb, le zinc, le fer, l'or, l'étain, le manganèse etc. et on y fabriquait également de l'acier, on y a en effet retrouvé une pince semblable à une pince à épiler âgée de 3 000 ans.
* En Inde :
o Le pilier de fer de Delhi : il mesure plus de 7 mètres de haut pour 50 centimètres de diamètre, il pèse près de 6 tonnes et malgré la rigueur du climat ( mousson ), ne s'oxyde jamais !!!
Il porte, gravée, une épitaphe de Kumara Gupta datée de 413, mais était déjà connu comme beaucoup plus ancien.
Malheureusement, aucune étude approfondie n'était possible du fait qu'il était considéré comme un objet sacré...jusqu'au printemps 2002...
Pilier d'Ashoka Pilier d'Ashoka Pilier d'Ashoka
Merci à M. Olivier Molero pour ces photos ( 06/2000 )
Le 18 juillet 2002, les métallurgistes de l'Institut Indien de Technologie de Kanpur ont annoncé qu'ils avaient percé le mystère !
C'est une fine couche de "misawite", un composé de fer, d'oxygène et d'hydrogène qui protège le pilier de la rouille.
Elle se serait formée de façon naturelle dans les trois années qui suivirent l'érection du piler et ce film protecteur aurait poursuivi sa croissance pour atteindre son épaisseur actuelle de 1/20ème de millimètre.
Cette protection s'est formée par catalyse grâce à la présence importante de Phosphore. Cette forte concentration étant elle-même le résultat de la fabrication du fer par les anciens indiens qui mélangeaient directement le minerai avec du charbon de bois.
Rappelons quand même pour mémoire que les pseudo-rationalistes nous expliquaient que cette absence de corrosion était due au climat sec de Delhi ( sic !!! ),la mousson épargnerait-elle Delhi ? Et parce que les croyants hindous le badigeonnaient de graisse quotidiennement ! ( eh oui ! jusqu'à plus de 7 mètres de hauteur sans que jamais personne ne les voit ).
Nous avons donc là, avec ce pilier, un parfait exemple d'une connaissance perdue... retrouvée...
C'est la Science que l'on aime, celle qui cherche... humblement... car il faut accepter le fait que nous avons encore beaucoup de choses à apprendre des anciens.
Les chercheurs du IIT espèrent que cela pourra ouvrir de nouvelles perspectives, notamment dans le domaine du stockage nucléaire.
Sources : Express India
Publication scientifique dans la revue "Current Science", ( fichier pdf ) :
http://tejas.serc.iisc.ernet.in/~currsci/jun102002/1357.pdf
* Au Moyen-Orient :
o Les sabres de Damas.
Sources : Nouvel Obs.
Nature
* En Chine :
o Les chinois du IIe siècle ont fabriqué un bronze d'aluminium.
Nous en avons produit industriellement en 1819 !!!
* En Amérique :
o On trouve de nombreux bijoux en or et en platine, notamment des masques.
Ce dernier métal fond à une température de 1770°c. En Europe, nous avons commencé à le travailler entre 1730 et 1752 !
Broche en or et platine Masque d'or aux yeux de platine
http://www.ldi5.com/archeo/metal.php
Le pilier de fer de Delhi
Inde : Pratiquer le Falun Gong devant le célèbre « Pilier de fer d'Ashoka" (photos)
Les pratiquants de New Delhi en Inde ont pris les photos ci-dessus. Ils font les exercices devant le célèbre Pilier de fer d’Ashoka près de Qutub Minar.
A propos du pilier de fer d’Ashoka, M. Li Hongzhi, fondateur du Falun Gong, a déclaré dans son livre « Falun Gong de Chine »,
"Aujourd'hui, nous avons déjà découvert qu’il y a dans le monde beaucoup de choses qui
dépassent notre civilisation actuelle…"Il y a en Inde un pilier de fer dont la teneur en fer dépasse les 99%. Même la métallurgie moderne ne peut produire un fer d’une telle pureté, c’était déjà au-delà du niveau de la technologie moderne. Qui a créé ces civilisations ? Comment des êtres humains – qui auraient été à l’époque des micro-organismes – ont ils créé ces choses. Ces découvertes ont suscité l’attention des scientifiques du monde entier. Comme on n’arrive pas l’expliquer on a considéré qu’ils relevaient d’une culture préhistorique."
