Re: [Speculations] vol mh370 intriguant

[perceval54Ufologue]

Il est certains que le chargement de pile au lithium sera mis en cause....on dira que les systèmes ont été déconnecté suite à un incendie et que le commandant à effectuer des manoeuvres de secours...
En aucune façon on parlera d'attentat, je suis tout à fait d'accord avec vous Didier.

[Berny28Equipe du forum]

Au contraire si c'est USAF qui l'a abattu nous finirons par avoir une fuite...

On aura un tweet de la cia dans 50 ans

[Pierre.BAdministrateur]

Salut,

Pour infos les recherches ont reprises.
Un article sur cette reprise de recherches avec une interview de Mr Ghislain Wattrelos, le père de famille français qui a perdu sa femme et deux de ses enfants dans cette tragédie :


http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2018/01/13/01016-20180113ARTFIG00062-crash-du-vol-mh370-je-ne-crois-pas-a-cette-nouvelle-zone-des-recherches.php


Pour ceux que cela intéresse, un livre écrit par ,entre autre par ce monsieur , devrait être publié fin février :
"Vol MH370, un père en quête de vérité "

[Pierre.BAdministrateur]

Salut,

J'ai trouvé un article de Ouest France très intéressant sur le sujet des nouvelles recherches entreprises par la société Ocean Infinity.

--> https://www.ouest-france.fr/leditiondusoir/data/17875/reader/reader.html#!preferred/1/package/17875/pub/25608/page/7




Ocean Infinity, entreprise privée américaine, a été autorisée à relancer, à ses frais, les recherches du vol MH370 mystérieusement disparu en mars 2014. 239 personnes étaient à bord du Boeing de la Malaysia Airlines. Les recherches ont repris depuis 15 jours dans l’océan Indien. La société ne sera payée que si elle retrouve l’épave de l’avion.

C’est l’un des plus grands mystères de l’histoire de l’aviation civile. Le 8 mars 2014, peu après son décollage de Kuala Lumpur (Malaisie), le Boeing 777 de la compagnie aérienne malaisienne, Malaysia Airlines, disparaît. Il avait 239 personnes à son bord. Alors qu’il faisait route vers Pékin, il se serait abîmé dans l’océan Indien. Mais aucune trace de l’appareil n’a été trouvée dans la zone de recherches de 120 000 km2 déterminée dans le sud de cet océan, sur la base d’analyses satellites de la trajectoire possible de l’appareil après qu’il a dévié de sa route théorique.
Les recherches initiales dirigées par l’Australie ont coûté 200 millions de dollars australiens (130 millions d’euros). Elles se sont avérées vaines. Seuls trois débris issus du vol ont été repêchés sur les côtes occidentales de l’océan Indien, dont un aileron de deux mètres. Or, « les raisons de la perte du MH370 ne peuvent pas être établies avec certitude tant que l’avion n’est pas retrouvé », indique le Bureau australien de la sécurité et des transports (ATSB) dans son rapport d’enquête final.





[size=30]70 millions de dollars à la clé
Un an après leur abandon et à l’approche du quatrième anniversaire de la perte du vol MH370, la Malaisie a autorisé de nouvelles recherches. Elles ont été confiées à Ocean Infinity, une société privée américaine, qui les reprend, à ses frais.
[/size]

L’originalité de l’accord conclu entre Ocean Infinity et le gouvernement malaisien tient au fait que l’entreprise américaine ne sera payée qu’en fonction des résultats obtenus, dans un délai de quatre-vingt-dix jours : 20 millions de dollars si l’avion est trouvé dans les premiers 5 000 kilomètres carrés, 30 millions pour les 10 000 kilomètres carrés suivants avec un maximum de 70 millions pour un périmètre étendu.
Depuis le 17 janvier, cette société, basée à Houston, a donc renvoyé un navire dans la zone potentielle de recherches. Malgré les grands espoirs à nouveau formulés par les autorités malaisiennes, la nouvelle zone de recherche reste basée sur les mêmes extrapolations mathématiques extrêmement sophistiquées réalisées à partir des « handshake pings » (signaux passifs) que l’avion aurait continué d’émettre et que la société britannique de communication par satellite Inmarsat a captés. Mais cela n’a été corroboré par aucune trace tangible du crash de l’avion dans la zone pressentie, explique le quotidien britannique The Guardian.



