- Ives YoungMembre Confirmé
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Le radar GRAVES et efficacité de détection PAN
Jeu 23 Oct 2008, 22:02
Le radar GRAVES et efficacité de détection PAN
Fichier "ReseauGRAVES...doc"
Télécharger sur : http://dl.free.fr/rqJi5Yivu
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- InvitéInvité
Radars pour ovnis
Dim 26 Oct 2008, 19:16
J'avais repéré un article de Technosciences, je crois, qui faisait état de la mise en service d'un radar sur le sol français comprenant un émetteur de grande puissance à balayage de faisceau et une récepteur éloigné de celui-ci, et totalement passif. Il est constitué comme le projet HAARP sur lequel on a beaucoup phantasmé sur le forum, d'une forêt d'antennes très régulièrement réparties, en forme de poteaux pour être omnirirectionnelles et dont les réceptions doivent comme pour un scanner médical être dépouillées par un ordinateur de grande puisance afin de donner un résultat exploitable. Cet article est maintenant introuvable sur le site: il a donc été retiré, sans doute du fait de son rapport direct avec la défense nationale. On annonçait en effet que le dispositif en deux parties distinctes pourrait détecter toute intrusion au-dessus du sol métropolitain, jusqu'à 1000km d'altitude si je me souviens bien.
Voici un article du journal en ligne Les échos du 28 février 2008 qui détaille l'intérêt de la technique encore moins coûteuse pour les basses altitudes, au vu de la baisse régulière du prix de l'informatique:
Pouvoir observer sans être repéré. C'est l'idée du radar passif sur lequel travaille Thales, qui constitue un cauchemar pour un ingénieur mais un rêve pour les militaires. Car le radar classique se fait repérer en envoyant des ondes radio qui sont réfléchies par la cible, et révèlent, du même coup, la présence de celui qui observe. A contrario, le radar passif utilise, lui, les ondes électromagnétiques existantes dans la nature et produites par une multitude d'appareils : radios, télévisions, téléphones mobiles... Il suffit de repérer le signal intéressant et de suivre sa trajectoire. Lorsque l'on peut distinguer ces échos dans l'environnement, on peut alors détecter un objet mobile et le localiser.
L'application du radar passif est, en revanche, extrêmement compliquée dans la mesure où il faut être capable de faire le tri au milieu d'un magma de signaux, et pouvoir identifier des échos très faibles. C'est l'amélioration des algorithmes mais, surtout, la croissance des moyens de calcul (un supercalculateur utilisant 64 processeurs en parallèle), qui permettent aujourd'hui d'arriver à des résultats probants. Ces radars passifs seraient ainsi utiles pour détecter des avions ou des ULM volant à très faible altitude, difficiles à détecter aujourd'hui par les radars classiques. « Nous avons réussi à repérer un voilier navigant à 50 kilomètres de la côte grâce à un émetteur TNT situé, lui, à 50 kilomètres à l'intérieur des terres », assure ainsi un ingénieur.Pouvoir observer sans être repéré. C'est l'idée du radar passif sur lequel travaille Thales, qui constitue un cauchemar pour un ingénieur mais un rêve pour les militaires. Car le radar classique se fait repérer en envoyant des ondes radio qui sont réfléchies par la cible, et révèlent, du même coup, la présence de celui qui observe. A contrario, le radar passif utilise, lui, les ondes électromagnétiques existantes dans la nature et produites par une multitude d'appareils : radios, télévisions, téléphones mobiles... Il suffit de repérer le signal intéressant et de suivre sa trajectoire. Lorsque l'on peut distinguer ces échos dans l'environnement, on peut alors détecter un objet mobile et le localiser.