L’Empereur ASHOKA :
Troisième souverain de la belliqueuse dynastie Maurya, ASHOKA conduisit dans sa jeunesse une politique expansionniste l'amenant à dominer la presque totalité de l'Inde. Au cours d'une campagne militaire dévastatrice dans l'Orissa , il traversa une terrible crise de conscience, se convertit au Bouddhisme, et basa alors sa politique sur des concepts moraux dérivés de l'enseignement de l'Illuminé.
Comme son épouse la reine DEVI était fille de riches marchands de VIDISHA, prospère cité à proximité de SANCHI, ce site fut choisi pour fonder une communauté monastique qui put se développer grâce à la piété et à la générosité des commerçants de Vidisha
Pilier de fer
Le Pilier de fer de Delhi ou Pilier de fer de Mehrauli est un vestige archéologique et une curiosité métallurgique se trouvant dans le complexe du Qûtb Minâr dans la banlieue de Delhi.
Histoire
Le pilier de fer de Delhi
Le pilier — mesurant plus de sept mètres, en comptant la partie enterrée et le chapiteau, et pesant plus de six tonnes — a été érigé par le râja Kumaragupta de la dynastie des Gupta qui régna sur l'Inde du Nord du milieu du IIIe siècle à 535. D'après le professeur Balasubramanian, le pilier se trouvait probablement à Udaygiri ou Vishnupadagri dans le Madhya Pradesh, en Inde centrale avant de rejoindre son emplacement actuel. Les historiens indiens pensent que, conformément l'inscription en pāḷi qu'il comporte, il était surmonté par un symbole de Vishnou, un chakra probablement, qui a été retiré par les envahisseurs musulmans. Le pilier aurait été ensuite installé à Delhi par Ânand Pâl, le fondateur du clan râjput des Tomara en 1052.
Il s'agit d'un des rares vestiges antérieurs restant sur le site après son islamisation, site qui comptait vingt-sept temples hindous ou jaïns d’après une inscription dans la mosquée citée par Mircea Eliade qui la visita lors de son séjour d'étude de trois ans en Inde. Les matériaux furent utilisés par Qûtb ud-Dîn Aibak pour bâtir le Qûtb Minâr et la mosquée Quwwat ul-Islâm. Cependant, Qûtb laissa le pilier en place et fit répartir les bâtiments tout autour. Depuis quelques seize siècles, le pilier de fer de Delhi se dresse donc à cet emplacement et malgré les rigueurs du climat local, en particulier les pluies de mousson, il fait montre d'une remarquable résistance à la corrosion.
Hormis le pilier de Delhi, on en trouve un comparable à Dhâr dans le Madhya Pradesh, ainsi qu'un autre beaucoup moins connu dans le temple de Mookambika à Kollur, dans la zone forestière des Kodachadri Hills, situé dans les Ghâts occidentaux au Karnataka. On peut leur rapprocher aussi les tirants métalliques que les ingénieurs indiens avaient prévus pour assurer la cohérence de l'édifice lorsqu'ils construisirent au milieu du XIIIe siècle l'énorme temple de Sûrya à Konarak, un bâtiment à la limite de leur capacité technique et qui n'est pas parvenu parfaitement conservé jusqu'à nous. Dans le dernier cas, ces objets métalliques subissent des contraintes météorologiques plus importantes que le pilier de Delhi, car ils sont exposés en permanence à l'air marin du golfe du Bengale, sur les rives duquel est construit le temple.
L'auteur de science-fiction Lyon Sprague de Camp évoque le pilier de fer de Delhi dans son ouvrage « Les énigmes de l'archéologie ».
L'analyse scientifique du pilier
Sir Alexander Cunningham est un archéologue britannique et un ingénieur militaire.