Le « Seabed Constructor » est équipé des meilleures technologies. (Photo : Ocean Infinity)

[size=30]Technologie de recherche sous-marine de pointe[/size]
Le navire de recherche norvégien, Seabed Constructor, affrété pour l’opération est équipé des meilleures technologies de recherche sous-marine, dont huit sonars sous-marins autonomes qui peuvent plonger jusqu’à 5 600 mètres de profondeur. « Au cours des trois mois à venir, ils doivent sonder toute la zone. Ils doivent soit trouver le champ de débris ou les boîtes noires ou les deux, mais il faut que cela se fasse dans le délai des 90 jours impartis », précisait le ministre malaisien des transports, Liow Tiong Lai, dans Le Monde du 12 janvier dernier. Il a estimé à 85 % les chances que l’épave s’y trouve.
Selon des informations du Figaro en date du 22 janvier, Ocean Infinity est associée à Deep Ocean Search, une société franco-britannique, qui a récemment retrouvé les boîtes noires de l’avion d’Egyptair qui s’était abîmé en mer, le 19 mai, avec 66 personnes à bord.
Le groupe compte 20 océanographes. Tous sont Français. Ce sont d’anciens vétérans de la Marine nationale et d’anciens diplômés d’Intechmer, l’école française de sciences et techniques de la mer. DOS a été fondé par le Britannique John Kingsford en 2010. Le Français Nicolas Vincent dirige les opérations. À l’automne 2013, l’équipe de chercheurs français travaillant pour DOS avait retrouvé l’épave du City of Cairo, à plus de 5 150 mètres sous les mers. Jamais aucune cargaison n’avait été récupérée à une telle profondeur. Ainsi, la société apporte son expertise à Ocean Infinity pour mener à bien cette nouvelle mission.

[size=30]Théories du complot[/size]
Le gouvernement malaisien a pris l’habitude d’établir un rapport hebdomadaire de ces nouvelles recherches pour tenir au courant notamment les familles des disparus. Mais, pour le moment, elles n’ont rien donné.
Sauf que The Guardian évoque dans son édition du mardi 6 février, une chose qui intrigue et suscite la polémique sur internet. Dans le dernier compte-rendu, les responsables de l’expédition n’ont pas évoqué un élément troublant. Du 1er au 4 février, le système d’identification automatique permettant de géolocaliser Seabed Constructor s’est interrompu avant de refonctionner. Personne n’a fait allusion à une soudaine panne. Ni les autorités malaisiennes, ni Ocean Infinity n’ont donné la moindre explication concernant ces trois jours d’interruption d’émetteur. Du coup, ce silence de trois jours devient suspect.



Durant trois jours, l’émetteur du bateau, qui effectue les recherches, s’est interrompu. Cela intrigue. (Photo : Ocean Infinity)

Sur internet, certains le trouvent étrange au point d’imaginer qu’on leur cache forcément la vérité. Des théories conspirationnistes fleurissent, prétendent qu’en fait l’avion a probablement été abattu et que la société américaine a été envoyée pour éliminer les preuves. D’autres, au contraire, pensent qu’une découverte a probablement été faite, mais que pour ne pas éveiller les curieux sur la localisation, le contact a été coupé.
Des internautes réclament « la plus grande transparence » sur les recherches. Sollicitées par des médias anglais sur ce silence de trois jours, ni la société américaine, ni les autorités malaisiennes n’ont émis le moindre commentaire pour le moment. En attendant, les recherches se poursuivent. Les familles des disparus fondent beaucoup d’espoir dans cette ultime quête de la vérité.

[InvitéInvité]

j'avais précisé quelques anomalies à l"epoque

première chose, la composition des passagers, une équipe spécialisée en cloaking du texas , un ukrainien et quelques autres anomalies de passager

https://www.express.co.uk/news/world/465557/Malaysian-plane-20-on-board-worked-for-ELECTRONIC-WARFARE-and-radar-defence-company


"
Freescale Semiconductor, which makes powerful microchips for industries including defence, released the powerful new products to the American market on March 3.
Five days later, Flight MH370 took off from Kuala Lumpur for Beijing with 239 people on board including 20 working for Freescale."

ce "détail" a été oublié

en ce qui me concerne je suis persuadé que l'avion n'a pas piqué vers le sud mais vers le seul point d'interet de la zone, diego garcia

[InvitéInvité]

il y a  alors 4 pistes

1- l'avion a été détourné par des terroristes islamistes, le role du pilote est assez suspect  et a été abbatu , sa cible n'étant pas claire , on a retrouvé des débris dans les maldives

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/08/09/97001-20150809FILWWW00144-les-maldives-cherchent-les-debris-du-mh370.php

"Les autorités mauriciennes ont fait de même, y compris autour des îles Agalega, à 1000 km au nord de l'île principale. La découverte d'un fragment d'aile d'un Boeing 777 à la Réunion a donné un coup de fouet aux recherches de l'avion du vol MH370 de la Malaysia Airlines, disparu le 8 mars 2014 avec 239 personnes à bord."