L'application du radar passif est, en revanche, extrêmement compliquée dans la mesure où il faut être capable de faire le tri au milieu d'un magma de signaux, et pouvoir identifier des échos très faibles. C'est l'amélioration des algorithmes mais, surtout, la croissance des moyens de calcul (un supercalculateur utilisant 64 processeurs en parallèle), qui permettent aujourd'hui d'arriver à des résultats probants. Ces radars passifs seraient ainsi utiles pour détecter des avions ou des ULM volant à très faible altitude, difficiles à détecter aujourd'hui par les radars classiques. « Nous avons réussi à repérer un voilier navigant à 50 kilomètres de la côte grâce à un émetteur TNT situé, lui, à 50 kilomètres à l'intérieur des terres », assure ainsi un ingénieur.Pouvoir observer sans être repéré. C'est l'idée du radar passif sur lequel travaille Thales, qui constitue un cauchemar pour un ingénieur mais un rêve pour les militaires. Car le radar classique se fait repérer en envoyant des ondes radio qui sont réfléchies par la cible, et révèlent, du même coup, la présence de celui qui observe. A contrario, le radar passif utilise, lui, les ondes électromagnétiques existantes dans la nature et produites par une multitude d'appareils : radios, télévisions, téléphones mobiles... Il suffit de repérer le signal intéressant et de suivre sa trajectoire. Lorsque l'on peut distinguer ces échos dans l'environnement, on peut alors détecter un objet mobile et le localiser.
L'application du radar passif est, en revanche, extrêmement compliquée dans la mesure où il faut être capable de faire le tri au milieu d'un magma de signaux, et pouvoir identifier des échos très faibles. C'est l'amélioration des algorithmes mais, surtout, la croissance des moyens de calcul (un supercalculateur utilisant 64 processeurs en parallèle), qui permettent aujourd'hui d'arriver à des résultats probants. Ces radars passifs seraient ainsi utiles pour détecter des avions ou des ULM volant à très faible altitude, difficiles à détecter aujourd'hui par les radars classiques. « Nous avons réussi à repérer un voilier navigant à 50 kilomètres de la côte grâce à un émetteur TNT situé, lui, à 50 kilomètres à l'intérieur des terres », assure ainsi un ingénieur.
Ce système permettra-t-il de répérer des véhicules extraterrestres, et si oui qui en sera informé? L'avenir le dira...
Voici un article du journal en ligne Les échos du 28 février 2008 qui détaille l'intérêt de la technique encore moins coûteuse pour les basses altitudes, au vu de la baisse régulière du prix de l'informatique:
Pouvoir observer sans être repéré. C'est l'idée du radar passif sur lequel travaille Thales, qui constitue un cauchemar pour un ingénieur mais un rêve pour les militaires. Car le radar classique se fait repérer en envoyant des ondes radio qui sont réfléchies par la cible, et révèlent, du même coup, la présence de celui qui observe. A contrario, le radar passif utilise, lui, les ondes électromagnétiques existantes dans la nature et produites par une multitude d'appareils : radios, télévisions, téléphones mobiles... Il suffit de repérer le signal intéressant et de suivre sa trajectoire. Lorsque l'on peut distinguer ces échos dans l'environnement, on peut alors détecter un objet mobile et le localiser.
L'application du radar passif est, en revanche, extrêmement compliquée dans la mesure où il faut être capable de faire le tri au milieu d'un magma de signaux, et pouvoir identifier des échos très faibles. C'est l'amélioration des algorithmes mais, surtout, la croissance des moyens de calcul (un supercalculateur utilisant 64 processeurs en parallèle), qui permettent aujourd'hui d'arriver à des résultats probants. Ces radars passifs seraient ainsi utiles pour détecter des avions ou des ULM volant à très faible altitude, difficiles à détecter aujourd'hui par les radars classiques. « Nous avons réussi à repérer un voilier navigant à 50 kilomètres de la côte grâce à un émetteur TNT situé, lui, à 50 kilomètres à l'intérieur des terres », assure ainsi un ingénieur.Pouvoir observer sans être repéré. C'est l'idée du radar passif sur lequel travaille Thales, qui constitue un cauchemar pour un ingénieur mais un rêve pour les militaires. Car le radar classique se fait repérer en envoyant des ondes radio qui sont réfléchies par la cible, et révèlent, du même coup, la présence de celui qui observe. A contrario, le radar passif utilise, lui, les ondes électromagnétiques existantes dans la nature et produites par une multitude d'appareils : radios, télévisions, téléphones mobiles... Il suffit de repérer le signal intéressant et de suivre sa trajectoire. Lorsque l'on peut distinguer ces échos dans l'environnement, on peut alors détecter un objet mobile et le localiser.