Cunningham se rend en Inde avec ses deux frères à la recherche de la fortune. Il rejoint les Bengal Engineers à l'âge de 19 ans et son premier cantonnement est à Bénarès, près de laquelle il découvre les ruines de Sârnâth où il dégage un stûpa. Il passe les vingt-huit années suivantes au service du gouvernement britannique des Indes, années où il sert aux Indes et en Birmanie, avant de prendre sa retraite avec le rang de Major General en 1861.
En novembre de cette même année, Cunningham envoie un mémorandum à Lord Canning recommandant la création de l'Archaeological Survey of India, l'organisme chargé de s'occuper des sites archéologiques et historiques indiens, et il en devient le premier directeur (1861-1885), un poste qu'il conservera jusqu'à son départ pour la Grande-Bretagne. Avec cette création, une ère nouvelle s'ouvre pour l'épigraphie indienne qui atteint son apogée avec la parution de ses Inscriptions of Ashoka (Calcutta, 177), le premier volume de la série Corpus Inscriptionum Indicarum prévue par Cunningham. Il découvre ainsi un très grand nombre d'inscriptions qui, après déchiffrement souvent par Cunningham lui-même, vont apporter un éclairage nouveau sur l'histoire de l'Inde. Il fait aussi la collection de monnaies rares indiennes, souvent les seuls documents disponibles pour les satrapes indo-grecs, et ses travaux en la matière sont toujours une source incontournable.
Il est fait chevalier en 1867. Sa collection de monnaies indiennes rares appartient aujourd'hui au British Museum.
Il est associé à de nombreuses campagnes de fouilles en Inde, dont Sârnâth , Sânchî, Pundranagarh (Mahasthan), et le Temple de Mahabodhi à Bodh-Gaya, fouilles pour lesquelles il se laissa largement guidé par les écrits du pélerin chinois Xuanzang.
Détail du pilier
L’archéologue britannique Alexander Cunningham, premier directeur de l’Archaeological Survey of India, est aussi le premier à faire analyser le pilier par des métallurgistes qui révélent, d'après leur calculs qu’il est composé d’un fer pur à 99,72 %, une qualité obtenue seulement au XIXe siècle en Occident, mais qui semblait courante dès le Ve siècle en Inde. Cependant, cela ne fournit pas une explication à sa résistance
Le pilier a été analysé une nouvelle fois, en 2002, par une équipe dirigé par R. Balasubramanian de l'Institut indien de technologie de Kanpur, équipe qui a résolu le mystère. Les métallurgistes ont découvert qu'une fine couche d'un composé de fer, d'oxygène et d'hydrogène (δ-FeOOH), appelé misawite dans le texte anglais, protégeait le pilier de la rouille. Cette couche prit forme dans les trois années qui suivirent l'érection du pilier et gagna lentement en épaisseur depuis, pour atteindre aujourd'hui celle d'un vingtième de millimètre. Dans son papier paru dans Current Science, Balasubramanian affirme que le film protecteur s'est formé de façon catalytique du fait de la présence d'une haute teneur en phosphore dans le fer, jusqu'à 1% à comparer au 0,05 que l'on trouve couramment dans le fer actuellement. Cette teneur est le résultat du travail des artisans indiens de cette période, qui pour leur fabrication de l'acier, transformait le minerai de fer en acier en une seule étape en le mélangeant avec du charbon de bois. En revanche, le haut-fourneau moderne utilise de la pierre à chaux à la place du charbon de bois et la majeure partie du phosphore est évacuée avec les scories.
Affirmant que le pilier est « un témoignage vivant de la compétence des métallurgistes de l'Inde antique », Balasubramaniam a indiqué que le travail de son équipe sur la formation du film protecteur qui protège le pilier pourrait conduire à améliorer la résistance à la corrosion à long terme des conteneurs destinés au stockage des déchets nucléaires.
http://www.iitk.ac.in/infocell/Archive/dirnov1/iron_pillar.html
Des sphères métalliques vieilles de 3 milliards d’années
Depuis plus de 30 ans, des mineurs extraient d’une mine d’argent en Afrique du Sud, la Wonderstone Silver Mine, d’étranges sphères métalliques.