2- l'avion n'a pas été abbatu mais forcé à se poser sur diego garcia, maquillé ensuite avec les débris

3- le facteur x, un facteur x est venu perturber le plan du détournement de vol et l'interception de l'avion

4- ceci fait partie d'un test de cloaking volontaire secret défense

les gens ont mauvaises mémoires

http://www.air-journal.fr/2014-06-14-13-avions-echappent-aux-radars-autrichiens-5108690.html

[InvitéInvité]

http://www.rfi.fr/asie-pacifique/20140825-avion-documents-vol-mh370-malaisie-chine-hacking-virus-informatique-

"
En Malaisie, les autorités viennent de révéler que des milliers de documents relatifs à l’enquête de l’avion disparu de la Malaysia Airlines, auraient été subtilisés par des hackers chinois. Une cyberattaque qui en dit un peu plus long sur les dessous de l'affaire, notamment sur le plan diplomatique.
C'est un courriel rapportant que l’avion avait été retrouvé, et incluant une pièce jointe en PDF déguisée comme un article de presse, qui a été envoyé à différents responsables malaisiens. En cliquant pour ouvrir le document, les utilisateurs ont laissé un vers malveillant s’introduire dans leurs ordinateurs. Une fois installé, celui-ci récupérait les données et les envoyait en toute discrétion à une adresse en Chine. Trente appareils ont été infectés, dont certains de l’Aviation Civile, de la Malaysia Airlines, ou d’autres ministères. Les Malaisiens ont admis que des milliers de documents relatifs au MH370, aux circonstances de sa disparition, à l’investigation ont été dérobés. L’attaque était si perfectionnée qu’un simple antivirus ne suffisait pas et il ne semble pas que les enquêteurs aient crypté les documents qu’ils s’échangeaient."

[InvitéInvité]

http://www.lefigaro.fr/international/2014/03/17/01003-20140317ARTFIG00438-avion-disparu-l-amerique-redoute-un-acte-terroriste.php


"À Washington, l'hypothèse d'un détournement terroriste ou d'un suicide «djihadiste» plane. Le New York Times révèle que la trajectoire de l'appareil disparu il y a 10 jours a été modifiée via le système informatique de gestion de vol, et non manuellement. Cette reprogrammation a été effectuée par quelqu'un présent dans le cockpit qui maîtrisait le fonctionnement de l'avion. On ignore si ce changement dans la feuille de route est intervenu avant ou après le décollage de l'appareil. L'ordinateur qui contrôle ce système de gestion de vol se trouve entre le pilote et le copilote. Ce qui renforce les soupçons pesant sur les deux hommes."

[InvitéInvité]

https://www.caminteresse.fr/economie-societe/peut-on-hacker-un-avion-1170923/

"
Oui ! En avril 2015, un Américain du nom de Chris Roberts s’est amusé à pirater un avion en plein vol. Confortablement installé dans son siège, il a réussi à détourner la trajectoire de l’avion sur une courte distance.
Accomplir son méfait ne lui a pas demandé beaucoup d’efforts puisqu’il lui a suffi de relier son ordinateur portable au boîtier situé sous son siège, à l’aide d’un câble éthernet. Quelques connaissances informatiques plus tard, et le voilà qui se connectait au système informatique de l’avion.
Il publie alors un tweet annonçant qu’il s’apprête à inviter les voyageurs à enfiler leurs masques à oxygène :"

[Yvon CédricEquipe du forum]

@anakinneo2018 "’il lui a suffi de relier son ordinateur portable au boîtier situé sous son siège, à l’aide d’un câble Ethernet."
Si c'est vrai c'est que cet avion a une mauvaise conception de son système informatique (Probablement pour réduire les coûts).
L'informatique passagers ne devant en aucun cas pouvoir avoir accès a l'informatique de l'avion. Normalement les switch et routeurs ne devraient pas êtres les mêmes. Mais ton exemple implique qu'ils sont partagés ce qui est une violation du principe même de "safety".

Mais faire fie de la " safety" pour réduire les coûts est une pratique de plus en plus courante de nos jours hélas.
Le constructeur n'as même pas dans ton cas assuré un contrôle d'intégrité source destinataire des données alors qu'il as mis en partage l'équipement informatique. C'est très grave mais hélas pas surprenant.

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