L'application du radar passif est, en revanche, extrêmement compliquée dans la mesure où il faut être capable de faire le tri au milieu d'un magma de signaux, et pouvoir identifier des échos très faibles. C'est l'amélioration des algorithmes mais, surtout, la croissance des moyens de calcul (un supercalculateur utilisant 64 processeurs en parallèle), qui permettent aujourd'hui d'arriver à des résultats probants. Ces radars passifs seraient ainsi utiles pour détecter des avions ou des ULM volant à très faible altitude, difficiles à détecter aujourd'hui par les radars classiques. « Nous avons réussi à repérer un voilier navigant à 50 kilomètres de la côte grâce à un émetteur TNT situé, lui, à 50 kilomètres à l'intérieur des terres », assure ainsi un ingénieur.Pouvoir observer sans être repéré. C'est l'idée du radar passif sur lequel travaille Thales, qui constitue un cauchemar pour un ingénieur mais un rêve pour les militaires. Car le radar classique se fait repérer en envoyant des ondes radio qui sont réfléchies par la cible, et révèlent, du même coup, la présence de celui qui observe. A contrario, le radar passif utilise, lui, les ondes électromagnétiques existantes dans la nature et produites par une multitude d'appareils : radios, télévisions, téléphones mobiles... Il suffit de repérer le signal intéressant et de suivre sa trajectoire. Lorsque l'on peut distinguer ces échos dans l'environnement, on peut alors détecter un objet mobile et le localiser.
L'application du radar passif est, en revanche, extrêmement compliquée dans la mesure où il faut être capable de faire le tri au milieu d'un magma de signaux, et pouvoir identifier des échos très faibles. C'est l'amélioration des algorithmes mais, surtout, la croissance des moyens de calcul (un supercalculateur utilisant 64 processeurs en parallèle), qui permettent aujourd'hui d'arriver à des résultats probants. Ces radars passifs seraient ainsi utiles pour détecter des avions ou des ULM volant à très faible altitude, difficiles à détecter aujourd'hui par les radars classiques. « Nous avons réussi à repérer un voilier navigant à 50 kilomètres de la côte grâce à un émetteur TNT situé, lui, à 50 kilomètres à l'intérieur des terres », assure ainsi un ingénieur.
Ce système permettra-t-il de répérer des véhicules extraterrestres, et si oui qui en sera informé? L'avenir le dira...
- InvitéInvité
Re: Radars pour ovnis
Mar 28 Oct 2008, 16:58
Mes excuses, Mystéron, j'ai parlé de ce radar à l'adresse suivante:
https://www.forum-ovni-ufologie.com/sciences-decouvertes-et-actualite-f67/radars-pour-ovnis-t4782.htm
sans savoir que, contrairement à ce que j'affirmais, l'article est toujours sur Internet, n'a pas été censuré pour des raisons de confidentialité-défense.
Je pense que vous auriez dû faire un commentaire même très court en sus de fournir une URL...
https://www.forum-ovni-ufologie.com/sciences-decouvertes-et-actualite-f67/radars-pour-ovnis-t4782.htm
sans savoir que, contrairement à ce que j'affirmais, l'article est toujours sur Internet, n'a pas été censuré pour des raisons de confidentialité-défense.
Je pense que vous auriez dû faire un commentaire même très court en sus de fournir une URL...
- InvitéInvité
Re: Radars pour ovnis
Mar 28 Oct 2008, 17:41
Je présente mes excuses : Mysteron a donné un lien qui permet de voir les antennes fixes à balayage électronique du faisceau du site émetteur.
Voici l'adresse:
htlayage tp://dl.free.fr/rqJi5Yivu
Voici l'adresse:
htlayage tp://dl.free.fr/rqJi5Yivu
- InvitéInvité
Re: Radars pour ovnis
Jeu 18 Déc 2014, 12:06
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