Ce sont environ 200 sphères qui ont ainsi été trouvées. Cela n’aurait rien d’extraordinaire si la datation des roches ne remontait à environ 3 milliards d’années.
Ces sphères ou billes ont un diamètre de 3 à 10 cm. Elles sont composées d’un alliage à base de nickel et d’acier. Cet alliage n’existe pas à l’état naturel.
Certaines de ces sphères possèdent une sorte de coquille. Si on la casse, on trouve à l’intérieur une substance spongieuse qui se désintègre au contact de l’air.
Les sphères ont été extraites d’une couche rocheuse de pyrophyllite. A l’aide de divers isotopes radioactifs, la datation géologique de ces roches remonterait entre 2,8 et 3 milliards d’années.
En 1979, plusieurs de ces sphères ont été examinées par J.R. McIver, Professeur de géologie à l’Université de Witwaterstand de Johannesburg et le géologue Andries Bisschoff. Des experts de la NASA ont également analysé ces sphères. A ce jour, nul n’est parvenu à fournir une explication plausible.
La composition pourrait être d’origine météorique mais la fabrication n’a rien de naturelle et semble bien artificielle.
Roelf Marx, conservateur du musée Klerksdorp, a découvert que la sphère qui est exposée dans une vitrine du musée, tourne lentement sur son axe sans la présence d’aucune vibration extérieure.
Il y aurait-il à l’intérieur de ces sphères une énergie qui fonctionnerait toujours au bout de 3 milliards d’années ?
D’autres sphères du même type auraient été trouvées au Texas en 1997 et dans trois autres Etats.
D’où viennent ces sphères ? A quoi servaient-elles ? L’énigme reste entière.
Source : http://www.dinosoria.com/sphere.htm
Les archéologues ont mis au jour de nombreux objets qui nous ont tant appris sur les anciennes civilisations, que cela en fait certainement l'une des professions qui fait le plus rêver.
Ils font revivre le passé, et nous apprennent que la civilisation débuta à Sumer il y a environ 5000 ans.
Dès lors nous constatons une certaine continuité historique avec une progression quasi linéaire des sciences et techniques.
Tout irait bien dans le meilleur des mondes s'il n'y avait pas ces découvertes impossibles... Incompatibles avec le niveau de développement supposé à leur époque.
Ces "artefacts historiquement incongrus" soulèvent de nombreuses questions qui ne reçoivent malheureusement pas de réponses satisfaisantes.
En effet, quand ils ne sont pas simplement ignorés, on leur attribue le titre d'objets cultuels ; fourre-tout bien pratique qui permet d'éluder les problèmes.
Métallurgie impossible
Yeux de platine
Tout autour du globe ont émergé des impossibilités d'ordre métallurgique. Elles ne sont pas forcément magiques, mais souvent très en avance sur leur temps, quoique quelques-unes de ces découvertes résistent encore et toujours à "l'analyse rationnelle". Sont-elles le fait d'alchimistes inspirés, d'orfèvres exceptionnels, ou bien d'une technologie mystérieuse issue d'une connaissance gardée secrète par des Initiés ???
En tout cas, cela devrait inciter les préhistoriens à revoir la chronologie de leurs fameux âges du bronze, du cuivre etc.
* En Egypte :
o De nombreux objets, découverts notamment en 1850 par M. Mariette près du sphinx, ( vases et bijoux dorés à l'or ), font penser à l'usage de la galvanoplastie, car les couches sont parfaitement uniformes, sans traces de soudure ou de travail manuel.
* Au Moyen Orient :
o On a retrouvé des vases en cuivre plaqué argent dans un site Sumérien vieux d'au moins 2500 ans av. J.C.
A noter que les tubes en cuivre des piles de Bagdad portent une patine bleue caractéristique de la galvanoplastie à l'argent.
* En Arménie :
o Le Dr Korioun Meguertchian a mis à jour le plus ancien complexe métallurgique à Medzamor ( quasi similaire à celui rapporté par Erich Von Däniken à El Fuerte en Bolivie ).
On a en effet retrouvé de nombreux objets métalliques dans ce complexe vieux de plus de 5000 ans, où l'on traitait entre autre, le cuivre, le bronze ( 14 variétés! ), le plomb, le zinc, le fer, l'or, l'étain, le manganèse etc. et on y fabriquait également de l'acier, on y a en effet retrouvé une pince semblable à une pince à épiler âgée de 3 000 ans.
* En Inde :
o Le pilier de fer de Delhi : il mesure plus de 7 mètres de haut pour 50 centimètres de diamètre, il pèse près de 6 tonnes et malgré la rigueur du climat ( mousson ), ne s'oxyde jamais !!!
Il porte, gravée, une épitaphe de Kumara Gupta datée de 413, mais était déjà connu comme beaucoup plus ancien.
Malheureusement, aucune étude approfondie n'était possible du fait qu'il était considéré comme un objet sacré...jusqu'au printemps 2002...
Pilier d'Ashoka Pilier d'Ashoka Pilier d'Ashoka
Merci à M. Olivier Molero pour ces photos ( 06/2000 )
Le 18 juillet 2002, les métallurgistes de l'Institut Indien de Technologie de Kanpur ont annoncé qu'ils avaient percé le mystère !
C'est une fine couche de "misawite", un composé de fer, d'oxygène et d'hydrogène qui protège le pilier de la rouille.
Elle se serait formée de façon naturelle dans les trois années qui suivirent l'érection du piler et ce film protecteur aurait poursuivi sa croissance pour atteindre son épaisseur actuelle de 1/20ème de millimètre.
Cette protection s'est formée par catalyse grâce à la présence importante de Phosphore. Cette forte concentration étant elle-même le résultat de la fabrication du fer par les anciens indiens qui mélangeaient directement le minerai avec du charbon de bois.
Rappelons quand même pour mémoire que les pseudo-rationalistes nous expliquaient que cette absence de corrosion était due au climat sec de Delhi ( sic !!! ),la mousson épargnerait-elle Delhi ? Et parce que les croyants hindous le badigeonnaient de graisse quotidiennement ! ( eh oui ! jusqu'à plus de 7 mètres de hauteur sans que jamais personne ne les voit ).
Nous avons donc là, avec ce pilier, un parfait exemple d'une connaissance perdue... retrouvée...
C'est la Science que l'on aime, celle qui cherche... humblement... car il faut accepter le fait que nous avons encore beaucoup de choses à apprendre des anciens.
Les chercheurs du IIT espèrent que cela pourra ouvrir de nouvelles perspectives, notamment dans le domaine du stockage nucléaire.
Sources : Express India
Publication scientifique dans la revue "Current Science", ( fichier pdf ) :
http://tejas.serc.iisc.ernet.in/~currsci/jun102002/1357.pdf
* Au Moyen-Orient :
o Les sabres de Damas.
Sources : Nouvel Obs.
Nature
* En Chine :
o Les chinois du IIe siècle ont fabriqué un bronze d'aluminium.
Nous en avons produit industriellement en 1819 !!!
* En Amérique :
o On trouve de nombreux bijoux en or et en platine, notamment des masques.
Ce dernier métal fond à une température de 1770°c. En Europe, nous avons commencé à le travailler entre 1730 et 1752 !
Broche en or et platine Masque d'or aux yeux de platine
http://www.ldi5.com/archeo/metal.php
Le pilier de fer de Delhi
Inde : Pratiquer le Falun Gong devant le célèbre « Pilier de fer d'Ashoka" (photos)
Les pratiquants de New Delhi en Inde ont pris les photos ci-dessus. Ils font les exercices devant le célèbre Pilier de fer d’Ashoka près de Qutub Minar.
A propos du pilier de fer d’Ashoka, M. Li Hongzhi, fondateur du Falun Gong, a déclaré dans son livre « Falun Gong de Chine »,
"Aujourd'hui, nous avons déjà découvert qu’il y a dans le monde beaucoup de choses qui
dépassent notre civilisation actuelle…"Il y a en Inde un pilier de fer dont la teneur en fer dépasse les 99%. Même la métallurgie moderne ne peut produire un fer d’une telle pureté, c’était déjà au-delà du niveau de la technologie moderne. Qui a créé ces civilisations ? Comment des êtres humains – qui auraient été à l’époque des micro-organismes – ont ils créé ces choses. Ces découvertes ont suscité l’attention des scientifiques du monde entier. Comme on n’arrive pas l’expliquer on a considéré qu’ils relevaient d’une culture préhistorique."
L’Empereur ASHOKA :
Troisième souverain de la belliqueuse dynastie Maurya, ASHOKA conduisit dans sa jeunesse une politique expansionniste l'amenant à dominer la presque totalité de l'Inde. Au cours d'une campagne militaire dévastatrice dans l'Orissa , il traversa une terrible crise de conscience, se convertit au Bouddhisme, et basa alors sa politique sur des concepts moraux dérivés de l'enseignement de l'Illuminé.
Comme son épouse la reine DEVI était fille de riches marchands de VIDISHA, prospère cité à proximité de SANCHI, ce site fut choisi pour fonder une communauté monastique qui put se développer grâce à la piété et à la générosité des commerçants de Vidisha
Pilier de fer
Le Pilier de fer de Delhi ou Pilier de fer de Mehrauli est un vestige archéologique et une curiosité métallurgique se trouvant dans le complexe du Qûtb Minâr dans la banlieue de Delhi.
Histoire
Le pilier de fer de Delhi
Le pilier — mesurant plus de sept mètres, en comptant la partie enterrée et le chapiteau, et pesant plus de six tonnes — a été érigé par le râja Kumaragupta de la dynastie des Gupta qui régna sur l'Inde du Nord du milieu du IIIe siècle à 535. D'après le professeur Balasubramanian, le pilier se trouvait probablement à Udaygiri ou Vishnupadagri dans le Madhya Pradesh, en Inde centrale avant de rejoindre son emplacement actuel. Les historiens indiens pensent que, conformément l'inscription en pāḷi qu'il comporte, il était surmonté par un symbole de Vishnou, un chakra probablement, qui a été retiré par les envahisseurs musulmans. Le pilier aurait été ensuite installé à Delhi par Ânand Pâl, le fondateur du clan râjput des Tomara en 1052.
Il s'agit d'un des rares vestiges antérieurs restant sur le site après son islamisation, site qui comptait vingt-sept temples hindous ou jaïns d’après une inscription dans la mosquée citée par Mircea Eliade qui la visita lors de son séjour d'étude de trois ans en Inde. Les matériaux furent utilisés par Qûtb ud-Dîn Aibak pour bâtir le Qûtb Minâr et la mosquée Quwwat ul-Islâm. Cependant, Qûtb laissa le pilier en place et fit répartir les bâtiments tout autour. Depuis quelques seize siècles, le pilier de fer de Delhi se dresse donc à cet emplacement et malgré les rigueurs du climat local, en particulier les pluies de mousson, il fait montre d'une remarquable résistance à la corrosion.
Hormis le pilier de Delhi, on en trouve un comparable à Dhâr dans le Madhya Pradesh, ainsi qu'un autre beaucoup moins connu dans le temple de Mookambika à Kollur, dans la zone forestière des Kodachadri Hills, situé dans les Ghâts occidentaux au Karnataka. On peut leur rapprocher aussi les tirants métalliques que les ingénieurs indiens avaient prévus pour assurer la cohérence de l'édifice lorsqu'ils construisirent au milieu du XIIIe siècle l'énorme temple de Sûrya à Konarak, un bâtiment à la limite de leur capacité technique et qui n'est pas parvenu parfaitement conservé jusqu'à nous. Dans le dernier cas, ces objets métalliques subissent des contraintes météorologiques plus importantes que le pilier de Delhi, car ils sont exposés en permanence à l'air marin du golfe du Bengale, sur les rives duquel est construit le temple.
L'auteur de science-fiction Lyon Sprague de Camp évoque le pilier de fer de Delhi dans son ouvrage « Les énigmes de l'archéologie ».
L'analyse scientifique du pilier
Sir Alexander Cunningham est un archéologue britannique et un ingénieur militaire.
Cunningham se rend en Inde avec ses deux frères à la recherche de la fortune. Il rejoint les Bengal Engineers à l'âge de 19 ans et son premier cantonnement est à Bénarès, près de laquelle il découvre les ruines de Sârnâth où il dégage un stûpa. Il passe les vingt-huit années suivantes au service du gouvernement britannique des Indes, années où il sert aux Indes et en Birmanie, avant de prendre sa retraite avec le rang de Major General en 1861.
En novembre de cette même année, Cunningham envoie un mémorandum à Lord Canning recommandant la création de l'Archaeological Survey of India, l'organisme chargé de s'occuper des sites archéologiques et historiques indiens, et il en devient le premier directeur (1861-1885), un poste qu'il conservera jusqu'à son départ pour la Grande-Bretagne. Avec cette création, une ère nouvelle s'ouvre pour l'épigraphie indienne qui atteint son apogée avec la parution de ses Inscriptions of Ashoka (Calcutta, 177), le premier volume de la série Corpus Inscriptionum Indicarum prévue par Cunningham. Il découvre ainsi un très grand nombre d'inscriptions qui, après déchiffrement souvent par Cunningham lui-même, vont apporter un éclairage nouveau sur l'histoire de l'Inde. Il fait aussi la collection de monnaies rares indiennes, souvent les seuls documents disponibles pour les satrapes indo-grecs, et ses travaux en la matière sont toujours une source incontournable.
Il est fait chevalier en 1867. Sa collection de monnaies indiennes rares appartient aujourd'hui au British Museum.
Il est associé à de nombreuses campagnes de fouilles en Inde, dont Sârnâth , Sânchî, Pundranagarh (Mahasthan), et le Temple de Mahabodhi à Bodh-Gaya, fouilles pour lesquelles il se laissa largement guidé par les écrits du pélerin chinois Xuanzang.
Détail du pilier
L’archéologue britannique Alexander Cunningham, premier directeur de l’Archaeological Survey of India, est aussi le premier à faire analyser le pilier par des métallurgistes qui révélent, d'après leur calculs qu’il est composé d’un fer pur à 99,72 %, une qualité obtenue seulement au XIXe siècle en Occident, mais qui semblait courante dès le Ve siècle en Inde. Cependant, cela ne fournit pas une explication à sa résistance
Le pilier a été analysé une nouvelle fois, en 2002, par une équipe dirigé par R. Balasubramanian de l'Institut indien de technologie de Kanpur, équipe qui a résolu le mystère. Les métallurgistes ont découvert qu'une fine couche d'un composé de fer, d'oxygène et d'hydrogène (δ-FeOOH), appelé misawite dans le texte anglais, protégeait le pilier de la rouille. Cette couche prit forme dans les trois années qui suivirent l'érection du pilier et gagna lentement en épaisseur depuis, pour atteindre aujourd'hui celle d'un vingtième de millimètre. Dans son papier paru dans Current Science, Balasubramanian affirme que le film protecteur s'est formé de façon catalytique du fait de la présence d'une haute teneur en phosphore dans le fer, jusqu'à 1% à comparer au 0,05 que l'on trouve couramment dans le fer actuellement. Cette teneur est le résultat du travail des artisans indiens de cette période, qui pour leur fabrication de l'acier, transformait le minerai de fer en acier en une seule étape en le mélangeant avec du charbon de bois. En revanche, le haut-fourneau moderne utilise de la pierre à chaux à la place du charbon de bois et la majeure partie du phosphore est évacuée avec les scories.
Affirmant que le pilier est « un témoignage vivant de la compétence des métallurgistes de l'Inde antique », Balasubramaniam a indiqué que le travail de son équipe sur la formation du film protecteur qui protège le pilier pourrait conduire à améliorer la résistance à la corrosion à long terme des conteneurs destinés au stockage des déchets nucléaires.
http://www.iitk.ac.in/infocell/Archive/dirnov1/iron_pillar.html
Des sphères métalliques vieilles de 3 milliards d’années
Depuis plus de 30 ans, des mineurs extraient d’une mine d’argent en Afrique du Sud, la Wonderstone Silver Mine, d’étranges sphères métalliques.
Ce sont environ 200 sphères qui ont ainsi été trouvées. Cela n’aurait rien d’extraordinaire si la datation des roches ne remontait à environ 3 milliards d’années.
Ces sphères ou billes ont un diamètre de 3 à 10 cm. Elles sont composées d’un alliage à base de nickel et d’acier. Cet alliage n’existe pas à l’état naturel.
Certaines de ces sphères possèdent une sorte de coquille. Si on la casse, on trouve à l’intérieur une substance spongieuse qui se désintègre au contact de l’air.
Les sphères ont été extraites d’une couche rocheuse de pyrophyllite. A l’aide de divers isotopes radioactifs, la datation géologique de ces roches remonterait entre 2,8 et 3 milliards d’années.
En 1979, plusieurs de ces sphères ont été examinées par J.R. McIver, Professeur de géologie à l’Université de Witwaterstand de Johannesburg et le géologue Andries Bisschoff. Des experts de la NASA ont également analysé ces sphères. A ce jour, nul n’est parvenu à fournir une explication plausible.
La composition pourrait être d’origine météorique mais la fabrication n’a rien de naturelle et semble bien artificielle.
Roelf Marx, conservateur du musée Klerksdorp, a découvert que la sphère qui est exposée dans une vitrine du musée, tourne lentement sur son axe sans la présence d’aucune vibration extérieure.
Il y aurait-il à l’intérieur de ces sphères une énergie qui fonctionnerait toujours au bout de 3 milliards d’années ?
D’autres sphères du même type auraient été trouvées au Texas en 1997 et dans trois autres Etats.
D’où viennent ces sphères ? A quoi servaient-elles ? L’énigme reste entière.
Source : http://www.dinosoria.com/sphere.htm
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Re: Des découvertes archéologiques "Improbables" pour l'époque?
Mar 28 Déc 2010, 17:13
L’artefact de Coso
En 1961, trois copropriétaires d’un magasin de minéraux, à Olancha en Californie, en prospection dans les monts Coso, ramenèrent une géode surprenante.
La gangue extérieure de cette géode est composée d’argile durcie, de cailloux, de fragments de coquillages fossiles et de deux objets, ressemblant à un clou et à une rondelle.
A l’intérieur, un cylindre en céramique est pris dans un manchon hexagonal en bois pétrifié, avec des fragments de cuivre entre les deux. Au milieu du cylindre est insérée une tige métallique de 2 millimètres de diamètre.
Cet objet , qui serait âgé entre 250 000 et 500 000 ans, est resté trois mois exposé à Independance, au musée de l’Eastern California. En 1969 il fut vendu pour 25 000 dollars.
Des photos aux rayons X ont été prises.
En 1961, trois copropriétaires d’un magasin de minéraux, à Olancha en Californie, en prospection dans les monts Coso, ramenèrent une géode surprenante.
La gangue extérieure de cette géode est composée d’argile durcie, de cailloux, de fragments de coquillages fossiles et de deux objets, ressemblant à un clou et à une rondelle.
A l’intérieur, un cylindre en céramique est pris dans un manchon hexagonal en bois pétrifié, avec des fragments de cuivre entre les deux. Au milieu du cylindre est insérée une tige métallique de 2 millimètres de diamètre.
Cet objet , qui serait âgé entre 250 000 et 500 000 ans, est resté trois mois exposé à Independance, au musée de l’Eastern California. En 1969 il fut vendu pour 25 000 dollars.
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Re: Des découvertes archéologiques "Improbables" pour l'époque?
Mar 28 Déc 2010, 23:57
Je veux bien y croire.. Mais comment se fait il que ces objets ont soit disparus,sont perdus,etc... concernant les datations, il n'y a jamais de certifications. Pensez vous vraiment que sur ces milliers d'objets ,aucuns scientifiques n'auraient levés le voile ?
merci
merci
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